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Diatta, Jean Sibadioumeg. "Plurilinguisme à géométrie variable des commerçants sur le marché Saint-Maur de Ziguinchor : usages fonctionnels des langues dans les échanges commerciaux". Alterstice 7, n.º 2 (10 de octubre de 2018): 23–36. http://dx.doi.org/10.7202/1052567ar.

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Resumen
À Ziguinchor, l’un des éléments qui frappe tout visiteur reste la cohabitation de locuteurs de langues différentes. Que ce soient dans les familles, les écoles, les marchés ou même les rues, plusieurs langues sont quotidiennement utilisées dans les discours et les échanges. Le marché Saint-Maur, le principal de la ville, est marqué par la pluralité linguistique. Cependant, il faut noter qu’avec la montée en puissance du wolof dans la communication commerciale, nous assistons à l’apparition de phénomènes liés notamment à la distribution fonctionnelle des idiomes. D’un plurilinguisme pratiqué par une grande majorité de Sénégalais, tant chanté par Juillard dans le passé, nous arrivons à un plurilinguisme diversifié et moins homogène. Ainsi, les pratiques linguistiques dans les cantines de vente d’habits et autres produits manufacturés sont bien différentes de celles que l’on retrouve dans les étals. Nous avons identifié sur le marché Saint-Maur un plurilinguisme à géométrie variable. Pour faire face à la diversité, les vendeurs développent des stratégies d’adaptation à la langue de leurs acheteurs en cherchant à maîtriser des connaissances linguistiques minimales mais suffisantes pour pouvoir échanger et marchander.
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Lefebvre, Louis A. y Élisabeth Lefebvre. "Efforts innovateurs et positionnement concurrentiel des PME manufacturières". Articles 68, n.º 3 (10 de marzo de 2009): 453–76. http://dx.doi.org/10.7202/602076ar.

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RÉSUMÉ Le contexte actuel de globalisation des marchés, de libéralisation des échanges commerciaux et de changements technologiques rapides, impose de nouveaux défis aux entreprises manufacturières. Dans un tel contexte, la capacité innovatrice de ces entreprises revêt une importance primordiale. Or, cette capacité innovatrice ne se limite pas à déployer des efforts pour introduire de nouveaux produits et services ou encore de nouveaux procédés, efforts traditionnellement évalués, entre autres, par l’investissement en recherche et développement et par l’acquisition de nouvelles technologies. Il faut aussi pouvoir tirer profit des opportunités créées par ces nouvelles conditions technologiques, et savoir développer des compétences distinctives, ce qui ne peut se réaliser sans une concertation étroite entre les objectifs poursuivis et les moyens mis en oeuvre pour les atteindre. Stratégie d’entreprise et stratégie technologique doivent donc être liées de telle sorte que l’effort innovateur puisse tenir compte du positionnement concurrentiel actuel et désiré d’une entreprise. Pour les PME manufacturières, cette congruence entre la fin et les moyens pourrait s’avérer essentielle compte tenu de leur plus grande vulnérabilité tant sur le plan de la compétitivité que celui du risque financier associé à diverses formes d’innovation. Cette recherche est centrée sur l’étude d’un ensemble d’efforts innovateurs retrouvés dans les PME manufacturières et aux relations qui peuvent exister entre ces efforts innovateurs et le positionnement concurrentiel.
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Hildebrando, Edemarino A., Rômulo S. Angélica, Roberto de Freitas Neves y Francisco Rolando Valenzuela-Díaz. "Synthesis of Zeolitic Materials Using as a Source of SiO2 and Al2O3 Calcined Kaolin Waste". Materials Science Forum 727-728 (agosto de 2012): 1349–54. http://dx.doi.org/10.4028/www.scientific.net/msf.727-728.1349.

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Resumen
This paper has as main objective synthesize zeolitic materials in hydrothermal conditions using as the predominant source of Si and Al a waste in powder generated from kaolin processing industries for paper-coating from the Brazilian Amazon region, thus transforming a material of low commercial value in another with higher added value, and can thus be used in future in adsorption and catalysis. For this were tested compositions of the mixture with different molar ratios of Na2O/Al2O3and SiO2/Al2O3considering the effects time-temperature of crystallization. The starting material and the phases formed as synthetic products were characterized by XRD, SEM and FTIR. The results show that the methodology developed with metakaolinite from a thermically activated kaolin waste at 700 º C for 2h reacting in alkaline medium in the presence of an additional source of silica, zeolitic phases were obtained with structure FAU-type and GIS-type in the samples synthesized.
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Zgureva, Denitza, Valeria Stoyanova, Annie Shoumkova, Silviya Boycheva y Georgi Avdeev. "Quasi Natural Approach for Crystallization of Zeolites from Different Fly Ashes and Their Application as Adsorbent Media for Malachite Green Removal from Polluted Waters". Crystals 10, n.º 11 (23 de noviembre de 2020): 1064. http://dx.doi.org/10.3390/cryst10111064.

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Resumen
Worldwide disposal of multi-tonnage solid waste from coal-burning thermal power plants (TPPs) creates serious environmental and economic problems, which necessitate the recovery of industrial waste in large quantities and at commercial prices. Fly ashes (FAs) and slag from seven Bulgarian TPPs have been successfully converted into valuable zeolite-like composites with various applications, including as adsorbents for capturing CO2 from gases and for removal of contaminants from water. The starting materials generated from different types of coal are characterized by a wide range of SiO2/Al2O3 ratio, heterogeneous structure and a complex chemical composition. The applied synthesis procedure resembles the formation of natural zeolites, as the raw FAs undergo long-term self-crystallization in an alkaline aqueous solution at ambient temperature. The phase and chemical composition, morphology and N2 adsorption of the final zeolite products were studied by scanning electron microscopy (SEM), energy-dispersive X-ray (EDX), X-Ray Diffraction (XRD) and Brunauer–Emmett–Teller (BET) analyses. The growth of faujasite (FAU) crystals as the main zeolite phase was established in all samples after 7 and 14 months of alkaline treatment. Phillipsite (PHI) crystals were also observed in several samples as an accompanying phase. The final products possess specific surface area over 400 m2/g. The relationships between the surface properties of the investigated samples and the characteristics of the raw FAs were discussed. All of the obtained zeolite-like composites were able to remove the highly toxic dye (malachite green, MG) from water solutions with efficiency over 96%. The experimental data were fitted with high correlation to the second-order kinetics.
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Andacht, Fernando. "L’imaginaire d’un petit pays". Protée 30, n.º 2 (9 de julio de 2003): 9–22. http://dx.doi.org/10.7202/006727ar.

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Résumé En se référant à un corpus de timbres-poste de l’Uruguay des cinq dernières années, cet article fait avec ces éloquents « tokens » un parcours de l’imaginaire social (C. Castoriadis) de cette communauté imaginée (B. Anderson). À l’aide du modèle sémiotique triadique de C. S. Peirce, on essaiera de relever la semiosis visuelle qui est mise en scène dans cette opération de propagande explicite qui est la commémoration d’un petit pays d’Amérique latine, avec différents personnages, activités et traits matériels. L’Uruguay est caractérisé, depuis son indépendance en 1825, par de récurrents doutes sur son droit d’existence en tant que nation. À la tension iconique-indicielle (D. Scott), qui est normalement incarnée dans les timbres-poste considérés comme signes, il faut ajouter la tension d’un oxymore ou d’une antithèse identitaire : l’Uruguay en tant que nation empreinte de fierté négative (F. Andacht). À travers la maxime pragmatique peircienne, on essaiera d’analyser le sens d’un symbole complexe qui exprime et résume la contradiction fondatrice de ce pays : la « mésocarpe », c’est-à-dire l’idéologie d’une médiocrité glorieuse, exaltée dans toutes les manifestations socioculturelles du pays moderne. Ce symbole a été la règle interprétative hégémonique de cette nation pendant presque un siècle. Aujourd’hui, un ébranlement géopolitique – la création d’une région d’échange commercial appelée « Mercosur » (Marché commun du Sud), qui rejoint l’Uruguay, l’Argentine, le Brésil et le Paraguay – s’est produit, et il est pertinent de s’interroger sur les conséquences pratiques et générales engendrées par la considération systématique de ce symbole traditionnel, tel qu’il est représenté actuellement par ces séduisants indices iconiques que sont les timbres-poste.
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Louppe, Dominique. "Plantations forestières : un sujet d'actualité ? [Editorial]". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, n.º 309 (1 de septiembre de 2011): 4. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20465.

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L'Afrique intertropicale sert de cadre à notre réflexion bien que les autres continents tropicaux regorgent d'exemples tout aussi édifiants. Forêt naturelle et forêt plantée ont bien souvent été considérées comme deux pôles opposés de la foresterie, pôles entre lesquels les projets de développement effectuent un mouvement de balancier. Déjà en 1953, Alba1 écrivait : " Il semble inutile d'opposer la sylviculture basée sur la régénération naturelle et celle basée sur la régénération artificielle. D'une part, cela risque d'entraîner des querelles qui, quoique faites sur un ton toujours extrêmement courtois, peuvent blesser inutilement les uns et les autres qui croient le plus souvent, et en toute bonne foi, il faut bien le dire, détenir la vérité en la matière, ce dont on ne saurait les blâmer. " Cette mise en garde n'a pas empêché les deux " clans " d'être plus souvent en opposition qu'en synergie. Dans les années 1960-1970, le balancier était du côté des plantations. C'était l'époque des grands programmes de reboisement, teck en Afrique francophone : gmélina au Mali, pins à Madagascar et okoumé au Gabon dans les années 1950- 1960, puis des grands reboisements périurbains des années 1970 pour le bois énergie. Ces projets étatiques onéreux se sont avérés peu rentables en raison des faibles prix du bois de forêt naturelle pratiqués sur les marchés locaux, ce qui a découragé les bailleurs de fonds. Les plantations sont un investissement à long terme alors que le financement des projets est à court ou moyen terme. Même lorsque les premières rentrées financières des plantations arrivent après six à sept ans (pour le bois de trituration), la faible valeur marchande de ce bois fait que plusieurs rotations sont nécessaires pour rentabiliser l'investissement. Pour les bois d'oeuvre, la révolution est de plusieurs décennies, incompatible avec les cycles des bailleurs de fonds. Ceux-ci considèrent généralement que l'investissement forestier s'arrête quelques années après la plantation et les premiers entretiens. Pourtant, il est nécessaire de financer les travaux ultérieurs pour obtenir in fine des bois de haute qualité à forte valeur marchande car les élagages de pénétration et la première éclaircie fournissent des bois de faibles dimensions qui sont abandonnés sur place en l'absence d'usine de trituration, ce qui est le cas en Afrique. Les éclaircies suivantes produisent des perches et des piquets dont la vente ne finance au mieux que le coût des travaux. Cette absence de retour financier rapide a généré, dans les années 1980, des problèmes au sein des programmes nationaux de reboisement. Par exemple, la Société de développement des forêts ivoiriennes a, faute de pouvoir vendre les premières éclaircies, cessé de planter des tecks pendant plusieurs années, jusqu'au jour où des acheteurs étrangers se sont intéressés à ces produits. À Madagascar, le bailleur de fonds voulait arrêter de financer les plantations de pins initialement destinées à la pâte à papier ; une longue négociation permit de modifier l'objectif du projet et de faire comprendre que les éclaircies et l'élagage étaient indispensables à la production d'un bois de qualité à haute valeur commerciale, et d'obtenir la poursuite du financement des travaux : ce n'est que 26 ans après les premières plantations de pins que les plantations ont commencé à s'autofinancer. Les calculs financiers montrent de très faibles taux de rentabilité interne des plantations ; mais ces calculs ne prennent pas en compte les emplois créés dans les plantations ni le développement des filières de transformation et de commercialisation en aval. (Résumé d'auteur)
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Jean. "Publication de descriptifs techniques extraits de l’Atlas des bois tropicaux". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 347 (2 de abril de 2021). http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.347.a36353.

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Resumen
L’Atlas des bois tropicaux publié en 2016 par les Éditions Quæ en version française (aux formats papier, epub et pdf) puis en 2017 en version anglaise (aux formats epub et pdf) présente des informations technologiques sur les bois destinées à tous les professionnels qui transforment et mettent en œuvre des bois tempérés ou tropicaux. Il réunit les principales caractéristiques technologiques de 283 essences tropicales et 17 essences de régions tempérées les plus employées en Europe, associées à leurs principales utilisations. Sa réalisation a bénéficié du soutien financier de l’Organisation internationale des bois tropicaux (OIBT), et d’Agropolis Fondation pour la version anglaise. Les descriptifs techniques d’une sélection d’essences tropicales seront régulièrement publiés dans la revue Bois et Forêts des Tropiques. Cet ouvrage est le fruit d’un travail collectif de l’Équipe Bois tropicaux du Cirad qui, depuis des décennies, a étudié dans ses laboratoires les caractéristiques technologiques de plus de 1 200 espèces tropicales en réalisant plusieurs centaines de milliers d’essais. La collecte récurrente d’informations sur le terrain est venue compléter ces données pour constituer une base de connaissances qui se décline aujourd’hui sous différents types d’applications. Outre sa fonction de mémoire collective et de réservoir d’informations pour alimenter des produits documentaires de vulgarisation sur la qualité des bois tropicaux (fiches ou guides techniques, atlas, logiciels, etc.), cette base de connaissances constitue un outil d’étude des relations entre les propriétés des bois et les usages des produits forestiers. Aujourd’hui, les recherches et les études conduites par les chercheurs et les techniciens de l’Unité de recherche BioWooEB du Cirad continuent à alimenter cette base de connaissances sur le comportement technologique et les potentialités d’utilisations d’un nombre toujours plus important d’espèces forestières issues des régions tropicales des quatre continents. L’Atlas des bois tropicaux décrit les caractéristiques de 300 essences. C’est un outil de référence pour les opérateurs de la filière bois en France et à l’étranger, ainsi que pour les établissements de recherche et d’enseignement, les institutionnels, les donneurs d’ordre, les architectes, les maîtres d’œuvre, les maîtres d’ouvrage et, de façon générale, pour tous les professionnels qui transforment et mettent en œuvre des bois tempérés ou tropicaux, ou qui projettent de le faire. Pour chaque essence, le descriptif technique reprend les informations suivantes : famille et appellation(s) botanique(s), origine géographique, éventuelle restriction commerciale selon la convention de Washington (CITES), description de la grume, description du bois, principales propriétés physiques et mécaniques, durabilité naturelle et imprégnabilité du bois, traitement de préservation, séchage, sciage et affûtage, assemblage, classements commerciaux, réaction au feu, principales utilisations, principales appellations vernaculaires. Chaque descriptif est illustré par deux photos de débit sur dosse et sur quartier (ou faux quartier), par deux macrophotographies aux grossissements 20 et 115 et par une photo d’un ouvrage construit avec le bois décrit. Les détails sur le contenu de ces descriptifs techniques, sur la nature et l’intérêt des informations, des caractéristiques et des données qu’elles contiennent sont disponibles dans une notice d’informations générales sur le site web de Bois et Forêts des Tropiques, annexée uniquement à la version web de cet article. Jean Gérard Rédacteur scientifique de la revue Bois et Forêts des Tropiques et chercheur de l’unité de recherche BioWooEB
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-, NTUMBA MUYA Didier, NGALULA MUKUAYA Mamie Christelle - y TSHIYOLE KAPUKU Jonathan -. "La Voie Routiere : Un Goulot D’etranglement Pour Le Developpement Socioeconomique Du Territoire De Kasongo Lunda". International Journal For Multidisciplinary Research 5, n.º 5 (19 de octubre de 2023). http://dx.doi.org/10.36948/ijfmr.2023.v05i05.7764.

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Resumen
Le territoire de Kasongo Lunda, situé dans la province de Kwango en République Démocratique du Congo est compté parmi les territoires de la RDC à vocation agricole, en plus de ses activités agricoles, il pratique l’élevage et la cueillette des chenilles et des champignons. A travers ses gammes des produits variés et disponible en bonne quantité, il peut jouer le rôle de fournisseur de ces produits sur tous les marchés locaux et de la capitale Kinshasa. Malheureusement, l’impraticabilité de la route le reliant à des centres commerciaux ; est un handicap pour la circulation des grands engins en vue de se ravitailler en denrées alimentaires et autres produits de l’élevage et de la cueillette. Cette situation d’enclavement lui prive d’accéder aux échanges commerciaux, à l’acquisition de certains biens tels que les produits manufacturiers, les vêtements, le sel, les savons, bref, à le maintenir dans un état de pauvreté et hypothèque sans ombre d’aucun doute son développement socioéconomique. Pour arriver à lui faire sortir de cet enclavement, il faut toute une politique publique du gouvernement central tel que le programme de développement de 145 territoires initié par le président de la République qui est en cours de réalisation. Pour notre part, nous avons proposé avant toute chose que le tronçon Bukanga lonzo à Kasongo Lunda en passant par Popokabaka soit réfectionné ; cela permettre l’ouverture du territoire non seulement aux centres commerciaux avoisinants mais aussi à la capitale Kinshasa.
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Evans, Katie D., Scott A. Robbins y Joanna J. Bryson. "Do We Collaborate With What We Design?" Topics in Cognitive Science, 15 de agosto de 2023. http://dx.doi.org/10.1111/tops.12682.

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AbstractThe use of terms like “collaboration” and “co‐workers” to describe interactions between human beings and certain artificial intelligence (AI) systems has gained significant traction in recent years. Yet, it remains an open question whether such anthropomorphic metaphors provide either a fertile or even a purely innocuous lens through which to conceptualize designed commercial products. Rather, a respect for human dignity and the principle of transparency may require us to draw a sharp distinction between real and faux peers. At the heart of the concept of collaboration lies the assumption that the collaborating parties are (or behave as if they are) of similar status: two agents capable of comparable forms of intentional action, moral agency, or moral responsibility. In application to current AI systems, this not only seems to fail ontologically but also from a socio‐political perspective. AI in the workplace is primarily an extension of capital, not of labor, and the AI “co‐workers” of most individuals will likely be owned and operated by their employer. In this paper, we critically assess both the accuracy and desirability of using the term “collaboration” to describe interactions between humans and AI systems. We begin by proposing an alternative ontology of human–machine interaction, one which features not two equivalently autonomous agents, but rather one machine that exists in a relationship of heteronomy to one or more human agents. In this sense, while the machine may have a significant degree of independence concerning the means by which it achieves its ends, the ends themselves are always chosen by at least one human agent, whose interests may differ from those of the individuals interacting with the machine. We finally consider the motivations and risks inherent to the continued use of the term “collaboration,” exploring its strained relation to the concept of transparency, and consequences for the future of work.
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Wauthy, Xavier. "Numéro 59 - mai 2008". Regards économiques, 12 de octubre de 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15653.

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Resumen
"Yahoo refuse l'offre de rachat de Microsoft !" L'encre des gros titres commentant cette décision est à peine sèche que le géant de Redmond pourrait, selon la rumeur, jeter son dévolu sur Facebook, deuxième réseau social numérique sur base du nombre d'utilisateurs actifs. En octobre 2007, Microsoft avait d'ailleurs déjà pris une participation dans Facebook à hauteur d'un quart de milliard de dollars. Mais comment le géant du logiciel, à qui l'on doit des produits aussi peu festifs que Windows, ou la suite logicielle Office, en est-il arrivé à considérer sérieusement le rachat de ce qui ressemble à un innocent gadget d'étudiant, une déclinaison Internet du rituel "Yearbook" cher aux étudiants américains ? Comment ces produits de loisirs purs, proposant gratuitement à leurs utilisateurs des services parfaitement inutiles tels que l'envoi d'un baiser virtuel à un "ami" ou la participation à un concours de "vampires" (?), peuvent-ils atteindre de telles valorisations boursières ? Tout simplement parce qu'ils sont les stars du Web 2.0, ce terme désormais consacré par lequel on caractérise les sites où les utilisateurs peuvent interagir à la fois avec les contenus qui y sont déposés et entre eux. Le dernier numéro de Regards Economiques s'efforce de démonter la mécanique économique qui se cache derrière l'apparente gratuité qui est généralement concédée aux usagers. Car, si la gratuité d'usage se transforme en une valorisation financière significative, c'est forcément que cette gratuité a une contrepartie payante. Le déploiement du Web 2.0 démarre là où l'industrie culturelle traditionnelle marque le pas. La numérisation des produits de contenus tels que musique, son, vidéo et information écrite met en effet à mal le modèle d'affaire dans lequel les Majors vendaient CD, DVD et autres supports dont le contrôle est aujourd’hui rendu plus difficile par leur caractère immatériel. Les sites commerciaux du Web 2.0 tirent parti de cette évolution en exploitant la possibilité de diffuser une très large gamme de contenus, directement "uploadés" par les utilisateurs. Ils se positionnent en plate-forme d'échanges où les contenus sont partagés entre utilisateurs. Les exemples les plus frappants étant à coup sûr YouTube ou MySpace. La présence de contenus très nombreux et très diversifiés constituent un puissant attrait pour les utilisateurs potentiels, qui s'affilient en nombre et apportent à leur tour de nouveaux contenus. Cette spirale vertueuse génère une audience colossale qui constitue le premier pilier du modèle d'affaire du Web 2.0. Le second pilier est le fait que ces contenus très diversifiés auxquels je peux accéder, ces utilisateurs très hétérogènes avec lesquels je peux interagir ne sont vraiment intéressants que s'ils sont proposés en fonction des mes propres goûts, de mes centres d'intérêt. Il faut donc organiser, trier, l'information brute. Ce à quoi s'emploient les plates-formes web, Google et ses moteurs de recherche en tête. Chaque utilisateur a donc un intérêt direct à révéler ses caractéristiques propres pour réaliser des interactions fructueuses. Ce faisant, il "offre" à la plate-forme la possibilité de construire une gigantesque base de données d'utilisateurs. Il reste alors à la plate-forme à vendre l'accès à cette audience à des annonceurs publicitaires pour lesquels la capacité à toucher un large public, finement ciblé sur des goûts, des centres d'intérêt est particulièrement attrayante. La gratuité promise aux utilisateurs vise donc à assurer une forte participation et une révélation d'information maximale. Ce qui revient à assurer pour la base de données la plus grande valeur ajoutée possible, tant par la taille que par le ciblage des utilisateurs, et donc à s'assurer une disponibilité à payer maximale de la part des annonceurs. Google excelle évidemment dans ce domaine. Ce modèle d'affaire où le brassage de contenus organisé par des plates-formes web est instrumentalisé pour attirer des ressources publicitaires pose de nombreuses questions à l'autorité publique. D'une part parce que nombre de ces contenus, protégés par le droit d'auteur, circulent de manière illicite. Comment permettre le développement du Web 2.0 tout en assurant la rémunération légitime des titulaires de droit ? D'autre part, parce que les mécanismes qui président au développement de ces plates-formes génèrent une tendance naturelle à la concentration. Les récentes offres de rachat émanant de Microsoft, Google et autres le confirment. Comment garantir un degré suffisant de concurrence dans cette industrie ? Faut-il contenir l'expansion tentaculaire de Google dont l'ubiquité a de quoi inquiéter ? Autant de questions ouvertes.
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Wauthy, Xavier. "Numéro 59 - mai 2008". Regards économiques, 12 de octubre de 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2008.05.01.

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"Yahoo refuse l'offre de rachat de Microsoft !" L'encre des gros titres commentant cette décision est à peine sèche que le géant de Redmond pourrait, selon la rumeur, jeter son dévolu sur Facebook, deuxième réseau social numérique sur base du nombre d'utilisateurs actifs. En octobre 2007, Microsoft avait d'ailleurs déjà pris une participation dans Facebook à hauteur d'un quart de milliard de dollars. Mais comment le géant du logiciel, à qui l'on doit des produits aussi peu festifs que Windows, ou la suite logicielle Office, en est-il arrivé à considérer sérieusement le rachat de ce qui ressemble à un innocent gadget d'étudiant, une déclinaison Internet du rituel "Yearbook" cher aux étudiants américains ? Comment ces produits de loisirs purs, proposant gratuitement à leurs utilisateurs des services parfaitement inutiles tels que l'envoi d'un baiser virtuel à un "ami" ou la participation à un concours de "vampires" (?), peuvent-ils atteindre de telles valorisations boursières ? Tout simplement parce qu'ils sont les stars du Web 2.0, ce terme désormais consacré par lequel on caractérise les sites où les utilisateurs peuvent interagir à la fois avec les contenus qui y sont déposés et entre eux. Le dernier numéro de Regards Economiques s'efforce de démonter la mécanique économique qui se cache derrière l'apparente gratuité qui est généralement concédée aux usagers. Car, si la gratuité d'usage se transforme en une valorisation financière significative, c'est forcément que cette gratuité a une contrepartie payante. Le déploiement du Web 2.0 démarre là où l'industrie culturelle traditionnelle marque le pas. La numérisation des produits de contenus tels que musique, son, vidéo et information écrite met en effet à mal le modèle d'affaire dans lequel les Majors vendaient CD, DVD et autres supports dont le contrôle est aujourd’hui rendu plus difficile par leur caractère immatériel. Les sites commerciaux du Web 2.0 tirent parti de cette évolution en exploitant la possibilité de diffuser une très large gamme de contenus, directement "uploadés" par les utilisateurs. Ils se positionnent en plate-forme d'échanges où les contenus sont partagés entre utilisateurs. Les exemples les plus frappants étant à coup sûr YouTube ou MySpace. La présence de contenus très nombreux et très diversifiés constituent un puissant attrait pour les utilisateurs potentiels, qui s'affilient en nombre et apportent à leur tour de nouveaux contenus. Cette spirale vertueuse génère une audience colossale qui constitue le premier pilier du modèle d'affaire du Web 2.0. Le second pilier est le fait que ces contenus très diversifiés auxquels je peux accéder, ces utilisateurs très hétérogènes avec lesquels je peux interagir ne sont vraiment intéressants que s'ils sont proposés en fonction des mes propres goûts, de mes centres d'intérêt. Il faut donc organiser, trier, l'information brute. Ce à quoi s'emploient les plates-formes web, Google et ses moteurs de recherche en tête. Chaque utilisateur a donc un intérêt direct à révéler ses caractéristiques propres pour réaliser des interactions fructueuses. Ce faisant, il "offre" à la plate-forme la possibilité de construire une gigantesque base de données d'utilisateurs. Il reste alors à la plate-forme à vendre l'accès à cette audience à des annonceurs publicitaires pour lesquels la capacité à toucher un large public, finement ciblé sur des goûts, des centres d'intérêt est particulièrement attrayante. La gratuité promise aux utilisateurs vise donc à assurer une forte participation et une révélation d'information maximale. Ce qui revient à assurer pour la base de données la plus grande valeur ajoutée possible, tant par la taille que par le ciblage des utilisateurs, et donc à s'assurer une disponibilité à payer maximale de la part des annonceurs. Google excelle évidemment dans ce domaine. Ce modèle d'affaire où le brassage de contenus organisé par des plates-formes web est instrumentalisé pour attirer des ressources publicitaires pose de nombreuses questions à l'autorité publique. D'une part parce que nombre de ces contenus, protégés par le droit d'auteur, circulent de manière illicite. Comment permettre le développement du Web 2.0 tout en assurant la rémunération légitime des titulaires de droit ? D'autre part, parce que les mécanismes qui président au développement de ces plates-formes génèrent une tendance naturelle à la concentration. Les récentes offres de rachat émanant de Microsoft, Google et autres le confirment. Comment garantir un degré suffisant de concurrence dans cette industrie ? Faut-il contenir l'expansion tentaculaire de Google dont l'ubiquité a de quoi inquiéter ? Autant de questions ouvertes.
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Ayandele, Olusola, Rotimi Oguntayo y P. O. Olapegba. "Gambling Characteristics and Demographic Differences as Determinants of Attitudes Towards Gambling Among Youths in Lagos, Nigeria". Journal of Gambling Issues, n.º 47 (8 de marzo de 2021). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2021.47.10.

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In this cross-sectional survey study, we investigated gambling characteristics (“quick” money syndrome, frequency of gambling, preferred gambling products and platforms) and demographic (age and gender) differences as determinants of attitudes towards gambling among youths in Lagos. We used a purposive snowball technique to recruit 179 respondents in Lagos (men: n = 165 [83.8% of participants]; women: n = 32) with a history of gambling activities. Gambling characteristics, demographics, and attitudes towards gambling were measured by using a gambling characteristics profile, the bio-data of the respondents, and the short form of the Attitudes Towards Gambling Scale (ATGS-8), respectively. The results showed that respondents believed that to make quick money, one needed to gamble once a week or more (67%), wager on sports betting (37.1%), and bet online (65.5%). The mean ATGS-8 composite score (28.2 ± 4.75) indicated overall positive attitudes among respondents. Independent sample t tests showed a significant difference between older (24–34 years) and younger (18–23 years) youths in their attitudes towards gambling (t = -2.30, p < .05) but no significant gender differences (t = 0.06, p > .05). One-way analysis of variance revealed a significant difference in attitudes towards gambling based on gambling frequency, F(3, 196) = 6.86, p < .05, with those who gamble monthly having the highest score. Participants displayed the belief that the easiest way to quick money is to gamble at least once weekly and to bet online. Younger participants and those who gamble at least once a month reported more positive attitudes towards gambling. Youths need to be made aware that gambling is not a viable source of income.RésuméCette étude s’est penchée sur les caractéristiques de la pratique des jeux de hasard (syndrome de l’argent « facile », fréquence du jeu, produits et plateformes des jeux de choix) et les différences démographiques (âge et genre) en tant que déterminants des attitudes envers le jeu chez les jeunes au Lagos. Un échantillon de 197 joueurs (hommes; n = 165 [83,8% des participants], femmes ; n = 32) a été choisi à dessein à l’aide d’un sondage en boule de neige aux endroits suivants : guichets de paris sportifs, kiosques de loterie, centres de visualisation de matches de football, centres commerciaux, centres de détente et parcs de sport automobile à Lagos, au Nigeria. Les attitudes ont été mesurées à l’aide de l’échelle des attitudes envers les jeux de hasard (ATGS-8). Les résultats montraient que les répondants croyaient que pour gagner de l’argent facilement aux jeux de hasard, il fallait jouer au moins une fois par semaine (67 %), faire des paris sportifs (37,1%), et parier en ligne (65,5 %). Le pointage combiné moyen de l’ATGS-8 (2,2 ± 4,75) indiquait dans l’ensemble des attitudes positives chez les répondants; un test t sur échantillon indépendant a révélé une différence importante dans l’attitude envers les jeux de hasard entre les joueurs jeunes plus âgés et plus jeunes (t =-2.30, p < 0.05), mais aucune différence significative entre les genres (t = 0.06, p > 0.05). L’analyse de variance à un critère de classification révèle des différences importantes dans les attitudes envers les jeux de hasard en fonction de la fréquence de la pratique de ces jeux (F (3 196) =6.86, p < 0.05); et ceux qui jouent tous les mois obtenaient le pointage le plus élevé. Les participants démontraient irréfutablement la conviction selon laquelle le moyen le plus facile de faire de l’argent facile est de jouer à des jeux de hasard au moins une fois par semaine et de parier en ligne. Les participants plus jeunes et ceux qui s’adonnent aux jeux de hasard au moins une fois par mois faisaient preuve d’attitudes plus positives à l’égard des jeux de hasard. Il faut faire comprendre aux jeunes que la pratique des jeux de hasard ne représente pas une source de revenu viable.
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Kawakura, Shinji y Ryosuke Shibasaki. "Deep Learning-Based Self-Driving Car: JetBot with NVIDIA AI Board to Deliver Items at Agricultural Workplace with Object-Finding and Avoidance Functions". European Journal of Agriculture and Food Sciences 2, n.º 3 (19 de junio de 2020). http://dx.doi.org/10.24018/ejfood.2020.2.3.45.

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In this study, we attempt to develop a deep learning-based self-driving car system to deliver items (e.g., harvested onions, agri-tools, PET bottles) to agricultural (agri-) workers at an agri-workplace. The system is based around a car-shaped robot, JetBot, with an NVIDIA artificial intelligence (AI) oriented board. JetBot can find diverse objects and avoid them. We implemented experimental trials at a real warehouse where various items (glove, boot, sickle (falx), scissors, and hoe), called obstacles, were scattered. The assumed agri-worker was a man suspending dried onions on a beam. Specifically, we developed a system focusing on the function of precisely detecting obstacles with deep learning-based techniques (techs), self-avoidance, and automatic delivery of small items for manual agri-workers and managers. Both the car-shaped figure and the deep learning-based obstacles-avoidance function differ from existing mobile agri-machine techs and products with respect to their main aims and structural features. Their advantages are their low costs in comparison with past similar mechanical systems found in the literature and similar commercial goods. The robot is extremely agile and easily identifies and learns obstacles. Additionally, the JetBot kit is a minimal product and includes a feature allowing users to arbitrarily expand and change functions and mechanical settings. This study consists of six phases: (1) designing and confirming the validity of the entire system, (2) constructing and tuning various minor system settings (e.g., programs and JetBot specifications), (3) accumulating obstacle picture data, (4) executing deep learning, (5) conducting experiments in an indoor warehouse to simulate a real agri-working situation, and (6) assessing and discussing the trial data quantitatively (presenting the success and error rates of the trials) and qualitatively. We consider that from the limited trials, the system can be judged as valid to some extent in certain situations. However, we were unable to perform more broad or generalizable experiments (e.g., execution at mud farmlands and running JetBot on non-flat floor). We present experimental ranges for the success ratio of these trials, particularly noting crashed obstacle types and other error types. We were also able to observe features of the system’s practical operations. The novel achievements of this study lie in the fusion of recent deep learning-based agricultural informatics. In the future, agri-workers and their managers could use the proposed system in real agri-places as a common automatic delivering system. Furthermore, we believe, by combining this application with other existing systems, future agri-fields and other workplaces could become more comfortable and secure (e.g., delivering water bottles could avoid heat (stress) disorders).
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Laba, Martin. "Picking through the Trash". M/C Journal 2, n.º 4 (1 de junio de 1999). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.1758.

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In a recent "Arts & Leisure" feature in a national Canadian newspaper, The Globe and Mail (5 June 1999), music critic Robert Everett-Green muses on the invention by the pop music industry of Andrea Bocelli as an opera singer: "call him an airborne virus or a gift from God ... . He is the voice you are most likely to hear while waiting for a double latte." The pop sentimentality industry fast-tracked Bocelli (a pop singer who "sounds" operatic) and created a global entertainment product. In a masterful stroke of high pop spectacle, the holy trinity of musical melodrama joined together -- Bocelli and Céline Dion gush out David Foster's "The Prayer", the theme for the movie Quest for Camelot -- to create an exquisite pop moment. The massive reach of the mainstream; the resonant power of vocal turgidity and excess; the pop diva who never met a song she couldn't oversing -- this is the pop often neglected in critical forays into the nature of the popular that search for the active and the participatory dimensions of popular culture. Yet pop both plunders and perpetuates popular culture; it contains and dramatises the social possibilities of popular culture, and at the same time, spreads out like a great theme park of trivia. Let's pick through the trash. If nothing else, the contemplation of the "question" of pop is an enterprise which often begins with the issue of redemption for popular culture. Even the cultural populist wrestles with the anxiety that much of what we understand as "pop" in culture constitutes the detritus, the ephemera, a repository of the trivialities of society in all of its contemporary moments. The best critical insights into the nature and substance of popular culture (studies in cultural geography and perspectives on history and collective memory, for examples), recognise that what they are considering, describing, and analysing in the spaces and experiences of the popular is at the very least deeply and irrevocably contradictory. The cool, renegade, and enormously creative cultural excursions and general messing about of turntablism and drum'n'bass, for examples, are democratic, active, even "heroic" by some critical discourses, where, say, the maudlin "pop diva" is forgettable at best, and unworthy of an analytical encounter at worst. There is a haziness to the concept of "pop", and more broadly, "popular", and the definitional defiance among the numerous and varied theorists of this energetic practice and/or genre of cultural form and production produces a rather decentred, if not indeterminate object of study. Bill Readings's critique of Cultural Studies offers the relevance of analogy here. Readings notes the "second moment" in the progress of Cultural Studies (around 1990), and the publication of a number of works at the time "that seem to mark the acquisition of professional disciplinarity of Cultural Studies". His excavation of these works reveals a characteristic theoretical element or two -- the suspicion of "the exclusionary force of certain boundaries: female/male, north/south, center/margin, high culture/low culture, western/other, heterosexual/homosexual" (97) -- and some of the authoritative antecedents of these theories against exclusion (Williams, Foucault, Gramsci, Hall, and others). Yet he notes that the striking characteristic of Cultural Studies is the thinness or even absence of theoretical definition or specificity -- "how little it needs to determine its object. Which does not mean that a lot of theorising doesn't go on in its name, only that such efforts are not undertaken in a way that secures the relation of an observer to a determinate set of phenomena or an autonomous object" (97). There is then, a frustration in providing an account of what it means to "do" Cultural Studies, or, more glaringly, what exactly the promised political interventions of Cultural Studies are in the context of hazy objects, floating themes, and sketchy "projects", all of which are products of the declared refusal by Cultural Studies to submit to definitional constraints. Pop suffers from a similar indeterminacy in its object of study, but interestingly because its tends to be over-defined rather than under-defined. Figuring out the object of study in pop is not unlike attempting to parse the object(s) of study in Cultural Studies -- a frustration ultimately, but for very different reasons. Pop is a universe of "anything and everything", and incomprehensible not because it is conceptually challenging (like a universe), but because its geography stretches across so much cultural space. In critiques, pop takes on the torque of the critic, a necessary strategy to somehow delimit its space, and make it graspable, if not meaningful. Encounters with pop (as in "pop art" and "PoMo pop") mine for signs of life among the trash, and have come up with a heartbeat or two on occasion. This geography of trash is in need of some attention. For conceptual guidance in this task, or at least for some respite from the arguments about the "projects" and "interventions" of pop and popular culture, I turn to Don DeLillo's seminal critique of media, consumerism, and the bizarre dislocations and bewildering drift of contemporary social life in his 1985 novel, White Noise (a book that should be required reading for undergraduate courses in media and communication). Murray Jay Suskind, an ex-sports writer and émigré from New York City has come to University-on-the-Hill in Blacksmith, somewhere in middle America, and has assumed his position as visiting lecturer in the Department of American Environments. He becomes a kind of participant-observer and quasi-family member in the household of Jack Gladney, the narrator of the novel and Chairman of the Department of Hitler Studies at the university -- a field he invented in 1968. Murray expresses his desire to establish an "Elvis Presley power base in the department of American Environments", to "do for Elvis" what Jack has "done for Hitler". Murray is engaged in a debate with his students on the true substance and significance of television, and the media-saturated Gladney household serves as a laboratory. Murray argues that the medium is a "primal force in the American home ... a myth being born right there in our living room". Murray elaborates in a conversation with Jack: You have to learn to look. You have to open yourself to the data. TV offers incredible amounts of psychic data. It opens up ancient memories of world birth, its welcomes us into the grid, the network of little buzzing dots that make up the picture pattern. There is light, there is sound. I ask my students, "What more do you want? Look at the wealth of data concealed in the grid, in the bright packaging, the jingles, the slice-of-life commercials, the products hurtling out of the darkness, the coded messages and endless repetitions, like chants, like mantras. 'Coke is it, Coke is it, Coke is it.' The medium practically overflows with sacred formulas if we can remember how to respond innocently and get past our irritation, weariness and disgust. (51) His students disagree -- television for them is "worse than junk mail", it is "the death throes of human consciousness". Murray, however, finds vindication in the Gladney home where the children live lives of total consumer/television immersion to the extent that they eat, think, speak, and dream according to all things televisual and all things commercial. Jack and his wife Babette are fearful of TV, its "narcotic undertow and eerie diseased brain-sucking power", and Babette has developed a strategy to "de-glamorise" television for the good of the family by instituting a family ritual of watching television en masse every Friday night. Mostly numbed or bored, the family occasionally engages in the strangely pleasurable and thoroughly grotesque activity of watching catastrophes: "we were otherwise silent, watching houses slide into the ocean, whole villages crackle and ignite in a mass of advance lava". The family found itself wishing for more with each disaster on the screen, something more sensational, "something bigger, grander, more sweeping" (64). The popular life as depicted by DeLillo is gripping in its familiarity. It is a life that unfolds around and within the television screen; a life that unfolds beside chemical dump sites and industrial waste zones, where toxic fallout produces glorious sunsets as well as fruit that is bright and burnished and always appears to be in season; a life that unfolds in supermarkets and malls where shopping is automatic, somnambulant, and strangely comforting; a life grounded in, structured by, and rationalised within consumerism, media, and omnipresent technological forces that produce everything from dark and insidious pharmaceuticals to an airborne toxic cloud; a life in which families are fragmented and destroyed by the very institutions and pastimes (Disney World and shopping) that declare and promote the support of families and their "values". There is a refrain that emerges like some unconscious ritual chant in the novel, a refrain that has no context or exposition, and that moves through and around the dialogue and the text like a persistent advertising jingle that refuses to quit one's head: Dacron, Orlon, Lycra, Spandex Mastercard, Visa, American Express Leaded, Unleaded, Superunleaded And when children dream, they dream in the consumer-unconscious. Jack hears his child mumbling something in her sleep, and leans closer to hear. She says, "Toyota Celica". The utterance transports Jack, an utterance that was "beautiful and mysterious, gold-shot with looming wonder. It was like the name of an ancient power in the sky, tablet-carved in cuneiform" (155). The brand name has come to have sacred resonance, supreme, transcendent, the stuff of dreams. This is a fiction about suffocating distractedly under the sheer weighty banality of popular trash. It offers a portrait of all of us deep in the commercial media swamp, flailing about in the flotsam and jetsam of all things commercial and popular. DeLillo's narrative moves towards its dark conclusion as the malevolent force of the toxic cloud brings the certainty of death in uncertain ways. The apocalyptic moment is evidenced by the sudden rearrangement of goods on the supermarket shelves. "Older shoppers" panic: "they walk in a fragmented trance, stop and go, clusters of well-dressed figures frozen in the aisles, trying to figure out the pattern, discern the underlying logic, trying to remember where they'd seen the Cream of Wheat" (325). DeLillo's version of life as we know offers some compelling signposts. Mainstream trash -- much of pop, if you will -- is toxic at many turns, and if not a great cloud, then infinitely more than a mere inflection. We desire that which we despise, and herein is the power of pop as a concept, a way of offering a critical trajectory. In a reflection on Pop Art, Roy Lichtenstein once remarked that "What characterises Pop is mainly its use of what is despised" (qtd. in Barthes 22). The pop impulse in art has always suggested a useful ambivalence for addressing the contradictions of life in the maelstrom -- the artist as interventionist/renegade and as commercial hack/celebrity; artful plundering and artless reproduction; the simultaneity of the provocation and the tedium of art in the pop mode; the knowable faux finish of the commercial good look of things and falseness as the raw material of cultural production; bad taste and cool cultural assaults. Pop in art has been accused of constituting a kind of slick cultural finish over cheap particle board. Still, there is a modicum of subversive power in the reversal of values in Pop Art (and in its precursors and its legacies) -- the common, the vulgar, the garish, the boring, the mass produced, the consumable, the pure commodity, all reworked to reveal their common, vulgar, garish, boring, massified, consumable, commodity nature. There have been impressive pop stylistic aggressions carried out against the constipation of high tastes, immutable standards, seriousness, and the ideologies of artistic and cultural legitimacy. Yet at times pop has been blunted by its very self-conscious edge as it engaged in self-congratulations for its irony, pith, and hipness. For some critics, pop in art suffers the malady of most style statements in the postmodern plague -- statements with no convictions since such statements are served up in quotation marks; and a life in quotation marks is no life at all. Pop declares that it is the progeny of commercial technique, marketplaces, advertising, and the commodity environments of junk; and if it didn't exactly spring from the mall, it has come to reside there now between the fountain and the food fair. At its worst, pop appears to be a vaporescent activity, but this perspective neglects some fine and very active pop moments. Pop excursions are important because they can open up creative and critical responses to popular culture. There is pop practice that rises well above empty irony and the business of oversinging (as in some current and brilliant cut-ups and constructed sounds in performance that not only have emotional substance, but are also danceable). Sometimes, out of the trash heap of pop, there are spaces in which popular culture is regenerated. And it is only in this relationship to popular culture that pop matters. References Barthes, Roland. "That Old Thing Called Art." Post-Pop Art. Ed. Paul Taylor. Cambridge: Harvard UP, 1989. DeLillo, Don. White Noise. New York: Viking, 1985. Readings, Bill. The University in Ruins Cambridge: Harvard UP, 1996. Citation reference for this article MLA style: Martin Laba. "Picking through the Trash." M/C: A Journal of Media and Culture 2.4 (1999). [your date of access] <http://www.uq.edu.au/mc/9906/trash.php>. Chicago style: Martin Laba, "Picking through the Trash," M/C: A Journal of Media and Culture 2, no. 4 (1999), <http://www.uq.edu.au/mc/9906/trash.php> ([your date of access]). APA style: Martin Laba. (1999) Picking through the trash. M/C: A Journal of Media and Culture 2(4). <http://www.uq.edu.au/mc/9906/trash.php> ([your date of access]).
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Canals, Roger. "Culte à María Lionza". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.005.

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Le terme « culte à María Lionza » renvoie à un ensemble de pratiques rituelles consacrées à la déesse María Lionza et à d’autres esprits de son panthéon. Il est présent sur une grande partie du territoire vénézuélien, notamment dans la région de Yaracuy, au centre ouest du pays, sur la côte caribéenne et dans les grandes villes comme Caracas. La Montagne de Sorte, dans la région de Yaracuy, est le principal centre de pèlerinage des croyants. Bien qu’il soit originaire du Venezuela, le culte à María Lionza est également visible, avec quelques variantes, dans plusieurs autres pays de la région caribéenne et de l’Amérique du Sud, voire aux États-Unis et en Europe. L’origine de ce culte remonte à la conquête espagnole du Venezuela. Au fil des ans, les pratiques sacrées indiennes, les religions africaines apportées par les esclaves noirs ainsi que le catholicisme auraient fusionné donnant lieu à des manifestations religieuses nouvelles (Mintz et Price 1992 ; Andrews 2004). Dès la fin du XIXe siècle se seraient ajoutées à ces trois sources principales d’autres influences culturelles comme le spiritisme kardeciste et l’occultisme, entre autres (Pollack-Eltz 1972 ; Clarac de Briceño 1996 ; Barreto 1990). Cependant, et à la différence de cultes afro-américains comme la Santería Cubaine, le Candomblé ou le Voudou haïtien, le culte à María Lionza n’est pas, dès son origine, connecté aux communautés d’esclaves africains. Jusqu’au XXe siècle, ce culte contenait essentiellement des éléments d’origine catholique et indienne, notamment des images religieuses de saints ou des pratiques d’adoration d’éléments naturels comme des cascades ou des fleuves. A cette période-là, le culte était majoritairement répandu parmi la population métisse et rurale, et l’apport africain n’était que peu présent –la possession spirituelle ou l’usage de percussions, par exemple, étaient rares lors des cérémonies. Dans les années quarante, le culte devint urbain du fait de la migration massive de la population rurale vers les grandes villes suite au boom pétrolier (Coronil 1997). C’est dans ce nouveau contexte, et essentiellement sous l’influence de la santería cubaine, que le culte commence à subir un processus d’afroaméricanisation avec plus de recours aux possessions spirituelles, aux percussions et à une multiplication des entités surnaturelles. Aujourd’hui, le culte à María Lionza entretient de multiples connexions avec d’autres cultes afro-américains comme le Palo Mayombe, l’Umbanda et le spiritisme dominicain. L’incessant partage d’éléments entre ces pratiques oblige à les considérer toutes en termes de continuité et à adopter à leur égard une perspective d’analyse comparatiste. Enfin, quant aux liens du culte avec d’autres religions, force est de constater que l’immense majorité des Maríalionzeros (les pratiquants du culte) s’affirme catholique, paradoxalement à l’opposition historique de l’Église catholique à la pratique de ce culte. Les églises évangélistes, dont le nombre au Venezuela ne cesse de s’accroître, critiquent elles aussi le culte avec véhémence, l’accusant souvent d’être une œuvre du diable. Le culte à María Lionza englobe des rituels de guérison, divination, purification et initiation, dans lesquels les épisodes de possession sont fréquents. La transe est plus ou moins violente selon l’esprit qui « descend » et la façon de « travailler » de chaque médium ou materia (matière). Parfois la possession pousse le médium jusqu’à la blessure ou l’automutilation (Ferrándiz 2004). Cela dit, nombre de croyants rendent hommage aux divinités de manière très calme et discrète, sans inclure des épisodes de transe. A part María Lionza, ce culte compte des centaines d’esprits, nommés aussi entidades (entités) ou hermanos (frères). Ceux-ci correspondent aussi bien à des divinités n’ayant jamais eu une existence terrestre qu’à des personnages célèbres ou aux âmes de défunts. Ces esprits sont regroupés en différentes cortes (cours) ou ensembles de divinités présentant une affinité ethnique, sociale ou professionnelle. On retrouve ainsi la Corte Africana (Cour Africaine), la Corte Malandra (Cour des Délinquants) ou la Corte Militar (Cour Militaire), parmi bien d’autres. Les cortes, quant à elles, sont ordonnées suivant une logique pyramidale : celles ayant moins de pureté sont placées en bas du panthéon tandis que les plus pures ou dites « avec le plus de lumière » sont placées en haut, aux côtés de María Lionza et du Christ. S’ils réalisent de bonnes actions, les esprits en position basse peuvent gravir l’échelle du panthéon. Ce vaste panthéon spirituel peut être interprété comme un dispositif de réappropriation voire de subversion de l’histoire. Il est par exemple fréquent que les esprits d’anciens chefs indiens ayant lutté contre les Espagnols pendant la Conquête (les célèbres caciques) descendent dans le corps des médiums et racontent, en témoins directs, les faits survenus il y a 500 ans, donnant leur avis sur la situation politique actuelle et offrant des conseils à l’assistance. Le culte relie ainsi passé, présent et futur, vie et mort, mémoire collective et expérience individuelle. Le culte à María Lionza ne constitue une pratique ni unifiée ni cohérente. Chaque groupe de culte, nommé centro (centre), organise les rituels à sa manière et donne sa propre version de l’origine de la déesse. Les rivalités entre les centros sont fréquentes et parfois violentes. Non seulement pluriel, le culte à María Lionza est aussi dynamique et changeant. En effet, les pratiquants le transforment incessamment en y incorporant de nouvelles divinités (tel que l’ex-président Chávez) et de nouvelles techniques rituelles à travers notamment les technologies de communication. María Lionza, quant à elle, est une déesse imaginée et représentée de façons très différentes, voire apparemment contradictoires : on peut la voir indienne, blanche, métisse ou, plus rarement, noire, selon les mythes, légendes ainsi que les études à caractère historique retraçant son origine. Cela dit, deux versions iconographiques et littéraires de María Lionza sont particulièrement répandues : d’une part, celle où elle apparaît comme une femme indienne nue chevauchant un tapir et, d’autre part, celle où elle est représentée comme une femme métisse ou blanche, habillée comme une femme du XVIIe ou XVIIIe siècle, portant une couronne sur la tête et tenant une rose sur la poitrine (Canals 2010). María Lionza apparaît souvent accompagnée de Felipe le Noir (El Negro Felipe) et de l’Indien Guacaipuro (El Indio Gucaipuro). L’ensemble de ces trois figures, nommées les Trois Puissances (las Tres Potencias), a, pour les croyants, un double sens : d’un côté, il est l’expression divine du métissage de la population vénézuélienne à travers les représentants de ce que les Vénézuéliens appellent « les trois races » (las tres razas, c’est-à-dire indien, blanc et noir) qui ont constitué le réseau ethnique du pays, et, d’un autre côté, il représente le paradigme d’entente et de réconciliation historique entre ces trois sources culturelles. Bref, les Trois Puissances sont, en même temps et pour les croyants, le reflet de ce qu’est le Venezuela et l’exemple de ce qu’il devrait être. Les images religieuses ont une grande importance dans le culte (Canals 2011) et donnent lieu à une industrie ésotérique qui a acquis une échelle planétaire. Lors des cérémonies, les croyants se réunissent autour de l’autel, nommé aussi portal (portail) où se trouvent surtout des statuettes de divinités. Hormis ces icônes, le culte serait inconcevable sans un grand nombre d’objets ou produits à forte composante sensitive et symbolique. Parmi ceux-là, il faut distinguer les substances « naturelles » (tabac, rhum, miel) de celles composées dans les perfumerías ou boutiques ésotériques. Dans ces boutiques s’amoncellent des savons, flacons de parfum, crèmes, encens et nombre d’autres éléments fabriqués à des fins très précises liés à la vie quotidienne et arborant des noms suggestifs: Amarra Hombres (lotion de séduction « attrape-hommes » adressée aux femmes) ou Tumba Negocios (produit pour faire échouer les affaires de ses concurrents commerciaux). Cette industrie ésotérique joue un rôle économique important au Venezuela et ailleurs. En fait, le culte à María Lionza est, pour nombre de croyants, un moyen de survie. Les rituels de guérison, divination ou initiation sont souvent payants, sans arriver pour autant aux prix exorbitants pratiqués dans d’autres religions comme la Santería. Par ailleurs, le culte à María Lionza est très présent sur le net, aussi bien sur des sites ésotériques que sur des réseaux sociaux. Cette présence sur Internet joue un rôle décisif dans l’expansion et la réinvention du culte. Récemment, certains groupes de culte ont initié des démarches pour intégrer le culte au Patrimoine Immatériel de l’UNESCO. Cette volonté de reconnaissance institutionnelle constitue un changement par rapport à la dynamique historique du culte qui a maintenu vis-à-vis du pouvoir et de l’officialisme une position majoritairement d’opposition, bien que nombre de représentants politiques et de militaires aient été, depuis les années 1950, pratiquants du culte en secret (Taussig 1997)
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Sliwinski, Alicia. "Globalisation". Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.084.

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Le concept de globalisation désigne l’interconnexion et l’interdépendance accrues de toute une gamme de relations sociales à l’échelle planétaire recouvrant d’importantes dimensions politiques, économiques, culturelles, environnementales et subjectives. Depuis les années 1980, la globalisation est devenue un discours dominant pour décrire la mise en place d’une nouvelle condition planétaire. Si nul ne nie que la globalisation soit un processus, la période historique qu’elle est censée marquer a fait l’objet de maints débats, aussi bien en anthropologie que dans les autres sciences sociales. Pour certains, la globalisation prend son essor au 19ème siècle avec les bouleversements liés au colonialisme, les avancées technologiques en matière de transport et de communication et l’expansion sans précédent des échanges commerciaux. Pour d’autres, la globalisation réalise la consolidation d’un système capitalisme mondial ou d’une « économie-monde » qui s’organise au 16ème siècle avec la division internationale du travail. Que des parties éloignées de la planète soient reliées entre elles ne date certes pas d’hier : les empires hellénique, romain et mongol ou encore la route de la soie montrent bien que les relations « transnationales » existent depuis longtemps. Cette discussion largement débattue a opposé le camp des « sceptiques » à celui des « globalisants » quant à la nouveauté du phénomène. Notons qu’en français deux termes existent pour désigner l’intensification et la multiplication des connexions et des réseaux reliant différentes parties du monde jadis nettement plus isolées les unes des autres : mondialisation et globalisation. Parfois ils sont utilisés en tant que synonymes, mais il y a lieu d’apprécier la nuance que leur distinction permet (Abélès 2008). La notion de mondialisation insisterait davantage sur les continuités historiques entre le passé et notre contemporanéité – sur le devenir-monde –, alors que la globalisation signale les discontinuités et les ruptures qui permettent d’affirmer que quelque chose de déterminant est apparu à la fin du 20ème siècle dans notre expérience du monde. Il y a au moins trois facteurs décisifs à cet égard : l’essor d’une économie de marché globale, l’ascension de l’Internet et des technologies de communication dans nos vies quotidiennes et l’apparition de mouvements et de politiques identitaires, plus ou moins violents, et parfois clairement orientés contre la globalisation. La phase actuelle de la globalisation est généralement associée à la doctrine du néolibéralisme, mais il ne faut pas les confondre. Le néolibéralisme caractérise le décloisonnement et la réorganisation des champs politiques et économiques dans le but de réduire les obstacles au commerce mondial. Les mesures macroéconomiques du Consensus de Washington introduites dans les années 1980 – telles que la libéralisation du commerce, la déréglementation de l’économie, la privatisation des entreprises nationales et la réduction des dépenses publiques et des impôts –, ont été mises en place pour favoriser le libre-échange entre les États. Avec la chute du bloc communiste qui annonçait, selon certains, « la fin de l’histoire » (Fukuyama 1992) et la preuve que les démocraties libérales étaient les plus aptes à assurer la croissance d’une économie avancée, la globalisation néolibérale a pris son envol. Au cœur de l’idéologie néolibérale siège la croyance que moins il y a d’entraves à une économie de marché globale, plus les pays seront prospères. De fait, la globalisation va grossir la sphère d’influence d’entités supranationales sur les États modifiant leur rapport au territoire et le contrôle de leurs économies nationales. Le triumvirat de la Banque Mondiale, du Fonds Monétaire International et de l’Organisation mondiale du commerce y a joué un rôle clé, mais ces organisations ont également fait l’objet d’intenses critiques et de mobilisations populaires pour avoir creusé le fossé entre les riches et les pauvres. En matière d’économie politique, la globalisation néolibérale a libéré le capital de ses lieux de production : le capitalisme du nouveau millénaire n’est plus caractérisé par la valeur du travail, mais plutôt par la consommation, la délocalisation et la circulation sans précédent de flux financiers transnationaux, souvent spéculatifs, générant la concentration d’immenses fortunes, mais aussi de nouvelles formes d’exclusion et de dépossession. Parmi les gagnants, soulignons l’essor fulgurant des compagnies technologiques. De fait, le « numérique » exerce une influence considérable dans les nouvelles grammaires culturelles, symboliques et identitaires. Il est couramment entendu que c’est le rapport au temps et à l’espace que la globalisation a profondément altéré. Selon David Harvey (1989), la globalisation exprime la compression de l’espace et du temps, accélérant les processus économiques et sociaux. Elle a créé de nouvelles configurations sociales et technologiques ayant radicalement réduit le temps des échanges et des déplacements. Depuis, l’espace ne cesse de se réduire et le temps de s’accélérer. Pour Anthony Giddens (1990), il s’agit davantage d’un élargissement de l’expérience vécue de ces catégories, et de leur séparation, si bien que la globalisation implique le désenclavement (disembedding) des relations sociales de leurs contextes locaux. Ici, la globalisation prolonge et affermit le processus d’individualisation de la société entamé au 19ème siècle. Un troisième penseur de la globalisation parmi les plus cités est Manuel Castells (1998) qui a avancé l’idée de la société en réseau. Cette nouvelle société réticulaire, informationnelle et globale, est issue de la révolution technologique ayant profondément transformé les modes d’organisation économique, les modalités du travail (et leur contenu), ainsi que les pratiques sociales reliées au temps et à l’espace. À partir de ces thèses notoires, nous pouvons identifier quelques paramètres pour mieux cerner la globalisation : le mouvement accru du capital, des personnes, des marchandises, des images et des idées ; l’intensification des réseaux qui relient différentes parties du globe ; l’élargissement et la déterritorialisation de pratiques sociales, culturelles, politiques et économiques au-delà des frontières ; enfin l’imbrication du local au global, et vice versa, dans nos expériences vécues du monde. Ces dynamiques restent pertinentes, mais nous aurions tort de croire que la globalisation est un phénomène total et achevé. La société en réseau n’est pas uniformément distribuée et la géographie de la globalisation expose combien cette dernière encourage la concentration des activités économiques, politiques et culturelles dans quelques grands centres et mégapoles. Si d’un côté la globalisation tend à homogénéiser les cultures quand les contextes locaux assimilent des produits culturels importés – on a parlé de l’américanisation, de la McDonaldisation et de l’aplatissement du monde –, elle entraine tout autant des formes de fragmentation et de recomposition des identités ethniques et culturelles. De vifs débats ont cherché à déterminer si la globalisation produisait plus de standardisation ou de diversité, d’intégration ou de désintégration, et si ces processus s’avéraient avantageux ou non. Les questions d’échelle sont importantes et les anthropologues ont adopté des approches plurielles pour éviter les interprétations qui ont « tendance à se produire dans l’espace raréfié de la méta-histoire et des généralités abstraites » (Barber et Lem 2004). Jonathan Friedman (2008) envisage la globalisation sous l’angle de la modernité, entendue comme le champ culturel du capitalisme commercial. La globalisation s’articule alors au développement d’un ethos cosmopolitique dont l’essor continue d’infléchir la « forme sociale du monde » (Agier 2013). Les analyses anthropologiques ont mis l’accent sur les flux et les disjonctions que la globalisation entraine (Appadurai 1996), les nouveaux assemblages politiques, technologies et éthiques (Ong et Colier 2005), l’hybridité et la créolisation (Hannerz 1987), la circulation des marchandises et des valeurs dans les contextes non hégémoniques de la « globalisation-par-le-bas » (Ribeiro 2012; Haugerud et al. 2001), la création de « non-lieux » caractéristiques de la surmodernité (Augé 1992), ou les frictions que les nouvelles articulations entre le local et le global entrainent (Tsing 2005). Par ailleurs, la globalisation a eu des répercussions sur les méthodologies de l’anthropologie : on assiste à une plus grande réflexivité dans la pratique de terrain qui devient lui-même multisites (Marcus 1995). Il s’agit également de révéler les liens entre le micro et le macro et ce qui y circule, s’y négocie ou se conteste. Toutefois, au niveau épistémologique la globalisation n’a pas la même valence que la notion de culture. Peut-on parler d’une culture globale et faire une ethnographie du global ? Marilyn Strathern (1995) notait que le global risquait d’être un concept autoréférentiel puisqu’il n’offre pas de point de vue sur le monde : il ne donne pas à voir les relations sociales qui sont rendues manifestes dans des ancrages locaux. Ces questions ne sont pas tranchées et renvoient à la portée herméneutique accordée au global en tant que contexte dans et par lequel la pratique anthropologique opère, en tant qu’objet bon à penser, sur lequel agir, et qui libère de nouveaux imaginaires. Le 21ème siècle maintenant bien entamé, force est de constater que la globalisation a creusé les inégalités entre les nations, les régions et les classes sociales. En 2017, plus de 80 % de la richesse mondiale a été empoché par 1 % de la population (Oxfam 2018). Ces rapports d’inégalité ne s’expriment pas uniquement en termes économiques, mais aussi selon le genre et le degré d’exposition au risque. Ils alimentent également des mouvements de paniques morales face à diverses sortes d’indésirables, qu’il s’agisse de pandémies, de terroristes, de migrants ou de réfugiés. Les politiques identitaires, exacerbées dans l’exutoire des réseaux sociaux, sont un corollaire qui polarise l’espace politique autant par le « haut » (quand les gouvernements promeuvent des nationalismes xénophobes) que par le « bas » (quand les minorités revendiquent la reconnaissance de leurs droits). Ces tensions profondes forcent à repenser le paradigme de l’État-nation dont la souveraineté affaiblie expose la désuétude d’un modèle d’exercice du pouvoir. L’utopie de la globalisation s’est essoufflée et d’autres concepts sont apparus, tels ceux de capitalocène et d’anthropocène pour accuser les maux engendrés par le capitalisme et l’impact délétère des activités humaines sur la planète. Comment infléchir les pathologies de la globalisation pour y remédier est sans doute l’enjeu principal de notre avenir commun.
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Subramanian, Shreerekha Pillai. "Malayalee Diaspora in the Age of Satellite Television". M/C Journal 14, n.º 2 (1 de mayo de 2011). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.351.

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Resumen
This article proposes that the growing popularity of reality television in the southernmost state of India, Kerala – disseminated locally and throughout the Indian diaspora – is not the product of an innocuous nostalgia for a fast-disappearing regional identity but rather a spectacular example of an emergent ideology that displaces cultural memory, collective identity, and secular nationalism with new, globalised forms of public sentiment. Further, it is arguable that this g/local media culture also displaces hard-won secular feminist constructions of gender and the contemporary modern “Indian woman.” Shows like Idea Star Singer (hereafter ISS) (Malayalam [the language spoken in Kerala] television’s most popular reality television series), based closely on American Idol, is broadcast worldwide to dozens of nations including the US, the UK, China, Russia, Sri Lanka, and several nations in the Middle East and the discussion that follows attempts both to account for this g/local phenomenon and to problematise it. ISS concentrates on staging the diversity and talent of Malayalee youth and, in particular, their ability to sing ‘pitch-perfect’, by inviting them to perform the vast catalogue of traditional Malayalam songs. However, inasmuch as it is aimed at both a regional and diasporic audience, ISS also allows for a diversity of singing styles displayed through the inclusion of a variety of other songs: some sung in Tamil, some Hindi, and some even English. This leads us to ask a number of questions: in what ways are performers who subscribe to regional or global models of televisual style rewarded or punished? In what ways are performers who exemplify differences in terms of gender, sexuality, religion, class, or ability punished? Further, it is arguable that this show—packaged as the “must-see” spectacle for the Indian diaspora—re-imagines a traditional past and translates it (under the rubric of “reality” television) into a vulgar commodification of both “classical” and “folk” India: an India excised of radical reform, feminists, activists, and any voices of multiplicity clamouring for change. Indeed, it is my contention that, although such shows claim to promote women’s liberation by encouraging women to realise their talents and ambitions, the commodification of the “stars” as televisual celebrities points rather to an anti-feminist imperial agenda of control and domination. Normalising Art: Presenting the Juridical as Natural Following Foucault, we can, indeed, read ISS as an apparatus of “normalisation.” While ISS purports to be “about” music, celebration, and art—an encouragement of art for art’s sake—it nevertheless advocates the practice of teaching as critiqued by Foucault: “the acquisition and knowledge by the very practice of the pedagogical activity and a reciprocal, hierarchised observation” (176), so that self-surveillance is built into the process. What appears on the screen is, in effect, the presentation of a juridically governed body as natural: the capitalist production of art through intense practice, performance, and corrective measures that valorise discipline and, at the end, produce ‘good’ and ‘bad’ subjects. The Foucauldian isomorphism of punishment with obligation, exercise with repetition, and enactment of the law is magnified in the traditional practice of music, especially Carnatic, or the occasional Hindustani refrain that separates those who come out of years of training in the Gury–Shishya mode (teacher–student mode, primarily Hindu and privileged) from those who do not (Muslims, working-class, and perhaps disabled students). In the context of a reality television show sponsored by Idea Cellular Ltd (a phone company with global outposts), the systems of discipline are strictly in line with the capitalist economy. Since this show depends upon the vast back-catalogue of film songs sung by playback singers from the era of big studio film-making, it may be seen to advocate a mimetic rigidity that ossifies artistic production, rather than offering encouragement to a new generation of artists who might wish to take the songs and make them their own. ISS, indeed, compares and differentiates the participants’ talents through an “opaque” system of evaluations which the show presents as transparent, merit-based and “fair”: as Foucault observes, “the perpetual penalty that traverses all points and supervises every instant in the disciplinary institutions compares, differentiates, hierarchizes, homogenizes, excludes. In short, it normalizes” (183). On ISS, this evaluation process (a panel of judges who are renowned singers and composers, along with a rotating guest star, such as an actor) may be seen as a scopophilic institution where training and knowledge are brought together, transforming “the economy of visibility into the exercise of power” (187). The contestants, largely insignificant as individuals but seen together, at times, upon the stage, dancing and singing and performing practised routines, represent a socius constituting the body politic. The judges, enthroned on prominent and lush seats above the young contestants, the studio audience and, in effect, the show’s televised transnational audience, deliver judgements that “normalise” these artists into submissive subjectivity. In fact, despite the incoherence of the average judgement, audiences are so engrossed in the narrative of “marks” (a clear vestige of the education and civilising mission of the colonial subject under British rule) that, even in the glamorous setting of vibrating music, artificial lights, and corporate capital, Indians can still be found disciplining themselves according to the values of the West. Enacting Keraleeyatham for Malayalee Diaspora Ritty Lukose’s study on youth and gender in Kerala frames identity formations under colonialism, nationalism, and capitalism as she teases out ideas of resistance and agency by addressing the complex mediations of consumption or consumptive practices. Lukose reads “consumer culture as a complex site of female participation and constraint, enjoyment and objectification” (917), and finds the young, westernised female as a particular site of consumer agency. According to this theory, the performers on ISS and the show’s MC, Renjini Haridas, embody this body politic. The young performers all dress in the garb of “authentic identity”, sporting saris, pawaadu-blouse, mundum-neertha, salwaar-kameez, lehenga-choli, skirts, pants, and so on. This sartorial diversity is deeply gendered and discursively rich; the men have one of two options: kurta-mundu or some such variation and the pant–shirt combination. The women, especially Renjini (educated at St Theresa’s College in Kochi and former winner of Ms Kerala beauty contest) evoke the MTV DJs of the mid-1990s and affect a pidgin-Malayalam spliced with English: Renjini’s cool “touching” of the contestants and airy gestures remove her from the regional masses; and yet, for Onam (festival of Kerala), she dresses in the traditional cream and gold sari; for Id (high holy day for Muslims), she dresses in some glittery salwaar-kameez with a wrap on her head; and for Christmas, she wears a long dress. This is clearly meant to show her ability to embody different socio-religious spheres simultaneously. Yet, both she and all the young female contestants speak proudly about their authentic Kerala identity. Ritty Lukose spells this out as “Keraleeyatham.” In the vein of beauty pageants, and the first-world practice of indoctrinating all bodies into one model of beauty, the youngsters engage in exuberant performances yet, once their act is over, revert back to the coy, submissive docility that is the face of the student in the traditional educational apparatus. Both left-wing feminists and BJP activists write their ballads on the surface of women’s bodies; however, in enacting the chethu or, to be more accurate, “ash-push” (colloquialism akin to “hip”) lifestyle advocated by the show (interrupted at least half a dozen times by lengthy sequences of commercials for jewellery, clothing, toilet cleaners, nutritious chocolate bars, hair oil, and home products), the participants in this show become the unwitting sites of a large number of competing ideologies. Lukose observes the remarkable development from the peasant labor-centered Kerala of the 1970s to today’s simulacrum: “Keraleeyatham.” When discussing the beauty contests staged in Kerala in the 1990s, she discovers (through analysis of the dress and Sanskrit-centred questions) that: “Miss Kerala must be a naden pennu [a girl of the native/rural land] in her dress, comportment, and knowledge. Written onto the female bodies of a proliferation of Miss Keralas, the nadu, locality itself, becomes transportable and transposable” (929). Lukose observes that these women have room to enact their passions and artistry only within the metadiegetic space of the “song and dance” spectacle; once they leave it, they return to a modest, Kerala-gendered space in which the young female performers are quiet to the point of inarticulate, stuttering silence (930). However, while Lukose’s term, Keraleeyatham, is useful as a sociological compass, I contend that it has even more complex connotations. Its ethos of “Nair-ism” (Nayar was the dominant caste identity in Kerala), which could have been a site of resistance and identity formation, instead becomes a site of nationalist, regional linguistic supremacy arising out of Hindu imaginary. Second, this ideology could not have been developed in the era of pre-globalised state-run television but now, in the wake of globalisation and satellite television, we see this spectacle of “discipline and punish” enacted on the world stage. Thus, although I do see a possibility for a more positive Keraleeyatham that is organic, inclusive, and radical, for the moment we have a hegemonic, exclusive, and hierarchical statist approach to regional identity that needs to be re-evaluated. Articulating the Authentic via the Simulacrum Welcome to the Malayalee matrix. Jean Baudrillard’s simulacrum is our entry point into visualising the code of reality television. In a state noted for its distinctly left-leaning politics and Communist Party history which underwent radical reversal in the 1990s, the political front in Kerala is still dominated by the LDF (Left Democratic Front), and resistance to the state is an institutionalised and satirised daily event, as marked by the marchers who gather and stop traffic at Palayam in the capital city daily at noon. Issues of poverty and corporate disenfranchisement plague the farming and fishing communities while people suffer transportation tragedies, failures of road development and ferry upkeep on a daily basis. Writers and activists rail against imminent aerial bombing of Maoists insurgent groups, reading in such statist violence repression of the Adivasi (indigenous) peoples scattered across many states of eastern and southern India. Alongside energy and ration supply issues, politics light up the average Keralaite, and yet the most popular “reality” television show reflects none of it. Other than paying faux multicultural tribute to all the festivals that come and go (such as Id, Diwaali, Christmas, and Kerala Piravi [Kerala Day on 1 November]), mainly through Renjini’s dress and chatter, ISS does all it can to remove itself from the turmoil of the everyday. Much in the same way that Bollywood cinema has allowed the masses to escape the oppressions of “the everyday,” reality television promises speculative pleasure produced on the backs of young performers who do not even have to be paid for their labour. Unlike Malayalam cinema’s penchant for hard-hitting politics and narratives of unaccounted for, everyday lives in neo-realist style, today’s reality television—with its excessive sound and light effects, glittering stages and bejewelled participants, repeat zooms, frontal shots, and artificial enhancements—exploits the paradox of hyper-authenticity (Rose and Wood 295). In her useful account of America’s top reality show, American Idol, Katherine Meizel investigates the fascination with the show’s winners and the losers, and the drama of an American “ideal” of diligence and ambition that is seen to be at the heart of the show. She writes, “It is about selling the Dream—regardless of whether it results in success or failure—and about the enactment of ideology that hovers at the edges of any discourse about American morality. It is the potential of great ambition, rather than of great talent, that drives these hopefuls and inspires their fans” (486). In enacting the global via the site of the local (Malayalam and Tamil songs primarily), ISS assumes the mantle of Americanism through the plain-spoken, direct commentaries of the singers who, like their US counterparts, routinely tell us how all of it has changed their lives. In other words, this retrospective meta-narrative becomes more important than the show itself. True to Baudrillard’s theory, ISS blurs the line between actual need and the “need” fabricated by the media and multinational corporations like Idea Cellular and Confident Group (which builds luxury homes, primarily for the new bourgeoisie and nostalgic “returnees” from the diaspora). The “New Kerala” is marked, for the locals, by extravagant (mostly unoccupied) constructions of photogenic homes in garish colours, located in the middle of chaos: the traditional nattumparathu (countryside) wooden homes, and traffic congestion. The homes, promised at the end of these shows, have a “value” based on the hyper-real economy of the show rather than an actual utility value. Yet those who move from the “old” world to the “new” do not always fare well. In local papers, the young artists are often criticised for their new-found haughtiness and disinclination to visit ill relatives in hospital: a veritable sin in a culture that places the nadu and kin above all narratives of progress. In other words, nothing quite adds up: the language and ideologies of the show, espoused most succinctly by its inarticulate host, is a language that obscures its distance from reality. ISS maps onto its audience the emblematic difference between “citizen” and “population”. Through the chaotic, state-sanctioned paralegal devices that allow the slum-dwellers and other property-less people to dwell in the cities, the voices of the labourers (such as the unions) have been silenced. It is a nation ever more geographically divided between the middle-classes which retreat into their gated neighbourhoods, and the shanty-town denizens who are represented by the rising class of religio-fundamentalist leaders. While the poor vote in the Hindu hegemony, the middle classes text in their votes to reality shows like ISS. Partha Chatterjee speaks of the “new segregated and exclusive spaces for the managerial and technocratic elite” (143) which is obsessed by media images, international travel, suburbanisation, and high technology. I wish to add to this list the artificially created community of ISS performers and stars; these are, indeed, the virtual and global extension of Chatterjee’s exclusive, elite communities, decrying the new bourgeois order of Indian urbanity, repackaged as Malayalee, moneyed, and Nayar. Meanwhile, the Hindu Right flexes its muscle under the show’s glittery surface: neither menacing nor fundamentalist, it is now “hip” to be Hindu. Thus while, on the surface, ISS operates according to the cliché, musicinu mathamilla (“music has no religion”), I would contend that it perpetuates a colonising space of Hindu-nationalist hegemony which standardises music appreciation, flattens music performance into an “art” developed solely to serve commercial cinema, and produces a dialectic of Keraleeyatham that erases the multiplicities of its “real.” This ideology, meanwhile, colonises from within. The public performance plays out in the private sphere where the show is consumed; at the same time, the private is inserted into the public with SMS calls that ultimately help seal the juridicality of the show and give the impression of “democracy.” Like the many networks that bring the sentiments of melody and melancholy to our dinner table, I would like to offer you this alternative account of ISS as part of a bid for a more vociferous, and critical, engagement with reality television and its modes of production. Somehow we need to find a way to savour, once again, the non-mimetic aspects of art and to salvage our darkness from the glitter of the “normalising” popular media. References Baudrillard, Jean. The Mirror of Production. Trans. Mark Poster. New York: Telos, 1975. ———. Selected Writings. Ed. Mark Poster. California: Stanford UP, 1988. Chatterjee, Partha. The Politics of the Governed: Reflections on Popular Politics in Most of the World. Delhi: Permanent Black, 2004. Foucault, Michel. Discipline and Punish: The Birth of the Prison. Trans. Alan Sheridan. New York: Vintage, 1995. Lukose, Ritty. “Consuming Globalization: Youth and Gender in Kerala, India.” Journal of Social History 38.4 (Summer 2005): 915-35. Meizel, Katherine. “Making the Dream a Reality (Show): The Celebration of Failure in American Idol.” Popular Music and Society 32.4 (Oct. 2009): 475-88. Rose, Randall L., and Stacy L. Wood. “Paradox and the Consumption of Authenticity through Reality Television.” Journal of Consumer Research 32 (Sep. 2005): 284-96.
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