Literatura académica sobre el tema "Pollinisation par les insectes – Société"

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Artículos de revistas sobre el tema "Pollinisation par les insectes – Société"

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Ryckewaert, Philippe, Onja Razanamaro, Elysée Rasoamanana, Tantelinirina Rakotoarimihaja, Perle Ramavovololona y Pascal Danthu. "Les Sphingidae, probables pollinisateurs des baobabs malgaches". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 307, n.º 307 (1 de marzo de 2011): 55. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.307.a20482.

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Resumen
Des comparaisons phénologiques et morphologiques des fleurs des six espèces de baobabs, Adansonia spp., endémiques de Madagascar et une étude des insectes visiteurs de ces fleurs ont été menées in situ afin d'identifier les pollinisateurs possibles de ces arbres. Les baobabs malgaches sont regroupés en deux sections en fonction de la longueur de l'androcée (tube pollinique plus filet des étamines)e: les Longitubae, A. za, A. rubrostipa, A. madagascariensis et A. perrieri, dont l'androcée varie de 110 à 277 mm de long, et les Brevitubae, A. grandidieri, A. suarezensis, ayant des androcées beaucoup plus courtes (de 45 à 79 mm de long). Les baobabs des deux sections ont des pollens de type zoophile e: grande taille, paroi externe verruqueuse et revêtue d'une substance collante. Une corrélation entre la longueur des trompes des Sphingidae butinant les fleurs des baobabs et la taille de l'androcée apparaît comme un critère déterminant pour qu'une espèce visiteuse des fleurs puisse avoir une fonction de pollinisateur. Quatre espèces de Sphingidae, Agrius convolvuli, Coelonia solani, Xanthopan morgani et C. fulvinotata, ont une trompe de longueur supérieure à 110 mm qui leur permettrait d'assurer la pollinisation des Longitubaee; mais seules les deux premières espèces ont été observées sur les fleurs. Chez les Brevitubae, les Sphingidae ayant une trompe comprise entre 45 et 70 mm, comme Nephele comma, observé sur A. grandidieri, auraient la possibilité de féconder les fleurs. Cela est confirmé par la présence de grains de pollen de baobab sur le corps de certains Sphingidae capturés sur les fleurs. Les Longitubae pourraient être des espèces à pollinisation strictement sphingophile, tandis que les Brevitubae ont des fleurs dont la morphologie montrerait une adaptation à la pollinisation par les chauves-souris mais aussi par certains Sphingidae. (Résumé d'auteur)
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Tartier, Léon-M., Valérie Gravel, Carole Martinez y Russell J. Tweddell. "La Société de protection des plantes du Québec, 1908-2008". Phytoprotection 89, n.º 2-3 (20 de noviembre de 2009): 113–14. http://dx.doi.org/10.7202/038240ar.

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Resumen
À l’aide de documents écrits et d’archives, l’histoire de la Société de protection des plantes du Québec (SPPQ) est retracée tout au cours de son existence. Son but et ses objectifs sont décrits ainsi que les moyens employés pour protéger les plantes et lutter contre leurs ennemis. Au cours de son existence, la SPPQ a contribué, par ses congrès annuels et directement par ses membres, à faire avancer la lutte aux ennemis des cultures. Ses publications ont aussi mené au développement d’outils qui ont aidé à mieux connaître et à identifier les insectes, les maladies et les mauvaises herbes qui affectent les cultures et les forêts.
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Couture, Luc. "Évolution des publications de la Société de protection des plantes du Québec au fil des ans". Phytoprotection 89, n.º 2-3 (20 de noviembre de 2009): 119–24. http://dx.doi.org/10.7202/038242ar.

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Resumen
Depuis sa naissance en 1908, la Société de protection des plantes du Québec (SPPQ) a publié une gamme de documents d’une valeur historique et scientifique inestimable. À l’origine, la Société produisait des Rapport annuels. En plus des comptes rendus de l’assemblée annuelle, ces Rapport annuels comprenaient beaucoup d’articles de nature scientifique. Un total de 684 articles sont parus dans ces rapports, jusqu’au dernier en 1961. C’est alors qu’a été créée la revue Phytoprotection, un périodique à trois numéros par année. La première parution de Phytoprotection remonte à 1963 et marque la continuation des Rapports annuels. Avec les années, Phytoprotection a pris un virage presque exclusivement scientifique et a subi quelques réformes de présentation visuelle et de politique éditoriale. Comme les activités de la SPPQ concernent les ennemis des plantes, la Société en est venue à s’intéresser à la façon de nommer ceux-ci. C’est ainsi que des comités ont été formés pour élaborer des listes de noms des insectes ravageurs ainsi que des maladies des plantes. Les Noms des insectes au Canada ont été publiés en 1947, 1952, 1964, 1975, 1985 et 1986. Après l’édition de 1986, les droits de cet ouvrage ont été cédés à la Société d’entomologie du Canada. Les Noms des maladies des plantes au Canada sont parus en 1961, 1976, 1992, 1996 et 2003. Par ailleurs, pour mieux communiquer avec ses membres, la direction de la SPPQ a créé, en 1977, un organe de diffusion nommé Bulletin de nouvelles de la S.P.P.Q., devenu Échos phytosanitaires en 1982. Un total de 68 numéros sont parus de 1977 à 2000. Après une tentative de relance des Échos en 2006 sous forme électronique, on perçoit des signes positifs de renaissance pour 2009. Toute cette documentation cumulée sur 100 ans mériterait d’être revalorisée sous une forme permanente accessible à tous.
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Breton, Émilie, Sandra Jeppesen, Anna Kruzynski y Rachel Sarrasin. "Les féminismes au coeur de l’anarchisme contemporain au Québec : des pratiques intersectionnelles sur le terrain1". Note d'action 28, n.º 2 (30 de noviembre de 2015): 199–222. http://dx.doi.org/10.7202/1034182ar.

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Resumen
Composés de collectifs, de groupes et de réseaux mobilisés autour d’enjeux de lutte divers, le mouvement antiautoritaire qui s’est consolidé au Québec dans la foulée des mobilisations altermondialistes est guidé par des valeurs qui s’inspirent d’une « boussole éthique » commune. Cette dernière est fondée sur une vision de l’anarchisme en tant que processus qui se réalise par la préfiguration, ici et maintenant, d’une société fondée sur l’autonomie collective. Trois microcohortes de militantes et de militants (pro)féministes ont alimenté le développement de pratiques en ce sens, par la promotion de l’autoorganisation et de l’autodétermination. Les microcohortes des féministes radicales et (pro)féministes, des radical queers et, enfin, des féministes et des (pro)féministes qui s’engagent dans la lutte anticoloniale et antiraciste ont contribué à l’atteinte de cet objectif par l’entremise d’une démarche de pollinisation qui permet la diffusion de ces pratiques dans différents espaces du mouvement et à l’extérieur de celui-ci. L’analyse présentée dans cet article est le fruit d’un travail de recherche-action participative réalisé au sein du Collectif de recherche sur l’autonomie collective (CRAC), groupe d’affinité (pro)féministe et antiautoritaire dont l’objectif était de documenter les initiatives de son propre mouvement.
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Zra Ganava, Venceslas, Sanda Mazi, Michelson Azo'o Ela, Sidonie Fameni Tope y Fernand-Nestor Tchuenguem Fohouo. "Impact de l’activité de butinage de Dactylurina staudingeri Gribodo (Hymenoptera: Apidae) sur la pollinisation et les rendements de Cajanus cajan (L.) Millspaugh (Fabaceae) à Dang (Ngaoundéré, Cameroun)". Cameroon Journal of Experimental Biology 14, n.º 1 (10 de marzo de 2021): 1–9. http://dx.doi.org/10.4314/cajeb.v14i1.1.

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Resumen
Les investigations ont été faites sur les fleurs de Cajanus cajan en vue d’estimer l’impact de l’activité de Dactylurina staudingeri sur la pollinisation, la production en gousses et en graines à Dang, en 2016 et 2017. Pour chacune de ces années, 540 boutons floraux ont été étiquetés sur 120 plantes réparties en quatre traitements: 120 fleurs laissées en libre pollinisation, 120 fleurs protégées des insectes, 200 fleurs protégées, puis découvertes, visitées exclusivement par D. staudingeri et de nouveau protégées et 100 fleurs protégées, découvertes et à nouveau protégées, sans visite d’insectes ou de tout autre organisme. Le taux de fructification, le nombre moyen de graines par gousse et le pourcentage de graines normales ont été comparés entre ces traitements. Sur 33 espèces d’insectes recensées, D. staudingeri était majoritaire avec 12,19% de 6037 visites. Cette abeille prélevait fortement le nectar et récoltait faiblement le pollen au niveau des fleurs de C. cajan. La vitesse moyenne de butinage était de 7,14 fleurs/min. Via l’efficacité pollinisatrice d’une visite florale, D. staudingeri a augmenté le taux de fructification de 14,71%, le nombre moyen de graines par gousse de 35,29% et le pourcentage de graines normales de 17,31%. La conservation des colonies de D. staudingeri à proximité des exploitations de C. cajan est recommandée pour assurer la hausse des rendements de cette culture et favoriser une bonne pratique de la méliponiculture dans la région.Abstract Investigations were made on the flowers of Cajanus cajan in order to estimate the impact of the activity of Dactylurina staudingeri on pollination and yields at Dang, in 2016 and 2017. For each of these years, 540 flowers buds labeled on 120 plants were divided into four treatments: 120 open-pollinated flowers, 120 bagged flowers, 200 flowers protected, then unbagged, exclusively visited once by D. staudingeri and rebagged, and 100 flowers bagged, unbagged and rebagged without insect or any other organism visit. The fruiting rate, the mean number of seeds per pod and the percentage of normal seeds were compared between these treatments. Among 33 insect species recorded, D. staudingeri was prominent with 12.19% of 6037 visits. This bee harvested intensely nectar and collected slightly pollen from C. cajan flowers. The mean foraging speed was 7.14 flowers/min. Through the pollinating efficiency of a single flower visit, D. staudingeri increased the fruiting rate by 14.71%, the mean number of seeds per pod by 35.29% and the percentage of normal seeds by 17.31%. The conservation of D. staudingeri colonies close to C. cajan farms is recommended to improve yields of the crop and to promote the good meliponiculture in the region.
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Mazzei, João Roberto Fortes, Estevão Freire, Eduardo Gonçalves Serra, José Ronaldo de Macedo, Angélica Castanheira de Oliveira, Lucia Helena Pinto Bastos y Maria Helena Wohlers Morelli Cardoso. "Recherche sur le terrain: Une analyse comparative entre les méthodes conventionnelles, biologiques et durables de production de tomates". Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, 16 de febrero de 2021, 125–46. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/ingenierie-de-lenvironnement-fr/production-de-tomates.

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Resumen
L’agriculture représente l’un des principaux piliers de l’économie brésilienne, son importance étant liée à la sécurité alimentaire et à la création d’emplois. Cependant, il est nécessaire d’avoir une réflexion critique sur la durabilité de la plantation. Parmi les différents types de cultures, la tomate s’est démarquée comme l’un des fruits les plus plantés et les plus consommés au monde. Cet article propose une évaluation comparative entre trois types de plantation de tomates: conventionnelle, biologique et durable (TOMATEC®), de la préparation du sol à la commercialisation sur le marché. Les travaux ont été menés dans le nord de l’état de Rio de Janeiro, en collaboration avec des groupes qui produisent les fruits dans ces trois types de plantation. La méthodologie était basée sur un questionnaire non structuré, avec des réponses gratuites, appliqué aux agriculteurs de la région. Nous pensons que cette étude contribuera à l’orientation de la société à travers des données issues de critères sérieux de traitement de l’information. Les principaux résultats ont montré, à travers le système de plantation durable de EMBRAPA (innovation), qu’il est possible d’utiliser des pesticides avec une conscience environnementale et de produire des fruits sans résidus. Les maladies, dans le système conventionnel, sont contrôlées par l’application de fongicides et de bactéricides. En plantation durable, un mélange de détergent maison avec de l’huile de soja, de la bouillie bordelaise, du lait de vache, des fongicides de contact et des fongicides systémiques est utilisé, et dans le système de production biologique, il est courant de ne pas laisser la maladie s’installer dans la plante, grâce à un contrôle préventif. de préparation et de protection des sols. Dans la lutte antiparasitaire, le système conventionnel effectue l’application d’insecticides composés de divers principes actifs. Dans le système biologique, le contrôle des insectes est privilégié en équilibrant le sol, ce qui permet aux plantes d’acquérir une plus grande résistance aux maladies et aux ravageurs. Dans le système durable, il n’y a pas de traitement préventif, mais curatif. Les prix du marché des fruits pour la plantation conventionnelle fluctuent et dépendent de l’offre, tandis que les tomates issues de systèmes biologiques et durables ne fluctuent pas. La production biologique n’a pas la capacité installée pour répondre aux demandes du marché. Avec cela, le système durable gagne de la place sur le marché et se développe dans le sud-est et le sud du pays.
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Tesis sobre el tema "Pollinisation par les insectes – Société"

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Uwingabire, Zafarani. "Evaluating the impacts of pollinators decline on social welfare at different spatial scales : economic and nutritional aspects". Electronic Thesis or Diss., Toulouse 2, 2021. http://www.theses.fr/2021TOU20103.

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Resumen
Les pollinisateurs sont en déclin dans de nombreuses régions du monde. Quelles sont donc les conséquences de ce déclin pour la société ? Pourquoi devrions-nous agir ? Cette thèse propose l'évaluation économique afin d’aider à la prise de décision. Elle évalue les impacts du déclin des pollinisateurs sur le bien-être humain à travers des aspects économiques et nutritionnels. Pour les aspects économiques, elle se concentre autant sur les impacts marchands que non marchands et pour les aspects nutritionnels, elle intègre autant les apports quantitatifs que qualitatifs des nutriments. La contribution des pollinisateurs au marché mondial des produits alimentaires, aux territoires et aux paysages locaux dans différents contextes est examinée. Plus précisément, trois études de cas ont été abordées, chacune à une échelle spatiale différente : le commerce international, le territoire du Comminges dans le sud-ouest de la France et le district de Huye dans le sud du Rwanda. Inspirée de l'économie du bien-être, notre analyse est basée sur l'approche de la fonction de production, qui intègre le ratio de dépendance de la production agricole aux pollinisateurs, les nutriments, et l'approche des préférences déclarées. Les méthodes proposées combinent des approches analytiques, des enquêtes de terrain et des simulations. Le chapitre 1 souligne les approches existantes en matière d'évaluation économique des bénéfices des pollinisateurs, la nécessité de prendre en compte les différentes échelles spatiales des causes et des impacts du déclin des pollinisateurs, et les réponses politiques existantes concernant la dégradation des pollinisateurs. Le chapitre 2 analyse les marchés agricoles mondiaux dans leur ensemble et montre les incidences du déclin des pollinisateurs dans le commerce international des produits alimentaires et leurs impacts sur le bien-être social mondial. Le chapitre 3 analyse l'importance que les gens accordent aux pollinisateurs et leurs préoccupations quant à leur déclin en évaluant la volonté du grand public de payer pour les avantages des pollinisateurs. Le chapitre 4 porte sur la contribution de la pollinisation par les insectes sur la production et la consommation de qualité nutritionnelle dans un cas particulier des ménages de petites exploitations où l'agriculture de subsistance reste importante. Les résultats montrent que le déclin des insectes pollinisateurs peut induire une diminution du surplus du consommateur, du profit du producteur et de la valeur commerciale, donc une perte globale du bien-être humain à l'échelle mondiale. Ces résultats attirent l'attention sur une perte de l'apport mondial en nutriments, notamment dans les régions où la pénurie alimentaire est déjà présente. Le grand public du Comminges est prêt à payer environ 516 € par ménage et par an pour éviter les scénarios de déclin des pollinisateurs et ainsi maintenir la diversité de la nourriture, de la flore et de la faune locales. Dans les ménages agricoles du district de Huye, les cultures dépendant des pollinisateurs représentent environ 20 % de la valeur de leur production et ont une part importante pour l'auto-approvisionnement en micronutriments. La thèse défend que tous les pays puissent être affectés par ce déclin soit en tant qu'exportateurs, soit en tant qu'importateurs de cultures dépendant des pollinisateurs. In fine, le déclin des pollinisateurs peut avoir un impact sur la diversité et la sécurité alimentaire des consommateurs de par le monde, sur les moyens de subsistance des ménages agricoles, et sur la biodiversité locale. Ainsi, l’arbitrage entre les décideurs locaux, les organismes nationaux et internationaux, et le grand public est nécessaire pour atténuer le déclin des pollinisateurs. Cette thèse souligne donc la nécessité de combiner les aspects économiques et nutritionnels dans la conception d'évaluation économique et des politiques et initiatives publiques concernant les services écosystémiques et les pollinisateurs
Pollinators are threatened in many parts of the world. This alarming phenomenon; for which Human is mainly responsible, raises the following questions: what are the consequences of this decline for society? Should we take action? This thesis proposes economic valuation as a decision-making tool. It evaluates the impacts of the decline of pollinators on human well-being through economic and nutritional perspectives. The focus is on marketed and non-marketed benefits for the economic aspects and the quantitative and qualitative dimensions of nutrient intake for the nutritional aspects. The contribution of pollinators to a global food market, territories, and local landscapes in different contexts is examined alternately. More specifically, three case studies were treated each on different spatial scales: the international trade, the Comminges territory, in southwestern France, and the Huye District, in southern Rwanda. Inspired by welfare economics, our analysis builds on the production function approach, which integrates the dependence ratio of agricultural production on pollinators, the nutrients contained in crops, and the stated preferences approach. The proposed methods combine analytical approaches, field surveys, and simulations. Chapter 1 reviews the existing economic valuation approaches of the benefits of pollinators, highlights the need to consider various spatial scales of causes and impacts of pollinator decline, and reviews the existing policy responses regarding pollinator degradation. Chapter 2 analyzes global agricultural markets as a whole and shows the implications of pollinators' decline in international food trade and their impacts on global social welfare. Chapter 3 analyzes the importance people place on pollinators and their concerns about their decline by assessing the general public’s willingness to pay for the marketed and non-marketed benefits of pollinators. Chapter 4 values the contribution of insect pollination on the quantity of production and nutritional quality of consumption in the case of smallholder farm households where subsistence agriculture remains dominant. The thesis shows that the decline of insect pollinators could have significant consequences on human well-being at local and global scales. Under defined assumptions, results show that an average world price of crops will be 186% higher if pollinators are extinct on a global scale. They show that the decline of insect pollinators can induce a decrease in consumer surplus, producer profit, and trade balance value, thus an overall loss of human well-being on a global scale. In particular, these results draw attention to a loss of global nutrient intake, especially in regions where food scarcity is already present. The general public in the Comminges is willing to pay about €516 per household per year to avoid pollinator decline scenarios in order to maintain the diversity of local food, flora, and fauna. In smallholder households in the Huye District, pollinator-dependent crops account for about 20% of the total production value and have a significant share in the self-supply of micronutrients. This thesis argues that all countries can be impacted by this decline either as exporters or as importers of pollinator-dependent crops even if the impacts of this decline may be heterogeneous across countries due to differences in initial endowments. In fine, the decline of pollinators threatens the diversity and food security of worldwide consumers, the livelihoods of farm households, and local biodiversity. Therefore, arbitration among local decision-makers, national and international governmental bodies, and the general public is necessary to mitigate the decline of pollinators. In conclusion, this thesis points to the need to combine economic and nutritional aspects in shaping economic valuation literature and public policies and initiatives regarding ecosystem services and pollinators
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Proffit, Magali. "Médiation chimique et structuration des communautés d'hyménoptères parasites du mutualisme figuier / pollinisateur". Montpellier 2, 2007. http://www.theses.fr/2007MON20026.

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Abed, Tammam. "Étude de quelques interférences biologiques entre la vie de la ruche et Varroa jocobsoni oudemans, 1904 fléau de l'apiculture : application à la lutte". Toulouse, INPT, 1992. http://www.theses.fr/1992INPT003A.

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Resumen
Ce travail comprend une etude generale de varroa jacobsoni, ses effets sur apis mellifica, l'abeille domestique, et la relation varroa-abeille. Cette derniere montre que varroa effectue un choix physique chez les ouvrieres, parmi celles qui lui offrent un site d'alimentation, mais aussi un abri, lui conferant ainsi une sorte de resistance comportementale. Dans une etude de la dl#5#0, en expliquant une technique originale, nous avons montre que l'amitraz garde une grande efficacite contre varroa jacobsoni, si le contact est etabli entre la gouttelette d'aerosol et l'acarien. Mais, la resistance comportementale de varroa est la cause de la baisse de l'efficacite d'amitraz. D'autre part, il est montre que le coumaphos comporte deux actions contre varroa jacobsoni, une action de contact et une autre systemique. Le traitement par amitraz aerosol peut etre fait pendant une courte periode en cas d'absence du couvain, ou pendant une longue periode en cas de presence du couvain. Les protocoles appliques montrent que l'efficacite d'amitraz au terrain est influencee par: 1) la presence de couvain non opercule aussi bien que la presence de couvain opercule. 2) la resistance comportementale, dont l'effet augmente avec: a) la force de la colonie; b) le faible niveau de l'infestation par varroa jacobsoni. En conclusion, l'amitraz a perdu une partie de son efficacite comme acaricide contre la varroase. Par contre c'est un bon moyen de diagnostic chimique de varroa jacobsoni
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Geslin, Benoît. "Etude multi-échelles de l’effet des perturbations anthropiques sur l’écologie des insectes pollinisateurs : du comportement individuel à la structure des communautés". Paris 6, 2013. http://www.theses.fr/2013PA066082.

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Resumen
Les insectes pollinisateurs sont responsables de la reproduction de plus de 80% des plantes sauvages et de plus de 70% des espèces cultivées à travers le monde. Pourtant, depuis quelques années, les populations d’insectes pollinisateurs sont en déclin, faisant craindre une crise de pollinisation. La perte d’habitats naturels est considérée comme une des causes majeures de ce déclin des pollinisateurs. Cette perte d’habitats se fait notamment au profit de l’accroissement de l’urbanisation. Cette artificialisation des milieux a des effets potentiels sur l’abondance et la composition en espèces des communautés de pollinisateurs, sur leurs interactions avec les plantes à fleurs et sur les comportements individuels de butinage. Dans cette thèse, nous avons cherché dans un premier temps à comprendre comment les perturbations d’origines anthropiques pouvaient affecter le comportement de butinage des pollinisateurs à l’échelle locale. Puis en se plaçant à l’échelle du paysage, nous avons étudié les modifications de la structure du réseau d’interactions plantes-pollinisateurs et de la structure de la communauté d’insectes floricoles le long d’un gradient d’accroissement des perturbations anthropiques (ici l’urbanisation). Nous avons montré que la chute de la densité de Bombus terrestris butinant à l’échelle d’un patch influençait les relations de compétitions entre congénères, donc leur comportement. Ceux-ci montraient à faible densité un comportement moins spécialiste envers l’espèce de plante connue résultant en un succès reproducteur potentiel plus faible pour cette espèce. A l’échelle du paysage, , nous avons réalisé une approche expérimentale menée en région Ile-de-France qui a montré que l’accroissement de l’urbanisation entraîne une diminution du nombre d’interactions entre plantes et pollinisateurs sauvages. Elle entraîne également une chute de l’abondance d’individus et de la richesse en espèces dans les communautés d’insectes floricoles. Les insectes spécialistes, comme les abeilles solitaires ou les syrphes, semblent davantage impactés par l’urbanisation que les espèces généralistes de plus grande taille comme les bourdons. Le principal élément paysager impactant les insectes floricoles est l’accroissement des surfaces imperméables. Enfin, ces variations d’abondance et de richesse spécifique des pollinisateurs peuvent potentiellement modifier le succès reproducteur et donc la pérennité des communautés végétales. Cette thèse illustre à quel point les perturbations d’origines anthropiques affectent les insectes pollinisateurs à toutes les échelles d’intégration de leur écologie, du comportement individuel à la structure des communautés. Dans le contexte actuel d’anthropisation croissante des milieux, des mesures de restauration des continuités écologiques, notamment dans les milieux urbains via l’ augmentation des surfaces fleuries ou l’implantation de toits verts pourraient être des mesures de conservation utiles dans le but de préserver le service écologique de pollinisation
More than 80% of wild plants and 70% of crops depend on pollinators for reproduction and food production. However, there is growing evidences that wild pollinators are declining worldwide. One of the major causes of this decline is the expansion of agricultural areas and urbanisation at the cost of natural habitats. This loss of natural habitats is likely to impact pollinator species abundance and richness, and thus the structure of pollinator communities, their interactions with flowering plants and the individual behaviour of foraging insects. In this thesis, we analyzed how anthropogenic disturbances may modify pollinator foraging behaviour, at the patch scale. Then, at the landscape scale, we tested if increasing levels of urbanisation can impact plant-pollinator interaction webs and on flower-visitor community composition and structure. At the patch scale, we found that the foraging behaviour of Bombus terrestris individuals was modified by the loss of conspecifics density. When foraging on an experimental plant community at low conspecific density, fewer visits were carried out on the most-well known plant species, resulting in a lower potential reproductive success for this plant. At the landscape scale, increased levels of urbanisation also led to a decrease in the number of interactions between wild pollinators and plants of an experimental plant community. The diversity and density of the wild pollinating fauna also decreased along this urbanisation gradient located in the Île-de-France region (France). In particular, small specialists insects such as Syrphidae and solitary bees were more impacted by urbanisation than large generalist species such as bumblebees. Finally, these variations had an impact on the reproductive success of the experimental plant community. This work illustrates how anthropogenic perturbations affect pollinating insects in several aspects of their ecology, from their foraging behaviour to the structure of their communities. In a global context characterised by incresing losses of natural habitats at the expense of urbanisation, these results should help designing conservation practices to promote ecological continuities in urban habitats, through the increase of flowered and green roof surfaces. Overall, these measures might help preserving pollinating faunas that will sustain the pollination ecological service
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Gallai, Nicola. "Evaluation économique de l'impact des insectes pollinisateurs sur l'agriculture européenne". Montpellier 1, 2009. http://www.theses.fr/2009MON10036.

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La pollinisation entomophile est un service écosystémique qui semble aujourd’hui menacé alors qu’il contribue à la reproduction sexuée d’une majeure partie de la flore sauvage et cultivée. Cette thèse a pour objet l’évaluation économique de l’impact de ce service sur l’agriculture. Une revue de littérature nous a permis de dégager trois questions majeures liées à cette problématique : Quelle est la contribution des insectes pollinisateurs à la production agricole mondiale ? Comment va évoluer la vulnérabilité de l’agriculture dans les prochaines décennies ? Quel sera l’impact d’un déclin des insectes pollinisateurs sur le bien être social ? A l’aide d’une approche technico-économique, nous avons évalué la contribution de ce service à l’agriculture mondiale à 153 milliards d’euros en 2005, ce qui représentait alors 10% de la valeur totale de la production agricole mondiale utilisée pour l’alimentation humaine. Les conséquences d’une disparition des pollinisateurs sur le bien être social ont été modélisées à l’aide d’un équilibre partiel et estimées entre 228 et 310 milliards d’euros selon que l’élasticité prix de la demande était, respectivement, de -1,2 et -0,8. Pour avoir une vision dynamique, nous avons ensuite simulé l’évolution de la contribution de ce service sur l’agriculture européenne à l’aide de plusieurs scénarios d’utilisation des sols. Nous montrons que la contribution des pollinisateurs ne va pas diminuer dans le siècle à venir quel que soit le scénario réalisé. Enfin nous étudions l’impact d’une perte du service de pollinisation dans le cadre d’un équilibre général où nous mettons en relation deux consommateurs qui se partagent deux biens produits chacun par une firme dont l’un dépend des pollinisateurs et l’autre non. Cette analyse montre que la substituabilité entre les deux marchés permet d’atténuer les pertes de bien-être social. Elle montre aussi que lorsque la distribution des revenus est liée aux différents produits, l’importance relative donnée dans la société aux industries liées à ces produits affecte les pertes de bien-être social consécutives au déclin des pollinisateurs qui peuvent alors même s’annuler
Insect pollination is an ecosystem service that is threatened, though it contributes to the sexual reproduction of most of the wild and cultivated flora. This work aims to assess the impact of this service on agriculture. Fom a literature review, we identified three major questions related to this issue: What is the contribution of pollinators to agricultural production worldwide? How will the vulnerability of agriculture change during the coming century? What will be the impact of a pollinator decline on social welfare? Using a technical-economic approach, we valued the contribution of this service to world agriculture at 153 billion euros in 2005, which represented 10% of the total value of world agricultural production used for human food. The consequences of a pollinator loss on social welfare were modeled using a partial equilibrium and estimated between 228 and 310 billion euros based upon a price elasticity of demand of -1. 2 and -0. 8, respectively. To assess future trends, we simulated the evolution of European agriculture under several land use scenarios, and found that the contribution of pollinators will not diminish in the next century even under the most extreme scenarios. Finally, we analyzed the impact of pollinator loss in the framework of a general equilibrium with two consumers who share two goods, each produced by a single firm with one good dependent on insect pollination and the other not. This analysis indicated that the substitutability between the two markets enabled to reduce the welfare loss. It also showed that when the income distribution is linked to the different goods, the relative importance given in the society to industries related to these goods affects the welfare loss resulting from pollinator decline and it could even become nil
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Lefebvre, Diane. "Approvisionnement en pollen et en nectar des colonies de bourdons Bombus terrestris. Ecologie comportementale et modélisation. Implications pour la pollinisation des fleurs de tomate en serre". Rennes 1, 2004. http://www.theses.fr/2004REN10068.

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Cette thèse aborde le comportement de butinage du bourdon Bombus terrestris et certains aspects de la conduite de leurs colonies. Notons que cet insecte est levé en vue de la pollinisation de plantes cultivées, en particulier la tomate. Le butinage a été analysé sous l'angle de la Théorie de l'Approvisionnement Optimal (Optimal Foraging Theory, OFT), ce qui a produit un certain nombre de résultats nouveaux. Tout d'abord, en serre de production de tomates, les butineuses se répartissent entre placettes alimentaires (patchs), contenant des plants de tomate (dont les fleurs sont dépourvues de nectaires), au prorata de la ressource en pollen disponible par patch. En cas de profitabilité variable des différents patchs, cela conduit à la répartition bien connue dite de Distribution Libre Idéale (Ideal Free Distribution, IFD). Ensuite, on a considéré l'exploitation des rangs et des inflorescences (de colza, plante fournissant du pollen et du nectar), qui constituent un système emboité de patchs dans lequel on peut étudier simultanément les décisions de quitter une inflorescence et de quitter un rang. Cette analyse a été menée sur la base du modèle des risques proportionnels de Cox, qui permet d'étudier l'effet des différents évènements survenus pendant une séquence de butinage sur les durées de séjours dans les patchs (inflorescence ou rang). Il résulte un schéma de prise de décision assez complexe, basé sur l'expérience acquise avant d'entrer dans le patch et sur l'expérience acquise dans le patch. En particulier, chaque exploitation d'inflorescence (de fleur) a un effet dit décrémental (réduisant le temps de séjour) sur le temps passé dans un rang (une inflorescence). Cela est cohérent avec le statut de "central place foragers" (consommateurs retournant en un lieu central) des bourdons. De plus, lorsque les butineuses ont le choix entre deux types d'inflorescences (cultivar mâle-fertile : producteur de pollen et de nectar ; cultivar mâle-stérile : dépourvu de pollen et pauvre en nectar), le type d'inflorescence précédemment exploitée influence la durée de séjour dans l'inflorescence suivante (quel que soit son type). Enfin, concernant la conduite des colonies en serre de production, nous montrons que la superposition de trois colonies, disposition fréquemment utilisée pour des raisons de commodité, favorise la migration d'ouvrières entre colonies ("dérive"), aux détriments de la colonie la plus basse. Cela montre que les colonies commerciales de B. Terrestris ne sont pas ou très incomplètement fermées, et que cette pratique de superposition risque d'écourter la vie active des colonies, les unes par dépeuplement, les autres par afflux démographique qui pourrait conduire à une production précoce d'individus sexués, inopérants comme pollinisateurs. Les conséquences théoriques et appliquées des résultats obtenus sont ensuite discutées.
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Rodet, Guy. "La pollinisation par l'abeille domestique (Apis mellifica L. ) des lignées mâles stériles de carotte (Daucus carota L. ) en enceintes grillagées pour la production de semences hybrides". Paris 11, 1988. http://www.theses.fr/1988PA112302.

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Les semences parentales d'hybrides de carotte (Daucus carota L. ) sont produites par la pollinisation naturelle de lignées "mâles stériles" (stérilité mâle cytoplasmique) et «mâles fertiles" (l'espèce est protandre) isolées dans des enceintes grillagées. Les conditions naturelles simplifiées, créées dans ces enceintes s'ajoutent aux contraintes liées à la séparation des sexes dans la culture, pour constituer un cadre exemplaire à l'étude de la pollinisation entomophile. Le vecteur du pollen est, ici, l'abeille domestique (Apis mellifica L. ). Les connaissances nécessaires à la conception d'une pollinisation raisonnée sont recherchées par l'étude des processus de la pollinisation et des caractéristiques de la "relation plante-insecte". La répartition des productions grainières (par rangs de culture) et l'étude de la dynamique du pollen montrent que la distance entre les fleurs productrices et réceptrices du pollen est un important facteur limitant de la pollinisation. Il y est confirmé que le transport du pollen par le vent est négligeable. La pollinisation dépend donc de la répartition et du comportement des butineuses. Elles tendent à fréquenter les fleurs sur toute la surface de la parcelle sans privilégier celles de l'une ou l'autre des lignées ; L'observation d'échantillons d'abeilles marquées montre qu'elles sont individuellement fidèles à une zone étroite de butinage (quelques m2) et peuvent le rester longtemps (15 jours). La faiblesse des écarts que les abeilles font à partir de leur zone de butinage explique les difficultés de dispersion du pollen, les différences de productions grainières et les quantités caractéristiques de pollen, extraites des fourrures des abeilles (1. 000 à 14. 500 grains) selon leur activité et la lignée sur laquelle elles ont été capturées. L'analyse des facteurs tels que l'évolution quantitative des floraisons par stades phénologiques, les quantités et qualités des nectars apportent les premières précisions sur la relation "plante-insecte pollinisateur".
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Moisan-De, Serres Joseph. "Influence du paysage de bleuetières sur les communautés de pollinisateurs indigènes du Lac-St-Jean et évaluation du potentiel de pollinisation des pollinisateurs du bleuet nain". Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/29330/29330.pdf.

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Flacher, Floriane. "Influence des interactions entre espèces végétales sur les relations plantes-pollinisateurs : cas de la compétition induite par la présence d'espèces anémophiles sur l'attractivité aux pollinisateurs d'espèces entomophiles". Thesis, Paris 6, 2016. http://www.theses.fr/2016PA066017/document.

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Influence des interactions entre espèces végétales sur les relations plantes-pollinisateurs: cas de la compétition induite par la présence d'espèces anémophiles sur l'attractivité aux pollinisateurs d'espèces entomophiles Les traits d'attractivité aux pollinisateurs (fleurs et récompenses associées) d'espèces végétales entomophiles peuvent être sensibles aux variations de ressources dans le milieu (azote, phosphore). Puisque la compétition entre plantes peut modifier la disponibilité et la quantité de ces ressources, nous nous sommes intéressés à son effet sur les traits d'attractivité aux pollinisateurs, via la présence d'espèces végétales anémophiles. Nous avons démontré que la présence d'une espèce anémophile compétitive réduisait la production totale de fleurs, la vitrine florale et la quantité totale de sucre allouée au nectar chez une espèce entomophile. Cette diminution est d'autant plus forte que l'espèce anémophile est compétitive. En étudiant les visites de pollinisateurs sur une espèce entomophile en compétition avec une espèce anémophile, nous avons pu observer une diminution du nombre de visites, en relation avec une diminution de la production totale de fleurs et de la vitrine florale. Ainsi, bien que n'interagissant pas directement avec les pollinisateurs, les espèces anémophiles peuvent moduler les interactions plantes-pollinisateurs via des relations de compétition. Cette thèse soulève de nouvelles perspectives pour l'étude des réseaux plantes-pollinisateurs, qui se focalisent généralement sur les plantes entomophiles, en les ouvrants à l'ensemble de la communauté végétale
Attractiveness traits of insect-pollinated plants to pollinators (i.e. flowers and associated rewards) can be sensitive to variations of resources (e.g. nitrogen, phosphorous). As competition between plants can modify resource availability, we studied its effect on insect-pollinated plants and their floral traits involved in attractiveness to pollinators, especially in presence of wind-pollinated plants. We showed that the presence of a competitive wind-pollinated species could reduce total flower production, floral display size and total sucrose allocated to nectar of insect-pollinated species. Especially, the stronger the competitor, the stronger is the effect on floral traits. The study of wild pollinators’ visits on an insect-pollinated plant in competition with a wind-pollinated plant revealed a decrease in the number of visits associated to the decrease of floral display size and total flower production. Therefore, even though they do not interact directly with pollinators, wind-pollinated plant species can modulate plant-pollinator interactions through competitive interactions. This thesis raises new perspectives for the study of plant-pollinator networks, which are generally focused on insect-pollinated plants, by opening them up to the whole plant community
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Anstett, Marie-Charlotte. "Contraintes et libertés dans l'évolution des mutualismes figuiers". Montpellier 2, 1994. http://www.theses.fr/1994MON20184.

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Chaque espece de ficus (moraceae) est associee a une espece de pollinisateurs (hymenoptera, chalcidoidea, agaonidae) par un mutualisme obligatoire. Les fleurs de figuiers sont protegees a l'interieur d'inflorescences refermees sur elles-memes (les figues). Le pollen est uniquement apporte par le pollinisateur qui ne peut pondre que dans les fleurs de figuiers. Chaque larve de pollinisateur se developpe aux depens d'une graine. A l'emergence, les nouveaux pollinisateurs se chargent du pollen de leur figue natale puis cherchent une autre figue ou ils pourront a leur tour se reproduire. Chez les figuiers monoiques, chaque fleur produit donc soit une graine soit un pollinisateur. Par contre chez les figuiers dioiques, les arbres males produisent seulement du pollen et des pollinisateurs alors que les arbres femelles produisent uniquement des graines. Par observation, experimentation et modelisation de differents couples d'especes figuier/pollinisateur, j'ai montre que: 1) en l'absence de pollinisation, les figues restent receptives et continuent d'attirer les pollinisateurs pendant 3 semaines. La receptivite s'arrete des que la figue est bien visitee. 2) le nombre d'arbres minimum necessaire au maintien d'une population de pollinisateurs varie selon les conditions environnementales ; cependant, dans tous les cas la duree de receptivite selectionnee est aussi de 3 semaines. 3) chez les figuiers dioiques, le comportement suicidaire des pollinisateurs qui visitent les figues femelles est lie a une absence totale de choix entre figues males et figues femelles. Differentes hypotheses evolutives expliquent pourquoi la capacite de choisir n'a pas evolue. 4) chez les figuiers monoiques, la repartition entre production de graines (fonction femelle) et production de pollinisateurs (fonction male) depend du nombre de fondatrices qui visitent la figue. La repartition des ressources observee depend donc de la densite de pollinisateurs au moment de la pollinisation. Il ressort de cette etude que les mutualismes figuiers pollinisateurs sont sous l'influence stabilisatrice d'une serie de contraintes evolutives. Si l'existence de telles contraintes s'avere generale pour les mutualismes, etudier leur evolution pourrait permettre de mieux comprendre l'evolution des mutualismes
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Libros sobre el tema "Pollinisation par les insectes – Société"

1

The incomparable honeybee & the economics of pollination. Victoria [B.C.]: Rocky Mountain Books, 2009.

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2

Incomparable Honeybee and the Economics of Pollination. RMB Rocky Mountain Books, 2011.

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