Literatura académica sobre el tema "Plasticité psychique"

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Artículos de revistas sobre el tema "Plasticité psychique"

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Chaudoye, Guillemine y Rafika Zebdi. "Traces et plasticités en psychanalyse, neurosciences et dans l’Intelligence Artificielle". Revue française de psychosomatique 64, n.º 2 (2 de noviembre de 2023): 159–69. http://dx.doi.org/10.3917/rfps.064.0159.

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Resumen
La notion de traces laissées par l’expérience est à l’interface de la psychanalyse et des neurosciences dans ce qu’elles permettent, en termes de plasticité, tant psychique que neuronale. Alors que Freud, dès 1895, proposait un projet pour une psychologie scientifique, en parallèle, le champ des neurosciences se faisait jour et allait ouvrir à de nouvelles perspectives de pensées et de connaissances. Les traces, preuves de l’expérience acquise, vont être ce qui va permettre de penser un travail de mémoire tant dans sa dimension psychique que neurologique. Mais à ces plasticités psychiques et cérébrales, bientôt va se joindre une nouvelle : celle des neurones artificiels, toile de fond d’un champ de recherche et d’ouverture dont on ne connaît pas encore l’envergure : l’intelligence artificielle, elle aussi sujette à expérience, elle aussi empreinte de traces, laissant présager de sa propre plasticité.
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Malabou, Catherine. "Souffrance cérébrale, souffrance psychique et plasticité". Études Tome 414, n.º 4 (1 de abril de 2011): 487–98. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4144.0487.

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Résumé Au cours du xx e siècle, le concept de plasticité s’est déplacé de l’esthétique ou de la philosophie vers la psychanalyse et la neurologie pour caractériser de manière à la fois très proche et très différente le système psychique. Que signifient une libido plastique, une plasticité cérébrale ? Cette plasticité peut-elle être destructrice ?
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Malabou, C. "Vieillissement et plasticité psychique : antinomie ou nouveau défi thérapeutique ?" L'Encéphale 32, n.º 4 (agosto de 2006): 628–31. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(06)76213-3.

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Bayro-Corrochano, Fernando. "La plasticité psychique : une figuration « cubique » en extension vers l'objet". Topique 104, n.º 3 (2008): 47. http://dx.doi.org/10.3917/top.104.0047.

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Tricas Barrio, Sylvie. "Propos sur le transfert et le contre-transfert dans la classe : vers une plasticité posturale psychique de l’enseignant". La nouvelle revue de l adaptation et de la scolarisation N° 83-84, n.º 3 (2018): 183. http://dx.doi.org/10.3917/nresi.083.0183.

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Toubin, R. M., A. Jacquot y P. Boulot. "« Posturage du nouveau-né » et pratiques innovantes autour de la naissance : un défi collectif pour le développement précoce". Périnatalité 11, n.º 1 (20 de marzo de 2019): 14–25. http://dx.doi.org/10.3166/rmp-2019-0044.

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Resumen
Les acteurs de santé en période périnatale sont désormais confrontés à la nécessité d’intégrer les multiples registres en jeu dans le développement de l’enfant à venir en fonction des connaissances récentes sur la plasticité cérébrale. Le cerveau présente une réceptivité maximale à des compétences spécifiques au cours des « périodes sensibles » des deux premières années de vie : passée cette période, il devient difficile, voire impossible, pour la structure cérébrale considérée, de reprendre un développement normal. Un manque ou un dysfonctionnement dans l’ajustement environnemental sur cette période est fort préjudiciable. Les objectifs de l’étude sont d’optimiser les conditions d’accueil du nouveau-né et de croiser les regards sur le développement précoce dans l’espoir de réduire les troubles ultérieurs de l’enfant. La collaboration croissante et rigoureuse avec l’ensemble des équipes concernées, et particulièrement des pédiatres depuis une dizaine d’années, a permis de développer des stratégies innovantes visant à améliorer la continuité sensorielle et émotionnelle des parents et de l’enfant, de la vie foetale aux toutes premières étapes de son développement. La méthode expérimentale de « posturage » du nouveau-né a été conçue dans ce climat de collaboration étroite : simple et reproductible, s’appuyant sur le bon sens, elle permet au bébé de ressentir un sentiment de continuité dans le temps de la naissance et d’exprimer de nombreuses compétences interrelationnelles. Dans les situations de vulnérabilité psychique maternelle majeure, les pères se sont mobilisés en grand nombre pour venir dès la consultation pédopsychiatrique anténatale échanger sur cette thématique. Ils ont fait l’effort d’être présents en post-partum et dans le suivi pluridisciplinaire des trois premiers mois, ce qui laisse présager de l’efficacité de cette démarche. Une telle perspective ouvre de sérieux espoirs sur une recherche permettant de valider ces pistes de réflexion au regard de l’avancée fulgurante des neurosciences. Poursuivre l’effort de repérage par la diffusion de l’entretien prénatal précoce et prendre soin des nouveau-nés à terme avec la même rigueur que dans les soins de développement pour les grands prématurés sont autant de défis à relever ensemble avec des parents devenus coacteurs du développement de leur enfant.
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Arbousse-Bastide, Jean-Claude. "Plasticité des processus psychiques, âge et lésions cérébrales : I'exemple de l'anosognosie". Bulletin de psychologie 49, n.º 423 (1996): 242–45. http://dx.doi.org/10.3406/bupsy.1996.14534.

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Verney, Catherine y Tania Vitalis. "Les stress pendant les 1 000 premiers jours de la vie quand tout commence". médecine/sciences 39, n.º 10 (octubre de 2023): 744–53. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2023124.

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Resumen
Les stress présents pendant les 1 000 premiers jours de vie, période de grande vulnérabilité, peuvent avoir un impact sur la biologie de l’enfant et son psychisme. Qu’ils soient bénéfique, adaptable ou toxique, ces stress modulent des régulations génétiques et épigénétiques ainsi que l’installation du connectome du bébé dans la période de grande plasticité et d’adaptation de ces âges précoces. Les régulations des systèmes polyvagaux forment le socle du ressenti de bien-être du bébé, de sa sécurisation dans des synchronies mère, parents, soignants et nouveau-né. Ces régulations positives, en miroir, mènent à l’attachement et aux liens sociaux, aux apprentissages implicites et aux développements émotif, cognitif et comportemental harmonieux.
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Mazauric, Catherine. "Mobilités de l’oeuvre : exils, errances et retours". Études littéraires africaines, n.º 45 (27 de septiembre de 2018): 29–49. http://dx.doi.org/10.7202/1051611ar.

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Dans l’oeuvre d'Henri Lopes, partir, c’est se faire autre : les mobilités spatiales s'y conjuguent à une essentielle plasticité identitaire. À travers des êtres de plusieurs vies et de multiples appartenances en proie à l’« enracinerrance », figures ubiquitaires tout à la fois ancrées « au Pays » et désancrées, l’oeuvre lopésienne ne cesse ainsi de déplacer et fluidifier les catégories à travers lesquelles sont ordinairement inventoriés tant les formes et situations de déplacement (voyage, exil, migration, immigration, errance, retour, etc.) que les lieux entre lesquels elles se jouent, les tonalités affectives qui leur sont associées et les écritures qui en rendent compte. Le paysage intérieur sur fond duquel son oeuvre se déploie, formé des méandres du fleuve, de l’île et de la rive, étant lui-même mobile, elle conjoint le mouvement à une forme de stabilité, l’élan à une possibilité de réassurance constamment maintenue. La séduction qui en émane ne tiendrait-elle finalement pas à sa propension à solliciter les zones intermédiaires du psychisme, celles où s’élaborent les possibles de l’aventure humaine ?
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Calame, Claude. "Individu". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.015.

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La notion de l’individu comme être humain doué d’un corps propre et d’une identité singulière est née de la notion de sujet. C’est en effet autour de ce concept très occidental que s’est développée l’idée d’un être agissant de manière autonome et réflexive. Mais ce sujet constitué en « soi », en self, est aussi un sujet qui agit, un sujet pratique, engagé dans le monde extérieur selon une volonté et selon des motivations qui lui seraient propres. Un sujet donc non plus en tant que sub-jectum comme l’indique l’étymologie du mot ; non plus un sujet « soumis » à différents pouvoirs d’ordre politique et religieux, mais un sujet qui, au siècle des Lumières, avec la contestation de la royauté absolue et la critique de la hiérarchie catholique, devient un être de raison, constitué en droit (Taylor 1989). Désormais un sujet libre, un sujet libre de penser et libre d’agir comme il l’entend, un sujet dont les libertés sont fondées sur un certain nombre de droits, également partagés. Mais qu’en est-il dans la réalité de nos sociétés contemporaines, convaincues que démocratie et libéralisme économique vont de pair, convaincues aussi qu’elles sont les seules aptes à défendre les droits de l’homme et de l’individu dans leur universalité face à d’autres formes sociales, passant pour plus traditionnelles ? Envisagée du point de vue sociologique, la question a longtemps été de savoir qui, de l’individu ou de la société, est premier par rapport à l’autre. On le sait – pour Émile Durkheim la société ne saurait être considérée comme la somme des individus qui la composent, des individus donnés comme entités premières, dans leurs différents états de conscience. Du « holisme méthodologique » (le tout n’est pas réductible aux parties qui le composent) on est passé au « relationalisme méthodologique » : société et individus sont à comprendre dans des relations qui correspondent à des rapports de réciprocité. Le social et le collectif ne sauraient donc être envisagés comme les simples résultantes des actions et pratiques des individus (comme le laisse entendre l’« individualisme méthodologique »). Entre les individus-atomes (êtres indivis) et l’ensemble social auquel ils sont forcément intégrés, il y a interdépendance, interaction ; il y a « co-construction » des uns par l’autre, et vice versa. L’opposition toute théorique entre l’individuel et le collectif doit donc être dépassée (Corcuff 2007 ; Corcuff, Le Bart, de Singly 2010). Avant la guerre de 39-45, le sociologue et philosophe allemand Norbert Elias s’était déjà interrogé sur la nature de l’homme vivant dans ce qu’il appelait « la société des individus ». Les relations réciproques des individus les uns avec les autres constitueraient la condition même de l’existence humaine ; elles représenteraient l’une des bases de la condition d’être humain. Dès lors la vie sociale et l’appartenance à une société étaient données comme une disposition fondamentale, inscrite dans l’être social de l’homme. Pour Elias (1991), ce n’est que tardivement et épisodiquement, surtout à partir de la Renaissance, que serait apparue la conscience d’un « moi » pourvu d’une intériorité ; cette conscience nouvelle aurait alors entraîné, dans une perspective à vrai dire européocentrée, une « prédominance de l’identité du moi sur l’identité du nous ». Si les hommes en tant qu’individus sont bien interdépendants, la notion même d’individu est ancrée dans l’idée de la constitution d’un « moi » ; elle est fondée dans l’idée de sujet. C’est sur un constat analogue qu’est fondée la distinction tracée par l’anthropologue Louis Dumont (1983) entre sociétés holistes et société individualistes. D’un côté donc, dans les sociétés traditionnelles, un homo hierarchicus dont l’identité est définie par la place qu’il occupe dans l’ensemble social avec ses statuts et ses hiérarchies ; de l’autre un homo aequalis, promu dans les sociétés modernes par l’égalité instituée entre des individus considérés comme autonomes. Mais cette opposition se double d’un autre contraste. D’une part l’homme hors du monde : le modèle en est celui du renonçant indien qui se soustrait au réseau des liens sociaux pour se trouver face à lui-même, dans sa singularité ; d’autre part l’homme dans le monde : tel l’homme moderne, cet homme intra-mondain réalise son identité individuelle au sein de la société ; son individualité est posée comme une valeur et un but. Ainsi on assisterait en Occident à la naissance de l’individu moderne en particulier par la transition calviniste vers un « individu-dans-le-monde » mais pour y accomplir la volonté du dieu unique des chrétiens, puis par le passage à l’Individu de la première « Déclaration des droits de l’homme et du citoyen », libéré de la tutelle de l’Église au nom de la liberté de conscience exercée dans une société égalitaire. Or c’est précisément de la notion de liberté que sont nés tous les malentendus entretenus par une pensée économiste préoccupée de fait par la seule liberté du marché. En effet les libertés fondamentales assises sur les droits partagés qui constituent l’individu abstrait ont été transformées en des libertés individuelles qui permettraient à chacune et chacun de se développer concrètement selon ses capacités propres. Dans cette mesure, l’individualité est assimilée à la sphère privée ; et les droits égaux qui assurent des devoirs réciproques sont réduits aux droits de la personne dans sa singularité (Flahaut 2006), dans la concurrence entre les individus soumis à la marchandisation (Calame 2008). L’extraordinaire développement des sciences humaines dans les années soixante du siècle dernier a pu sembler sonner le glas du sujet occidental en tant que monade autonome, consciente et réflexive. À vrai dire, les différentes sciences de l’homme ont plutôt contribué à en approfondir les multiples dimensions. Du côté de la psychanalyse le sujet dans son psychisme s’est révélé se situer à l’intersection des pulsions animées par son corps propre et du refoulé accumulé dans l’expérience de son enfance au sein de la famille nucléaire. À l’anthropologue structuraliste ce même inconscient est apparu comme fondé, au-delà des différences culturelles, dans les structures universelles de l’esprit humain. Dans le débat entre individualisme et holisme méthodologiques, les sociologues n’ont pas manqué de subordonner l’individu aux relations sociales, insérant son existence dans les réseaux contraignants que tissent ces rapports souvent asymétriques. Et les linguistes se sont interrogés sur l’existence d’une grammaire universelle qui traverserait les langues et qui serait à la base de la compétence verbale de tout être humain. Ainsi l’atome-individu abstrait est désormais soumis aux déterminations psychiques, sociales, économiques, culturelles, verbales et bientôt neuronales qui découlent de sa constitution organique et psychique ainsi que son environnement « naturel » et social. Dans les différentes perspectives ouvertes par les sciences sociales, le sujet-individu est donc bien à saisir étymologiquement comme sub-jectum ; en tant que tel, il s’avère constamment soumis à des processus de subjectivation qui dépendent largement de son entourage matériel, familial, social et culturel. Loin d’entraver une autonomie morale et intellectuelle censée asseoir l’individu philosophique dans une liberté fondée sur la conscience de soi, ces paramètres d’ordre aussi bien organique que symbolique contribuent au contraire à l’enrichissement identitaire constant des individus singuliers. Cette fabrication est rendue indispensable par l’extraordinaire plasticité neuronale constitutive de l’être humain, en particulier dans ses manières de se représenter le monde social et l’écologie qui le déterminent et dans les modes de son action sur cet environnement humain et matériel. En se fondant sur les résultats relativement récents d’une part de la paléo-anthropologie, d’autre part de la neurologie, quelques anthropologues contemporains sont allés plus loin. Dans son incomplétude, l’homme ne saurait se développer, ni en tant que genre humain, ni en tant qu’individu, si l’organisation sociale et la culture n’étaient pas là pour activer et réaliser ses capacités neuronales ; la nature cérébrale de l’homme se révélerait ainsi dans son extraordinaire plasticité, une plasticité qui implique la contrainte (Ansermet, Magistretti 2004). Autant du point de vue phylogénétique du développement du genre humain qu’en ce qui concerne l’essence organique de l’homme avec son développement individuel, tout se passe en somme comme si la nature présupposait la culture, voire comme si, pour l’être humain, la culture précédait en quelque sorte la nature (cf. Dortier 2004). En effet, en anthropologie culturelle et sociale, la tendance traditionnelle est d’envisager la culture, de même qu’à l’époque du Romantisme allemand, comme le moyen de combler le vide laissé par la nature incomplète de l’homme. Ainsi Geertz (1973): « En résumé, nous sommes des animaux incomplets ou inachevés et nous nous complétons ou nous nous parachevons nous-mêmes par le biais de la culture ». Par le biais de pratiques d’ordre technique et symbolique où l’activité de la communication verbale joue un rôle essentiel, l’homme se constitue lui-même dans son identité affective et réfléchie ; il se construit en interaction obligée avec les différents cercles communautaires qui contribuent à sa fabrication, en interaction avec leurs différentes conventions et traditions qu’à son tour il adopte. Ce processus d’« anthropopoiésis » se poursuit pendant toute sa carrière d’être humain mortel. L’individu se fabrique à la fois par les autres et pour les autres, avec des spécificités individuelles et des processus de subjectivation qui engendrent des transformations dynamiques, mais aussi des affrontements et des conflits (Affergan et al. 2003). D’un point de vue anthropologique, l’identité complexe de chacun de nous repose donc sur une dialectique subtile entre d’une part la nécessaire fabrication sociale et culturelle de l’homme par ses proches et d’autre part le développement de la singularité de l’individu, avec son autonomie partagée entre identité-idem et identité-ipse (Ricœur 1990). L’épanouissement de l’individu en personne avec sa réflexivité critique dépend, dans l’interaction notamment discursive, des différents réseaux de sociabilité auxquels il appartient dans sa vie intellectuelle et pratique ; son émancipation repose sur les différents statuts que lui confère son action sociale, entre travail, cercle familial, activités culturelles, etc. Sans doute une identité personnelle épanouie est-elle la résultante du croisement pratique de plusieurs niveaux identitaires collectifs, d’ordre également ethnique et culturel (Galissot, Kilani, Rivera 2000). Dans cette mesure l’identité individuelle doit sans doute être garantie en situation postmoderne par une série de droits, mais aussi de devoirs.
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Tesis sobre el tema "Plasticité psychique"

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Réglé, Hélène. "Rétablissement, texture psychique et plasticité institutionnelle : approche interdisciplinaire des processus de changement". Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2019. http://www.theses.fr/2019USPCC051.

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Ce travail s’inscrit dans un espace de recherche clinique interdisciplinaire, à un croisement entre la psychanalyse et les sciences physiques. Il prend pour objet le « rétablissement » de la psychose, décrit par les personnes qui en ont traversé l’épreuve comme une transformation subjective, non-linéaire et irréversible, où la maladie, toujours présente, n’est plus centrale dans une vie maintenant soutenue par d’autres centres d’intérêts. L’approche interdisciplinaire a permis de faire un pas de côté pour saisir ce que pouvait être les grandes lignes d’une telle transformation et d’en retracer les conditions de possibilité. L’identification des facteurs internes et externes impliqués dans les processus de transformation naturelle nous a conduit par analogie à préciser des facteurs individuels et surtout environnementaux les plus susceptibles de favoriser le processus de rétablissement. Partant de la notion de « plasticité », nous avons tout d’abord proposé d’adjoindre à la notion de structure celle, issue de la physique, de « texture » psychique, qui caractérise la trace d’un « rapport au monde » dans l’actuel, singulier et évolutif, à la manière d’un texte qui s’actualise de manière vive en fonction des rencontres avec le monde réel. La transformation texturale que constitue le rétablissement, en tant qu’on le considère comme le passage d’une position existentielle à une autre, peut alors être décrit comme un processus non-linéaire de germination d’une nouveauté dans un environnement « métastable » où est introduit une perturbation. Cette transformation individuelle modifiant l’environnement même qui a permis son occurrence, nous introduisons la notion de « plasticité institutionnelle » pour décrire la qualité d’une institution qui serait en capacité de soutenir ce mouvement psychique. Cette qualité du lieu à se laisser affecter par ceux qui le traversent est illustrée par deux exemples d’institutions contrastés, l’une travaillant selon l’approche de la psychothérapie institutionnelle et la seconde selon une approche plus traditionnelle
This work is an interdisciplinary clinical research, at the crossroads of psychoanalysis and the physical sciences. It investigates the "recovery" in psychosis, described by people who have gone through this ordeal as a subjective, non-linear and irreversible transformation, where the disease, always present, is no longer central in a life now supported by other areas of interest. The interdis-ciplinary approach made it possible to step aside to grasp what could be the main lines of such a transformation and to trace its conditions of possibility. The identification of the internal and external factors involved in natural transformation processes led us, by analogy, to specify the individual and above all the environmental factors most likely to favor the recovery process. Starting from the notion of "plasticity", we have first proposed to add to the notion of psychic structure the physical notion of "texture", which characterizes a "relationship to the world" in the actual, and which is singular and evolutive, in the manner of a text that is updated in a lively manner according to encounters with the real world. The textural transformation of recovery, considered as the transition from one existential position to another, can then be described as a non-linear process of germination of a novelty in a "metastable" environment where disturbances are introduced. This individual transformation modifying the very environment that allowed its occurrence, we introduce the notion of "institutional plasticity" to describe the quality of an institution that would be able to support this psychic movement. This quality of the place to be affected by those who cross it, is illustrated by two examples of contrasting institutions, one working according to the « institutional psychotherapy » approach and the second according to a more traditional approach
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Floret, Dominique. "Traces d'esclavage en héritage : blessures, trauma et désubjectivation : La plasticité psychique en question(s)". Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2023. http://www.theses.fr/2023COAZ2041.

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La traite négrière et l’esclavage transatlantique, basés sur une idéologie raciste, représentent plusieurs siècles de violences interpersonnelles et de traumatismes répétés. Déshumanisant, l’esclavage a induit au niveau psychologique des processus de destruction massifs. Cette thèse en psychologie clinique analyse les traces de ce passé fondateur de la culture antillaise : elle explore les racines traumatiques de l’héritage de l’esclavage ainsi que ses manifestations contemporaines. Elle présente les résidus psychiques de ce traumatisme historique à travers l’élaboration de la culture créole, de l’identité antillaise et des pratiques sociales. Les anciennes colonies sont traversées par une prégnance de la violence dans le lien social, qui traduit tout autant un recours privilégié à la violence qu’une aptitude psychique à la traiter. Nous abordons cette tendance sous l’angle de la plasticité psychique. S’étayant sur la plasticité cérébrale, elle mobilise des défenses pour préserver l’homéostasie psychique selon la culture du sujet. Nos travaux concernent deux îles françaises, la Martinique et la Guadeloupe, et deux îles anglaises, la Dominique et Sainte-Lucie. Nous étudions leurs héritages par un croisement de disciplines (psychologie, psychanalyse, sociologie, anthropologie, neurosciences, histoire), dans une perspective épistémologique. Une recherche psycho-historique sur chaque île a permis de reconstituer la phylogenèse psychique, révélant l’archaïque de matrices identitaires enfouies. Elle dévoile l’ancrage d’un signifiant d’identité collective, qui repose sur plusieurs symboles issus du vécu des populations durant la période esclavagiste. En parallèle de ces vestiges identitaires propres à chaque île, on retrouve des stigmates psychiques transiliens qui contaminent le lien social. Arrimés à la culture, qui leur offre une voie de déploiement transgénérationnel, ils convoquent une répétition symptomatique des souffrances à travers certaines pratiques familiales et sociales. La culture antillaise, forte de ses adages créoles qui incitent à ne pas s’effondrer, soutiendrait aussi une plasticité psychique spécifique. L’étude quantitative en psychopathologie mesure l’effet de la culture antillaise sur l’impact psychologique de violences physiques répétées. Cette culture favorise le maintien d’un équilibre psychologique à travers un vécu de violences hautement traumatogènes. Les sujets antillais semblent être héritiers d’éléments de résistance psychique et de résilience efficaces face au trauma. L’étude qualitative en anthropologie sociale établit un état des lieux de l’appréhension de cet héritage aujourd’hui par les descendants d’esclaves. Par l’analyse de leurs discours et de leurs représentations de l’esclavage et de la traite négrière aux Antilles, elle amène à déterminer les vecteurs et les facteurs généraux qui façonnent le rapport des descendants à leur héritage. Ainsi, la présente thèse offre de nouvelles perspectives de compréhension des implications psychologiques de l’esclavage transatlantique et de la traite négrière. D’une part, en dévoilant la pluralité des héritages aux Petites Antilles et leurs contours singuliers. D’autre part, en présentant l’héritage commun sous un angle novateur : dans sa valence psychotraumatique, mais aussi en tant que transmission de ressources psychiques. Aussi, les signifiants d’identités collectives sont fédérateurs : ils fondent un héritage partagé, qui élude les divisions socioraciales. Enfin, nos travaux sur les blessures psychologiques des descendants pointent des pistes afin d’agir pour l’apaisement. La reconnaissance de ces blessures représente désormais un enjeu international. Une réflexion populaire et politique s’est engagée au niveau mondial, dans une dynamique de décolonisation et de réparation. Nos recherches s’inscrivent dans cette actualité : elles éclairent les traces du passé pour mieux répondre aux besoins psychologiques et sociétaux du présent
The slave trade and transatlantic slavery, based on a racist ideology, represent several centuries of interpersonal violence and repeated trauma. Dehumanizing, slavery induced massive psychological destruction. This thesis in clinical psychology analyzes the traces of this founding past of West Indian culture: it explores the traumatic roots of the legacy of slavery, as well as its contemporary manifestations. She presents the psychic residues of this historical trauma through the development of Creole culture, West Indian identity and social practices. The former colonies are marked by a pervasiveness of violence in the social bond, which reflects both a privileged recourse to violence and a psychic ability to deal with it. We approach this tendency from the angle of psychic plasticity. Based on brain plasticity, it mobilizes defenses to preserve psychic homeostasis according to the subject's culture. Our work focuses on two French islands, Martinique and Guadeloupe, and two English islands, Dominica and Saint Lucia. We study their heritages through a cross-disciplinary approach (psychology, psychoanalysis, sociology, anthropology, neuroscience, history), from an epistemological perspective.Psycho-historical research on each island has enabled us to reconstitute psychic phylogenesis, revealing the archaic nature of buried identity matrices. It reveals the anchoring of a collective identity signifier, based on several symbols derived from the experience of the populations during the slavery period. Alongside these identity vestiges specific to each island, we find transilians' psychic stigmas contaminating the social bond. Attached to culture, which offers them a means of transgenerational deployment, they summon a symptomatic repetition of suffering through certain family and social practices. West Indian culture, with its Creole adages encouraging people not to collapse, also supports a specific psychic plasticity. Quantitative studies in psychopathology have measured the effect of West Indian culture on the psychological impact of repeated physical violence. This culture favors the maintenance of psychological equilibrium through the experience of highly traumatizing violence. West Indian subjects seem to have inherited elements of psychic resistance and resilience that are effective in the face of trauma. This qualitative study in social anthropology takes stock of how the descendants of slaves understand this heritage today. By analyzing their discourse and representations of slavery and the slave trade in the French West Indies, it helps to determine the vectors and factors that generate and perpetuate this legacy.This thesis offers new insights into the psychological implications of transatlantic slavery and the slave trade. On the one hand, by revealing the plurality of heritages in the Lesser Antilles and their singular contours. Secondly, by presenting the common heritage from an innovative angle: in its psychotraumatic valence, but also as a transmission of psychic resources. Also, the signifiers of collective identities are federators: they form the basis of a shared heritage, which eludes socio-racial divisions. Finally, our work on the psychological wounds of descendants points the way to action to heal them. Recognition of these wounds is now an international issue. A popular and political debate is underway around the world, as part of a process of decolonization and reparation. Our research is part of this current trend: it sheds light on the traces of the past to better respond to the psychological and societal needs of the present
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Tricas, Barrio Sylvie. "« Souffrance d’enseigner », « avec ou contre » les troubles du comportement des élèves : vers une Plasticité Posturale Psychique de l’Enseignant". Thesis, Montpellier 3, 2018. http://www.theses.fr/2018MON30036/document.

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Cette recherche propose de porter un regard sur les dynamiques psychiques en jeu, dans les mouvements transférentiels qui émergent lorsque l’enseignant est confronté à la réalité de la rencontre avec l’élève porteur de troubles du comportement. De l’incompréhensible à l’insupportable, de la difficulté à la souffrance, le trouble élève fait effraction dans l’expérience subjective de l’enseignant et génère des « ruptures identificatoires», esquissant une certaine rigidité psychique dans sa posture professionnelle. L’ « extrapolation » des concepts de transfert et de contre-transfert issus du champ de la psychanalyse, permet de dessiner les contours d’un contre-transfert spécifique à l’enseignant dans une relation pédagogique troublée. En tant que sujet désirant, il mobilise des attitudes contre-transférentielles, observables dans leurs effets, relevant soit d’un déjà-là, soit d’une réactivité d’intensité variable, au regard de dysharmonies dans l’articulation de ses désirs et de ses représentations construites et prescrites, caractérisant ses filtres interprétatifs. Comprendre l’économie des dynamiques psychiques de l’enseignant en souffrance professionnelle, dans une approche clinique d’orientation psychanalytique, constitue une assise pour envisager de repenser l’interprétation de son expérience subjective, en faveur d’une Plasticité Posturale Psychique de l’Enseignant
This research proposes to look at the psychodynamic interactions at play in the transference movements that emerge when a teacher encounters the reality of a pupil with behavioural disorders. From the incomprehensible to the unbearable, from the difficulty to the suffering –the troubled pupil intrudes into the teacher's subjective experience and generates « identity breakdowns », hinting at a certain psychic rigidity in one's professional position. The « extrapolation » of the concepts of transference and counter-transference from the field of psychoanalysis outlines the contours of a counter-transference specific to the teacher in a troubled teaching relationship. As a desired subject, he mobilises counter-transferential attitudes, observable in their effects, falling under either an already-existing responsiveness or one of varying intensity in terms of disharmony in the articulation of his desires, and constructed and prescribed representations characterising his interpretative filters. Understanding the economics of the psychodynamics of the teacher with regard to professional distress, in a clinical approach with a psychoanalytical orientation, constitutes a foundation to consider rethinking the interpretation of his subjective experience in favour of a Psychic Postural Plasticity of the Teacher
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Capítulos de libros sobre el tema "Plasticité psychique"

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Galinon-Mélénec, Béatrice. "Numérique, plasticité psychique et insertion". En Traces numériques, 179–211. CNRS Éditions, 2013. http://dx.doi.org/10.4000/books.editionscnrs.21783.

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2

Boblet, Marie-Hélène. "XIV. Au nom de la personne : le « TU » de Tu ne t’aimes pas". En Nathalie Sarraute aujourd’hui, 227–36. Hermann, 2023. http://dx.doi.org/10.3917/herm.jeffe.2023.01.0227.

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Resumen
Tu ne t’aimes pas (1989), sans ignorer le risque d’un éclatement induit par un excès de modernité réflexive, loue la plasticité d’un Je/Nous et la richesse de la pluralité intrapsychique. Fiction spéculative, le roman expérimental de Sarraute questionne le rôle de la socialisation et de la communication intersubjective dans la construction psychique. À l’idéal d’un Moi fort , maître de ses pulsions comme de son discours, représentation fantasmatique répondant à l’injonction d’être soi, elle oppose un Tu étoilé, planétaire, incommensurable et vivant , capable d’intégrer du jeu dans le Je .
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