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Tesis sobre el tema "Néoplatonisme dans les hymnes"

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Sierra, Sophie. "Οppοsitiοn et cοnciliatiοn dans les "Ηymnes" de Rοnsard". Electronic Thesis or Diss., Normandie, 2024. http://www.theses.fr/2024NORMR122.

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Resumen
De 1549 à 1584, Ronsard écrit des hymnes d’une grande variété formelle et thématique. Le poète y développe des récits mythologiques ou allégoriques, évoque les guerres contemporaines, pratique l’éloge, tout en respectant une posture d’orant qui tente de restaurer les liens entre humanité et divinité. Ce simple constat peut justifier de réfléchir sur les hymnes à partir du couple notionnel « opposition et conciliation ». Notre étude, fondée sur des analyses narratologiques, stylistiques et rhétoriques, vise à comprendre comment la poétique du conflit contribue à rendre compte de la conception de l’univers de Ronsard, et plus spécifiquement de la place qu’il accorde à l’activité poétique dans l’appréhension des mystères des relations de l’humanité avec le divin. Nous suivons un fil thématique qui conduit progressivement à une réflexion sur le discours philosophique, la pragmatique, et la dimension métapoétique des hymnes. Ce parcours nous conduit à évaluer si cette poétique du conflit peut constituer un trait définitoire du genre au sein du corpus disparate des hymnes ronsardiens. Nous nous intéressons d’abord à la représentation des tensions constitutives d’un univers fondé sur la concordia discors : celle-ci met en évidence le mystère d’un cosmos harmonieux malgré les forces contradictoires qui l’animent et pourraient en provoquer la destruction. La force ou la violence, mais aussi la parole ou l’art, semblent capables d’y maintenir l’ordre. Nous étudions ensuite les évocations bien plus ambivalentes des conflits terrestres. Ils peuvent dévoiler les qualités des combattants, mais ils s’apparentent aussi profondément au « Discord », le désordre qui mine l’harmonie cosmique. Ainsi, les rapports de force sur terre révèlent l’imperfection fondamentale d’une humanité en qui s’opposent la matière et l’esprit. La troisième partie réfléchit à la pragmatique de l’hymne, qui vise à obtenir une action divine bénéfique en retour de l’énonciation du poème. En ce sens, le choix du genre hymnique souligne la confiance accordée par le poète à la parole ; celui-ci s’accorde d’ailleurs un rôle d’intermédiaire essentiel entre humanité et divinité. En effet, les prières cherchent à protéger les bénéficiaires de toutes sortes de maux qui font ressentir à l’homme dans son corps la lutte entre la chair et l’esprit, c’est-à-dire, dans une perspective chrétienne influencée par le néoplatonisme, la tension entre la tentation de la chute dans la matière et l’élévation vers le divin. La quatrième partie poursuit la réflexion sur la représentation de l’opposition entre l’esprit et la matière : cet antagonisme se traduit notamment par des récits mythologiques mettant en scène des personnages placés dans une position intermédiaire entre terre et ciel, qui ont l’audace de vouloir combler cet espace. Le questionne-ment sur la fonction conciliatrice de la parole est central dans ces récits, qui paraissent en outre faire signe vers l’aristotélisme pour résoudre la tension entre matière et esprit intrinsèque à la condition humaine. Le poète s’inclut parmi ces figures audacieuses : il semble donc légitime de rechercher dans la poétique des hymnes la trace d’une réflexion sur la possibilité, pour l’hymnographe, de s’accomplir au sens aristotélicien. Ronsard peut-il « inventer », au sens rhétorique du terme, ce langage tout puissant capable de communiquer avec le divin ? Nous tentons de répondre à cette question dans la dernière partie. Pour cela, nous y étudions en particulier l’énonciation afin de définir en quoi les pièces de notre corpus pour-raient être trace de la quête de cette voie/x apte à réconcilier l’homme avec le divin
From 1549 to 1584, Ronsard wrote hymns of great formal and thematic variety. The poet develops mythological or allegorical narratives, evokes contemporary wars, composes panegyrics, all the while maintaining the posture of an orator attempting to restore the links between humanity and divinity. This simple observation may justify thinking about hymns in terms of the notional couple “opposition and conciliation”. Our study, based on narratological, stylistic and rhetorical analyses, aims to understand how the poetics of conflict helps to account for Ronsard's conception of the universe, and more specifically the place he accords to poetic activity in apprehending the mysteries of humanity's relationship with the divine. We begin by following a thematic thread that gradually leads to a reflection on philosophi-cal discourse, pragmatics and the metapoetic dimension of hymns. This path leads us to assess whether this poetics of conflict can constitute a defining feature of the genre within the disparate corpus of Ronsardian hymns. First, we examine the representation of the tensions that provide the base of a universe founded on concordia discors. This highlights the mys-tery of a harmonious cosmos, in spite of the contradictory forces that animate it and could bring its destruction about. Force or violence, but also speech and art, seem to be able of maintaining order. We then study the far more ambivalent evocations of earthly conflicts. They may reveal the qualities of the combatants, but are also deeply akin to “Discord”, the disorder that undermines cosmic harmony. The power struggles on earth reveal the funda-mental imperfection of a humanity in which matter and spirit are seemingly opposite. The third part reflects on the pragmatics of the hymn, which aims to obtain beneficial divine actions in return for the utterance of the poem. Accordingly, the poet's confidence in the spoken word is underlined by the choice of the hymnal genre. He incidentally grants himself the role of an essential intermediary between humanity and divinity. Indeed, the prayers seek to protect the recipients from all manner of evils that make man feel in his body the struggle between flesh and spirit, i.e., in a Christian perspective influenced by Neoplato-nism, the tension between the temptation to fall into matter and the elevation to the divine. The fourth part continues the reflection on the representation of the opposition between spirit and matter: this antagonism is reflected in mythological tales featuring characters placed in an intermediary position between earth and sky, who have the audacity to try to bridge this gap. The investigations around the conciliatory power of speech are central to these tales, which also seem to point to Aristotelianism as a means of resolving the intrinsically human tension between matter and spirit. The poet can be considered as one of these daring characters. Therefore, it seems legitimate to seek in the poetics of the hymns the trace of a reflection on the possibility, for the hymnographer, of self-fulfillment in the Aristotelian sense. Can Ronsard “invent”, in the rhetorical sense of the term, that all-powerful language capable of communicating with the divine? We attempt to answer this question in the final section. In particular, we study enunciation in order to define how the pieces in our corpus could be a trace of the quest for a voice capable of words that reconcile man with the divine
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Sabourin, Mathieu. "Le Marsanès dans l'histoire du néoplatonisme". Master's thesis, Université Laval, 2005. http://hdl.handle.net/20.500.11794/43478.

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Resumen
Ce mémoire porte sur les rapports qu’entretenait le milieu dont est issu le Marsanès, un traité gnostique du corpus de Nag Hammadi, avec la philosophie néoplatonicienne, notamment à travers les figures de Plotin, Jamblique et Théodore d’Asinè. L’influence de ce dernier sur le Marsanès serait surestimée,. alors que Jamblique offrirait une compatibilité sans précédent avec le séthianisme platonisant, un mouvement gnostique auquel appartient le Marsanès. Un même processus expliquerait les évolutions du platonisme vers le hiératisme du De Mysteriîs d’une part, et du séthianisme vers le rationalisme du Marsanès d’autre p art Ce processus de sécularisation, amorcé dès le médioplatonisme, aurait, du moins en apparence, rapproché les philosophes des rédacteurs du Marsanès. Bien que cette apparence ne résiste pas à un examen plus soutenu, il est fort possible qu’elle suffît aux yeux des gnostiques.
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Toulouse, Stéphane. "Les théories du véhicule de l'âme : genèse et évolution d'une doctrine de la médiation entre l'âme et le corps dans le néoplatonisme". Paris, EPHE, 2001. http://www.theses.fr/2001EPHE5010.

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Kwon, Hee-Chang. "Le vocabulaire scientifico-technique dans les "Hymnes" de Ronsard (1555-1556)". Dijon, 1994. https://nuxeo.u-bourgogne.fr/nuxeo/site/esupversions/c81c879b-29c6-48b2-aaa5-166b18834f91.

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Les études ronsardiennes connaissent une prolifération considérable depuis une dizaine d'années, en particulier, les Hymnes bénéficient d'un développement exceptionnel. Toutefois, peu d'études sur les Hymnes se rapportent aux problèmes formels et, surtout s'agissant de la langue, rien ne s'accuse spécialement. Ainsi, il parait utile de procéder dans un premier temps à un relevé complet du vocabulaire scientifique et technique afin d'examiner sa spécificité. Après ce travail lexicographique, notre enquête portera sur la position du poète dans ses Hymnes vis-à-vis de ses nombreuses déclarations linguistiques faites depuis 1550 qui visent à l'enrichissement de la langue française ne faisant appel aux langues anciennes et vivantes, aux vieux fonds français et aux néologisme. Dans la deuxième partie, nous examinons le fonctionnement et la valeur du vocabulaire en décrivant "la structure relationnelle des valeurs sémantiques manifestées dans l'oeuvre". Nous essayons également d'éclairer les idées ronsardiennes recelées par les relations de mots
Studies on Ronsard have known a considerable proliferation for the last ten years or so, in particular, the Hymnes have benefited from this exceptional development. However, few studies about the Hymnes are connected to formal problems and especially concerning the language, nothing is particulary obvious. Thus it appears useful to initially proceed in making a complete list of scientific and technical vocabulary in order to examine its specificity. After, this lexicographic piece of work, our investigation will address the poet's position in the Hymnes vis-a-vis the numerous linguistic declarations made since 1550 which aim at enriching the French language by appealing to ancient and living languages, to old French sources and to neologismes. Secondly we will examine the function and the value of the vocabulary describing the relationnelle structure of the semantic values displayed in the work. We will try to clarify the ideas of Ronsard
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Vacanti, Valeria. "Hénologie, hénadologie, théologie chez Proclus et dans le néoplatonisme après Plotin". Paris, EPHE, 2006. http://www.theses.fr/2006EPHE5007.

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Martin, Pierre. "Le néoplatonisme ficinien à l'oeuvre dans la "Délie" de Maurice Scève". Poitiers, 1995. http://www.theses.fr/1995POIT5010.

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Le in convivium de ficin offrait a sceve le modèle d'une psychophysiologie de la fascination amoureuse influencée par la conception platonicienne de la vision, et la delie fait une place importante au thele de la migration des esprits, par le truchement du regard, hors du corps dont ils ont la charge. Les esprits de l'animée gagnent par la fenêtre des yeux de cœur de l'amant ou ils se reconvertissent en sang, un sang étranger qui empoisonne le corps envahi et y grave comme par corrosion une image de delie. Cette image suscite un ravissement négatif qui entraîne "résolution", mélancolie, dysfonctionnement des principes vitaux, toutes morts d'amour agravées par le refus de la réciprocité qui permettrait a l'esprit de l'amant d'investir a son tour le corps de l'aimée pour y revivre - delie est doublement homicide. Mais cette image réveille aussi dans l'âme intellective l'idée de beauté que l'amant, au terme d'une anamnèse volontairement entreprise, peut dans un ravissement positif contempler. Essentiellement paradoxale, la beauté corporelle apparaît ainsi comme une tension vers la matière en même temps que la première étape d'un pèlerinage épistémologique qui ramène l'âme vers son principe comme dans la conversion plotinienne de l'être : l'individu amoureux, que son désir constitue comme sujet, manifeste son libre-arbitre en choisissant la qualite spirituelle. Aussi la delie propose-t-elle une conception de la représentation qui privilégie des configurations de signes en forme d'énigmes, exigeant une lecture spirituelle, tandis que paradoxismes et procédés de la brièveté, dans une tension vers l'aphasie, manifestent le fait qu'"entier congnoissance" reste au delà du discursif. Mais sceve déploie également un imaginaire nouveau, que nourrit le discours psychophysique, remplaçant la médiation du corps désirable par un commerce paisible avec la nature
Ficino's in convivium was for sceve the model of a psychophysiology of the fascination of love influenced by the platonic concept of vision and the theme of the migration of spirits out of the body they are in charge of, by means of eyesight, plays an important part in the delie. The spirits of the beloved reach the lover's heart through the breach of the eyes to be converted into blood, a foreign blood poisonous for the invaded body, an image of delie being consequently etched therein. The image starts up a negative trance, the source of "resolution", melancholy, the unsettling of vital principles - as many deaths from love aggravated by the refusal of reciprocity which would enable the lover's spirit ot invest in turn the beloved's body where to live anew. Delie is twice a murderess. But this image also wakes up in the intellective soul the idea of beauty which the lover, in a state of positive trance, an contemplate after voluntarity starting an amnesis. Corporeal beauty, essentially paradoxical, thus appears as a tension towards matter as well as the first stage in an epistemological pilgrinage which brings back the soul to its principle as in the plotinian conversion of the being. The person in love whom desire turms into a subject asserts its free will by chosing spirituality. So in the delie representation answers a concept which favours sign patterns as enigmas requiring spiritual reading whereas paradoxical and brief statements aiming at aphasia reveal the fact that human words are inadequated to reach "entiere congnoissance". But sceve also uses new image patterns from the psychophysiological stock so that peaceable intercourse with nature is substitute for the mediatory desirable body
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Maravelia, Amanda-Alice. "Les astres dans les textes religieux en Egypte antique et dans les "hymnes orphiques" helléniques". Limoges, 2004. http://www.theses.fr/2004LIMO2005.

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Cette thèse examine l'évolution de la pensée astronomique ainsi que les idées astronomiques et cosmovisionnelles diverses dans l'Egypte pharaonique (C. 2800 à 1200 BCE), d'après les textes religieux importants comme les "Textes des pyramides" e les "Textes des sarcophages". Plus précisément, nous examinons les conceptions que les Egyptiens se faisaient des astres (étoiles, Soleil, Lune et planètes) ; nous les comparons aux mêmes notions dans les "Hymnes orphiques" ; enfin, nous les comparons avec prudence épistémologique - mutatis mutandis - aux conceptions astronomiques et cosmologiques modernes. Bien que notre étude comparative entre les conceptions des astres chez les Egyptiens et les Orphiques soit complète, notre analyse des sources égyptiennes quant à elles (PT, CT, BD, & C. ) n'est pas exhaustive. Notre étude textuelle des "Hymnes orphiques" et des textes funéraires égyptiens se place dans le cadre interdisciplinaire de l'Egyptologie et de l'Archéoastronomie.
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Dufourcet, Marie-Bernadette. "Les hymnes "Pange lingua" dans la polyphonie vocale et instrumentale à la Renaissance". Paris 4, 1988. http://www.theses.fr/1988PA040050.

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L'analyse des pange lingua composes en europe aux xve et xvie s. , permet d'examiner dans le detail, les tendances generales du repertoire religieux de l'epoque, comme, par exemple, l'accroissement de l'effectif, l'essor du style imitatif, le recul du cantus firmus en valeurs longues, au profit d'un cantus firmus integre a la polyphonie, l'evolution du langage vers l'equilibre entre contrepoint et harmonie, sentiment modal et tonal, l'incorporation progressive de la tierce majeure dans les accords terminaux et, sur le plan prosodique, la volonte de rendre plus perceptibles les paroles ou de respecter l'accentuation latine, dans les oeuvres post-tridentines. Enfin, les pange lingua instrumentaux illustrent, de facon assez representative, les differents stades de l'emancipation stylistique du repertoire instrumental, par rapport a l'ecriture vocale
The analysis of the pange lingua hymns composed in europe in the 15th and 16th centuries allows us to examine in detail the general tendencies of the religious repertoire of the period. Examples of this include the increasing number of voices, the rise of the imitative style, the decline of the use of the cantus firmus in long note values, towards a cantus firmus integrated into the polyphony, the development of the musical language towards a balance between counterpoint and harmony, modal and tonal feeling, the progressive incorporation of the major third in final chords, and, on the prosodic level, the will to make the words more perceptible and to respect the latin accentuation in the post-tridentine works. Finally, the instrumental pange lingua illustrate, representatively, the different stages of the stylistic liberation of the instrumental repertoire with regard to the vocal writing
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Dufourcet, Marie-Bernadette. "Les Hymnes "Pange lingua" dans la polyphonie vocale et instrumentale à la Renaissance". Lille 3 : ANRT, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb376133871.

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D'Intino, Silvia. "La parole révélée et l'expérience poétique : mythe et théorie de la parole dans les hymnes du Ṛgveda". Paris, EPHE, 2004. http://www.theses.fr/2004EPHE5009.

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Les hymnes du Rgveda présentent une réflexion très articulée sur la parole, comportant une mythologie originale et une véritable théorie, une réflexion que les poètes - voyants de la Révélation védique – portent sur leur propre travail. Discours apparemment mineur, cette méditation des poètes sur la parole est pourtant parfois le thème central, déclaré, de l’hymne ; le plus souvent – sous forme de propos parallèle – il est le thème masqué du poème et une possible clé de son unité de lecture. Ainsi, c’est à partir de l’exégèse d’hymnes choisis – RV X 71 ; I 72 ; III 39 ; X 34 – et de leur commentaires, qu’on peut isoler quelques notions essentielles de cette théorie de la création poétique : la nomination, la vision, la création proprement dite. Etudiées dans leur contexte, au sein d’un vaste tissu de correspondances symboliques, ces notions renforcent les implications réciproques entre mythe et théorie du sacrifice, ce dernier étant non seulement une pratique immémoriale, mais également le principe structurant de la pensée de l’Inde ancienne. La relation à la parole semble aussi une voie d’accès à l’intelligence des traits souvent énigmatiques des dieux védiques. Dans une telle perspective, l’opposition entre deux figures mythologiques complémentaires, ce qui est du côté d’Agni et ce qui est du côté d’Indra, symboles de deux modalités essentielle de la parole, fait apercevoir, à la fin de ce travail, une nouvelle approche possible des matériaux mythologiques, où la relation à la parole et l’expérience poétique viennent se loger au centre même de la réflexion védique sur la nature des dieux
The hymns of the Rg-Veda present a very articulate understanding of speech which included not only a myth of origin but also a theory, a reflection that the poetic Seers of Vedic Revelation bring to their work. While sometimes these discourses may appear secondary, the poet’s meditation on speech is often openly declared as the central theme of the poem, and more often still it appears as a parallel, masked theme of the poem and a possible key to understanding the hymn as a whole. By analyzing selected hymns (RV X 71 ; I 72 ; III 39 ; X 34) and their commentaries, one can isolate various essential elements of this theory of poetic creation: the acts of naming, seeing, and fabricating the poem itself. Studied in their context, the centre of a vast fabric of symbolic correlates, these ideas reinforce reciprocal implications between myth and the theory of sacrifice, sacrifice being not only an immemorial practice, but also the structuring principle of ancient Indian thought. The often enigmatic traits of Vedic deities may be understood by means of their relation to speech. The opposition between the two complementary mythological figures Agni and Indra reflects, in fact, two essential symbolic modalities of speech. As revealed at the end of this work, this point of view proffers a new approach to the mythological materials, one in which their relation to speech and the poetic experience become central to Vedic reflection on the nature of the gods
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Sethupathy, Elisabeth. "Le chant du Tevaram dans les temples du pays tamoul : au confluent de la bhakti sivai͏̈te et de la musique tamoule". Paris 3, 1994. http://www.theses.fr/1995PA030041.

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Le tevaram, ensemble d'hymnes tamouls composes entre la fin du sixieme siecle et le debut du huitieme, a la louange du dieu shiva, est etudie, en tant que double tradition, religieuse et musicale, du pays tamoul (inde du sud). Le tevaram est presente d'abord dans son cadre historique et litteraire puis en rapport avec les temoignages epigraphiqu es disponibles et enfin dans son cadre religieux au sein d'une pratique tamoule du shivaisme. Agents fondamentaux de la transmission au sein de cette tradition, les chanteurs appeles oduvars, charges du chant des hymnes shivaites et surtout de ceux du tevaram au sein des temples, sont ensuite decrits : origine sociale (principalement hautes castes non-brahman es mais pas uniquement), detail de leur role au sein des temples. Quelques lieux saints caracteristiques du shivaisme tamoul sont pris en exemple et des elements biographiques concernant certains chanteurs permettent de mettre en lumiere l'importance de leur fonction ainsi que leur position au sein de la culture religieuse et aussi, en partie, de l'erudition tamoule. Le probleme de la transmission est ensuite aborde par le biais de l'enseignement : description des ecoles traditionnelles : fonctionnement, programme d'enseignement, reformulation de la tradition a l'epoque moderne. Dans la seconde partie, sont poses un certain nombre de problemes concernant la musique du tevaram. En effet, vue comme authentique musique tamoule ancienne par certains, legerement meprisee comme archaique et ennuyeuse par certains musiciens classiques, en porte-a-faux en raison du systeme theorique - aujourd'hui disparu - auquel elle se rattache et reinterpretee en termes de musique carnatique a l'epoque moderne, la musique du tevaram fut l'objet de debats passionnes a l'epoque moderne. Les enjeux politico-sociaux qui exercerent une grande influence sur la maniere d'aborder son etude sont largement detailles aux cotes de quelques elements de theorie musicale.
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Kriticou, Flora. "Etude comparée de répertoires liturgiques musicaux : l'hymnaire de Laon, manuscrit 263 et ses correspondances dans les hymnaires du Nord-Est de la France". Paris, EPHE, 2004. http://www.theses.fr/2004EPHE4004.

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Cette étude a eu pour point de départ l'hymnaire de Laon, manuscrit 263, qui était en usage à la cathédrale de Laon. La recherche a été ensuite élargie à tous les hymnaires de la région. Le premier volume concerne une introduction générale ou les hymnes sont examinés du point de vue historique et philologique. Le deuxième volume concerne les manuscrits sur lesquels cette étude a été fondée et contient les listes d'hymnes. Le quatrième et le cinquième volume sont des annexes où on trouve les apparats négatifs des analyses séparés en deux corpus et les tableaux concernant les analyses
This essay has had as a starting point the Laon, Bibliothèque 263 manuscript, which holds a hymnal in use in the cathedral of Laon. The research, afterwards, has included the hole hymnologic repertory of Laon and the one of the neighbouring cities as well. The first volume concerns a general preface in which the repertory of hymns has been examined in terms of history. The second volume concerns the manuscript on which this research has been based and the lists of hymns contained as well. The third volume concerns the music analyses of hymn melodies. The forth and fifth volume are supplements where we can find the scores of the music analyses separated in two corpora along with the indexes pertaining to the analyses
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Tazzolio, Florent. "Structure du lien hénologique chez Plotin : du rapport entre l'Un et l'être dans le néoplatonisme alexandrin des Ennéades : philosophie et mystique". Lyon 3, 2001. http://www.theses.fr/2001LYO31015.

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Le père du néoplatonisme, le penseur alexandrin Plotin (205-270), héritier d'une tradition grecque que l'on rattache plus fortement à Platon, n'en demeure pas moins un des philosophes les plus originaux de l'histoire de la philosophie occidentale. Sa doctrine fondée sur l'hénologie, la science de l'Un, origine et principe du monde et de l'être, révèle à la fois la tradition antique du dualisme où le fondement est toujours séparé du fondé et la tradition plus mystique du panthéisme ou émanatisme oriental où le fondement est en continuité avec ce qu'il fonde. Notre problématique tente de répondre à la double exigence de maintenir la question de ce fondement, l'Un, dans une continuité relative avec l'être, dépendant de l'ontologie grecque classique, ainsi que dans une altérité radicale exigée par la transcendance absolue de cet Un, Néant d'excès absolument négatif et ineffable dont on ne peut discourir, afin de comprendre par un approfondissement du rapport unité-séparation, quelle peut être la structure du lien hénologique, c'est-à-dire quelle est la nature du rapport Un-être si l'Un est à la fois altérité radicale de l'être et présence relative de l'être. Nous interrogeons l'aspect paradoxal d'une doctrine qui intériorise ses contradictions nécessaires à partir de la problématique des rapports transcendance-immanence, dualité-unité, origine-émanation, mystique-métaphysique, connaissance-ineffable, être-néant. . . Nous verrons que le lien hénologique, inapparent dans l'expérience, est le lieu de ressaisie de toute origine, de toute unité dans un espace négatif, permissif et créatif, à partir duquel le sens advient selon un cheminement mystique qui nous ouvre à l'horison sans objet de l'Absolu et en quel sens ce lien est "relation de l'opposition"
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Lortie, François. "La doctrine de l'intellection dans la philosophie de Proclus : études sur les principes de la noétique néoplatonicienne". Paris, EPHE, 2014. http://www.theses.fr/2014EPHE5015.

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Dans son Commentaire sur le Timée, alors qu’il analyse le lemme où apparaît le syntagme intellection accompagnée de raison (noêsis meta logou) (Timée, 28a1-4), Proclus s’interroge sur la nature de la connaissance par laquelle, selon le discours de Timée, l’âme humaine peut appréhender l’Être véritable. D’après les principes dialectiques (division, définition, démonstration et analyse) qui guident son travail de philosophe et de commentateur, le diadoque de l’École d’Athènes présente six acceptions de l’intellection (noêsis), parmi lesquelles il détermine, après avoir écarté les cinq autres, la seule qui puisse convenir aux propos de Timée : i) l’intellection intelligible; ii) l’intellection qui lie l’intellect à l’intelligible; iii) l’intellection de l’intellect divin; iv) l’intellection des intellects particuliers; v) l’intellection de l’âme raisonnable; vi) l’intellection de l’imagination. Les trois premières acceptions sont d’emblée rejetées, car elles transcendent la connaissance humaine. L’intellection de l’âme raisonnable, liée au temps, est jugée inapte à saisir l’Être, par nature éternel, alors que l’intellection imaginative, dont le corrélat est une image particulière, ne saurait convenir à sa connaissance, l’Être étant universel et sans figure. Par conséquent, seule l’intellection d’un intellect dit particulier peut expliquer la connaissance que l’âme humaine peut avoir de l’Être, celle que définit l’expression noêsis meta logou
In his Commentary on the Timaeus, while analysing the passage containing the expression “intellection accompanied by reason (noêsis meta logou)”, Proclus launches into a discussion of the nature of the mode of knowledge by which, according to Timaeus, the human soul can reach real Being. According to the dialectical principles (division, definition, demonstration and analysis) that guide his work as a philosopher and commentator, the head of the School of Athens defines six meanings for the word noêsis, amongst which he determines, after having discarded the others, the only one that can be meant by Timaeus in his speech: i) the intelligible intellection, ii) the intellection linking the intellect to the intelligible, iii) the intellection of the divine intellect, iv) the intellection of the particular intellects, v) the intellection of the rational soul, vi) the intellection of the imagination. The first three senses of ‘intellection’ are promptly set aside, as they imply an intellection that transcends human knowledge. The intellection of the rational soul, because of its temporal activity, is judged unable to grasp Being in its eternity, whereas imaginative intellection, whose object is a particular image, cannot adequately grasp the universality and shapelessness of Being. Only the intellection of a so-called particular intellect can therefore explain the human soul’s knowledge of Being, that knowledge which Proclus takes to be defined by the expression noêsis meta logou
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Lacroix, Francis. "Plotin. Traité 6 (IV 8) Sur la descente de l’âme dans les corps : introduction, traduction et commentaire". Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2019. http://www.theses.fr/2019PSLEP037.

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Resumen
La thèse vise à introduire, traduire et commenter le traité 6 (IV 8) Sur la descente de l’âme dans les corps de Plotin. L’introduction tente de remettre le traité dans le contexte historique dans lequel Plotin évoluait, à savoir un monde romain où le christianisme émergeait, mais celui-ci étant encore instable, plusieurs sectes s’immiscent dans les débats métaphysiques de l’époque. Parmi ces hérésies chrétiennes se retrouvent plusieurs groupuscules que l’on rassemble sous l’appellation « gnostiques », avec qui Plotin a assurément échangé pendant qu’il enseignait à Rome, puisqu’il a rédigé un traité qui s’efforce de les réfuter (33 [II 9], Contre les gnostiques). Dans cette thèse, nous cherchons donc à déterminer l’apport des gnostiques dans le traité 6 (IV 8), notamment en lien avec l’idée principale que Plotin avance, nommément la théorie de la non-descente partielle de l’âme. Pour ce faire, nous présentons d’abord la mystique plotinienne de l’Intellect, puisque le traité débute sur cet aspect primordial pour comprendre la doctrine stipulée par le philosophe. Ensuite, nous abordons les points les plus importants dans la conception plotinienne de l'âme, ce qui nous permet de mieux comprendre la vision générale du philosophe. Cette introduction se penche finalement sur les sources de Plotin dans le traité 6 (IV 8), mais aussi dans tous ses premiers écrits, pour ainsi établir une corrélation avec certains textes gnostiques, principalement ceux appartenant à la tradition séthienne platonisante. La traduction qui s’ensuit permet donc de jeter un regard plus juste sur le texte grec, puisque nous avons préalablement déterminé à qui s’adressait Plotin dans son traité. Le commentaire élaboré couvre enfin la totalité des huit chapitres et explique le texte ligne par ligne en insistant sur les liens qui peuvent être faits avec les différents courants de pensée
The thesis aims to introduce, translate in French and comment Plotinus’s treatise 6 (IV 8) On the Descent of Soul into Bodies. The introduction elaborates on the historical context in which Plotinus was teaching, namely a Roman Empire overruned by an emergent christianism, yet instable, since many sectaries interfered in the metaphysical debates in vigour at the moment. Among these Christian heresies can be found a plethor of groupuscules reassembled under the aegis of the name « Gnostics », with whom Plotinus assuredly debated while he was teaching at Rome, since he dedicated a treatise to refute them (33 [II 9] Against the Gnostics). Therefore, this thesis endeavours to determinate the Gnostic contribution to treatise 6 (IV 8) with a particular focus on the main theme that Plotinus put forward, namely the theory of the partial non-descent of the soul. To do so, we firstly present the plotinian mystic of the Intellect, since the treatise begins with this primordial aspect for the understanding of the neoplatonician doctrine. Secondly, we then address the principal points of Plotinus’s psychology, which allows us to grasp a general view of the neoplatonician conception. Thirdly, we finally examine Plotinus’s sources not only in treatise 6 (IV 8), but also in all his first writings, so that we can put them in relation with some Gnostics texts, especially with those called the platonizing sethians. Thus, the following translation is more accurate in regards of the Greek text, as beforehand we identified the interlocutors of Plotinus in his treatise. Finally, the elaborated commentary which covers the whole eight chapters provides a line-by-line explanation focusing on the link between this very treatise and the other currents of thought
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Kraatz, Anne. "L'influence d'un système de pensée sur un système de mode : L'exemple du néoplatonisme ficinien, 1470-1500". Paris, EPHE, 2002. http://www.theses.fr/2002EPHE4027.

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Y-a-t-il un lien entre la mode vestimentaire des trois dernières décennies du XVe siècle et la pensée des cercles humanistes néoplatoniciens de cette période ? C'est la question que nous nous sommes posée au vu du changement manifeste apporté à la représentation de la mode au cours de ces années là, par rapport à la période précédente. Notre objectif en essayant de répondre à cette question était triple. Il s'agissait d'abord de proposer de nouvelles pistes de recherches dans un domaine jusqu'ici peu exploré, celui de la phénoménologie du vêtement porté, par opposition à l'étude traditionnelle du costume 'vide' de corps. Il s'agissait ensuite de déterminer si un courant de pensée abstrait par définition, peut être rendu manifeste par une forme concrète, ici le vêtement, dès lors que ce courant touche à l'un ou l'autre des problèmes fondamentaux d'une société et d'établir si la mode vestimentaire, concrète par définition, répond bien à des critères abstraits, ici mathématiques et philosophiques, pour déterminer la silhouette qui correspond le mieux au courant de pensée auquel souscrit à un moment donné la société qui l'adopte. Le néoplatonisme de Marsile Ficin étant le courant philosophique majeur des années 1470-1500, après en avoir résumé les idées essentielles, nous nous sommes donc efforcée de suivre les traces laissées par celui-ci dans les incunables à figures de l'époque, ainsi que dans les textes. Nous avons ensuite tenté d'analyser l'impact de ces diverses traces sur les comportements de l'époque susceptibles d'influencer les pratiques vestimentaires, notamment les comportements sexuels. Puis nous avons essayé d'établir une définition précise de ce qui est constitutif de la mode pour pouvoir ensuite démontrer que la mode vestimentaire des années 1470-1500 est bien le reflet de la pensée néoplatonicienne. Enfin, nous avons attribué à la silhouette vêtue de cette période une figure géométrique qui la symboliserait
Is there a causal link between fashionable clothes worn during the last three decades of the XVth century and Neo-Platonism thinking among humanists of the period? The question was prompted by our observation that a major change in fashion had occurred during those years. Our objective, when trying to answer the question was a three-pronged one, it was first to suggest new avenues of research in a field heretofore seldom exploited, that of the phenomenology of clothes, in as much as traditional research in that area approach costume as if it were empty of the body that carries it. Secondly it was to try and determine whether a current of thought, abstract by nature could be made manifest by a concrete form, in this case clothing, whenever this current deals with one or the other of the fundamental problems of a given society, and thirdly, to establish whether fashion clothing, concrete by nature, actually responds to abstract criteria, in this case mathematical and philosophical ones, to determine the silhouette which best corresponds to the current of thought under which the society that wears it operates, Neo-Platonism. A-, propounded by Marsilio Ficino, being the major current of thought during the years 1470-1500, we have tried first to summarize its essential components, following which we have tried to trace its impact on images of the period, mostly in illustrated incunabula, as well as on written texts of the times. Next we attempted to analyze the impact of these traces on such contemporary behavior as was likely to have had an influence on clothing practices, notably sexual behavior. We then established a firm definition of what constitutes fashion so as to be able to demonstrate that clothing worn during the 1470-1500 decades is an accurate reflection of Neo-Platonist thought. We have then attributed a symbolic geometric figure to the fashion of that period to define it in Neo-Platonist terms
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Karakostanoglou, Jean. "Le phenomene de l'extase dans le monde grec des trois premiers siecles de notre ere". Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040005.

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L'extase est etudiee en tant que phenomene et non en tant que notion. Par ce phenomene, il faut entendre l'experience mystique ultime de l'union directe et immediate avec dieu. Des ici-bas. Cette experience constitue un mode d'existence et un mode de connaissance en meme temps. La recherche presente aussi tout l'itineraire qui conduit a ce terme et qui constitue la voie mystique. Mais les differents systemes philosophiques et religieux ne concoivent pas de la meme facon, ni la voie mystique ni l'extase elle-meme. L'etude compare les deux pensees dominantes des trois premiers siecles : le neoplatonisme -plotin, porphyre, jamblique avec la theurgie qui l'a influence, -d'une part et le christianisme -ecritures, visions des martyrs, patristique depuis les peres apostoliques jusqu'a origene, -d'autre part. Elle essaie de montrer comment les differentes conceptions de ces deux mondes, aux niveaux cosmologique, theologique et anthropologique, conditionnent des extases differentes aussi. Les differences concernent l'objet de l'extase, le sujet qui l'experimente, le moyen d'arriver a celle-ci, l'etat extatique, son caractere cognitif et son but. Toutefois, dans la tradition chretienne de cette periode, la pensee des deux alexandrins, clement et origene, devie un peu de la ligne orthodoxe et presente certaines similitudes avec la pensee philosophique grecque
The ectasy is studied as a phenomenon and not as a notion. With this phenomenon, we must understand the ultimate mystical experience of the immediate and direct union with god, right from here below. This experience constitutes a mode of existence and a mode of know ledge as well. The research also presents the whole itinerary which leads to this aim and which constitutes the mystical way. But, the different philosophical and religious systems do not conceive in the same way, neither the mystical way nor the ecstasy itself. The study compares both of the main thinkings of the three first centuries : neoplatonism -plotinus, porphyry, jamblichus (with the theurgy which influenced him), -on one hand and christianity -scriptures, martyrs'visions patristic from the apostolic fathers till origen, -on the other hand. It tries to show how the different conceptions of these two worlds, at the cosmological, theological and anthropological levels, condition ecstasies also different. The differences concern the object of the ecstasy. The subject who experiments it, the way to get it, the ecstatic state, its cognitive character and its goal. Nevertheless, in the christian tradition of this period, the two alexandrians'thinking, clement and origen, departs a little from the orthodox line and presents certain similarities with the greek philosophical thinking
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Pilco, Paz Enrique. "Des voix dans la pénombre : le catholicisme cuzquénien à travers les hymnes religieux en quechua : musique, religion et société dans les Andes au XXe siècle". Paris, EHESS, 2010. http://www.theses.fr/2010EHES0411.

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Cette thèse traite du catholicisme cuzquenien à travers l'étude des chants religieux en langue quechua. Ce répértoire est tout particulièrement associé au culte populaire, non seulement du fait des textes en langue quechua mais également par leur contenu musical, notoirement influencé par des genres d'origine indigène (yaravi, huayno et qashwa). Ces musiques, jusque là classées comme "folkloriques" bien qu'ils soient le fruit du projet de catéchisation de l'église catholique, s'avèrent finalement être au coeur de la sensibilité religieuse qui caractérise le catholicisme andin. L'analyse de ce répértoire de chants en langue quechua sera analysé selon trois axes complémentaires: l'intervention des confréries de musiciens dans les veladas ou offrandes religieuses, l'implication du clergé dans l'usage de ces chants et enfin la relation entre les genres de musique indigène et les différentes facettes du culte. La thèse s'appuie sur une ethnographie de la vie musicale des principales églises de la région de Cuzco, partant de la perspective des musiciens. Une attention toute particulière sera portée aux activités des maîtres de chapelle dont le rôle s'avère central dans l'expression musicale de la ferveur populaire
The subject of this thesis is Cuzco's catholicisation, through the study of religious song, in Quechua's language. This repertoire is particularly associated with popular culture, first through lyrics in Quechua, but also through the influence of indigenous genres (yaravi, huayno et qashwa) on the musical content. The music, which until now, was considered "folk music", despite results of the catechization project of the Catholic church, proves to be the essence of the specific religious fervor of the Andes' catholicism. The repertoire of songs in Quechua will be analyszed from three complementarry perspectives; firstly, the interventions of the musician brotherhood in relation to the religious offerings or veladas, secondly, the clergy's intervention in the use of those songs and finally the relationship between the indigenous musical genre and the different facets of that culture. This study focuses on a musical life ethnography of the major churches of Cusco's area, viewed from the perspective of musicians. Special attention will be paid to the activities of the chapel masters, who had a key role in the musical expression of the popular fervor
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Lavaud, Laurent. "L' autre et la pensée : figures de la relation entre l'altérité et la pensée dans la philosophie de Plotin". Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010627.

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La figure que revêt la pensée se décide dans une philosophie à partir de la relation qu' elle entretient avec l'altérité. À cet égard la philosophie plotinienne est particulièrement instructive dans la mesure où elle met enjeu deux modes d'altérité. Dans l'un, l'altérité de l'être se laisse réduire à l'identité avec la pensée qui la saisit. Il s'agit au premier chef de l'altérité de l'être intelligible, qui est à la fois autre et identique relativement à l'Intellect, second principe. Mais cette relation définit aussi, de façon dérivée, l'altérité de la réalité sensible qui est d'une certaine façon intériorisable au sein de l'âme qui l'appréhende. À ce premier mode d'altérité correspond une figure dialectique de l'intellection où la pensée et l'être sont reconnus dans leur identité essentielle. Dans l'autre mode d'altérité, caractéristique à la fois de l'Un, situé au-delà de l'être, et de la matière, qui constitue son en deçà, l'autre demeure irréductible et ne se laisse pas ramener à l'identité avec ce qui le saisit. L'altérité pure de la matière en effet, comme l'identité absolue du premier principe, échappent à la pensée qui cherche à se reconnaître dans la détermination de l'être qu'elle prend pour objet. Une autre figure de la pensée émerge alors: elle se révèle puissance affective et désirante capable de s'élancer vers le principe radicalement autre tout en préservant son absolue indétermination.
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Ferreira, Pedro Calixto. "Viae Negationis : la question de la négation dans le néoplatonisme latin : Jean Scots Erigene, Alain de Lille et Nicolas de Cues". Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040058.

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Partant du constat que le néoplatonisme médiéval latin constitue un moment essentiel de l'histoire du concept de négation, cette recherche soulève l'hypothèse dd'une métamorphose progressive de la négation qui aboutit à un réel renversement de la position aristotélicienne en la matière. Ce bouleversement semble être une originalité du néoplatonisme latin, puisqu'il n'est encore pleinement accompli ni dans la mystique plotienne, ni dans le corpus dionysiacum. Ce dernier constitue pourtant la principale source du néoplatonisme latin médiéval. Cette entreprise de dépassement d'une approche de la négation comme dépouillement et effacement de la limite est inaugurée dans l'Occident médiéval latin par la pensée de Jean Scot, dont l'interprétation de Denys l'Aéropagite l'éloigne à la fois des conceptions aristotélicienne et dionysienne de la négation, et n'atteint son plein achèvement que dans la pensée de Nicolas de Cues, grâce à une confrontation directe avec les thèses métaphysiques d'Aristote, comme celles du principe de la non-contradiction et de la distinction entre acte et puissance, mais aussi grâce à l'interprétation cusaine de l'apophasis proclienne. Ce renversment est démontré à travers l'analyse des problématiques épistémologiques, ontologiques et théologiques sous-jacentes à la polysémie de la négation en prenant comme paradigme la pluralité du concept de néant. L'analyse met en lumière les deux versants principaux de l'approche néoplatonicienne latine de la négation, sa polysémie et sa fertilité : l'acte de nier se dit en plusieurs sens et ne nous laisse pas toujours dans l'indétermination, aussi bien sur le plan épistémologique qu'ontologique
On the basis that the Latin medieval neoplatonism constitutes one essential moment of the history of the concept of negation, this research raises the hypothesis of a progressive metamorphosis of a progressive metamorphosis of the negation that produces a real transgression of the aristotelician position on the matter. This upheaval seems to be an originality of the Latin neoplatonism, since it is not yet fully accomplished neither in the plotinian mystic, nor in the corpus dionysiacum. This last constitutes however the main source of the medieval Latin neoplatonism. This enterprise is going beyond of an approach of the negation understood like removal, erasure and suppression of the limit is inaugurated in the Latin medieval occident by John Scot Eriugena's thought, whose interpretation of corpus dionysiacum moves away at the same time from the aristotelician and Dionysian positions on the matter. This movement reaches its full achievement only in the thought of Nicholas of Cusa, owing to a direct confrontation with Aristotle's metaphysical thesis, like those o the principle of the contradiction and the distinction between actuality and potentiality, but also owing to a Nicholas of Cusa's interpretation of the proclian conception of apophasis. This transgression of the aristotelician position about negation is demonstrated through the analysis of the epistemological, ontological and theological problems subjacent the polysemia of the concept of negation which takes as paradigm the plurality of the concept of not being. The analysis makes clear the two principal slopes of the Latin neoplatonician approach of negation, i. E. Its polysemia and its fertility : negation has several senses and does not always leave us in the indetermination on the espistemological as well as ontological level
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Lombart, Nicolas. "Réinventer un "genre" : l'Hymne dans la poésie française de la Renaissance". Montpellier 3, 2004. http://www.theses.fr/2004MON30072.

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L'hymne, spécialement consacré à la louange divine dans la poésie païenne antique ou chrétienne ecclésiastique, constitue avec l'ode ou le cantique l'un des grands genres lyriques de l'éloge dans la poésie française du XVIe siècle. Mais par son abondance et son hétérogénéité, le corpus hymnique présente deux difficultés : l'hymne français peut adopter toutes les formes possibles (strophiques ou non, longues ou courtes. . . ) et célébrer une grande diversité d'objets, religieux (divinité olympienne, occasion liturgique, notion chrétienne. . . ) ou non (lieu, abstraction profane, événement. . . ). Si le définition historique de l'hymne ne pose aucun problème -"les hymnes sont des louanges chantées de dieu" affirme sainr Augustin, une définition reprise par les humanistes à propos des hymnes grecs -, c'est bien l'extension problématique du champ de la louange divine qu'il faut interroger à propos du corpus français. Loin de définir une "essence" du genre, la thèse propose l'étude pragmatique d'un large corpus de pièces françaises dans le but d'élargir une typologie de l'hymnographie française renaissante, considérée comme l'acclimatation originale d'un double héritage poétique, païen et chrétien. Trois parties étudient cette 'réinvention" de l'hymne : sa lente émergence entre 1500 et 1549 dans ses formes traditionnelles ecclésiastiques ; sa réappropriation par la Brigade entre 1550 et 1556 (depuis ses espèces pagano-antiques jusqu'aux hymnes "naturels" ronsardiens) ; ses multiples récupérations militantes (politiques et religieuses) entre les années 1560 et la fin du règne de Henri IV
The hymn, specially devoted to singing the praises of Gods in ancient pagan poetry or in ecclesiastical Christian poetry, is with the ode or the canticle one of the great lyric genres of eulogy in the XVIth century French poetry. But because of its abundance and heterogeneousness, the hymnary corpus presents two difficulties : the French hymn can take any possible shape (stanzaic or not, long or short. . . ), and it can sing the praises of a great diversity of subjects, either religious ones (Olympian deities, liturgical occasions, Christian notions. . . )or not (places, individuals, profane abstractions, events. . . ). There is no problem in giving the historical definition of the hymn : "It is a song with praise of God" wrote Saint Augustine whose definition has been taken up by the classical scholars about Greek hymns. However, when dealing with the French corpus, the problematic extension of the field covered by the praise of gods needs questioning. Far from defining an essence of the genre, the thesis proposes a pragmatical study of a large corpus of French pieces so as to set up a typology of the French hymn of the Renaissance which is regarded as the original acclimatization of both a pagan and Christian poetic inheritance. Three parts are devoted to the re-invention of the hymn : its slow emergence between 1500 and 1549 in its traditional ecclesiastical form ; its taken-up by the Brigade between 1550 and 1556 (from the ancient pagan species to the natural ronsardian hymns) ; its multiple militant takovers (both political and religious) between the 1560's and the end of the reign of Henry IV
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Neaimi, El-Sadek. "La Superstition raisonnable, représentation de la mythologie égyptienne dans la littérature française du XVIIIe siècle". Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040057.

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La "Superstition raisonnable" est titre qui apparaît contradictoire, mais il donne en deux mots l'ensemble de la pensée des Lumières sur la culture et la civilisation pharaoniques. Les philosophes et les écrivains du XVIIIe siècle considèrent que l'Egypte ancienne est le berceau des arts et des sciences, mais aussi elle est l'origine des cultes irrationnels. Cependant, la production littéraire et philosophique des Lumières ne se contente pas à étudier cette question d'origine des cultes en évoquant le pharaonisme, mais elle s'y inspire aussi dans certains romans tels Le Taureau blanc, Séméramis. Et Durant tout le XVIIIe siècle, le sujet Egyptien est présent, chez les franc-maçons, les antiquaires, les historiens d'arts, les érudits les historiens, comme chez certains poètes et romanciers. C'est pourquoi, une des difficultés qui surgit est de trouver un fil conducteur pour étudier la représentation de l’Egypte antique dans la pensée du XVIIIe siècle en raison de la diversité de la représentation de l’Egypte, non pas seulement au cours du siècle, mais aussi à l’intérieur d’un même ouvrage. C’est en raison de ces diverses approches du pharaonisme par les écrivains des Lumières que cette thèse emprunte des chemins interdisciplinaires, qui se reflètent dans la diversité de la bibliographie. Ainsi Cette étude essaie de donner quelques éclaircissements sur des textes qui n’ont pas fait l’objet de réflexion suffisante de la part des dix-huitiémistes alors qu’ils le méritent, car ces textes sont représentatifs de l’inquiétude philosophique
The reasonable superstition, representation of the Egyptian mythology in French literature of eighteen century, The title of this thesis appear contrast but it gave us a good idea about Pharaoh representation in enlightenment century. This thesis studies how is about the civilization and the culture of the ancient Egypt in the philosophy writing and the literature : novels, dramas and poetry in eighteen century. The philosophers and the writers of eighteen century thinks that the ancient Egypt was the origin of the science and the art, but this country was also the origin of superstition like in the writing of Boulanger L'Antiquité devoilée pas elle-elle même. But the writers and the philosophers don't satisfy to study this question of originin the Egyptian myth, but in the same time they find some inspirations in the mythology of Isis and Osiris in some novels like Le Taureau blanc and Semeramis of Voltaire. Some dramatists inspire also in this mythology like Tanis et Zelide and les lois de Minos of Voltaire, also in his poem Sesostris and in the creation of another writers Banier, Boulanger, Charles de Brosses, Caylus dramatist and poets Bitaubé, Rocher. Also this thesis is an interdisplinary study because this subject have a multiple approachs
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Van, Daele Raphaël. "Penser l’origine et dire le multiple dans le néoplatonisme et l’étude du mystère (玄學 xuanxue) : approche comparative de la question des premiers principes chez Damascius et Guo Xiang 郭象". Thesis, Paris, EHESS, 2020. http://www.theses.fr/2020EHES0088.

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Notre recherche interroge la manière dont la question métaphysique des premiers principes a été soulevée dans la philosophie grecque de l’Antiquité tardive (IIIe-VIe s. E.C.) ainsi que dans la pensée chinoise des IIIe-IVe s. E.C. Nous définissons cette question comme un complexe d’interrogations quant aux fondements et à l’origine de tout, ainsi que quant aux conditions premières de l’ordre et de la cohérence des choses, cet ordre définissant le cadre où l’homme peut connaître et agir. Cette question soulève nombre de difficultés. Afin qu’il soit vraiment principe de tout, le principe devra être pensé à la fois comme différant de tous ses dérivés et comme antérieur à toutes les modalités de l’être. Non-causé, non-fondé, non-étant, le principe ne doit posséder aucun caractère propre à ce qu’il fonde. Or, s’il n’est rien de cela, c’est-à-dire s’il n’est rien du tout, comment garantir qu’il en soit le principe ? Un tel principe risque en effet d’apparaître à ce point étranger à ce qu’il fonde et à ce point distinct de ce qui en dérive que nous perdrions la possibilité même de le dire « principe ».Cette question fut soulevée avec une acuité particulière en Grèce par les philosophes néoplatoniciens et en Chine par les penseurs du courant de l’étude du mystère (玄學 xuanxue). Dans ces deux traditions, Damascius (458/462-538) et Guo Xiang 郭象 († 312) sont à la fois éminemment représentatif et critique des tendances philosophiques de leur temps. L’étude conjointe de leur pensée respective par le prisme de la question des premiers principes permet de mettre en lumière des conceptions originales et contrastées du principe, de la question elle-même et de sa valeur. Par une approche inspirée des méthodes en histoire de la philosophie (notamment l’archéologie développée par M. Foucault puis par A. de Libera) et des études comparatives en histoire des sciences (en particulier celles de G.E.R. Lloyd), nous contextualisons les deux auteurs étudiés et les abordons « dans leur volume propre », afin d’établir entre eux un « espace limité de communication ».La thèse compte six chapitres. Les trois premiers visent à inscrire Damascius et Guo Xiang dans leur époque et dans leur paysage philosophique respectif. Chaque chapitre est un diptyque où le premier volet est consacré au contexte grec et le second au contexte chinois. Les trois chapitres suivants sont une lecture détaillée des pensées de Damascius et de Guo Xiang relativement à la question posée. Le chapitre I expose les principaux éléments relatifs aux biographies de Damascius et de Guo Xiang. Le chapitre II aborde l’arrière-plan historique, intellectuel et institutionnel de chaque auteur : y sont présentés les cadres dans lesquels prennent place et évoluent l’activité intellectuelle dans la Grèce des IIIe-VIe s. et dans la Chine des Han et des Wei-Jin. Le chapitre III est un essai d’archéologie de la question des premiers principes dans la philosophie grecque et dans la pensée chinoise ancienne. Le premier volet parcourt l’histoire ancienne du platonisme et de l’aristotélisme ; le second traite des réflexions cosmologiques chinoises depuis les Royaumes combattants, jusqu’au IIIe s. Le chapitre IV aborde la question des limites auxquelles se heurte le langage s’efforçant d’appréhender la nature profonde des principes et de la réalité. La question est abordée chez Damascius, puis dans le Zhuangzi sur base du Commentaire de Guo Xiang. Au chapitre V, nous analysons la métaphysique de Damascius : nous montrons comment Damascius critique et repense l’architecture néoplatonicienne des principes. Le chapitre VI aborde les notions clés de la pensée de Guo Xiang, en particulier celles d’ainséité (自然 ziran) et de transformations autonomes (獨化 duhua)
The present research aims to explore the metaphysical issue of the first principles as it has been risen in Late Antiquity Greek philosophy (IIIrd-VIth century CE) and in Early medieval Chinese thought (IIIrd-IVth century CE). I define it as a complex of questions about the founding principles and about the origin of all things conceived as a whole, as well as about the fundamental conditions of the cosmic order and of the framework wherein human knowledge and actions take place. These questions bring out many philosophical issues: if the principle is truly principle of everything, it should have a nature distinct from what proceeds from it, as it should be conceived as prior to everything that proceeds from it. Uncaused, unfounded, non-being, the principle should not possess any attribute of what it founds, otherwise it would not be principle, but something among other things. Still, the principle cannot be absolutely disconnected from what it makes possible since, in the absence of any connection, the former could not be a principle of the latter anymore.Greek and Chinese philosophers have risen these questions. In the Neoplatonist school and in the Dark Learning movement (玄學 xuanxue), Damascius and Guo Xiang are both highly representative and critical toward the philosophical trends of their time. The study of their thought through the question of the first principles reveals original perspectives on the principle, as well as different opinions regarding the question and its significance. The methodological framework of this comparative approach is based on the methods in history of philosophy (especially the archaeological method developed by M. Foucault and by A. de Libera), and on the comparative studies in history of sciences (especially G.E.R. Lloyd’s studies). I aim to contextualise Damascius philosophy and Guo Xiang thought and to study them “in their own terms” in order to define a “delimited space for dialogue” between them. The dissertation has sixth chapters. The purpose of the three first chapters is to contextualise Damascius and Guo Xiang in the philosophical landscape of their time. Each of these chapter has two parts: the first part deals with the Greek context, the second part with the Chinese context. The three following chapters are devoted to the study of Damascius philosophy and Guo Xiang thought. Chapter I addresses Damascius and Guo Xiang biography. Chapter II addresses Damascius and Guo Xiang historical, intellectual and institutional background. The purpose of this chapter is to expose the framework of intellectual and philosophical practices in Late Antiquity Greece and in Early medieval China. Chapter III is an archaeological approach of the question of the first principles in ancient Greek philosophy and in Early Chinese thought. The first part of this chapter addresses the history of Platonism and Aristotelism in Antiquity; the second part addresses Chinese cosmological thinking from the Warring States period to the beginning of the Wei-Jin period. Chapter IV addresses the notion of aporia: the guidelines of the chapter are the limits of human language in the metaphysical quest for the ultimate principles or in the attempt to reach the core nature of reality. I discuss these question in Damascius’ philosophy and in the Zhuangzi as interpreted by Guo Xiang. In chapter V, I analyse the critical dimension of Damascius’ metaphysics in order to stress how Damascius cunningly modifies the Neoplatonist metaphysics. In chapter VI, I address the main concepts of Guo Xiang’s thought, especially the notion of self-so (自然 ziran) and the notion of lone transformations (獨化 duhua). I show how Guo Xiang argues that the search for a primordial cause is potentially endless and how he dismisses such inquiry. By so doing, Guo Xiang thinks the unity of the cosmos as the co-presence of all things with all things rather than through the priority of a first ordering principle
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Reynaud, Julie. "La lettre et son style dans l'œuvre de Marsile Ficin : une pratique philosophique de l'unité". Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040002.

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L'étude de la correspondance de Marsile Ficin, dont le livre premier est ici traduit intégralement, dévoile tout un pan de sa philosophie en général négligé. D'inspiration stoïcienne, la pensée morale du maître de l'Académie platonicienne à Florence trouve dans la lettre son mode d'expression le plus adéquat, sans doute parce que la littérature épistolaire interroge au quotidien les actes des correspondants, ce qui fournit l’occasion de réflexions nombreuses sur les vertus et sur le style dont devra user le sage pour inciter ses lecteurs à vivre bien. Cette philosophie pratique permet à une âme de progresser dans le sens de la vertu en faisant retour vers elle-même, lui fait entrevoir son unité et sa divinité. Elle constitue une étape vers la philosophie spéculative, à laquelle elle introduit en exigeant l'accord entre l'acte et la pensée, entre la parole et pensée
The study of the Marsilio Ficino's correspondence, whose first book is being comprehensively translated, reveals an aspect of his philosophy which is usually ignored. Inspired by Stoicism, the moral thought of the master of Platonician Academy in Florence finds in the letter its most appropriate way of expression. Indeed because epistolary literature daily examines the actions of the correspondents, it may be seen as an opportunity to reflect on virtues as well as the philosophical style most likely to encourage people to live a good life. This practical philosophy ensures the progress of the soul, after looking into itself, toward virtue, and as a consequence catches sight of its unity as well as its divinity. Practical philosophy is a stage to speculative one, introducing to make acts agree with thoughts, ant thoughts with words
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Roudet, Nicolas. "Un monde parfait : "cosmologie " et "théologie" dans l'Harmonice Mundi de Kepler". Lille 3, 2001. http://www.theses.fr/2001LIL3A001.

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Étudiant en théologie au Stift évangélique de Tübingen, Kepler suit les cours de Michael Maestlin et découvre l'héliocentrisme de Copernic. Il renonce rapidement au pastorat en confiant son désir de célébrer Dieu par son astronomie. Ce détail biographique légitime une recherche portant sur l’intrication des problématiques cosmologique et théologique dans l’Harmonice Mundi (Linz 1619), dont les cinq livres traitent respectivement de géométrie (livres 1-2); de musique (livre 3); d’astrologie et de psychologie (livre 4); d’astronomie enfin (livre 5). « Concréation » (Augustin) ; « explication », « complication », « expression » (Nicolas de Cues) ; «théophanie» (Pseudo-Denys l’Aréopagite, Jean Scot Erigène) ; « innéisme mathématique » (Proclus, Platon) : autant de concepts platoniciens et néoplatoniciens permettant l’élaboration d’une théorie dans laquelle le monde, Création de Dieu, se voit doté d’attributs manifestant sa divine provenance. Kepler retrouve la musique céleste célébrée par Pythagore, dont la beauté, accessible à l’entendement humain, exprime la bonté et la philanthropie du Créateur. Prêtre du Dieu-Très-Haut, Kepler dévoile aux hommes le secret du monde : l’univers sphérique, tripartite et hiérarchiquement structuré autour du Soleil est l’œuvre de la Trinité qui s’y exprime en un vaste symbole et recèle simultanément les convictions christologiques et eucharistiques calvinistes d’un esprit foncièrement libre excommunié par les tenants de l’orthodoxie luthérienne. L’essence géométrique du réel atteste d’une communauté ontologique avec les vérités éternelles présentes dans la mens divina (esprit divin) ainsi que dans la mens humana créée à l’image de Dieu. L’univocité du langage mathématique permet à Kepler de déchiffrer le livre de la nature et d’en formuler les lois en se plaçant au-dessus des controverses qui ravageaient les épigones de Luther, Calvin et Melanchthon. L’amour du Père des lumières est, fut et sera toujours présent là où la musique retentit.
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Rolland, Jean-Brice. "Roman, néoplatonisme et pastorale dans l'Astrée d'H. D'Urfé et ses sources espagnoles (La Diane de J. De Montemayor, La Diane amoureuse de G. Gil Polo, La Galatée de M. De Cervantès)". Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040271.

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L’Astrée passe pour le roman qui a implanté la politesse amoureuse dans la littérature et les mœurs du XVII ème siècle. H. D’Urfé aurait mis à la portée des aristocrates une réflexion sur l’amour d’inspiration néoplatonicienne jusqu’ici réservée à quelques érudits: sa fiction serait un artifice rhétorique mis au service d’une théorie définie. Son œuvre a pourtant donné lieu à une réception contradictoire. S’agit-il d’un phénomène de lecture ou d’un parti pris d’écriture ? L’inachèvement du roman – accidentel ou délibéré- ne permet pas de trancher. Remettant en question le postulat du néoplatonisme de l’œuvre, la présente thèse recentre la problématique en termes textuels et s’appuie sur les précédents espagnols pour monter comment le discours philosophique s’inscrit dans l’esthétique pastorale et le genre romanesque
L’Astrée is considered to be the novel that put amorous politeness in the literature and customs of the Seventeenth Century. H. D’Urfé gave the aristocracy an approach to Neoplatonic love previously reserved for a few intellectuals : his fiction was a rhetorical contrivance that served a definite theory. His work, however, received an ambiguous reception. Was this a result of the way it was read or was it intentional ? The fact that the roman was unfinished, either accidentally or deliberately, does not provide a definite answer. Questioning the Neoplatonic basis of d’Urfé’s novel, this thesis focuses on a textual interpretation and relies on Spanish precedents to show how philosophical discourse is embedded in the novelistic genre and the pastoral esthetic
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Van, Daele Raphael. "Penser l’origine et dire le multiple dans le néoplatonisme et l’étude du mystère (玄學 xuanxue). Approche comparative de la question des premiers principes chez Damascius et Guo Xiang 郭象". Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2020. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/313701.

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Notre recherche interroge la manière dont la question métaphysique des premiers principes a été soulevée dans la philosophie grecque de l’Antiquité tardive (IIIe-VIe s. E.C.) ainsi que dans la pensée chinoise des IIIe-IVe s. E.C. Nous définissons cette question comme un complexe d’interrogations quant aux fondements et à l’origine de tout, ainsi que quant aux conditions premières de l’ordre et de la cohérence des choses, cet ordre définissant le cadre où l’homme peut connaître et agir. Cette question soulève nombre de difficultés. Afin qu’il soit vraiment principe de tout, le principe devra être pensé à la fois comme différant de tous ses dérivés et comme antérieur à toutes les modalités de l’être. Non-causé, non-fondé, non-étant, le principe ne doit posséder aucun caractère propre à ce qu’il fonde. Or, s’il n’est rien de cela, c’est-à-dire s’il n’est rien du tout, comment garantir qu’il en soit le principe ?Un tel principe risque en effet d’apparaître à ce point étranger à ce qu’il fonde et à ce point distinct de ce qui en dérive que nous perdrions la possibilité même de le dire « principe ».Cette question fut soulevée avec une acuité particulière en Grèce par les philosophes néoplatoniciens et en Chine par les penseurs du courant de l’étude du mystère (玄學 xuanxue). Dans ces deux traditions, Damascius (458/462-538) et Guo Xiang 郭象 († 312) sont à la fois éminemment représentatif et critique des tendances philosophiques de leur temps. L’étude conjointe de leur pensée respective par le prisme de la question des premiers principes permet de mettre en lumière des conceptions originales et contrastées du principe, de la question elle-même et de sa valeur. Par une approche inspirée des méthodes en histoire de la philosophie (notamment l’archéologie développée par M. Foucault puis par A. de Libera) et des études comparatives en histoire des sciences (en particulier celles de G.E.R. Lloyd), nous contextualisons les deux auteurs étudiés et les abordons « dans leur volume propre », afin d’établir entre eux un « espace limité de communication ».La thèse compte six chapitres. Les trois premiers visent à inscrire Damascius et Guo Xiang dans leur époque et dans leur paysage philosophique respectif. Chaque chapitre est un diptyque où le premier volet est consacré au contexte grec et le second au contexte chinois. Les trois chapitres suivants sont une lecture détaillée des pensées de Damascius et de Guo Xiang relativement à la question posée. Le chapitre I expose les principaux éléments relatifs aux biographies de Damascius et de Guo Xiang. Le chapitre II aborde l’arrière-plan historique, intellectuel et institutionnel de chaque auteur :y sont présentés les cadres dans lesquels prennent place et évoluent l’activité intellectuelle dans la Grèce des IIIe-VIe s. et dans la Chine des Han et des Wei-Jin. Le chapitre III est un essai d’archéologie de la question des premiers principes dans la philosophie grecque et dans la pensée chinoise ancienne. Le premier volet parcourt l’histoire ancienne du platonisme et de l’aristotélisme ;le second traite des réflexions cosmologiques chinoises depuis les Royaumes combattants, jusqu’au IIIe s. Le chapitre IV aborde la question des limites auxquelles se heurte le langage s’efforçant d’appréhender la nature profonde des principes et de la réalité. La question est abordée chez Damascius, puis dans le Zhuangzi sur base du Commentaire de Guo Xiang. Au chapitre V, nous analysons la métaphysique de Damascius :nous montrons comment Damascius critique et repense l’architecture néoplatonicienne des principes. Le chapitre VI aborde les notions clés de la pensée de Guo Xiang, en particulier celles d’ainséité (自然 ziran) et de transformations autonomes (獨化 duhua). Nous montrons que Guo Xiang insiste sur le caractère infini d’une recherche de la cause première et comment il se défait de ces considérations pour penser l’unité du cosmos en termes de co-présence de tout avec tout plutôt qu’en référence à un terme premier.
The present research aims to explore the metaphysical issue of the first principles as it has been risen in Late Antiquity Greek philosophy (IIIrd-VIth century CE) and in Early medieval Chinese thought (IIIrd-IVth century CE). I define it as a complex of questions about the founding principles and about the origin of all things conceived as a whole, as well as about the fundamental conditions of the cosmic order and of the framework wherein human knowledge and actions take place. These questions bring out many philosophical issues: if the principle is truly principle of everything, it should have a nature distinct from what proceeds from it, as it should be conceived as prior to everything that proceeds from it. Uncaused, unfounded, non-being, the principle should not possess any attribute of what it founds, otherwise it would not be principle, but something among other things. Still, the principle cannot be absolutely disconnected from what it makes possible since, in the absence of any connection, the former could not be a principle of the latter anymore.Greek and Chinese philosophers have risen these questions. In the Neoplatonist school and in the Dark Learning movement (玄學 xuanxue), Damascius and Guo Xiang are both highly representative and critical toward the philosophical trends of their time. The study of their thought through the question of the first principles reveals original perspectives on the principle, as well as different opinions regarding the question and its significance. The methodological framework of this comparative approach is based on the methods in history of philosophy (especially the archaeological method developed by M. Foucault and by A. de Libera), and on the comparative studies in history of sciences (especially G.E.R. Lloyd’s studies). I aim to contextualise Damascius philosophy and Guo Xiang thought and to study them “in their own terms” in order to define a “delimited space for dialogue” between them. The dissertation has sixth chapters. The purpose of the three first chapters is to contextualise Damascius and Guo Xiang in the philosophical landscape of their time. Each of these chapter has two parts: the first part deals with the Greek context, the second part with the Chinese context. The three following chapters are devoted to the study of Damascius philosophy and Guo Xiang thought. Chapter I addresses Damascius and Guo Xiang biography. Chapter II addresses Damascius and Guo Xiang historical, intellectual and institutional background. The purpose of this chapter is to expose the framework of intellectual and philosophical practices in Late Antiquity Greece and in Early medieval China. Chapter III is an archaeological approach of the question of the first principles in ancient Greek philosophy and in Early Chinese thought. The first part of this chapter addresses the history of Platonism and Aristotelism in Antiquity; the second part addresses Chinese cosmological thinking from the Warring States period to the beginning of the Wei-Jin period. Chapter IV addresses the notion of aporia: the guidelines of the chapter are the limits of human language in the metaphysical quest for the ultimate principles or in the attempt to reach the core nature of reality. I discuss these question in Damascius’ philosophy and in the Zhuangzi as interpreted by Guo Xiang. In chapter V, I analyse the critical dimension of Damascius’ metaphysics in order to stress how Damascius cunningly modifies the Neoplatonist metaphysics. In chapter VI, I address the main concepts of Guo Xiang’s thought, especially the notion of self-so (自然 ziran) and the notion of lone transformations (獨化 duhua). I show how Guo Xiang argues that the search for a primordial cause is potentially endless and how he dismisses such inquiry. By so doing, Guo Xiang thinks the unity of the cosmos as the co-presence of all things with all things rather than through the priority of a first ordering principle.
Doctorat en Philosophie
info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Dumont, Kathy. "L’Œil intérieur du monde ou la vision de l’âme. Le symbolisme dans la Théologie platonicienne de Marsile Ficin : essai d’interprétation esthétique néoplatonicienne". Electronic Thesis or Diss., Reims, 2024. http://www.theses.fr/2024REIML003.

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On connaît Marsile Ficin (1433−1499) comme étant l’auteur qui a influencé bon nombre d’artistes de la Renaissance, notamment par le succès de son Commentaire du Banquet de Platon. Mais Ficin est avant tout, pour nous, le père d'une théorie esthétique d'ordre symbolique présente dans toute son œuvre et dépassant les simples considérations sur l'art. Pour le comprendre, il nous a paru indispensable de nous intéresser de près à ses écrits symboliques, mais aussi de nous pencher sur sa vie. Une part importante de son symbolisme provient de l’orphisme et se retrouve dans l’ensemble de son œuvre, et particulièrement dans celle qui nous est apparue comme la plus importante : La Théologie platonicienne ou De l’Immortalité des Âmes. En se consacrant à l’âme, Ficin propose à son lecteur une nouvelle direction. Celle-ci inaugure le développement d’une métaphysique de la lumière d’inspiration hermétique dont l’œil, symbole de l’âme, est au cœur de sa réflexion. Cette œuvre majeure laisse ainsi place à une esthétique de la vision dont l’originalité tient en réalité de la redécouverte d’une tradition philosophique, spirituelle et esthétique antique oubliée à laquelle Ficin a su, selon nous, redonner vie de manière inspirée
We know Marsilio Ficino (1433-1499) as the author who influenced many artists of the Renaissance, notably through the success of his ‘Commentary on Plato's Symposium on Love’. But for us, Ficino is above all the father of an aesthetic theory of a symbolic nature that permeates all his work and goes beyond mere considerations of art. To understand him, we felt it essential to take a close look at his symbolic writings, but also to examine his life. A large part of his symbolism stems from Orphism and is to be found throughout his work, particularly in what we consider to be his most important work: ‘The Platonic Theology: On the Immortality of the Soul’. By devoting himself to the soul, Ficino offers his reader a new direction. It inaugurates the development of a metaphysics of light inspired by Hermeticism, in which the eye, symbol of the soul, is at the heart of his thinking. This major work thus gives way to an aesthetics of vision, the originality of which lies in the rediscovery of a forgotten ancient philosophical, spiritual and aesthetic tradition to which Ficino has, in our view, given inspired new life
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Siméus, Achange. "Philippiens 2,6-11 dans la recherche récente : les approches exégétiques de l'hymne au Christ entre 1985 et 2010". Master's thesis, Université Laval, 2011. http://hdl.handle.net/20.500.11794/23198.

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Ce mémoire est une analyse exégétique de Philippiens 2,6-11. Cette analyse présente trois sphères de ce cantique : l'hymne dans son histoire, le texte dans sa confection littéraire et l'agencement des événements narratifs qui le composent. Notre objectif consiste à dégager une meilleure compréhension de cette péricope. Pour faciliter cette compréhension, nous diviserons l'hymne en deux itinéraires : un itinéraire d'abaissement et un itinéraire d'exaltation. Chaque itinéraire sera décrit à partir des événements narratifs qui le composent. Celui d'abaissement a pour but d'amener le lecteur à découvrir jusqu'à quel niveau le premier personnage principal du texte s'est abaissé. Celui d'exaltation décrira la suprématie, ou encore révélera la seigneurie de celui qui s'est baissé. Les chercheurs sont nombreux à faire remarquer que cet épisode a plusieurs origines. Nous présenterons les conclusions qu'ils avancent en les comparant.
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Mihai, Adrian. "Ὁ ἐν οὐρανῷ Ἅιδης : la naissance du purgatoire dans l'Antiquité". Thèse, Paris, EPHE, 2013. http://hdl.handle.net/1866/10832.

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Le but de la présente thèse est d’étudier les témoignages sur la doctrine de l’« Hadès ouranien » du IVe siècle avant J.-C. au VIe siècle après J.-C. et de dégager les éléments essentiels. L’« Hadès ouranien », traduction de l’expression ὁ ἐν τῷ οὐρανῷ ᾍδης, est un thème de pensée qui caractérise tout un millénaire de la philosophie et de la religion de l’Antiquité païenne. En traitant ce thème historico-religieux, on se veut le plus complet possible mais tout en étant prudent envers nos sources, qui sont fragmentaires et qui proviennent, pour la majorité, de la tradition platonico-péripatéticienne et de ses commentateurs. Aussi, s’efforce-t-on de montrer que l’Hadès ouranien est un lieu de purification pour l’âme et donc, un purgatoire. D’une manière générale, notre recherche est la première entièrement consacrée au sujet de l’Hadès ouranien et à son évolution durant l’Antiquité. Pour ce faire, sur la base d’une approche contextualisée, nous croyons devoir distinguer en réalité trois lieux où l’Hadès céleste a été situé : il y a d’un côté l’emplacement dans la Voie Lactée (Héraclide du Pont) ; il y a aussi un effort, assez divers en ses formes, de situer ce Purgatoire entre la Lune et la terre ou aux alentours de la Lune (les académiciens, les stoïciens, Cicéron, Virgile, Plutarque, les écrits hermétiques) ; finalement, Numénius et les néoplatoniciens latins l’ont situé entre la sphère des fixes et la terre. Quant à l’évolution des éléments qui constituent notre thème, la thèse montre que le platonisme et le néoplatonisme ont fourni un milieu propice pour le développement et la propagation dans l’empire gréco-romain des doctrines sur l’Hadès céleste. De plus, ces mouvements ont aidé à la spiritualisation progressive de cet espace purgatoire. Par ailleurs, on établira certaines caractéristiques de notre thème : l’échappée de l’âme hors du corps, l’allégorie physique et la division, ontologique et physique, entre les mondes sublunaire et supralunaire. Dans une première partie, on traitera de la doctrine de l’Hadès ouranien dans l’ancienne Académie platonicienne (Héraclide, Xénocrate, Philippe d’Oponte) et dans le stoïcisme. La deuxième partie est consacrée à l’analyse du Purgatoire chez Plutarque de Chéronée. La doctrine du Purgatoire selon Cicéron et Virgile et chez leurs interprètes néoplatoniciens, ainsi que dans l’hermétisme et le gnosticisme sera traitée dans la troisième partie. Dans la quatrième et dernière partie, on explorera la doctrine du Purgatoire dans le Oracles chaldaïques et dans les écrits de Proclus, particulièrement dans son Commentaire sur la République de Platon.
The aim of the present dissertation is to study the testimonies concerning the doctrine of the “Celestial Hades” from the 4th century BCE to the 6th century CE and to uncover its essential elements. The “Celestial Hades”, translation of the Greek expression ὁ ἐν τῷ οὐρανῷ ᾍδης, is a pattern of thought that characterizes a millenary of the philosophy and the religion of Pagan Antiquity. In analysing this historico-religious motif, we try to be as exhaustive as possible, though we are very prudent towards our sources, which are in most cases fragmentary and originate from the Platonico-Aristotelian tradition. Hence, an effort has been made to show that the celestial Hades is a place of purification for the soul and thus a Purgatory. Generally speaking, our investigation is the first to be entirely dedicated to the study of the doctrine of the Celestial Hades and to its development during Antiquity. To achieve this aim, and following a contextualist approach, we have tried to distinguish three places where the Celestial Hades has been situated: it has been situated either in the Milky Way (Heraclides of Pontus); or between the Moon and the Earth or around the Moon (the Academicians, the Stoics, Cicero, Virgil, Plutarch, the Hermetical writings); finally, it has been situated, according to Numenius and the Latin Neoplatonists, between the sphere of the fixed stars and the Earth. As regarding its development, our study shows that the Platonist and Neoplatonist traditions have provided a favourable milieu for the propagation of this doctrine in Antiquity. Moreover, certain characteristics regarding our theme will be established: the ascension of the soul, the doctrine of physical allegory and the division, ontological et physical, between the sublunary and the supralunary worlds. In the first part of our research, we analyse the doctrine of the Celestial Hades on the Early Academy of Plato (Heraclides, Xenocrates, Philip of Opus) and in the Stoic school. The second part is dedicated to Plutarch’s doctrine of Purgatory. Thirdly, the same doctrine will be analysed in Cicero and Virgil, and their exegetes, as well as in the Hermetic treatises and Gnosticism. The fourth and last part will explore the celestial Purgatory in the Chaldaean Oracles and in the writings of Proclus, particularly his Commentary on the Republic.
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Mihai, Adrian. "ὁ ἐν οὐρανῷ Ἅιδης : la naissance du Purgatoire dans l'Antiquité". Thèse, Paris, EPHE, 2013. http://www.theses.fr/2013EPHE5009.

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Le but de la présente thèse est d’étudier les témoignages sur la doctrine de l’« Hadès ouranien » du IVe siècle avant J. -C. Au VIe siècle après J. -C. Et de dégager les éléments essentiels. L’« Hadès ouranien », traduction de l’expression ὁ ἐν τῷ οὐρανῷ ᾍδης, est un thème de pensée qui caractérise tout un millénaire de la philosophie et de la religion de l’Antiquité païenne. En traitant ce thème historico-religieux, on se veut le plus complet possible mais tout en étant prudent envers nos sources, qui sont fragmentaires et qui proviennent, pour la majorité, de la tradition platonico-péripatéticienne et de ses commentateurs. Aussi, s’efforce-t-on de montrer que l’Hadès ouranien est un lieu de purification pour l’âme et donc, un Purgatoire. D’une manière générale, notre recherche est la première entièrement consacrée au sujet de l’Hadès ouranien et à son évolution durant l’Antiquité. Pour ce faire, sur la base d’une approche contextualisée, nous croyons devoir distinguer en réalité trois lieux où l’Hadès céleste a été situé : il y a d’un côté l’emplacement dans la Voie Lactée (Héraclide du Pont) ; il y a aussi un effort, assez divers en ses formes, de situer ce Purgatoire entre la Lune et la terre ou aux alentours de la Lune (les académiciens, les stoïciens, Cicéron, Virgile, Plutarque, les écrits hermétiques) ; finalement, Numénius et les néoplatoniciens latins l’ont situé entre la sphère des fixes et la terre. Quant à l’évolution des éléments qui constituent notre thème, la thèse montre que le platonisme et le néoplatonisme ont fourni un milieu propice pour le développement et la propagation dans l’empire gréco-romain des doctrines sur l’Hadès céleste. De plus, ces mouvements ont aidé à la spiritualisation progressive de cet espace purgatoire. Par ailleurs, on établira certaines caractéristiques de notre thème : l’échappée de l’âme hors du corps, l’allégorie physique et la division, ontologique et physique, entre les mondes sublunaire et supralunaire. Dans une première partie, on traitera de la doctrine de l’Hadès ouranien dans l’ancienne Académie platonicienne (Héraclide, Xénocrate, Philippe d’Oponte) et dans le stoïcisme. La deuxième partie est consacrée à l’analyse du Purgatoire chez Plutarque de Chéronée. La doctrine du Purgatoire selon Cicéron et Virgile et chez leurs interprètes néoplatoniciens, ainsi que dans l’hermétisme et le gnosticisme sera traitée dans la troisième partie. Dans la quatrième et dernière partie, on explorera la doctrine du Purgatoire dans le Oracles chaldaïques et dans les écrits de Proclus, particulièrement dans son Commentaire sur la République de Platon
The aim of the present dissertation is to study the testimonies concerning the doctrine of the “Celestial Hades” from the 4th century BCE to the 6th century CE and to uncover its essential elements. The “Celestial Hades”, translation of the Greek expression ὁ ἐν τῷ οὐρανῷ ᾍδης, is a pattern of thought that characterizes a millenary of the philosophy and the religion of Pagan Antiquity. In analysing this historico-religious motif, we try to be as exhaustive as possible, though we are very prudent towards our sources, which are in most cases fragmentary and originate from the Platonico-Aristotelian tradition. Hence, an effort has been made to show that the celestial Hades is a place of purification for the soul and thus a Purgatory. Generally speaking, our investigation is the first to be entirely dedicated to the study of the doctrine of the Celestial Hades and to its development during Antiquity. To achieve this aim, and following a contextualist approach, we have tried to distinguish three places where the Celestial Hades has been situated: it has been situated either in the Milky Way (Heraclides of Pontus); or between the Moon and the Earth or around the Moon (the Academicians, the Stoics, Cicero, Virgil, Plutarch, the Hermetical writings); finally, it has been situated, according to Numenius and the Latin Neoplatonists, between the sphere of the fixed stars and the Earth. As regarding its development, our study shows that the Platonist and Neoplatonist traditions have provided a favourable milieu for the propagation of this doctrine in Antiquity. Moreover, certain characteristics regarding our theme will be established: the ascension of the soul, the doctrine of physical allegory and the division, ontological et physical, between the sublunary and the supralunary worlds. In the first part of our research, we analyse the doctrine of the Celestial Hades on the Early Academy of Plato (Heraclides, Xenocrates, Philip of Opus) and in the Stoic school. The second part is dedicated to Plutarch’s doctrine of Purgatory. Thirdly, the same doctrine will be analysed in Cicero and Virgil, and their exegetes, as well as in the Hermetic treatises and Gnosticism. The fourth and last part will explore the celestial Purgatory in the Chaldaean Oracles and in the writings of Proclus, particularly his Commentary on the Republic
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Halleux, Élisa de. "Les figures androgynes à la Renaissance : l'ambiguïté sexuelle dans l'art et la théorie artistique au XVIe siècle". Paris 1, 2012. http://www.theses.fr/2012PA010663.

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Cette thèse a pour objet un phénomène artistique resté très largement inexploré à ce jour : la représentation de figures androgynes dans l'art de la Renaissance. Centrée sur l'art italien du Cinquecento, elle s'attache aussi à la production artistique pragoise, ainsi qu'à celle d'autres artistes nordiques et de l'école de Fontainebleau. On y voit en quoi l'homme féminin et la femme masculine sont deux incarnations, ou plutôt deux élaborations, d'une même idée : l'harmonie des contraires. Le concept clef de cette recherche est en effet celui de la concordia discors, principe fondamental s'il en est pour la pensée de l'époque. En enquêtant sur la genèse et la signification de l'androgynie, il s'agit d'engager une réflexion sur la spécificité des images. La première partie envisage des couples de figures androgynes à la lumière du motif philosophico-religieux de l'« androgynie originelle» et des conceptions néoplatoniciennes de l'amour. Elle est consacrée à des eprésentations mythologiques et à plusieurs figurations d'Adam et Ève. La seconde partie examine le fonctionnement plastique et symbolique de l'androgynie à travers des figures tant profanes que sacrées, en particulier : Cupidon, Hercule, le Christ, la Fortune. La troisième partie concerne les pratiques et les théories artistiques. Il s'agira de montrer comment l'androgynie résulte de pratiques d'imitation et de détournement des modèles antiques et contemporains; comment elle est une spécificité de l'art maniériste; et enfin comment se façonne à travers elle une certaine esthétique, qui connaît différentes déclinaisons, et est alors très présente - quoique de manière implicite - dans les traités artistiques.
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Gampel, Alan. "Les indications musicales dans l’Orient chrétien du VIe au IXe siècle : l’apport des papyrus". Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040160.

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Les trois parties de cette thèse forment une unité pour défendre l’hypothèse de la présence de signes musicaux dans la transmission d’hymnes chrétiennes liturgiques durant la deuxième moitié du premier millénaire, ce qui ferait remonter de plusieurs siècles la naissance de la notation musicale chrétienne, ordinairement située au IXe siècle. Dans une première partie, la présentation d’un corpus papyrologique démontre l’existence de trois genres d’indications musicales écrites, les hirmoi utilisés, dès le VIe siècle, comme strophes-modèles dans le canon poétique, les modes de l’octoechos et des signes interlinéaires non identifiés. Dans une deuxième partie, la tradition manuscrite des hirmologia datés du Xe au XIIIe siècle, en grec et en d’autres langues liturgiques, a été rassemblée et étudiée afin d’y retrouver les hirmoi identifiés dans les papyrus et d’en reconstituer les mélodies. Enfin, dans une troisième partie, ces mélodies et leurs notations neumatiques ont été superposées au schéma rythmique des hirmoi et les signes non identifiés y ont été positionnés. Cette suite de présentations de corpus et de comparaisons sémiologiques et musicologiques a préparé l’analyse et les propositions d’interprétation des signes jusqu’alors non-identifiés
The three parts of this doctoral dissertation combine to support the hypothesis that musical signs were used in the transmission of Christian hymns during the 5th – 10th centuries. In the first part, a papyrological corpus provides evidence of three types of musical indications: hirmoi, which were used as musical models for liturgical canon strophes, modal signs from the octoechos system and un-identified interlinear symbols. In the second part, several hirmoi identified in the papyri are located in hirmologia from the 10th – 13th centuries – liturgical books containing paleo-byzantine and medio-byzantine musical notations. The different versions of the melodies are compared and then transcribed into modern notation. In the final part, the strophe texts and unidentified symbols from the papyri are superimposed on the musical transcriptions in order to analyze and interpret the functions of the symbols
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Debenedetti, Ana. "Dans l’antre des nymphes : études sur les rapports entre la pensée magique de Marsile Ficin et les premières théories de l’art à Florence au XVe siècle". Thesis, Paris, EPHE, 2015. http://www.theses.fr/2015EPHE4004.

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Au XVe siècle, le philosophe florentin Marsile Ficin (1433-1499) rédige un texte singulier intitulé De vita coelitus comparanda ou « comment obtenir la vie du ciel » qui deviendra le troisième et dernier livre d’un ouvrage médical de plus large envergure, le De vita libri tres, consacré à conserver et à prolonger la santé des hommes de lettres accablés sous le poids de l’étude. Ce texte est tout entier consacré au pouvoir apotropaïque et prophylactique du talisman ou « image astrologique », une notion savante qui apparaît en Occident au milieu du XIIIe siècle, et insiste tout particulièrement sur la matérialité, la forme et l’apparence de ces images. Ainsi Ficin développe-t-il un discours original par rapport à la tradition en se concentrant sur le processus de fabrication, discours qui n’est pas sans rappeler les premières théories de l’art qui apparaissent à la même époque à Florence. Ficin réhabilite la figure du mage antique dans le cadre d’une réflexion plus vaste qui met en exergue le pouvoir créateur de l’homme en tant que savant, humaniste et philosophe. Si le postulat d’une influence tardive du néoplatonisme ficinien sur la littérature artistique du XVIe siècle a donné lieu à de nombreuses études, il apparaît en revanche que les rapports que Ficin était susceptible d’entretenir avec le monde des artistes, et surtout des artistes-théoriciens du XVe siècle, demeure un terrain relativement peu exploré. Tout l’enjeu de notre travail se situe donc dans la triple interrogation que ce concours de circonstances soulève : quel rôle jouent au sein de la pensée magique de Ficin les allusions à l’art et à sa pratique qui traversent l'ensemble de son œuvre? dans quelle mesure la notion d’«image astrologique» qu’il reprend et développe s’est-elle nourrie de la nouvelle littérature artistique alors en pleine formation? et enfin, comment peut-on affirmer que certaines œuvres typiques du Quattrocento florentin relèvent d’un caractère « mixte » oscillant entre le produit de l’art à proprement parler et l’objet magique?
In fifteenth-century Florence, the philosopher Marsilio Ficino (1433-1499) wrote the De vita coelitus comparanda, i.e. “how to capture life from the heavens”, which would later form the last and third book of a larger volume titled De vita libri tres. The latter exposes the means to preserve the health and extend the life of man of letters afflicted by their intense studies. The former deals with the apotropaic and prophylactic power of the talismans also called “astrological images”, following a learned concept which appeared in Western Europe in the mid-thirteenth century, and focuses on the materiality, form and appearance of these images. Ficino hence develops a new reflexion that focuses on the process of making which seems to echo new artistic theories devised during the same period in Florence. Ficino redeems the figure of the ancient magus by enhancing man’s creative power and his status as a philosopher and a humanist. The assumption of a late influence of Ficino’s neoplatonic thought on the arts in the sixteenth century has led to several studies but its genesis and its potential links with the artistic world and, especially his fellows artist-theoreticians, remained to be fully investigated. This thesis aims therefore to investigate the role of the artistic references within Ficino’s magic thought, the influence of contemporary ideas on the art practice upon his conception of “astrological image”, and the nature of specific artworks typical of fifteenth-century Florence, which seem to respond to both a magical and an artistic purpose
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Piazza, Élisabeth. "La rhétorique chez Martianus Capella : Édition critique, traduction et commentaire du livre 5 des Noces de Philologie et de Mercure". Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040189.

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L’encyclopédie en neuf livres de Martianus Capella, vraisemblablement composée au début du Ve s. après J.-C., se situe à la transition entre les conceptions antiques et médiévales de la « formation libérale ». Sept sciences, dons de Mercure à Philologie, exposent leur discipline devant les dieux, et forment un programme d’ascension de l’âme vers le monde divin et rationnel. En promettant un exposé conforme au statut de science (disciplina) qu’elle partage avec ses six compagnes, Rhétorique propose de dépasser les débats dont elle fait l’objet : son enseignement veut construire un art général de l’argumentation persuasive. Notre étude définit la place du livre 5 dans l’œuvre de Martianus et dans la tradition rhétorique antique. Contrairement aux traités des rhéteurs latins tardifs qui nous sont parvenus, le traité du livre 5 adopte (et adapte) les orientations des derniers ouvrages rhétoriques de Cicéron (le De oratore notamment) : la théorie est conçue pour répondre aussi bien aux questions « particulières », domaine des orateurs, qu’aux questions « générales » et philosophiques. Cette conception de la rhétorique n’est pas nouvelle : elle s’appuie sur des traditions philosophiques d’enseignement de la rhétorique, notamment développées dans des cadres péripatéticiens et académiciens. Le traité de Martianus est toutefois le seul témoin tardif qui reprenne ces perspectives avancées, et cherche à les organiser sous forme systématique. Science de la parole persuasive, la rhétorique occupe une place essentielle dans la mise en œuvre du projet de Martianus, et constitue une étape importante avant le principe plus élevé représenté par l’harmonie
Martianus Capella’s encyclopedic work, probably composed in the early 5th century A.D., forms an original transition between Ancient and Medieval conceptions of "liberal education". As wedding gifts given by Mercury to Philology, seven Sciences present their branch of knowledge in a divine assembly : this scientific programme aims at the ascension of the soul towards the divine and rational world. Rhetoric answers (and goes beyond) the traditional critics directed against oratory. She promises a presentation consistent with the status of science (disciplina) she shares with her six companions : her teaching builds a general art of persuasive argument. Our study defines the position of Book 5 in Martianus’ work and in the Ancient rhetorical traditions. Whereas the Late Latin rhetorical handbooks that have survived partake of the « standard » rhetorical teaching, Martianus’ Book 5 adopts (and adapts) the guidelines of the Cicero’s latest rhetorical works (especially De oratore) : the theory is designed to meet both "particular " questions, area of orators, and the "general" philosophical questions. This conception of rhetoric is not new : it relies on philosophical traditions of teaching rhetoric that were developed in Peripatetic and Academic settings. Martianus’ Book 5 is however the only Late Antique testimony that embraces these advanced prospects, and seeks to organise them in a systematic form. As the science of persuasive speech, Rhetoric plays an essential role in Martianus’ project, and constitutes an important step before the higher principle represented by Harmony
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Mosseron, Maxence. "L'imagination créatrice chez Théophile Gautier - autour d'Arria Marcella". Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2015. http://www.theses.fr/2015USPCA070.

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La présente étude aborde une œuvre de Théophile Gautier, Arria Marcella, au regard de la thématique de l’imagination créatrice. L’analyse se concentre sur la nouvelle elle-même, mais prend largement en compte aussi l’ensemble des œuvres narratives, et au-delà, du polygraphe – critique d’art, critique dramatique, récit de voyages et dans une moindre mesure poésie. Ce travail s’organise en trois temps : la première partie expose les différentes composantes de la nouvelle, montre la manière dont Gautier organise sa narration à partir d’un matériel intertextuel, et d’un objet transitionnel qui lui permet de mettre en scène l’aventure rétrospective d’un jeune homme du xixe siècle dans l’antiquité, à la rencontre de son idéal féminin. Arria Marcella est d’abord le récit d’un parcours, diurne, puis nocturne ; réel, puis mental. La seconde partie traite de l’imagination créatrice, donc de l’image et de sa restitution fécondante par l’écriture, à travers le travail descriptif d’un regard qui prend position. Il ne s’agit pas de restituer, mais d’enchanter le réel en le passant au révélateur du fantastique, de la survivance et de la figurabilité. La troisième partie analyse Arria Marcella à travers le prisme de lectures complémentaires qui entendent montrer la richesse de l’œuvre, laquelle occupe une position stratégique permettant d’éclairer la production de Gautier dans son ensemble. L’approche procède en trois temps : esthétique ; philosophique, par le biais d’un examen approfondi de la composante platonicienne et néoplatonicienne, fondamentale bien que filtrée, dans Arria Marcella et plus largement dans les œuvres narratives de l’auteur; générique enfin, puisqu’il s’agit de montrer comment la nouvelle pompéienne atteint au Gesamtkunswerk en mêlant les genres créatifs
The subject of this PhD is a short story by Théophile Gautier, entitled Arria Marcella, as seen through the theme of creative imagination. Although the present dissertation focuses on this particular short story, it also takes into consideration the author’s entire works – fiction, art criticism, travel literature and to a lesser degree, poetry. The 3-part study begins by describing the different sections of the short story, and the way Gautier organized his narration. The story is based on different literary sources and a transitional object (a museum artefact) through which he staged the adventures of a nineteenth-century young man encountering his female ideal in ancient times. Arria Marcella is the story of a walk at daytime then nighttime, in reality and in the character’s mind. The second part deals with creative imagination: image and the way it is transformed and enriched in literature through descriptive work as seen through the writer’s eye. Rather than remaining faithful to reality, it is a matter of enchanting reality through the fantastic genre, survival and figurability. The third part is devoted to an analysis of Arria Marcella through further readings so as to highlight its complexity. Thus, this work, which holds a strategic position among Gautier’s works, can help explain his writings. The viewpoint is threefold: aesthetic, philosophical, through a close examination of the Platonism and Neoplatonism features – essential though filtered, and finally generic since it shows how the Pompeian short story reaches Gesamtkunswerk by combining different creative genres
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Mazilu, Daniel. "Raison et mystique dans le néoplatonisme : antagonisme ou convergence ?" Thèse, 2004. http://hdl.handle.net/1866/16487.

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Di, Vita Nicoletta. "Inno e filosofia nel mondo antico / Hymnes et philosophie dans l'Antiquité grecque". Doctoral thesis, 2018. http://hdl.handle.net/11577/3346824.

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In un inno a Zeus, il filosofo Cleante afferma che l'inno è un dovere di natura per ogni uomo. Egli assegna a quella natura la comunanza con il divino e una facoltà specifica: l'«echou mimema» - una misteriosa interpolazione che, rimandando alla sfera della voce, motiva il canto dell'inno. Nei suoi scritti filosofici, Epitteto, qualche secolo più avanti, sosterrà che è in quanto essere dotato di linguaggio («logos») che l’uomo non può non inneggiare a Zeus. Similmente, già Platone era stato definito in tempi antichi il più «capace tra i compositori di inni» (Menandro I), ed egli stesso aveva indicato nell’inno a Eros il più compiuto esempio di filosofia. L'inno, scriveva nella Repubblica, è la sola forma di poesia che sia «ammessa» nella polis a venire (Resp. 607 a). In tempi a noi recenti, al mondo moderno è stata diagnosticata un’irreparabile «perdita dell’inno» (Bailly), nonostante un poeta assai avveduto avesse indicato nella lode, ciò che in ogni tempo significa l’inno, la natura più profonda del linguaggio dell’uomo (Rilke). Che cos’è un inno e perché esso continua a dimorare in latenza tra le meditazioni che si attardano sul linguaggio, al punto da farsi momento privilegiato della filosofia? Tre sezioni, dedicate all’analisi della questione nel mondo antico, esplorano la sua natura più propria, alleggerendolo dalle sovradeterminazioni esegetiche che lo schiacciano ora sotto il peso dell’encomio ora sotto quello della preghiera. L’inno è ritrovato nella sua genericità di composizione poetica che nulla giudica e nulla richiede, ma solo dice. La ricerca dei suoi elementi propri trasporta lo studio nel regno della filosofia della parola: l’innico dimora nel nome, nell’epiteto, nell’epidissi del proprio linguaggio. Esso è nella vocazione e nella nominazione, e nel punto in cui queste, festive, si incontrano. L’ultimo gruppo di riflessioni non abbandona l’orizzonte disvelato ma prova ad estendere la questione a un problema la cui soluzione non ha cessato di interpellarci: qual è la forma che la filosofia, resasi cosciente del proprio debito nei confronti della parola innica, ha in ogni tempo cercato di riafferrare?
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Palieps, Jânis R. "Les daïnas des lettons et les hymnes védiques : étude comparative dans le domaine mytho-poétique indo-européen". Thèse, 2007. http://hdl.handle.net/1866/7337.

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Doyon, François. "Émanation et métaphysique de la lumière dans Vérité et méthode de Gadamer". Thèse, 2012. http://hdl.handle.net/1866/9174.

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Ma thèse montre la présence et le rôle de la métaphysique dans Vérité et méthode. Elle tente de démontrer que Gadamer s'inspire du néoplatonisme pour surmonter le subjectivisme de la modernité et propose une métaphysique à cette fin. Après avoir expliqué comment Gadamer se réapproprie l’héritage de la pensée grecque pour critiquer la modernité en situant son interprétation de Platon par rapport à celle de Heidegger, je montre que Gadamer s’approprie la conception de l’être de Plotin de façon telle qu’il peut s’y appuyer pour penser l’autoprésentation de l’être dans l’expérience herméneutique de la vérité. L’art va, pour ce faire, redevenir sous la conduite du néoplatonisme source de vérité. Gadamer redonne en effet une dignité ontologique à l’art grâce à la notion d’émanation, notion qui permet de penser qu’il y a une présence réelle du représenté dans sa représentation, celle-ci émanant du représenté sans l’amoindrir, mais lui apportant au contraire un surcroît d’être. La notion d’émanation permet ensuite à Gadamer d’affirmer le lien indissoluble qui unit les mots aux choses. En effet, la doctrine du verbe intérieur de Thomas d’Aquin implique ce lien que Platon avait occulté en réduisant le langage, comme la logique, à n’être qu’un instrument de domination du réel. L’utilisation de la notion néoplatonicienne d’émanation permet donc de dépasser la philosophie grecque du logos et de mieux rendre compte de l’être de la langue. Je montre ensuite comment Gadamer radicalise sa pensée en affirmant que l’être qui peut être compris est langage, ce qui veut dire que l’être, comme chez Plotin, est autoprésentation de soi-même. Pour ce faire, Gadamer rattache l’être du langage à la métaphysique néoplatonicienne de la lumière. Les dernières pages de Vérité et méthode rappellent en effet que la splendeur du beau est manifestation de la vérité de l’être. On rattachera alors le concept de vérité herméneutique à ses origines métaphysiques. La vérité est une manifestation de l’être dont on ne peut avoir part que si on se laisse submerger par sa lumière. Loin d’être affaire de contrôle méthodique, l’expérience de la vérité exige de se laisser posséder par ce qui est à comprendre. Je démontre ainsi que Gadamer a découvert dans le néoplatonisme des éléments permettant de s’opposer à la dictature du sujet moderne, dictature qui doit être renversée, car elle masque le réel rapport de l’homme à la vérité en faisant abstraction de la finitude de son existence concrète. La critique du subjectivisme moderne sous la conduite du néoplatonisme ouvre ainsi le chemin vers une métaphysique de la finitude.
My thesis shows the presence and role of metaphysics in Truth and Method. It attempts to show that Gadamer builds upon Neoplatonism to overcome the subjectivism of modernity and offers a metaphysics in this regard. It explains how Gadamer reclaims the legacy of Greek thought to criticize modernity, placing his interpretation of Plato compared to that of Heidegger, I argue that Gadamer appropriates Plotinus’ concept of being in such a way that it may lean to think of self-presentation of being in the hermeneutic experience of truth. In that sense, art is going to be a source of truth under the leadership of Neoplatonism. Gadamer gives an ontological dignity to art through the concept of emanation, a concept which suggests that there is a real presence of the represented in its representation, the latter derived from the represented without weakening it, providing it instead with more being. The concept of emanation then gives Gadamer an opportunity to affirm the indissoluble bond that unites words and things. Thomas Aquinas’ doctrine of the inner word indeed implies the link that Plato had covered up by making language, like logic, a mere domination instrument of the real. The use of the Neoplatonic concept of emanation makes it possible to overcome the logos of Greek philosophy and to better account for the being of language. I then show how Gadamer radicalized his thinking as he says that the being that can be understood is language, which means that being, as in Plotinus, is self-presentation. To this end, Gadamer links the being of language to Neoplatonic metaphysics of light. The last pages of Truth and Method recall indeed that the splendor of beauty is an expression for the truth of being. The concept of hermeneutic truth is then connected to its metaphysical origins. Truth is a display for the being in which we can partake only if one gets overwhelmed by its light. Far from being a matter of methodical control, the experience of truth requires to be possessed by what must be understood. In this way, I demonstrate that Gadamer found in Neoplatonism elements to challenge the dictatorship of the modern subject, which must be reversed because it hides the real relationship of man with truth by ignoring the finitude of its concrete existence. The criticism of modern subjectivism led by Neoplatonism opens the way to a metaphysics of finitude.
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