Literatura académica sobre el tema "Montaigne, Michel de (1533-1592 ; écrivain) – Critique et interprétation"

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Tesis sobre el tema "Montaigne, Michel de (1533-1592 ; écrivain) – Critique et interprétation"

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Bardyn, Christophe. "Montaigne, la politique et la religion : le moyenneur de la paix". Paris, EHESS, 2012. http://www.theses.fr/2012EHES0118.

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Resumen
L'objectif de ce travail était d'identifier la position de Montaigne au milieu des guerres civiles et religieuses de son temps. Nous sommes partis du principe que, dans ce contexte, les prises de position politiques ne pouvaient pas être dissociées de l'engagement sur le plan religieux. Sur le plan philosophique, nous avons suggéré que Montaigne est un cynique mitigé, ce qui permet de rendre compte de certaines de ses contradictions. Dans une première partie, nous avons fait ressortir la mise en avant de l'autorité politique pour résoudre les conflits, et une préférence marquée pour le républicanisme. Examinant les Essais, nous organisons la réflexion politique de Montaigne autour du thème de la franchise, entendue comme liberté et sincérité, revenant à nouveau vers une formulation cynique. La deuxième partie de ce travail porte plus spécifiquement sur la religion de Montaigne. La première étape consiste à mettre à l'épreuve les fondements de l'opinion selon laquelle Montaigne aurait été un excellent catholique. La confrontation entre Montaigne et Augustin occupe l'essentiel de cette partie. Le résultat de ces analyses est que Montaigne s'oppose systématiquement aux thèses les plus fondamentales d'Augustin, aussi bien en métaphysique qu'en éthique ou en théologie. Montaigne apparaît donc comme un penseur principalement préoccupé par le retentissement politique des thèses religieuses, et désireux de trouver une solution essentiellement politique. C'est un moyenneur et un irénique. Son effort pour inventer une solution originale au problème théologico-politique de son temps se traduit par un renouvellement de la forme littéraire
The aim of this work was to determine Montaigne's position in the midst of the civil and religious wars of his time. We took for granted that, in this context, political commitment could not be separated from religious concern. As for philosophy, we suggested that Montaigne is a mitigated cynic, wich allowed us to explain some of his contradictions. In the first Part, the most significant point is the role of political authority to solve conflicts, and an utter preferences for republicanism. Reading the Essais, we understand Montaigne's political thought as centered upon the theme of frankness, both a freedom and sincerity, leading us a new towards a cynical statement. The second Part of our work bears more specifically on Montaigne's religion. We first examined the grounds of the opinion according to wich Montaigne would have been an excellent catholic. A confrontation between Montaigne and Augustine fills most of this Part of our work. The result of those analyses was that Montaigne opposes each and every fundamental thesis of Augustine, as much metaphysical ones as ethical or theological ones. Montaigne eventually appears as a thinker most concerned by the political impact of religious theses and desirous to find merely political solutions. He is a moyenneur and an irénique. His endeavor to propose an original solution to the theological-political problem of his time led to a renewal of the literary forms
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Roger-Vasselin, Bruno. "L'ironie et l'humour chez montaigne dans les essais". Paris 3, 2000. http://www.theses.fr/2000PA030036.

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L'objet de ce travail est de montrer pourquoi, chez montaigne, la conscience d'une singularite sociale et litteraire conduit necessairement a l'ironie et a l'humour comme modulations particulieres de la distance, modulations qui se completent et s'associent tout au long de l'ouvrage. Par distance, il faut entendre ici toute approche qui permet d'apprivoiser la realite, d'en maitriser les donnees et les lourdeurs, de la reduire a l'echelle humaine en la transposant sur un plan ludique. Ainsi l'ensemble des formes de rire ont-elles en commun cette distance, laquelle n'exclut nullement, pour qui l'utilise, une implication de soi dans ses activites, mais une implication en quelque sorte immunisee par la force du rire, qui dejoue les agressions, qui emousse les pointes eventuelles de cette realite. La distance ironique est appelee distanciation, la distance humoristique recul. Notre premiere partie examine les differents modeles - litteraires, sociaux et ethiques - face auxquels montaigne se situe et prend ses distances. Les deuxieme et troisieme parties etudient successivement l'ironie comme principe de verite et l'humour comme principe de sante, etant entendu que sante et verite ne sont pas forcement incompatibles. Ces deux tournures d'esprit presentent chacune trois tendances qui sont etudiees tour a tour : pour l'ironie, la satire, le scepticisme et la distanciation ; pour l'humour, la charge, l'allegresse et la politesse
The object of this thesis is to demonstrate why Montaigne’ s conscience of his personal, social and literary uniqueness leads him to an attitude which combines irony and humour as a special means of distance throughout the Essais. Distanciation is to be understood as a means by which to penetrate the reality, to master its elements and difficulties, to render it more human while transposing it on a playful and ludicrous scale. All aspects of laughter share this distance which does not exclude the self implication of the user. This self implication is somewhat immunised by the power of laughter which untangles agressions on blunts the spurs of this reality. Ironic distance is called distanciation, humoristic distance understatement. The first part of this thesis deals with the various literary, social and ethical models upon which Montaigne situates himself and takes his distances. The second and third parts are focused on irony as a source of truth and humour as an element of health, neither truth nor health being incompatible. Both attitudes comprise three tendancies each which are successivly studied : irony is expressed through satire, scepticism and distanciation, humour through charge, mirth and politeness
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3

Yamamoto, Yoshio. "Montaigne et les loci communes : pratiques de lecture et d'écriture au XVIe siècle". Electronic Thesis or Diss., Paris 3, 2023. http://www.theses.fr/2023PA030047.

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Resumen
Notre étude montre que la rhétorique de Montaigne emprunte à la méthode des lieux communs qui relève du programme scolaire du XVIe siècle, ainsi qu’au concept rhétorique de loci communes.La première partie décrit l’histoire et l’évolution du concept de locus et des loci communes depuis l’Antiquité jusqu’à la Renaissance. En analysant la théorie rhétorique et pédagogique d’Érasme et de Mélanchthon nous préciserons les mécanismes de la composition d’un recueil de lieux communs et l’influence portant sur la rhétorique de la Renaissance.La seconde partie présente d’abord la pratique des citations chez Montaigne, envisageant ensuite la disposition des Essais, dont le désordre nous rappelle le genre des miscellanées. Nous aborderons enfin la mise en œuvre chez Montaigne des loci communes hérités de l’art oratoire traditionnel, ce qui nous montrera une belle contribution de la rhétorique au scepticisme.La dernière partie place Les Essais dans le contexte historique et rhétorique de la seconde moitié du XVIe siècle. Nous aborderons la brièveté du style chez Montaigne, en rapport avec sa préférence pour les auteurs de l’Âge d’argent, et dégagerons l’intention et l’objectif d’écriture de l’essayiste, qui permettent de distinguer Les Essais des recueils de son temps
Our study shows that Montaigne’s rhetoric has some relationships with commonplace-book method, which constitute an important part of school curriculum in the Sixteenth Century, and with the concept of loci communes.The first part describes the history and evolution of rhetorical concept, locus and loci communes, from antiquity to the Renaissance. After studying theories for rhetorical education written by Erasmus and Melanchthon, we outline precisely the mechanism, function and influence of commonplace-books.The second part makes analysis of the use of quotations in the Essays. Montaigne compose them with random order so that the Essays get close to miscellanies. We examine also the use of loci communes of traditional rhetoric in the Essays. Montaigne shows us a fine collaboration of rhetoric and skepticism in the chapter of « Apology of Raimond de Sebonde ». The last part places the Essays on the historical context of the second-half of sixteenth century. We envisage particularly Montaigne’s brevity of style in relation to his preference for writers of the Silver-Latin. Finally, we wish to make it clear Montaigne’s intention and objective of writing, which allow to distinguish the Essays from Commonplace-Books
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Chappé, Raphaël. "Montaigne, Spinoza, Feuerbach : l’homme en question". Paris 10, 2013. http://www.theses.fr/2013PA100164.

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Resumen
Nous partons du contraste entre l’anti-humanisme théorique d’Althusser (contre notamment Feuerbach) et certaines analyses plus récentes de l’« aliénation » (notion qui fut contestée par Althusser, en tant qu’elle renverrait à « l’humanisme », réduit à la reconnaissance d’un sujet maître de soi). Pour éclairer les enjeux de cette tension, nous prenons pour objet d’étude trois auteurs qui se démarquent de ce paradigme « humaniste » dominant au sein de la modernité : Montaigne, Spinoza, Feuerbach. Cherchant à établir qu’ils forment une ligne historico-philosophique, nous montrons qu’entre leurs pensées il existe des voies de passage historiques et d’importantes analogies. Leur façon même de se détacher, respectivement, des doctrines de la « dignité », de la « distinction réelle » de Descartes ou des variantes du sujet de l’idéalisme allemand, autorise la comparaison. C’est toujours sur fond de séparation de la philosophie d’avec la théologie que ces pensées se composent, tout à la fois, d’une perspective anti-humaniste et d’un souci de constituer une anthropologie naturelle. Si l’homme demeure au centre du discours, il ne s’agit pas du sujet de « l’humanisme ». Le travail consistant à rendre l’homme naturel contribue, à chaque fois, à défaire ce dernier de ses prérogatives traditionnelles et à libérer un espace pour concevoir l’aliénation. Nous découvrons que ces auteurs, qui ont mis passions et sensibilité au centre de l’homme, satisfont à deux injonctions apparemment contradictoires : d’un côté, le test anti-humaniste et, de l’autre, la nécessité d’aller vers un concept de l’aliénation, dans la protohistoire duquel ils s’inscrivent
I take as my starting point Althusser’s theoretical anti-humanism (directed in particular against Feuerbach) and more recent analyses on alienation, a notion that was precisely contested by Althusser insofar as it refers to humanism understood as the recognition of a subject that is self-determining. In order to shed light on what is at stake in this tension, I examine the positions of three philosophers who differentiate themselves from this “humanist” paradigm that has held a dominant position in the modern era: Montaigne, Spinoza, Feuerbach. I seek to establish that they form a historico-philosophical line and that there are historical pathways and important analogies between them. The very way they distinguish themselves respectively from doctrines of human “dignity,” from Descartes’ “real distinction,” and from the different varieties of subjectivity in German idealism entitles me to draw the comparison. These converging positions are always built on the background of a separation between philosophy and theology and are made up of both an anti-humanist perspective and a concern for constituting a natural anthropology. If man remains at the center of their discourses, they are not dealing any more with “humanist” subjectivity. Naturalizing man contributes each time to depriving him of his traditional prerogatives and to making room for conceiving what alienation amounts to. I reach the conclusion that these authors, who have put passions and sensibility in the core of man, satisfy two apparently contradictory requirements: the anti-humanist test, and the required elaboration of a concept of alienation to which they belong from a proto-historical point of view
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Ordynski, Rémi. "Montaigne et les traditions de consolation, « pour moy, ou pour un autre »". Electronic Thesis or Diss., Paris 3, 2023. http://www.theses.fr/2023PA030055.

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La critique récente a ouvert la voie à une meilleure compréhension des traditions antiques de consolation et de leurs modalités de résurgence à la Renaissance. La présente thèse propose d’en analyser l’influence sur l’écriture de Montaigne, de l’édition des œuvres de La Boétie de 1571-1572 jusqu’à celle des Essais de 1595. Cet héritage ne passe pas seulement par la lecture et la réécriture de textes antiques, mais également par le dialogue avec des pratiques contemporaines de l’auteur, à la fois sociales, philosophiques et scripturaires. L’essai des traditions consolatoires se manifeste par un examen critique de celles-ci mais également par une expérience mouvante et protéiforme, ainsi que par une véritable mise à l’épreuve de ces procédures. Multipliant les références au thesaurus consolatoire tout en cultivant l’infraction, l’infléchissement et le dévoiement, Montaigne met à mal ces traditions sans jamais les congédier définitivement. Une lecture rhétorique des Essais, à la lumière des préceptes d'écriture consolatoire appliqués aux lettres (Érasme, Fabri), à la poésie (Scaliger) ou aux discours (Vossius, Keckermann), révèle en effet la pratique, jusque dans les derniers chapitres et sur l’Exemplaire de Bordeaux, d’un type de parénèse que l’ironie ne suffit pas à disqualifier. Ce mode de discours met en relation un « je » et un « tu » qui ne se superposent pas exactement avec l’auteur et le lecteur. Dans cet espace – ce jeu –, s’instaure la recherche d’une autonomie et d’une singularité dans la façon de se dire et de se vivre, processus qui n’a de sens que dans la mesure où il requiert et sollicite l’autre
Recent research has opened the way to a better understanding of ancient consolatory traditions and the forms of their revival during the Renaissance. This dissertation aims at studying how they may have influenced Montaigne’s writings from the edition of works by La Boétie (1571-1572) to the publication of the Essais in 1595. This legacy does not only involve the reading and re-writing of ancient texts, it also establishes a dialogue with some practices that were contemporary to the author, whether they be social, philosophical or literary. The essay on consolatory traditions displays a critical analysis of these practices but also a shifting and protean experience and it singles itself out as a real assessment of these procedures. While constantly referring to the consolatory thesaurus, Montaigne also devotes himself to bending and altering these traditions which he questions without dismissing them altogether. A rhetorical analysis based on the treatises on letters (Erasm, Fabri), poetry (Scaliger) or speeches (Vossius, Keckermann) reveals the actual use, up to the last chapters and on the Bordeaux Copy, of a type of parenesis that irony alone cannot invalidate. This mode of expression connects an "I" and a "You" that do not correspond exactly to the author and the reader. In this in-between area, we can find the search for an autonomy and a singularity in the way of expressing oneself and experiencing life, a process that can only become meaningful if it calls upon and appeals to the other
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Beuvier, Clément. "La notion de 'bonne foy' au XVIe siècle". Electronic Thesis or Diss., Tours, 2023. http://www.theses.fr/2023TOUR2021.

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Cette thèse porte sur la notion de « bonne foy », décrite au cours du XVIe siècle comme une norme morale, politique et religieuse fondamentale. Renvoyant d'un premier point de vue à l'exigence de tenir la parole donnée, elle est au centre d'un discours qui se forme au croisement du droit, de la philosophie morale et de la littérature, dont la thèse tâche d'analyser les principales sources, les exempla privilégiés et la structure conceptuelle. À travers l'étude de cas particuliers, il s'agit alors de mettre en lumière le contenu spécifique dont la notion se trouve investie dans le contexte français du XVIe siècle, particulièrement sensible dans des œuvres littéraires comme le Regulus de Jean de Beaubreuil (1582) ou Le Bon François de Michel du Rit (1589). Une telle étude conduit toutefois à constater que les usages de la « bonne foy » sont irréductibles au seul paradigme de la parole donnée structurant ces œuvres, où la « bonne foy » consiste d'abord à être fidèle à une parole tenue envers et contre tout, selon l'idéal d'une constance domptant les circonstances. Dans le corpus plus large qui a été rassemblé, à la fois juridique, théologique et littéraire, la « bonne foy » consiste au contraire à tenir compte des circonstances, et de tout ce qui échappe à la stricte lettre des paroles. C'est ce que montre l'étude juridique de la notion : apparue dans le droit romain, la bona fides connaît dans le droit savant du Moyen Âge et de la Renaissance une élaboration théorique décisive, qui la rattache progressivement au paradigme de l'équité. La notion repose alors sur une certaine méfiance vis-à-vis des conséquences, contraires au bien et au vrai, auxquelles peut conduire une interprétation trop littérale des paroles humaines. Cet aspect détermine les usages de la « bonne foy » hors du droit, où l'on peut observer cette transposition d'une catégorie morale dans le champ de l'interprétation. Cette transformation de l'exigence de fides à l'œuvre dans la notion constitue l'objet principal de ce travail, qui explore la tension entre deux exigences que la « bonne foy » exprime sans que celles-ci se recouvrent parfaitement : faire valoir la force obligatoire des paroles tenues par les hommes d'une part, subordonner les paroles à l'intention qui les anime et à leurs conditions d'énonciation d'autre part. La « bonne foy » tend en effet à se définir au sein d'une éthique herméneutique dont les deux processus privilégiés sont les suivants : la reconnaissance par un locuteur qu'il était dans l'erreur, et la juste interprétation de la parole d'autrui. Fondamentalement, la notion se définit ainsi comme un rapport au savoir et au langage. L'étude de la « bonne foy » dans les Essais clôturant ce travail revient sur l'usage singulier que fait Montaigne d'une notion étroitement liée à la gnoséologie que l'œuvre déploie, fondée sur la reconnaissance de l'ignorance
This thesis focuses on the notion of “bonne foy”, described in the sixteenth century as a fundamental moral, political and religious norm. From a first point of view, it refers to the requirement to keep one's word, and is at the centre of a discourse that is formed at the crossroads of law, moral philosophy and literature, whose main sources, privileged exempla and conceptual structure are analyzed in this thesis. Through the study of specific cases, the ai mis to highlight the specific content of the notion in the French context of the sixteenth century, particularly evident in literary works such as Jean de Beaubreuil's Regulus (1582) or Michel du Rit's Le Bon François (1589). A study of this kind, however, shows that the uses of “bonne foy” cannot be reduced to the paradigm of given word alone, where “bonne foy” consists first and foremost in being faithful to a word kept against all odds, according to the ideal of constancy overcoming circumstances. In the corpus we have collected, “bonne foy” consists, on the contrary, in taking account of circumstances and anything that goes beyond the strict letter of the words. This is what a legal study of the notion shows : bona fides first appeared in Roman law, and underwent a decisive theoretical development in the learned law of the Middle Ages and the Renaissance, in which it was gradually linked to the paradigm of equity. The notion is based on a certain mistrust of the consequences, contrary to what is good and true, to which an overly literal interpretation of words can lead. This aspect determines the uses of “bonne foy” outside the law, where we can observe this transposition of a moral category into the field of interpretation. This transformation of the requirement of fides that is at work in the notion constitutes the main object of this work, which explores the tension between two requirements that “bonne foy” expresses without them overlapping perfectly: on the one hand, to assert the obligatory force of the words held by men, and on the other, to subordinate the words to the intention that animates them and to the conditions of their enunciation. The “bonne foy” thus tends to be defined within a hermeneutic ethic whose two privileged processes are as follows : the recognition by someone that they were in error, and the correct interpretation of another's words. Basically, the notion is defined as a relationship to knowledge and language. The study of “bonne foy” in the Essais, which brings this work to a close, focuses on Montaigne's singular use of a notion that is closely linked to the gnoseology developed in the work, based on the recognition of ignorance
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Grivel, Joseph. "A raisonnable distance : lecture de Montaigne". Lyon 3, 1990. http://www.theses.fr/1990LYO31002.

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La vie de michel de montagine, seigneur et auteur, s'engage avec la rupture solennelle d'une retraite precoce. Ce repli sur soi retrouve les preceptes antiques, stoiciens et epicuriens, d'une visee volontairement circonspecte. Celli-ci restreint notamment les possessions propres au corps et a l'ame, envisages avec montaigne dans les termes originaux d'une societe sans hierarchie, placee sous l'intendance du jugement. Aux confins de ce domaine limite et maitrise, la sagesse antique fait traditionnellement peser sur tout franchissement la menace des atteintes de la fortune ou de l'emportement des passions. La garantie de sol est ainsi au prix d'une tension permanente qui s'applique a ramener a soi toute visee. Dans cette attitude trop tendue, la retraite de montaigne refuse de se reconnaitre. Elle integre deja un eloignement raisonnable mesure par les codes de gentillesse de l'epoque qui permettent, dans l'exercice des vertus martiales, un engagement voisin; elle se laisse par ailleurs etonner par l'aventure a la fois ambitieuse et certaine de l'artiellerie a feu et de la navigation hauturiere, arts nouveaux d'une prise de possession mecanisee du lointain. Avec montaigne, la contention trop rigide du sage sait composer avec la sortie maitrisee de soi, alcibiade venant heureusement donner de la souplesse a seneque
The life of michel de montaigne, nobleman and author, opens with the formal break of a premature retirement. The ancient precepts, both stoical and epicurian, of a voluntarily circumspective intention are to be observed in this withdrawal into oneself. This approach especially confines the possessions of body and soul, which montaigne sees in the original terms of a marriage without hierarchy placed under the administration of judgment. Within the limits of this dominated, restricted domain, ancient philosophers traditionally threaten that any breach of confines results in changes of fortune and transports of passions. The guarantee of the self is thus paid at the price of a permanent tension that strives to reduce all designs to the self. In this over-tense attitude, montaigne's retirement refuses self-acknowledgement. It integrates a cautions distancing defined by the genteel codes of the times, which allow for close engagement in the exercise of the martial virtues. Moreover, it is surprised at the both ambitious and certain adventure of gun artillery and ocean navigation, which were the new arts of a mechanized appropriation of the distance. With montaigne, the philosopher's too rigid restraint is able to come to terms with the dominated emergence from the self, which is like alcibiades happily giving a lesson in adaptability to seneca
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Lee, Seon-Hee. "Histoire et histoires dans les Essais de Montaigne". Paris 10, 2006. http://www.theses.fr/2006PA100074.

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Dans les Essais, Montaigne (1533-1592) accorde une place considérable à des histoires qu'il tire de ses lectures, de son entourage ou de ses expériences. La première partie de notre thèse répond à la question de savoir quels types d'histoires exactement il rapporte. La deuxième présente ses sources livresques, très diverses, et précise le degré de fidélité de sa version. La troisième est consacrée d'abord aux aspects formels. Elle se tourne ensuite vers l'étude de l'agencement des histoires, constatant que Montaigne peut rapporter une très longue histoire, en répéter d'autres ou en aligner une longue série. Elle présente enfin les rôles que jouent les histoires par rapport aux propres réflexions de Montaigne, en isolant trois possibilités : illustration des idées, intervention comme précepte, déclencheur ou moteur de la réflexion. Notre travail se termine ainsi en confirmant l'étroit rapport entre les histoires et la réflexion que notre auteur mène ou les jugements qu'il porte
In the Essays, Michel de Montaigne (1533-1592) reports a considerable number of stories taken from his readings, his own experiments or those taken from the people around him. The first part of this study answers the question about the types of these. The second part is mainly devoted to the examination of their sources. The last part insists on the way Montaigne appropriates the accounts of others in his text. We first see the formal aspects of them. Then we tackle the study of the fitting of the stories because we find rather particular cases like reporting a very long story, or giving the same one several times, or aligning a series of stories. Lastly, we try to define the roles the stories play in the text. We present three possibilities: they are used to illustrate one idea, they intervene as a precept or they launch or start again the reflection. Our work finishes thus on confirming the close relationship between the stories and the reflection or the opinions of Montaigne
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Foglia, Marc. "La formation du jugement chez Montaigne". Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010620.

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La fin du XVIe siècle en France est marquée par une situation religieuse, politique et culturelle de crise profonde: pour s'orienter dans la vie et la pensée, l'individu est obligé de faire usage de son jugement. Si Montaigne nous intéresse encore aujourd'hui, c'est parce que cette situation est celle que rencontre tout homme confronté à l'expérience, même si le degré d'embarras n'est pas toujours le même. Or, nous ne disposons pas d'une règle unique de vérité qui nous aurait été enseignée par la nature, la religion ou la doctrine. Il ne s'agit pas d'apprendre une science, mais d'acquérir un savoit-faire dans l'usage d'un pouvoir de discernement propre. Cette aptitude, que Montaigne croit encore intacte chez les enfants, doit se cultiver sous la forme de l'examen et du doute, sous peine de faire tomber l'esprit dans le pédantisme. La question de l'éducabilité de l'homme et de l'importance du naturel est toutefois posée dans les Essais; contre un scepticisme de principe, Montaigne pratique la preuve par l'action. Pour les Stoïciens, l'homme sort de l'état de nature et s'avance vers la sagesse par des exercices appropriés; pour Montaigne, eu égard à la condition humaine qui est la nôtre, le jugement doit renoncer à la perfection, accepter un régime d'intelligence moyenne. La prudence du jugement consiste d'abord à faire droit à l'expérience, au lieu de vouloir prendre et imposer des décisions. En position de retrait, le jugement se sert de discours pluriels et d'exemples historiques pour se former. Le renoncement aux certitudes durables et aux vérités universelles est compensé par l'indépendance et la souplesse du jugement. L'essai organise la pesée des différentes autorités dans un système de poids et de contrepoids, qui fait de l'essai une série d'évaluations reconduites par alternances successives du jugement. Il faut juger droitement (stoïcisme) mais la droiture du jugement est difficile, voire impossible (scepticisme). En décalage avec une philosophie qui dispose de principes, de critères ou de normes, Montaigne met en place un système non systématique d'évaluation. Aucune des trois voies possibles de la formation du jugement, la nature, la méthode ou l'expérience, n e dispense de faire l'essai de son jugement propre.
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Joly, Elisabeth. "Une stratégie de la relation amoureuse dans les "Essais" de Montaigne". Bordeaux 3, 2003. http://www.theses.fr/2003BOR30014.

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Pénétré d'un sentiment d'insuffisance né de sa petite taille, fasciné par des modèles de grandeur qui l'inhibent, Montaigne cherche dans les "Essais" à être reconnu et aimé. Il parvient par l'ostentation paradoxale de ses défaillances à imposer sa singularité et à répondre à un désir présomptueux. Mais le désir par son excès devient source d'une impuissance douloureuse qu'il combat par des procédés de répression et de fuite, jusqu'à en atteindre l'annihilation avec la maladie et la vieillesse, jusqu'à trouver un équilibre entre la tension du désir et sa capacité de le satisfaire. La difficile question du sentiment, présente dans des aveux de tendresse, le jeu de l'obscénité et de la pudeur ou la référence au modèle courtois, suscite l'élaboration d'une stratégie de la relation amoureuse qui privilégie l'adresse féminine et s'appuie sur des procédés stylistiques et rhétoriques pour la réaliser en la menant à un engendrement métaphorique
A feeling of inadequacy caused by the physical experience of smallness, the fascinating examples of great men arouse in Montaigne a wish to reach himself greatness and to find in it recognition and love. Through the paradoxical ostentation of weaknesses, writing offers himto impose his singularity and show some presumptuousness. Yet his excessive desire becomes source of an impotence, against which he fights thanks to repressive and avoiding methods, up to its near annihilation by desease and old age, up to a balance between the tension of desire and his ability to satisfy it. Through the different periods of writing, arises a new side of desire : feeling, that appears through avowals of tenderness, the contradictory combination of obscenity and decency or reference to courtly model. Writing allows to achieve a love relation thanks to a favoured adress to women, stylistic and rhetoric means and leads to a phantasmatic begetting
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Libros sobre el tema "Montaigne, Michel de (1533-1592 ; écrivain) – Critique et interprétation"

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Philippe, Desan, ed. Montaigne. Berkeley: University of California Press, 1991.

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