Siga este enlace para ver otros tipos de publicaciones sobre el tema: Mâles – Reproduction (biologie).

Artículos de revistas sobre el tema "Mâles – Reproduction (biologie)"

Crea una cita precisa en los estilos APA, MLA, Chicago, Harvard y otros

Elija tipo de fuente:

Consulte los 19 mejores artículos de revistas para su investigación sobre el tema "Mâles – Reproduction (biologie)".

Junto a cada fuente en la lista de referencias hay un botón "Agregar a la bibliografía". Pulsa este botón, y generaremos automáticamente la referencia bibliográfica para la obra elegida en el estilo de cita que necesites: APA, MLA, Harvard, Vancouver, Chicago, etc.

También puede descargar el texto completo de la publicación académica en formato pdf y leer en línea su resumen siempre que esté disponible en los metadatos.

Explore artículos de revistas sobre una amplia variedad de disciplinas y organice su bibliografía correctamente.

1

Trigui, Khalil, Rafik Ben Said, Fourat Akrout y Néji Aloui. "Etude éco-biologique d’Artemia salina (Branchiopoda, Anostraca) de la saline de Sahline (Tunisie)". Crustaceana 89, n.º 8 (2016): 949–74. http://dx.doi.org/10.1163/15685403-00003558.

Texto completo
Resumen
Dans la présente étude, d’éventuelles corrélations entre les facteurs du milieu et quelques éléments biologiques de l’Artemiade la saline de Sahline ont été étudiées durant une année. Les résultats obtenus ont montré que les paramètres du milieu ont affecté la biologie de l’Artemia. L’abondance maximale a été enregistrée en mai (550 ± 2,16 ind/l). Tous les stades de développement étaient présents mais avec des pourcentages saisonniers variables. Les populations d’Artemiaétudiées sont bisexuées avec une reproduction ovovivipare au début et ovipare à la fin du cycle. La sex-ratio a montré une dominance des mâles au début et des femelles à la fin du cycle. La taille des femelles mâtures est supérieure à celle des mâles. La fécondité obtenue s’est traduite par une production importante des cystes par rapport aux nauplii. Les analyses statistiques ont montré une corrélation négative avec un effet très significatif entre les facteurs du milieu (température et salinité) et la production des nauplii (ovoviviparité) contrairement avec l’oxygène dissous.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Ouattara, M., D. Diomande, K. C. Boussou y G. Gourène. "Stratégies de reproduction de Marcusenius ussheri (Pisces, Mormyridae) en fonction des conditions hydrologiques créées par la construction du barrage hydroélectrique d’Ayamé I sur le cours principal de la rivière Bia (Côte d’Ivoire)". Belgian Journal of Zoology 140, n.º 1 (5 de septiembre de 2024): 11–19. http://dx.doi.org/10.26496/bjz.2010.185.

Texto completo
Resumen
La biologie de la reproduction de Marcusenius ussheri a été étudiée au cours de 12 mois d'échantillonnage dans le bassin de la rivière Bia. Le cours d’eau est divisé en trois zones écologiques différentes nées de la présence d'un barrage hydroélectrique sur son lit principal (amont, lac et aval). Les poissons ont été pêchés essentiellement aux filets maillants. La taille de première maturité sexuelle présente une variation le long du cours d’eau (amont, lac et aval) pour les deux sexes. Elle varie également en fonction du sexe, elle est légèrement plus faible chez les femelles que chez les mâles de l'espèce. Les données relatives à la maturation des gonades, au rapport gonadosomatique révèlent que la période de reproduction varie en fonction des conditions hydrologiques et de la saison. Le diamètre de l'ovocyte à la ponte est de 1.8mm; la fécondité relative atteint 31834 ovocytes par kg de poids corporel. Les conditions environnementales qui prévalent dans l'habitat anthropique (lac) étudié, semblent plus favorables à la reproduction de l'espèce que les parties fluviatiles.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

BLESBOIS, E. "Gamètes et fécondation chez les oiseaux". INRAE Productions Animales 24, n.º 3 (7 de julio de 2011): 259–72. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.3.3260.

Texto completo
Resumen
La biologie des gamètes et de la fécondation aviaire constitue un modèle à part d’adaptation physiologique. Elle tient compte de deux facteurs fondamentaux : 1) un système ovipare qui permet d’assurer le plus d’autonomie possible aux descendants et 2) un système de fécondation interne très élaboré qui vise à sélectionner la descendance des meilleurs reproducteurs. Dans cette synthèse nous présentons brièvement la structure et la fonction des gamètes mâles et femelles, l’originalité du système de conservation et de sélection des spermatozoïdes dans un oviducte aux multiples fonctions ; les données les plus récentes sur la fécondation et sa polyspermie physiologique et finalement quelques une des applications biotechniques. D’une façon générale l’optimisation du système de reproduction aviaire a largement contribué au succès de l’élevage des volailles. Dans l’avenir il doit être pris en compte dans les enjeux de durabilité des systèmes de production animale du XXIème siècle.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Jamet, Jean-Louis. "Biologie du Gardon adulte (Rutilus rutilus, L. 1758 ; Pisces : Cyprinidae) dans le lac d'Aydat". Revue des sciences naturelles d'Auvergne 57, n.º 1 (1992): 23–33. https://doi.org/10.3406/rsna.1992.3307.

Texto completo
Resumen
Dans cette étude, nous présentons les résultats concernant la croissance, la reproduction, la condition et l'alimentation du gardon (Rutilus rutilus) qui est l'espèce piscicole dominante dans le lac eutrophe d'Aydat. Les gardons ont été capturés à l'aide de filets maillants de surface et de fond de différents vides de maille (de 14 à 35 mm, de nœud à nœud). La croissance a été calculée à l'aide de l'équation de Von Bertalanffy (1938). Afin de comparer les taux de croissance du gardon du lac d'Aydat avec ceux de la littérature, nous avons utilisé le logiciel ETAL II (Gaschutz et al., 1980) pour calculer les paramètres L∞et K de la littérature et la méthode Ø de Munro et Pauly (1983) et Pauly 8i Munro (1984). En comparaison avec les données de la littérature, la croissance de R. rutilus est moyenne. Au lac d'Aydat, le gardon est adulte à partir de 2+ pour les mâles et de 3+ pour les femelles. Cette espèce se reproduit à la fin mai-début juin. Sa fécondité est faible mais les ovocytes produits sont de taille élevée, ce qui assure un apport énergétique important pour les alevins vésiculés, et par conséquent un bon recrute¬ ment de l'espèce. Le sex-ratio est non seulement favorable aux femelles, mais il augmente également en fonction de l'âge du poisson. R. rutilus est une espèce omnivore qui se nourrit de sédiment (N = 5,9%), de phytoplancton (N =32,1 %), de macrophytes (N = 27,2 %), de zooplancton (N= 16,0 %) et de macro-invertébrés (18,8%) (en terme de contribution numérique) pour toutes classes d'âges confondues. Son alimentation varie en fonction des saisons. Au printemps, il se nourrit essentiellement de phytoplancton et de macro-invertébrés. En été, son régime est omnivore. En automne, il consomme essentiellement du sédiment, du phytoplancton et du zooplancton. En hiver, le sédiment et le zooplancton représentent une part importante dans son alimentation. Ces résultats montrent que le gardon du lac d'Aydat est parfaitement adapté aux conditions contraignantes de cet écosystème limnique eutrophe.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Estoup, Arnaud y Denis Fournier. "Guerre des sexes chez une fourmi : reproduction clonale des mâles et des reines". médecine/sciences 21, n.º 11 (noviembre de 2005): 907–9. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20052111907.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

Rojas-Rousse, Danielle, Christophe Bressac, Christian Thibeaudeau, Robert Kalmès, Éric Darrouzet y Claude Chevrier. "Capacité de reproduction des femelles Eupelmus vuilleti (Eupelmidae), inséminées par des mâles développés en hyperparasitoïdes de Dinarmus basalis (Pteromalidae)". Comptes Rendus Biologies 328, n.º 9 (septiembre de 2005): 802–11. http://dx.doi.org/10.1016/j.crvi.2005.06.003.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

Féron, C. y C. Baudoin. "Influence réduite d'une particularité pénienne sur la capacité d'accouplement des souris mâles staggerer". Reproduction Nutrition Development 32, n.º 5-6 (1992): 409–13. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19920501.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

Bitri, Lotfi, Wafa Darragi, Latifa Ouertani, Daniel Maurel y Moncef Ben Saad. "Effet de l'hexachlorobenzène sur certains paramètres de la fonction de reproduction mâle chez Meriones unguiculatus". Comptes Rendus Biologies 331, n.º 5 (mayo de 2008): 380–88. http://dx.doi.org/10.1016/j.crvi.2008.03.002.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

Theau-Clément, M., RG Thébault, G. Bolet y H. de Rochambeau. "La reproduction du lapin Angora de souche française : ovulation chez la femelle, production de semence chez le mâle". Reproduction Nutrition Development 31, n.º 6 (1991): 667–73. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19910606.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
10

BAS, P., P. MORAND-FEHR, Annie ROUZEAU y J. HERVIEU. "Evolution de la composition des tissus adipeux du chevreau mâle sevré à 4, 6 ou 8 semaines". Reproduction Nutrition Développement 27, n.º 1B (1987): 313–14. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19870266.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
11

SCHMIDELY, Ph, J. ROBELIN, P. BAS y P. MORAND-FEHR. "Estimation de l'eau corporelle à partir de l'espace de diffusion de l'eau deutériée chez le jeune chevreau mâle". Reproduction Nutrition Développement 28, n.º 1 (1988): 209–10. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19880167.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
12

GOMOT, P. y Bernadette GRIFFOND. "Répercussion de la durée d'éclairement journalier sur l'évolution des cellules nourricières et de la lignée mâle dans l'ovotestis d'Helix aspersa". Reproduction Nutrition Développement 27, n.º 1A (1987): 95–108. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19870110.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
13

Schmidely, P., J. Robelin y P. Bas. "Comparaison de différentes méthodes d'interprétation de la prédiction de l'eau corporelle par la méthode de dilution de l'eau lourde : application chez le chevreau mâle". Reproduction Nutrition Développement 29, n.º 4 (1989): 487–94. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19890410.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
14

Lassoued, N., G. Khaldi, Y. Cognié, P. Chemineau y J. Thimonier. "Effet de la progestérone sur le taux d'ovulation et la durée du cycle ovarien induits par effet mâle chez la brebis Barbarine et la chèvre locale tunisienne". Reproduction Nutrition Development 35, n.º 4 (1995): 415–26. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19950406.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
15

GUY, G. y L. FORTUN-LAMOTHE. "Avant-propos". INRAE Productions Animales 26, n.º 5 (19 de diciembre de 2013): 387–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3167.

Texto completo
Resumen
Ce numéro de la revue INRA Productions Animales contient un dossier consacré aux dernières avancées de la recherche sur le foie gras. En effet, la démocratisation de la consommation de ce produit haut de gamme a été permise notamment par les efforts de recherche et développement sur l’élevage des palmipèdes à foie gras et la maîtrise de la qualité du produit. Ce dossier est l’occasion de faire en préalable quelques rappels sur cette belle histoire ! Un peu d’histoire La pratique du gavage est une tradition très ancienne, originaire d’Egypte, dont les traces remontent à 2 500 avant JC. Elle avait pour objectif d’exploiter la capacité de certains oiseaux à constituer des réserves énergétiques importantes en un temps court pour disposer d’un aliment très riche. Si les basreliefs datant de l’ancien empire égyptien attestent de la pratique du gavage, il n’existe pas de preuves que les égyptiens consommaient le foie gras ou s’ils recherchaient la viande et la graisse. Ces preuves sont apparues pour la première fois dans l’empire romain. Les romains gavaient les animaux avec des figues et pour eux le foie constituait le morceau de choix. Le nom de jecur ficatum, signifiant « foie d’un animal gavé aux figues », est ainsi à l’origine du mot foie en français. La production de foie gras s’est développée dans le Sud-ouest et l’Est de la France aux XVIIe et XVIIIe siècles avec le développement de la culture du maïs. Le foie gras est aujourd’hui un met inscrit au patrimoine culturel et gastronomique français (article L. 654-27-1 du code rural défini par la Loi d’Orientation Agricole de 2006). Le contexte de la production de foie gras Avec près de 72% de la production mondiale en 2012, la France détient le quasi monopole de la production de foie gras. Les autres pays ayant des productions significatives sont la Hongrie et la Bulgarie en Europe Centrale, avec environ 10% pour chacun de ces pays, mais aussi l’Espagne avec 3% de la production. L’Amérique du nord et la Chine représentent les deux autres pôles de production les plus significatifs, mais avec moins de 2% du marché. La production française a connu un essor considérable, sans doute le plus important de toutes les productions agricoles, passant de 5 880 tonnes en 1990 à plus de 19 000 tonnes en 2012. A l’origine, le foie gras était principalement obtenu par gavage des oies, longtemps considérées comme l’animal emblématique de cette production. Aujourd’hui, le canard mulard, hybride d’un mâle de Barbarie (Cairina Moschata) et d’une cane commune (Anas Platyrhynchos), est plus prisé (97% des palmipèdes gavés en France). En France, l’oie a vu de ce fait sa part relative pour la production de foie gras diminuer, et c’est la Hongrie qui contrôle 65% de la production mondiale de foie gras d’oie. Toutefois, cette espèce ne représente que 10% de la production mondiale. La France est également le principal pays consommateur de foie gras avec 71% du total, l’Espagne se classant au second rang avec environ 10%. Compte tenu de son image de produit de luxe et d’exception, le foie gras est consommé un peu partout dans le monde lors des repas de haute gastronomie. Les grandes avancées de connaissance et l’évolution des pratiques d’élevage L’amélioration des connaissances sur la biologie et l’élevage des palmipèdes à foie gras a permis de rationnaliser les pratiques d’élevage et d’améliorer la qualité du produit. Plusieurs laboratoires de recherche et structures expérimentales, ayant leurs installations propres et/ou intervenant sur le terrain, ont contribué à l’acquisition de ces connaissances : l’INRA avec l’Unité Expérimentale des Palmipèdes à Foie Gras, l’UMR Tandem, le Laboratoire de Génétique Cellulaire, la Station d’Amélioration Génétique des Animaux et l’UR Avicoles, l’Institut Technique de l’AVIculture, la Ferme de l’Oie, le Centre d’Etudes des Palmipèdes du Sud Ouest, le LEGTA de Périgueux, l’ENSA Toulouse, l’ENITA Bordeaux et l’AGPM/ADAESO qui a mis fin en 2004 à ses activités sur les palmipèdes à foie gras. Aujourd’hui ces structures fédèrent leurs activités dans un but de rationalité et d’efficacité. Les avancées des connaissances et leur transfert dans la pratique, associés à une forte demande du marché, sont à l’origine de l’explosion des volumes de foie gras produits. Ainsi, la maîtrise de la reproduction couplée au développement de l’insémination artificielle de la cane commune et à la sélection génétique (Rouvier 1992, Sellier et al 1995) ont permis la production à grande échelle du canard mulard adapté à la production de foie gras. En effet, ses géniteurs, le mâle de Barbarie et la femelle Pékin, ont fait l’objet de sélections spécifiques basées sur l’aptitude au gavage et la production de foie gras de leurs descendants. La connaissance des besoins nutritionnels des animaux et le développement de stratégies d’alimentation préparant les animaux à la phase de gavage ont également été des critères déterminants pour la rationalisation d’un système d’élevage (Robin et al 2004, Bernadet 2008, Arroyo et al 2012). La filière s’est par ailleurs structurée en une interprofession (le Comité Interprofessionnel du Foie Gras - CIFOG) qui soutient financièrement des travaux de recherches et conduit des actions (organisation de salons du foie gras par exemple) visant à rendre accessibles toutes les avancées de la filière. Ainsi, l’amélioration du matériel d’élevage (gaveuse hydraulique et logement de gavage) a engendré des gains de productivité considérables (Guy et al 1994). Par exemple, en 20 ans, la taille d’une bande de gavage est passée de deux cents à mille individus. Enfin, la construction de salles de gavage, dont l’ambiance est parfaitement contrôlée autorise désormais la pratique du gavage en toute saison. Des études ont aussi permis de déterminer l’influence des conditions d’abattage et de réfrigération sur la qualité des foies gras (Rousselot-Pailley et al 1994). L’ensemble de ces facteurs a contribué à ce que les possibilités de production soient en cohérence avec la demande liée à un engouement grandissant pour le foie gras. Les pratiques d’élevage actuelles Aujourd’hui, le cycle de production d’un palmipède destiné à la production de foie gras comporte deux phases successives : la phase d’élevage, la plus longue dans la vie de l’animal (11 à 12 semaines chez le canard ou 14 semaines chez l’oie) et la phase de gavage, d’une durée très courte (10 à 12 jours chez le canard ou 14 à 18 jours chez l’oie). La phase d’élevage se décompose elle même en trois étapes (Arroyo et al 2012). Pendant la phase de démarrage (de 1 à 4 semaines d’âge) les animaux sont généralement élevés en bâtiment clos chauffé et reçoivent à volonté une alimentation granulée. Pendant la phase de croissance (de 4 à 9 semaines d’âge), les animaux ont accès à un parcours extérieur. Ils sont nourris à volonté avec un aliment composé de céréales à 75% sous forme de granulés. La dernière phase d’élevage est consacrée à la préparation au gavage (d’une durée de 2 à 5 semaines) grâce à la mise en place d’une alimentation par repas (220 à 400 g/j). Son objectif est d’augmenter le volume du jabot et de démarrer le processus de stéatose hépatique. Pendant la phase de gavage les animaux reçoivent deux (pour le canard) à quatre (pour l’oie) repas par jour d’une pâtée composée à 98% de maïs et d’eau. Le maïs est présenté soit sous forme de farine (productions de type standard), soit sous forme d’un mélange de graines entières et de farine, soit encore sous forme de grains modérément cuits (productions traditionnelles ou labellisées). En France, on distingue deux types d’exploitations. Dans les exploitations dites en filière longue et de grande taille (au nombre de 3 000 en France), les éleveurs sont spécialisés dans une des phases de la production : éleveurs de palmipèdes dits « prêt-à-gaver », gaveurs ou éleveurs-gaveurs. Ce type de production standard est sous contrôle d’un groupe ou d’une coopérative qui se charge des opérations ultérieures (abattage, transformation, commercialisation ou diffusion dans des espaces de vente à grande échelle). Il existe également des exploitations en filière courte qui produisent les animaux, transforment les produits et les commercialisent directement à la ferme et qui sont généralement de plus petite taille. Ces exploitations « fermières » ne concernent qu’une petite part de la production (10 à 15%), mais jouent un rôle important pour l’image de production traditionnelle de luxe qu’elles véhiculent auprès des consommateurs. Pourquoi un dossier sur les palmipèdes à foie gras ? Au-delà des synthèses publiées précédemment dans INRA Productions Animales, il nous a semblé intéressant de rassembler et de présenter dans un même dossier les avancées récentes concernant la connaissance de l’animal (articles de Vignal et al sur le séquençage du génome du canard et de Baéza et al sur les mécanismes de la stéatose hépatique), du produit (articles de Théron et al sur le déterminisme de la fonte lipidique du foie gras à la cuisson et de Baéza et al sur la qualité de la viande et des carcasses), ainsi que les pistes de travail pour concevoir des systèmes d’élevage innovants plus durables (article de Arroyo et al). L’actualité et les enjeux pour demain La filière est soumise à de nombreux enjeux sociétaux qui demandent de poursuivre les efforts de recherche. En effet, pour conserver son leadership mondial elle doit rester compétitive et donc maîtriser ses coûts de production tout en répondant à des attentes sociétales et environnementales spécifiques telles que la préservation de la qualité des produits, le respect du bien-être animal ou la gestion économe des ressources. Ainsi, la production de foie gras est parfois décriée eu égard à une possible atteinte au bien-être des palmipèdes pendant l’acte de gavage. De nombreux travaux ont permis de relativiser l’impact du gavage sur des oiseaux qui présentent des prédispositions à ce type de production : la totale réversibilité de l’hypertrophie des cellules hépatiques (Babilé et al 1998) ; l’anatomie et la physiologie des animaux de même que l’absence de mise en évidence d’une élévation du taux de corticostérone (considéré comme marqueur d’un stress aigu) après l’acte de gavage (Guéméné et al 2007) et plus récemment la mise en évidence de l’aptitude à un engraissement spontané du foie (Guy et al 2013). Le conseil de l’Europe a toutefois émis des recommandations concernant le logement des animaux qui préconisent, la disparition des cages individuelles de contention des canards pendant le gavage au profit des cages collectives. Par ailleurs, il recommande la poursuite de nouvelles recherches pour développer des méthodes alternatives au gavage. Parallèlement, à l’instar des autres filières de productions animales, la filière foie gras doit aussi maîtriser ses impacts environnementaux (voir aussi l’article d’Arroyo et al). Les pistes de recherches concernent prioritairement la maîtrise de l’alimentation, la gestion des effluents et des parcours d’élevage. Il reste donc de grands défis à relever pour la filière foie gras afin de continuer à proposer un produitqui conjugue plaisir et durabilité.Bonne lecture à tous !
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
16

KOUADIO, Koffi Franck Stanislas, Ettien Narcice AKESSE, Prisca Gnanda EHOUNOU, Yédé Jean ALIKO y S. W. Mauricette OUALI N’GORAN. "Biologie de Helopeltis schoutedeni et Helopeltis corbisieri, insectes ravageurs de l’anacardier en conditions semi-naturelles dans la région du Hambôl (Centre-Nord de la Côte d’Ivoire)". Journal of Animal and Plant Sciences (J Anim Plant Sci ) ISSN 2071 – 7024 61, n.º 3 (31 de octubre de 2024). https://doi.org/10.35759/janmplsci.v61-3.3.

Texto completo
Resumen
L’anacardier (Anacardium occidentale) est l’une des principales cultures de rente de la Côte d’Ivoire. Cependant, cette culture fait face aux attaques d’insectes ravageurs tels que les piqueurs-suceurs du genre Helopeltis considérés comme des ravageurs majeurs de l’anacardier en Côte d’Ivoire. Cette étude qui a été conduite en conditions sémi naturelles avait pour objectif d’apporter plus de connaissances sur quelques paramètres de reproduction des espèces du genre Helopeltis observées en Côte d’Ivoire. Dans un insectarium, trente couples néo-immergés de chacune des deux espèces identifiées ont été survis dans des cages d’élevage. L’étude a révélé des durées de pré-accouplement et de pré-oviposition de 2 jours chacune pour les deux espèces de Helopeltis. La fécondité a été de 28,1 ±2,2 œufs pour Helopeltis schoutedeni et de 23,2 ± 1,7 œufs pour Helopeltis corbisieri. L’incubation des œufs a duré 10,41 ± 0,5 jours avec un taux de fertilité de 81,97 ± 1,1 % chez H. schoutedeni contre 8,88 ± 0,1 jours et un taux de fertilité de 90,8 ± 0,55 % chez H. corbisieri. La durée de développement a été de 27,56 ± 1,5 jours pour H. schoutedeni et de 24,83 ± 0,6 jours chez H. corbisieri. Chez H. schoutedeni, la longévité moyenne a été de 30,34 ± 0,84 et de 24, 91 ± 0,61 jours respectivement chez les femelles et les mâles puis chez H. corbisieri, elle a été de 23,21 ± 0,52 et de 21, 7 ± 0,39 jours respectivement chez les femelles et les mâles. La connaissance de ces paramètres pourrait être utile dans l’élaboration de stratégies de lutte durable contre Helopeltis spp. SUMMARY Cashew (Anacardium occidentale) is one of Côte d'Ivoire's main cash crops. However, this crop faces attacks from insect pests such as the biting-sucking Helopeltis species, considered to be major pests of cashew in Côte d'Ivoire. The aim of this study, which 11319 Kouadio et al., 2024 Journal of Animal & Plant Sciences (J.Anim.Plant Sci. ISSN 2071-7024) Vol.61(3) : 11319 -11331 https://doi.org/10.35759/JAnmPlSci.v61-3.3 was conducted under semi-natural conditions, was to gain a better understanding of some of the reproductive parameters of species of the Helopeltis genus observed in Côte d'Ivoire. Thirty neo-submerged pairs of each of the two identified species were kept in rearing cages in an insectarium. The study revealed pre-mating and pre oviposition times of 2 days each for both Helopeltis species. Fecundity was 28.1 ±2.2 eggs for Helopeltis schoutedeni and 23.2 ± 1.7 eggs for Helopeltis corbisieri. Egg incubation lasted 10.41 ± 0.5 days, with a fertility rate of 81.97 ± 1.1% in H. schoutedeni, compared with 8.88 ± 0.1 days and a fertility rate of 90.8 ± 0.55% in H. corbisieri. Development time was 27.56 ± 1.5 days for H. schoutedeni and 24.83 ± 0.6 days for H. corbisieri. In H. schoutedeni, average longevity was 30.34 ± 0.84 and 24.91 ± 0.61 days in females and males respectively. then in H. corbisieri, it was 23.21 ± 0.52 and 21.7 ± 0.39 days in females and males respectively. Knowledge of these parameters could be useful in developing sustainable control strategies against Helopeltis spp.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
17

GROSCLAUDE, F. "Avant-propos". INRAE Productions Animales 11, n.º 1 (1 de febrero de 1998). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.1.3911.

Texto completo
Resumen
Quoiqu’entré dans le langage courant, le terme de “biotechnologies” a gardé une signification quelque peu imprécise. Au sens large, les biotechnologies peuvent être définies comme un ensemble de techniques et de connaissances permettant d’exploiter les propriétés du vivant à des fins d’application. Sous cette acception, les biotechnologies sont aussi vieilles que nos civilisations puisque l’homme s’est servi très tôt - bien sûr sans le savoir - de micro-organismes pour fabriquer des aliments tels le pain, le fromage et des boissons fermentées. Mais ce sont les avancées spectaculaires de la biologie moderne, notamment celles de la biologie moléculaire, qui élargissent presque à l’infini le champ d’application potentiel des biotechnologies. C’est le cas, entre autres, des applications possibles à l’élevage des progrès de la biologie animale. Le présent ouvrage regroupe, sur les biotechnologies animales, huit contributions qui représentent un spectre très large d’applications : produits issus de procédés biotechnologiques (vaccins, hormone), techniques de reproduction, aide à l’ amélioration génétique, transgenèse et nouveaux outils d’analyse de mécanismes biologiques. Prenant le contre-pied d’une certaine partie de la littérature antérieure sur le sujet, qui se présente comme une sorte d’hymne un peu naïf à la modernité, ces textes sont inspirés par le souci de replacer les biotechnologies dans leur contexte d’application réel, qu’il soit actuel ou potentiel, en essayant de dégager les perspectives et les limites de leur utilisation, tant du point de vue économique que de celui de l’acceptabilité par le citoyen. Dans cette optique, il est intéressant de rapprocher certaines des contributions présentées. Le premier rapprochement suggéré est celui des contributions traitant de l’utilisation de produits issus des biotechnologies, les vaccins et l’hormone de croissance recombinante. Dans le cas de la fabrication des vaccins, les progrès de la biologie moléculaire, associés à ceux des connaissances sur les agents pathogènes et le déterminisme de leur virulence, ont ouvert une série de voies nouvelles (vaccins recombinants, vecteurs inertes ou subunitaires). Toutefois, comme le remarque M. Eloit, ces produits ne sont pas encore entrés en force sur le marché pour des raisons d’ordre pratique et économique. En effet, les vaccins “de nouvelle génération” ne sont pas forcément à ce stade plus intéressants que les vaccins conventionnels existants, et ne sont pas nécessairement plus faciles à produire quand ces derniers n’ont pas pu l’être. On a donc ici le cas d’applications très attendues, ne posant pas de problème majeur d’acceptabilité par le public, mais qui n’ont pas encore débouché autant qu’on pouvait l’espérer. Bien entendu, il reste encore une marge de progrès considérable, et la vaccinologie moderne ne peut qu’aboutir, à l’avenir, à des obtentions significatives. A l’opposé, la production industrielle d’hormone de croissance recombinante est bien maîtrisée. Par ailleurs, une somme importante de connaissances, synthétisées par Y. Chilliard et coll., a été accumulée sur les effets zootechniques de cette hormone -positifs- ainsi que sur son mode d’action et sur les conséquences prévisibles de son utilisation au niveau des élevages et de la filière. Mais on sait que l’utilisation de cette hormone recombinante est interdite en Europe pour des raisons socio-économiques : il s’agit du refus de voir encore accélérer le processus de concentration des élevages avec ses conséquences sur la déprise de certaines zones agricoles, ainsi que de la crainte d’une dégradation de l’image des produits laitiers. On a donc ici le cas, inverse du précédent, d’un outil techniquement au point mais dont l’utilisation, pourtant fortement voulue par les lobbies industriels intéressés, se heurte à des oppositions inspirées par le souci de l’intérêt général. Le second groupe d’articles qu’il est intéressant de rapprocher est celui des biotechnologies de la reproduction : insémination artificielle, cryoconservation des gamètes, transplantation embryonnaire, sexage des embryons, fécondation in vitro et clonage embryonnaire. Il s’agit des contributions de J. Mallard et J.-C. Mocquot, J.-J. Colleau et coll., et G. Maisse et coll. L’insémination artificielle, et notamment son application aux bovins laitiers, est l’exemple par excellence d’une technologie de la reproduction ayant connu un plein succès. Comme le notent J. Mallard et J.-C. Mocquot, on dispose dans ce cas du recul nécessaire pour analyser tous les effets de l’utilisation de cette technologie, bien au point chez les bovins, qui sont considérables. Associée à la congélation du sperme, l’insémination artificielle a surtout permis le testage des mâles puis l’utilisation préférentielle des sujets améliorateurs ainsi repérés. Or, même si le terme de “testage” n’existait pas encore, l’idée d’une pratique consistant à observer la descendance des taureaux pour pouvoir ensuite en utiliser les meilleurs préexistait, avant sa réalisation effective, chez les plus clairvoyants des éleveurs et des cadres de l’élevage. On a, sur ce point, des témoignages datant de plus de 75 ans. Il est donc fondamental de prendre conscience du fait que la technologie de l’insémination artificielle associée à la congélation du sperme est venue répondre à un besoin latent très fort, ce en quoi elle représente un cas de figure très particulier. La situation n’est pas tout à fait comparable pour les autres biotechnologies de la reproduction - transplantation embryonnaire, sexage des embryons, clonage embryonnaire - qui répondent certes à des besoins, mais à des besoins beaucoup moins caractérisés et plus réduits que le précédent. L’article de J.-J. Colleau et coll. permet de préciser les limites techniques et économiques de l’utilisation de ces nouveaux outils de la reproduction, ainsi que leurs perpectives d’application dans les programmes d’amélioration génétique, c’est-à-dire dans le cadre d’une démarche d’intérêt collectif. Curieusement, la cryoconservation des gamètes, routinière dans certaines espèces, est loin d’être au point dans d’autres, alors qu’elle pourrait rendre de grands services dans le cadre de la sélection et dans celui de la préservation des ressources génétiques. La contribution de G. Maisse et coll. fait le point des travaux qui se poursuivent chez les poissons, où de nombreuses difficultés restent à résoudre. Au début des années 80, période pendant laquelle, selon la formule de J. Mallard et J.-C. Mocquot, le terme de biotechnologies était “majoritairement décliné au futur”, la transgenèse a été volontiers présentée comme le substitut moderne aux méthodes de la génétique quantitative utilisées pour l’amélio ration génétique des espèces d’élevage. La lecture des contributions de D. Boichard et coll. sur l’utilisation des marqueurs moléculaires en génétique animale et de L.M. Houdebine sur la transgenèse animale confirme à quel point ces prévisions étaient naïves. A l’heure actuelle, deux constats principaux doivent être faits. Tout d’abord, la transgenèse appliquée à la création de souches des grandes espèces animales est encore balbutiante, surtout par manque de techniques vérita blement opérationnelles. En second lieu, les travaux d’analyse des génomes animaux qui, eux, progressent très vite, doivent permettre, dans un avenir proche, de détecter les principales régions chromosomiques impliquées dans le déterminisme des caractères économiques et d’intégrer cette masse d’informations nouvelles dans le processus de sélection. Il s’agira du début d’une nouvelle phase décisive de l’histoire de la génétique appliquée aux espèces d’élevage. Les progrès auront donc été beaucoup plus significatifs que pour la trans genèse. A l’avenir, celle-ci devrait bénéficier des résultats de ces travaux d’analyse du génome, ne serait-ce que pour identifier des gènes dont le transfert ou la mutation pourrait s’avérer judicieux. Il restera quand même à prendre en compte, dans le contexte futur encore incertain, les limites de l’acceptabilité par le public des obtentions transgéniques. Last but not least, il ne faut pas oublier que les nouvelles biotechnologies sont à leur tour des outils très puissants d’analyse des mécanismes du vivant. La contribution de T. Pineau donne l’exemple des avancées en cours dans les domaines de la pharmacologie et de la toxicologie. En définitive le bilan qui peut être fait aujourd’hui des avancées des biotechnologies animales peut paraître contra sté, surtout si on se réfère aux prévisions faites il y a une quinzaine d’années par les bateleurs de la Science. De nos jours, l’affichage des perspectives d’application des biotechnologies reste parfois contaminé par la nécessité devant laquelle se trouvent les équipes, engagées dans la chasse aux crédits, de justifier leurs travaux par la promesse de retombées concrètes. Toutefois, la lecture du présent document montre que, dans certains domaines, les choses ont déjà beaucoup avancé. Par ailleurs, les perspectives de progrès de la biologie animale sont encore considérables, tout comme les perspectives d’application des biotechnologies qui en décou leront. Mais beaucoup d’inattendu étant devant nous, on se gardera ici d’être plus précis dans les prédictions !
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
18

De Menezes, Márcia Santos y José Marcelo Rocha Aranha. "Ocorrência e aspectos da biologia reprodutiva de Harttia loricariformis (Loricariinae) no trecho inferior do rio Paraíba do Sul (Rio de Janeiro, Brasil)". Acta Biológica Paranaense 27 (31 de diciembre de 1998). http://dx.doi.org/10.5380/abpr.v27i0.663.

Texto completo
Resumen
Analisamos 242 exemplares de Harttia loricariformis no trecho inferior da bacia do no Paraíba do Sul (RJ). A ocorrência da espécie esteve associada ao tipo de ambiente, predominando no rio Grande (42,4% do total dc exemplares capturados), em ambientes de água clara e encachoeirados. Os machos apresentaram comprimentos maiores que as fêmeas, porém machos e fêmeas iniciam o processo de desenvolvimento gonadal com tamanhos semelhantes (10,4 cm — machos e 10,0 cm — fêmeas). A reprodução foi sazonal, estendendo-se de setembro a fevereiro, principalmente em setembro-outubro. Na época reprodutiva houve predomínio de fêmeas. Análises microscópicas confirmaram desova tipo parcelada. ABSTRACT We analysed 242 fishes of Harttia loricariformis from the lower Paraíba do Sul river, Rio de Janeiro state. The occurrence of this species was related to features of the environment. it was preponderance in the Grande river (82.4%), being most frequent in clear water and in rapids. Males were bigger than females, even though both have started the development of their gonads with similar sizes (10.4 cm in males and 10.0 cm in females). The reproduction was seasonal and it happened between September and February, being more intensive in September and October. Females prevailed over males during the reproductive season. The kind of spawning was histologycally confirmed as a multiple spawning. RÉSUMÉ Deux-cents quarante deux exemplaires de Harttia loricariformis ont été analysés dans le secteur inférieur du bassin du fleuve Paraíba do Sul, Rio de Janeiro, Brésil. La présence de l’espéce est associée aux conditions du milieu; elle est dominante en abondance numérique (82,4%) dans le fleuve Grande, et dans les eaux claires et les rapides. Les mâles sont plus grands que les femeiles, pourtant la taille de primiére rnaturité sexuelle est voisine (10,4 cm et 10,0 cm, respectivement). La ponte est saisonnière et se deroule de septembre à février avec un pic en september-octobre. Durant cette période, la sex-ratio est en faveur des confirmé que la ponte est séquentielle.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
19

Van dyck, Marie-claire y Emmanuel Gilissen. "Évolution". Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.010.

Texto completo
Resumen
Ce concept, fondamental en biologie, a fortement influencé l’anthropologie avant qu’elle ne le conteste. Il importe toutefois de préciser que c’est bien toutes les disciplines qui se trouvent, de par la nature de leur objet, confrontées au changement, qui ont été amenées à réfléchir aux mécanismes auxquels ce dernier obéit (Richelle 2009). La question de l’évolution s’est donc posée avant, et en dehors des hypothèses évolutionnistes formulées en biologie. Ainsi, les travaux de Marc Zuer van Boxhorn (1602 ?-1653) et de William Jones (1746-1794), précurseurs de la linguistique historique qui allait s’épanouir au 19ème siècle, préfiguraient les notions de transformation et de filiation que Lamarck et Darwin allaient si remarquablement développer. Deux malentendus persistent lorsqu’on débat de l’influence de Darwin sur les sciences de l’homme. Il s’agit du darwinisme social et de l’eugénisme. Le darwinisme social, expression à connotation péjorative apparue dans les années 1880, désigne une transposition abusive d’éléments de la théorie de l’évolution au niveau des sociétés humaines. Herbert Spencer, au milieu du 19ème siècle, s’empara de l’idée de « survie du plus apte » (« survival of the fittest »), qui glissa souvent vers « survie du plus fort » et « lutte pour la vie » (« struggle for life ») et marqua une position idéologique sans rapport avec les idées de Darwin mais qui servit, par la suite, à discréditer toute tentative d’aborder les faits sociaux à l’aide de modèles tirés de l’évolutionnisme biologique. De même, l’eugénisme n’est nullement un concept darwinien. Des conduites d’intervention des hommes dans le cours naturel de la reproduction ont existé de tout temps, et ce dans diverses cultures. Le terme eugénisme (eugenics) a été forgé par Francis Galton et eu une très large diffusion au 19ème siècle. Ce concept demeure encore actuellement d’une importance majeure dans la réflexion éthique en biologie et en médecine.Dans l’Origine des espèces (1859), Darwin constatait une grande variabilité individuelle au sein des espèces, ce qui l’a amené à conclure à la sélection naturelle de certains individus par l’environnement. Il n’inclura l’espèce humaine dans sa réflexion que douze ans plus tard, dans la Filiation de l’homme (1871), ouvrage dans lequel l’auteur reconnaît un deuxième mécanisme agissant en synergie avec le premier : la sélection sexuelle active uniquement lors de la reproduction. Pour Darwin, la force de la jalousie humaine démontre le caractère fondamentalement social de l’espèce et imagine, à son origine, des sociétés composées de couples à partenaires choisis. Ces sociétés barbares, qui se reproduisaient sous le mode de la sélection sexuelle - par choix des partenaires - auraient progressivement établis des règles de non-choix des partenaires, régulant ainsi l’ordre du sensible (Laurent 2010). D’autres règles de protection des plus faibles, seraient également apparues : la sélection naturelle aurait ainsi cédé la place à l’éducation et à la civilisation. Cette anthropologie darwinienne met la culture directement en continuité avec la nature. La sélection sexuelle primitive explique la variabilité humaine. L’option alternative de sociétés soumises à un mâle dominant aux origines de l’espèce humaine n’aurait pu sélectionner un si fort sentiment de jalousie et ainsi l’auteur l’écarte. Le premier courant d’anthropologie à se revendiquer de l’évolutionnisme intégra cette idée d’évolution lente de sociétés par étapes économiques et intellectuelles (Morgan 1971 [1877]). Cette évolution historique générale des sociétés touche un point sensible des rapports entre l’évolutionnisme et les sciences humaines. La survivance, dans la nature humaine, de comportements hérités de l’époque où celle-ci s’est modelée dans un milieu et sous des contraintes qui n’existent plus, pose la question de notre possible inadaptation aux conditions nouvelles créées par l’histoire culturelle (Richelle 2009; de Duve 2010, 2011). Il y a également l’idée sous-jacente d’un noyau universel de la nature humaine, défini par des traits qui se seraient fixés au terme d’un processus de sélection naturelle ancien, ce qui rejoint une tendance récurrente à cerner la nature humaine dans son universalité, en n’attribuant qu’une importance au mieux marginale aux variations inter- et intra-individuelles (Richelle 2009). A tout le moins, l’influence du darwinisme a amené les sciences humaines à s’interroger de manière rigoureuse sur les origines évolutives de caractéristiques que nous tenons pour spécifiques à l’homme (langage, conscience). Certains voient toutefois dans cette naturalisation de l’homme un réductionnisme biologique. Dans le but de corriger ce biais, ils accentuent le passage à l’espèce humaine comme une rupture récusant la dimension biologique, vue comme une menace contre l’essence même de l’humanité, caractérisée par le vocable toutefois mal défini de liberté (Richelle 2009).Ainsi, Lévi-Strauss (1949) s’est opposé à cette idée de continuum entre nature et culture. Sa théorie générale, fondée sur l’option rejetée par Darwin pour l’origine des sociétés humaines primitives comme une résultante du meurtre du père, impose l’interdit de l’inceste, seul moyen pour les familles à mâle unique de ne pas s’exterminer. Pour l’auteur, l’alliance par échange des femmes devint le fondement des sociétés humaines impliquant une identité entre ces dernières. Ceci l’oppose à la variabilité et à la sélection sexuelle décrites par Darwin (Laurent 2012). L’alliance fit partie, avec l’apparition du langage, de la révolution culturelle suscitée par l’émergence de la fonction symbolique humaine à la base de la division du travail et de l’asymétrie homme-femme. L’analyse que Laurent (2012) fait de la théorie générale montre que pour affirmer la spécificité des sociétés humaines, et donc l’autonomie de l’anthropologie vis-à-vis de la biologie, Lévi-Strauss reste prudent quant à l’origine naturelle des sociétés humaines et s’oppose plus aux théories eugénistes et sociobiologiques qu’au darwinisme proprement dit. Ceci dit, il souligne une rupture entre nature et culture qui met en exergue la singularité humaine. S’appuyant sur l’idée de variabilité des espèces de Darwin, Laurent (2010) identifie un autre rôle joué par l’alliance, celui de réguler l’inégalité fondamentale due à la diversité humaine. Enfin c’est sous l’éclairage des avancées de l’éthologie et de la primatologie que Godelier (2012) propose un modèle selon lequel, à la suite de transformations cumulatives, un nouveau lien de parenté régissant les sociétés serait apparu. Il s’agit du lien de descendance dont l’importance vient de l’impératif de la transmission de biens, valeurs et rapports sociaux.Les rapports entre l’anthropologie, la génétique, l’évolution, l’hérédité, ainsi que les concepts de race humaine et d’origine de l’homme font toujours l’objet de débats loin d’être clos, et dont le caractère d’entreprise scientifique continue d’être menacé par la persistance de conceptions racistes et créationnistes (Curry 2009; Marks 2012)
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
Ofrecemos descuentos en todos los planes premium para autores cuyas obras están incluidas en selecciones literarias temáticas. ¡Contáctenos para obtener un código promocional único!

Pasar a la bibliografía