Literatura académica sobre el tema "Loi (philosophie) – France – 20e siècle"

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Artículos de revistas sobre el tema "Loi (philosophie) – France – 20e siècle"

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FRANCE, JÉRÔME. "LA LOI DE HIÉRON ET LES ROMAINS DE JÉRÔME CARCOPINO: ALTERTUMSWISSENSCHAFT ET HISTOIRE ÉCONOMIQUE EN FRANCE AU DÉBUT DU 20E SIÈCLE". Bulletin of the Institute of Classical Studies 50, Supplement_97 (1 de septiembre de 2007): 135–53. http://dx.doi.org/10.1111/j.2041-5370.2007.tb02497.x.

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de Villeneuve, Camille. "Geneviève Fraisse , Féminisme et philosophie , Gallimard, « Folio – essais », n° 655, 2020, 368 pages, 8 €. Cristina Lindenmeyer , Les embarras du féminin , PUF, 2019, 256 pages, 21 €. Martine Reid s (dir.), Femmes et littérature. Une histoire culturelle , Gallimard, « Folio – essais », 2020, tome I (n° 657) : Moyen Âge – XVIII e siècle , 1 040 pages, 38 illustrations, 13,50 € ; tome II (n° 658) : XIX e – XXI e siècles et francophonies , 592 pages, 13 illustrations, 10,30 €. Yannick Ripa (dir.), Histoire féminine de la France. De la Révolution à la loi Veil , préface de Michelle Perrot, Belin, 2020, 768 pages, 41 €. Martine Storti , Pour un féminisme universel , Seuil, « La République des idées », 2020, 112 pages, 11,80 €." Études Janvier, n.º 1 (23 de diciembre de 2020): I. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4278.0111a.

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Kilani, Mondher. "Identité". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.122.

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Resumen
Dans le lexique des anthropologues, le mot identité est apparu bien plus tard que le mot culture. Mais depuis quelques décennies, alors que divers anthropologues se sont presque vantés de soumettre à une forte critique et même de rejeter leur ancien concept de culture, l'identité a acquis un usage de plus en plus étendu et prépondérant, parallèlement à ce qui s'est passé dans d'autres sciences humaines et sociales, ainsi que dans le langage de la politique et des médias. Nombreux sont ceux dans les sciences sociales qui s'accordent pour dire que le concept d'identité a commencé à s'affirmer à partir des années soixante du siècle dernier. Il est habituel de placer le point de départ dans les travaux du psychologue Erik Erikson (1950 ; 1968), qui considérait l'adolescence comme la période de la vie la plus caractérisée par des problèmes d'identité personnelle. Cette reconstruction est devenue un lieu commun des sciences humaines et sociales du XXe siècle, et pour cette raison, elle nécessite quelques ajustements. Par exemple, le sociologue américain Robert E. Park (1939) utilisait déjà, à la fin des années 1930, le terme identité, en rapport avec ceux d'unité, d'intégrité, de continuité, pour décrire la manière dont les communautés et les familles se maintiennent dans le temps et l'espace. En ce qui concerne l'anthropologie, un examen rapide permet de constater que l'identité a déjà été utilisée dans les années 1920 par Bronislaw Malinowski d'une manière qui n'était pas du tout sporadique. Dans ses textes sur les Trobriandais – comme par exemple La vie sexuelle des Sauvages du Nord-Ouest de la Mélanésie (1930) – il parle de l'identité du dala, ou matrilignage, en référence à la « substance » biologique dont il est fait, une substance qui se transmet de génération en génération dans la lignée maternelle. Ce n’est peut-être pas par hasard que le terme identité fut ensuite appliqué par Raymond Firth, dans We, the Tikopia (1936), pour affirmer la continuité dans le temps du clan, et que Siegfried Nadel dans The Foundations of Social Anthropology (1949) parle explicitement de l’identité des groupes sociaux grâce auxquels une société s’articule. La monographie The Nuer (1940) d'Edward E. Evans-Pritchard confirme que l’on a fait de l’identité un usage continu et, en apparence, sans problèmes dans l'anthropologie sociale britannique sous l’influence de Malinowski. Dans ce texte fondamental, l’identité est attribuée aux clans, à chacune des classes d'âge et même à l'ensemble de la culture nuer, que les Nuer considèrent eux-mêmes comme unique, homogène et exclusive, même si le sentiment de la communauté locale était « plus profond que la reconnaissance de l'identité culturelle » (Evans-Pritchard 1975: 176). Par contre, l’autre grand anthropologue britannique, Alfred R. Radcliffe-Brown, qui était particulièrement rigoureux et attentif aux concepts que l'anthropologie devait utiliser (selon M.N. Srinivas, il « prenait grand soin de l'écriture, considérant les mots comme des pierres précieuses » 1973 : 12), il est resté, probablement pour cette raison, étranger au recours au terme d'identité. S’il fait son apparition dans son célèbre essai consacré à la structure sociale de 1940, c’est uniquement lorsqu'il fait référence à l'utilisation approximative de ce concept par Evans-Pritchard. Il soutient que certains anthropologues (y compris Evans-Pritchard) utilisent l’expression « structure sociale » uniquement pour désigner la persistance des groupes sociaux (nations, tribus, clans), qui gardent leur continuité (continuity) et leur identité (identity), malgré la succession de leurs membres (Radcliffe-Brown 1952 : 191). Son utilisation du terme identité ne se justifie ainsi que parce qu’il cite la pensée d'Evans-Pritchard presque textuellement. On a également l’impression que Radcliffe-Brown évite d’adopter le concept d’identité, utilisé par ses collègues et compatriotes, parce que les termes de continuité (continuity), de stabilité (stability), de définition (definiteness), de cohérence (consistency) sont déjà suffisamment précis pour définir une « loi sociologique » inhérente à toute structure sociale (Radcliffe-Brown 1952 : 45). Qu’est-ce que le concept d'identité ajouterait, sinon un attrait presque mystique et surtout une référence plus ou moins subtile à l'idée de substance, avec la signification métaphysique qu’elle implique? Radcliffe-Brown admet que la persistance des groupes dans le temps est une dimension importante et inaliénable de la structure sociale. Mais se focaliser uniquement sur la stabilité donne lieu à une vision trop étroite et unilatérale : la structure sociale comprend quelque chose de plus, qui doit être pris en compte. Si l’on ajoute le principe d’identité à la stabilité, à la cohérence et à la définition, ne risque-t-on pas de détourner l’attention de l’anthropologue de ce qui entre en conflit avec la continuité et la stabilité? Radcliffe-Brown a distingué entre la structure sociale (social structure), sujette à des changements continus, tels que ceux qui se produisent dans tous les organismes, et la forme structurale (structural form), qui « peut rester relativement constante pendant plus ou moins une longue période » (Radcliffe-Brown 1952 : 192). Même la forme structurale – a-t-il ajouté – « peut changer » (may change); et le changement est parfois graduel, presque imperceptible, alors que d’autres fois, il est soudain et violent, comme dans le cas des révolutions ou des conquêtes militaires. Considérant ces deux niveaux, la forme structurale est sans aucun doute le concept qui se prêterait le mieux à être associé à l'identité. Mais l’identité appliquée à la forme structurale ne nous aiderait certainement pas à appréhender avec précision les passages graduels, les glissements imprévus ou, au contraire, certaines « continuités de structure » qui se produisent même dans les changements les plus révolutionnaires (Radcliffe-Brown 1952 : 193). Bref, il est nécessaire de disposer d’une instrumentation beaucoup plus raffinée et calibrée que la notion d’identité, vague et encombrante, pour saisir l’interaction incessante et subtile entre continuité et discontinuité. On sait que Radcliffe-Brown avait l'intention de construire une anthropologie sociale rigoureuse basée sur le modèle des sciences naturelles. Dans cette perspective, l'identité aurait été un facteur de confusion, ainsi qu'un élément qui aurait poussé l'anthropologie naissante vers la philosophie et l'ontologie plutôt que vers la science. Alors que Radcliffe-Brown (décédé en 1955) avait réussi à éviter le problème de l'identité en anthropologie, Lévi-Strauss sera contraint de l'affronter ouvertement dans un séminaire proposé, conçu et organisé par son assistant philosophe Jean-Marie Benoist au Collège de France au milieu des années soixante-dix (1974-1975). Quelle stratégie Lévi-Strauss adopte-t-il pour s'attaquer à ce problème, sans se laisser aller à la « mode » qui, entre-temps, avait repris ce concept (Lévi-Strauss 1977 : 11)? La première étape est une concession : il admet que l’identité est un sujet d’ordre universel, c’est-à-dire qu’elle intéresse toutes les disciplines scientifiques, ainsi que « toutes les sociétés » étudiées par les ethnologues, et donc aussi l’anthropologie « de façon très spéciale » (Lévi-Strauss 1977 : 9). Pour Lévi-Strauss, les résultats suivants sont significatifs: i) aucune des sociétés examinées – même si elles constituent un petit échantillon – ne tient « pour acquise une identité substantielle » (Lévi-Strauss 1977 : 11), c’est-à-dire qu’il ne fait pas partie de leur pensée de concevoir l'identité en tant que substance ou la substance en tant que source et principe d'identité; ii) toutes les branches scientifiques interrogées émettent des doutes sur la notion d'identité et en font le plus souvent l'objet d'une « critique très sévère » (Lévi-Strauss 1977 : 11); iii) il est possible de constater une analogie entre le traitement réservé à l’identité de la part des « sociétés exotiques » examinées et les conceptions apparues dans les disciplines scientifiques (Lévi-Strauss 1977 : 11); iv) cela signifie alors que la « foi » que « nous mettons encore » sur l’identité doit être considérée comme « le reflet d'un état de civilisation », c'est-à-dire comme un produit historique et culturel transitoire, dont la « durée » peut être calculée en « quelques siècles » (Lévi-Strauss 1977 : 11) ; v) que nous assistons à une crise contemporaine de l'identité individuelle, en vertu de laquelle aucun individu ne peut se concevoir comme une « réalité substantielle », réduit qu’il est à une « fonction instable », à un « lieu » et à un « moment » éphémères d’« échanges et de conflits » auxquelles concourent des forces d’ordre naturel et historique (1977 : 11). Ceci fait dire à Lévi-Strauss que « quand on croit atteindre l'identité, on la trouve pulvérisée, en miettes » (in Benoist 1977 : 209), tout en constatant dans le même mouvement que, tant dans les sociétés examinées que dans les sciences interrogées, nous assistons à la négation d'une « identité substantielle » et même à une attitude destructrice qui fait « éclater » l’identité « en une multiplicité d’éléments ». Dans un cas comme dans l'autre, on arrive à « une critique de l’identité », plutôt qu’« à son affirmation pure et simple » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 331). Pourtant, nous ne pouvons pas oublier que Lévi-Strauss était parti d'une concession, c’est-à-dire de l'idée que nous ne pouvions pas nous passer du thème de l'identité : c'est quelque chose qui concerne d'une manière ou d'une autre toutes les sociétés, les sociétés exotiques étudiées par les anthropologues et les communautés scientifiques qui se forment dans la civilisation contemporaine. Lévi-Strauss aurait pu développer plus profondément et de manière plus radicale l’argument présenté au point iv), à savoir que l’identité est une croyance (voire une foi), produit d’une période historique de notre civilisation. Mieux encore, étant donné que les autres sociétés d’une part et nos sciences de l’autre « la soumettent à l’action d’une sorte de marteau-pilon », c’est-à-dire qu’elles la font « éclater » (in Benoist 1977 : 309), nous aussi nous pourrions finalement nous en débarrasser. Lévi-Strauss sent bien, cependant, la différence entre sa propre position et celle du public qui a participé au séminaire, beaucoup plus enclin à donner du poids et un sens à l'identité. Pour cette raison, il offre un compromis (un compromis kantien, pourrait-on dire), qui consiste à détacher la notion d’identité de celle de substance et à penser l’identité comme « une sorte de foyer virtuel auquel il nous est indispensable de nous référer pour expliquer un certain nombre de choses, mais sans qu’il ait jamais d’existence réelle » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Si nous l’interprétons bien, c'est comme si Lévi-Strauss avait voulu dire à ses collègues anthropologues : « Voulez-vous vraiment utiliser le concept d'identité? » Au moins, sachez que cela ne fait jamais référence à une expérience réelle : c’est peut-être une aspiration, une affirmation, une manière de représenter des choses, auxquelles rien de réel ne correspond. Avec ce compromis, Lévi-Strauss semble finalement attribuer à l'identité une sorte de citoyenneté dans le langage des anthropologues. Cependant, même comme un feu virtuel, où se trouve l'idée d'identité : dans la tête des anthropologues, qui utilisent ce concept pour représenter des sociétés dans leur unité et leur particularité, ou dans la tête des groupes sociaux lorsqu'ils se représentent leur culture? Revenons à l'exemple de Malinowski et des Trobriandais. C'est Malinowski qui interprète le veyola, la substance biologique du matrilignage (dala), en termes d'identité, et établit un lien entre identité et substance. Parler de l'identité du dala, surtout si elle est soutenue par le concept de substance (c'est-à-dire quelque chose qui se perpétue avec le temps et qui est complet en soi, de sorte qu'il ne dépend de rien de ce qui lui est extérieur, selon la définition classique d'Aristote), finit par obscurcir la pensée plus profonde des Trobriandais, c’est-à-dire l’incomplétude structurelle du dala. Il ne suffit pas de naître dans le dala et de recevoir le veyola de la mère. Le veyola n'est pas une substance identitaire, mais une matière sans forme qui doit être modelée par l’intervention du tama ou tomakava, c'est-à-dire « l'étranger », avec lequel la mère est mariée et qui est proprement le modeleur, celui qui aide les enfants de son partenaire à grandir, à prendre un visage, une personnalité, non pas en assumant une identité, mais par une participation progressive à des relations sociales (Weiner 1976). Malgré l’utilisation extensive du terme identité dans leurs descriptions ethnographiques et leurs réflexions théoriques, les anthropologues feraient bien de se demander s’il est vraiment approprié de conserver ce concept dans leur boîte à outils ou s’il ne convient pas de considérer l’identité comme une modalité de représentation historiquement et culturellement connotée. L'auteur de cette entrée a tenté de démontrer que l'identité en tant que telle n'existe pas, sauf en tant que mode de représentation que les anthropologues peuvent rencontrer dans telle ou telle société (Remotti 2010). Toutes les sociétés, dans leur ensemble ou dans leurs éléments constitutifs, ressentent les besoins suivants : stabilité, continuité, permanence, cohérence d’un côté, spécificité, certitude et définissabilité de l’autre. Mais, comme l’a suggéré Radcliffe-Brown, les réponses à ces besoins sont toujours relatives et graduelles, jamais complètes, totales et définitives. Nous pourrions également ajouter que ces besoins sont toujours combinés avec des besoins opposés, ceux du changement et donc de l'ouverture aux autres et au futur (Remotti 1996 : 59-67). Autrement dit, les sociétés ne se limitent pas à être soumises au changement, mais le recherchent et l’organisent en quelque manière. Il peut y avoir des sociétés qui donnent des réponses unilatérales et qui favorisent les besoins de fermeture plutôt que d’ouverture, et d’autres le contraire. Si ce schéma est acceptable, alors on pourrait dire que l'identité – loin d'être un outil d'investigation – apparaît au contraire comme un thème et un terrain important de la recherche anthropologique. En retirant l'identité de leur boîte à outils, prenant ainsi leurs distances par rapport à l'idéologie de l'identité (un véritable mythe de notre temps), les anthropologues ont pour tâche de rechercher quelles sociétés produisent cette idéologie, comment elles construisent leurs représentations identitaires, pour quelles raisons, causes ou buts elles développent leurs croyances (même leur « foi » aveugle et aveuglante) en l’identité. Nous découvrirons alors que nous-mêmes, Occidentaux et modernes, nous avons construit, répandu, exporté et inculqué au monde entier des mythes et des concepts identitaires. Nous l’avons fait à partir de l’État-nation aux frontières rigides et insurpassables, de l’idéologie clairement identitaire qu’est le racisme, et pour terminer de la racialisation de la culture qui exalte les traditions locales ou nationales comme substances intouchables, dont la pureté est invoquée et qu’on entend défendre de toutes les manières contre les menaces extérieures. Passée au niveau du discours social et politique, l'identité révèle tôt toute la violence impliquée dans la coupure des liens et des connexions entre « nous » et les « autres ». Comme le disait Lévi-Strauss (et aussi Hegel avant Lévi-Strauss), à l'identité « ne correspond en réalité aucune expérience » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Mais les effets pratiques de cette représentation n'appartiennent pas au monde des idées : ils sont réels, souvent insupportablement réels.
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"Buchbesprechungen". Zeitschrift für Historische Forschung 46, n.º 1 (1 de enero de 2019): 83–218. http://dx.doi.org/10.3790/zhf.46.1.83.

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Edelmayer, Friedrich / Gerhard Pfeisinger (Hrsg.), Ozeane. Mythen, Interaktionen und Konflikte (Studien zur Geschichte und Kuktur der iberischen und iberoamerikanischen Länder, 16), Münster 2017, Aschendorff, 336 S. / Abb., € 49,00. (Ruth Schilling, Bremen / Bremerhaven) Jaynes, Jeffrey, Christianity beyond Christendom. The Global Christian Experience on Medieval Mappaemundi and Early Modern World Maps (Wolfenbütteler Forschungen, 149), Wiesbaden 2018, Harrassowitz in Kommission, 483 S. / Abb., € 128,00. (Gerda Brunnlechner, Hagen) Weltecke, Dorothea (Hrsg.), Essen und Fasten. Interreligiöse Abgrenzung, Konkurrenz und Austauschprozesse / Food and Fasting. Interreligious Differentiations, Competition and Exchange (Beihefte zum Archiv für Kulturgeschichte, 81), Köln / Weimar / Wien 2017, Böhlau, 130 S., € 30,00. (Helmut W. Klug, Graz) Dirmeier, Artur (Hrsg.), Essen und Trinken im Spital. Ernährungskultur zwischen Festtag und Fasttag (Studien zur Geschichte des Spital-‍, Wohlfahrts- und Gesundheitswesens, 13), Regensburg 2018, Pustet, 287 S. / Abb., € 34,95. (Josef Matzerath, Dresden) Widder, Ellen / Iris Holzwart-Schäfer / Christian Heinemeyer (Hrsg.), Geboren, um zu herrschen? Gefährdete Dynastien in historisch-interdisziplinärer Perspektive (Bedrohte Ordnungen, 10), Tübingen 2018, Mohr Siebeck, VIII u. 307 S. / Abb., € 59,00. (Lennart Pieper, Münster) Füssel, Marian / Philip Knäble / Nina Elsemann (Hrsg.), Wissen und Wirtschaft. Expertenkulturen und Märkte vom 13. bis 18. Jahrhundert, Göttingen / Bristol 2017, Vandenhoeck & Ruprecht, 418 S. / Abb., € 70,00. (Justus Nipperdey, Saarbrücken) Whittle, Jane (Hrsg.), Servants in Rural Europe. 1400 – 1900, Woodbridge 2017, Boydell & Brewer, XIII u. 271 S., £ 19,99. (Werner Troßbach, Witzenhausen) Rutz, Andreas, Die Beschreibung des Raums. Territoriale Grenzziehungen im Heiligen Römischen Reich (Norm und Struktur, 47), Köln / Weimar / Wien 2018, Böhlau, 583 S. / Abb., € 80,00. (Falk Bretschneider, Paris) Denzel, Markus A. / Andrea Bonoldi / Anne Montenach / Françoise Vannotti (Hrsg.), Oeconomia Alpium I: Wirtschaftsgeschichte des Alpenraums in vorindustrieller Zeit. Forschungsaufriss, -konzepte und -perspektiven, Berlin / Boston 2017, de Gruyter Oldenbourg, VIII u. 313 S., € 99,95. (Franziska Neumann, Rostock) Rothmann, Michael / Helge Wittmann (Hrsg.), Reichsstadt und Geld. 5. Tagung des Mühlhäuser Arbeitskreises für Reichsstadtgeschichte, Mühlhausen 27. Februar bis 1. März 2017 (Studien zur Reichsstadtgeschichte, 5), Petersberg 2018, Imhof, 397 S. / Abb., € 29,95. (Angela Huang, Lübeck) Borgolte, Michael (Hrsg.), Enzyklopädie des Stiftungswesens in mittelalterlichen Gesellschaften, Bd. 1: Grundlagen, Berlin / Boston 2014, de Gruyter, 713 S. / Abb., € 209,00. (Christine Kleinjung, Mainz / Göttingen) Borgolte, Michael (Hrsg.), Enzyklopädie des Stiftungswesens in mittelalterlichen Gesellschaften, Bd. 2: Das soziale System Stiftung, Berlin / Boston 2016, de Gruyter, 760 S. / Abb., € 169,95. (Christine Kleinjung, Mainz / Göttingen) Borgolte, Michael (Hrsg.), Enzyklopädie des Stiftungswesens in mittelalterlichen Gesellschaften, Bd. 3: Stiftung und Gesellschaft, Berlin / Boston 2017, de Gruyter, 680 S. / Abb., € 199,95. (Christine Kleinjung, Mainz / Göttingen) Becher, Matthias (Hrsg.), Die mittelalterliche Thronfolge im europäischen Vergleich (Vorträge und Forschungen, 84), Ostfildern 2017, Thorbecke, 484 S., € 56,00. (Gerhard Lubich, Bochum) Reinle, Christine (Hrsg.), Stand und Perspektiven der Sozial- und Verfassungsgeschichte zum römisch-deutschen Reich. Der Forschungseinfluss Peter Moraws auf die deutsche Mediävistik (Studien und Texte zur Geistes- und Sozialgeschichte des Mittelalters, 10), Affalterbach 2016, Didymos-Verlag, 275 S. / Abb., € 54,00. (Christian Jörg, Tübingen) Flemmig, Stephan / Norbert Kersken (Hrsg.), Akteure mittelalterlicher Außenpolitik: Das Beispiel Ostmitteleuropas (Tagungen zur Ostmitteleuropaforschung, 35), Marburg 2017, Verlag Herder-Institut, VI u. 376 S., € 57,50. (Sabine Wefers, Jena) Neumann, Christian A., Venedig und Aragon im Spätmittelalter (1280 – 1410). Eine Verflechtungsgeschichte (Mittelmeerstudien, 15), Paderborn 2017, Fink / Schöningh, 809 S. / CD-ROM, € 129,00. (Tobias Daniels, München) Blennemann, Gordon / Christine Kleinjung / Thomas Kohl (Hrsg.), Konstanz und Wandel. Religiöse Lebensformen im europäischen Mittelalter (Studien und Texte zur Geistes- und Sozialgeschichte des Mittelalters, 11), Affalterbach 2016, Didymos-Verlag, 280 S. / Abb., € 54,00. (Jörg Sonntag, Dresden) Deutschländer, Gerrit / Ingrid Würth (Hrsg.), Eine Lebenswelt im Wandel. Klöster in Stadt und Land (Quellen und Forschungen zur Geschichte Sachsen-Anhalts, 14), Halle a. d. S. 2017, Mitteldeutscher Verlag, 287 S. / Abb., € 35,00. (Niels Petersen, Göttingen) Holbach, Rudolf / David Weiss (Hrsg.), Vorderfflik twistringhe unde twydracht. Städtische Konflikte im späten Mittelalter (Oldenburger Schriften zur Geschichtswissenschaft, 18), Oldenburg 2017, BIS-Verlag, 244 S. / Abb., € 22,80. (Robin Köhler-Kelzenberg, Bochum) Kah, Daniela, Die wahrhaft königliche Stadt. Das Reich in den Reichsstädten Augsburg, Nürnberg und Lübeck im Späten Mittelalter (Studies in Medieval and Reformation Traditions, 211), Leiden / Boston 2018, Brill, X u. 455 S. / Abb., € 125,00. (Marco Tomaszewski, Freiburg i. Br.) Kobayashi, Asami, Papsturkunden in Lucca (1227 – 1276). Überlieferung – Analyse – Edition (Archiv für Diplomatik, Schriftgeschichte, Siegel- und Wappenkunde, Beiheft 15), Köln / Weimar / Wien 2017, Böhlau, 582 S., € 70,00. (Werner Maleczek, Wien) Fumasoli, Beat, Wirtschaftserfolg zwischen Zufall und Innovativität. Oberdeutsche Städte und ihre Exportwirtschaft im Vergleich (1350 – 1550) (Vierteljahrschrift für Sozial- und Wirtschaftsgeschichte. Beihefte, 241), Stuttgart 2017, Steiner, 580 S., € 82,00. (Oswald Bauer, Kastelruth) Gneiß, Markus, Das Wiener Handwerksordnungsbuch (1364 – 1555). Edition und Kommentar (Quelleneditionen des Instituts für Österreichische Geschichtsforschung, 16), Wien / Köln / Weimar 2017, Böhlau, 670 S. / Abb., € 130,00. (Patrick Schmidt, Rostock) Andresen, Suse, In fürstlichem Auftrag. Die gelehrten Räte der Kurfürsten von Brandenburg aus dem Hause Hohenzollern im 15. Jahrhundert (Schriftenreihe der Historischen Kommission bei der Bayerischen Akademie der Wissenschaften, 97), Göttingen 2017, Vandenhoeck & Ruprecht, 655 S. / Abb., € 90,00. (Markus Frankl, Würzburg) Lüpke, Beatrice von, Nürnberger Fastnachtspiele und städtische Ordnung (Bedrohte Ordnung, 8), Tübingen 2017, Mohr Siebeck, 286 S., € 64,00. (Thorsten Schlauwitz, Erlangen) Wenzel, Silke, Lieder, Lärmen, „L’homme armé“. Musik und Krieg 1460 – 1600 (Musik der frühen Neuzeit, 4), Neumünster 2018, von Bockel, 422 S. / Abb., € 48,00. (Kirstin Wichern, Bad Homburg) Wilangowski, Gesa, Frieden schreiben im Spätmittelalter. Entstehung einer Vertragsdiplomatie zwischen Maximilian I., dem römisch-deutschen Reich und Frankreich (Ancien Régime, Aufklärung und Revolution, 44), Berlin / Boston 2017, de Gruyter Oldenbourg, X u. 288 S., € 69,95. (Harald Kleinschmidt, Tokio) Gamper, Rudolf, Joachim Vadian 1483/84 – 1551. Humanist, Arzt, Reformator, Politiker, Zürich 2017, Chronos, 391 S. / Abb., € 48,00. (Jan-Hendryk de Boer, Essen) Sowerby, Tracey A. / Jan Hennings (Hrsg.), Practices of Diplomacy in the Early Modern World c. 1410 – 1800 (Routledge Research in Early Modern History), London / New York 2017, Routledge, VII u. 306 S. / Abb., £ 105,00. (Hillard von Thiessen, Rostock) Weber, Alison (Hrsg.), Devout Laywomen in the Early Modern World (Women and Gender in the Early Modern World), London / New York 2016, Routledge, XIII u. 373 S. / Abb., £ 110,00. (Andreas Rutz, Bonn / Düsseldorf) Richter, Susan / Michael Roth / Sebastian Meurer (Hrsg.), Konstruktionen Europas in der Frühen Neuzeit. Geographische und historische Imaginationen. Beiträge zur 11. Arbeitstagung „Globale Verflechtungen – Europa neu denken“ der Arbeitsgemeinschaft Frühe Neuzeit im Verband der Historiker und Historikerinnen Deutschlands, 17. bis 19. September 2015 in Heidelberg, Heidelberg 2017, Heidelberg University Publishing, 338 S., € 54,90. (Elisabeth Lobenwein, Klagenfurt) Mallinckrodt, Rebekka von / Angela Schattner (Hrsg.), Sports and Physical Exercise in Early Modern Europe. New Perspectives on the History of Sports and Motion, London / New York 2016, Routledge, XII u. 272 S. / Abb., £ 110,00. (Michael Jucker, Luzern) Mulryne, James R. / Krista De Jonge / Pieter Martens / Richard L. M. Morris (Hrsg.), Architectures of Festival in Early Modern Europe. Fashioning and Re-fashioning Urban and Courtly Space (European Festival Studies: 1450 – 1700), London / New York 2018, Routledge, XXIV u. 335 S. / Abb., £ 105,00. (Jill Bepler, Wolfenbüttel) Adelman, Howard T., Women and Jewish Marriage Negotiations in Early Modern Italy. For Love and Money (Routledge Research in Early Modern History), London / New York 2018, Routledge, XIV u. 206 S., £ 120,00. (Bettina Pfotenhauer, München) Cristellon, Cecilia, Marriage, the Church, and Its Judges in Renaissance Venice, 1420 – 1545 (Early Modern History: Society and Culture), Cham 2017, Palgrave Macmillan, XVII u. 286 S., € 96,29. (Bettina Pfotenhauer, München) Sweet, Rosemary / Gerrit Verhoeven / Sarah Goldsmith (Hrsg.), Beyond the Grand Tour. Northern Metropolises and Early Modern Travel Behaviour, London / New York 2017, Routledge, IX u. 228 S., £ 110,00. (Michael Maurer, Jena) Naum, Magdalena / Fredrik Ekengren (Hrsg.), Facing Otherness in Early Modern Sweden. Travel, Migration and Material Transformations 1500 – 1800 (The Society for Post-Mediaeval Archaeology Monograph, 10), Woodbridge 2018, Boydell Press, XVI u. 367 S. / Abb., £ 40,00. (Heiko Droste, Stockholm) Klaniczay, Gábor / Éva Pócs (Hrsg.), Witchcraft and Demonology in Hungary and Transylvania (Palgrave Historical Studies in Witchcraft and Magic), Cham 2017, Palgrave Macmillan, XIV u. 412 S., € 96,29. (Karen Lambrecht, St. Gallen) Bongartz, Josef / Alexander Denzler / Ellen Franke / Britta Schneider / Stefan A. Stodolkowitz (Hrsg.), Was das Reich zusammenhielt. Deutungsansätze und integrative Elemente (Quellen und Forschungen zur höchsten Gerichtsbarkeit im Alten Reich, 71), Köln / Weimar / Wien 2017, Böhlau, 182 S., € 60,00. (Jonas Stephan, Bad Sassendorf) Stretz, Torben, Juden in Franken zwischen Mittelalter und Früher Neuzeit. Die Grafschaften Castell und Wertheim im regionalen Kontext (Forschungen zur Geschichte der Juden. Abteilung A: Abhandlungen, 26), Wiesbaden 2017, Harrassowitz, X u. 598 S. / Abb., € 89,00. (Maja Andert, Würzburg) Schmölz-Häberlein, Michaela (Hrsg.), Jüdisches Leben in der Region. Herrschaft, Wirtschaft und Gesellschaft im Süden des Alten Reiches (Stadt und Region in der Vormoderne, 7; Judentum – Christentum – Islam, 16), Baden-Baden 2018, Ergon, 377 S. / Abb., € 58,00. (Rotraud Ries, Würzburg) Stalljohann-Schemme, Marina, Stadt und Stadtbild in der Frühen Neuzeit. Frankfurt am Main als kulturelles Zentrum im publizistischen Diskurs (Bibliothek Altes Reich, 21), Berlin / Boston 2017, de Gruyter Oldenbourg, X u. 493 S. / Abb., € 89,95. (Johannes Arndt, Münster) Schmidt-Funke, Julia A. / Matthias Schnettger (Hrsg.), Neue Stadtgeschichte‍(n). Die Reichsstadt Frankfurt im Vergleich (Mainzer Historische Kulturwissenschaften, 31), Bielefeld 2018, transcript, 483 S. / Abb., € 49,99. (Holger Th. Gräf, Marburg) Huber, Vitus, Beute und Conquista. Die politische Ökonomie der Eroberung Neuspaniens (Campus Historische Studien, 76), Frankfurt a. M. 2018, Campus, 432 S. / Abb., € 39,95. (Laura Dierksmeier und Anna Weininger, Tübingen) Caravale, Giorgio, Preaching and Inquisition in Renaissance Italy. Words on Trial, übers. v. Frank Gordon (Catholic Christendom, 1300 – 1700), Leiden / Boston 2016, Brill, VIII u. 274 S., € 115,00. (Andreea Badea, Frankfurt a. M.) Mertens, Dieter, Humanismus und Landesgeschichte. Ausgewählte Aufsätze, 2 Teile, hrsg. v. Dieter Speck / Birgit Studt / Thomas Zotz (Veröffentlichungen der Kommission für geschichtliche Landeskunde in Baden-Württemberg. Reihe B: Forschungen, 218), Stuttgart 2018, Kohlhammer, XIV u. 1042 S. / Abb., € 88,00. (Ulrich Muhlack, Frankfurt a. M.) Grimmsmann, Damaris, Krieg mit dem Wort. Türkenpredigten des 16. Jahrhunderts im Alten Reich (Arbeiten zur Kirchengeschichte, 131), Berlin / Boston 2016, de Gruyter, XII u. 317 S., € 109,95 (Alexander Schunka, Berlin) Bauer, Joachim / Stefan Michel (Hrsg.), Der „Unterricht der Visitatoren“ und die Durchsetzung der Reformation in Kursachsen (Leucorea-Studien zur Geschichte der Reformation und der Lutherischen Orthodoxie, 29), Leipzig 2017, Evangelische Verlagsanstalt, 278 S., € 58,00. (Thomas Fuchs, Leipzig) Stegmann, Andreas, Die Reformation in der Mark Brandenburg, Leipzig 2017, Evangelische Verlagsanstalt, 279 S. / Abb., € 34,00. (Thomas Fuchs, Leipzig) Mariotte, Jean-Yves, Philipp der Großmütige von Hessen (1504 – 1567). Fürstlicher Reformator und Landgraf, übers. v. Sabine Albrecht (Veröffentlichungen der Historischen Kommission für Hessen, 24; Quellen und Darstellungen zur Geschichte des Landgrafen Philipp des Großmütigen, 10), Marburg 2018, Historische Kommission für Hessen, 301 S. / Abb., € 28,00. (Thomas Fuchs, Leipzig) Doll, Eberhard, Der Theologe und Schriftsteller Friedrich Dedekind (1524/25 – 1598). Eine Biographie. Mit einem Beitrag von Britta-Juliane Kruse zu Dedekinds geistlichen Spielen und der Erstedition der „Hochtzeit zu Cana in Galilea“ (Wolfenbütteler Forschungen, 145), Wiesbaden 2018, Harrassowitz in Kommission, 623 S. / Abb., € 92,00. (Julia Zech, Sarstedt) Bullinger, Heinrich, Tigurinerchronik, 3 Teilbde., hrsg. v. Hans U. Bächtold (Werke. Vierte Abteilung: Historische Schriften, 1), Zürich 2018, Theologischer Verlag Zürich, XXVII u. 1388 S. (Teilbde. 1 u. 2); V u. 425 S. / Abb. (Teilbd. 3), € 450,00. (Volker Leppin, Tübingen) Francisco de Vitoria, De iustitia / Über die Gerechtigkeit, Teil 1 u. 2, hrsg., eingel. u. ins Deutsche übers. v. Joachim Stüben, mit Einleitungen v. Thomas Duve (Teil 1) bzw. Tilman Repgen (Teil 2) (Politische Philosophie und Rechtstheorie des Mittelalters und der Neuzeit, Reihe I: Texte, 3 bzw. 4), Stuttgart-Bad Cannstatt 2013 bzw. 2017, Frommann-Holzboog, CXII u. 191 S. bzw. CIX u. 355 S., € 168,00 bzw. € 188,00. (Nils Jansen, Münster) Der Portulan-Atlas des Battista Agnese. Das Kasseler Prachtexemplar von 1542, hrsg., eingel. u. komm. v. Ingrid Baumgärtner, Darmstadt 2017, Wissenschaftliche Buchgesellschaft, 144 S. / Abb., € 99,95. (Christoph Mauntel, Tübingen) Brevaglieri, Sabina / Matthias Schnettger (Hrsg.), Transferprozesse zwischen dem Alten Reich und Italien im 17. Jahrhundert. Wissenskonfigurationen – Akteure – Netzwerke (Mainzer Historische Kulturwissenschaften, 29), Bielefeld 2018, transcript, 341 S. / Abb., € 39,99. (Christiane Liermann, Como) Asmussen, Tina, Scientia Kircheriana. Die Fabrikation von Wissen bei Athanasius Kircher (Kulturgeschichten, 2), Affalterbach 2016, Didymos-Verlag, 220 S. / Abb., € 39,00. (Mona Garloff, Stuttgart / Wien) Schlegelmilch, Sabine, Ärztliche Praxis und sozialer Raum im 17. Jahrhundert. Johannes Magirus (1615 – 1697), Wien / Köln / Weimar 2018, Böhlau, 352 S. / Abb., € 50,00. (Pierre Pfütsch, Stuttgart) Félicité, Indravati, Das Königreich Frankreich und die norddeutschen Hansestädte und Herzogtümer (1650 – 1730). Diplomatie zwischen ungleichen Partnern, übers. aus dem Französischen v. Markus Hiltl (Quellen und Darstellungen zur hansischen Geschichte. Neue Folge, 75), Köln / Weimar / Wien 2017, Böhlau, 439 S., € 60,00. (Guido Braun, Mulhouse) Renault, Rachel, La permanence de l’extraordinaire. Fiscalité, pouvoirs et monde social en Allemagne aux XVIIe et XVIIIe siècles (Histoire moderne, 57), Paris 2017, Éditions de la Sorbonne, 389 S. / Abb., € 25,00. (Claire Gantet, Fribourg) Godsey, William D., The Sinews of Habsburg Power. Lower Austria in a Fiscal-Military State 1650 – 1820, Oxford 2018, Oxford University Press, XX u. 460 S. / Abb., £ 90,00. (Simon Karstens, Trier) Riotte, Andrea, Diese so oft beseufzte Parität. Biberach 1649 – 1825: Politik – Konfession – Alltag (Veröffentlichungen der Kommission für geschichtliche Landeskunde in Baden-Württemberg. Reihe B: Forschungen, 213), Stuttgart 2017, Kohlhammer, LII u. 779 S., € 64,00. (Stephanie Armer, Nürnberg) Müller, Andreas, Die Ritterschaft im Herzogtum Westfalen 1651 – 1803. Aufschwörung, innere Struktur und Prosopographie (Veröffentlichungen der Historischen Kommission für Westfalen. Neue Folge, 34), Münster 2017, Aschendorff, 744 S. / Abb., € 69,00. (Nicolas Rügge, Hannover) Lange, Johan, Die Gefahren der akademischen Freiheit. Ratgeberliteratur für Studenten im Zeitalter der Aufklärung (1670 – 1820) (Beihefte der Francia, 84), Ostfildern 2017, Thorbecke, 339 S., € 45,00. (Andreas Erb, Dessau) Schwerhoff, Gerd, Köln im Ancien Régime. 1686 – 1794 (Geschichte der Stadt Köln, 7), Köln 2017, Greven, XIV u. 552 S. / Abb., € 60,00. (Patrick Schmidt, Rostock) James, Leonie, „This Great Firebrand“. William Laud and Scotland, 1617 – 1645 (Studies in Modern British Religious History, 36), Woodbridge / Rochester 2017, The Boydell Press, XIV u. 195 S., £ 60,00. (Martin Foerster, Hamburg) Campbell, Alexander D., The Life and Works of Robert Baillie (1602 – 1662). Politics, Religion and Record-Keeping in the British Civil Wars (St. Andrews Studies in Scottish History, 6), Woodbridge / Rochester 2017, The Boydell Press, IX u. 259 S., £ 75,00. (Ronald G. Asch, Freiburg i. Br.) Parrish, David, Jacobitism and Anti-Jacobitism in the British Atlantic World, 1688 – 1727 (Studies in History. New Series), Woodbridge / Rochester 2017, The Boydell Press, X u. 189 S., £ 50,00. (Ronald G. Asch, Freiburg i. Br.) Graham, Aaron / Patrick Walsh (Hrsg.), The British Fiscal-Military State, 1660 – c. 1783, London / New York 2016, Routledge, XI u. 290 S. / Abb., £ 80,00. (Torsten Riotte, Frankfurt a. M.) Hoppit, Julian, Britain’s Political Economies. Parliament and Economic Life, 1660 – 1800, Cambridge 2017, Cambridge University Press, XXII u. 391 S. / graph. Darst., £ 22,99. (Justus Nipperdey, Saarbrücken) Talbot, Michael, British-Ottoman Relations, 1661 – 1807. Commerce and Diplomatic Practice in Eighteenth-Century Istanbul, Woodbridge / Rochester 2017, The Boydell Press, XIII u. 256 S. / graph. Darst., £ 70,00. (Christine Vogel, Vechta) Niggemann, Ulrich, Revolutionserinnerung in der Frühen Neuzeit. Refigurationen der „Glorious Revolution“ in Großbritannien (1688 – 1760) (Veröffentlichungen des Deutsche Historischen Instituts London, 79), Berlin / Boston 2017, de Gruyter, XII u. 653 S. / Abb., € 64,95. (Georg Eckert, Wuppertal) Ducheyne, Steffen (Hrsg.), Reassessing the Radical Enlightenment, London / New York 2017, Routledge, XII u. 318 S., £ 32,99. (Bettina Dietz, Hongkong) Lehner, Ulrich (Hrsg.), Women, Enlightenment and Catholicism. A Transnational Biographical History, London / New York 2018, Routledge, XI u. 236 S. / Abb., £ 100,00. (Elisabeth Fischer, Hamburg) Möller, Horst / Claus Scharf / Wassili Dudarew / Maja Lawrinowitsch (Hrsg.), Deutschland – Russland. Stationen gemeinsamer Geschichte, Orte der Erinnerung, Bd. 1: Das 18. Jahrhundert, Berlin / Boston 2018, de Gruyter Oldenbourg, 410 S. / Abb., € 29,95. (Martina Winkler, Kiel) Bittner, Anja, Eine königliche Mission. Der französisch-jakobitische Invasionsversuch von 1708 im europäischen Kontext (Schriften des Frühneuzeitzentrums Potsdam, 6), Göttingen 2017, V&R unipress, 277 S., € 45,00. (Torsten Riotte, Frankfurt a.M.) Schmidt-Voges, Inken / Ana Crespo Solana (Hrsg.), New Worlds? Transformations in the Culture of International Relations around the Peace of Utrecht, London / New York 2017, Routledge, IX u. 232 S., £ 105,00. (Anuschka Tischer, Würzburg) Mager, Ria, Zwischen Legitimation und Inspektion. Die Rheinlandreise Napoleon Bonapartes im Jahre 1804 (Konsulat und Kaiserreich, 4), Frankfurt a. M. [u. a.] 2016, Lang, 330 S., € 61,95. (Josef Johannes Schmid, Mainz)
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Tesis sobre el tema "Loi (philosophie) – France – 20e siècle"

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Olivares, Valencia Amanda. "Le dérobement de la loi : littérature et liberté chez Maurice Blanchot". Electronic Thesis or Diss., Paris 10, 2024. http://www.theses.fr/2024PA100003.

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Resumen
Cette recherche se propose de soutenir que la loi, que nous considérons comme l’élément principal ou la manifestation la plus prépondérante du droit, est traversée par une dimension littéraire qui la compose. Cette dimension permet à la loi de ne pas se réduire à constituer une simple forme de langage qui cherche à maîtriser le rapport d’une conscience au monde et qui, dans ce sens, ne fait qu’assujettir. La dimension littéraire de la loi est ce qui permet au droit de s’accorder une dimension libératoire. Du moment que chez Blanchot la littérature est le langage qui met en question son propre sens, un langage qui éprouve le questionnement de soi-même, la loi pensée comme littérature est ouverte à l’expérience de la remise en cause du sens qui la détermine. Cette ouverture offre une dimension libératoire à la loi, elle lui permet de se différencier d’elle-même, de se confronter à son impossibilité et d’être toujours ouverte à l’irruption de l’inconnu, l’imprévisible, l’absolument autre. Ainsi, le questionnement de soi que constitue l’expérience littéraire signifie aussi ouvrir la loi à une dimension éthique qui la met en relation à cet autre avec lequel il n’y a rien en commun : l’étranger, le malade, le fou. La loi pensée comme littérature permet aussi de penser l’expérience communautaire non pas à partir de l’identité, mais à partir de la différence, en préservant l’absence pour l’avenir d’un autre inconnu, étranger, venu du dehors. Ainsi, penser la loi comme littérature permet d’ouvrir la loi à un dimension libératoire et à un questionnement éthique crucial sur son propre sens et sa propre justification
This research argues that the law, which we consider to be the principal element or the most predominant manifestation of the right, is permeated by a literary dimension that composes it. This literary dimension can prevent the law from being reduced to a simple form of language that, as a tool of subjugation, only seeks to control the relationship of consciousness to the world. The literary dimension enables a liberatory dimension to the right. For Blanchot, literature is a form of language that questions its own meaning, a language that experiences the questioning of itself. Thinking of the law as literature opens it to the experience of questioning the meaning that determines the law. This openness to the liberatory dimension of the law allows the law to differentiate itself from itself, to confront its impossibility and to be always open to the irruption of the unknown, the unforeseeable, the absolute other. In this way, the self-questioning that constitutes the literary experience also means opening up the law to an ethical dimension that places it in relation to that other with whom it has nothing in common: the stranger, the sick person, the mad person. Thinking of the law as literature also makes it possible to think of community experience not in terms of identity, but in terms of difference, by preserving the absence for the arriving of an unknown other, a stranger from outside. Thinking of the law as literature opens the law to a liberating dimension and to crucial ethical questioning about its own meaning and justification
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Rambeau, Frédéric. "Paradoxe, problème, désidentification : recherches sur la philosophie française contemporaine". Paris 8, 2008. http://www.theses.fr/2008PA083592.

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La difficulté que nous rencontrons à cerner l’unité ou le commun des philosophies françaises contemporaines tient à ce que ces philosophies (celles de Foucault, Deleuze et Derrida) opèrent au travers d’une force disjonctive de la pensée. Mais cette force du disjonctif est aussi le point qui les relie, produisant entre elles des rapports obliques et irréguliers. Le paradoxe produit le sens comme différence. Et de cette différence dépendent le bon sens répartiteur et la spécification des règles normales de la communication. La création d’un problème manifeste la discontinuité des processus de rationalisation. Son insistance n’indique pas un fondement retiré mais une affirmation répétée du hasard. La désidentification, dans l’écriture littéraire ou conceptuelle et dans le désir inconscient, singularise un sujet dans des devenirs impersonnels, nécessairement disparates et morcelés. Dans le paradoxe, le problème ou la désidentification, rien ne préexiste à la disjonction et à l’affirmation du non-rapport, ni question originaire, ni commencement, et nul ne sait d’avance pour un individu ou pour une philosophie combien de vies leurs sont dues. Ces opérations conduisent à porter l’accent sur Deleuze et sur Foucault plutôt que sur Derrida. Elles mettent nécessairement en jeu le risque d’une désidentification de la différence philosophique elle-même. Les problématisations foucaldiennes ouvrent deux voies qui apparaissent incompatibles : l’émancipation contemporaine, lucide et rageuse, et le souci de soi éthique. Le concept deleuzien est produit dans l’accélération du mouvement suscité par un cas singulier. Mais, détachée du cas, la vitesse infinie du concept ne lui donne plus qu’une consistance auto-référentielle. La force singulière de ces pratiques critiques est d’avoir disposé leurs propres points de dessaisissement ; à nous d’en faire des promontoires de la pensée
The difficulty there is in distinguishing the common ground or unity of contemporary French philosophies (Deleuze, Foucault, Derrida) comes from the fact that these philosophies work out through some disjunctive force in thinking. But the power of the disjunctive is also the feature that they share and which produces between them slanted irregular relationships. Paradox produces sense as difference. And on that difference depend both common sense and the specification of the normal rules of communication. The creation of a problem reveals the discontinuous nature of rationalizing processes. Its emphasis shows not a removed foundation but a repeated demonstration of chance. Disidentification in literary or conceptual writing as well as in unconscious desire grows a subject into impersonal forms of Becoming, by force unrelated and broken down. Within the paradox, within the problem, within disidentification, nothing stands before disjunction and the claim of unrelatedness, neither originary question, nor beginning ; and no one knows in advance, for any individual or philosophy, how many lives they are owed. These operations lead to greater stress laid on Deleuze and Foucault rather than Derrida; they are bound to confront this risk: the very difference of philosophy becoming disidentified. Foucault’s questionings of history open up two paths that remain exclusive: angry lucid present-time emancipation, ethical care of the self. Deleuze’s concept is produced by an acceleration of the desiring process triggered inside the thinking by some singular exterior case. But, cut from the case, the infinite speed of the concept gives it but self-referring consistency. The particular drive of these philosophies comes from having themselves laid out those problem features, leaving us to experience them as promontories of thinking
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Tawil, Emmanuel. "Du gallicanisme administratif à la liberté religieuse : le Conseil d'État et le régime des cultes depuis la loi de 1905". Paris, EPHE, 2005. http://www.theses.fr/2005EPHEA001.

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Audier, Serge. "Machiavel, Tocqueville, Marx, dans la pensée politique française depuis l'Entre-deux-guerres". Caen, 2000. http://www.theses.fr/2000CAEN1302.

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La these consacree a machiavel, tocqueville, marx dans la pensee politique francaise depuis l'entre-deux-guerres repose sur l'idee que l'on peut deceler dans la pensee francaise de ce siecle les signes et les etapes d'un retour progressif de la philosophie politique dont on avait cru longtemps les questions depassees. Afin de comprendre la signification de ce retour, sans se contenter de n'y voirqu'un simple effet de mode intellectuelle, on se propose d'en restituer la genese. La conviction qui anime ce travail est precisement que la discussion et la critique de marx, la reevaluation de machiavel, ainsi que la redecouverte de l'oeuvre de tocqueville constituent des etapes essentielles dans ce cheminement. Il s'agit par la egalement d'explorer ce que la philosophie politique francaise estsusceptible d'apporter, aujourd'hui encore, aux debats contemporains autour de la question de la democratie et de la justice sociale.
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Fournès, Dattin Christine. "Du Code de commerce de 1807 à la loi de 1966 : la lente émergence du commissariat aux comptes". Nantes, 2012. https://archive.bu.univ-nantes.fr/pollux/show/show?id=3c2d0c19-8d8b-49a2-bb91-e093062b28fd.

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Comment s’est développé le commissariat aux comptes en France, du contrôle des comptes pratiqué dans les SA du XIXe jusqu’à la loi de 1966 qui fixe son cadre actuel ? Pour démontrer le passage d’une simple fonction de contrôle des comptes à une profession organisée par la loi de 1966 et son décret d’application, nos propos se sont articulés autour des trois axes caractérisant une profession : 1) L’activité. La pratique du contrôle des comptes a été étudiée notamment au travers des statuts des SA autorisées, des textes de lois, des exemples de la SA des Hauts fourneaux et fonderies de Pont-à-Mousson et de la Compagnie Saint-Gobain, de lectures dans la presse économique et professionnelle. 2) Les organisations professionnelles. Depuis la création de la Société Académique de Comptabilité en 1881 à la constitution de la Compagnie des Experts Comptables de Paris en 1912, à celle de la Fédération des associations de commissaires inscrits suite au décret-loi de 1935 puis à la fondation de l’OECCA en 1942, cette thèse met en avant les combats menés par les professionnels durant toute cette période pour que soient reconnues ces différentes organisations. 3) La formation. Nous avons étudié l’évolution des formations comptables : la création des premières écoles de commerce, le développement du système d’enseignement de la SAC, l’évolution des diplômes d’État d’expertise comptable ainsi que celle de l’examen d’aptitude aux fonctions de commissaire aux comptes. Différents aspects tenant au contexte économique, social et culturel ont été mis en avant pour expliquer la lenteur de ce processus d’émergence et les choix effectués quant aux modalités de la mise en œuvre du commissariat aux comptes
How has legal auditing developed in France from the control of accounts practiced in limited companies during the XIXth century to the 1966 Act which set the current legal framework of auditing in France ? To demonstrate that this simple function turns into a real profession, three key words have been studied : 1) The practice through the articles of association of limited companies during the XIXth century, the Company Acts, the reading of professional and economic press, the examples of two major French industrial firms : Pont-à-Mousson and Saint-Gobain. 2) The professional organisations. From the setting up of the Société Académique de Comptabilité in 1881 to the one of the Compagnie des Experts Comptables de Paris in 1912, from the establishment of the Fédération des associations de commissaires inscrits further to the Act of 1935 to the setting up of the OECCA in 1942, this thesis focuses on the struggles leaded by professionals in order to be recognized. 3) The education. We have analyzed the evolution of accounting education: the setting up of the first business schools, the development of a complete system of accounting education implemented by the SAC, the progress of State accounting certificates concerning experts in accounting and legal auditors. Different sides according to the economic, social and cultural context have been highlighted in order to explain the slowness of the process of emergence and the choices made for the implementation of legal auditing in France
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Boulbès, Yves. "L' assistance Publique de la loi Roussel à la Libération : fondements de l'aide sociale à l'enfance : l'exemple du département de l'Aude". Montpellier 3, 2002. http://www.theses.fr/2002MON30069.

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Le département de l'Aude offre un territoire privilégié pour analyser l'action de l'Assistance Publique de 1874 à 1945. Alors que les collectivités locales demeurent fortement sollicitées pour l'organisation du service, l'établissement d'un service public ne fait pas obstacle au maintien d'un secteur privé. Le financement public diffère cependant selon le département, signe de choix politiques. L'inspecteur de l'Assistance Publique apparaît comme un expert, évaluant les besoins, conseillant les commissions administratives, le conseil général. Il sait aussi gérer sa propre carrière. Les prises en charge de la mère et de l'enfant révèlent des formes de discriminations positives. Auprès des nourrices, la surveillance médicale ou scolaire, la vêture, l'application du droit du travail distingue l'enfant assisté de l'enfant pauvre. Les placements montrent aussi l'existence d'un lien entre l'enfant et la nourrice souvent limité à l'image réductrice de la mercenaire
The Department of the Aude is a good place to analyse the action of welfare services from 1874 to 1945. Although local authorities are asked urgently to organize a welfare service, the creation of a public service isn't an obstacle to the maintainance of the private sector. However, public financing varies from one department to another, according to political choices. The Inspector of social services is considered to be an expert, assessing the needs, advising administrative committees and the County Council, but also managing his own career. The help given to mother and child shows 'positive discrimination'. With the foster mother, medical cares, school attendance, clothing and the application of the labour law distinguishes the foster child from the poor child. Fostering also shows the existence of a true relationship between the foster child and the foster mother, but fostering was often simplistically percieved as a job to earn money rather than to improve the life of the children
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Fiegle, Thomas. "Von der 'Solidarité' zur 'Solidarität' : der Transfer eines politisch-sozialen Grundbegriffs von Frankreich nach Deutschland (19. und 20. Jahrhundert)". Paris, EHESS, 2002. http://www.theses.fr/2002EHESA119.

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Le mot ‘Solidarität’ fait partie en allemand des concepts-clés traditionnels de la politique et de la société. Le sens de ce concept est pourtant particulièrement équivoque, malgré ou justement à cause de son utilisation inflationniste dans les discours politiques et sociaux. Afin de clarifier le concept de ‘Solidarität’, il est nécessaire de le reconstruire de manière historique et critique. Or, une telle démarche n’est possible que si l’on prend en considération la genèse du concept de ‘solidarité’ en France, ainsi que les conditions et préalables de ce que nous appelons son ‘processus de transfert’ de la France vers l’Allemagne. Le présent travail combine la méthode de ‘l’histoire des concepts’ (Begriffsgeschichte), telle qu’elle a été développée notamment par R. Koselleck, avec la théorie des ‘transferts culturels’ (M. Werner et M. Espagne). Cela permet de dégager un horizon de sens philosophique que ces deux ‘histoires des concepts’ à la fois distinctes et entrecroisées ont en commun
The word ‘Solidarität’ is part, in German, of the traditional key words in politics and society. But in spite – or just because – of its inflationist use in political and social discourse, the concept’s meaning is very ambiguous. In order to clarify the concept, it is necessary to reconstruct it from both a historical and a critical point of view. Such a reconstruction is impossible, however, if the genesis of the concept ‘solidarité’ in France, as well as the conditions and prerequisites of what we call the concept’s ‘transfer process’ from France to Germany isn’t taken into account. The present work combines therefore the method of the ‘history of concept’ (Begriffsgeschichte), as it has been developed especially by R. Koselleck, with the theory of ‘cultural transfer’ (M. Werner/M. Espagne). That allows to find a horizon of philosophical sense which the two at the same time distinct and interrelated ‘histories of concept’ have in common
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Pudal, Romain. "Les réceptions du pragmatisme en France (1890-2007) : histoires et enjeux". Paris, EHESS, 2007. http://www.theses.fr/2007EHES0062.

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Cette thèse est consacrée aux réceptions du pragmatisme en France depuis les années 1890 jusqu'en 2007. Ce courant philosophique américain a fait l'objet de multiples appropriations et usages de la part des universitaires français, et plus généralement des intellectuels, aussi bien en philosophie que dans les sciences sociales, et nous avons tenté d'en écrire la socio-histoire sur l'ensemble de la période. Ce travail permet de mettre en lumière sur des cas très précis différents mécanismes propres à la circulation internationale des idées : décalages entre champs de production et de réception, malentendus et incompréhensions, nationalismes intellectuels et logiques disciplinaires, surdétermination des prises de position intellectuelles par des enjeux politiques ou sociaux, tout un ensemble d'éléments qui autorisent, selon nous, à pouvoir parler d'inconscient culturel national et de voir comment il opère à différentes époques et selon quelles modalités. Cette thèse s'inscrit donc au carrefour de plusieurs approches disciplinaires : sociologie des sciences, sociologie des intellectuels et socio-histoire des sciences humaines et sociales
This thesis tackles the subject of the reception of pragmatism in France, from 1890 to 2007. This american philosophy has been used and appropriated in many ways by french academics, in philosophy just as well as in social sciences. We thought it possible to conceive this reception from a socio-historical and not theoretical point of view. The frame of our interpretation has been inspired by the sociology of intellectuals and we tried to highlight precisely different phenomena relating to international circulation of ideas : first, as Bourdieu says, «texts circulate without their context», so that it is the context of reception that determines the readings and uses of the texts ; secondly, the political dimension of the intellectual field in France since the « Affaire Dreyfus » at last overdetermines the reception of foreign theories ; thirdly, intellectual nationalisms and logic of disciplines must be taken into account. Finally, the idea of a cultural and national subconscious seems to be useful to understand this story. Our work is at the junction of different disciplines : sociology of sciences, sociology of intellectuals and history and sociolgy of social sciences
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Villagordo, Éric. "Vers une sociologie de la pratique artistique : observations et entretiens sur la poi͏̈étique : huit plasticiens en Méditerranée". Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010685.

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A partir de l'observation de huit plasticiens du Sud de la France, on essaye de comprendre la pratique de l'art in vivo. Il s'agit de soumettre les outils sociologiques que sont l'habitus, le sens pratique et le champ artistique à ce terrain d'enquête. Chaque artiste apporte des problématiques différentes au regard de la poi͏̈étique (valérienne puis passeronienne), de la philosophie de l'art (D. Chateau) et de la sociologie de l'action (Bourdieu). Les plasticiens, P. Domergue, C. Muchir, P. Loste, G. Ayats, G. Desclaux, C. Massé, M. Fourquet, S. Fauchier ont produit des œuvres, sur plusieurs journées, en présence de l'enquêteur, puis ils se sont entretenus avec lui autour de la notion de pratique artistique. Cette dernière apparaît comme un métissage d'intentions et d'actions, comme un va-et-vient incessant entre des registres différents (matériels, conceptuels, sociaux, idéaux, pragmatiques). On souhaite passer ici d'une sociologie des œuvres à une sociologie de la pratique artistique. En dernier lieu l'artiste est transformé par son parcours pratique. La pratique devient alors expérience, elle se fait œuvre, elle est la temporalité de l'instauration de l'art.
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Corbel, Emmanuelle. "Vladimir Jankélévitch et le mystère de l'interprétation dans la musique française de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle". Nancy 2, 2004. http://www.theses.fr/2004NAN21002.

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Vladimlir Jankélévitch, philosophe-pianiste, entremêle sa propre vie musicale dans sa réflexion philosophique. Sa culture musicale, recensée ici, prouve son intérêt constant pour la musique française de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle. Son expérience de pianiste, où la réalité de l'expérience et de l'exécution musicale est unique, vivante ou mouvante, rjoint sa recherche d'un " je-ne-sais-quoi ", d'un " presque-rien ", ou celle de l'infini, de l'inaccessible, de l'absolu. Ce penseur offre au lecteur une approche sur l'interprétation musicale au-delà d'une spéculation technique maîtrisée. IL est alors indispensable de réfléchir sur l'argumentation de cette esthétique autour du mystère de l'interprétation qu'il tente de définir. Aussi s'agit-il d'éclaircir ce concept situé dans le langage musical, dans la création et la composition, puis au niveau du mystère de la lecture faite par les interprètes, de sa réception par le public et par la critique
Vladimir Jankelevitch, philosopher-pianist, intermingles his musical life in his philosophical reflections. His musical culture, listed here, proves his constant interest in the French music from the end of the 19th century to the beginning of the 20th century. His pianist experience in which the reality of musical performance is one, alive and changing is closely akin to his research of a " je-ne-sais-quoi ", a " presque-rien " or to that of the infinite, inaccessibility, the absolute. This thinker provides the reader a thinking about musical interpretation beyond mastered technical speculation. It's therefore necessary to think about the argumentation of this aesthetic around the mystery of interpretation which he attempts to define. It's also a question of clarifying this concept set in the musical language, in creation and in composition, and then in the mystery of performer' reading as well as in audiences' and critics' reception
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