Artículos de revistas sobre el tema "Innovation – Aspect économique"

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Foray, Dominique y Christian Le Bas. "Diffusion de l’innovation dans l’industrie et fonction de recherche technique : dichotomie ou intégration". Économie appliquée 39, n.º 3 (1986): 615–50. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.1986.4086.

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Resumen
Alors que dans la réalité industrielle la recherche technique et la diffusion des innovations sont fondamentalement enchevêtrées, les représentations économiques conventionnelles du processus de diffusion ne permettent pas de rendre compte d’une telle imbrication. En quoi le modèle standard de la diffusion contribue-t-il à maintenir une dichotomie entre l’économie de la recherche technique et l’économie de la diffusion ? Quelles ruptures et alternatives théoriques sont susceptibles de renouveler l’analyse, de telle sorte que l’intégration des deux aspects évoqués puisse être réalisée ? L’examen de ces deux questions permettra d’évaluer l’effort de renouvellement d’une discipline, confrontée à un problème précis dans le domaine de l’analyse économique de l’innovation.
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Molina, Sergio Andrés Pulgarín y Marleny Cardona Acevedo. "Caracterización del comportamiento emprendedor para los estudiantes de administración de la Universidad Nacional = Characterization of the enterpreneurial behavior of business administration students at Universidad del Rosario". Revista EAN, n.º 71 (1 de agosto de 2013): 22. http://dx.doi.org/10.21158/01208160.n71.2011.549.

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Resumen
RESUMEN:El emprendimiento como campo de estudio ha cobrado una creciente relevancia en las agendas académicas y gubernamentales del último quinquenio por su capacidad para empujar el desarrollo económico y los procesos de innovación en los países. Un ejemplo de ello es Colombia, donde el nivel de impacto ha sido tan elevado que se han formalizado desde marcos regulatorios como la ley 1014 del 2006 para el fomento a la cultura empresarial , hasta instituciones de todo tipo para el fomento al emprendimiento empresarial. No obstante, los esfuerzos por estructurar espacios para estimular el emprendimiento deben trascender más allá del simple asistencialismo, para centrarse en la definición de planes estratégicos que permitan la formación de emprendedores de una manera articula y congruente con objetivos y políticas claramente identificadas.Por tal razón, desde el centro de emprendimiento de la Universidad de Rosario se impulsó el desarrollo de un estudio que permitiese la caracterización del perfil emprendedor de los estudiantes, a fin de identificar sus fortalezas y debilidades. Este estudio toma como base la metodología de características del comportamiento emprendedor o CCE para estudiar los alumnos de pregrado de la Facultad de Administración en cada uno de sus tres programas. Al final con estos resultados el Centro Emprendimiento podrá formular cada uno de sus planes, programas y proyectos, así como también políticas asociadas al desarrollo de las cualidades necesarias para formar mejores emprendedores.ABSTRACT:Entrepreneurship as a field of study has gained a significant role in the academic and government agendas stated at a five- year term as it consolidates economic development and innovation processes in different countries. One example of this is Colombia, in which the impact has been obvious to get regulatory formal frameworks as 1014 of 2006 Law to foment an entrepreneurial culture, as well as institutions for the development of entrepreneurship. However, all efforts to have spaces to stimulate this aspect should go further the design of strategic planning that allows the formation of entrepreneurs based on articulated aims and policies clearly identified.For this reason, in the entrepreneurship department of Universidad del Rosario a study was made which set up the characterization of the entrepreneur profile of students to identify weaknesses and strengths. This study used the methodology based on the characteristics of entrepreneur behavior to make the study involving Business Administration students in each of the three academic programs. Finally, considering the results of this study, this department can design its programs and projects as well as all the policies to develop the necessary qualities to form better entrepreneurs.RESUMÉÉL’entrepreneuriat a acquis en tant que champ d’étude, une importance croissante dans les universités et les programmes gouvernementaux de ces cinq dernières années pour sa capacité à améliorer le développement économique et les processus d’innovation des pays. Un exemple clair en est la Colombie, où l’impact de l’entrepreneuriat a été si fort qu’il a été officialisé dans le cadre réglementaire avec la Loi 1014 de 2006 pour la promotion de la culture entrepreneuriale, mais aussi dans différentes institutions pour la promotion de l’entreprise. Toutefois, les efforts pour structurer les espaces de stimulation del’esprit d’entreprise doivent aller au-delà de la simple assistance mais plutôt mettre en place des plans stratégiques permettant la formation des entrepreneurs de manière articulée et conforment aux objectifs et politiques établies. Pour cette raison, une étude permettant la caractérisation des forces et faiblesses du profil des étudiants–entrepreneurs a été entreprise par le Centre de Gestion de l’Université de Rosario.Cette étude prend comme base les caractéristiques du comportement entrepreneurial ou CCE pour étudier les élèves de premier cycle de la Faculté de Gestion dans chacun de ses trois programmes. Finalement et avec l’aide de ces résultats, le Centre de Gestion pourra mettre en oeuvre ses programmes et projets, ainsi que les politiques liées au développement des qualités requises pour former de meilleurs entrepreneurs.
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Cardin, Jean-Réal. "Convention collective et sécurité sociale". Relations industrielles 18, n.º 1 (24 de enero de 2014): 3–16. http://dx.doi.org/10.7202/1021451ar.

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Resumen
Sommaire Le régime canadien des relations du travail repose sur la convention collective négociée au plan de l'établissement. Graduellement le contenu des conventions collectives s'est élargi pour comprendre non seulement la plupart des aspects de la vie au travail mais encore ceux de la vie du travailleur hors les cadres de l'entreprise même touchant sa sécurité économique et sociale ainsi que celle de sa famille. Quelle est l'extension de cette sécurité sociale dans les conventions collectives ? Quelles en sont les limitations ? Est-ce que la sécurité sociale organisée par l'État fera disparaître la forme contractuelle ? Voilà quelques-unes des questions auxquelles répond l'auteur.
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Anne, Abdoulaye y Yassine El Bahlouli. "La technologie des registres distribués (TRD) : usages et perspectives dans le secteur de l’éducation". Médiations et médiatisations, n.º 14 (25 de marzo de 2023): 11–27. http://dx.doi.org/10.52358/mm.vi14.307.

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Resumen
La technologie des registres distribués (TRD), connue aussi sous le nom anglais de « Distributed Ledger Technology (DLT) » ou « blockchain », constitue une innovation stimulante et aujourd’hui très présente dans le monde des affaires et de la finance. Selon CPA Canada (2019), ces technologies sont puissantes au regard de leur potentiel de création de nouveaux modèles économiques. De nombreux pays ont déjà adopté la TRD pour certains aspects liés à la légalisation des documents, à l'identité, à la résidence électronique, à la santé, à la sécurité et à d'autres services administratifs. Avec l’arrivée du numérique dans le monde de l’éducation par le biais de l'apprentissage à distance, les classes intelligentes et les outils de gestion scolaire intelligents, la technologie a pris place dans les écoles et risque d’en définir en grande partie les évolutions futures. L’arrivée des registres distribués s’inscrit dans cette lignée. Cependant, l’évolution rapide et constante et la complexité de la technologie des registres distribués, la rareté des compétences spécialisées en TRD en Afrique, le coût important de l’infrastructure initiale ainsi que l’absence du cadre réglementaire soulèvent des interrogations et des inquiétudes quant à l’adoption de cette technologie dans un secteur aussi sensible que l’éducation.
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Adla, Ludivine y Virginie Gallego-Roquelaure. "La dynamique de construction d’une GRH sociétale dans une PME française du secteur de l’économie sociale et solidaire". Articles 73, n.º 1 (10 de abril de 2018): 67–92. http://dx.doi.org/10.7202/1044427ar.

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Dans notre monde globalisé, l’aire de jeux des acteurs n’est plus circonscrite à la structure, mais elle est, désormais, élargie au territoire. Cet effacement des frontières organisationnelles tend à favoriser le développement d’une logique partenariale, y compris en matière de gestion des ressources humaines (GRH) au regard des bouleversements de l’environnement socio-économique. C’est dans ce contexte actuel qu’une nouvelle forme émergente de GRH apparaît, se situant dans une démarche de RSE (responsabilité sociétale des entreprises) étendue qui ne se restreint plus uniquement à certains aspects sociaux. L’objectif de cet article est d’étudier une approche alternative de la GRH qui se veut plus sociétale. Nous nous attachons à répondre à la problématique suivante : comment instaurer une GRH sociétale en PME ? Utilisant l’approche contextualiste de Pichault et Nizet (2013), nous soulignons l’importance pour le dirigeant de mobiliser des acteurs tant internes qu’externes pour atteindre cet objectif. À partir du cas d’une PME française du secteur de l’économie solidaire, nous explorons, grâce à des récits de vie, des entretiens semi-directifs, des observations participantes et non participantes, ainsi que des analyses documentaires, le processus de construction de cette nouvelle forme de GRH. Nos résultats mettent en lumière trois étapes-clés : 1- l’émergence de cette GRH autour de la création d’un pacte social; 2- son évolution source d’adhésion et de frustration; et, enfin, 3-la diffusion de cette GRH alternative auprès des partenaires externes.
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Cazenobe, Colette. "L'Histoire de Madame de Montbrillant : un laboratoire de formes romansques". Revue d'histoire littéraire de la France o 96, n.º 2 (1 de febrero de 1996): 229–45. http://dx.doi.org/10.3917/rhlf.g1996.96n2.0229.

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Resumen
Résumé Si le roman de Mme d'Épinay, l' Histoire de Mme de Montbrillant est véritablement un roman, et non pas, comme on l'a parfois prétendu, une simple autobiographie déguisée, il faut reconnaître que c'est un roman particulièrement original, et comme en avance sur son temps, en raison de la diversité des moyens employés pour éclairer sous ses multiples aspects la vie du personnage principal. Aidée sans doute par les conseils de Diderot, Mme d'Épinay ne s'est pas bornée à exploiter les ressources habituelles du roman par lettres ; elle a cherché à instruire le lecteur de ce dont les lettres ne peuvent pas l'informer directement : l'ignorance, l'erreur sur les circonstances et les personnes, la mauvaise foi concertée ou inconsciente des épistoliers... etc. Elle a eu recours, pour ce faire, au procédé du « commentaire d'éditeur», mais en donnant à ce commentaire (en l'occurrence celui du tuteur de la jeune Emilie) un caractère de mise au point méthodique qui le rend indispensable à la compréhension du roman. À ce témoignage « du dehors », Mme d'Épinay a voulu joindre un témoignage « du dedans », sous la forme d'un journal tenu par son héroïne, Ouvrant ainsi la voie à la littérature du journal intime qui va se développer au siècle suivant. Enfin, la moindre des innovations n'est pas l'importation dans le roman de toute une masse de documents juridiques et économiques concernant la vie des gens de finance à cette époque. Du « nouveau roman » qu'elle a projeté, Mme d'Epinay a prétendu faire une sorte de roman total.
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Lindström, Olle, John Bull, Beverly Collins, Inger M. Mees, Michael Barnes, Alison E. Chapman, Arne Olofsson et al. "Reviews and notices". Moderna Språk 84, n.º 2 (13 de noviembre de 1990): 170–208. http://dx.doi.org/10.58221/mosp.v84i2.10444.

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Resumen
Includes the following reviews: pp. 170-173. Olle Lindström. Wells, J.C., Longman Pronunciation Dictionary. pp. 174-175. John Bull. Banham, M., The Cambridge Guide to World Theatre. + Hodgson, T., The Batsford Dictionary of Drama. pp. 175-177. Beverly Collins & Inger M. Mees. Davidsen-Nielsen, N. & Ulseth, B., English Intonation. pp. 178-180. Michael Barnes. Kjellmer, G., Ordlista för språkvetare, Svensk-engelsk och engelsk-svensk. pp. 181-182. Alison E. Chapman. Honey, J., Does Accent Matter?-The Pygmalion Factor. pp. 182-183. Arne Olofsson. Larsson, B., At your service! Ordbok för turist- och resenäringen (Engelsk-svensk, svensk-engelsk). pp. 183-184. Linda Schenck. Bowen, D. & Bowen, M. (eds), Interpreting, Yesterday and Today, Tomorrow. p. 185. Joakim Nivre. Herslund, M. (ed.), Data and Linguistic Theory: Three Essays on Linguistic Methodology. pp. 185-188. Beatrice Warren. Dickson, P., What Do You Call A Person From...? pp. 188-189. Alistair Davies. Murray, D. (ed.), Literary Theory and Poetry: Extenting the Canon. pp. 189-192. Christine Räisänen. Technical Writing: A Survey of Some Textbooks. p. 192. Margareta Olsson. Miller, J., Mr. Teach. Metodbok för lärare. pp. 193-194. Gunnar Magnusson. Braun, P., Schaeder, B. & Volmert, J. (Hgg.), Internationalismen. pp. 195-196. Gustav Korlén. Stedje, A., Deutsche Sprache gestern und heute. + Wolff, G., Deutsche Sprachgeschichte. Ein Studienbuch. pp. 197-198. Jan Olsson. Rothstein, S., Der Traum von der Gemeinschaft. Kontinuität und Innovation in Ernst Tollers Dramen. pp. 198-200. Hartmut Böhme. Madsen, B., Auf der Suche nach einer Identität. Studien zu Hubert Fichtes Romantetralogie "Das Waisenhaus", "Die Palette", "Detlevs Imitationen 'Grünspan'", "Versuch über die Pubertät". pp. 200-202. Rüdiger Bernhardt. Hammarskjöld, G., Schuldlos schuldig sein. Zur Schuld und Freiheit in Hermann Kants Roman "Der Aufenthalt". pp. 202-205. Göran Bornäs. Lötmarker, R. & Mezieres, P., Parlons de la France. Aspects politiques, économiques et sociaux. + Berg-Compère, J., Pierre, Paul, Fatma et les autres... Les Français devant l'Europe. 207-208. Redaktionsmeddelande/A Message From the Editors.
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Raftis, J. A. "Mater et Magistra: a Challenge to the Catholicity of the Church". Relations industrielles 18, n.º 1 (24 de enero de 2014): 17–34. http://dx.doi.org/10.7202/1021452ar.

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Resumen
Sommaire L'histoire de la dernière encyclique, MATER ET MAGISTRA, illustre d'une façon dramatique, dans notre société contemporaine, la division du travail entre les relations publiques et le domaine académique. Dans le monde anglo-saxon au moins cette encyclique est celle qui a connu la plus large diffusion et qui a été la mieux reçue de toutes les encycliques sociales. Par ailleurs, il semble évident que moins qu'à toutes les autres on a apporté un intérêt soutenu. On a pas à chercher bien loin pour trouver la raison de cette indifférence générale. MATER ET MAGISTRA n'est pas seulement un document à l'occasion d'une crise ou, d'un problème. Elle est l'aboutissement de tout un siècle de développements académiques. D'une part, la doctrine sociale est seulement un segment d'une demi-douzaine de champs théologiques revitalisés. D'autre part, le fossé entre les sciences sociales et les champs de pensée plus traditionnels s'est graduellement rétréci. RERUM NOVARUM (1891) a ouvert la théologie à la science politique, QUADRAGESIMO ANNO (1931) a évidemment utilisé les principes économiques modernes et maintenant MATER ET MAGISTRA (1961) utilise la sociologie. Les experts en sciences sociales sont bien conscients de l'intérêt croissant chez leurs collègues depuis plusieurs générations au sujet du bien-être, des valeurs, des lois naturelles, des insuffisances du pragmatisme. Lorsque les dimensions proprement académiques de cette encyclique sont reconnues, il s'en suit immédiatement que cette doctrine nécessite pour son exposition un statut académique approprié. En premier lieu, il ressort de la structure de MATER ET MAGISTRA que l'étudiant de la théologie sociale doit nécessairement s'appuyer sur le spécialiste en sciences sociales. En second lieu, l'étudiant de la théologie sociale doit reconnaître que l'homme moderne désire une philosophie sociale adéquate. C'est une exigence beaucoup plus englobante que celle des encycliques précédentes. Il ne suffit plus maintenant de condamner l'individualisme et le scientisme du XIXe siècle, ou d'encourager davantage l'association — une union par-ici, une coopérative par là. Comme le préconise avec insistence le Pape Jean, une option morale positive de l'organisation ou de la socialisation est nécessaire à tout homme dans la société moderne. Alors qu'il est évident pour celui qui analyse ces questions que tout le pouvoir moral de la religion sera nécessaire afin de dissiper l'ensemble des accréditations religieuses et de la loi naturelle acceptées par l'individualisme de notre société industrielle ou le socialisme des autres traditions, la question présente de nouveaux aspects. Il y a déjà une évidence abondante que les professeurs des matières philosophiques et théologiques traditionnelles ne réaliseront pas la nécessité actuelle d'une philosophie sociale articulée s'ils n'empruntent pas aux spécialistes des sciences sociales la signification et l'importance de la socialisation aujourd'hui. De plus, c'est seulement de l'esprit en sciences sociales que le philosophe social apprendra l'apport réaliste de la remarque du Pape Jean à l'effet que dans le milieu social moderne un certain déterminisme ne cause pas de préjudice à la liberté. La récente étude de Robert A. Brady sur la place des standards dans la civilisation en est un excellent exemple (Organization, Automation, and Society, ch. IV). L'importance croissante de l'étudiant des sciences sociales est aussi un autre indice du rôle croissant de l'apostolat laïc pour l'avenir de la doctrine sociale.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER y P. HERPIN. "Avant-propos". INRAE Productions Animales 22, n.º 3 (17 de abril de 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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Resumen
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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Martins, Allysson Viana, Vanessa Forte y Jaqueline Damaceno. "Um panorama da produção brasileira especializada em MMA". Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 10, n.º 2 (19 de diciembre de 2021): 34–47. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v10.n2.2021.444.

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PT. A profissionalização do MMA (mixed martial arts) oportunizou o surgimento de veículos brasileiros especializados sobre o esporte, em especial na internet. Com uma base de fãs bastante identificada com as mídias digitais, desde sua regulamentação em 2000, surgiram blogs, sites e redes sociais que dedicam a sua produção de conteúdo a este esporte de luta. Este artigo identifica suas especificidades através de aspectos relacionados às empresas, ao público e ao produto, em dois sites, Combate.com e MMA Brasil, e dois canais de YouTube, Diretasso e Sexto Round. A intenção era realizar um panorama que trouxesse três dimensões: equipe e veículo, com cinco perguntas, desde início, objetivos e metas até qualificação e modelo de negócio; público e redes sociais, com três questionamentos sobre interação e gerenciamento de outras contas; e produção do conteúdo, com oito perguntas sobre frequência de publicação, seleção de pautas, linha editorial, seções e inovações, gêneros das produções e formatos midiáticos. Por meio de entrevistas com os editores dos sites e os criadores dos canais, observa-se que a linha editorial e os objetivos dos veículos são divergentes, com cada um possuindo perfil e espaço próprio, não competindo, exatamente, entre si. Essas distinções aparecem na natureza das propostas e em seus modelos de negócio, que interferem desde a formação da equipe e a interação com o público até as suas seções e os gêneros das produções. Os quatro veículos sugiram em um período de menos de uma década de diferença, com a distância da data de criação entre os sites sendo de apenas três anos e entre os canais de YouTube de quatro anos, revelando que eles aparecem em períodos próximos, sobretudo ao considerarmos o crescimento da popularidade do esporte no Brasil, a partir da década de 2010. Ainda que existam muitas ligas ao redor do mundo, a mídia brasileira especializada no esporte foca no UFC e no Bellator, o que gera um número baixo de publicações diárias; com exceção do Combate.com, com três, todos os outros produzem aproximadamente um conteúdo por dia. Isso pode revelar uma cobertura mais restrita, voltada para o calendário factual esportivo. *** EN. The professionalization of MMA (Mixed Martial Arts) has led to the emergence of specialized Brazilian media, especially on the Internet. Supported by fan groups strongly influenced by digital media, more and more blogs, websites and social networks have been dedicating their content production to this combat sport since the early 2000s. The article examines the characteristics of two websites (Combate.com and MMA Brasil) and two YouTube channels (Diretasso and Sexto Round) from the perspectives of business models, audiences and product types. It aims at presenting an overview of three dimensions: teams and communication channels (focusing on the start-up phase, objectives, skills and business models) ; audiences and social networks (interactions with the public and management of multiple social media accounts) ; and content production (frequency of publication, choice of topics, editorial line, types of sections, innovative forms, media formats, etc.). Interviews with the editors of the websites and the creators of the Youtube channels point out that the editorial lines and goals of each media are different, each media having its unique identity and its own specialization, without fostering any real competition with the others. Differences amongst the media are mostly visible in the type of content produced as well as in the media’s business models, which in turn impacts on the training of team members, the interactions with audiences, and the use of different sections and press genres. The four media were created during a similar timeframe - the two websites were created less than three years apart and the two YouTube channels were launched four years apart - corresponding to the period of growing popularity of MMA in Brazil, in the 2010’s. Despite MMA being structured in many leagues around the world, Brazilian media focus on UFC and Bellator, explaining the relatively low number of daily publications. Except for Combate.com, which publishes three times per day, all other online media publish on average only once a day. This trend reflects a limited media coverage, mainly focused on sporting events. *** FR. La professionnalisation du MMA (mixed martial arts) a entraîné l'émergence de médias brésiliens spécialisés dans ce sport, notamment sur Internet. Encouragés par des groupes de fans fortement influencés par les médias numériques, de plus en plus de blogs, de sites web et de réseaux sociaux consacrent leur production de contenu à ce sport de combat, depuis le début des années 2000. Cet article examine leurs spécificités concernant les aspects liés aux entreprises, au public et aux produits, à partir de deux sites web (Combate.com et MMA Brasil), et de deux chaînes YouTube (Diretasso et Sexto Round). Il s’agit de proposer un aperçu portant sur trois dimensions : l’équipe et le canal de communication (en s’intéressant aux débuts, aux objectifs, aux compétences et au modèle économique), le public et les réseaux sociaux (les interactions et la gestion d'autres comptes) et la production de contenu (la fréquence de publication, le choix des sujets, la ligne éditoriale, les rubriques et innovations, les styles de productions et les formats médiatiques). Les entretiens avec les rédacteurs de ces sites web et les créateurs des chaînes Youtube révèlent que leur ligne éditoriale et leurs objectifs divergent, chacun ayant un profil particulier et occupant un espace qui leur est propre, sans réelle concurrence les uns avec les autres. Ces distinctions concernent surtout la nature des contenus offerts et les business modèles, qui ont un impact à la fois sur la formation des équipes, sur l'interaction avec le public et sur les rubriques et les genres journalistiques utilisés. Moins de trois ans séparent la création des deux sites web étudiés ici et environ quatre ans se sont écoulés entre la mise en ligne des deux chaînes YouTube ; tous sont donc apparus à peu près à la même époque, surtout si l'on considère que la croissance de la popularité de ce sport au Brésil date des années 2010. Bien que le MMA compte de nombreuses ligues dans le monde, les médias brésiliens spécialisés se concentrent sur l'UFC et le Bellator, ce qui explique le nombre assez faible de publications quotidiennes ; à l'exception de Combate.com, qui en publie trois par jour, tous les autres sites ne produisent en moyenne qu’un seul contenu quotidien, ce qui semble témoigner d’une couverture médiatique plus restreinte, principalement axée sur le calendrier sportif. ***
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Gaudry, Marc. "Some innovations in transport economics". Les Cahiers Scientifiques du Transport - Scientific Papers in Transportation 23 | 1991 (31 de marzo de 1991). http://dx.doi.org/10.46298/cst.11892.

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We summarize various contributions to transportation economics, notably to the analysis of transportation demand, of mode choice models, and of road safety, and give an idea of their innovative aspects, as well as an outline of their implementation and use in the scientific and professional community. Nous résumons l'évolution de travaux divers en économie des transports, portant en particulier sur l'étude de la demande de transport, de la répartition modale, et de la sécurité routière. Nous en soulignons les aspects innovateurs et donnons une idée de leur usage et de leur diffusion dans la communauté académique et professionnelle.
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Lussana, Elvira. "Une autre université pour connaître autrement". Romanian Economic Journal, n.º 86 (25 de enero de 2024). http://dx.doi.org/10.24818/rej/2023/86/01.

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Réfléchir et éduquer en termes de capacités au temps de la complexité n’est pas chose facile. Le processus de formation doit faire face aujourd’hui à un défi pressant, celui d’arriver à transmettre de nouveaux savoirs grâce à une démocratie cognitive à des personnes de plus en plus diversifiées surtout sur le plan culturel. Tout cela en présence d’un taux élevé d’obsolescence des compétences plus spécifiques et d’un taux significatif de mobilité des spécialistes, aspects qui rendent inéludable la réactualisation de la formation. Un processus qui doit permettre de réinventer, réadapter ses propres connaissances en temps réel, mais aussi de les recontextualiser en présence d’une technique capable de dépasser rapidement et imprévisiblement des limites de pensée et d’action que semblaient infranchissables. Il s’agit alors d’arriver à programmer des cartes cognitives capables d’évoluer et respectueuses du principe d’un savoir ouvert aux défis de la nouvelle mondialisation et d’une innovation permanente. Cartes capables de restructurer l’organisation des compétences et de faire face aux défis de notre temps et à la complexité des aspects des dynamiques économiques actuelles.
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بيطاط نو ا رلدين, بيطاط نو ا. رلدين. "أليات تدعيم وتنمية الابتكار والإبداع كأداة لاستدامة المشاريع المقاولاتية". Finance and Business Economies Review 1, n.º 2 (30 de junio de 2017). http://dx.doi.org/10.58205/fber.v1i2.1498.

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Ce document a pour but de mettre en évidence le thème de la « créativité et innovation » un secteur sophistiqué pour améliorer la production et de commercialisation les aptitudes et les compétences dans le domaine du développement de l’entrepreneuriat. Sur cette base et compte tenu de l’importance du rôle de l’innovation et importante dans le développement d’idées et de la capacité, Devenir un projets d’entreprise prospère et prendre les dimensions, Ont donc des caractéristiques de continuité et de permanence et d’évolution. Les principales conclusions de cette étude : - Projets novateurs d’importance et le rôle dans l’économie nationale et sa croissance - Ces activités créatrices et novatrices doivent suivre certaines étapes et les étapes pour permettre la pérennité et de survie et le succès. - Cette personne est que le propriétaire de ces projets doit avoir les qualités et les caractéristiques de certaines capacités et compétences et même Bénéficie de la capacité de gérer ces projets. Cet article est sorti avec un certain nombre de recommandations, notamment : - Donnant des opportunités pour les plus ambitieux pour ceux qui ont des idées créatives et novatrices en fournissant le soutien financier nécessaire pour eux après qu’ils étudient la faisabilité économique de leurs idées. -Travailler sur la formation pour les propriétaires de ces projets sur tous les aspects administratifs et financiers et la gestion de ces projets pour être pilote plus réussi.
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Bodart, Vincent y Raouf Boucekkine. "Numéro 3 - juin 2002". Regards économiques, 12 de octubre de 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16263.

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Afin d'expliquer les performances exceptionnelles (croissance soutenue, faible niveau de chômage et de l’inflation, forte accélération de la productivité) de l’économie américaine durant la décennie passée, plusieurs économistes ont évoqué l'émergence d'une "Nouvelle Economie", faisant référence au développement fulgurant des nouvelles technologies de l'information et des communications (TIC). Les partisans de la "Nouvelle Economie" estiment en effet que ces nouvelles technologies ont modifié de façon profonde le fonctionnement de l'économie et que, à l’instar d'autres innovations technologiques importantes au début du siècle passé, elles sont le vecteur d’une nouvelle ère de croissance et de prospérité. Mais est-ce vraiment le cas ? Malgré de fort nombreux aménagements de la comptabilité nationale américaine visant à mieux tenir compte des effets de l’usage des TIC sur la croissance de la productivité, les dernières études statistiques publiées à la fin du premier trimestre 2002, dressent un tableau mitigé de la situation. En particulier, l’impact de l’usage des TIC sur la croissance de la productivité dans les services ayant le plus investi en TIC est parfois même négatif ! De quoi susciter de réelles interrogations sur les mesures effectuées mais aussi et surtout sur les vertus de l’informatisation. Sur la base de certains enseignements récents de la théorie économique, l'article de Regards Economiques revient sur cette dernière question pour tirer quelques conclusions utiles sur le cas d’un "petit" pays comme la Belgique ! A l’évidence, les nouvelles technologies ont créé de réelles opportunités, mais transformer ces opportunités en croissance économique soutenable et créatrice d’emplois nouveaux et stables n’est pas sans coût. La nécessité de réorganiser le travail pour accompagner l’informatisation n’est qu’un défi parmi d’autres pour en assurer le succès et la pérennité. De fait, une informatisation réussie repose au moins sur deux piliers fondamentaux : réorganisation du travail (vers plus d’autonomie notamment) et modernisation soutenue par un effort constant en R&D et/ou d’adoption maîtrisée des avances technologiques. Pour un "petit" pays comme la Belgique et vu le niveau actuel des ressources dévolues à la recherche comme en atteste le dernier rapport sur la R&D en Belgique, l’effort de modernisation ne consiste évidemment pas à lancer des plans de R&D à même de concurrencer Intel ou Microsoft mais à assurer une diffusion rapide des TIC et à développer les qualifications à même de faciliter cette diffusion. Les niveaux actuels de diffusion en Belgique sont de toute évidence trop faibles pour espérer un gain significatif et durable en terme de productivité ou de croissance de PIB et de l’emploi. Mais même si le niveau de diffusion est élevé, l’expérience américaine nous apprend que cela ne garantit pas à coup sûr une augmentation généralisée du taux de croissance de la productivité. Il semble de plus en plus avéré que l’investissement en TIC n’est décisif en termes de gains de productivité que s’il est accompagné d’un changement organisationnel vers plus d’autonomie et de polyvalence notamment. Un troisième pilier sur lequel doit reposer tout processus d’informatisation concerne le volet institutionnel. L’effondrement de très nombreuses start-ups américaines et européennes entre 2000 et 2002 (la dernière à déposer son bilan n’est pas des moindres : Napster) et le procès Microsoft sont autant d’indicateurs des problèmes institutionnels inhérents à la "Nouvelle Economie" et notamment à son volet commerce électronique. Le problème est bien connu : les start-ups vendent un bien particulier, l’information, qui s’avère très facile à copier alors même que sa production est en général coûteuse. Par ailleurs, l’utilisation d’Internet permet aux consommateurs de comparer les prix, ce qui tend à rogner considérablement les profits des entreprises. Mais en même temps, la valeur de nombreux biens d’information, comme par exemple les softwares, augmente avec le nombre d’utilisateurs (c’est la notion d’externalités de réseau), donnant lieu à des monopoles naturels. Dans cette configuration, le démantèlement des monopoles peut avoir des effets négatifs sur le bien-être des consommateurs, sans compter les effets désastreux que cela peut engendrer sur le financement de la R&D, aspect si essentiel dans la viabilité d’un régime de croissance tiré par les TIC.
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Bodart, Vincent y Raouf Boucekkine. "Numéro 3 - juin 2002". Regards économiques, 12 de octubre de 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2002.06.01.

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Afin d'expliquer les performances exceptionnelles (croissance soutenue, faible niveau de chômage et de l’inflation, forte accélération de la productivité) de l’économie américaine durant la décennie passée, plusieurs économistes ont évoqué l'émergence d'une "Nouvelle Economie", faisant référence au développement fulgurant des nouvelles technologies de l'information et des communications (TIC). Les partisans de la "Nouvelle Economie" estiment en effet que ces nouvelles technologies ont modifié de façon profonde le fonctionnement de l'économie et que, à l’instar d'autres innovations technologiques importantes au début du siècle passé, elles sont le vecteur d’une nouvelle ère de croissance et de prospérité. Mais est-ce vraiment le cas ? Malgré de fort nombreux aménagements de la comptabilité nationale américaine visant à mieux tenir compte des effets de l’usage des TIC sur la croissance de la productivité, les dernières études statistiques publiées à la fin du premier trimestre 2002, dressent un tableau mitigé de la situation. En particulier, l’impact de l’usage des TIC sur la croissance de la productivité dans les services ayant le plus investi en TIC est parfois même négatif ! De quoi susciter de réelles interrogations sur les mesures effectuées mais aussi et surtout sur les vertus de l’informatisation. Sur la base de certains enseignements récents de la théorie économique, l'article de Regards Economiques revient sur cette dernière question pour tirer quelques conclusions utiles sur le cas d’un "petit" pays comme la Belgique ! A l’évidence, les nouvelles technologies ont créé de réelles opportunités, mais transformer ces opportunités en croissance économique soutenable et créatrice d’emplois nouveaux et stables n’est pas sans coût. La nécessité de réorganiser le travail pour accompagner l’informatisation n’est qu’un défi parmi d’autres pour en assurer le succès et la pérennité. De fait, une informatisation réussie repose au moins sur deux piliers fondamentaux : réorganisation du travail (vers plus d’autonomie notamment) et modernisation soutenue par un effort constant en R&D et/ou d’adoption maîtrisée des avances technologiques. Pour un "petit" pays comme la Belgique et vu le niveau actuel des ressources dévolues à la recherche comme en atteste le dernier rapport sur la R&D en Belgique, l’effort de modernisation ne consiste évidemment pas à lancer des plans de R&D à même de concurrencer Intel ou Microsoft mais à assurer une diffusion rapide des TIC et à développer les qualifications à même de faciliter cette diffusion. Les niveaux actuels de diffusion en Belgique sont de toute évidence trop faibles pour espérer un gain significatif et durable en terme de productivité ou de croissance de PIB et de l’emploi. Mais même si le niveau de diffusion est élevé, l’expérience américaine nous apprend que cela ne garantit pas à coup sûr une augmentation généralisée du taux de croissance de la productivité. Il semble de plus en plus avéré que l’investissement en TIC n’est décisif en termes de gains de productivité que s’il est accompagné d’un changement organisationnel vers plus d’autonomie et de polyvalence notamment. Un troisième pilier sur lequel doit reposer tout processus d’informatisation concerne le volet institutionnel. L’effondrement de très nombreuses start-ups américaines et européennes entre 2000 et 2002 (la dernière à déposer son bilan n’est pas des moindres : Napster) et le procès Microsoft sont autant d’indicateurs des problèmes institutionnels inhérents à la "Nouvelle Economie" et notamment à son volet commerce électronique. Le problème est bien connu : les start-ups vendent un bien particulier, l’information, qui s’avère très facile à copier alors même que sa production est en général coûteuse. Par ailleurs, l’utilisation d’Internet permet aux consommateurs de comparer les prix, ce qui tend à rogner considérablement les profits des entreprises. Mais en même temps, la valeur de nombreux biens d’information, comme par exemple les softwares, augmente avec le nombre d’utilisateurs (c’est la notion d’externalités de réseau), donnant lieu à des monopoles naturels. Dans cette configuration, le démantèlement des monopoles peut avoir des effets négatifs sur le bien-être des consommateurs, sans compter les effets désastreux que cela peut engendrer sur le financement de la R&D, aspect si essentiel dans la viabilité d’un régime de croissance tiré par les TIC.
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Vi, Nguyen Huy. "Private Higher Education Model- World Practices and Lessons for Vietnam". VNU Journal of Science: Education Research 34, n.º 3 (18 de julio de 2018). http://dx.doi.org/10.25073/2588-1159/vnuer.4147.

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The private higher education system has been facing many challenges in the history of its development, which was harshly handled by the different points of view of political regimes. The system in the general higher education system in all over the world has slowly and weakly improved. Until the 80s of the 20th century, the system revived and obviously developed thanks to the increasing educating demand although many countries were facing financial difficulties to support it. In Vietnam, the private higher education system appeared by 1975 in the south, but this model and the its regulations had been forgotten until the beginning of the 90s of 20th century. This research is evaluating the present higher education system in different aspects that are the international definition of private higher education, brief history and the development of the system in Republic of France as an example, privatization forms and finance for the system, and suggestions to define policies for the system in Vietnam. Keywords Model, Private Higher Education, Privatization References [1] Altbach, Philip et T. Umakoshi (éd.) (2004), Asian Universities – Historical Perspectives and Contemporary Challenge s; John Hopkins Press. [2] Ball, J.S et Youdell,D. (2007), Higher privatisation in public education, Education International 5th World Congress July 2007. [3] Banque Mondiale (2009), Statistiques de la Banque Mondiale, consulté le 15 juillet 2009, http:// go.worldbank.org/RQBDCTUXW0. [4] Blöndal S., S. Field et N. Girouard (2002), Investment In Human Capital Through Post-Compulsory Education and Training: Selected Efficiency And Equity Aspects, Département des affaires économiques de l’OCDE, document de travail No 333. [5] Cave, M., M. Kogan et R. Smith (1990), Output and Performance Measurement in Government. The State of the Art (Jessica Kinsgley, Londres). [6] Geiger, R. (1986), Private Sectors in Higher Education, Ann Arbor, The University of Michigan Press. [7] OECD (2011), L’enseignement supérieur à l’horizon 2030- Volume 2: Mondalisation, La recherché et l’innovation dans l’enseignement, Éditon OCDE. [8] Hofstadter, R. (1996), Academic Freedom in the Age of College, Transaction Publishers, New Brunswick. [9] L. Benedetto (2008), Options et tandances dans le financement des uni versités en Europe, Critique internationale, 2008/2 (n039)- CAIRN.INFO. [10] Levy, D.C. 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Fazal (2016), Privatisation de l’éducation: tendances et conséquences, UNESCO/Paris, octobre2016. [20] ROUSSEL Isabelle (2015), L’enseignement supérieur privé: propositions pour un nouveau mode de relations avec l’État, Rapport N05 2015-047, Juin 2015 - Ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. [21] Savas (2000), Privatisation and Public – Private Partnerships, academia.edu [22] Shils, E. et Roberts, J. (2004), « The Diffusion of European Models Outside Europe », in W. Rüegg (éd.), A History of the University in Europe, Vol. III, Cambridge University Press, Cambridge. [23] Thelin, J.R. (2004), A History of American Higher Education, Baltimore, John Hopkins University Press. [24] Teixeira, P., D. Dill, B. Jongbloed et A. Amaral (éd.) (2004), The Rising Strength of Markets in Higher Education, Kluwer, Dordrecht. [25] Teichler, U. 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Goodale, Mark. "Droits humains". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.093.

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En tant que sous-domaine émergeant de l'anthropologie sociale et culturelle, l'anthropologie des droits humains a contribué à la théorie et à la méthodologie de diverses manières. Il a également apporté des contributions en dehors de la discipline puisque les juristes internationaux, les responsables politiques et les représentants du gouvernement se réfèrent à l'anthropologie des droits humains comme source d'informations et d'idées au sujet des droits humains dans les documents politiques, les rapports aux agences gouvernementales et dans les principaux discours publics (voir par ex. Higgins 2012, 2013). Culture En tant que catégorie d'organisation de la différence, la culture était dès le départ problématique pour les droits humains. Dans sa Déclaration sur les droits de l'homme de 1947, Melville Herskovits craignait que la diversité et la richesse culturelles ne soient incompatibles avec les droits humains, en affirmant des modèles transculturels de croyances et de pratiques normatives contredisant les preuves anthropologiques et en menaçant d'ignorer la culture au sein de l'économie politique de l'ordre de l’après-guerre. En dépit de ces préoccupations, la diversité culturelle n'a pas été affectée par la promulgation de la Déclaration universelle des droits de l'homme en 1948. Ceci, en grande partie, est dû à l'influence plus large des droits humains, sans parler de la transformation globale imaginée par Herskovits, qui a immédiatement été bloquée par la Guerre froide. Même Eleanor Roosevelt a reconnu que le projet des droits humains prendrait des années, voire des décennies, et que les modèles culturels ne commenceraient à changer que lorsque ce qu'elle appelait une «vigne curieuse» prendra racine puis se répandra dans des lieux où « les gouvernements ne l’attendent pas » (cité dans Korey 1998). Au moment où ce genre de changement à grande échelle a commencé, les anthropologues des droits humains ont observé que l'impact sur la culture défiait la dichotomie entre particularisme et universalisme et que la culture elle-même facilitait la transnationalisation des normes des droits humains. Dans le volume novateur Culture and Rights (« Culture et Droits ») (2001), les anthropologues qui se sont penchés sur une décennie de recherche ethnographique après la fin de la Guerre froide ont remarqué deux phénomènes clés à l'œuvre. Dans la première, les pratiques culturelles et les modes de compréhension normatifs existants ont servi de mécanismes à ce que Sally Engle Merry (2006a) décrira plus tard comme la «vernacularisation», à savoir l’application de normes internationales des droits humains de plus en plus hégémoniques dans des formes de pratique éthique et politique ancrées dans le particulier. Et dans la seconde, les spécialistes de Culture et Droits ont décrit et théorisé l'émergence d'une culture transnationale des droits humains. Ici, un compte rendu anthropologique de la culture s'est avéré utile pour comprendre la formation de nouvelles catégories d'action collective au sein des agences internationales, des ONG transnationales et des mouvements politiques et sociaux façonnés par les logiques des droits humains. Dans les deux cas, l'utilisation par les anthropologues du concept de culture pour comprendre la pratique des droits humains a évolué à contre-courant de la théorie anthropologique et sociale, sceptique sur l'utilité analytique de la culture face à l'hybridation supposée de la mondialisation. Pouvoir Les droits humains, comme Burke aurait pu le dire, agissant à travers les gens, c'est du pouvoir; et «les gens prévenants, avant qu'ils ne se déclarent, observeront l'usage qui est fait du pouvoir; et surtout d'éprouver quelque chose comme l’exercice d’un nouveau pouvoir sur des personnes nouvelles, dont les principes, les colères et les dispositions ont peu ou pas d'expérience »(Burke 1919 [1790]: 7, souligné par l’auteur). Les anthropologues des droits humains ont été très attentifs à un autre problème initialement identifié par Herskovits: la manière dont un projet global de droits humains crée des tensions accrues au sein des conflits d’intérêts existants en éliminant toutes formes alternatives de changement social et de résolution des conflits. Bien sûr, du point de vue des défenseurs des droits humains, c'est un pouvoir exercé pour le bien; en effet, comme l'expriment avec force les traités internationaux comme la CEDAW, le projet des droits humains d'après-guerre exige le changement, le remplacement, voire la suppression des modes de pratique culturelle qui restent inexplicables et donc illégitimes. Comme le stipule l'article 5 souvent cité par le CEDAW, les États parties à la charte internationale des droits des femmes doivent «modifier les comportements sociaux et culturels des hommes et des femmes en vue d'éliminer les préjugés et autres pratiques coutumières» qui sont basées sur les théories locales de l'inégalité de genre. Mais, comme l'ont montré les anthropologues, les droits humains tendent souvent à mettre entre guillemets et à marginaliser les autres logiques culturelles de justice sociale, de développement, de transformation des conflits et d'éthique publique. Et cette extension du pouvoir peut avoir des conséquences inattendues. L'un des exemples les plus complets de la façon dont les anthropologues ont exploré les implications du pouvoir imprévisible des droits humains est l'ethnographie du développement de Harri Englund (2006) au Malawi. Comme il l'explique, le concept des droits humains a été officiellement traduit dans la langue locale avec une phrase qui signifiait «la liberté avec laquelle on est né» (2006: 51). Au fil du temps, les gens ont mis l'accent sur la liberté de contester les normes culturelles existantes en matière de mode, d'obéissance dans les écoles publiques et de comportement sexuel, plutôt que sur les conditions structurelles économiques et politiques qui renforçaient un héritage d'inégalité et de corruption publique. Le résultat, selon Englund, fut que les Malawiens finissaient par être «privés de la traduction». Le discours sur les droits humains a saturé tous les aspects de la vie publique au Malawi, comme le voulaient les fonctionnaires et les travailleurs humanitaires transnationaux. Mais puisque les droits humains étaient mal traduits dans une langue vernaculaire locale, ils ont été transformés au point d'être méconnaissables, ce qui a empêché leur utilisation comme langage d'un changement social pourtant nécessaire. Épistémologie Quand Herskovits affirmait que l'anthropologie n'était pas capable de faire des affirmations définitives sur les droits humains universels parce qu'elle était une «science de l'humanité» et ne s'intéressait donc qu'aux questions empiriques du comportement humain exprimées par des «modèles de culture», il ne pouvait prévoir les innovations épistémologiques dans la discipline qui élargiraient ses objets de connaissance et transformeraient ses domaines d'investigation. Cela ne veut toutefois pas dire que, dans les décennies qui ont suivi, les anthropologues ont écarté les premiers arguments de Herskovits pour confronter les problèmes ontologiques et philosophiques fondamentaux qui restaient essentiels aux droits humains. Une grande partie du travail intellectuel consacré aux droits humains restait dans des sphères telles que les études juridiques critiques, la théorie politique et la philosophie morale. Au contraire, les anthropologues ont utilisé la recherche ethnographique pour étayer de manière subversive l'élargissement des bases sur lesquelles les questions fondamentales morales et théoriques des droits humains pouvaient être posées et résolues. Ceci, à son tour, a eu des implications importantes pour l'épistémologie des droits humains, en particulier dans l'après-Guerre froide, lorsque le discours sur les droits humains s'est de plus en plus intégré dans les pratiques juridiques, politiques et sociales. Les anthropologues ont très tôt observé que les idées sur les droits humains étaient fondamentales dans leur mise en pratique. Les acteurs sociaux, souvent pris dans des moments de crise ou de dislocation, n'ont jamais été capables d'exploiter simplement les droits humains ou de corrompre leurs imaginaires de justice comme s'il s'agissait d'une boîte à outils normative attendant d'être ouverte. Au lieu de cela, les logiques de défense des droits humains exigeaient autant de considération de soi que de changement social; les gens étaient invités, encouragés, obligés de se repenser en tant que citoyens d'un univers moral différent. La théorisation éthique en termes de cet univers moral souvent radicalement différent est devenue une forme distincte de pratique sociale et l'anthropologue est devenu à la fois témoin et participant de cette transformation dans le cadre de la rencontre ethnographique (voir Goodale 2006). Ce qui en résulta fut un enregistrement ethnographique de modèles de droits humains innovants et potentiellement transformateurs, profondément ancrés dans les circonstances de leur création. Le meilleur exemple que nous ayons d'un compte rendu local des droits humains parfaitement articulé est l'ethnographie de Shannon Speed ??sur les conséquences de la rébellion zapatiste au Chiapas (2007). Pendant et après la violence, des organisations internationales et transnationales de défense des droits humains ont envahi la région du Chiapas. Ceux qui défendent les droits des peuples autochtones en tant que droits humains ont été particulièrement influents dans la façon dont la résistance zapatiste s’est exprimée. Les leaders politiques indigènes ont formé des «conseils de bonne gouvernance» dans lesquels les idées sur les droits humains ont été longuement débattues, remaniées et ensuite utilisées pour représenter les valeurs morales zapatistes en tant qu'action politique zapatiste enracinée. Plaidoyer transnational Les réseaux transnationaux des droits humains qui ont émergé après la fin de la Guerre froide ont fait ce qu'Eleanor Roosevelt attendait d'eux: ils ont défié la souveraineté de l'Etat et ont permis de créer de nouvelles sphères publiques à la fois translocales et ancrées dans les sites de contestation intime. Des chercheurs comme Annelise Riles (2000) ont étudié ces réseaux de l'intérieur et ont contribué à la compréhension plus large des assemblages mondiaux qui modifiaient l'ontologie des relations sociales à une époque de transformation économique géopolitique et mondiale. Mais les anthropologues ont également montré à quel point les réseaux de défense des droits humains sont façonnés par les économies politiques des conflits locaux de manière à changer leur valence normative et à les rendre incapables de remplir leur mandat plus large de changement social et de transformation morale. Par exemple, l'ethnographie de longue durée de Winifred Tate (2007) du conflit historique entre l'État colombien et les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) montre comment les défenseurs des droits humains luttent pour traduire la langue et les logiques morales des droits humains universels en une catégorie instrumentale de l'action pouvant répondre aux défis du traumatisme historique, des récits multiples et ambigus de la culpabilité pour les atrocités commises, de l'héritage de la violence structurelle, et des modèles durables d'inégalité économique ayant des racines dans la période coloniale. Et l'étude de Sally Engle Merry (2006b) sur les institutions qui surveillent la conformité nationale à la CEDAW illustre en détail la façon dont les défenseurs des droits humains doivent eux-mêmes naviguer entre des cultures multiples de défense et de résistance. Les représentants des ministères nationaux des droits humains se trouvent souvent obligés de défendre à la fois le respect d'un traité international des droits humains et l'intégrité et la légitimité des pratiques culturelles qui semblent violer ce même traité. Néanmoins, ces dichotomies n'annulent pas la portée du droit international des droits humains dans les conflits nationaux et locaux. Au contraire, comme le souligne Merry, elles reflètent la façon dont la pratique des droits humains crée ses propres catégories d'identités et de pouvoirs contestés avec des implications incertaines pour la défense transnationale des droits humains et la promotion du patrimoine national(-iste). Critique et engagement Enfin, l'anthropologie des droits humains, peut-être plus que d'autres orientations académiques s’intéressant aux droits humains, se heurte avec difficultés au dilemme de développer un compte rendu rigoureux et ethnographique des droits humains qui soit à la fois critique et éthiquement conforme aux conditions de vulnérabilité qui mènent aux abus et à l’exploitation. Cette tension s'est exprimée de différentes manières pour chaque anthropologue. Certains (comme Winifred Tate et Shannon Speed, par exemple) ont commencé leur carrière en tant qu'activistes des droits humains avant de faire de la recherche et de mener une réflexion ethnographique sur les processus sociaux et politiques pour lesquels ils s’étaient engagés. Mais la tension entre la critique et l'engagement, le scepticisme et le plaidoyer, et la résistance et l'engagement, n'est pas seulement un défi pour les anthropologues des droits humains. Comme l'a démontré la recherche ethnographique, c'est un fait social et moral fondamental pour la pratique des droits humains elle-même. Ceci en partie parce que la théorie de la pratique sociale et du changement politique que propose les droits humains exige une forme d'autoréflexion et d'auto-constitution destinée à semer le doute sur les pratiques culturelles existantes, sur les théories populaires de l’individu, et sur les hiérarchies du pouvoir. Pourtant, la transition de l'ancien à l’actuel devenu tout à coup illégitime au nouveau et maintenant soudainement authentique est lourde de dérapage moral et de conséquences imprévues. Un exemple récent d'ethnographie de la pratique des droits humains est l'étude de Lori Allen (2013), portant sur le rôle du discours sur les droits humains dans la politique de résistance palestinienne à l'occupation israélienne de la Cisjordanie. Bien que le langage des droits humains ait été utilisé dès la fin des années 1970 en Palestine comme stratégie rhétorique populaire pour défendre les victimes de l'occupation auprès d'une audience internationale, un cercle professionnel d'activistes et d'ONG finit par restreindre l'utilisation des droits humains dans des espaces sociaux et politiques étroitement contrôlés. Dans le même temps, l'ensemble des griefs palestiniens sont restés sans réponse pendant des décennies, comme la violation des droits humains continuelle, l'incapacité à obtenir l'indépendance politique et à influencer favorablement l'opinion politique en Israël. Le résultat fut que les Palestiniens en vinrent à considérer les droits humains avec cynisme et même suspicion. Mais plutôt que de rejeter entièrement les droits humains, ils ont formulé une critique organique des droits humains dans un discours critique et émancipateur plus large promouvant l'autonomie palestinienne, l'anti-impérialisme et l’activisme associatif (par opposition à l'interventionnisme). Après des décennies d'engagement pour les droits humains dans l'histoire de la lutte palestinienne contre l'occupation, les militants ont pu s'approprier ou rejeter les logiques et les attentes des droits humains avec un haut degré de conscience contextuelle et de réalisme politique. Orientations futures L'anthropologie des droits humains est maintenant bien établie en tant que domaine de recherche distinct et source de théorie anthropologique. Sur le plan institutionnel, les universitaires et les étudiants diplômés qui travaillent dans le domaine de l'anthropologie des droits humains viennent généralement, mais pas exclusivement, des rangs de l'anthropologie juridique et politique. Parce que les droits humains sont devenus un mode de plus en plus omniprésent du monde contemporain, les anthropologues rencontrent des traces de cette influence à travers un large éventail de pratiques culturelles, de mouvements politiques et de projets moraux. Cela ne veut cependant pas dire que le statut des droits humains n'est pas contesté, bien au contraire. Alors que la période liminaire de l'après-Guerre froide cède la place à la redifférenciation culturelle, à l'établissement de nouvelles hiérarchies et au rétrécissement des espaces d'expérimentation politique et sociale, les droits humains continueront à bousculer les formes alternatives de pratiques morales et de constitution personnelle et collective. Alors que le projet des droits humains d'après-guerre mûrit en se transformant en processus presque banal de réforme constitutionnelle, de bonne gouvernance et de restructuration économique néo-libérale, son potentiel de catalyseur de transformation radicale et de bouleversement moral diminuera probablement. L'anthropologie des droits humains deviendra moins l'étude d'un discours politique et moral à une époque de transition souvent vertigineuse et de possibilités apparemment illimitées, que celle d'un universalisme séculaire contemporain établi parmi une foule de perspectives concurrentes.
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