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Kamdem, Emmanuel. "Le temps dans l'organisation: vers une approche plurielle et interculturelle". Social Science Information 33, n.º 4 (diciembre de 1994): 683–707. http://dx.doi.org/10.1177/053901894033004007.

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Paquet, Gilles. "Le palimpseste de l’imputabilité". Colloque : L'État en marche, transparence et reddition de comptes 36, n.º 4 (31 de octubre de 2014): 561–78. http://dx.doi.org/10.7202/1027159ar.

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La notion d’imputabilité est un concept-bateau qui recouvre des réalités fort différentes que l’anglais (avec ses responsibility, accountability, answerability, liability, etc.) identifie mieux. C’est aussi un concept qui a beaucoup évolué et continue à évoluer à proportion que la gouverne est moins hiérarchique et davantage pluraliste et plurielle dans un monde où pouvoir, ressources et information sont vastement distribués. On dérive vers une notion d’imputabilité douce à 360 degrés à l’interface de la gouvernance et du droit.
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Frisch, muriel. "La didactique de l’Information-Documentation en France comme ressource pour l'enseignement : une histoire et une "épistémologie plurielle"". Didactica Historica 4, n.º 1 (2018): 87–91. http://dx.doi.org/10.33055/didacticahistorica.2018.004.01.87.

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Information-Documentation didactic in France as teaching resources: an history and a “plural epistemology”. This text is based on our research Information-Documentation didactic. It focuses on the epistemological and historical dimensions developed in our Habilitation Thesis (2016) and uses a review of the literature. This paper is thus going to be organized into four parts: characterization of what we call a “plural epistemology”; origins and history of Documentation-Information training in Education; neighboring fields, complementary and identification of trends, paradigms and models dominant; documentary culture, Information-Documentation didactic and link with teaching of history.
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Frisch, muriel. "La didactique de l’Information-Documentation en France comme ressource pour l'enseignement : une histoire et une "épistémologie plurielle"". Didactica Historica 4, n.º 1 (2018): 87–91. http://dx.doi.org/10.33055/didacticahistorica.2018.004.01.87.

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Information-Documentation didactic in France as teaching resources: an history and a “plural epistemology”. This text is based on our research Information-Documentation didactic. It focuses on the epistemological and historical dimensions developed in our Habilitation Thesis (2016) and uses a review of the literature. This paper is thus going to be organized into four parts: characterization of what we call a “plural epistemology”; origins and history of Documentation-Information training in Education; neighboring fields, complementary and identification of trends, paradigms and models dominant; documentary culture, Information-Documentation didactic and link with teaching of history.
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Frisch, muriel. "La didactique de l’Information-Documentation en France comme ressources pour l’enseignement : une histoire et une « épistémologie plurielle »". Didactica Historica 4, n.º 1 (2018): 1–10. http://dx.doi.org/10.33055/didacticahistorica.2018.004.01.87.long.

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Information-Documentation didactic in France as teaching resources: an history and a «plural epistemology». This text is based on our research Information-Documentation didactic. It focuses on the epistemological and historical dimensions developed in our Habilitation Thesis (2016) and uses a review of the literature. This paper is thus going to be organized into four parts: characterization of what we call a “plural epistemology”; origins and history of Documentation-Information training in Education; neighboring fields, complementary and identification of trends, paradigms and models dominant; documentary culture, Information-Documentation didactic and link with teaching of history.
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Frisch, muriel. "La didactique de l’Information-Documentation en France comme ressource pour l'enseignement : une histoire et une "épistémologie plurielle"". Didactica Historica 4, n.º 1 (2018): 87–91. http://dx.doi.org/10.33055/didacticahistorica.2018.004.01.87.

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Information-Documentation didactic in France as teaching resources: an history and a “plural epistemology”. This text is based on our research Information-Documentation didactic. It focuses on the epistemological and historical dimensions developed in our Habilitation Thesis (2016) and uses a review of the literature. This paper is thus going to be organized into four parts: characterization of what we call a “plural epistemology”; origins and history of Documentation-Information training in Education; neighboring fields, complementary and identification of trends, paradigms and models dominant; documentary culture, Information-Documentation didactic and link with teaching of history.
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Frisch, muriel. "La didactique de l’Information-Documentation en France comme ressources pour l’enseignement : une histoire et une « épistémologie plurielle »". Didactica Historica 4, n.º 1 (2018): 1–10. http://dx.doi.org/10.33055/didacticahistorica.2018.004.01.87.long.

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Information-Documentation didactic in France as teaching resources: an history and a «plural epistemology». This text is based on our research Information-Documentation didactic. It focuses on the epistemological and historical dimensions developed in our Habilitation Thesis (2016) and uses a review of the literature. This paper is thus going to be organized into four parts: characterization of what we call a “plural epistemology”; origins and history of Documentation-Information training in Education; neighboring fields, complementary and identification of trends, paradigms and models dominant; documentary culture, Information-Documentation didactic and link with teaching of history.
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Huang, Sa. "L’article défini pluriel en français dans une perspective sémantico-cognitive". SHS Web of Conferences 191 (2024): 12009. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202419112009.

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Cette étude vise à proposer une nouvelle perspective sémantico-cognitive pour défendre la thèse d’unicité du défini pluriel tout en traitant la question de totalité de celui-ci. Nous supposons que la situation de totalité variée n’entrave pas la réalisation de l’unicité des individus définis pluriels dans la mesure où l’appréhension de la totalité plurielle devrait prendre en compte les facteurs cognitifs chez les humains. Les expressions définies impliquent d’abord un acte de référence qui se réalise entre le locuteur et l’interlocuteur. Ces deux participants discursifs entrent en ligne de compte pour donner une étiquette de « propriété identifiable » à une entité définie. Ainsi, la totalité du défini pluriel pourrait être conceptualisée à trois états à l’aide des aptitudes cognitives des humains. Concernant les N générique, la totalité est comprise et assurée d’une manière subjective ; quant à les N non générique, la totalité pourrait être envisagée d’une manière quantitative (totalité quantitative) ou qualitative (totalité qualitative). Et l’interlocuteur pourrait saisir mentalement la situation de totalité pertinente en fonction des informations mises en saillance dans le contexte d’énonciation. Dans cette optique, l’unicité pourrait être considérée comme une conséquence à la fois cognitive et sémantique de la procédure d’identification.
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Bazzana, Kevin y Ghyslaine Guertin. "Glenn Gould, Pluriel". Notes 45, n.º 4 (junio de 1989): 735. http://dx.doi.org/10.2307/941215.

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Torterat, Frédéric. "Notice bio-bibliographique de Pierre Vernet". Voix Plurielles 9, n.º 2 (25 de noviembre de 2012): 4–9. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v9i2.662.

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Cette notice établit une courte biographie de l'universitaire haïtien Pierre Vernet en fournissant des informations bibliographiques telles qu'elles ont pu être rassemblées dans le courant de l'année 2011. Elle ouvre le dossier de Voix Plurielles qui, à travers différents articles, rend hommage à notre collègue, homme de cœur et grand militant, disparu lors du séisme de janvier 2010.
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Constantinovici, Simona. "Sommelier d'eau. Quelques considérations sur le lexique des nouveaux métiers". Scientific Bulletin of the Politehnica University of Timişoara Transactions on Modern Languages 22, n.º 1 (15 de enero de 2024): 14–25. http://dx.doi.org/10.59168/mejd5836.

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Le profil néologique du roumain actuel comporte la présence d'un nombre considérable de mots qui envoient au champ sémantique des métiers. Pour le linguiste, il s’agit d’un territoire expectant, encore peu étudié, mais qui pourrait devenir fertile et incontournable dans l’avenir, à la lumière d’une approche plurielle. On se propose d’identifier et d’analyser ponctuellement quelques dénominations inédites, comme le syntagme sommelier d’eau, qui n’existaient pas autrefois au niveau du lexique roumain. Dans cette optique, les informations d’ordre étymologique pourraient devenir révélatrices pour toute leur conduite sémantique. On essayera d’observer dans quelle mesure les dictionnaires de termes récents réussissent à signaler ces transformations inouïes, souvent paradoxales, survenues dans le domaine du lexique.
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Alves da Cunha Marques, Angelica. "L’état de la recherche archivistique dans les masters et doctorats brésiliens (1972-2018)". La Gazette des archives 257, n.º 1 (2020): 121–36. http://dx.doi.org/10.3406/gazar.2020.5942.

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Cet article propose une analyse de la situation de la recherche sur les archives et l’archivistique au Brésil, en identifiant les lieux de la production scientifique et ses thèmes de recherche entre 1972 et 2018. À partir de la consultation dans une base de données brésilienne, sont trouvées six cent soixante-et-une thèses, mémoires et TCCs, qui ont été produits dans soixante-douze institutions et en quatre-vingt-six programmes de troisième cycle (masters et doctorats). La plupart de ces recherches ont été produites dans les institutions du centre sud, en programmes de science de l’information, en augmentation progressive depuis les années 2000. Leurs thèmes se sont concentrés sur les questions liées aux moyens professionnels des archives, à la gestion des services et des institutions archivistiques et à la perception sociale des archives, de l’archivistique et des archivistes. La diversité des conditions et des possibilités de recherche donnent des perspectives plurielles d’investigation sur la discipline et son objet d’étude dans le scénario brésilien, en dialogue avec l’international.
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Paone, Emanuela. "LA FORMAZIONE PLURILINGUE DI OPERATORI DELLA RISTORAZIONE E DEL TURISMO: ASPETTI METODOLOGICI E COMPITI DIDATTICI PER LA TELECOLLABORAZIONE". Italiano LinguaDue 16, n.º 2 (3 de enero de 2025): 961–81. https://doi.org/10.54103/2037-3597/27899.

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Questo contributo si propone di presentare un progetto, dedicato agli operatori del settore turistico, che combina l’intercomprensione orale con il Teletandem. Inoltre, mira a discutere le scelte metodologiche che hanno guidato la creazione di un syllabus task-based per la formazione linguistica in contesti professionali e a fornire strumenti operativi per stimolare i docenti a sperimentare in classe attività comunicative autentiche e aperte al plurilinguismo. L’elaborazione del syllabus è stata guidata dai descrittori di tre referenziali fondamentali: il Quadro Comune Europeo di Riferimento per le Lingue (QCER), il Référentiel de Compétences de Communication Plurilingue en Intercompréhension (REFIC), e il Cadre de Référence pour les Approches Plurielles des Langues et des Cultures (CARAP). Le attività proposte includono lo scambio di informazioni, il confronto e l’analisi, e compiti collaborativi volti alla creazione di contenuti digitali. Particolare attenzione viene data inoltre alla riflessione metapragmatica in un’ottica interculturale e allo sviluppo di strategie di interproduzione e mediazione. Plurilingual training for tourism professionals: methodological aspects and tasks for telecollaboration This contribution aims to present a project for professionals in the tourism sector that combines oral intercomprehension with Teletandem. Additionally, it seeks to discuss the methodological choices that guided the creation of a task-based syllabus for language training in professional contexts and to provide operational tools to encourage teachers to experiment in the classroom with authentic and plurilingual communicative activities. The development of the syllabus was guided by the descriptors of three key frameworks: the Common European Framework of Reference for Languages (CEFR), the Référentiel de Compétences de Communication Plurilingue en Intercompréhension (REFIC), and the Cadre de Référence pour les Approches Plurielles des Langues et des Cultures (CARAP). The proposed activities include information exchange, comparison and analysis, and collaborative tasks aimed at creating digital content. Special emphasis is also placed on metapragmatic reflection from an intercultural perspective, as well as on the development of interproduction and mediation strategies.
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Branca-Rosoff, Sonia y Anne Dister. "Genre grammatical et désignation des référents humains dans l’oral non planifié". Travaux de linguistique 84-85, n.º 1 (25 de julio de 2023): 173–90. http://dx.doi.org/10.3917/tl.084.0173.

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Cet article s’intéresse à l’emploi des genres grammaticaux pour les noms référant à des humains dans un oral non planifié. Notre analyse repose sur l’observation de sept heures de parole à partir du Corpus de français parlé parisien (CFPP2000, Branca et al. , 2012) et du Corpus de français parlé à Bruxelles (CFPB, Dister et Labeau, 2017), soit 1616 noms. Sur la base de 5 catégories que nous avons distinguées, nous montrons la répartition des emplois au masculin et au féminin, et l’importance des catégories renvoyant potentiellement autant à un homme qu’à une femme : épicènes (n=353), collectifs renvoyant à des groupes mixtes (n=506), noms à genre fixe comme personne , mais qui peuvent renvoyer indifféremment à un homme ou à une femme (n=51). Nous examinons ensuite le fonctionnement du masculin, en distinguant les emplois spécifiques et les emplois neutralisants, pour les noms à alternance du morphème flexionnel (n=300), et pour les noms épicènes masculins (n=82). Pour ces catégories, au pluriel, les emplois neutralisés représentent les trois quarts des usages. La catégorie sexuée est donc fréquemment neutralisée, en particulier grâce aux épicènes et à l’emploi du masculin pluriel. L’observation qualitative des corpus montre cependant que les informations sur le sexe des référents peuvent être réintroduites au fil du discours, quand le besoin s’en fait sentir. Les locuteurs peuvent sans « trouble » passer d’un épicène masculin, conçu comme englobant les deux sexes, à un féminin pour évoquer une personne spécifique.
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Fodjo, Kouakou Kouman. "La surdétermination du sens par l’emploi abusif de l’article défini pluriel dans la presse écrite ivoirienne". Voix Plurielles 10, n.º 2 (29 de noviembre de 2013): 393–407. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v10i2.873.

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Les règles d’usage de l’article défini n’empêchent pas des dérives dans l’utilisation qu’en font bien des usagers. Le cas de et dans la presse écrite ivoirienne augure d’une stratégie de communication. De fait, l’usage abusif de l’article défini pluriel participe de la construction du sens du fait de la surdétermination par généralisation qui en résulte, du diptyque objectivité/subjectivité. S’il y a un excès dans l’emploi du signe les sur toute signification assignable, c’est parce que le dit de l’écrit de presse est surtout surdéterminé. La surdétermination est le mécanisme même de production du sens. Cet art de la grandiloquence n’est pas neutre, surtout avec une information surenchérie. The rules governing the use of the definite article do not prevent formal deviations in the productions of many speakers and writers. The case of and in the Ivorian written media reveals itself as a strategy of communication. In fact, the overuse of the plural definite article contributes to the construction of meaning because of the over-determination by generalization resulting from it, and the diptych objectivity/subjectivity. If there is an excessive use of the sign les for all referable significations, it is because what is said in the writings of the press is particularly over-determined. Over-determination is the actual mechanism of meaning production. This art of grandiloquence is not neutral, especially with outbid information.
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Milanés, Vicente, Enrique Onieva, Joshué Pérez, Javier Simó, Carlos González y Teresa de Pedro. "MAKING TRANSPORT SAFER: V2V-BASED AUTOMATED EMERGENCY BRAKING SYSTEM". TRANSPORT 26, n.º 3 (5 de octubre de 2011): 290–302. http://dx.doi.org/10.3846/16484142.2011.622359.

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An important goal in the field of intelligent transportation systems (ITS) is to provide driving aids aimed at preventing accidents and reducing the number of traffic victims. The commonest traffic accidents in urban areas are due to sudden braking that demands a very fast response on the part of drivers. Attempts to solve this problem have motivated many ITS advances including the detection of the intention of surrounding cars using lasers, radars or cameras. However, this might not be enough to increase safety when there is a danger of collision. Vehicle to vehicle communications are needed to ensure that the other intentions of cars are also available. The article describes the development of a controller to perform an emergency stop via an electro-hydraulic braking system employed on dry asphalt. An original V2V communication scheme based on WiFi cards has been used for broadcasting positioning information to other vehicles. The reliability of the scheme has been theoretically analyzed to estimate its performance when the number of vehicles involved is much higher. This controller has been incorporated into the AUTOPIA program control for automatic cars. The system has been implemented in Citroën C3 Pluriel, and various tests were performed to evaluate its operation.
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Pelus-Kaplan, Marie-Louise, Gabrielle Chomentowski y Madalina Vartejanu-Joubert. "Les singularités du pluriel". Sociétés plurielles Épistémologies du pluriel, Introduction (1 de febrero de 2018). http://dx.doi.org/10.46298/societes-plurielles.2018.4245.

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International audience Für ihre zweite Thema-bezogene Nummer hat sich die Zeitschrift Sociétés plurielles entschieden, das Thema der Epistemologien der Mehrzahl, zu behandeln, die von einer Disziplin zur anderen stark unterschiedlich sein können. Sechs Artikel wurden angenommen, mit sehr verschiedenen Themen, die sich auf Soziologie, Philosophie, Anthropologie, Kunst, Wissenschaften der Information und der Kommunikation berufen.. Die Autoren behandeln das Paar Singular/Mehrzahl, oder Gleich/Verschieden sowohl auf der Universität wie in der Unternehmung oder noch auf dem Land, im Field der Kultur und der heutigen Photographie so wie in der Typologie der Anthropologie des frühen XX. Jahrhunderts. Alle behandeln dieFrage der Mehrzahl in unseren Gesellschaften mit ihren eigenen Werkzeugen und Fragestellungen. For its second thematic Issue, the Review Sociétés plurielles has chosen to deal about the Epistemologies of the Plural, which can be different according to the different Branches of Learning. Six Articles, dealing with various Topics, have been selected, appealing to Sociology, Philosophy, Anthropology, visual Arts, and Sciences of Information and Communication. The Authors are questioning the Duality Singular/Plural or Similar/Different at the University, in the Enterprise or in the rural World, in the Objects of cultural Consumption as well as in the Field of contemporary Photography, or in the Typology developed in early XXth Century Anthropology. All of them deal with the Question of the Plural in our Societies with their own Tools and Problematics. Pour son second numéro thématique, la revue Sociétés plurielles revient sur la notion de pluriel/ le et sur la manière dont cette notion a été ou estactuellement investie dans différentes disciplines. Six articles aux objets très variés, faisant appel à la sociologie, la philosophie, l’anthropologie, aux arts visuels et aux sciences de l’information et de la communication ont été retenus : les auteurs y questionnent le binôme singulier/pluriel ou semblable/dissemblable à l’université, dans l’entreprise, dans le milieu agricole, dans les biens de consommation culturelle, ou encore dans la photographie contemporaine, et dans la typologie de l’anthropologie du début du XXe siècle. Tous abordent la question du pluriel dansles sociétés avec leurs outils et thématiques propres.
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Bruneel, Emmanuelle. "A Semio-Communicational Analysis of Othering Social Plurality within the “Diversity’s Rhetoric” in the French Organizations’ Discourses". Sociétés plurielles Épistémologies du pluriel, Articles (1 de febrero de 2018). http://dx.doi.org/10.46298/societes-plurielles.2018.4251.

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International audience This article aims to report on the way «diversity’s contemporary rhetoric» is considering the issue of social plurality and, doing so, reconfiguresthe ins and outs. Its recurrent uses in different sorts of public discourses (the one about «corporate social and environmental responsibility») allows us to examine «diversity» in terms of what that concept intends to focus on. Our analysis is a political one and is situated within the field of information and communication sciences insofar as it aims to approach the mediations of «diversity» as a social concept.Thus, our intention is to seize the contemporary social sayings about «diversity» and to characterize the concept within its discursive and visual existence. Conveyed by several institutional discourses via expressions such as «promote», «respect» or even «include diversity», this formulation seems ambiguous. It appears as a desire to gather the plurality of all «differences» and it aims to represent the plurality ofsociety while trying not to separate different members who compose it. It includes several themes which are, moreover, equivocal: it is used in heterogeneous contexts to talk about anti-discrimination, tolerance, parity, anti-homophobia, or anti-sexism, anti-racism, disability, secularism, etc. Nevertheless, all these evocations crystallize the idea of variety, plurality, dissimilarities, and non-identity between all. We willquestion discourses which aim to reflect an enchanted «diversity» as rhetorical content according to a semiotic approach to discursive forms and editorial formats. We will be focusing on grasping what epistemology of the plural the French «diversity’s rhetoric» is dealing with. Wondering which kind of pluralities «diversity» is intended to represented, we will point out that it is a discursive modality supporting semantic positive themes such as «combating discrimination» and «promoting differences» and «otherness» and linked to a multicultural conception of society.Globally, we would like to show that the French «diversity’s rhetoric» qualifies the «plural being» of society in a way that renews social mechanisms stereotyping alterity. El objetivo de este trabajo es dar cuenta de la forma en la cual la noción de “diversidad” lleva en Francia a la cuestión del pluralismo social. Setrata de demostrar que la retórica de “la diversidad” configura los entresijos de las “diferencias” raciales. El empleo frecuente de la denominación “a diversidad” dentro de distintos discursos sociales que circulan en el espacio público francés (en particular los discursos de “responsabilidad social y ambiental”) permite examinar “la diversidad” en cuanto a lo que pretende representar. El análisis semiopolítico propuesto se sitúa en el campo de las Ciencias de la información y la comunicación y pretende hacerse carga de los refranes sociales y de las mediaciones de cuales “la diversidad” es objeto. Empleada en los discursos institucionales mediante expresiones tales como “promover”, “respetar” o incluso “incluir la diversidad”, esta formulación parece ambigua. Este concepto quiere recoger la pluralidad de todas las “diferencias” y representar la calidad plural y unificada de la sociedad. Los temas que incluye son, además, ambiguos: esta utilizada en contextos heterogéneos para hablar tanto delucha contra la discriminación, de tolerancia, de paridad, como de lucha contra la homofobia, el sexismo, o el racismo, también de discapacidad, de laicismo, etc. Sin embargo, todas estas evocaciones cristalizan una idea de variedad, de pluralidad, de diferencias entre cada uno. Queremos cuestionar los discursos que lo utilizan para reflejar una “diversidad” encantada y eufemista, según un enfoque semiológicoa formas discursivas y formatos editoriales que desarrollan la retórica francesa de “la diversidad”. Este enfoque permite de restituir lo que está en juego, al nivel comunicacional, con respecto a la epistemología del plural. Preguntándonos: “¿Que pluralidad «la diversidad» pretende representar?”, la vamos a ver como una modalidad discursiva de despolitización empleada para aludir positivamente a temas como la “lucha contra la discriminación”, las “diferencias” y la “alteridad” y como concepción multicultural de la sociedad. Globalmente, veremos que la retórica de“la diversidad” califica la “sociedad plural” de tal modo que vuelven los mecanismos sociales de estereotipia de la alteridad. L’objectif de cet article est de rendre compte de la manière dont la notion de « diversité » est utilisée en France afin de traiter de la problématiquede la pluralité sociale. Il s’agit en particulier de montrer en quoi la rhétorique de « la diversité » reconfigure les tenants et les aboutissants des questions relatives aux « différences » ethno-raciales. L’analyse de discours de « responsabilité sociétale et environnementale » (RSE) d’organisations qui la mobilisent permet d’interroger « la diversité » à l’aune de ce qu’elle entend représenter. L’analyse sémio-politique proposée s’inscrit en sciences de l’information et de la communication et vise à mettre au jour certaines énonciations sociales et certaines médiations dont « la diversité » fait l’objet. Mobilisée dans les discours institutionnels via des expressions telles que « promouvoir », « respecter » ouencore « inclure la diversité », cette formule ambiguë semble prendre en charge l’idée de pluralité « des différences » et dire la qualité plurielle mais unifiée de la société. Les thématiques qu’elle inclut sont, par ailleurs, équivoques : on l’emploie dans des contextes hétérogènes pour parler d’anti-discrimination, de tolérance, de parité, d’antihomophobie, d’antisexisme, d’antiracisme, de handicap, de laïcité, etc. Néanmoins, toutes ces évocations cristallisent l’idée de variété, de pluralité, de dissemblances, de non-identité des uns et des autres. Des discours qui l’emploient émane une teneur enchantée mais aussi euphémique que l’on tentera de saisir à partir d’une approche sémiologique des formes discursives etdes formats éditoriaux qui font exister cette rhétorique de « la diversité ». Cette approche permet de resituer ce qui s’y joue, sur le plan communicationnel, en matière d’épistémologie du pluriel. En se demandant : « Quelle pluralité la notion de «diversité» ainsi mobilisée entend-elle représenter ? », on en arrive à l’envisager comme une modalité discursive dépolitisante utilisée pour évoquerpositivement des thèmes tels que « la lutte contre les discriminations », les « différences » et « l’altérité » et comme une conception multiculturaliste de la société. Globalement, cette rhétorique de « la diversité » opère une qualification de « l’être pluriel de la société française » propre à réenclencher des mécanismes sociaux de stéréotypie de l’altérité.
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Imsil, Niparat. "L’alphabet latin comme moyen de mobilisation du plurilinguisme chez les étudiants thaïlandais en langues étrangères". Didactique(s), plurilinguisme(s), mondialisation(s)(1) 1 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/11q9v.

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En 2018, le gouvernement thaïlandais a lancé une politique reposant sur les compétences en communication en anglais et en troisième langue des citoyens du pays. Depuis son lancement, les établissements scolaires et universitaires bénéficient d’une grande liberté pour diversifier leurs programmes de langues étrangères. Les apprenants thaïlandais peuvent choisir librement d’apprendre des langues dans leur école ou université. L’anglais jouit d’un statut privilégié en en tant que langue obligatoire pour tous les apprenants du niveau primaire au niveau universitaire. Ils ont également la possibilité d'apprendre une ou deux langues étrangères comme cours majeurs ou optionnels. Le français occupe actuellement la troisième place parmi les langues étrangères du pays, derrière l’anglais et le chinois mandarin (Ambassade de France en Thaïlande, 2021). En donnant des cours de français à l’université, nous nous intéressons depuis plusieurs années au plurilinguisme des étudiants en langues thaïlandais, et plus particulièrement au rôle joué par leur « expérience antérieure » – au sens que donnent Bono (2008) et Markey (2009) à ce terme – d’une ou de plusieurs langues étrangères dans leur apprentissage d’une nouvelle langue étrangère. Cet article fait partie de notre recherche intitulée « Utilisation de l’anglais dans l’apprentissage du français chez les étudiants de français de l’université Naresuan ». L’objectif principal de cette recherche est de mettre en lumière la façon dont des étudiants thaïlandais mobilisent leurs ressources plurilingues dans l’apprentissage du français comme langue étrangère. Il nous semble en effet essentiel de découvrir les « modalités d’appropriation inscrites dans une logique plurielle » afin d’aider les apprenants, comme le formulent très bien Castellotti et Moore, « à apprendre dans la pluralité » (2011 : 250). Nous remarquons que l’alphabet latin est utilisé très souvent par nos étudiants. Quels usages de l’alphabet latin sont utilisés ? Et quels rôles jouent ces usages dans l’apprentissage de nouvelles langues étrangères ?Pour obtenir les informations nécessaires à notre travail, nous avons privilégié une approche qualitative et interprétative. Nous avons, dans un premier temps, analysé les productions écrites du niveau B1 des étudiants en français de deuxième année dans le cours French Reading and Writing II. Nous avons également effectué des entretiens oraux afin de mieux connaître leurs perceptions et leur manière de mobiliser leur plurilinguisme, en particulier l’anglais, pendant leur apprentissage des langues à l’université. L’analyse des données montre que l’alphabet latin joue un rôle très important et est largement utilisé. Il l’est en premier lieu pour la prononciation de la nouvelle langue, ensuite pour la solution des problèmes lexicaux, puis pour la connaissance culturelle, et enfin comme remédiation à l’insécurité linguistique des étudiants. La modalité d’appropriation d’une nouvelle langue étrangère confirme le fait que les répertoires linguistiques pluriels des étudiants sont, com me le soulignent Candelier et Castellotti, « un principe cognitif qui leur permet d’apprendre, de construire d’autres concepts et de les construire autrement » (2013 : 204).
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Chih, Zineb y Chihab Besra. "Le Lieu:, Carrefour Des Identités Plurielles Dans Le Village De L’allemand De Boualem Sansal". مجلة الواحات للبحوث والدراسات, 2022, 1583. http://dx.doi.org/10.54246/1548-015-002-085.

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Lessault, David, Brenda Le Bigot, Marème Niang, Sébastien Fleuret, Mohamadou Samb, Caroline Cira, Papa Sakho, Ndeye Fatou Sarr y Jordan Pinel. "Enquêter en terrain cosmopolite au Sénégal". Carnets de géographes 18 (2024). https://doi.org/10.4000/12sv1.

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Resumen
Dans cet article nous nous interrogeons, à partir d’une expérience de terrain partagée au Sénégal en octobre 2022, sur les implications méthodologiques du caractère collectif et international d’une recherche en géographie. Le projet CIRCUS est mené en collaboration entre l’université d’Angers en France et l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar au Sénégal. La mixité de l’équipe a été pensée en amont du projet comme une condition visant à dépasser certaines limites d’accès à des lieux a priori fermés et à des populations méfiantes dans un contexte local de relations sociales ambigües et asymétriques. Dans un espace touristique d’un pays du Sud en pleine mutation comme la ville de Saly, le·la chercheur·e peut rapidement être dérouté.e par la complexité des rapports à l’espace, l’hybridation et/ou le cloisonnement des pratiques d’une population devenue cosmopolite et poursuivant des intérêts souvent divergents. L’enquête et les observations par binômes franco-sénégalais visait une meilleure couverture sociale et spatiale du terrain. Finalement, cette recherche d’efficacité dans le recueil des matériaux et des informations aboutit à interroger la posture du·de la chercheur·e sur le terrain et à redessiner, sous l’effet d’un regard pluriel, les contours de la problématique initiale du projet.
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Simon, Lionel, Lucienne Strivay, Bernard Charlier y Séverine Lagneaux. "Animaux". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.054.

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Resumen
« Qu'est-ce que l'animal ? Voilà une de ces questions dont on est d'autant plus embarrassé, qu'on a plus de philosophie et plus de connoissance de l'histoire naturelle. (…) Une définition de l’animal sera trop générale, ou ne sera pas assez étendue, embrassera des êtres qu'il faudroit peut-être exclure, et en exclura d'autres qu'elle devroit embrasser. Plus on examine la nature, plus on se convainc que pour s'exprimer exactement, il faudroit presqu'autant de dénominations différentes qu'il y a d'individus, et que c'est le besoin seul qui a inventé les noms généraux » (Diderot 1751). La diversité des formes physiologiques, des comportements individuels ou collectifs et des modalités des relations hommes-animaux montre qu’il n’y a pas d’animal type mais plutôt une tension entre un pullulement de signifiés et un signifiant trop générique. Le pluriel s’impose dès lors que l’on maintient la catégorie. Non seulement elle ne dispose pas partout d’une traduction mais surtout, quand elle existe, les référents auxquels elle renvoie selon les contextes ethnographiques sont susceptibles de variations considérables et significatives. Dans la plupart des dictionnaires ethnologiques et anthropologiques, on trouve rarement une entrée « animal/animaux ». Les informations relatives aux animaux sont dispersées dans des articles traitant des catégories matérielles et/ou idéelles. Il est pourtant indéniable que la nature comme les animaux ont toujours fait partie du champ de l’anthropologie. L. H. Morgan, par exemple, a écrit son livre sur la parenté et les structures politiques parmi les Iroquois en même temps que son étude The American Beaver and his Works (1868). Aucune communauté humaine ne s’est développée indépendamment des échanges avec les animaux. C’est pourquoi, depuis la fin du XXe siècle, l’exploration des relations entre les hommes et les animaux s’est instituée en disciplines et en domaines de recherche spécialisés. Les animaux forment un point de bouillonnement actuel de l’anthropologie : avec ses frontières poreuses, le concept constitue un révélateur, un lieu de croisement des savoirs et de déplacement intéressant des perspectives. L’étude des relations hommes-animaux soulève des questions à la fois éthiques, épistémologiques et politiques ainsi qu’en témoignent les travaux de Haraway (2006, 2007, 2010). Elles étaient ainsi clairement perceptibles dans l’anthropologie physique. Dès son origine au XVIIIe siècle, l’étude de la parenté entre les vivants s’est conjuguée à une hiérarchisation des espèces et des races. Tout l’enjeu, aujourd’hui encore, vise à interroger l’exception humaine pour envisager plutôt les hommes parmi les vivants et ce sans amalgame. Ce qui importe serait davantage le respect de la prolifération des singularités respectives et des formes complexes d’hybridation sociale et de coévolution. Les animaux investissent de nombreuses sphères de la vie publique et privée. Ces contacts sont historiques, formulés contextuellement dans le temps et dans l’espace. Ainsi, que l’a souligné Ingold (2000), les hommes et les animaux partagent un passé phylogénétique et des modalités de mémoire qui émanent de ces histoires communes. Le développement contigu des recherches éthologiques sur les communications animales et les usages d’outils, les formes de transmission, les stratégies sociales bousculent la construction des frontières du langage et de la culture au point d’engager la réflexion vers une ethno-éthologie. Ce tournant qualifié d’animaliste ne peut être séparé ni des questions traitées par les sciences studies ni du déploiement de l’anthropologie de la nature (voir, par exemple, Descola, 2005). Par ailleurs, ce déplacement s’opère tout autant dans les formes du vivre ensemble pratiquées au cœur des sociétés dites « modernes ». En témoignent, notamment, les controverses suscitées par l’entrée de certains non humains dans des domaines de compétence – juridiques, éthiques, politiques… – réservés, jusqu’à récemment, à la seule sphère d’activité des humains (par exemple, les débats autour du bien-être des animaux ou des politiques de réintégration d’espèces sauvages dans des lieux d’où elles avaient disparus). Les binômes fondateurs sujet/objet et nature/culture, dont sont dénoncés respectivement la force de réification et l’ethnocentrisme font place à l’examen des modalités fluctuantes de leurs enchevêtrements et se voient, souvent, substituer l’analyse des interactions entre humains et non-humains. Les animaux (mais aussi les plantes, les pierres, les météores, les esprits, les artefacts …) se trouvent donc au départ d’un décentrement fondamental du champ ethno-anthropologique. Classiquement, l’ethnologie a étudié les usages humains des animaux à travers la chasse, la pêche, la domestication, le pastoralisme, les rituels, le symbolisme, etc. Tout fait ressource. Rien ne se perd, tout se transforme depuis les excréments jusqu’aux ongles, la chair, la graisse, le sang, les tendons, les os, les dents, le cuir, la fourrure, la laine, les plumes, les élytres, les écailles, la force, la présence, l’agilité, les sens, les humeurs, les sons, etc. Mais les formes du traitement technique, ainsi que le suggèrent A-G. Haudricourt (1962) pour les plantes et les animaux et P. Lemonnier (2012) pour les Mundane Objects permettent d’interroger, par homologie, les formes du traitement d’autrui. Aujourd’hui, les approches interspécifiques et interactionnistes se déploient, rendant visibles des relations multiformes co-construites éminemment plastiques telles qu’elles se manifestent, par exemple, au travers des attachements entre les éleveurs et leur bétail (Despret, Porcher, 2007; Stepanoff, 2012). Tandis que, à titre d’exemple parmi tant d’autres possibles, les modes utilitaristes de réification, de marchandisation, de spécialisation des fabrications du vivant (sélection des races, création d’OGM, etc.) s’intensifient dans les sociétés hyper techniciennes, les controverses éthiques et juridiques peinent à établir un consensus autour du statut de « l’animal ». Or c’est précisément la considération simultanée des différences et des ressemblances, celle des interstices, des distances et proximités critiques, des tensions et tiraillements qui rendent les questions animales si riches aux yeux des ethnologues (Brunois, 2007; Mougenot, Strivay, 2011). Car en effet, en dépit de et avec ces écarts, les hommes et les animaux continuent d’interagir dans des mondes partagés.
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Dunoyer, Christiane. "Monde alpin". Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.101.

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Après avoir été peint et décrit avec des traits plus pittoresques qu’objectifs par les premiers voyageurs et chercheurs qui traversaient les Alpes, mus tantôt par l’idée d’un primitivisme dont la difformité et la misère étaient l’expression la plus évidente, tantôt par la nostalgie du paradis perdu, le monde alpin a attiré le regard curieux des folkloristes à la recherche des survivances du passé, des anciennes coutumes, des proverbes et des objets disparus dans nombre de régions d’Europe. Au début du XXe siècle, Karl Felix Wolff (1913) s’inspire de la tradition des frères Grimm et collecte un nombre consistant de légendes ladines, avec l’objectif de redonner une nouvelle vie à un patrimoine voué à l’oubli. Tout comme les botanistes et les zoologues, les folkloristes voient le monde alpin comme un « merveilleux conservatoire » (Hertz 1913 : 177). Un des élèves les plus brillants de Durkheim, Robert Hertz, analyse finement ces « formes élémentaires de la vie religieuse » en étudiant le pèlerinage de Saint Besse, qui rassemble chaque année les populations de Cogne (Vallée d’Aoste) et du Val Soana (Piémont) dans un sanctuaire à la montagne situé à plus de 2000 mètres d’altitude. Après avoir observé et questionné la population locale s’adonnant à ce culte populaire, dont il complète l’analyse par des recherches bibliographiques, il rédige un article exemplaire (Hertz 1913) qui ouvre la voie à l’anthropologie alpine. Entre 1910 et 1920, Eugénie Goldstern mène ses enquêtes dans différentes régions de l’arc alpin à cheval entre la France, la Suisse et l’Italie : ses riches données de terrain lui permettent de réaliser le travail comparatif le plus complet qui ait été réalisé dans la région (Goldstern 2007). Une partie de sa recherche a été effectuée avec la supervision de l’un des fondateurs de l’anthropologie française et l’un des plus grands experts de folklore en Europe, Arnold Van Gennep. Pour ce dernier, le monde alpin constitue un espace de prédilection, mais aussi un terrain d’expérimentation et de validation de certaines hypothèses scientifiques. « Dans tous les pays de montagne, qui ont été bien étudiés du point de vue folklorique […] on constate que les hautes altitudes ne constituent pas un obstacle à la diffusion des coutumes. En Savoie, le report sur cartes des plus typiques d’entre elles montre une répartition nord-sud passant par-dessus les montagnes et les rivières et non pas conditionnée par elles » (Van Gennep 1990 : 30-31). L’objectif de Van Gennep est de comprendre de l’intérieur la « psychologie populaire », à savoir la complexité des faits sociaux et leur variation. Sa méthode consiste à « parler en égal avec un berger » (Van Gennep 1938 : 158), c’est-à-dire non pas tellement parler sa langue au sens propre, mais s’inscrire dans une logique d’échange actif pour accéder aux représentations de son interlocuteur. Quant aux nombreuses langues non officielles présentes sur le territoire, quand elles n’auraient pas une fonction de langue véhiculaire dans le cadre de l’enquête, elles ont été étudiées par les dialectologues, qui complétaient parfois leurs analyses des structures linguistiques avec des informations d’ordre ethnologique : les enseignements de Karl Jaberg et de Jakob Jud (1928) visaient à associer la langue à la civilisation (Wörter und Sachen). Dans le domaine des études sur les walsers, Paul Zinsli nous a légué une synthèse monumentale depuis la Suisse au Voralberg en passant par l’Italie du nord et le Liechtenstein (Zinsli 1976). Comme Van Gennep, Charles Joisten (1955, 1978, 1980) travaille sur les traditions populaires en réalisant la plus grande collecte de récits de croyance pour le monde alpin, entre les Hautes-Alpes et la Savoie. En 1973, il fonde la revue Le monde alpin et rhodanien (qui paraîtra de 1973 à 2006 en tant que revue, avant de devenir la collection thématique du Musée Dauphinois de Grenoble). Si dans l’après-guerre le monde alpin est encore toujours perçu d’une manière valorisante comme le reliquaire d’anciens us et coutumes, il est aussi soumis à la pensée évolutionniste qui le définit comme un monde arriéré parce que marginalisé. C’est dans cette contradiction que se situe l’intérêt que les anthropologues découvrent au sein du monde alpin : il est un observatoire privilégié à la fois du passé de l’humanité dont il ne reste aucune trace ailleurs en Europe et de la transition de la société traditionnelle à la société modernisée. En effet, au début des années 1960, pour de nombreux anthropologues britanniques partant à la découverte des vallées alpines le constat est flagrant : les mœurs ont changé rapidement, suite à la deuxième guerre mondiale. Cette mutation catalyse l’attention des chercheurs, notamment l’analyse des relations entre milieu physique et organisation sociale. Même les pionniers, s’ils s’intéressent aux survivances culturelles, ils se situent dans un axe dynamique : Honigmann (1964, 1970) entend démentir la théorie de la marginalité géographique et du conservatisme des populations alpines. Burns (1961, 1963) se propose d’illustrer la relation existant entre l’évolution socioculturelle d’une communauté et l’environnement. Le monde alpin est alors étudié à travers le prisme de l’écologie culturelle qui a pour but de déterminer dans quelle mesure les caractéristiques du milieu peuvent modeler les modes de subsistance et plus généralement les formes d’organisation sociale. Un changement important a lieu avec l’introduction du concept d’écosystème qui s’impose à partir des années 1960 auprès des anthropologues penchés sur les questions écologiques. C’est ainsi que le village alpin est analysé comme un écosystème, à savoir l’ensemble complexe et organisé, compréhensif d’une communauté biotique et du milieu dans lequel celle-ci évolue. Tel était l’objectif de départ de l’étude de John Friedl sur Kippel (1974), un village situé dans l’une des vallées des Alpes suisses que la communauté scientifique considérait parmi les plus traditionnelles. Mais à son arrivée, il découvre une réalité en pleine transformation qui l’oblige à recentrer son étude sur la mutation sociale et économique. Si le cas de Kippel est représentatif des changements des dernières décennies, les différences peuvent varier considérablement selon les régions ou selon les localités. Les recherches d’Arnold Niederer (1980) vont dans ce sens : il analyse les Alpes sous l’angle des mutations culturelles, par le biais d’une approche interculturelle et comparative de la Suisse à la France, à l’Italie, à l’Autriche et à la Slovénie. John Cole et Eric Wolf (1974) mettent l’accent sur la notion de communauté travaillée par des forces externes, en analysant, les deux communautés voisines de St. Felix et Tret, l’une de culture germanique, l’autre de culture romane, séparées par une frontière ethnique qui fait des deux villages deux modèles culturels distincts. Forts de leur bagage d’expériences accumulées dans les enquêtes de terrain auprès des sociétés primitives, les anthropologues de cette période savent analyser le fonctionnement social de ces petites communautés, mais leurs conclusions trop tributaires de leur terrain d’enquête exotique ne sont pas toujours à l’abri des généralisations. En outre, en abordant les communautés alpines, une réflexion sur l’anthropologie native ou de proximité se développe : le recours à la méthode ethnographique et au comparatisme permettent le rétablissement de la distance nécessaire entre l’observateur et l’observé, ainsi qu’une mise en perspective des phénomènes étudiés. Avec d’autres anthropologues comme Daniela Weinberg (1975) et Adriana Destro (1984), qui tout en étudiant des sociétés en pleine transformation en soulignent les éléments de continuité, nous nous dirigeons vers une remise en cause de la relation entre mutation démographique et mutation structurale de la communauté. Robert Netting (1976) crée le paradigme du village alpin, en menant une étude exemplaire sur le village de Törbel, qui correspondait à l’image canonique de la communauté de montagne qu’avait construite l’anthropologie alpine. Pier Paolo Viazzo (1989) critique ce modèle de la communauté alpine en insistant sur l’existence de cas emblématiques pouvant démontrer que d’autres villages étaient beaucoup moins isolés et marginaux que Törbel. Néanmoins, l’étude de Netting joue un rôle important dans le panorama de l’anthropologie alpine, car elle propose un nouvel éclairage sur les stratégies démographiques locales, considérées jusque-là primitives. En outre, sur le plan méthodologique, Netting désenclave l’anthropologie alpine en associant l’ethnographie aux recherches d’archives et à la démographie historique (Netting 1981) pour compléter les données de terrain. La description des interactions écologiques est devenue plus sophistiquée et la variable démographique devient cruciale, notamment la relation entre la capacité de réguler la consistance numérique d’une communauté et la stabilité des ressources locales. Berthoud (1967, 1972) identifie l’unité de l’aire alpine dans la spécificité du processus historique et des différentes trajectoires du développement culturel, tout en reconnaissant l’importance de l’environnement. C’est-à-dire qu’il démontre que le mode de production « traditionnel » observé dans les Alpes n’est pas déterminé par les contraintes du milieu, mais il dérive de la combinaison d’éléments institutionnels compatibles avec les conditions naturelles (1972 : 119-120). Berthoud et Kilani (1984) analysent l’équilibre entre tradition et modernité dans l’agriculture de montagne dans un contexte fortement influencé par le tourisme d’hiver. Dans une reconstruction et analyse des représentations de la montagne alpine depuis la moitié du XVIIIe siècle à nos jours, Kilani (1984) illustre comment la vision du monde alpin se dégrade entre 1850 et 1950, au fur et à mesure de son insertion dans la société globale dans la dégradation des conditions de vie : il explique ainsi la naissance dans l’imaginaire collectif d’une population primitive arriérée au cœur de l’Europe. Cependant, à une analyse comparative de l’habitat (Weiss 1959 : 274-296 ; Wolf 1962 ; Cole & Wolf 1974), de la dévolution patrimoniale (Bailey 1971 ; Lichtenberger 1975) ou de l’organisation des alpages (Arbos 1922 ; Parain 1969), le monde alpin se caractérise par une surprenante variation, difficilement modélisable. Les situations de contact sont multiples, ce qui est très évident sur le plan linguistique avec des frontières très fragmentées, mais de nombreuses autres frontières culturelles européennes traversent les Alpes, en faisant du monde alpin une entité plurielle, un réseau plus ou moins interconnecté de « upland communities » (Viazzo 1989), où les éléments culturels priment sur les contraintes liées à l’environnement. Aux alentours de 1990, la réflexion des anthropologues autour des traditions alpines, sous l’impulsion de la notion d’invention de la tradition, commence à s’orienter vers l’étude des phénomènes de revitalisation (Boissevain 1992), voire de relance de pratiques ayant subi une transformation ou une rupture dans la transmission. Cette thèse qui a alimenté un riche filon de recherches a pourtant été contestée par Jeremy MacClancy (1997) qui met en avant les éléments de continuité dans le culte de Saint Besse, presqu’un siècle après l’enquête de Robert Hertz. La question de la revitalisation et de la continuité reste donc ouverte et le débat se poursuit dans le cadre des discussions qui accompagnent l’inscription des traditions vivantes dans les listes du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
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