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CHEMINEAU, P., B. MALPAUX, J. P. BRILLARD y A. FOSTIER. "Saisonnalité de la reproduction et de la production chez les poissons, oiseaux et mammifères d’élevage". INRAE Productions Animales 22, n.º 2 (15 de febrero de 2009): 77–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.2.3336.

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Resumen
Les diverses productions issues d’animaux d’élevage sont fréquemment saisonnières, et par là même leur disponibilité en produits frais sur les marchés (viandes, lait et fromages, oeufs). Ceci relève, en partie, de la décision de l’éleveur qui vise à commercialiser ses produits à la période la plus favorable. Cette saisonnalité peut être aussi imposée par l’accès à des ressources alimentaires saisonnières, comme chez les herbivores, ou par des contraintes biologiques spécifiques, comme celle de la température de l’eau pour les poissons. Les variations saisonnières de la disponibilité en produits animaux sont aussi la conséquence de contraintes résultant d’une saison de reproduction plus ou moins marquée des animaux d’élevage qu’il s’agisse de poissons, d’oiseaux ou de mammifères. Sous des latitudes moyennes et hautes, la plupart des animaux d’élevage, comme leurs «cousins» sauvages, donnent en effet naissance à leurs petits en fin d’hiver et/ou au début du printemps, période souvent la plus favorable pour la survie des jeunes et la mise en place d’une nouvelle génération. En conséquence, la plupart des espèces manifestent des variations saisonnières de la fréquence d’ovulation (présence ou absence d’ovulations chez les mammifères et les poissons ; variations ou suppression des taux de ponte chez les oiseaux), de la qualité des gamètes (variations des taux de fécondation et de survie embryonnaire), mais aussi du comportement sexuel. Parmi les espèces d’intérêt en production animale, les oiseaux et les poissons sont généralement considérés comme plus directement sensibles aux facteurs externes (majoritairement température, mais aussi photopériode, pour les poissons et photopériode pour les oiseaux). Cependant, chez de nombreuses espèces incluant des mammifères, il est intéressant de constater que des traitements photopériodiques artificiels consistant en un éclairement supplémentaire pendant les jours courts naturels (chez le poulet, la dinde, la pintade, le mouton et la chèvre) ou de la mélatonine pendant les jours longs (chez le mouton et la chèvre), sont utilisés largement pour ajuster la période de reproduction aux souhaits de l’éleveur et/ou pour abolir complètement les variations saisonnières de la production spermatique dans les centres producteurs de semence destinée à l’insémination artificielle (mammifères), et dans les élevages (volaille, poissons). Par ailleurs, des traitements photopériodiques « purs » (sans mélatonine), en particulier lorsqu’ils sont appliqués en bâtiments ouverts, sont non invasifs et donc respectent pleinement le bien-être animal.
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Nyom, Arnold Roger Bitja, Samuel Didier Njom, Hermann Igor Kitio y Charles Félix Bilong Bilong. "Diversité de l’ichtyofaune de la rivière Djerem : impact du barrage de Mbakaou et enjeux pour la conservation des poissons dans le Parc National du Mbam et Djerem (Cameroun)". International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, n.º 5 (14 de septiembre de 2020): 1520–35. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i5.3.

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Resumen
L’anthropisation intensive du bassin de la Sanaga impose une accélération des recherches sur la biodiversité et la conservation de ses ressources aquatiques. Dans ce contexte, l’ichtyofaune d’un segment du fleuve Djerem a été étudiée en vue d’identifier les déterminants environnementaux de sa distribution et de sa conservation. Trois stations situées respectivement en amont de la retenue d’eau de Mbakaou, au milieu de ce réservoir et en aval dans le Parc National du Mbam et Djérem (PNMD) ont été retenues pour ce travail. A la suite de l’échantillonnage par pêche d’avril à octobre 2015, l’étude taxonomique des poissons et de leurs habitats a révélé la présence de 44 espèces appartenant à 28 genres et à 13 familles. L’ichtyofaune du PNMD s’est montrée la plus diversifiée (33 espèces), dépourvue d’espèces invasives, avec une prédominance d’invertivores (50,3%) et de pondeurs sur substrats divers (60,9%). Celle du réservoir de Mbakaou a été la moins diversifiée (12 espèces), avec quatre espèces introduites devenues invasives et une prédominance d’herbivores / détritivores (65,9%). Onze espèces endémiques ont suscité un intérêt pour d’éventuels programmes de conservation des poissons dans le PNMD à cause de leurs habitats restreints et sensibles tandis que 13 autres, toujours endémiques et connues du bassin de la Sanaga, n’ont pas été retrouvées dans la zone étudiée.Mots clés : Sanaga supérieur, poissons, espèces endémiques, espèces invasives, habitats, gestion. English Title: Diversity of the Djerem River ichthyofauna: impact of Mbakaou regulation dam and challenges for fish conservation in the Mbam and Djerem National Park (Cameroun)The intensive anthropization of the Sanaga river basin requires to accelerate research on biodiversity and conservation of its aquatic resources. In this context, the ichthyofauna of a part of the Djerem River has been studied with the aim to know its diversity and identify environmental factors that determine its distribution and conservation. Three stations were sampled from April to October 2015, they were located respectively upstream of the Mbakaou water reservoir, in the Mbakaou reservoir and downstream in the Mbam et Djerem National Park (PNMD). The Fish inventory followed by a taxonomic study and that of their habitats revealed the presence of 44 species belonging to 28 genera and 13 families. The ichthyofauna of PNMD with highest specific richness (33 species) was also devoid of invasive species, with a predominance of invertivorous (50,3%) and substratum egg-scatters (60,9%). The ichtyofauna of the reservoir with lowest specific richness (12 species) contained also four alien species, with a predominance of herbivores / detritivores (65,9%). 11 endemic species were concerned by the possible fish conservation programs in the PNMD due to their restricted and sensitive habitats while 13 other endemic species known from the Sanaga River basin were wanted in the study area.Keywords: Upper Sanaga, fish, endemic species, invasive species, habitats, management
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Cantegrel, Renaud, Benoît Renaux y Laurent Lathuillière. "Le Pin à crochets Arverne, ou l’indigénat de Pinus uncinata Ram. dans les montagnes d’Auvergne". Revue forestière française 74, n.º 4 (11 de diciembre de 2023): 429–48. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2023.7897.

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Resumen
Les tourbières boisées du Massif central participent à divers habitats prioritaires du réseau Natura 2000. Or quatre d’entre elles comportent du Pin à crochets, considéré comme anciennement introduit d’après certaines analyses polliniques. À l’issue d’une approche pluridisciplinaire les auteurs apportent la preuve de l’indigénat de Pinus uncinata sur les tourbières de la Barthe (monts Dore) et de la Pigne (monts du Forez). Ils prouvent à l’inverse que le Pin à crochets n’apparaît sur les stations tourbeuses de Margeride qu’au milieu du XXe siècle par ensemencement naturel à partir d’anciens boisements artificiels situés à la périphérie des sources du Pontajou (Haute-Loire) et de la Fouon de la Bique (Lozère). Messages clés :• Les tourbières boisées à Pinus uncinata ne constituent pas toutes des habitats naturels dans le Massif central.• Différentes investigations et archives prouvent l’indigénat du Pin à crochets seulement sur les tourbières de la Barthe (monts Dore) et de la Pigne (monts du Forez).
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Mingelbier, Marc, Yves Paradis, Philippe Brodeur, Véronik de la Chenelière, Frédéric Lecomte, Daniel Hatin y Guy Verreault. "Gestion des poissons d’eau douce et migrateurs dans le Saint-Laurent : mandats, enjeux et perspectives". Le Naturaliste canadien 140, n.º 2 (2 de junio de 2016): 74–90. http://dx.doi.org/10.7202/1036506ar.

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Resumen
Bien que la pêche soit très présente dans la culture québécoise, la gestion et la conservation des poissons d’eau douce et des poissons migrateurs du Saint-Laurent sont peu connues du public. L’objectif de cet article est de présenter les acteurs, le cadre législatif et les pratiques de gestion applicables à ces espèces dans les eaux douces et saumâtres du Saint-Laurent. La croissance des usages du territoire québécois, déjà nombreux, génère des pressions grandissantes sur la faune et les habitats du Saint-Laurent. Cette réalité force à sortir des modèles classiques de gestion et à recourir à des approches globales nécessitant de protéger des habitats multi spécifiques plutôt qu’une espèce en particulier, et d’impliquer des intervenants provenant, entre autres, des domaines agricole, industriel et municipal. Dans le futur, les principaux défis consisteront à rassembler les acteurs liés au Saint-Laurent autour des cibles communes de restauration et de mise en valeur, de maintenir une expertise de pointe et de continuer à appuyer la gestion de la faune aquatique sur des données scientifiques rigoureuses. Dans un contexte de changements climatiques, où la menace liée aux espèces exotiques envahissantes et les pressions de diverses natures sont exercées sur les habitats, il sera primordial d’appliquer une gestion proactive en déployant les mesures nécessaires dès que l’état de situation d’une espèce le suggérera. L’état précaire de certaines populations, comme la perchaude du lac Saint-Pierre, doit d’ailleurs être interprété comme un indicateur parmi d’autres de la détérioration de certaines fonctions de l’écosystème exceptionnel que représente le Saint-Laurent et des défis qui devront être relevés dans le futur. Tous les défis ne sont cependant pas associés à des situations de déclins. Les exemples de la réintroduction du bar rayé et du rétablissement de l’esturgeon jaune démontrent, lorsque des mesures de gestion adéquates sont prises, que le système peut être résilient et que le futur peut être prometteur.
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Staentzel, Cybill, Isabelle Combroux, Agnès Barillier, Laurent Schmitt, Valentin Chardon, Alain Garnier y Jean-Nicolas Beisel. "Réponses des communautés biologiques à des actions de restauration de grands fleuves (Vieux Rhin, France)". La Houille Blanche, n.º 2 (abril de 2018): 99–106. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2018024.

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Au cours des deux derniers siècles, l'hydrosystème du Rhin Supérieur a été soumis à des travaux hydrauliques importants. Ces aménagements ont entraîné des pertes de fonctionnalité écologique notamment dans le Vieux Rhin, un tronçon résiduel rectifié de 50 km localisé en aval du barrage de Kembs. Pour pallier ces déficits fonctionnels, plusieurs actions de restauration ont été menées : (i) une augmentation du débit réservé, (ii) des injections sédimentaires, et (iii) une érosion maîtrisée avec implantation d'épis transversaux artificiels. L'érosion maîtrisée a consisté à favoriser l'érosion naturelle de la berge afin d'augmenter le transport solide et diversifier les habitats naturels. L'objectif de l'étude a été de caractériser sur trois ans les réponses de la végétation alluviale et des macro-invertébrés à ce type de restauration. Les résultats obtenus via une analyse des zones témoins versus restaurées, montrent (i) un gain en hétérogénéité d'habitats naturels, (ii) un retour des milieux pionniers, et (ii) une augmentation de la richesse en espèces floristiques/faunistiques inféodées à des substrats fins. Le rôle majeur des crues, à l'origine du transport solide et de la dynamique des habitats restaurés, a aussi été mis en évidence. Afin d'évaluer au mieux les réponses biologiques, il est important de considérer que le fonctionnement de l'hydrosystème résulte de la combinaison des effets de la restauration avec d'autres déterminants tels que les invasions biologiques. En effet, les nouvelles niches écologiques peuvent favoriser l'installation d'espèces invasives dont l'impact peut être structurant (réseau trophique) sur la biodiversité nouvellement créée.
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Hery, Lyza, Antoine Boullis y Anubis Vega-Rúa. "Les propriétés biotiques et abiotiques des gîtes larvaires d’Aedes aegypti et leur influence sur les traits de vie des adultes (synthèse bibliographique)". BASE, n.º 1 (2021): 57–71. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.18886.

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Introduction. Le moustique Aedes aegypti, vecteur majeur d’arbovirus, se développe dans un large panel de réservoirs artificiels en zone urbaine. Ces gîtes larvaires sont exposés à des conditions biotiques et abiotiques variables pouvant influencer la capacité vectorielle du moustique adulte et, par conséquent, le risque de transmission de pathogènes. Ici, nous recensons l’état des connaissances sur les propriétés physico-chimiques et microbiologiques des habitats aquatiques d’Ae. aegypti qui affectent le comportement de pré-oviposition, le développement et la capacité à transmettre les virus de ce Culicidae. Littérature. La grande variabilité spatio-temporelle des propriétés abiotiques et biotiques des gîtes d’Ae. aegypti rend complexe leur caractérisation. Certains facteurs biotiques (matière organique, larves congénères, microbiote) et abiotiques (salinité, température, pH) des gîtes ont des effets forts et directs sur le développement des larves et se répercutent sur les caractéristiques physiologiques et morphologiques du moustique adulte telles que la taille, la fécondité, la longévité et sa capacité vectorielle. Conclusions. Au vu de l’influence du gîte larvaire, et notamment de son microbiote, sur des nombreux traits phénotypiques chez Ae. aegypti, des efforts sont encore requis pour mieux comprendre comment la variabilité naturelle des gîtes façonne la capacité vectorielle des populations de cette espèce invasive à travers le globe.
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Plourde-Lavoie, Patrick, Marc Archer, Karine Gagnon y Pascal Sirois. "Les variations de niveau du lac Saint-Jean : effets sur la reproduction des poissons dans les habitats en milieux humides riverains". Le Naturaliste canadien 142, n.º 1 (22 de noviembre de 2017): 66–77. http://dx.doi.org/10.7202/1042015ar.

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Le lac Saint-Jean a vu son régime hydrologique considérablement modifié depuis sa transformation en réservoir en 1926. Cet article examine les effets de la gestion du niveau du lac pour la fraie de la perchaude (Perca flavescens) et du grand brochet (Esox lucius). Une analyse des niveaux des eaux des 100 dernières années a permis de mettre en évidence une réduction des écarts entre les niveaux printaniers et estivaux, qui contribue vraisemblablement à diminuer la taille et la qualité des sites de reproduction, et un retardement de l’atteinte du niveau maximal au printemps par rapport au régime naturel. L’utilisation de données historiques de températures du lac et des milieux humides riverains a permis d’estimer les périodes de fraie de 1991 à 2015 et de mettre en évidence les conséquences des bas niveaux au printemps sur l’accessibilité des milieux humides. À présent, ces habitats ne sont généralement que partiellement inondés lors de la fraie des 2 espèces. Nous recommandons d’adopter une gestion du lac Saint-Jean qui vise à devancer l’atteinte des hauts niveaux printaniers et à maximiser les écarts entre les niveaux printaniers et estivaux, tout en maintenant un niveau stable au printemps pour permettre l’éclosion des oeufs de poissons et assurer la survie des jeunes stades de vie.
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Bowden, Alison A. y Sara E. Burns. "Adapter les infrastructures afin de réduire les risques pour les personnes et d’améliorer la connectivité pour les poissons et la faune". Le Naturaliste canadien 143, n.º 1 (28 de noviembre de 2018): 92–99. http://dx.doi.org/10.7202/1054123ar.

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Aux États-Unis, 96 % de la population vit dans un comté qui a connu un évènement météorologique déclaré catastrophe naturelle par le gouvernement fédéral au cours des dernières années. Le développement dans les zones inondables menace les côtes et les rivières. Cette menace est exacerbée par des ponceaux et autres infrastructures de franchissement de cours d’eau dimensionnés et conçus en fonction de l’utilisation préalable du territoire, souvent dans le seul objectif de diriger l’eau sous les routes. En revanche, les infrastructures naturelles ou inspirées par le fonctionnement de la nature (plaines inondables, passages de cours d’eau qui maintiennent la connectivité aquatique, etc.) peuvent être résilientes aux inondations et acheminer l’eau sous les routes, tout en offrant d’autres avantages, notamment pour la conservation des habitats du poisson et d’autres espèces fauniques. Au Massachusetts, les normes de conception des traverses de cours d’eau ont été changées en mettant l’accent sur une approche multi-objectifs de gestion des risques d’inondation (p. ex. intégrité de l’infrastructure existante, connectivité écologique). Quatre catégories de conditions-clés favorisent l’intégration d’approches basées sur la résilience climatique des milieux naturels : la réglementation; l’assistance technique et le financement; le suivi; et l’engagement communautaire. Nous présentons comment chacune a influencé la conception des passages aquatiques dans tout le Massachusetts.
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Geistdoerfer, Aliette. "L'évolution techno-économique de la pêche côtière". Articles 11, n.º 3 (12 de abril de 2005): 289–300. http://dx.doi.org/10.7202/055504ar.

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Resumen
Si nous avons choisi les Îles-de-la-Madeleine comme terrain d'une enquête sur la pêche de type traditionnel au Québec c'est que les techniques de pêche côtière n'y avaient jamais été étudiées ethnologiquement dans leur ensemble et que s'y trouvaient réunies en un seul territoire plusieurs pêches traditionnelles gardant encore aujourd'hui une importance économique assez élevée pour ne pas être relayées au rang de survivances. La pêche côtière y occupe en effet 27% d'une population active de 3,361 personnes. Pour que la pêche ait pris une telle importance aux Iles-de-la-Madeleine, il fallait que certaines conditions particulièrement favorables y soient réunies. Les Iles présentent trois types de côtes. Si les hautes falaises de schiste ou de grès rouge sont inabordables, les très nombreuses plages ont rendu les côtes hospitalières et sont devenues presque toutes de petits havres de pêche : certaines ont été aménagées de quais, de plans de halage et de treuils mécaniques. Les lagunes comprises entre de longues flèches de sable servirent de port jusqu'à ce que leur ensablement les rendent inutilisables. En effet, exception faite pour le Havre-Aubert, les autres Iles ne possèdent aucun port naturel. Les plages ne valent comme anses de pêche que parce que les pêcheurs halent leurs bateaux chaque soir à terre. Mais quand le tonnage des bateaux augmente, comme c'est le cas aujourd'hui, 1 la question du port se pose continuellement et avec acuité, car celui de Havre-Aubert s'ensable régulièrement, le port artificiel de Cap-aux-Meules est trop petit et mal abrité et celui de l'Étang-du-Nord se trouve dans une zone de faible profondeur d'eau. Les havres de pêche se répartissent à peu près également autour des Iles, suivant en cela le territoire de pêche: celui-ci dans sa plus grande étendue, est compris à l'intérieur d'une cote de profondeur d'eau de 20 brasses, cote qui se situe à 15 milles au large des Iles. La différence d'inclinaison de ce plateau, forte au sud et au nord où elle est de 90 pieds au mille, faible sur les façades est et nord-est, en particulier dans la baie de Plaisance, a déterminé une première spécialisation géographique des types de pêche. Les ports du nord et du sud, zones où les grands fonds sont proches de la côte, se consacrent à la pêche de la morue alors que ceux de la Baie de Plaisance sont spécialisés dans celle du hareng et du maquereau. Les fonds à homards, par contre, se répartissent aussi bien au nord qu'au sud, mais uniquement là où les fonds sont rocheux. Les eaux qui baignent les Iles offrent des conditions hydrologiques et biologiques constituant non seulement un habitat propice aux homards, mais aussi un milieu favorable au passage de bancs de différentes espèces de poissons. En effet l'organisation des pêches madelinoises est déterminée d'une part par l'alternance des saisons et principalement par l'arrivée et le départ des glaces, mais aussi par le cycle écologique constitué par les passages et séjours successifs des différentes espèces de poissons dans les eaux madelinoises. Les Madelinots ne pèchent donc que lorsque les bancs de poissons viennent très près des côtes: nous avons vu que leur territoire de pêche ne dépassait pas 15 milles à la ronde. Cette soumission aux migrations des poissons présente cependant plusieurs inconvénients. Les dates de passage de ces bancs ne sont que plus ou moins prévisibles et, parfois, le hareng arrive plus tôt que d'habitude, ne reste que quelques jours aux Iles et les quitte avant que les trappes aient pu être mouillées. Si les conditions ne sont pas favorables en faible profondeur, le poisson se maintient en grande eau et la pêche est nulle pour les Madelinots. L'automne, il y a de grandes migrations de hareng au large des Iles : aujourd'hui seuls les seineurs modernes peuvent en profiter alors qu'autrefois cette richesse était inexploitée. La pêche côtière s'est donc modernisée mais son organisation continue d'adhérer au cycle écologique. Nous allons voir maintenant comment les Madelinots en ont développé les différents types et, surtout, quelles ont été les grandes transformations techno-économiques qui sont à la base du système actuel.
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Bélanger, N., W. H. Hendershot, M. Bouchard y S. Jolicoeur. "Identification des compartiments responsables de la qualité des eaux de surface d'un petit bassin versant du centre du Nouveau-Brunswick (Canada): application et analyse du modèle hydrochimique EMMA". Revue des sciences de l'eau 11, n.º 1 (12 de abril de 2005): 117–37. http://dx.doi.org/10.7202/705300ar.

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Cette étude a été réalisée dans le cadre d'un projet multidisciplinaire sur la gestion et la protection de l'habitat des salmonidés et sur l'évaluation des perturbations que subissent les habitats de ces poissons dans les eaux courantes suite aux coupes forestières et à la construction de routes. Afin d'identifier les voies d'écoulement responsables de la qualité des eaux de surface d'un petit bassin versant forestier, une étude approfondie a été entreprise sur l'évolution de la qualité de l'eau de pluie lors de son passage à travers la phytocénose et la couverture pédologique jusqu'au ruisseau. La signature chimique des compartiments du bassin versant servira d'intrant quant à l'application et l'analyse du modèle EMMA (end-members mixing analysis). La signature chimique de l'eau du ruisseau s'explique par un graphe x-y (graphe de mélange) sur lequel la composition chimique des compartiments et celle du ruisseau sont reportées. Si trois compartiments circonscrivent la signature chimique du cours d'eau, alors on peut émettre l'hypothèse que ces compartiments se mélangent de façon conservatrice pour donner la qualité des eaux de surface du bassin versant. Plusieurs traceurs (conductivité électrique, SO42-, Cl-, NO3-, K+, Alt et Fet) naturels n'ont pas servi à l'identification des compartiments parce que le modèle ne tient pas compte de certaines conditions, tels l'activité biologique, l'état hydrique des profils, etc. Seuls le pH, Na+, Ca2+, Mg2+ et SiO2 se sont avérés des traceurs utiles. La nappe phréatique a été incluse par défaut dans le modèle puisqu'il était connu qu'elle assurait la base de l'écoulement du cours d'eau en tout temps de l'année. Les sols de la plaine d'inondation semblent également prendre part à la qualité de l'eau du ruisseau, particulièrement les horizons B podzoliques, lesquels sont saturés d'eau pendant toute la période sans gel. C'est donc dire que l'écoulement de l'eau souterraine et l'écoulement hypodermique au niveau des horizons B de la plaine d'inondation sont les voies d'écoulement qui expliquent le mieux la qualité des eaux de surface du bassin versant. Toutefois, la séparation de l'hydrogramme par l'équation du bilan massique a montré qu'un modèle à trois réservoirs (nappe phréatique, horizons B des versants sud et nord) ne peut pas donner des résultats satisfaisants quant à la simulation de la charge chimique des eaux de surface. Le modèle élimine systématiquement trop de compartiments pouvant s'avérer explicatifs de la qualité de l'eau du ruisseau. Un modèle mécaniste développé à partir des variations du niveau de la nappe phréatique, de la conductivité hydraulique et de la composition chimique des solutions de sol permettrait de reproduire plus rigoureusement l'hydrogramme du ruisseau. Le modèle EMMA demeure tout de même un bon outil pour réfuter ou confirmer une hypothèse de recherche car il met clairement en relation la composition chimique des compartiments à celle du ruisseau et enlève parfois tout doute quant à l'action d'un processus susceptible d'alimenter le cours d'eau.
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Cressier, Patrice. "Castillos y fortalezas de Al-Andalus: observaciones historiográficas y preguntas pendientes". Vínculos de Historia Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, n.º 11 (22 de junio de 2022): 116–40. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2022.11.05.

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Resumen
Aunque la arqueología de Al-Andalus no se constituyó como disciplina propia hasta hace unos cuarenta años, el interés hacia las fortalezas llamadas por entonces “hispano-musulmanas” se manifestó mucho antes, centrado esencialmente en los aspectos arquitectónicos y de poliorcética. Más recientemente, la aproximación al proceso de la fortificación medieval se ha ido diversificando. No son pocos los trabajos que buscan en él unas respuestas a preguntas más ambiciosas, relativas a la organización de la sociedad campesina, a las estructuras de poblamiento y a la ordenación del territorio, o a las formas adoptadas por el control estatal.Después de unas breves observaciones introductorias sobre el cambio metodológico experimentado a finales de los años 1970, el artículo hace hincapié en la polisemia de los términos árabes referidos a la arquitectura defensiva. A continuación, se centra en las polémicas surgidas a propósito de uno de estos términos, el ḥiṣn (en el ámbito rural) y en las hipótesis avanzadas al respecto. Finalmente, plantea la cuestión de la existencia en al-Andalus de graneros colectivos fortificados y de ribāṭ-s, estructuras mejor documentadas en África del Norte. Palabras claves: fortificación, estructura social islámica, ordenación del espacioTopónimos: al-AndalusPeriodo: siglos VIII-XV ABSTRACTUntil about forty years ago, the archeology of al-Andalus was not regarded as a discipline in itself. However, interest in the so-called “Moorish” fortresses had been expressed much earlier, focused primarily on architectural and polyorcetic aspects. More recently, the approach to the process of medieval fortification has become more diverse: today many scholars seek within it answers to more ambitious questions, related to the organization of peasant society, settlement structures, land-use planning, or formulae of state control.After some preliminary remarks on the methodological change that occurred in the late 1970s, this paper emphasizes the polysemy of Arabic terms referring to defensive architecture. It then focuses on the debates that arose with regard to one of these terms, the ḥiṣn (in rural areas), and on the hypotheses proposed in this respect. Finally, the paper raises the question of the existence in al-Andalus of ribāṭ-s and fortified collective granaries, structures long considered to be specific to North Africa. Keywords: fortification, Islamic social structure, spatial planningPlace names: al-AndalusPeriod: 8th-15th centuries REFERENCIASAcién Almansa, M. 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Resumen
At Clam Harbour, Nova Scotia in September 2005, two juvenile Snowy Groupers,Epinephelus niveatus (Valenciennes 1828), were captured. Subsequently, in October 2006 during the regular census of six artificial reefs in Sambro Harbour near Halifax, four juvenile Snowy Groupers were observed and one was captured. During the observation period the fish remained close to the reefs and fed voraciously. The arrival of the Snowy Groupers was correlated with the occurrence of a warm Gulf Stream tendril and their disappearance coincided with a drop in water temperature to 7.2°C.En septembre 2005, deux méroux neigeux juvéniles (Epinephelus niveatus– Valenciennes, 1828) ont été capturés à Clam Harbour (Nouvelle‑Écosse). En octobre 2006, quatre méroux neigeux juvéniles ont été observés et un autre capturé durant inventaire régulier de six récifs artificiels dans le havre Sambro près de Halifax. Durant la période d’observation, les poissons sont demeurés près des récifs et se nourrissaient avec voracité. L’arrivée et le départ des méroux neigeux ont coïncidé avec l’arrivée et le départ d’une masse d’eau chaude amenée par le Gulf Stream (la température de l’eau a chuté jusqu’à 7,2 °C une fois la masse d’eau chaude passée).
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Raick, Xavier. "Listening to the depths of coral reefs in French Polynesia: deciphering the whoot". Bulletin de la Société Royale des Sciences de Liège, 2023, 171–87. http://dx.doi.org/10.25518/0037-9565.11473.

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Resumen
Les paysages acoustiques englobent des sons d’origine biologique, anthropique et géophysiques. Le monitoring par acoustique passive des écosystèmes marins utilise ces sons pour obtenir des informations sur ces environnements. Les récifs coralliens tropicaux profonds, également connus sous le nom de mésophotiques, sont des habitats peu explorés qui abritent une grande diversité d'espèces de poissons. Les poissons récifaux émettent une variété de sons, dont certains restent encore peu compris. Dans le cadre de cette étude, des enregistrements acoustiques ont été réalisés dans les récifs coralliens mésophotiques de Polynésie française. L'objectif était de caractériser le cycle jour/nuit d’un son particulier préalablement découvert, appelé whoot. L'expédition « Under The Pole III » a offert l’opportunité de collecter des données à l'aide d’enregistreurs acoustiques couplés à des hydrophones, positionnés à différentes profondeurs (−60 m et −120 m) à Bora-Bora, Mangareva, Moorea, Rangiroa, Raroia et Tikehau. Les enregistrements ont ensuite été analysés afin de détecter et de caractériser le cycle jour/nuit du son whoot. Des différences entre les deux profondeurs étudiées et entre les différentes îles étudiées ont été mises en évidence. En général, ce son était principalement présent en début et en fin de nuit, mettant ainsi en évidence son caractère nocturne acoustique chez l’espèce produisant les whoots. Ce résultat devrait contribuer à l’identification de l’espèce de poisson responsable de ce son caractéristique de la scène musicale sous-marine profonde polynésienne, et aider à une meilleure compréhension des populations de poissons des récifs coralliens mésophotiques par l’acoustique passive.
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Kanno, Yoichiro y John Leland MacMillan. "DEVELOPING AN INDEX OF SUSTAINABLE COLDWATER STREAMS USING FISH COMMUNITY ATTRIBUTES IN RIVER PHILIP, NOVA SCOTIA". Proceedings of the Nova Scotian Institute of Science (NSIS) 42, n.º 2 (1 de noviembre de 2004). http://dx.doi.org/10.15273/pnsis.v42i2.3609.

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Resumen
An Index of Sustainable Coldwater Streams (ISCS) was developed to quantify fish community changes affected by water temperature and physical habitat quality for small streams in the River Philip Watershed, Nova Scotia. The ISCS was modified from an Index of Biotic Integrity (IBI) and intended for assessing the quality of streams as coldwater habitats. The calibration of the ISCS was thought useful since global warming and habitat degradation, two major aquatic threats in the coming era, could significantly reduce the amount of undisturbed coldwater streams in Nova Scotia; thus, a tool was necessary to identify fish species vulnerable to these threats and to monitor fish community changes in relation to water temperature and physical habitat quality. There was a strong negative correlation between water temperature and physical habitat quality, and water temperature increase and habitat degradation replaced coldwater fish assemblages dominated by salmonids with warmwater and/or tolerant fish assemblages, coupled with increased total species richness. The proposed ISCS is composed of five metrics: (1) number of fish species, (2) percent of individuals that are salmonids, (3) percent of individuals that are brook trout (Salvelinus fontinalis), (4) percent of individuals that are white sucker (Catostomus commersoni), and (5) percent of individuals that are catchable salmonids (age 2 years and older). The ISCS is a promising index to identify priority conservation areas and to monitor changes in aquatic environments.Dans le but de quantifier les changements dans les communautés de poissons touchées par la température de l’eau et la qualité de l’habitat physique pour les petits cours d’eau du bassin hydrographique de la rivière Philip, en Nouvelle-Écosse, on a élaboré un indice de qualité des petits cours d’eau comme habitats d’eaux froides (Index of Sustainable Coldwater Streams, ISCS). Cet indice, inspiré d’un indice de l’intégrité biotique (Karr, 1981; Lyons et al., 1996), vise à évaluer la qualité des ruisseaux en tant qu’habitats d’eaux froides. On a pensé qu’il serait utile de calibrer l’ISCS, compte tenu du réchauffement de la planète et de la dégradation de l’habitat, deux menaces importantes pour les milieux aquatiques qui pourraient réduire considérablement le nombre de ruisseaux d’eaux froides non perturbés en Nouvelle-Écosse; c’est pourquoi il fallait un outil pour identifier les espèces de poissons vulnérables à ces menaces et pour surveiller les changements dans les communautés de poissons en rapport avec la température de l’eau et la qualité de l’habitat physique. On a observé une forte corrélation négative entre la température de l’eau et la qualité de l’habitat physique; de plus, l’augmentation de la température de l’eau et la dégradation de l’habitat avaient pour effet le remplacement d’assemblages de poissons d’eaux froides dominés par les salmonidés par des assemblages de poissons d’eaux tièdes ou tolérants avec une augmentation de la richesse totale en espèces. L’ISCS proposé comprend cinq paramètres : 1) le nombre d’espèces de poissons; 2) le pourcentage d’individus qui sont des salmonidés; 3) le pourcentage d’individus qui sont des ombles de fontaine (Salvelinus fontinalis); 4) le pourcentage d’individus qui sont des meuniers noirs (Catostomus commersoni) et 5) le pourcentage d’individus qui sont des salmonidés exploitables (âgés d’au moins deux ans). L’ISCS est un indice prometteur pour l’établissement de zones de conservation prioritaires et la surveillance des changements dans les milieux aquatiques.
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Willison, J. H. Martin. "GENERAL INTRODUCTION: CONSERVING NOVA SCOTIA’S BIODIVERSITY". Proceedings of the Nova Scotian Institute of Science (NSIS) 42, n.º 2 (1 de noviembre de 2004). http://dx.doi.org/10.15273/pnsis.v42i2.3599.

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Resumen
The papers on biodiversity in this issue focus on the richness of life in Nova Scotia, and the means by which this richness might be conserved. Mammals, birds, fish, beetles, and diatoms are examples of the richness of life described in the volume. The conservation status of selected species is outlined, as are the threats to these species. Special attention is paid to moose and roseate terns, and a wide range of birds, beetles, fish, mammals and other species receive some attention. Conservation options based on the protection of habitat in Nova Scotia, as well as comprehensive landscape-scale strategies for biodiversity conservation planning, are similarly described both in detail and in general by a variety of authors.Les articles du présent volume portent principalement sur la richesse du vivant en Nouvelle-Écosse et sur les moyens de conserver cette richesse. Mammifères, oiseaux, poissons, coléoptères et diatomées sont au nombre des taxons traités dans le volume. On décrit la situation de certaines espèces et les menaces qui pèsent sur elles. Une attention particulière est accordée à l’orignal et à la Sterne de Dougall, et une grande variété d’oiseaux, de coléoptères, de poissons, de mammifères et d’autres espèces sont également considérées. Plusieurs auteurs décrivent de manière générale ou détaillée des options en matière de conservation fondées sur la protection des habitats en Nouvelle-Écosse ainsi que des stratégies globales à l’échelle des paysages pour la planification de la conservation de la biodiversité.
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Kanno, Yoichiro y Karen Beazley. "FRESHWATER FISH CONSIDERATIONS FOR AQUATIC CONSERVATION SYSTEMS PLANNING IN NOVA SCOTIA". Proceedings of the Nova Scotian Institute of Science (NSIS) 42, n.º 2 (1 de noviembre de 2004). http://dx.doi.org/10.15273/pnsis.v42i2.3612.

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Resumen
Freshwater ecosystems have suffered severe losses of biodiversity as a result of human activities, however there has been limited attention to freshwater conservation planning. Key criteria for biodiversity conservation in the terrestrial realm (i.e., representation, special elements and focal species) may also be useful in freshwater systems. Thus, we explore freshwater fish conservation in Nova Scotia (NS) with respect to these key criteria. Representation of freshwater fish habitats and communities should include examples of typical and unique biogeographical regions, streams, rivers, lakes, ponds, wetlands, and community assemblages. Special elements include critical habitat for species- and communities-at-risk, and hotspots of diversity and rarity. Sufficient habitat to maintain viable populations of focal species should also be conserved. Focal species 1) are functionally important, such as those at higher trophic levels and key prey, 2) have large-area requirements or are wide ranging, 3) are indicators of habitat quality and/or management practices, and 4) are flagships, such as charismatic and vulnerable species that garner support for aquatic conservation. Considerations of representation, special elements and focal species serve to identify important areas for conserving freshwater fish species, assemblages and habitat in NS. Intolerant and coldwater communities and species such as Atlantic whitefish Coregonus huntsmani, Atlantic salmon Salmo salar, brook trout Salvelinus fontinalis, lake trout Salvelinus namaycush and rainbow smelt Osmerus mordax warrant conservation attention in NS due to their relatively high ecological importance and/or vulnerability. Other factors for selecting among potential sites for conservation are stability and resilience to broader cross- or transboundary threats such as exotic species, global warming, and acidification. Furthermore, as a consequence of the fluidity and connectivity of aquatic ecosystems, conservation planning should encompass a relatively large portion of selected drainages. Our approach may be useful for other temperate regions in North America.En raison des activités humaines, les écosystèmes d’eau douce ont subi de graves pertes sur le plan de la biodiversité; cependant, on a prêté qu’une attention limitée à la planification de la conservation des eaux douces. Les critères principaux en matière de conservation de la biodiversité dans le domaine terrestre (à savoir la représentation, les éléments spéciaux et les espèces focales) peuvent aussi être utiles pour les eaux douces. Ainsi, nous examinons la conservation des poissons d’eau douce en Nouvelle-Écosse en fonction de ces critères. La représentation des habitats et des communautés de poissons d’eau douce doit comprendre des exemples de régions biogéographiques, de cours d’eau, de lacs, d’étangs, de milieux humides et d’assemblages de communautés typiques et uniques. Parmi les éléments spéciaux, on compte l’habitat essentiel pour les espèces et les communautés en péril ainsi que les hauts lieux de diversité et de rareté. De plus, il faut conserver suffisamment d’habitat pour maintenir des populations viables des espèces focales. Ces espèces sont importantes sur le plan fonctionnel (qu’on pense aux espèces des niveaux trophiques supérieurs et aux proies principales), ont besoin de beaucoup d’espace ou parcourent un vaste territoire, sont des indicateurs de la qualité de l’habitat ou des résultats des efforts de gestion et jouent un rôle symbolique, comme les espèces charismatiques et vulnérables qui suscitent l’appui en faveur de la conservation des milieux aquatiques. Les facteurs comme la représentation, les éléments particuliers et les espèces focales permettent de repérer les zones importantes pour la conservation des eaux douces, des espèces de poisson, des assemblages et des habitats. En raison de leur importance écologique relativement élevée ou de leur vulnérabilité, il faut accorder de l’attention sur le plan de la conservation aux communautés et aux espèces intolérantes et d’eaux froides, comme le corégone de l’Atlantique (Coregonus huntsmani), le saumon atlantique (Salmo salar), l’omble de fontaine (Salvelinus fontinalis), le touladi (Salvelinus namaycush) et l’éperlan (Osmerus mordax). D’autres facteurs servent au choix de sites potentiels de conservation, comme la stabilité et la résilience à des menaces transfrontalières, qu’on pense aux espèces exotiques, au réchauffement planétaire et à l’acidification. De plus, la planification devrait couvrir une part relativement grande des bassins hydrographiques choisis. Notre approche peut s’appliquer à d’autres régions tempérées de l’Amérique du Nord.PROC. N.S. INST. SCI. (2004)Volume 42, Part 2, pp. 375-391
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Gordon, Jr., Donald C. y Ellen L. R. Kenchington. "DEEP-WATER CORALS IN ATLANTIC CANADA: A REVIEW OF DFO RESEARCH (2001-2003)". Proceedings of the Nova Scotian Institute of Science (NSIS) 44, n.º 1 (19 de abril de 2007). http://dx.doi.org/10.15273/pnsis.v44i1.3881.

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Resumen
Deep-water corals occur in Atlantic Canada at water depths in the general range of 200-1500 m. Prior to 2000, most knowledge of deep-water corals was anecdotal and based primarily on fishing bycatch information. During 2001-2003, in collaboration with university colleagues, the Department of Fisheries and Oceans (DFO) at the Bedford Institute of Oceanography investigated the distribution, abundance, habitat and biology of deep-water corals and their associated fauna under funding provided in part by the Environmental Studies Research Fund. Data were gathered from DFO groundfish surveys, the Fisheries Observer Program, interviews with fishers and dedicated research cruises with specialized imaging and sampling equipment. Nineteen coral taxa were collected or observed alive in their natural habitat; 6 Alcyonacea (soft corals), 7 Gorgonacea (horny corals), 5 Scleractinia (stony corals), and 1 Antipatharia (black corals). The results confirmed earlier observations that the Northeast Channel, the Gully and the Stone Fence are prime coral habitats. The first documented Lophelia reef complex in Atlantic Canada was found near the Stone Fence in the mouth of the Laurentian Channel. The distribution of deep-water corals is patchy and influenced by several environmental factors including substrate, temperature, salinity and currents. The average height of Primnoa and Paragorgia colonies was 30 and 57 cm. At their estimated growth rates of 1.7 and 1 cm /year, respectively, the largest Primnoa colony observed was about 61 years old while the largest Paragorgia colony was about 180 years old. Deep-water corals host a rich associated fauna, and 114 taxa have been identified to date on Paragorgia and Primnoa in Atlantic Canada. Numerous species of fish have also been observed associated with deep-water corals, the most abundant being redfish. Damage from fishing gear was found to be most extensive at the Lophelia reef complex at the Stone Fence. A lower level of fishing damage was observed in the Northeast Channel while few indications of damage were observed in the Gully. The results of this program have been used by DFO to create coral conservation areas at the Northeast Channel (424 km2) and Stone Fence (15 km2) that are closed to bottom-fishing activities. Substantial knowledge gaps still exist, in particular quantitative information of deep-water corals at depths below 500 m, and these are being addressed by continuing collaborative research by DFO and universities.Les coraux abyssaux sont communs au Canada atlantique à des profondeurs allant de 200 à 1 500 m. Avant 2000, la plupart des données sur les coraux abyssaux étaient de nature anecdotique et fondées principalement sur des données sur les prises accessoires lors d’activités de pêche. De 2001 à 2003, des chercheurs de l’Institut océanographique de Bedford du ministère des Pêches et des Océans (MPO), en collaboration avec des collègues du milieu universitaire, ont étudié la répartition, l’abondance, l’habitat et la biologie des coraux abyssaux et des espèces qui leurs sont associées dans le cadre d’un projet financé en partie par le Fonds pour l’étude de l’environnement. Leschercheurs ont recueilli des données obtenues dans le cadre de relevés du poisson de fond menés par le MPO, du Programme des observateurs des pêches, d’entrevues avec des pêcheurs et de croisières de recherche à bord de bateaux munis d’un équipement spécialisé d’échantillonnage et d’imagerie. Au total, 19 taxons de coraux ont été recueillis ou observés vivants dans leur habitat naturel : 6 Alcyonacea (coraux moux), 7 Gorgonacea (coraux cornés), 5 Scleractinia (coraux durs) et 1 Antipatharia (coreaux noirs). Les résultats confirment les observations antérieures selon lesquelles le chenal Nord‑Est, le Goulet et le secteur de Stone Fence constituent des habitats de grande qualité pour les coraux. Le premier récif de Lophelia pertusa découvert au Canada atlantique est situé à proximité du secteur de Stone Fence, à l’embouchure du chenal Laurentien. La distribution des coraux abyssaux est éparse et dépend deplusieurs facteurs environnementaux, y compris le substrat, la température, la salinité et les courants. La hauteur moyenne des colonies de Primnoa et de Paragorgia observées était respectivement de 30 et de 57 cm. D’après les taux de croissance estimés à 1,7 (Primnoa) et 1 cm/année (Paragorgia), la plus grande colonie de Primnoa observée était âgée d’environ 61 ans, tandis que la plus grande colonie de Paragorgia avait environ 180 ans. Les coraux abyssaux sont les hôtes d’une riche faune associée. Jusqu’à maintenant 114 taxons différents ont été identifiés sur les colonies de Paragorgia et de Primnoa au Canada atlantique. De nombreuses espèces de poissons ont également étéobservées en association avec les coraux abyssaux, la plus abondante étant le sébaste. Les plus importants dommages causés par des engins de pêche ont été observés au récif de Lophelia dans le secteur de Stone Fence. Des dommages moins importants attribuables à la pêche ont été observés dans le chenal Nord‑Est, et peu d’indices de dommages ont été signalés dans le Goulet. Le MPO a utilisé les résultats du présent projet pour créer des zones de conservation des coraux dans le chenal Nord‑Est (424 km2) et dans le secteur de Stone Fence (15 km2) où les activités de pêche de fond sont maintenant interdites. Il existe encore des lacunes considérables dans les données, en particulier dans le cas des données quantitatives sur les coraux abyssaux à plus de 500 m de profondeur, et ces lacunes continuent d’être comblées par le biais des recherches conjointes menées par le MPO et des universités.
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