Artículos de revistas sobre el tema "Français (langue) – Grammaire – 19e siècle"

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Corcuera manso, J. Fidel y Antonio Gaspar. "Los comienzos de la expansión de la lengua francesa a través de las gramáticas publicadas dentro y fuera del territorio francés. El caso de España". Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde 18, n.º 1 (1996): 173–88. http://dx.doi.org/10.3406/docum.1996.1154.

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L’universalité du français, dont parlera Antoine de Rivarol au XVIIIe siècle, est le résultat d’un long processus qui trouve ses origines au XVIe siècle et qui a exigé le dépassement de divergences très profondes. En effet, avant d’être “universel”, le français doit être “langage françoys”, c’est-à-dire langue nationale, et “langue classique”, ayant une considération similaire à celle des langues telles que le latin ou le grec. Le rôle des grammairiens dans ce processus est évident : ils procèdent d’un côté à réaliser la codification de la langue, et d’un autre côté ils développent des instruments pour la diffusion et expansion du français hors de France, dans des pays tels que l’Angleterre, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie ou l’Espagne. Ainsi, le XVIe siècle se caractérise par une tendance à la réalisation d’ouvrages pédagogiques pour l’enseignement et l’apprentissage du français langue étrangère : grammaires, règles, vocabulaires, dictionnaires, dialogues... En Espagne, la première grammaire du français à l’usage des Espagnols est celle de Baltasar de Sotomayor, Grammatica con reglas muy prouechosas y necessarias para aprender a leery escriuir la lengua Francesa..., publiée en 1565 à Alcalá de Henares. Nous réalisons dans ce travail une approche analytique de ce texte pédagogique qui n’est pas, à vraiment parler, une grammaire et qui s’inspire - des fois de manière trop directe - de quelques travaux précédents, notamment ceux de Gabriel Meurier.
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Saint-Gerand, Jacques-Philippe. "À l’origine de l’histoire de la langue française : 1802-1841". SHS Web of Conferences 138 (2022): 03001. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213803001.

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Les débuts de l’histoire de la langue française, à la fin du XVIIIe et dans la première moitié du XIXe siècle, se confondent avec la naissance d’une philologie qui se démarque du modèle allemand en cours d’élaboration. Tandis que celui-ci promeut une recherche fondée sur les acquis de la grammaire historique et comparée, la philologie française se veut une quête des origines de la littérature française. Ses chercheurs mettront presque un demi-siècle à s’affranchir du primat du français dont témoignent les textes littéraires du passé, notamment du moyen-âge, et à fonder leurs travaux sur la connaissance de la grammaire historique de la langue française. D’où cet antagonisme permanent jusqu’à nos jours entre histoire externe et histoire interne de la langue qui recouvre la distinction de l’histoire de la langue (majoritairement externe) et de la linguistique historique (fondamentalement interne).
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Düwell, Henning. "Une lettre du XVIIIe siècle contre l’abus de la grammaire". Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde 2, n.º 1 (1988): 2–5. http://dx.doi.org/10.3406/docum.1988.875.

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Dans la plupart des cas, les remarques théoriques du XVIIIe siècle sur l'enseignement et l’apprentissage du français trouvaient une place plus ou moins modeste dans les préfaces des manuels, grammaires ou bien recueils de lettres, etc., tandis que des monographies de cette époque consacrées à la théorie de l’enseignement sont plus rares. En voici une qui a paru à Göttingen en 1797 sous le titre de Lettre à Mademoiselle D.S. Sur l’abus des grammaires dans l’étude du français, et sur la meilleure méthode d’apprendre cette langue. L’ouvrage contient 44 pages.
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Burg, Gaëlle. "Lire la littérature médiévale en classe de français langue étrangère : une utopie ?" Swiss Journal of Educational Research 43, n.º 1 (14 de abril de 2021): 129–38. http://dx.doi.org/10.24452/sjer.43.1.10.

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Si le corpus littéraire traditionnellement utilisé dans l’enseignement secondaire et supérieur du FLE emprunte le plus souvent à la littérature des 19e, 20e et 21e siècles, plus rarement aux œuvres du 16e, 17e et 18e siècle, que dire des textes plus anciens, ceux du Moyen Âge ? Les recensions montrent qu’ils sont totalement ignorés. Notre article voudrait défendre l’intérêt d’un enseignement de la littérature médiévale en FLE et soutenir les enseignant·e·s en leur fournissant des pistes d’activités efficaces permettant aux apprenant·e·s de dépasser les difficultés que suppose une lecture littéraire authentique. Pour ce faire, nous inscrivons notre démarche dans le sillage des méthodologies de l’approche globale des textes écrits (Moirand, 1979), et de la lecture interactive (Cicurel, 1991).
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Lépinette, Brigitte. "La linguistique des grammaires françaises publiées en Espagne dans la première moitié du XIXe siècle". Historiographia Linguistica 32, n.º 3 (16 de diciembre de 2005): 273–307. http://dx.doi.org/10.1075/hl.32.3.02lep.

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Résumé Dans cet article, nous examinons un corpus de 13 grammaires pour l’enseignement du français aux Espagnols, éditées dans la première moitié du XIXe siècle. Nous prenons en compte, dans une analyse de type transversal, (1) les sources citées par les auteurs ; (2) la nature de la définition de la grammaire et le nombre des parties du discours ; (3) la définition du nom (avec la présence ou non du schéma canonique de la déclinaison ou des classes spécifiques de cet élément) ; (4) la définition du verbe avec la présence ou non des catégories canoniques) ; et (5) la syntaxe. Notre objectif est de déterminer la linguistique explicite et implicite de ces grammaires scolaires, à une époque où la grammaire générale pénètre en Espagne dans les ouvrages de langue maternelle et où sont introduits les exercices d’analyses logique et grammaticale.
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Bechraoui, Mohamed-Fadhel. "Une traduction arabe de la grammaire de Lhomond (1857)". Historiographia Linguistica 28, n.º 3 (31 de diciembre de 2001): 365–400. http://dx.doi.org/10.1075/hl.28.3.04bec.

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Résumé Le succès de la grammaire scolaire dans la France du XIXe siècle avait favorisé la traduction de certains de ses manuels, comme le Lhomond ou le Noël et Chapsal, pour servir de méthodes d’apprentissage aux étrangers. Le Lhomond tout particulièrement, après la traduction anglaise de Longfellow (1830) avait connu une traduction arabe, publiée à Paris en 1857 par un Tunisien du nom de Soliman al-Haraïri (1824–1877). Il y développe en fait, une double traduction: traduction libre et traduction littérale. Cette dernière, très paradoxalement, constitue le noyau d’une méthode présentée par l’auteur comme une invention didactique à laquelle il n’a jamais été précédé. L’effort de traduction y est considérable par rapport à ce que l’on trouve dans l’ouvrage anglais. La langue arabe, ainsi que la grammatisation autochtone qui s’y rapporte sont tellement éloignées du français et de sa grammatisation que le traducteur est amené à faire œuvre de linguiste et non de simple traducteur. La traduction de la terminologie, comme celle des exemples et des paradigmes, nécessite en effet une grande connaissance de l’arabe et de sa grammaire. Le recours au dialecte marque d’ailleurs l’épuisement des ressources de l’arabe classique. La transcription s’y ajoute pour faire encore reculer l’écart, au-delà de la grammaire et du système phonologique, jusqu’à l’écriture elle-même. Les éléments d’une recherche contrastive viennent, en outre, accompagner la traduction littérale comme pour en retracer les limites et révéler les irréductibles difficultés de l’apprentissage. Mais la correspondance entre les deux langues, incarnée dans cette traduction, a été expressément exagérée pour gagner plus de terrain dans le rapprochement du Lhomond, dans sa langue originale, à l’élève arabe. L’objectif étant de le mettre immédiatement en contact avec la langue française, via ce pré-texte qu’est la traduction littérale. Quant à la traduction libre, elle est considérée comme superflue, ne pouvant profiter qu’à l’élève français censé y trouver un ‘guide de bien traduire’.
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Junker, Marie-Odile. "L’effet V1: le verbe initial en moyen français". Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 35, n.º 4 (diciembre de 1990): 351–71. http://dx.doi.org/10.1017/s0008413100013931.

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Le moyen français (MF) est une langue à sujet nul qui permet les sujets postverbaux et dont le verbe occupe généralement la seconde position. N’importe quel constituant peut occuper la première position de la phrase, y compris le sujet. Le sujet nul et le sujet postverbal sont habituellement le fait des langues romanes. L’effet du verbe second, “l’effet V2”, est caractéristique des langues germaniques. Une question longuement débattue par la tradition philologique (Foulet 1928; Herman 1954; Hilty 1968; Kuen 1957) est celle de l’influence des langues germaniques sur l’évolution du francais. Fidèles en ce sens à cette tradition, mais dans le cadre de la grammaire générative, Benincà (1984) puis Adams (1987) et Vance (1987) ont appliqué l’analyse proposée par Thiersch (1978) pour l’allemand à l’ancien français (AF) en assumant deux règles de mouvement: antéposition du verbe tensé et topicalisation de n’importe quel adverbe ou NP en position initiale. Le caractère obligatoire de la règle de topicalisation V2 est mis en doute par l’existence de phrases déclaratives à verbe initial en ancien et en moyen français. En effet, on en trouve de la Chanson de Roland (XIIe siècle) jusqu’à Rabelais et Montaigne (XVIe siècle) tant en phrases matrices qu’en phrases subordonnées.
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Vanneufville, Monique. "La théorie linguistique de Hermann Paul : une conception «pragmatico-sémantique» de la syntaxe à la fin du 19e siècle." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, n.º 25 (9 de abril de 2022): 167–80. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2008.1395.

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Dans ses Prinzipien der Sprachgeschichte de 1880, Hermann Paul, philologue allemand néo-grammairien (Junggrammatiker, 1846-1921), affirme un seul principe, communicatif, donc pragmatique, à l’origine de la langue et de son évolution historique des formes simples aux formes composées. Les actes langagiers entre individus sont source de changements progressifs. Ce principe historique général et universel concerne tous les éléments du langage et donc aussi la syntaxe de toutes les langues. Si l’analyse paulienne de la phrase en sujet «psychologique», comme point de départ de la pensée, et prédicat «psychologique», comme aboutissement ou but de cette même pensée, renoue avec la sémiotique de tradition empiriste de la Popularphilosophie, et, au-delà d’elle ou à travers elle, avec le modèle encore plus ancien d’Aristote, modèle recouvert par le transcendantalisme kantien, l’analyse «psychologique» de Paul, reprise par le Suisse Sechehaye, élève de Saussure, en même temps qu’elle signe la rupture avec le modèle «logique» de la Grammaire de Port-Royal, annonce la linguistique moderne avec ses théories de l’énonciation et des actes de langage. De ce point de vue, les Principes pourraient bien représenter un passage obligé de l’histoire de la linguistique.
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Christ, Herbert. "Du Maître de langue au « Neuphilologe ». La formation des enseignants de français en Allemagne au cours du 19e siècle". Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, n.º 33/34 (1 de junio de 2005): 47–62. http://dx.doi.org/10.4000/dhfles.1674.

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AL AUBALI, Dr Fatima y Sana Sana. "L’IMPORTANCE DE LA CULTURE ET DES TEXTES LITTÉRAIRES DANS LA TRADUCTION LA CULTURE DEVRAIT-ELLE ÊTRE TRADUITE ?" JOURNAL OF ADVANCES IN LINGUISTICS 5, n.º 1 (25 de noviembre de 2014): 548–54. http://dx.doi.org/10.24297/jal.v5i1.2739.

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Le truisme dans les études relatives à la traduction est le dilemme entre la culture de la langue d’origine et la culture de la langue cible. Le traducteur qui s’y consacre pour mener à bien son devoir, doit en premier lieu reconnaitre le type de textes à traduire. Reconnaissant le type de textes, le traducteur sera en mesure de s’attaquer aux cultures une fois qu’il/elle décide de choisir le type du texte. Ainsi, cet article présente une étude descriptive de la traduction de textes littéraires de l’anglais en arabe et en français, en utilisant différentes scènes tirées des œuvres de Shakespeare qui ont été traduites par des traducteurs éminents dans ces deux dernières langues. Cet article décrit les études de fond, des contextes et des procédures de recherche ainsi que les différentes approches de la traduction. Il aborde ensuite certaines questions de recherche à savoir :1- La traduction sera-elle acceptée par la nouvelle communauté de lecteurs ?2- En quoi la relation entre la culture et la traduction est-elle importante ?Il est donc impératif de sonder la littérature de Goethe jusqu’à nos jours. Selon cette enquête, les paramètres des études de traduction dépassent les limites de la langue pour inclure des types de textes, les fonctions de la culture de la langue d’origine à celle de la langue cible. Les théoriciens de la traduction ont montré leur intérêt dans les aspects culturels de la traduction dès le 19e siècle. Cela implique que le but de la traduction est d’enrichir la langue cible à la fois culturellement et linguistiquement. Afin d’éviter les malentendus, les traducteurs doivent faire non seulement attention au contenu lexical, et syntaxique mais aussi aux idéologies, aux valeurs, ainsi qu’aux modes de vie relatifs impactés par la culture abordée. Par conséquent, les traducteurs doivent bien connaitre leurs publics lecteurs.Mots-clés : culture – traduction – sémiotique – familiarisation – étrangéisation - source (origine)
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Jollin-Bertocchi, Sophie. "Les noms d’action dans la terminologie linguistique". SHS Web of Conferences 138 (2022): 03005. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213803005.

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D’un point de vue linguistique, les noms d’actions en français manifestent une hétérogénéité tant morphologique et syntaxique que sémantique. Les Nact de la terminologie linguistique reflètent cette caractéristique tout en manifestant la tendance à une homogénéisation morphologique de surface et à un glissement vers l’interprétation résultative. Une approche historique appuyée sur cinq repères, les dictionnaires de linguistique de 1933 (Marouzeau) à 2011 (Neveu), montre que la proportion de Nact dans la métalangue reste globalement stable mais que la part des sous-disciplines évolue et témoigne d’un renouvellement des termes. La présence constante des Nact dissimule les changements de paradigme qui s’opèrent au cours du XXe siècle, où l’on passe de la grammaire historique aux théories syntaxiques dynamiques de la linguistique structurale et à la linguistique générative, puis aux théories énonciatives fondées sur l’activité de langage. L’ensemble de cette évolution a pour effet de projeter une vision dynamique sur l’approche des faits de langue et de discours en général.
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Fernández Fraile, Ma Eugenia. "Organización y metodología de la enseñanza del francés en el Modo de enseñar las lenguas y ciencias [...] de J.A. González Cañaveras". Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde 18, n.º 1 (1996): 225–41. http://dx.doi.org/10.3406/docum.1996.1157.

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José Antonio González Cañaveras est un personnage qui mérite d’être récupéré de l’oubli : les positions qu’il maintient dans son oeuvre (Modo de enseñar las Lenguas y Ciencias), menées partiellement à la pratique (il fut le Directeur du Séminaire de Cádiz), attestent des vues réformatrices non seulement quant à l’organisation générale des études «secondaires», ou au curriculum de celles-ci, mais aussi quant au programme et à la didactique des différentes matières d’étude. Il défend ainsi une période spécifique de formation, d’une durée de 7 ans, qui doit précéder l’Université et qui doit en être indépendante. L’enseignement des langues y occupe une place capitale : les deux premières années sont consacrées presque totalement à rapprends sage d’une langue étrangère ou du latin (au choix) ; l’enseignement de la langue maternelle est également considéré comme nécessaire. Quant à l’enseignement du français-langue étrangère, les conseils qu’il prodigue dans l’édition de 1794 se situent dans la même lignée de renouvellement méthodologique de P.N. Chantreau : il critique que les manuels ne soient pas adaptés aux besoins et au niveau des élèves ; il affirme le besoin d’un apprentissage raisonné ces concepts et des règles de grammaire, il défend la place importante de l’usage, de la pratique de la langue. Cependant sa Cartilla, publiée dix ans auparavant, ne contient pas de réalisations novatrices, puisqu’elle se réduit à un catalogue de règles visant une lecture correcte. A mi-chemin entre la modernité et la tradition, ses propositions reflètent comment les influences européennes (Port-Royal, l’empirisme) commencent à se faire sentir en Espagne à la lin du XVIIIe siècle.
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Schweitzer, Claudia. "Des différents types d’utilisation de la notation musicale pour visualiser l’intonation du français : entre tradition et modernité". Travaux de linguistique 86, n.º 1 (8 de noviembre de 2023): 133–56. http://dx.doi.org/10.3917/tl.086.0133.

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Pour décrire la prosodie d’une langue, les chercheurs modernes se servent généralement de 3 paramètres : la fréquence fondamentale, la durée et l’amplitude des sons, aujourd’hui analysables de manière instrumentale. Différents outils permettent ainsi de calculer et de visualiser des spectogrammes, des courbes mélodiques ou d’intensité. Pourtant, les statistiques et graphiques ainsi obtenus sont souvent difficiles à interpréter pour celui qui n’a pas l’habitude de travailler dans ce domaine, voire d’utiliser ces logiciels. C’est pourquoi certains auteurs se servent d’autres types de visualisation, plus ou moins concrets ou abstraits. Parmi les différents modèles, un type de visualisation a notamment une longue tradition en France : celui de la notation musicale qui remonte jusqu’aux débuts de la grammaire française au XVI e siècle. La transcription musicale permet de montrer graphiquement, de manière facilement accessible, différents phénomènes prosodiques, comme la hauteur et la durée, sur un seul support. Grâce à sa connaissance auprès d’un grand public et à sa facilité d’adaptation à différents courants de pensée, la notation musicale n’a cessé d’animer l’imagination des chercheurs, et cela, jusqu’à aujourd’hui. Cet article montre les critères théoriques et pratiques selon lesquels les auteurs des différents siècles et courants se servent du référant « musique » pour visualiser la mélodie ou l’intonation du français.
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Larcher, Pierre. "L’étrange destin d’un livre". Historiographia Linguistica 41, n.º 1 (10 de junio de 2014): 109–26. http://dx.doi.org/10.1075/hl.41.1.04lar.

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Résumé Les arabisants “classicisants” continuent de se référer à A Grammar of the Arabic Language de William Wright (1830–1889), qu’ils citent généralement sans plus de précision. Ce faisant, ils dissimulent la longue histoire de cet ouvrage. Au premier chef, il est la traduction, parue en 2 volumes (1859 et 1862), de la 2e édition, en langue allemande, de la Grammatik der arabischen Sprache (1859) de Carl Paul Caspari (1814–1892). Mais cet ouvrage a lui-même une longue histoire. Une première édition en était parue, en latin, en 1848, sous le titre de Grammatica arabica. La première partie (Doctrina de elementis et formis) avait même été imprimée, une première fois, en 1844. Dans la préface à l’édition latine de 1848, Caspari cite ses deux principales sources: la Grammaire arabe (11810, 21831) d’Antoine-Isaac Silvestre de Sacy (1758–1838) et la Grammatica critica linguae arabicae, en deux volumes (1831 et 1833), de Heinrich Ewald (1803–1875). La version allemande de la Grammaire arabe de Caspari fut rééditée en 1866. Une nouvelle édition en parut en 1876, révisée par August Müller (1848–1892). Cette 4e édition fut traduite en français (deux tirages en 1880 et 1881) par une personnalité étonnante, le Colombien Ezequiel Uricoechea (1834–1880). Elle fut également rééditée (5e et dernière édition) en 1887. Quant à la Grammaire arabe de Wright, une seconde édition, “révisée et grandement augmentée”, en parut, en 2 volumes, en 1874 et 1875, et une troisième édition, révisée par William Robertson Smith (1846–1894) et Michael Jan de Goeje (1836–1909), également en 2 volumes, en 1896 et 1898. Cette troisième édition, avec quelques modifications dues à Anthony Ashley Bevan (1859–1933), fut réimprimée en 1933: c’est à elle, constamment réimprimée, que se réfèrent généralement les arabisants. La Grammaire arabe de Wright apparaît ainsi comme le travail collectif de l’orientalisme européen du XIXe et de la première moitié du XXe siècle, en venant rappeler au passage qu’il est impossible d’en faire l’histoire sans la connaissance de deux de ses grandes langues académiques: le latin et l’allemand.
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Hea-ok YUH. "Approche d'un cours de culture française à l'aide de peintures du 19e siècle: exemple sur le développement de l’enseignement de la langue et de la culture en français". ASSOCIATION CULTURELLE FRANC0-COREENNE ll, n.º 30 (mayo de 2015): 247–75. http://dx.doi.org/10.18022/acfco.2015..30.009.

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Giordano, Christian. "Nation". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Resumen
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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