Literatura académica sobre el tema "Faire soi-Même"

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Artículos de revistas sobre el tema "Faire soi-Même"

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Pierron, Jean-Philippe. "Faire son pain soi-même". Études Juin, n.º 6 (24 de mayo de 2022): 65–66. http://dx.doi.org/10.3917/etu.4294.0065.

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Dubbeld, Sabrina y Anne-Sophie Aguilar. "« Publicité et graffiti… même combat. Faire parler de soi. »". Sociétés & Représentations N° 54, n.º 2 (12 de septiembre de 2022): 309–33. http://dx.doi.org/10.3917/sr.054.0309.

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3

Puget, Janine. "Le faire ensemble et avec soi-même. Deux contextes superposés". Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe 64, n.º 3 (2014): 67. http://dx.doi.org/10.3917/rppg.064.0067.

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Alland, Denis. "Justice privée (Droit de se faire justice à soi-même)". Droits 34, n.º 2 (2001): 73. http://dx.doi.org/10.3917/droit.034.0073.

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Paquot, Thierry. "Isolé ou solitaire en terre urbaine". Diversité 157, n.º 1 (2009): 38–44. http://dx.doi.org/10.3406/diver.2009.3064.

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Resumen
L’isolé et le solitaire n’appartiennent pas au même univers, ne ressentent pas le monde pareillement, il convient de bien les distinguer et de considérer que l’isolement désigne une impossibilité communicationnelle, une difficulté à être avec et parmi, à «faire ensemble» comme disent les sociologues, alors que la solitude relève d’un art de vivre, elle consiste en un moment où volontairement l’on se met à l’écart des autres, pour faire le point avec soi-même et pour mieux revenir aux autres.
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Doré, Antoine y Frédéric Nicolas. "Infrapolitiques des paniques morales : faire face et faire sens de « la guerre du loup »". Emulations - Revue de sciences sociales, n.º 41 (20 de junio de 2022): 165–88. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.041.08.

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Resumen
En nous intéressant à la panique morale à laquelle donne lieu le retour du loup, nous montrons que les paniques morales n’ont pas pour seuls effets d’entraîner le débat public et d’enclencher des processus réglementaires et législatifs en même temps que des formes de contrôle social, mais qu’elles ont des effets sur ceux qu’elles désignent comme déviants ou immoraux. Ces effets se donnent à voir dans l’exercice des métiers d’éleveurs et de gardiens de troupeau, mais également dans le cadre de sociabilités extra-professionnelles au sein de l’espace social localisé et de la maisonnée. Si les professionnels du pastoralisme ne sont pas dépourvus de ressources pour tenter de renverser le stigmate de la panique morale, nous montrons néanmoins que celle-ci donne davantage lieu à des formes ordinaires de résistance qui consistent à se ménager une forme de quant-à-soi ou de chez-soi.
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PIRON, Florence. "Répondre de soi : Réflexivité et individuation dans le récit de soi d’une jeune Québécoise". Sociologie et sociétés 28, n.º 1 (30 de septiembre de 2002): 119–34. http://dx.doi.org/10.7202/001563ar.

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Resumen
Résumé Dans les sociétés occidentales contemporaines, le " soi moral ", spontanément soucieux d'autrui et non indifférent à sa souffrance, est en danger : on ne lui fait pas confiance, on veut l'encadrer par des règles et des lois morales, de peur que, laissé à lui-même, l'être humain soit incapable d'agir moralement dans ses rapports avec autrui. Il est donc vital et urgent de revaloriser, tant dans le quotidien que dans le savoir produit sur ce monde vécu, celui des sciences sociales. Dans cet article, l'auteure tente de le " faire exister " à l'intérieur du récit d'une jeune Québécoise : en se racontant, le soi fait lui-même exister des formes de rapports avec autrui, d'individuation et d'évaluation reflexive de ses actions qui sont constitutives d'un dispositif (" répondre de soi ") à l'intérieur duquel on peut lire des indices de l'existence d'un soi moral vécu.
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Dromard, Ingrid. "Vie et travail". Serviço Social e Saúde 20 (31 de diciembre de 2021): e021007. http://dx.doi.org/10.20396/sss.v20i00.8668155.

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Resumen
Le travail, tel que le conçoit la démarche ergologique, est une mobilisation de soi. Le travail est donc à la fois subjectif et en même temps il permet à chacun de s’individualiser. Mais travailler c’est aussi faire avec les autres. Travailler en santé c’est réussir à faire avec ce que l’on est, ce que l’on a et faire avec ceux qui nous entourent. Lorsque l’on subit notre travail comme quelque chose qui s’impose à soi, sans trouver l’équilibre entre nos propres normes et celles qui proviennent de l’environnement physique et social dans lequel nous nous inscrivons, alors il y a un risque pour notre santé. La qualité de vie au travail relève nécessairement d’un compromis équilibré entre plusieurs logiques qu’il faudrait réussir à faire dialoguer dans des espaces dédiés, tels que les Groupes de Rencontres du Travail (GRT).
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Maillard Romagnoli, Nathalie. "Propriété de soi et indifférence morale du rapport à soi". Les ateliers de l'éthique 6, n.º 1 (28 de marzo de 2018): 4–15. http://dx.doi.org/10.7202/1044297ar.

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Resumen
Je m’interroge dans cet article sur les implications du principe libertarien de la pleine propriété de soi sur la question du rapport moral à soi-même. À travers le principe de la pleine propriété de soi, les libertariens défendent la liberté entière de chacun de vivre comme il l’entend, pourvu que les droits des autres soient respectés. Apparemment, ce principe n’a pas grand-chose à nous dire sur ce que nous sommes moralement autorisés à nous faire à nous-mêmes ou non. Certains libertariens, comme Vallentyne, soutiennent toutefois que le principe de la pleine propriété de soi est incompatible avec l’existence de devoirs envers soi. La pleine propriété de soi impliquerait l’indifférence morale du rapport à soi. Je soutiens dans cet article que le principe de la pleine propriété de soi n’implique pas que ce que nous nous faisons à nous-mêmes soit moralement indifférent. Je veux aussi montrer que même si les libertariens, et en particulier Vallentyne, soutiennent la thèse de l’indifférence morale du rapport à soi, celle-ci n’est pas liée à la thèse de la pleine propriété de soi, mais bien plutôt à leur subjectivisme moral.
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Sabourin, Charlotte. "Les Lumières et la part d’ombre de la raison pure". Philosophiques 43, n.º 2 (5 de diciembre de 2016): 185–206. http://dx.doi.org/10.7202/1038203ar.

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Resumen
Cet article vise à souligner l’importance du rôle joué par la conception kantienne des Lumières dans la Critique de la raison pure. On verra en effet que la connaissance de soi au coeur du projet critique gagne à être comprise en relation avec l’idée de penser par soi-même. Cette connaissance de soi dévoile cependant certaines erreurs tenaces commises par la raison, qui doivent précisément être rectifiées sous peine de compromettre la liberté de penser. La conception kantienne des Lumières nous permettra ainsi de faire sens de la nature réflexive de l’entreprise critique.
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Tesis sobre el tema "Faire soi-Même"

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Capeau, Fanny. "Le capital faire : les ressources du consommateur comme déterminant de son engagement dans le faire soi-même". Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2021. http://theses.univ-amu.fr.lama.univ-amu.fr/211112_VIDAL_976yzskvu891p934u825rba_TH.pdf.

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Le Faire soi-même dans la consommation connaît un renouveau porteur d’enjeux importants, tant pour les professionnels de nombreux secteurs en termes de performances économiques (bricolage, cosmétiques, loisirs créatifs, etc.), que pour les pouvoirs publics (développement durable, bien-être du pratiquant). Ce travail doctoral s’inscrit dans le courant du marketing relationnel et vise à comprendre les déterminants de l’engagement dans le Faire, en s’appuyant sur la notion de ressources du consommateur. Il ancre conceptuellement le Faire dans la Perspective des Loisirs Sérieux, la prosumption, l’empowerment et le néo-tribalisme. Il transpose ensuite, aux activités du Faire, le cadre théorique de la Job Demands-Resources Theory, utilisé en psychologie sociale pour modéliser l’engagement dans le travail. Cette transposition permet d’identifier les ressources en jeu dans le Faire - le « Capital Faire » du pratiquant - et leur rôle dans l’engagement du consommateur. La recherche adopte une approche pragmatique multiméthodes, construite autour d’une étude qualitative exploratoire articulant immersion ethnographique et entretiens, suivie d’une étude quantitative confirmatoire basée sur l’approche PLS-SEM. Le modèle original proposé combine des ressources internes au consommateur (ex : Capital Psychologique) et des ressources externes, disponibles sur le marché (ex : support social des pairs-consommateurs, lieux physiques dédiés à la pratique), chacune avec des impacts significatifs sur la pratique. Il contribue ainsi à dessiner les contours d’un management par les ressources, avec des applications managériales (stratégie marketing), et sociales (développement du bien-être)
Do-it-yourself consumption is experiencing a revival with important stakes, both for professionals in many sectors in terms of economic performance (home improvement, cosmetics, hobbies, etc.), and for public authorities (sustainable development, well-being of the practitioner). This doctoral work is part of the relational marketing movement and aims to understand the determinants of engagement in making activities, based on the notion of consumer resources. It conceptually anchors Making in the Serious Leisure Perspective, prosumption, empowerment and neo-tribalism. It then transposes to the activities of Making the theoretical framework of Job Demands-Resources Theory, used in social psychology to model work engagement. This transposition makes it possible to identify the resources at stake in Making - the "Maker Capital" of the practitioner - and their role in consumer engagement. The research adopts a pragmatic multi-method approach, built around an exploratory qualitative study articulating ethnographic immersion and interviews, followed by a confirmatory quantitative study based on the PLS-SEM approach. The original model proposed combines resources internal to the consumer (e.g., psychological capital) and external resources available on the market (e.g., social support from peer-consumers, physical places dedicated to the practice), each with significant impacts on the practice. It thus contributes to drawing the contours of a management based on resources, with managerial (marketing strategy) and social (development of well-being) applications
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Libros sobre el tema "Faire soi-Même"

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Martine, Nadeau Lescault, ed. Faire son testament soi-même. [Montréal]: Éditions de l'Homme, 1987.

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Nicolas, Massey, ed. Comment faire sa publicité soi-même. 3a ed. Montréal, Qué: Éditions Transcontinental, 2002.

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3

Cossette, Claude. Comment faire sa publicité soi-même. Montréal: Transcontinental, 1988.

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4

Post, Jean. Faire soi-même l'autodiagnostic de son entreprise. Saint-Maur-des-Fossés: Éditions Dalian, 1986.

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5

Francisca, Jacobs, ed. Doudous et poupées à faire soi-même. Paris: Le Temps apprivoisé, 2007.

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6

Nadia, Mackenzie, Petit-Vidalie Valérie y Blot Nicolas, eds. Objets de Noël à faire soi-même. [Courbevoie]: Éd. Soline, 1999.

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7

Lucinda, Symons, Hillairet Marie-Line y Blot Nicolas, eds. Objets à offrir à faire soi-même. [Courbevoie]: Éd. Soline, 1999.

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8

-, Curt Claire 19, ed. Le lin: 40 objets à faire soi-même. Genève (Suisse): Minerva, 2004.

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Lampes et abat-jour: A faire soi-même. Paris: Ed. du Carrousel, 1999.

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10

101 traitements de beauté à faire soi-même. Montréal: Québécor, 1987.

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Capítulos de libros sobre el tema "Faire soi-Même"

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TOURNEUX, Henry. "Pour installer le développement au cœur des préoccupations des spécialistes des langues et cultures et les langues et cultures au cœur des préoccupations des spécialistes du développement". En Voix africaines, voies émergentes, 129–46. Editions des archives contemporaines, 2022. http://dx.doi.org/10.17184/eac.5721.

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Dans le domaine du développement, les organismes nationaux et internationaux procèdent par objectifs ou par projets, généralement conçus à l’extérieur de la communauté censée en bénéficier. Pourtant, rien n’empêche, en soi, qu’un projet émane de la communauté elle-même, même si elle devra chercher ailleurs un soutien financier et technique. Si une telle démarche existait, elle exigerait que l’on parte de l’expression linguistique et culturelle des personnes concernées. C’est à ce niveau que se situerait le rôle du spécialiste de la langue et de la culture, pour faire en sorte que les destinataires du projet ne soient pas marginalisés sur le terrain. Mais on constate souvent que les spécialistes de la langue et de la culture ne se sentent pas concernés par ces projets, qui les éloignent, pensent-ils, de leurs préoccupations scientifiques et professionnelles. Parallèlement, les organismes nationaux et internationaux ont l’impression de perdre du temps en l’investissant dans la langue (ou les langues) et dans les aspects culturels. Notre idée est donc de faire collaborer systématiquement « développeurs » et « linguistes », en tenant compte du fait que chacun travaille selon une temporalité différente.
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de Mijolla-Mellor, Sophie. "Amitié et amour : passages". En Amitié et amour : passages, 107–30. In Press, 2023. http://dx.doi.org/10.3917/pres.brun.2023.01.0108.

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Le « coup de foudre » qui signe la puissance des affinités électives repose sur la fascination de chacun des protagonistes face à leur mouvement de dessaisissement narcissique envers l’autre. Mais, dès le moment où un couple a constitué une unité isolée, il court le même risque d’étouffement que l’individu et il lui faut sortir de soi pour ne pas tomber malade par stase libidinale, autrement dit par ennui. L’addiction au risque d’aimer à nouveau ailleurs se présente alors, conséquence de l’incapacité à élaborer au sein du couple ce qui peut tenir la place de l’autre. Partant de Goethe et de Stendhal, on interroge ici l’incapacité à se détacher du risque passionnel en la confrontant à la nécessité qu’éprouvent certains sujets de miser leur vie pour la vivre intensément. Face à cette quête narcissique infinie, l’objet se limite à sa capacité de faire défaut, ce qui le rend apte à figurer à l’extérieur du Moi le manque autour duquel il s’organise.
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DIEU, Olivier, Mehdi BELHOUCHAT, Clément LLENA, Thierry PEZÉ, Alessandro PORROVECCHIO, François POTDEVIN y Rémy HURDIEL. "Impact du dispositif Universanté sur les représentations du sport d’étudiants en STAPS". En Revue Education, Santé, Sociétés, Vol. 7, No. 2, 175–98. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.4670.

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Resumen
L’éducation à la santé dispensée dans les parcours universitaires en sciences du sport (STAPS) apparait marginale, rendant nécessaire l’évaluation des dispositifs de formation. Le but de cette étude est de mesurer l’impact de deux stratégies d’éducation à la santé sur 250 étudiants de première année STAPS interrogés sur leurs croyances et leurs motivations vis-à-vis du sport. Le groupe contrôle a suivi un parcours classique sans « action santé », un premier groupe expérimental a suivi un module d’activités physiques de développement et d’entretien de soi (Fit-Ulco), un second groupe a suivi le même module et a assisté à une journée d’évaluation de la santé (Universanté). Si les trois dispositifs n’ont pas d’effets sur le profil motivationnel des étudiants, ils impactent leur croyance initiale vis-à-vis du sport. Le cursus classique amplifie la croyance initiale dans le caractère modifiable de l’habileté sportive. Le Fit-Ulco stabilise la croyance initiale dans l’aspect modifiable de l’habileté. La combinaison : Universanté et Fit-Ulco rééquilibre la croyance initiale en majorant le caractère stable de l’habileté. En termes de réflexivité sur l’objet sport, la combinaison d’action d’évaluation de la santé et de mises en œuvre concrètes pondère la représentation initiale qu’ont les étudiants STAPS dans les vertus de l’entraînement pour faire évoluer la capacité athlétique.
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"Les musulmans, assurément, peuvent prier observer le ramadan, aller (éventuellement) en n’importe où, mais pourquoi n’auraient-ils pas pèlerinage à La Mecque, en quoi est-ce plus leurs lieux de culte? Ceux qui s’épouvantent à gênant pour l’ordre public que d’assister à la l’idée (au fantasme) de voir le « sol de France », messe, payer le denier du culte [6], faire comme dit P. Chaunu [1], se couvrir de minarets carême [7], aller à Lourdes, ou monter à (mais beaucoup de mosquées n’ont pas de genoux [8] les marches du Sacré-Cœur [9]? minaret) montrent non seulement qu’ils n’ont A lire [10] les derniers sondages sur certaines aucun sens esthétique (ont-ils jamais admiré les mœurs hexagonales [11], on regrette (presque) mosquées de Fès ou de Damas?), mais, surtout, que la deuxième religion de France ne soit pas qu’ils ne comprennent rien à la fonction de la première: si davantage de Français régulation sociale de la mosquée [2]. pratiquaient l’islam ou s’en inspiraient, n’y Comme l’église autrefois pour les Polonais aurait-il pas un peu moins de crasseux (67 p.100 du Nord (et pour les Polonais de la Pologne de avouent qu’ils ne se lavent pas tous les jours), Jaruzelski), comme le local de la section un peu moins d’obèses (61 p.100 sont trop syndicale ou du parti, la mosquée est d’abord gros), beaucoup moins d’ivrognes?… un lieu de réunion et d’expression: on s’y Il y aurait davantage de polygames, de retrouve entre soi – on se retrouve [3] –, on y est femmes cloîtrées? Mais il n’est nul besoin d’être reconnu à part entière [4] et, parce qu’on a musulman pour maltraiter sa femme: il suffit conscience d’appartenir à un groupe, on a soi-d’être un rustre. Apparemment, ils ne manquent même davantage conscience d’être quelqu’un – pas, puisque les pouvoirs publics ont dû ouvrir une personne. des centres d’accueil pour les femmes que leurs Plus de dignité, une identité plus forte – sans maris battaient. Lesquels, bien entendu, ne sont oublier l’information qui s’échange, la culture pas plus chrétiens que les autres ne sont qu’on reçoit ou développe: loin de séparer, ou musulmans: ce n’est pas une religion, quelle d’opposer, la mosquée intègre, ou permet de qu’elle soit, qui détermine le statut des femmes, mieux s’intégrer à la société … française. c’est la structure et le mode d’organisation L’expérience prouve que plus un être est d’une société. Au XIX siècle, la plupart des enraciné dans sa propre culture, plus il est Françaises étaient aussi « musulmanes » que susceptible d’en acquérir une autre. Ce sont les peuvent l’être aujourd’hui des Saoudiennes, des sans-culture qui sont condamnés à vivre dans Siciliennes ou des Calabraises… les marges. Épaves ou fauteurs de troubles [5]. Fréquenter une mosquée, faire l’aumône",. En Francotheque: A resource for French studies, 74–86. Routledge, 2014. http://dx.doi.org/10.4324/978020378416-12.

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Actas de conferencias sobre el tema "Faire soi-Même"

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Sonesson, Göran. "Rhetoric from the standpoint of the Lifeworld". En Le Groupe μ : quarante ans de rhétorique – trente-trois ans de sémiotique visuelle. Limoges: Université de Limoges, 2010. http://dx.doi.org/10.25965/as.3106.

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Resumen
La rhétorique du point de vue du monde de la vie La rhétorique de l’image dont parlait Barthes, reprise d’une manière beaucoup plus systématique dans les travaux du Groupe µ, n’est qu’une partie de la rhétorique classique, l’elocutio, mais c’est aussi celle qui a dominé dans l’Occident pendant ces derniers 500 ans. À l’extérieur de la sémiotique, cependant, le renouveau de la rhétorique à l’époque contemporaine tend à concevoir cette dernière comme la science qu’étudie la communication. Or, nous savons que la sémiotique a souvent été identifiée comme étant la science de la communication, et un autre candidat à ce titre est sans doute l’herméneutique. Alors que ces trois disciplines ont toutes trait au processus entier, elles le conçoivent dans une perspective chaque fois différente. La rhétorique prend le point de vue du créateur du message : il demande comment il faut s’exprimer pour obtenir l’adhérence de l’autre. L’herméneutique prend le point de vue du récepteur : sa question porte sur les moyens pour comprendre le message de l'autre. La sémiotique prend une position intermédiaire aux deux autres, c’est-à-dire au sein de la phase allant de l’artefact à sa concrétisation : elle demande quelles sont les ressources disponibles pour faire se produire le processus. À une telle rhétorique informée par la sémiotique la contribution du Groupe µ a été de toute première importance. Cependant, l’investigation des ressources disponibles, qui sont différentes dans le cas de l’image que dans celui de la langue, peut recevoir une base plus certaine en partant du monde de la vie, dans le sens de la phénoménologie, qui est aussi celui de l’écologie dans le sens de Gibson et le monde naturel tel que le comprend Greimas. Si l’on veut comprendre la manière dont la divergence est produite dans les images, il faut commencer par considérer ce qui est donné pour acquis, dans le sens à la fois de ce qui est normal, et de ce qui est normatif. Dans le monde de la vie, il y a certaines choses qui ont tendance à se présenter ensemble, en contiguïté ou comme des parties d’un tout (désormais, la factorialité). C’est la dimension indicielle. Mais le sens commun s'attend également à ce que les choses qui apparaissent ensemble soient suffisamment différentes pour pouvoir être distinguées, sans aller à l'extrême opposé de s’exclure mutuellement (une observation qui peut être entendue comme une généralisation de ce que le Groupe µ dit sur la norme de l’image, la homomatérialité et la hétéroformalité). En ce sens, il y a une rhétorique de trop de ressemblance ainsi que de trop de différence. Nous appellerons ceci la dimension iconique. Une troisième rhétorique prend son point de départ dans le caractère de signe de l'image. Nos attentes sont déçues tant en trouvant une trop grande partie de la réalité dans l'image qu’en rencontrant des niveaux supplémentaires de fiction au sein du contenu pictural. On peut appeler ceci la dimension symbolique. Enfin, les images remplissent des fonctions différentes dans une société donnée et sont, en raison de ce fait, imputables à diverses catégories, donnant ainsi lieu à une quatrième rhétorique dans laquelle nos attentes, en ce qui concerne les catégories sociales auxquelles les images sont assignées, ne sont pas remplies. On peut parler ici d’une dimension de catégorisation socioculturelle. Avant d’aborder les figures rhétoriques, ou ce qui en tient lieu, il est cependant nécessaire de discuter dans quelle mesure les ressources des images comprennent une part de dispositio, dans d’autres termes, une structure argumentative. Si nous définissons une affirmation comme étant une construction verbale, alors il est trivialement vrai que les images ne peuvent rien affirmer. Toutefois, si nous définissons une affirmation plus simplement comme une opération, au moyen de laquelle une propriété particulière est assignée à une entité particulière, alors il est possible pour l'image de faire des affirmations à la façon des images. Or, même ceci peut sembler impossible, s’il est vrai que les images, comme on l’a souvent dit, ne font que reproduire le monde de notre expérience. Au contraire, il faut admettre que les images peuvent se servir des arguments qui, dans le sens de Perelman, s’appuient sur la structure de la réalité ou servent à changer cette structure-là. Il s’ensuit que les transformations homogènes, contrairement à ce que suggère le Groupe µ, font aussi partie de la rhétorique, mais de la rhétorique de la dispositio. Considérée comme l’une des transformations possibles à partir du monde de la vie, la première dimension de la rhétorique correspond plus directement à la rhétorique telle qu’elle a été conçue par le Groupe µ, mais en retournant aux fondements jetés par la sémiotique phénoménologique proposée dans Pictorial concepts (1989). Contrairement au Groupe µ, nous proposons de distinguer les transformations portant sur la factorialité (la relation des parties au tout) et celles concernant la contiguïté. C’est « l’objet indépendant », dans le sens de James Gibson, qui fait la différence entre la contiguïté et la factorialité : il s’agit d’un degré d’intégration plus ou moins poussée. En fait, il y a sans doute des cas intermédiaires entre l’objet indépendant avec ses parties et la constellation arbitraire, mais ces cas-là sont aussi qualitativement vécus : le jeu, la série, l’ensemble. La rhétorique, de ce point de vue, relève de la méréologie, la science des parties et du tout, formalisée par Lesniewski en tirant son inspiration de Husserl et de Twardowski. Notre deuxième observation concerne la nature de l’opération nous faisant passer du monde de la vie à l’image. Dans la majorité de cas, l’opération rhétorique, pour fonctionner, à besoin non pas d’une absence de ce qui est attendu ou de la présence de quelque chose qui n’est pas attendu, mais des deux à la fois. Rares sont les cas (surtout s’agissant de la contiguïté) où une simple absence peut créer un effet de rhétorique. Dans les termes de la rhétorique générale d’abord conçue par le Groupe µ, la substitution est une opération rhétorique plus sûre que l’addition ou la suppression. D’autre part, dans le cas de la factorialité, l’effet est tellement différent selon les relations entre le tout et les parties qu’il faut spécifier la nature du rapport de la partie au tout. Il faut surtout distinguer le cas où quelque chose est ajouté à un tout qui est déjà en soi un objet indépendant, et le cas où les parties font partie d’un autre objet indépendant que le tout qui est perçu. Nos attentes peuvent être déçues par d’autres opérations que l’absence ou la présence d’un élément. Il peut y avoir une contradiction entre l’élément attendu et l’élément réellement présent. C’est la dimension iconique de la rhétorique. Les images, il est vrai, ne peuvent pas présenter des contradictions proprement dites, mais elles peuvent comporter toute sorte de manifestations d’une ressemblance ou d’une différence plus grande que ce que l’on a anticipé. Cet effet est présent dans plusieurs exemples considérés par le Groupe µ, sans que la spécificité de l’opération soit prise en compte. S’agissant d’un signe, en l’occurrence d’une image, il y a toujours un risque de confusion entre le signe et ce qui est signifié, et il est possible d’en tirer une rhétorique. À un extrême, le signe peut incorporer des objets réels ; à l’autre extrême, il peut contenir d’autres signes, notamment d’autres images, comme c’est le cas avec les images représentant d’autres images. Il s’agit donc de la dimension symbolique de la rhétorique. Finalement, la catégorisation des signes, dans ce cas les images, peut donner lieu à une rhétorique plus clairement socioculturelle. Les images peuvent être catégorisées en tenant compte de leur manière de construction, de la fonction qu’elles sont censées remplir dans la société, ou de leur manière de circuler à l’intérieur de la société. Les attentes qui peuvent être déçues dans ces cas ne concernent pas seulement l’appartenance de certaines images à des catégories particulières, mais surtout la combinaison de certaines catégories de construction avec certaines catégories de fonction et certaines catégories de circulation. Toute l’aventure du modernisme dans l’art plastique peut être conçue comme un vaste geste rhétorique à partir de la notion d’art à la fin du 18e siècle : une peinture à l’huile (construction) circulant dans des salons, des galeries et des musées (circulation) ayant pour but de produire un effet de plaisir esthétique (fonction). Dans le présent texte, j'ai suggéré que, contrairement aux signes verbaux, les images sont immédiatement rhétoriques, parce qu'elles nous offrent en même temps leur similitude et leur différence par rapport au monde de la perception. Par conséquent, j'ai fait observer que la rhétorique des images doit être fondée sur les structures de perception telles qu’elles apparaissent au sens commun, surdéterminées par le monde de la vie socioculturel spécifique. La dimension primaire de la rhétorique de l’image, l’indexicalité, dérive sa signification d'un écart par rapport à l'intégration relative des voisinages, des objets indépendants et des totalités de niveaux supérieurs. Elle peut concerner la contiguïté ou la factorialité, mais elle suppose d'habitude à la fois la présence de quelque chose d’inattendu et l'absence de quelque chose de prévu. L’iconicité, qui détermine la deuxième dimension, est fondée sur l'expectative d'une différenciation relative des objets du monde, qui ne suppose pas trop de similitude, ni trop de dissimilitude. La troisième dimension dépend du caractère fictif de l’image comme signe, dont les niveaux peuvent être confondus soit par une expérience trop directe, soit par des degrés de fiction trop nombreux. Finalement, la quatrième dimension concerne l'image en tant qu’objet social, faisant partie de certaines catégories de construction, de circulation, et de fonction. L'avantage de cette conception, par rapport au modèle de Groupe µ auquel il est endetté, consiste en son attention plus proche aux structures de la perception du sens commun.
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