Literatura académica sobre el tema "Fables françaises – 17e siècle"

Crea una cita precisa en los estilos APA, MLA, Chicago, Harvard y otros

Elija tipo de fuente:

Consulte las listas temáticas de artículos, libros, tesis, actas de conferencias y otras fuentes académicas sobre el tema "Fables françaises – 17e siècle".

Junto a cada fuente en la lista de referencias hay un botón "Agregar a la bibliografía". Pulsa este botón, y generaremos automáticamente la referencia bibliográfica para la obra elegida en el estilo de cita que necesites: APA, MLA, Harvard, Vancouver, Chicago, etc.

También puede descargar el texto completo de la publicación académica en formato pdf y leer en línea su resumen siempre que esté disponible en los metadatos.

Artículos de revistas sobre el tema "Fables françaises – 17e siècle"

1

Meune, Manuel. "l’absence à l’omniprésence de la traduction. Stratégies d’écriture dans le domaine francoprovençal rhônalpin". ALTERNATIVE FRANCOPHONE 3, n.º 5 (4 de diciembre de 2024): 96–118. https://doi.org/10.29173/af29515.

Texto completo
Resumen
Le francoprovençal, parlé historiquement en France, en Suisse et en Italie, a été langue de communication orale dès le 6e siècle et langue littéraire depuis le 13e siècle. Diffusé à partir de Lyon de part et d’autre des grands cols alpins, il comprend de nombreux dialectes, mais a souvent affiché son autonomie face au français. La production de textes en francoprovençal est désormais rare dans la région Rhône-Alpes, y compris en Savoie ou en Bresse, où il reste des locuteurs. La diffusion de la langue est devenue indissociable de la traduction vers le français s’il s’agit de trouver un public, même restreint — d’autant que les personnes comprenant encore la langue ne sont guère habituées à la lire. Pourtant, il fut un temps, notamment au 17e siècle, où l’on publiait des épopées ou du théâtre en francoprovençal sans traduction d’appoint. Seul le paratexte était en français. Au tournant du 20e siècle, nombreuses étaient encore les chroniques qui, dans les journaux locaux, étaient publiées uniquement en « patois ». Puis, à mesure que l’assimilation linguistique a progressé après 1945, le français est apparu aux côtés du francoprovençal, en particulier dans des bulletins d’associations de patoisants ou les glossaires, qui se sont multipliés depuis les années 1980 et sont souvent accompagnés d’histoires bilingues. La traduction vers le francoprovençal joue également un rôle, mais enrichie de commentaires métalinguistiques en français et surtout dans le cas de bandes dessinées ou de fables facilement accessibles en langue originale. Alors que la langue autochtone est devenue presque inaudible dans l’espace public, nous cherchons à illustrer les enjeux existant autour de la traduction, qu’il s’agisse d’autotraduction et d’écriture double (deux langues en regard), de coexistence des langues pour refléter l’ancienne diglossie sociétale, ou encore de la question de la graphie — régionale ou supradialectale selon le cas.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Tésio, Stéphanie. "Climat et médecine à Québec au milieu du 18e siècle". Scientia Canadensis 31, n.º 1-2 (23 de enero de 2009): 155–65. http://dx.doi.org/10.7202/019759ar.

Texto completo
Resumen
Résumé Successeur de Michel Sarrazin, Jean-François Gaultier, médecin normand, arrive à Québec, en 1742, avec la charge de médecin du roi. Sa correspondance avec l’Académie royale des Sciences de Paris copmrend une description minutieuse d’observations météorologiques, botaniques, agricoles et médicales, de même que de brèves notes sur les maladies régnantes (fièvres, maladies pulmonaires, maladies dysentériques), de cette ville de Nouvelle-France. Aussi, il est important de comprendre qu’il appartient au mouvement européen de la médecine météorologique, une approche conçue initialement par Hippocrate puis développée par Sydenham en Angleterre dans la seconde moitié du 17e siècle, dont l’objectif est d’établir une corrélation étroite entre la météorologie et la maladie. A la lumière de l’historiographie actuelle, Gaultier est le premier médecin à en témoigner officiellement dans les colonies françaises.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Colombo Timelli, Maria. "Mais où sont les proverbes d’antan ? Du Dialogus creaturarum à ses traductions françaises (1482-1550 ca)". Thélème. Revista Complutense de Estudios Franceses 37, n.º 2 (16 de diciembre de 2022): 151–58. http://dx.doi.org/10.5209/thel.82393.

Texto completo
Resumen
Composé en Italie au XIVe siècle, le Dialogus creaturarum fut traduit trois fois en français : deux fois en prose vers la fin du XVe siècle, une fois en vers autour de 1540. Dans ce recueil de 122 fables, les proverbes jouent un rôle majeur : non seulement ils résument la morale de chaque apologue, mais ils en marquent la structure interne, nettement bipartite entre delectare et docere. Cet article essaie de comparer le traitement que les traducteurs réservent aux proverbes, avec une attention particulière pour la dernière version, où l’enchâssement des distiques dans un texte organisé en strophes contribue parfois à leur effacement.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Álvarez Rubio, María Del R. "Entre la imitación y la adaptación: traducciones de las Fábulas literarias de Tomás de Iriarte en Francia (1802-1849)". Çédille 11 (1 de abril de 2015): 31. http://dx.doi.org/10.21071/ced.v11i.5582.

Texto completo
Resumen
Le recueil de Fábulas literarias (1782) de Tomás de Iriarte, l’un des poètes espagnols les plus traduits de son temps et par les générations postérieures, a été longtemps l’un des textes-sources étrangers les plus prisés en France au XIXe siècle dans le genre si cultivé des apologues. Imitées d’abord dans les productions poétiques d’autres auteurs, puis adaptées en vers dans des traductions complètes, ou rendues presque littéralement en prose dans les échantillons des histoires littéraires, les versions françaises des fables d’Iriarte relèvent en grande partie des mécanismes de la réécriture ; en même temps, elles reflètent une naissante conscience historiciste des traducteurs sur leur rôle. Notre but consiste à examiner l’évolution de la réception en français du recueil à travers un corpus choisi et représentatif de ses voies de diffusion pendant la première moitié du XIXe siècle.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Colombo Timelli, Maria. "Des animaux et des métiers". Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 34 (31 de diciembre de 2022): 32–59. http://dx.doi.org/10.1075/rein.00058.col.

Texto completo
Resumen
Résumé Composé par un auteur anonyme au xiv e siècle, le Dialogus creaturarum a connu deux traductions françaises, qui portent la même date (1482) et qui semblent se baser sur le même modèle latin. Cela ne peut qu’encourager le linguiste à comparer les deux versions vernaculaires: bien que mené sur un corpus limité (une petite dizaine de “Dialogues” sur 122), un tel examen confirme, d’un côté, la liberté dont les traducteurs du xv e siècle disposaient face à leur source; et révèle de l’autre la technique de chacun – une technique qui peut aussi dépendre des destinataires: si Colard Mansion composait ses beaux manuscrits pour les lecteurs de la cour de Bourgogne, l’imprimé sorti des presses de Geraert Leeu à Gouda visait indubitablement un public plus large, certes intéressé par le contenu de ces “fables”, mais sans doute moins sensible aux finesses stylistiques de la prose française de ce temps.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

Colombo Timelli, Maria. "Dauphin, sirène, coq basilic, vent marin". Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 33 (31 de diciembre de 2021): 10–30. http://dx.doi.org/10.1075/rein.00048.col.

Texto completo
Resumen
Résumé Le Dialogus creaturarum, recueil de 122 fables compilé au XIVe siècle par un auteur anonyme, a joui d’un succès européen, manuscrit et imprimé, qui s’est prolongé jusque vers 1550; trois versions françaises en sont connues: les deux premières en prose, l’une de Colard Mansion (1482), l’autre anonyme (1482 également), la plus tardive, manuscrite et en vers, de Jean Gontier (ca 1539–1549). Les créatures de Dieu, protagonistes de ces récits, y interviennent selon l’ordre de la Genèse: la section consacrée aux poissons, la quatrième, comprenant les dialogues 37 à 48. L’intérêt du recueil ne réside pourtant pas dans ce qu’il nous dit sur les poissons (il ne fait que confirmer le caractère non homogène de la catégorie, qui indique au Moyen Âge un groupe malaisé à appréhender, piscis étant tout animal / être vivant qui vit dans l’eau), ni dans le contenu des enseignements impartis (conseils de prudence; mises en garde contre les femmes ou les vices: avarice, hypocrisie, superbe, colère, ingratitude; les fables sur les poissons ne se distinguant pas des autres), ni encore dans les descriptions fournies, mais justement dans la présence même de ces êtres dans un recueil de fables. L’analyse proposée ici prend en compte tant les aspects lexicographiques et textuels que l’iconographie, qui concourt, dans l’ensemble de la tradition, à l’approche et à la compréhension du recueil.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

Nejedlý, Martin. "Reinardus en Bohême". Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 31 (31 de diciembre de 2019): 80–114. http://dx.doi.org/10.1075/rein.00027.nej.

Texto completo
Resumen
Résumé L’article retrace la représentation du renard dans les sources tchèques à travers les siècles. En partant de l’image du prince perfide de la Chronique de Kosmas (début du XIIe siècle) et du traître flagorneur dans la Chronique en vieux tchèque dite de Dalimil (début du XIVe siècle), en passant par le renard rusé des fables en tchèque et par la figure du mauvais conseiller des rois dans le miroir des princes de Smil Flaška de Pardubice (XIVe siècle), cette veine de représentation négative aboutit au XVe siècle, lors de la révolution hussite, à un portrait très défavorable de la bête rousse – aussi bien dans le camp de la reforme (La querelle de Prague et de Kutná Hora, vers 1420) que dans le camp catholique (Pavel Žídek, vers 1463). L’image change peu à peu grâce à l’œuvre de Dubravius et de Konáč de Hodiškov (XVIe siècle) et avant tout grâce aux manuels de deux jésuites du siècle suivant, Melchior Hanel et Václav Jandit, présentant le sage renard enseignant les autres animaux. L’adaptation de la matière des premières branches françaises du Roman de Renart en tchèque (par l’intermédiaire de l’allemand) date de 1845. Au XXe siècle, ses avatars aboutissent à la figure du héros (ou de l’héroïne) sympathique: la petite renarde rusée, transcrite en musique par Leoš Janáček, la Compagne malicieuse renarde de Josef Lada et le cynique et rusé « renard roux » commentant l’histoire tchèque dans la série BD culte Images de l’Histoire tchèque .
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

Pavón Benito, Julia. "¿Es necesario seguir investigando sobre la muerte? Una reflexión historiográfica y nuevas perspectivas". Vínculos de Historia Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, n.º 12 (28 de junio de 2023): 65–83. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2023.12.03.

Texto completo
Resumen
RESUMENLa historiografía sobre la muerte, desarrollada entre finales de los años setenta y noventa de la pasada centuria, tuvo especial interés y proyección a partir de las investigaciones trazadas por la tercera generación de Annales. Los planteamientos de esta corriente, en sintonía con los modelos de dicha escuela y avalados por la renovación del objeto histórico tras el estructuralismo, giraron alrededor del estudio de las condiciones materiales, actitudes, imágenes y gestualidad del hombre medieval ante la muerte. El cuerpo de esta fructífera reflexión, como parcela de la “historia de las mentalidades”, albergó novedades metodológicas, facilitando una visión y proyección heurística, debido al impacto que tuvo dentro del diálogo de la historia con las ciencias sociales y otras disciplinas del quehacer humanístico. A finales del siglo xx y comienzo del presente, el giro producido en el quehacer histórico ha otorgado un mayor protagonismo a lo social y cultural, colocando en el lugar protagonista ocupado durante décadas por la “historia de la muerte” otros intereses. Compete, por tanto, plantearse qué horizontes cabría dibujar, dentro de las coordenadas historiográficas de la actualidad, para las investigaciones sobre la muerte, cuyas paradojas siguen vigentes como recurso para conocer los fenómenos y manifestaciones propias de la civilización medieval.Palabras clave: Muerte medieval, historiografía de la muerte ABSTRACTThe historiography of death developed between the late 1970s and the 1990s was of special interest and projection. It was based on research carried out by the third generation of the Annales. The approaches developed in line with the models of this school of thought and underpinned by the renewal of the historical object following structuralism, revolved around the study of material conditions, attitudes, images and gestures of the medieval man in the face of death. The core of this prolific reflection as part of the “history of mentalities” contained methodological novelties facilitating a heuristic vision and projection due to the impact it had on the dialogue between History and Social Sciences and other humanistic disciplines. At the end of the 20th century and the beginning of the current the shift in historical endeavour has given greater prominence to what is social and cultural, placing other interests in the key role for decades occupied by the “history of death”. For researching into death, it is necessary therefore to consider what perceptions can be drawn within the historiographical coordinates of the present day whose paradoxes are still valid as a resource to understand the phenomena and manifestations of medieval civilisation.Keywords: mediaeval death, historiography of death REFERENCIASActas de las I Jornadas de Metodología Aplicada de las Ciencias Históricas. V. Paleografía y archivística, Santiago de Compostela, Universidade de Santiago de Compostela, Servicio de Publicaciones, 1975.Alexandre-Bidon, D., La mort au Moyen Âge: xiiie-xvie, París, Editorial Hachette, 1998.Alexandre-Bidon, D. y Treffort, C. (dirs.), A reveiller les morts. La mort au quotidien dans l’Occident médieval, Lyon, Presses Universitaires de Lyon, 1993.Ariès, P., Essais sur l’histoire de la mort en Occident du Moyen Âge á nous jours, París, Éditions du Seuil, 1975 (trad. Historia de la muerte en Occidente. Desde la Edad Media hasta nuestros días, 2000).—“Mourir autrefois”, en A. Brien et M. Lienhart (dirs.), La Mort au coeur de la vie, Colmar, Éditions Alsatia; Strasbourg, Oberlin, 1976, pp. 23-35.—L’homme devant la mort, París, Éditions du Seuil, 1977.—En face de la mort, París, Éditions du Cerf, 1983.—Images de l´homme devant la mort, París, Seuil, 1983.Aurell, J., Balmaceda, C., Burke, P. y Soza, F., Comprender el pasado, Madrid, Akal, 2013.Azpeitia Martín, M., “Historiografía de la ‘historia de la muerte’”, Studia historica. Historia medieval, 26 (2008), pp. 113-132.Baloup. D., “La mort au Moyen Âge (France e Espagne). Un bilan historiographique”, en I. Bazán y C. González Mínguez, El discurso legal ante la muerte durante la Edad Media en el nordeste peninsular, Bilbao, Universidad del País Vasco, 2006, pp. 13-32.Binski, P., Medieval Death. Ritual and Representation, Londres, British Museum Press, 1996.Boase, T. S. R., Death in the Middle Ages: mortality, judgment and remembrance, London, Thames and Hudson, 1972.Borsari, E., Trujillo, J. R. (eds.), La muerte en las literaturas medievales europeas (dosier monográfico), Revista de Literatura Medieval, 36, 2002.Braet, H. y Verbeke, W. (eds.), Death in the Middle Ages, Lovaina, Leuven University Press, 1987.Burgess, C., “By Quick and by Dead»: Wills and Pious Provision in late Medieval Bristol”, English Historical Review, 405 (1987), pp. 837-858.Carlé, M.ª C., Una sociedad del siglo xiv: los castellanos en sus testamentos, Buenos Aires, Universidad Católica Argentina, 1993.Carozzi, C., “La géographie de l’au-delà et sa signification pendant le Haut Moyen Âge”, en XXIX Settimana di Studi Sull’Alto Medievo, Spoleto, Centro Italiano di Studi sull’Alto Medioevo, 1983, pp. 423-481.—Le voyage de l’âme dans l’au-delà, d’après la littérature latine (ve-xiiie siècle), Roma, École Française de Rome, 1994.Chaunu, P., “Mourir à Paris (xvie-xviie-xviiie siècles)”, Annales. Économies, sociétes, civilisations, 31.I (1976), pp. 29-50.—Histoire quantitative, histoire sérielle. París, Armand Colin, 1978.Chiffoleau, J., La compatibilité de l’Au-delà. Les hommes, la mort et la religion dans la region d’Avignon à la fin du Moyen Âge, Roma, École Française de Rome, 1980.Choron, J., Death and Modern Man, Nueva York, Collier Books, 1964.—La Mort dans la pensée occidentale, París, Editions Payot, 1969.Daniell, C., Death and dying in England, Oxford, Oxford Bibliographies, 2014. http://www.oxfordbibliographies.com/view/document/obo-9780195396584/obo-9780195396584-0149.xml (recuperado 07.II.2023).Doudet, E. (textes recueillis), La mort écrite. Rites et rhétoriques du trépas au Moyen Âge, París, Presses de l’ Université Paris-Sorbonne, 2005.Eiras Roel, A. (coord.), Actas del II Coloquio de Metodología histórica aplicada. La documentación notarial y la historia, Santiago de Compostela, Secretariado de Publicaciones de la Universidad de Santiago de Compostela, 1982.Erlande-Brandenburg, A., Le roi est mort. Étude sur les funérailles, les sépultures et les tombeaux des rois de France jusqu’á la fin du xiiie siècle, Ginebra, Société Française d’Archéologie, 1975.Español, F., “El encuentro de los tres vivos y los tres muertos y su repercusión en la Península Ibérica”, en J. Yarza Luaces (ed. lit.), Estudios de Iconografía Medieval Española, Bellaterra, Universidad Autónoma de Barcelona, 1984, pp. 53-136—Lo macabro en el gótico hispano. Cuadernos de Arte Español, 70, Madrid, Historia 16, 1992. Favre, R., La mort au Siècle des Lumières dans la littérature et la pensée françaises, Lyon, Presses Universitaires de Lyon, 1978.Febvre, L., “Comment reconstituer la vie affective d´autrefois? La sensibilité et l´histoire”, Annales d´Histoire Sociale, 3.1/2 (1941), pp. 5-20. García-Fernández, M., “Familia, poder y religiosidad de una aristócrata bajomedieval gallega. Las últimas voluntades de doña Xoana de Castro (1467)”, Madrygal: Revista de Estudios Gallegos, 21 (2018), pp. 133-156.García-Fernández, M., “Testamentos femeninos para el estudio de la realidad señorial gallega a finales de la Edad Media: una aproximación comparada a las últimas voluntades de Guiomar Méndez de Ambia (1484) y doña Isabel González Noguerol (1527-1533), en M. Cabrera Espinosa y J. A. López Cordero (coord.), XI Congreso Virtual sobre Historia de las Mujeres, Jaén, Archivo Histórico Diocesano de Jaén, 2019, pp. 279-330.Gaude-Ferragu, M., D´or et de cendres: la mort et les funérailles des princes dans le royaume de France au Bas Moyen Âge, Presses Universitaires du Septentrion, Villeneuve d’Ascq, 2005.González Lopo, D. L., “Historia de las mentalidades. Evolución historiográfica de un concepto complejo y polémico”, Obradoiro de Historia Moderna, 11 (2002), pp. 135-190.Guiance, A., Muertes medievales, mentalidades medievales: un estado de la cuestión sobre la historia de la muerte en la Edad Media, Buenos Aires, Universidad de Buenos Aires, 1989.—Los discursos sobre la muerte en la Castilla medieval (siglos vii-xv), Valladolid, Consejería de Educación y Cultura de la Junta de Castilla y León, 1998.—“Introducción. Veinte años de historiografía sobre la muerte: un balance y un nuevo comienzo”, en F. Miranda García y M.ª T. López de Guereño Sanz (dir.), La muerte de los príncipes en la Edad Media, Madrid, Casa de Velázquez, 2020, pp. 1-16.Hadley, D. M., Death in Medieval England, Stroud, Tempus, 2001.Hernández Sandoica, E., Los caminos de la historia. Cuestiones de historiografía y método, Madrid, Síntesis, 1994.Huizinga, J., El otoño de la Edad Media. Estudios sobre las formas de vida y el espíritu durante los siglos xiv y xv en Francia y los Países Bajos, Madrid-Buenos Aires, Alianza Editorial-Revista de Occidente Argentina, 1930 y reeds. de 1947 y 1985.Joyce, P., “The return of history: postmodernism and the politics of academic history in Britain”, Past and Present, 158 (1998), pp. 207-235.Ladero Quesada, M. A., “Trayectorias y generaciones. Un balance crítico: la Edad Media”, en Pellistrandi, B. (ed..), La historiografía francesa del siglo xx y su acogida en España, Madrid, Casa de Velázquez, 2002, pp. 311-335.Lapesa, R., “El tema de la muerte en el Libro de Buen Amor”, en R. Lapesa, De la Edad Media a nuestros días, Madrid, Editorial Gredos, 1967, pp. 53-75.Lauwers, M., “Le sépulcre des pères et les ancêtres. Notes sur le culte des défunts à l’âge seigneurial”, Medievales. Langue. Textes. Histoire. La mort des grandes. Hommage à Jean Devisse, 31 (1996), pp. 67-78.—La Mémoire des ancêtres, le souci des morts. Morts, rites et société au Moyen Âge (Diocèse de Liège xie-xiiie siècle), París, Archives de sciences sociales des religions, 1997.Lavanchy, L., Écrire sa mort, décrire sa vie. Testaments de laics laussannois (1400-1450), Laussane, Université de Laussane, 2003.Lebrun, F., Les hommes et la mort en Anjou aux 17e et 18e siècles: essai de démographie et de psychologie historiques, Paris-La Haye, Mouton, 1971.Le Goff, J., La naissance du Purgatoire, París, Gallimard, 1981.Lemaître, J. L. (ed.), L’Église et la mémoire des morts dans la France Médiévale: communications présentées à la Table Ronde du CNRS, le 14 juin 1982, París, Études Augustiniennes, 1986.López de Guereño Sanz, M.ª T., Miranda García, F. y Cabrera, M. (eds.), Migravit a seculo. Muerte y poder de príncipes en la Europa medieval. Perspectivas comparadas, Madrid, Ed. Sílex, 2021.Lorcin, M. T., Vivre et mourir en Lyonnais à la fin du Moyen Âge, Paris, CNRS, 1981.Mâle, E., L´art religieux du xiiie siècle en France, París, Colin, 1898.—L´art religieux de la fin du Moyen Âge en France. Étude sur l´iconographie du Moyen Âge et sur ses sources d´inspiration, París, Librairie Armand Colin, 1908.Marandet, M. C., Le souci de l´au-delà: la pratique testamentaire dans la région toulosaine (1300-1450), Perpignan, Presses Universitaires, 1998.Mattoso, J., “O culto dos mortos na Península Ibérica (seculos vii a xi)”, Lusitania Sacra, 4 (1992), 2ª serie, pp. 13-37.—“A morte dos reis na Cronistica Pré-Alfonsina”, Estudos Medievais, 10 (1993), pp. 79-95.—“O poder e a morte”, Anuario de Estudios Medievales, 25/2 (1995), pp. 395-427.—(dir.), O Reino dos mortos na Idade Média peninsular, Lisboa, Edições João Sá da Costa, 1996.McManners, J., “Death and the French Historians”, en Whaley, J. (ed.), Mirrors of Mortality: Studies in the Social History of Death, London, Routledge, 1981, pp. 106-130.Miranda García, F. y López de Guereño Sanz, M.ª T., La muerte de los príncipes en la Edad Media: balance y perspectivas historiográficas, Madrid, Casa de Velázquez, 2020.Mitre Fernández, E., “El sentido medieval de la muerte. Reflexiones desde el prisma del siglo xx”, Anuario de Estudios Medievales, 16 (1986), pp. 621-639.—La muerte vencida. Imágenes e historia en el Occidente medieval (1200-1348), Madrid: Ediciones Encuentro, 1988.—“La muerte del rey: La historiografía hispánica (1200-1348) y la muerte entre las élites”, En la España Medieval, 11 (1988), pp. 167-183.—“Muerte y memoria del rey en la Castilla bajomedieval”, en G. Duby, G. (et al.), La idea y el sentimiento de la muerte en la historia y en el arte de la Edad Media (II), Santiago de Compostela, Secretariado de Publicaciones de la Universidad de Santiago de Compostela, 1992, pp. 17-26.—“Actitudes del hombre ante la muerte”, en González Mínguez, C. (ed.), La otra historia: Sociedad, cultura y mentalidades, Bilbao, Servicio Editorial de la Universidad del País Vasco, 1993, pp. 25-36.—“La muerte y sus discursos dominantes entre los siglos xiii y xv (reflexiones sobre recientes aportes historiográficos)”, en Serrano Martín, E. (coord.), Muerte, religiosidad y cultura popular, Zaragoza: Institución Fernando el Católico, 1994, pp. 15-34.Morin, E., L’Homme et la Mort. París, Seuil, 1970 (ed. rev. et augm. de 1950).La mort au Moyen Âge (Colloque de l´Association des Historiens Médiévistes Français réunis à Strasbourg en juin 1975 au Palais Universitaire), Strasbourg, Libraire Istra, 1977.La morte et l´au-delà en France méridionale (xiie-xve siècle), Tolouse, Privat, 1998.Nieto Soria, J. M., Ceremonias de la realeza. Propaganda y legitimación en la Castilla Trastámara, Madrid, Nerea, 1993.Nora, P., Les lieux de mémoire, Paris, Gallimard, 1984.Otero Piñeyro Maseda, P. S. y García-Fernández, M., “Los testamentos como fuente para la historia social de la nobleza. Un ejemplo metodológico: tres mandas de los Valladares del siglo xv”, Cuadernos de estudios gallegos, 60 (2013), pp. 125-169.Pasamar Alzuria, G., “La influencia de Annales en la historiografía española durante el franquismo: un esbozo de explicación”, Historia Social, 48 (2004), pp. 149-172.Pasche, V., Pour le salut de mon âme. Les Lausannois face à la mort, xiv siècle, Lausanne, Université de Lausanne, 1989.Pavón Benito, J. y García de la Borbolla, A., Morir en la Edad Media. La muerte en la Navarra medieval, Valencia, Universitat de València, 2007.Platelle, H., Présence de l’au-delà: une vision médiévale du monde, Villeneuve-d´Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2004.Peiró Martín, I., “Historiadores en el purgatorio. Continuidades y rupturas en los años sesenta”, Cercles: revista d’història cultural, 16 (2013), pp. 53-81.—Historiadores en España: historia de la historia y memoria de la profesión, Zaragoza, Prensas de la Universidad de Zaragoza, 2013.La religion populaire. Colloque international du Centre National de la Recherche Scientifique (Paris, 17-19 octobre 1977), Paris, CNRS, 1979.Royer de Cardinal, S., Morir en España. (Castilla Baja Edad Media), Buenos Aires, Universidad Católica Argentina, 1992.Sabatè i Curull, F., Lo senyor rei és mort: actitud i cerimònies dels municipis catalans baix-medievals davant la mort del monarca, Lleida, Universitat de Lleida, 1994.—Cerimònies fúnebres i poder municipal a la Catalunya baixmedieval, Barcelona, Dalmau, 2003.Serna Alonso, J., La historia cultural: autores, obras, lugares, Madrid, Akal, 2013.Sharpe, J., “Historia desde abajo”, en P. Burke (ed.), Formas de Hacer Historia, Madrid, Alianza, 1996 (1ª ed. inglesa, 1991), pp. 38-58.Schmitt, J. C., “Le suicide au Moyen Âge”, Annales. Économies. Sociétés. Civilisations, 31 (1976), pp. 3-28.Spiegel, G., “La historia de la práctica: nuevas tendencias en historia tras el giro lingüístico”, Ayer 62/2 (2006), pp. 19-50.Sutto, C. (ed.), Le sentiment de la mort au Moyen Âge, Quebec, L’ Aurore, 1979.Tenenti, A., La vie et la mort à travers l´art du xve siècle, Armand Colin, París, 1952.—Il senso della morte e l´amore della vita nel Rinascimento (Francia e Italia), Giulio Einaudi, Torino, 1957.—Piété baroque et déchristianisation en Provence au dix-huitième siècle: les attitudes devant la mort d´après les clauses des testaments, París, Seuil, 1973.—Mourir autrefois. Attitudes collectives devant la mort aux xviie et xviiie siècles, Paris, Gallimard, 1974.—“Les attitudes devant la mort: problèmes de méthode, approches et lectures différentes”, Annales Économies, Sociétés, Civilisations, 31. 1 (1976), pp. 120-132.—“Encore la mort: un peu plus qu’une mode? Annales Économies, Sociétés, Civilisations, 37 (1982), pp. 276-287.—La mort et l’Occident de 1300 à nos jours, París, Gallimard, 1983.Vovelle, M., “La mort et l’au-delà en Provence d’après les autels des âmes du Purgatoire xv-xx siècles”, Annales Économies, Sociétés, Civilisations, 24 (1969), pp. 1602-1634.Yarza Luaces, J., “Despesas que fazen los omnes de muchas guisas en soterrar los muertos”, en J. Yarza Luaces, Formas Artísticas de lo Imaginario, Barcelona, Anthropos, 1987, pp. 260-292—“La capilla funeraria hispana en torno a 1400”, en M. Núñez Rodríguez, M. y E. Portela (coords.), La idea y el sentimiento de la muerte, Santiago de Compostela, Secretariado de Publicaciones de la Universidad de Santiago de Compostela, 1988, pp. 95-117.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

Weyh, Charlène. "La réduction des variantes verbales au présent de l’indicatif en français par les injonctions des Remarqueurs et des grammairiens au 17e siècle". Linx 87 (2024). https://doi.org/10.4000/12zrd.

Texto completo
Resumen
Le verbe trouver a maintenu les variantes treuv- et trouv- jusqu’au 17e siècle. Cet article présente une double étude du verbe trouver en français : une étude linguistique à l’aide de la base de données textuelles Frantext afin de connaitre le nombre d’attestation des formes en [ø] et des formes en [u] au 17e siècle ; et une étude métalinguistique à travers le Grand Corpus des grammaires françaises, des remarques et des traités sur la langue (XIVe – XVIIe s.) de Garnier Numérique. L’objectif est de montrer, à travers cette double étude du verbe trouver, comment les injonctions des Remarqueurs – et notamment celles de Vaugelas – ont impacté l’évolution des variantes verbales.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.

Tesis sobre el tema "Fables françaises – 17e siècle"

1

Fournier, Fidji. "La réception dix-septièmiste des Fables de La Fontaine : entre histoire, critiques et théories". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. http://www.theses.fr/2024SORUL136.

Texto completo
Resumen
Consacrée à « La réception dix-septièmiste des Fables de La Fontaine. Entre histoire, critiques et théories », la thèse réalisée s'articule autour d'une réflexion tâchant, au-delà de l'analyse de la réception historique de l'œuvre, d'effectuer, dans le cadre d'une présentation thématiquement organisée, la synthèse des discours tenus par les différents spécialistes de l'auteur s'étant, jusqu'à présent, intéressés au cas d'une réception hors norme. Après être revenue en détail sur la manière dont les Fables se sont édifiées comme chef d'œuvre et comment celles-ci ont d'emblée été construites comme monumentales par leur propre époque (1668-1700), nos travaux considèrent les différentes théories développées concernant leur réception en fonction des grands objets qui ont, jusqu'à présent, retenu l'attention de la recherche contemporaine. Pour ce faire, nous avons colligé un très grand nombre d'observations et de théories éparses que nous avons pris soin d'organiser en fonction de différents aperçus thématiques s'attachant à reprendre et à faire méthodiquement dialoguer chacune des réponses critiques apportées aux principaux questionnements que l'œuvre semble poser du point de sa réception. En revenant sur les principales découvertes de la critique dix-septièmiste concernant cette réception, nous voulions, dans le cadre d'une réflexion thématiquement problématisée autour de cette notion, offrir au lecteur un aperçu synthétique lui permettant de faire le point sur les principaux acquis de la recherche contemporaine. Pensé comme un véritable usuel de la critique lafontainienne, notre thèse se donne donc pour vocation d'enquêter sur la réception historique de l'œuvre tout en tâchant d'élargir la perspective dans le cadre d'une synthèse nuancée se plaisant à suivre, une à une, les grandes voies ouvertes par une critique qui, face à un extraordinaire succès, s'est, à bien des égards, attelée à poser la question de la réception et de la lecture de l'œuvre avant de tenter d'y apporter quelques réponses
Dedicated to “The seventeenth-century reception of La Fontaine's Fables: history, criticism and theories”, this thesis will partly aim to analyze the historical reception of the work during the seventeenth-century. Nonetheless, the dissertation will mainly try, in the form of a thematically organized presentation, to do the synthesis of various speeches suggested by specialists of the author, interested in the case of an unusual reception. To this end, this work will, first of all, comment on how the Fables were built, by their own time (1668-1700), as a masterpiece. But, then, it will mainly consider the different theories developed regarding their reception. For this purpose, we collected a large number of scattered observations and theories that we then took care to organize according to different thematic overviews, trying to methodically create a dialogue between each of the critical answers given to the main questions that the Fables seem to ask from the point of their reception. By considering the main discoveries of the seventeenth-century critics concerning the Fables‘ reception, we wanted, in the form of a thematically problematized reflection, to provide the reader with a brief overview of the main achievements of contemporary research. In summary, this thesis, thought as a basic reference of the La Fontaine's critic, will aim to investigate the historical reception of the work while trying to broaden the perspective to a nuanced synthesis considering, one by one, the broad lines opened by a critic who, in the face of an extraordinary success, has, in many ways, endeavored to ask the question of the work's reception before trying to provide some answers. According to this project, the analyze will be conducted based on the large objects that have, until now, held the attention of contemporary research
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Laïd, Baptiste. "« Trover » des fables au XIIe siècle : l’élaboration du recueil de fables de Marie de France". Thesis, Paris Est, 2016. http://www.theses.fr/2016PESC0023.

Texto completo
Resumen
Marie de France a rédigé en Angleterre vers 1170 le premier recueil de fables en français, original à la fois par son ampleur (104 fables) et par sa variété.Sa première partie est une réécriture des fables classiques issues de la tradition du Romulus et en particulier d’un de ses remaniements, le Romulus de Nilant, composé avant le Xe siècle. Marie a traduit du latin un recueil intermédiaire perdu, le *Romulus anglo-latin, d’où provient également un recueil latin, le Romulus hexamétrique (Xe siècle). Si Marie prétend, à la fin de son recueil, s’appuyer sur un recueil anglais, celui-ci n’a jamais été retrouvé et les indices historiques suggèrent plutôt une source factice. Sa réécriture des fables antiques se caractérise par une réinterprétation des rapports de force dans un contexte féodal.La seconde partie, composée d’éléments variés, contient d’autres fables antiques dont le rassemblement est imputable à Marie elle-même. Le reste des fables n’a pas de source connue mais leurs origines peuvent être liées à différents genres en formation au XIIe siècle : les formes hétérogènes du récit comique qui aboutissent plus tard au fabliau (chansons, contes, aphorismes) et que Marie a pu connaître par l’intermédiaire du monde clérical ; le roman épique animalier qui prend forme aux XIe et XIIe siècles et qui pouvait circuler sous la forme d’assortiments de poèmes latins ; au moins deux exemples de fables arabes ; des fables « philosophiques » issues peut-être du monde de la prédication ou de l’invention personnelle de l’auteur.La répartition de ces fables dans le recueil montre que Marie a pu l’élaborer en « trovant » (découvrant, inventant) différents matériaux de multiples origines sur une longue période de temps
Marie de France wrote in England, around 1170, the first book of fables in the French language, original both by its extent (104 fables) and by its diversity.The first half is an adapation of classical fables taken from the Romulus tradition and in particular from one of Romulus’ many offsprings, the Romulus de Nilant, written before the 10th century. Marie translated from latin a lost intermediary, the *Anglo-latin Romulus, from which also derives the Hexametrical Romulus (10th century). Though Marie asserts in her epilogue that she worked from an English book, historical context and contemporary sources suggest a fictitious claim. The main characteristic of her adaptation of the fables from Antiquity is the recasting of the classical power struggles into the feodal context.The second half is far more diverse and contains other fables from Antiquity probably gathered by Marie herself as well as many fables of unknown sources but whose origins can be linked to different emerging genres of the XIIth century : the comic story in all its varied forms from which the fabliau will soon be born (songs, tales, aphorisms), known to Marie by way of the clerical world ; the beast epic taking shape during the XIth and the XIIth centuries, accessible to Marie in manuscripts collecting latin animal poems ; at least two exemples of Arabic fables and “philosophical” fables taken from predicators or entirely invented by the author.The repartition of theses fables in her anthology-like book shows that Marie could have built it by “finding” (trover, meaning both finding and inventing) diverse materials from many origins over a lenghty period of time
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Boch, Julie. "La fable dans la pensée française de Huet à Voltaire (1680-1760)". Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040132.

Texto completo
Resumen
Le terme de fable recouvre à la fois une notion littéraire, liée à la poésie épique et désignant le récit merveilleux des aventures des dieux gréco-romains, et un système théologique, celui que le paganisme antique construisit autour de ces personnages fabuleux. Ce travail se propose d'étudier la place de ce concept dans la pensée française du début des Lumières. C'est en effet au tournant des XVIIe et XVIIIe siècles que furent formulées les interprétations modernes des mythes antiques. Les comparatistes de la période classique les envisagent encore comme une dégradation de la révélation judéo-chrétienne ; la querelle des anciens et des modernes et la faveur de la critique historique en laïcisent l'approche, et la montée d'un esprit rationaliste, en même temps que l'ouverture aux mythologies contemporaines et extra-européennes, font progressivement passer la question du champ de l'histoire religieuse à celui de l'histoire de l'esprit humain. Au milieu du XVIIIe siècle, la lecture allégorique de la fable est morte, au profit d'une interprétation de nature anthropologique.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Ali, Arwa. "La poétique de la fable en vers d'après les discours des fabulistes (1719-1792)". Thesis, Toulouse 2, 2017. http://www.theses.fr/2017TOU20070/document.

Texto completo
Resumen
Cette thèse se propose de présenter et d’analyser les discours prescriptifs des fabulistes du XVIIIe siècle, en commençant par celui de Houdar de La Motte qui, dans ses Fables nouvelles, en 1719, s’est posé en adversaire admiratif de La Fontaine, inégalable poète mais moraliste très contestable. Après avoir présenté ce recueil fondateur dans le contexte de la crise générale de la poésie que connaît la France à l’heure de la Qurelle d’Homère, l’on étudie les idées de l’audacieux fabuliste, soucieux d’établir des règles pour réaliser des apologues en vers qui soient conformes à l’objectif didactique qui, selon La Motte, est une priorité dans ce genre d’écrire. Quatre des successeurs de La Motte, dont les recueils sont parus de 1729 (Richer) à 1792 (Florian), ont été retenus pour examiner si cette première poétique prescriptive a été suivie ou contestée par des poètes qui s’y réfèrent forcément, comme d’ailleurs ils se réfèrent à La Fontaine, modèle écrasant qu’on se risque parfois à analyser pour percer son secret ou qu’on se contente d’admirer pour s’autoriser à ambitionner une place après lui
This thesis proposes to present and analyze the prescriptive discourses of the eighteenth-century’s fabulists, starting with the one of Houdar de La Motte, who in his new Fables in 1719 posed as an admiring opponent of La Fontaine, matchless poet but a very questionable moralist. After presenting this founding book in the context of the general crisis of poetry in France at the time of Homer's Qurelle, we study the ideas of the daring fabulist, anxious to establish rules to make apologues in verses that are in conformity with the didactic objective which, according to La Motte, is a priority in this kind of writing. Four of the successors of La Motte, whose collections were published from 1729 (Richer) to 1792 (Florian), were retained to examine whether this first prescriptive poetic was followed or disputed by poets who necessarily referred to it as they would refer to La Fontaine, an overwhelming model that one sometimes dares to analyze in order to pierce his secret or that one merely admires to allow himself to ambition a place after him
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Rolland, Tiphaine. "Le « vieux magasin » de Jean de La Fontaine. Les Fables, les Contes et la tradition européenne du récit plaisant (XVe-XVIIe s.)". Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040132.

Texto completo
Resumen
Bien que La Fontaine ait explicitement placé ses Contes dans la lignée de grands recueils de narrations plaisantes, comme le Décaméron, les Cent Nouvelles Nouvelles ou l’Heptaméron, cette filiation assumée masque deux énigmes. La première concerne la transmission de ces modèles prestigieux jusqu’au poète ; ceux-ci ont en effet connu une diffusion européenne par le biais de compilations anonymes mal connues, agissant comme autant de filtres qu’il faut mieux évaluer. La seconde est celle de l’influence, sous-estimée, de cette production récréative multiforme sur l’autre versant de l’œuvre de La Fontaine, rédigé parallèlement aux Contes : celui des Fables. Il est donc nécessaire de confronter ces deux œuvres du poète, abordées de manière solidaire, à un corpus d’une centaine de recueils de narrations brèves à visée divertissante, écrits entre le XVe et le XVIIe siècle, pour cerner ce que les Contes et les Fables doivent précisément à cette tradition plaisante. L’enquête, fondée sur des investigations archéologiques minutieuses, conduit à mesurer, dans les textes lafontainiens, les reprises (directes ou médiatisées) de canevas facétieux, les modalités d’adaptation stylistique de cet héritage ancien, et les nouveaux mécanismes de différenciation générique entre vis comica et vis gnomica. La relation entretenue par La Fontaine avec ce patrimoine pluriséculaire, associé à une Renaissance gaillarde, permet, plus largement, de mieux comprendre les rapports ambivalents de l’âge classique avec un passé perçu comme plus rieur. Sont ainsi posés les fondements d’une esthétique de l’influence, articulant les recherches génétiques, les micro-analyses littéraires et l’histoire des représentations
Although La Fontaine claimed that his Tales were deliberately imitating some famous collections of amusing stories, such as The Decameron or French Cent Nouvelles Nouvelles and Heptaméron, two questions remain unresolved. The first one deals with how those prestigious models were passed on to the poet; little-known, anonymous compilations that both spread those narratives throughout Europe and influenced the way they were read, are to be taken into consideration in this process. The second one is about the undervalued influence of these protean entertaining texts on the other part of La Fontaine’s works, written at the same time as his Tales: the Fables. Those two works, tackled as a coherent whole, must therefore be collated to a corpus of about one hundred books collecting short, funny narratives, mainly written between the XVth and the XVIIth century – in order to define the precise debt of the Tales and Fables to this merry literary tradition. Thorough archeological investigations are the basis of this survey that determines, within La Fontaine’s texts, how the poet rewrote some jokes he knew directly or indirectly ; which stylistic devices he invented to adapt this ancient legacy ; how he renewed the way the didactic genres are differentiated from the comic ones. The view La Fontaine had of this long-aged heritage, seen as the product of a saucy Renaissance, entails a broader and better understanding of the ambiguous relations between the classic era and a past supposed to have been more cheerful. This lays the foundations of an aesthetics of influence, which links together genetic research, close-reading of literary texts and history of cultural representations
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

Amstutz, Delphine. "La Fable du favori dans la littérature française du premier XVIIe siècle". Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040108.

Texto completo
Resumen
I L’objet de cette thèse est de montrer les caractéristiques de la représentation du favori royal dans la littérature française du premier XVIIe siècle. Alors que le mot « favori » entre dans la langue française dès le début du XVIe siècle, il faut attendre le début du siècle suivant pour que le favori devienne une notion politique opératoire et un personnage littéraire topique. Nous nous proposons donc d’analyser, selon une méthode nominaliste et pragmatique, la « fable du favori » à l’âge baroque c’est-à-dire l’ensemble des discours afférents au favori entre 1610 à1664. Cette étude comprend deux versants : archéologique et poétique. Il s’agit d’abord de dégager la généalogie du favori en le confrontant à d’autres types de personnels politiques mieux attestés par la tradition historique et philosophique (le conseiller, le secrétaire, le flatteur, le mignon de cour notamment), puis d’explorer l’imaginaire politique ambivalent de la faveur avant d’examiner les différentes théories politiques qui, à l’âge baroque, utilisent la notion de favori comme pierre de touche. Nous parcourons ensuite, selon un continuum chronologique, les différents genres littéraires que le favori conquiert à mesure que s’écoulent les premières décennies du XVIIe siècle, pour montrer comment les contraintes poétiques propres à chaque genre modèlent le visage du favori. En prolongeant une hypothèse émise par Curtis Perry dans Literature and Favoritism in Early Modern England, nous avancerons que la « fable du favori » aura fourni aux contemporains de Louis XIII un langage commun pour traiter certaines « difficult but inevitable [questions] », pour explorer certaines « gray area[s] in the culture ». Ces questions ne relèvent cependant pas uniquement de la sphère politique. La fable du favori se déploie certes dans ces « années cardinales » où la pensée étatiste triomphe et bouleverse les références de la théorie ou de la pratique politiques, mais elle manifeste avant tout, sous une forme métaphorique et dramatisée, une interrogation sourde et obstinée sur les conditions et les limites de l’agir humain ; elle traduit un souci de comprendre l’individu aux prises avec le monde, la société et l’histoire. Comme parvenu, le favori manifeste la toute-puissance de l’action individuelle mue par la volonté et guidée par la réflexion. Cependant, la trajectoire personnelle du favori semble s’inscrire dans une destinée déterminée, qui trahit l’emprise inexpugnable de la Fortune sur les ambitions humaines. Figure bifrons, le favori incarne donc une allégorie de la prudence. La fable du favori interroge ainsi la pertinence et la relativité de valeurs fondamentales : le mérite personnel et la vertu, la faveur et la valeur. Elle implique une réflexion anthropologique et éthique puisqu’elle sonde les passions politiques, redessine les espaces de l’intimité, les formes de l’affectivité et les contours de l’identité personnelle à une époque où la distinction entre les sphères publique et privée n’est pas acquise. La fable du favori innerve enfin la réflexion historiographique sur « l’absolutisme » et sous-tend la construction du premier champ littéraire : au terme de sa carrière politique, le favori devient, sous l’égide de Mécène, une figure tutélaire de la culture galante. nsérer ici votre résumé en français
The purpose of this PhD thesis is to present the characteristics of the royal favourite as depicted in 17th-century literature. Although the term “favourite” entered the French language at the beginning of the 16th century, the favourite did not become an operating political concept and a topical literary figure until the beginning of the next century. Our intention is to analyse, according to a nominalist and pragmatic method, the “fable of the favourite” during the Baroque period, i.e. the collection of texts relating to favourites written between 1610 and 1664. This study comprises two parts: the first archaeological, the second poetic. It aims first at identifying the genealogy of the favourite by comparing him to other types of political character more present in historical and philosophical tradition – in particular, advisors, secretaries, flatterers and Mignons-, then at exploring the ambivalent political imagination of the favour, before examining the different political theories of the Baroque period that used this concept of the favourite as a touchstone. We will then review in chronological order the different literary genres in which the favourite appeared over the course of the opening decades of the 17th century, demonstrating how the poetic constraints of each genre have shaped the way the favourite is viewed. By extension of an assertion by Curtis Perry in “Literature and Favoritism in Early Modern England”, we suggest that the favourite’s story provided Louis XIII’s contemporaries with a common language in which to address certain “difficult but unavoidable [questions]” and to explore some “grey area[s] in the culture”. Nevertheless, those questions do not only revolve around politics. The “fable of the favourite” does indeed develop during those “cardinal years” where the statist spirit prevailed and upset all references to political theory or practice, however it above all reflected, in a metaphorical and dramatised form, a muffled and stubborn questioning of the conditions and limits of human acting. It marked a desire to understand individuals as they struggled with the world, society and history. As a parvenu, the favourite embodied the omnipotence of individual action driven by will and directed by thought. However, the personal journey of the favourite seems to encompass a determined fate which betrays the unassailable hold of Fortune on human ambitions. Being a dual figure, the favourite embodies an allegory of prudence. The fable of the favourite thus questions the relevance and relativity of fundamental values: personal merit and virtue, favour and value. It implies anthropological and ethical considerations, since it probes into political passions and redefines the limits of privacy, the forms of affection and the boundaries of personal identity at a time when the distinction between the public and private sphere was not yet clear. Finally, the fable of the favourite reinvigorates the historiographical examination of “absolutism” and underpins the assembly of the first literary field: at the end of his political career, the favourite became, under the aegis of Maecenas, a figurehead of the culture of gallantry
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

Sermain, Jean-Paul. "Images du langage dans le roman à l'âge classique : le leurre et la fable : la poétique négative du roman des lumières (1670-1730)". Grenoble 3, 1992. http://www.theses.fr/1992GRE39038.

Texto completo
Resumen
Ce travail porte sur le roman francais entre 1670 et 1730. Il en propose un modele qui serait capable de rendre compte du roman des lumieres. Ce modele est defini par l' interference de deux dispositifs hermeneutiques analoguies. Le premier est defini a partir du roman de cervantes, don quichotte. Le second a partir des analyses de la mythologie (la "fable") faits a la fin du 17e siecle. La premiere partie presente chacun de ces deux disposotifs. Le premier est reconstitue a partir des trois romans paradiques ecrits par marivaux (1713-15) : le second a partir de textes theoriques et de leurs transpositions dans le roman. La deuxieme partie examine les types de roman critique qui mettent en oeuvre ces deux dispositifs : roman utopique, roman allegorique, roman-citation, roman du ramancier, roman-montage, roman de la mondanite, contes de fees
The matter of this thesis is the french novel between 1670 and 1730. Il tries to elaborate an abstract model which could account for the novel of the enlightenment. This model is based on two hermeneutical mechanisme. One is drawn from the novel by cervantes, don quixote. The other from the analysis of the myths (the"fable") made by the sholars at the end of the seventeent century. The first half of the half of the thesis is devoted to the description of these two mechanisms : the first is seen through 3 parodical novels by marivaux, the second through theretical texts and their novelistic transpositions. The 2nd second hald of the thesis tries to scrutiniz how these two mechanisms interfere in a wide range of critical novels : the utopian novel, the allegorical novel, the citationnal novel, the novel of worldiness, the fairy tales
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

Chambefort, Pierre. "Poétique du genre romanesque en France au milieu du XVIIe siècle". Lyon 3, 1993. http://www.theses.fr/1993LYO3A002.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

Gaillard, Aurélia. "Fables, mythes, contes : l'esthétique de la fable et du fabuleux (1660-1724)". Paris 7, 1994. http://www.theses.fr/1994PA070024.

Texto completo
Resumen
Cette these vise a rendre compte du renouvellement de l'esthetique du fabuleux en france au tournant des dix-septieme et dix-huitieme siecles, precisement de 1660 (regne personnel de louis xiv) a 1724 (publication de de l'origine des fables de fontenelle). Partant d'un mot a la polysemie active, "fable", pouvant a cette epoque, designer a la fois un conte, un mythe ou un apologue, cette recherche a donc un double enjeu, historique et theorique. Il s'agit, d'une part, de cerner dans les discours critiques mais aussi dans les representations, les transformations du fabuleux, d'autre part, de determiner les permanences d'une categorie esthetique. La premiere partie traite ainsi du changement de statut du fabuleux au travers notamment des attaques portees par les modernes a la mythologie des anciens. La fable l'allegorie pour l'ornement. La seconde partie montre comment la critique s'est accompagnee d'un renouvellement de l'esthetique, marquee par une extreme theatralisation du fabuleux et propose un inventaire des lieux de la fable, repartis entre lieux de formation (colleges, discours) et lieux de vie (livres, palais, jardins, fetes royales, operas). La fable n'est plus un voile mais un masque et inaugure une strategie complexe du voile et du devoile : le pouvoir des fables devient plaisir du devoilement. La troisieme partie propose alors une etude theorique de la temporalite du recit fabuleux concue comme la mediation necessaire pour acceder a la verite de la fable. La metamorphose est l'outil privilegie de cette mediation. Finalement, la these presente une comparaison entre les trois temporalites du conte, du mythe et de la fable, tout en maintenant l'idee d'une categorie generale du fabuleux
This thesis aims at studying the renewal of the aesthetics of the fable in france at the turn of the seventeenth and eighteenth centuries precisely from 1660 (with the beginning of louis xiv's reign) until 1724 (with the publication of of the fables'origin, by fontenelle). Considering that the polysemic word "fable" could mean, at that time, either a tale, a myth or a fable, this research follows two points of view, a historical and a theoretical one. We will, therefore, first determine the changes in the characteristics of the fable in pieces of criticism as well as in representations; we will also define the permanence of an aesthetic category. Thus, the first part deals with the changes in the status of fables, especially through the critical attacks of the moderns against the mythology of the ancients. The fable ceases to be an allegory to become an ornament. The second part shows how, along with criticism, came a renewal of aesthetics, notably through an extremely theatrical representation of the fable, and displays an inventory of the places where the fable usually takes place, places of learning (colleges, speeches) and places of everyday life (books, palaces, gardens, royal parties, operas). The fable is not a veil anymore but a mask and starts out a complex strategy of what is veiled and unveiled : the power of fables becomes the pleasure of unveiling things. The third part develops a theoretical study of the fable's narration's temporality conceived as the necessary mediation to gain access to the truth of the fable. Metamorphosis is the most appropriate means of this mediation. Finally the thesis offers a comparison between the three temporalities of the tale, the myth and the fable, while keeping the idea of a general category of the fable characteristics
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
10

Lazarevski-Petrov, Snezana. "Les premières tragédies classiques françaises entre 1634 et 1640 et leurs sources". Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040066.

Texto completo
Resumen
La tragédie classique française entre 1634 et 1640 compte une quarantaine d'œuvres. Elle n'est qu'à ses débuts et pour mieux comprendre son évolution, nous les avons comparées aux sources en allant de la forme jusqu'au fond. La distinction a permis de classer les pièces en tragédies légendaires, historiques, bibliques et modernes. L'analyse de ces « nouvelles » tragédies par rapport aux sources nous a fourni des données importantes en ce qui concerne la composition d'une œuvre tragique de cette période ; et ses nouveautés dans le nombre de personnages, le chœur, la peinture des caractères. Notre analyse s'est poursuivie par celle de l'action dramatique qui par la suppression des références mythologiques, de l'horrible et du cruel, la réduction des récits et des longs monologues, du respect des unités, forme et fonde la tragédie « moderne ». Le surgissement des violences au sein des alliances (matrimoniale et/ou familiale) est provoqué par un conflit politico-amoureux qui caractérise les opposants de la tragédie ou le pouvoir des passions ne peut mener qu'à la mort du héros ou la destruction de soi-même.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.

Libros sobre el tema "Fables françaises – 17e siècle"

1

Au service du roi catholique: Honorables ambassadeurs et divins espions : représentation diplomatique et service secret dans les relations hispano-françaises de 1598 à 1635. Madrid: Casa de Velazquez, 2004.

Buscar texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
Ofrecemos descuentos en todos los planes premium para autores cuyas obras están incluidas en selecciones literarias temáticas. ¡Contáctenos para obtener un código promocional único!

Pasar a la bibliografía