Literatura académica sobre el tema "Essences d’arbre"

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Artículos de revistas sobre el tema "Essences d’arbre":

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Rascle, Pauline y Vincent Hugonnot. "L'écorce des arbres, un micro-environnement méconnu : étude de la variation du pH". Revue forestière française 72, n.º 6 (31 de diciembre de 2020): 477–89. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5344.

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Resumen
Plusieurs travaux scientifiques ont décrit le pH des écorces d’arbre comme un des principaux facteurs qui conditionnent la distribution et la richesse des communautés épiphytiques Ce paramètre est toutefois encore mal maîtrisé, notamment en ce qui concerne les forêts tempérées d’Europe Afin de mieux comprendre comment varie le pH des écorces au sein de nos forêts, une étude a été réalisée à l’échelle de l’Auvergne permettant la mesure du pH de plus de 400 échantillons d’écorce Les résultats obtenus montrent que les espèces d’arbres étudiées semblent présenter une gamme de pH caractéristique, permettant ainsi d’établir un catalogue du pH des essences rencontrées dans la région.
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Muntotombe Botonga, Ghislain y Andy Mussa Kalambayi. "Etude analytique de l’exploitation forestière du bois d’œuvre dans le Territoire de Bikoro, (Province de l’Equateur, République démocratique du Congo)". Revue Congolaise des Sciences & Technologies 02, n.º 01 (15 de febrero de 2023): 169–75. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.023.v2.i1.21.

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Resumen
L’exploitation du bois est une activité économique, mais elle modifie le paysage naturel et perturbe la biodiversité. Le but de cette étude était d’identifier les essences d’arbres exploitées et d’examiner les perceptions des habitants de l’impact environnemental de cette exploitation. Des entretiens ont été menés dans huit villages du territoire de Bikoro. Les données ont été collectées de novembre 2020 à janvier 2021 en administrant des questionnaires aux habitants consentants. Au total 106 répondants ont participé à l’étude dont l’âge moyen était de 40 ans. 58% des répondants avaient un avis défavorable sur l’exploitation du bois car elle impliquée souvent la baisse et/ou la disparition des animaux et insectes alimentaires et la perturbation saisonnière. Mots clés: Bassin du Congo, exploitation forestière, bois d’œuvre, territoire de Bikoro, République démocratique du Congo
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Caspa, Roseline Gusua, Isaac Roger Tchouamo, Jean Pierre Mate Mweru, Joseph Mbang Amang y Marley Ngang Ngwa. "THE PLACE OF IRVINGIA GABONENSIS IN VILLAGE COMMUNITIES AROUND THE LOBEKE NATIONAL PARK IN CAMEROON". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 324, n.º 324 (17 de marzo de 2015): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.324.a31262.

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Resumen
Le manguier sauvage, Irvingia gabonensis, est une des essences les plus exploitées pour des produits forestiers non ligneux aux alentours du Parc national de Lobeke au Cameroun. Une enquête auprès des cueilleurs montre que les fruits sont ramas- sés en forêt à même le sol, ce qui entraîne des risques élevés d’attaque par des gorilles (100 %) et nécessite de longs séjours en campement (87 %). Tous les cueilleurs conservent cette essence, la plu- part (82 %) en protégeant les semis spon- tanés, mais ne s’intéressent pas à la plan- tation. Cependant, près de 68% des cueil- leurs indiquent qu’ils l’envisageraient. L’amande de Irvingia gabonensis est considérée par les cueilleurs comme la deuxième ressource alimentaire (98 %) et la première source de revenus (93 %) parmi les quatre principaux produits fores- tiers non ligneux de la région. Un inventaire a été réalisé pour évaluer l’abondance de l’essence dans trois systèmes forestiers : la zone protégée, une forêt de production vil- lageoise (forêt naturelle comprise dans le domaine forestier non-permanent et gérée par une communauté villageoise avec l’ap- pui du service forestier) et une zone agrofo- restière (jachères et associations de cul- tures/cacao), dans 6 x 3 parcelles de 1 ha. La production fruitière a été estimée en comptant les fruits pendant les collectes. La croissance et la survie des plantules n’ont été estimées que dans la zone proté- gée en raison de la rareté des jeunes plants dans la forêt de production et la zone agro- forestière. La densité moyenne des I. gabo- nensis s’établit à 3,3 arbres/ha, sans écart significatif entre les trois systèmes fores- tiers. Le diamètre moyen à hauteur de poi- trine ne varie pas significativement entre les trois systèmes, ni la production fruitière moyenne. Le taux de survie des semis baisse à 70 % dans la zone protégée au bout de 18 mois. La présence majoritaire d’arbres de diamètre moyen à élevé indique que la ressource se maintiendra pendant quelque temps, mais la quasi absence de jeunes individus permettant de régénérer ces peuplements vieillissants compromet la ressource à plus long terme. L’intensité de la cueillette conduit à recom- mander l’intégration de cette essence dans les exploitations agricoles villageoises.
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Jactel, Hervé y Lorenzo Marini. "Libre évolution des forêts et maîtrise du risque sanitaire associé aux scolytes des conifères". Revue forestière française 73, n.º 2-3 (30 de marzo de 2022): 383–90. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.5477.

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Resumen
Les forêts tempérées subissent un fort accroissement des attaques d’insectes ravageurs en réponse aux changements climatiques comme en attestent l’augmentation récente des pullulations de scolytes des conifères. Avec l’interdiction des insecticides et l’impasse de la sélection génétique, adapter la gestion des forêts pour prévenir ou contrôler ces infestations demeure la meilleure option. En termes de prévention, l’augmentation de la diversité des essences forestières, associant conifères et feuillus, permet de réduire la densité d’arbres hôtes, de renforcer leur vigueur, de perturber les processus de colonisation et de maintenir les ennemis naturels, améliorant globalement la résistance des peuplements aux attaques de scolytes. En termes de lutte, les coupes sanitaires visant à évacuer les bois scolytés et à limiter leur substrat de développement ne sont que rarement efficaces, à moins d’être pratiquées rapidement en visant la quasi-totalité du volume de chablis. Les forêts en libre évolution, pourvu qu’elles soient composées d’un mélange équilibré d’essences contrastées, n’apparaissent donc pas intrinsèquement plus vulnérables aux attaques de scolytes.
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Boudouaya, Manel, Hachemi Benhassaini, Fatima Zohra Bendimered-Mouri, Frédéric Mothe y Meriem Fournier. "ÉVALUATION DE LA DURABILITÉ NATURELLE DU BOIS DE PISTACIA ATLANTICA DESF. DU NORD DE L’ALGÉRIE". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 325, n.º 325 (17 de julio de 2015): 49. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.325.a31272.

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Resumen
La connaissance de la durabilité naturelle du bois des essences des zones arides et semi-arides est nécessaire pour décider de leur exploitation future. Ceci permet- trait de réduire l’utilisation des produits de préservation. La présente recherche a pour but de contribuer à la valorisation qualitative du bois d’une espèce ligneuse répandue en Algérie mais très peu étu- diée. Il s’agit du pistachier de l’Atlas, Pistacia atlantica Desf. C’est un taxon vivace, rustique et endémique qui peut vivre plusieurs siècles en s’adaptant par- faitement aux conditions édaphiques et climatiques contraignantes de son habi- tat. La durabilité naturelle a été évaluée au moyen d’éprouvettes normalisées de bois d’aubier et de duramen d’arbres provenant de deux régions différentes du point de vue bioclimatique en Algérie nord-occidentale. Les tests ont été effec- tués conformément aux normes euro- péennes NE 113 (1996) et NE 350-1 (1994)qui permettent l’évaluation de la durabi- lité du bois contre l’attaque fongique. Les résultats obtenus sur la perte de masse font ressortir deux faits particulièrement intéressants : le duramen et l’aubier des arbres des deux provenances présentent la même durabilité et aucune différence significative n’a été observée entre les deux provenances pour le même type de bois. Ce bois se classe parmi les bois très durables.
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Makemba, Romaric Ndonda, Félicien Tosso, Christian Moupela, Kasso Daïnou y Jean-Louis Doucet. "Cylicodiscus gabunensis Harms : une espèce prisée dans le commerce international (synthèse bibliographique)". BASE, n.º 3 (2019): 188–202. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.18006.

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Resumen
Introduction. En raison de la diminution des ressources en bois d’œuvre tropicaux, il convient d'améliorer les connaissances sur les espèces ligneuses en vue de développer des politiques d'exploitation réellement durables. Reconnu pour la grande qualité de son bois, Cylicodiscus gabunensis Harms (Fabaceae-Caesalpinioideae) est une essence à haute valeur socio-économique. Cet article dresse la synthèse bibliographique des connaissances relatives à cette espèce en vue de mettre en avant l’ensemble des aspects méritant des investigations scientifiques approfondies. Littérature. Commercialisée sous le nom d’okan, C. gabunensis est une espèce ligneuse non grégaire vivant dans les forêts denses humides tropicales sempervirentes et semi-décidues. Arbre fétiche pour certains peuples autochtones, C. gabunensis est utilisé par les communautés rurales pour de multiples usages. C’est une espèce à phénologie régulière avec une dispersion anémochore des graines. Les populations d’arbres affichent un déficit de régénération en forêt dense humide sempervirente, ce qui compromettrait l’exploitation de l’espèce à long terme. Ce risque est accru par le manque évident d’informations écologiques et sylvicoles permettant une gestion durable. Conclusions. Cette revue bibliographique résume l’ensemble des informations disponibles sur C. gabunensis principalement en botanique, anatomie du bois, écologie et ethnobotanique. Elle renseigne sur l’état actuel des connaissances au regard des rythmes d’exploitation et de l’état des populations de l’espèce. Des informations complémentaires sont nécessaires pour (i) statuer sur la conservation des populations de l’espèce et (ii) proposer des stratégies de gestion adaptées.
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Boudouaya, Manel, Hachemi Benhassaini, Fatima Zohra Bendimered-Mouri, Frédéric Mothe y Meriem Fournier. "ÉVALUATION DE LA VARIABILITÉ DE LA COULEUR DU BOIS DE PISTACIA ATLANTICA DESF. DU NORD DE L’ALGÉRIE". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 330, n.º 330 (21 de julio de 2017): 23. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.330.a31316.

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Resumen
Parmi les propriétés caractérisant le bois des essences naturelles et parti- culièrement celles des zones arides et semi-arides, la variabilité de la couleur conditionne leur utilisation en tant que matériau apparent de haute valeur ajoutée, en menuiserie-ébénisterie, par exemple. Les travaux présentés ici ont pour but de contribuer à la valorisation esthétique du bois d’une espèce ligneuse répandue en Algérie mais très peu étu- diée, le pistachier de l’Atlas, Pistacia atlantica Desf. La variabilité de la couleur a été évaluée sur des éprouvettes de bois coupées dans l’aubier et le duramen d’arbres provenant de deux régions diffé- rentes du point de vue bioclimatique en Algérie nord-occidentale. L’évaluation de la couleur du bois a été effectuée au sein du Laboratoire d’étude des ressources forêt-bois (LERFoB) à Nancy, France, en utilisant un spectrocolorimètre et un logi- ciel pour la mesure et l’affichage des don- nées. Les résultats obtenus indiquent la présence de variation de la couleur du bois du pistachier de l’Atlas entre les deux régions (pour les trois composantes chromatiques, L*, a* et b*) et entre les arbres (pour la composante L*). L’aubier, avec son bois plus clair, présente des composantes colorimétriques, particu- lièrement la clarté (L*) et la composante vert-rouge (a*), très différentes de celles du duramen. Nous en déduisons que les facteurs du milieu ont une influence sur les caractéristiques colorimétriques du bois de cette espèce, en plus des carac- téristiques individuelles intrinsèques de chaque arbre. Enfin, la clarté L* et les composantes vert-rouge a* et bleu-jaune b* présentent des variations entre les dif- férents types de bois de pistachier.
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Aubréville, André y Ilona Bossanyi. "Secondary Forests in Equatorial Africa Côte d’Ivoire - Cameroon - F. E. A." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, n.º 323 (7 de enero de 2015): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31241.

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Resumen
La « brousse secondaire » s’oppose à la « forêt primaire », forêt « noble » aux grands arbres. C’est une forêt exubérante, inextricable, avec plus de lianes et de petits bois que d’arbres, succédant à l’agricul- ture sur brûlis. Dans les régions habitées, elle entoure communément les villages et borde les routes, la forêt primaire étant reléguée aux collines rocheuses et maré- cages. En Afrique équatoriale, la « brousse secondaire » représente actuellement 50 à 75 % des surfaces forestières. La forma- tion des brousses secondaires procède en trois phases : (i) l’apparition de semis d’es- pèces héliophiles (Musanga sp., Vernonia sp., Anthocleista sp.) à croissance rapide, qui diffèrent des espèces de « forêt pri- maire » et dont les graines sont dispersées sur de longues distances ; (ii) la formation d’un sous-bois, constitué cette fois des mêmes espèces arbustives qu’en « forêt primaire », et où se mêle un second groupe d’espèces héliophiles banales, caractéris- tiques de la « brousse secondaire » et rat- trapant le précédent, voire le surcimant ;(iii) la lente reconstitution de la « forêt primaire », riche en sapotacées, guttifères et légumineuses au bois dur, capables de se régénérer dans les sous-bois, et parmi lesquelles de très grands arbres finissent par percer la voûte des cimes. L’okoumé (Aucoumea klaineana), essence précieuse typique des « brousses secondaires », est ainsi fréquent dans les prétendues « forêts primaires » du Gabon, forêts qui ont été en réalité autrefois défrichées. On ne saurait admettre aujourd’hui que le fort potentiel des « brousses secondaires » soit inva- riablement réduit en cendres. Il faut au contraire apprendre à guider et hâter leur évolution en faveur d’espaces à haute va- leur économique.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Goba, Alice Estère, Kouamé Guillaume Koffi, Raoul Sylvère Sié, Léonie Clémence Kouonon y Yeboa Alexis Koffi. "Structure démographique et régénération naturelle des peuplements naturels de Pterocarpus erinaceus Poir. (Fabaceae) des savanes de Côte d’Ivoire". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (20 de julio de 2019): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31750.

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Resumen
Pterocarpus erinaceus Poir. (Fabaceae) est un arbre des forêts claires et des savanes arborées d’Afrique, très prisé pour son bois, son fourrage et ses vertus thérapeutiques, cause de sa surexploitation en Côte d’Ivoire. La présente étude analyse la structure démographique des peuplements naturels et les potentialités de régénération de cette essence en fonction de l’intensité d’exploitation dans les trois types de savanes (guinéenne, subsoudanienne et soudanienne) de la Côte d’Ivoire en vue de leur conservation. Des mesures dendrométriques (diamètre à 1,30 m du sol, hauteur totale et hauteur du fût de l’arbre) ont été effectuées dans 30 transects de 200 m de large, sur des individus de P. erinaceus de diamètre égal ou supérieur à 5 cm dans six sites. La régénération a été évaluée dans 186 placettes de 30 m x 30 m équidistantes de 50 m à l’intérieur des transects. Les résultats révèlent que les plus grandes valeurs moyennes de densité d’arbres et de densité de régénération ont été obtenues en savane guinéenne (9,9 arbres/ha et 33,8 tiges/ha) et subsoudanienne (12,6 arbres/ha et 25,2 tiges/ha) alors que le diamètre moyen (33,9 cm), la hauteur totale moyenne (10,6 m) et la hauteur moyenne du fût (3,83 m) présentent des valeurs significativement plus élevées (p < 0,001) en savane soudanienne. L’étude montre que l’espèce se régénère par semis naturels, rejets de souche et drageons. La distribution en classe de diamètre s’ajuste à la distribution de Weibull avec une forme en « J renversé » en savane guinéenne et subsoudanienne et en « cloche » en savane soudanienne avec des arbres de taille moyenne. Hormis l’aire protégée de Kouassi-Ndawa, les cinq autres peuplements sont soumis à diverses pressions anthropiques (coupes, écorçage et émondage).
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Metzel, Ruth y Florencia Montagnini. "From Farm to Forest: Factors Associated with Protecting and Planting Trees in a Panamanian Agricultural Landscape". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, n.º 322 (17 de octubre de 2014): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31225.

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Resumen
Les fragments résiduels de forêt sèche sur la péninsule d’Azuero au Panama sont repré- sentatifs d’un des types forestiers les plus menacés à l’échelle de la planète, et qui a quasiment disparu au Panama. Dans de telles zones de production agricole et d’éle- vage, les arbres hors forêt sont indispensa- bles à la connectivité du paysage, à la survie des espèces autochtones et au maintien des services écosystémiques associés à ces frag- ments forestiers résiduels. Les enquêtes que nous avons menées auprès de gestionnaires terriens dans la province de Los Santos au Panama montrent que les agriculteurs dans cette région protègent et plantent des arbres pour des motifs différents. Alors qu’ils protè- gent les arbres pour plusieurs raisons (comme source de bois, de fruits, de fourrage et d’ombre, et pour leur protection de l’eau), ils en plantent surtout pour produire du bois et des fruits, qui leur assurent des revenus tangibles. Par ailleurs, dans cette région, les sites où les arbres sont plantés sont plus diversifiés et plus spécifiques que les sites où les arbres sont protégés. Six essences sont fréquemment utilisées pour la création de haies vives au Los Santos, et les proprié- taires de ces haies gardent souvent des arbres utiles pour le fourrage et le bois à proximité. La gestion coopérative des haies vives pourrait ainsi devenir un moyen effi- cace pour augmenter la connectivité des pay- sages dans cette région où ils sont fortement fragmentés. Nos résultats indiquent que les agriculteurs de Los Santos plantent des arbres ou les protègent dans leurs terres pro- ductives pour des raisons très différentes. Ces différences entre leurs motivations ont des implications importantes qui doivent être prises en compte dans les approches visant à accroître la couverture forestière dans la région. Les projets visant à promou- voir la régénération naturelle des forêts encouragent les agriculteurs à protéger les arbres sur leurs terres, et pourraient mieux réussir en mettant l’accent sur les services écosystémiques intangibles tels que la pro- tection de l’eau à moindre coût. À l’inverse, les projets visant à promouvoir la plantation d’arbres doivent en démontrer les bénéfices économiques tangibles.

Tesis sobre el tema "Essences d’arbre":

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Thierry, Julien. "Impact des arbres d’alignement sur le microclimat et le stress thermique humain en ville : effet des vagues de chaleur et des sécheresses". Electronic Thesis or Diss., Rennes, Agrocampus Ouest, 2024. http://www.theses.fr/2024NSARD108.

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Resumen
Les surchauffes urbaines,additionnées aux vagues de chaleur dont la fréquence et l’intensité augmentent en raison du changement climatique, exposent les citadins à un stress thermique croissant. Les arbres d’alignement peuvent permettre d’atténuer ces surchauffes grâce à l’ombrage et la transpiration,deux phénomènes qui peuvent dépendre de leurs caractéristiques morphologiques et physiologiques. En parallèle, les périodes de sécheresse se multiplient et la capacité des arbres d’alignement à croître tout en maintenant des services climatiques importants dans des conditions chaudes et sèches est en jeu. Pour améliorer la compréhension des facteurs influant sur les bénéfices climatiques des arbres, une démarche de recherche basée sur la mesure des interactions le long du continuum sol-arbre atmosphère dans deux dispositifs expérimentaux complémentaires est proposée. D’un côté, une rue canyon à échelle 1/5èmepartiellement végétalisée avec des jeunes pommiers d’ornement (Malus Coccinella® ‘Courtarou’) en pot et irrigués située à Angers(France) a été instrumentée pour quantifier les effets sur le microclimat d’arbres soumis à différentes disponibilités en eau. De l’autre, une campagne de mesures in-situ du microclimat dans et autour de la couronne de 36 arbres d’alignement adultes de 9 essences différentes répartis sur 5 sites dans Paris (France) a été menée. L’analyse croisée de ces deux dispositifs fournit une vue d’ensemble des sources de variabilité des bénéfices climatiques et propose aux aménageurs une meilleure compréhension des liens entre la résistance à la sécheresse des arbres d’alignement et leur pouvoir de réduction du stress thermiquehumain
Cities are characterized by an urban overheating which, combined to more frequent and intense heatwaves caused by climate change, expose the city dwellers to an increasing human thermal stress. Street trees may partially mitigate overheating by means of cast shadows and transpiration, two processes which may depend on their morphological and physiological characteristics. At the same time, periods of severe water shortage are multiplying and the ability of street trees to thrive and maintain significant cooling benefits under heat and drought conditions is crucial. In order to improve the understanding of the factors influencing tree climatic benefits, a methodology based on the monitoring of the interactions along the soil-tree atmospherecontinuum in two complementary experimental facilities was developed. On the one hand, a 1/5 scale canyon street, partially planted with young potted drip-irrigated ornamental apple trees (Malus Coccinella® ‘Courtarou’) located in Angers, France was monitored to quantify the effect of street trees experiencing different water supplies on the microclimate. On the other hand, an in-situ monitoring of the microclimate inside and outside the canopy for 36 mature street trees from 9 different tree species located in 5 sites in Paris, France, was performed. On the basis of a detailed cross-analysis of these two experimental facilities, an integrated assessment of the street trees climatic benefits was proposed to explore the sources of variability of the climatic benefits provided by trees and help stakeholders understand the relationship between drought resistance and human thermal stress mitigation for different tree species

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