Artículos de revistas sobre el tema "Drones aériens"

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Abergel, Violette, Renato Saleri y Hervé Lequay. "Vecteurs aériens téléopérés pour l'acquisition de données spatiales d'objets patrimoniaux, Retour d'expérience". Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, n.º 213 (27 de abril de 2017): 73–79. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2017.363.

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Resumen
Le relevé aérien constitue, dans le domaine de l'archéologie et de l'architecture, un vaste champ d'applications et d'intérêt. Au-delà des capacités croissantes des drones existants, le potentiel opérationnel de tels outils dépasse aujourd'hui l'imagination de leur propres créateurs : initialement conçus dans le secteur de la robotique civile et militaire, de récentes expérimentations ont pu tester le vol autonome, la prise de décision automatique, ainsi que l'intelligence distribuée.Avec près de dix ans d'expérience dans le domaine du relevé aérien, le laboratoire MAP a expérimenté un large panel de vecteurs aériens, pilotés ou semi-autonomes, équipés de capteurs de différentes natures, à des fns de télédétection et d'acquisition de données spatiales, ce travail étant principalement dévolu à la modélisation et à la simulation d'environnements 3D à haute valeur patrimoniale. Les compétences du MAP concernent donc la mobilisation de vecteurs aériens sans équipage, mais aussi le développement d'outils experts pour la modélisation et représentation 3D ou encore les protocoles d'analyse d'image dans le domaine de l'architecture, de l'urbanisme et du paysage.
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Noël, Jean-Christophe. "Occuper sans envahir : drones aériens et stratégie". Politique étrangère Automne, n.º 3 (2013): 105. http://dx.doi.org/10.3917/pe.133.0105.

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3

Aumeunier, Jean-Michel. "Les drones aériens maritimes : le projet SDAM". Revue Défense Nationale N° 826, n.º 1 (1 de enero de 2020): 75–80. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.826.0075.

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Feurer, Denis, Mohamed Amine El Maaoui, Mohamed Rached Boussema y Olivier Planchon. "Méthode opérationnelle de production d'orthophotos et de MNT décimétriques à l'échelle du kilomètre carré par cerf-volant". Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, n.º 213 (26 de abril de 2017): 43–53. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2017.190.

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Resumen
Tous vecteurs confondus, ce sont les drones, notamment les multirotor, qui ont connu le plus fort développement pour l'acquisition d'images aériennes durant les cinq dernières années. L'imagerie accessible par ce type de plate-forme répond à un besoin de cartographie à une échelle intermédiaire entre l'imagerie submétrique (satellite à très haute résolution spatiale ou vecteurs aériens comme les ULM et certains drones) et l'imagerie acquise à très basse altitude à des résolutions parfois inférieures au centimètre. Par son prix élevé, l'imagerie submétrique aérienne et satellitaire laisse un grand nombre de besoins sans réponse acceptable. Parmi eux, citons l'imagerie à petit budget demandée par les collectivités locales ou les suivis denses (en particulier temporels). Finalement, la réglementation récente a encadré les vols drones de manière très contraignante, mettant virtuellement hors-la-loi tous les acteurs occasionnels d'imagerie par drone.L'objectif de cette communication est de présenter une méthode simple, opérationnelle et à bas coût pour la prise de vue aérienne. Il s'agit d'utiliser le cerf-volant comme vecteur alternatif aux aéronefs sans pilote. Le cerf-volant (avec le ballon) fait partie des premières plates-formes utilisées historiquement pour la photographie aérienne. Il a connu un regain d'intérêt depuis les années 70-80 avec de nombreuses applications en archéologie et la disponibilité depuis les années 2000 de capteurs et logiciels abordables et performants le rend plus attractif encore. La méthode proposée ici permet la cartographie de superficies dépassant le kilomètre carré à une résolution décimétrique. Elle présente un certain nombre d'atouts, comme le coût modique de la plate-forme et la capacité de voler sur une très large plage de vents (de 5 à 40km/h), un cerf-volant de six à dix mètres carrés ayant la même charge utile qu'un drone pour une autonomie supérieure. Enrevanche, la principale difficulté de mise en oeuvre opérationnelle du cerf-volant pour la cartographie par image aérienneest le manque de contrôle du vecteur, ce qui pose quelques verrous au niveau de l'acquisition et du traitement des données.Nous présentons dans cette communication les avancées méthodologiques réalisées afin de dépasser ces limites.Nous détaillons tout d'abord la méthode d'acquisition développée et le mode opératoire mis en oeuvre pour obtenir des jeux de données image permettant la cartographie opérationnelle de zones d'intérêt. Ensuite, nous présentons les traitements effectués à l'aide de logiciels désormais abordables qui permettent le calcul de l'aérotriangulation et de la corrélation dense sur plusieurs centaines d'images. Nous présentons enfin les résultats obtenus sur des exemples d'applications en conditions réelles afin de discuter du potentiel et des limitations de cette méthode, proposée comme alternative aux solutions existantes.
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Agili, Hachem, Sylvie Daniel y Karem Chokmani. "Revue des méthodes de prétraitement des données d'imagerie hyperspectrale acquises depuis un drone". GEOMATICA 68, n.º 4 (diciembre de 2014): 331–43. http://dx.doi.org/10.5623/cig2014-407.

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Resumen
Les systèmes aériens sans pilote, appelés encore drones, se présentent comme une nouvelle tendance dans le domaine de la télédétection et connaissent un essor sans précédent dans le domaine civil depuis le début de la dernière décennie. Ces systèmes permettent de combler plusieurs lacunes de la télédétection aéroportée. En effet, contrairement aux avions, les drones se caractérisent par une facilité et une rapidité de mise en oeuvre, et par l’acquisition d’images à très haute résolution spatiale. Ce mode d’acquisition à coûts d’opération très réduits offre également des vols à basses altitudes réduisant ainsi les nuisances atmosphériques et l’effet des nuages fréquemment présents dans les acquisitions aéroportées. Les drones sont utilisés en combinaison avec différents capteurs imageurs. Les capteurs hyperspectraux montés sur ce type de plateforme figurent parmi les solutions en émergence. Comme toute donnée de télédétection, les données d’imagerie hyperspectrale acquises depuis un drone doivent être corrigées des différentes distorsions et dégradations avant de pouvoir être exploitées. L’utilisation du drone est encore en phase d’exploration et n’a pas encore atteint sa maturité notamment lorsqu’il est combiné avec un capteur hyperspectral. En effet, peu de travaux ont été consacrés à l’étude de ce système et de ses capacités. Cet article propose de passer en revue les différents types de distorsion affectant les données hyperspectrales acquises depuis un drone ainsi que les prétraitements à mettre en oeuvre pour les corriger.
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Gobert, Thierry. "Simulation immersive de drones aériens en écoles de télépilotage professionnelles". Recherche & formation, n.º 82 (30 de septiembre de 2016): 61–74. http://dx.doi.org/10.4000/rechercheformation.2667.

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Vallée, Pierre. "Le rôle des drones aériens dans les conflits actuels et futurs". Revue Défense Nationale N° Hors-série, HS11 (5 de junio de 2023): 102–10. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.hs11.0102.

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Hérisson, Audrey. "Lionel Chauprade : Les Drones aériens ; Cépaduès Éditions, 2014 ; 152 pages". Revue Défense Nationale N° 779, n.º 4 (1 de abril de 2015): 129–30. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.779.0129.

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Zubeldia, Océane. "Progrès technologiques et hybridité : l’exemple des drones aériens, de nouveaux game changer ?" Revue Défense Nationale N° 832, n.º 7 (2 de julio de 2020): 110–14. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.832.0110.

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Queyriaux, Benjamin. "La dronisation du soutien médical au combat". Revue Défense Nationale N° 865, n.º 10 (11 de diciembre de 2023): 57–63. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.865.0057.

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Au combat, l’absence de supériorité aérienne rend les évacuations médicales aériennes extrêmement difficiles : l’« heure d’or » devient le « soin prolongé aux blessés ». Les drones vont révolutionner cette approche grâce à des innovations technologiques et doctrinales. Couplé à la télémédecine et à l’intelligence artificielle, on peut imaginer des drones-cargos, des drones-ambulances voire des drones-robots médicaux.
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Dumoulin, André. "La saga autour du drone armé belge : le poids de l’idéologisme". Revue Défense Nationale N° 865, n.º 10 (11 de diciembre de 2023): 64–70. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.865.0064.

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Resumen
La Belgique s’engage progressivement dans l’usage des drones, s’appuyant sur une pratique déjà solide utilisant des systèmes de surveillance aérienne non armés. Le choix récent d’un nouveau drone de conception américaine a ouvert un débat politique sur la question d’un armement possible, débat marqué par des approches idéologiques et non opérationnelles.
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Vigneau, Nathalie, Corentin Chéron, Aleixandre Verger y Frédéric Baret. "Imagerie aérienne par drone : exploitation des données pour l'agriculture de précision". Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, n.º 213 (26 de abril de 2017): 125–31. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2017.203.

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Resumen
La technologie des drones devenant plus accessible et les réglementations nationales encadrant les vols des drones commençant à émerger, de nombreuses sociétés utilisent désormais des drones pour réaliser des acquisitions d'images.Parmi celles-ci AIRINOV a choisi de se spécialiser dans l'agriculture et offre ses services aux agriculteurs ainsi qu'aux expérimentateurs. AIRINOV exploite les drones eBee de senseFly. Le drone a une envergure d'1 m pour un poids de 700 g charge comprise et son vol est entièrment automatique. Le vol est programmé à l'avance puis contrôlé par unauto-pilote connecté à un capteur GPS et à une centrale inertielle embarqués. Ces capteurs enregistrent la position et l'attitude du drone pendant son vol, permettant de géolocaliser les images acquises. Une étude réalisée avec des cibles au sol a permis d'établir que le positionnement absolu des images est de 2,06 m. Toutefois, le recalage sur des points dont on connaît les coordonnées permet d'avoir un géoréférencement avec une précision centimétrique.En parallèle de l'utilisation des appareils photos classiques (RGB), AIRINOV utilise un capteur multispectral quadribande.Les longueurs d'onde de ce capteur sont modulables mais sont généralement vert, rouge, red edge et proche infra-rouge.Ces longueurs d'onde permettent non seulement le suivi d'indices de végétation tels que le NDVI mais également l'accès à des variables biochimiques et biophysiques par inversion d'un modèle de transfert radiatif. Une étude menée conjointement avec l'INRA d'Avignon et le CREAF permet d'accéder au Green Area Index (GAI) et au contenu en chlorophylle (Cab) sur colza, blé, maïs et orge. Cet article présente les résultats d'estimation du GAI avec une RMSE de 0,25 et de Cab avec une RMSE de 4,75 microgrammes/cm2.La qualité des estimations combinée à la forte capacité de revisite du drone ainsi qu'à la multiplicité des indicateurs disponibles démontre le grand intérêt du drone pour le phénotypage et le suivi de plateformes d'essais.
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Lisein, Jonathan, Nathalie Pineux, Marc Pierrot-Deseilligny, Aurore Degré y Philippe Lejeune. "Détection de l'érosion dans un bassin versant agricole par comparaison d'images multidates acquises par drone". Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, n.º 213 (26 de abril de 2017): 133–41. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2017.196.

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Resumen
L'émergence des drones comme outils de cartographie rapide, de par leur capacité à répondre à des besoins trèsspécifiques, offre de nombreuses opportunités aux scientifiques. Par ailleurs, les récentes évolutions des techniques dephotogrammétrie et de vision par ordinateur permettent, à partir de prises de vues aériennes stéréoscopiques, de fourniraux géomorphologues et aux hydrologues des données topographiques à haute résolution (Tarolli, 2014). En effet, lesalgorithmes d'orientation externe (structure from motion en anglais, Snavely et al. (2008)) permettent la déterminationautomatique de la position et de l'orientation des prises de vue d'une collection d'images se recouvrant. La corrélationdense automatique permet ensuite, depuis un bloc d'images orientées, de modéliser finement le relief. L'utilisation engéomorphologie de drones pour la modélisation du relief en est encore à ses premiers souffles, mais montre un potentieltrès intéressant. La précision des mesures photogrammétriques rivalise en effet avec les relevés LiDAR, pour un coûtd'acquisition significativement moins élevé. Cette recherche se focalise sur deux objectifs. Le premier est de déterminersi la précision des mesures photogrammétriques issues d'images acquises avec un mini-drone permet la détection dechangement de relief très fin via la comparaison d'acquisitions multi-dates. Le deuxième objectif, plus spécifique, est dedéterminer la manière la plus optimale de paramétrer la compensation par faisceaux avec points d'appui au sein de la suitephotogrammétrique open-source MICMAC.
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Ndamiyehe Ncutirakiza, Jean-Baptiste, Philippe Lejeune, Sylvie Gourrlet-Fleury, Adeline Fayolle, Léopold Ndjele Mianda-Bungi y Gauthier Ligot. "Quantifier les dimensions des houppiers à l’aide d’images aériennes à haute résolution pour estimer l’accroissement diamétrique des arbres dans les forêts d’Afrique centrale". BOIS & FORETS DES TROPIQUES 343 (27 de marzo de 2020): 67–81. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.343.a31848.

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Resumen
Caractériser la dynamique d’une forêt est essentiel pour la gestion forestière. Les houppiers des arbres forment un élément clé de cette dynamique ; mais, en forêt tropicale, les mesurer n’est pas simple. Cette étude teste l’utilisation d’images aériennes à haute résolution pour estimer la croissance diamétrique des arbres, en intégrant des mesures fines des houppiers détectés. Des ortho-images de 10 cm/pixel de résolution ont été obtenues à l’aide d’un drone à aile fixe sur une parcelle de 9 ha, installée dans la forêt de Yoko en République démocratique du Congo. Les inventaires menés sur les arbres de DHP ≥ 10 cm en 2008 et en 2016 ont permis d’avoir accès à différentes caractéristiques dendrométriques individuelles, dont le diamètre des arbres et leur tempérament, et de calculer des accroissements diamétriques. Des modèles linéaires mixtes ont été calibrés pour prédire l’accroissement de 163 arbres identifiés à la fois sur le terrain et sur les ortho-images en utilisant les variables quantifiées uniquement sur le terrain et/ou à partir de variables mesurées sur les ortho-images. Les images aériennes ont permis de détecter 23,4 % des arbres de DHP ≥ 10 cm inventoriés au sol, et représentant 75,1 % de la biomasse aérienne du peuplement. La probabilité de détection des arbres a varié en fonction de leur DHP : de 0,09 pour les arbres de DHP < 30 cm à 0,97 pour les arbres de DHP ≥ 60 cm. Les variables quantifiées par télédétection ajoutées aux variables de terrain ont permis d’améliorer significativement la prédiction de l’accroissement diamétrique. Les meilleurs modèles d’estimation des accroissements diamétriques contiennent notamment un terme caractérisant la dimension du houppier des arbres qui n’a pu être mesuré que par télédétection. Parmi les variables déterminées par télédétection, la superficie convexe du houppier est apparue la plus performante dans les modèles, et s’avère ainsi être la mesure la plus intéressante pour décrire la compétition entre les houppiers. Ces résultats ouvrent des perspectives pour construire de nouveaux outils d’acquisition de données au service de l’aménagement forestier.
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Linchant, Julie, Philippe Lejeune y Cédric Vermeulen. "Les drones voleront-ils au secours de la faune menacée de la RDC ?" Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, n.º 213 (26 de abril de 2017): 153–59. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2017.195.

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Resumen
La gestion et la conservation des écosystèmes naturels requièrent un suivi efficace qui passe par des études régulièreset des actions rapides. Cependant, ces études sont difficiles à mettre en place, particulièrement dans les milieuxtropicaux où le manque de moyens et de matériel approprié ainsi que les conditions de terrain difficiles se font sentir. Enconséquence de ces limitations, le temps entre deux études consécutives peut être très important, rendant le suivià long-terme pratiquement impossible. L'avènement récent des drones dans leurs applications civiles et le développementrapide de la technologie ouvre une porte vers un suivi plus régulier des écosystèmes naturels. Il est donc important quela République Démocratique du Congo ne reste pas en arrière et tire profit des avantages indiscutables des drones pouraider à faire face aux fortes pressions qui pèsent sur ses écosystèmes. Pour ce faire, le Département Forêts, Nature,Paysage de l'Université de Gembloux Agro-Bio Tech travaille sur un projet visant à développer de nouvelles méthodesde suivi de la faune et des activités illégales dans les aires protégées de la RDC. Trois objectifs spécifiques sontpoursuivis : (i) la mise au point de nouvelles méthodes d'inventaire et de suivi de la grande faune pour appuyer voireremplacer partiellement les méthodes traditionnelles, (ii) l'appui à la lutte anti-braconnage traditionnelle par unereconnaissance aérienne et (iii) la gestion de l'empiètement dans les aires protégées par les activités anthropiquesillégales notamment grâce à la cartographie de ces activités qui peut être obtenue via l'imagerie produite au départ desdrones.
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Martin, Olivier, Christophe Meynard, Marc Pierrot-Deseilligny, Jean-Philippe Souchon y Christian Thom. "Réalisation d'une caméra photogrammétrique ultralégère et de haute résolution". Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, n.º 213 (26 de abril de 2017): 3–9. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2017.200.

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Resumen
Ces dernières années, l'IGN a participé à des expériences de photogrammétrie très haute résolution au coursdesquelles des appareils photo numérique (APN) ont été utilisés sur différents types de drones. Cela nous a permisd'affiner les caractéristiques techniques importantes que devrait proposer une nouvelle caméra photogrammétrique ultralégèreet de très haute résolution dédiée à ce type d'application. Le LOEMI, laboratoire en instrumentation de l’IGN, fortde l'expérience qu'il a acquise en concevant et réalisant les caméras aériennes numériques de l'IGN, s'est lancé dans laconception de ce nouvel imageur en 2012 après avoir étudié les possibilités offertes par le marché en termes de capteuret de composant "cerveau" de la caméra. La caméra sera basée sur un capteur CMOS et son électronique d'acquisitionet de traitements sur un SoC+FPGA de la société Xilinx. Grâce à la conception modulaire du dispositif, on pourradisposer, en fonction du porteur utilisé, de configurations plus ou moins autonomes et donc plus ou moins lourdes, ouavec plus ou moins de connectivité ou de capteurs annexes. La configuration la plus légère sera constituée du seul"étage imageur" dont une version est, en ce début 2014, en cours de test. Les premiers prototypes fonctionnelsdevraient être réalisés d'ici la fin de l'année 2014.
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Fontaine, Christophe. "La persistance de la surveillance et le temps réel, nouveaux principes d'une sobriété guerrière ? L'emploi des drones dans la stratégie aérienne". Stratégique N° 104, n.º 3 (2013): 57. http://dx.doi.org/10.3917/strat.104.0057.

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Raclot, Damien, Christian Puech, Nicolle Mathys, Bruno Roux, Andres Jacome, Jean Asseline y Jean-Stéphane Bailly. "Photographies aériennes prises par drone et Modèle Numérique de Terrain : apports pour l'observatoire sur l'érosion de Draix". Géomorphologie : relief, processus, environnement 11, n.º 1 (1 de abril de 2005): 7–20. http://dx.doi.org/10.4000/geomorphologie.209.

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Abdallah, Mohamed Abdallah. "Modélisation d’une Erosion Hydrique A Partir Des Photographies Aériennes Par Drone : Cas De L’érosion Bolikango A Delvaux, Dans La Commune De Ngaliema". International Journal of Progressive Sciences and Technologies 38, n.º 2 (11 de mayo de 2023): 60. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v38.2.5273.

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La ville province de Kinshasa connait une présence exponentielle des têtes d’érosion, surtout dans la commune de Ngaliema compte tenu de la topographie de cette dernière et de l’urbanisation anarchique, la population de cette entité territoriale se voit délaisser et préfère abandonner leurs parcelles menacées par des érosions pour trouver refuge dans des communes voisines. C’est ainsi que nous avons trouvé important d’aborder cette thématique, afin de proposer une démarche scientifique et technique qui pourra permettre à l’autorité de prendre des décisions responsables. Cet article se veut un guide technique sur la modélisation des phénomènes érosifs dans le souci d’avoir les données de base nécessaire pour bien projeter les études proprement dites sur la lutte antiérosive.Nous avons eu à positionner les GCPs dans des endroits accessibles de notre site, pour corriger le MNE pendant le traitement, afin d’avoir un modèle réaliste de notre zone d’étude. L’idée ici est de modéliser la zone érosive grâce aux prises de vue aérienne par drone, et pour cela, il a fallu suivre toutes les étapes de manière scientifique et technique pour aboutir à un résultat escompté.La zone considérée comme le bassin versant de l’érosion BOLIKANGO a une superficie estimée à 200 hectares, avec les levers ordinaires, c’est-à-dire station totale et autres, la tâche n’aurait pas été facile. La plus grande question était celle de trouver une approche qui prendra en compte le temps, la qualité des données, la précision du résultat attendu et les contraintes d’ordre sociétal car le travail devrait couvrir plusieurs zones frappées par la délinquance juvénile. La technique de drone combinée avec les GCPs mesurés par des techniques géodésiques répondait au mieux à cette problématique, raison pour laquelle nous avons adopté cette technique combinée, qui du reste nous a permis d’avoir des résultats impressionnants surtout sur la production du MNE qui, représentait sensiblement les comportements de l’érosion et avons constaté que la profondeur moyenne de cette érosion avoisinée 70 m sur une longueur totale de 1890 m.C’est grâce à la photogrammétrie, que nous avons su avoir les données de manière précise, et avons pu cartographier de façon claire toutes les zones d’apport et définir précisément la position de la rivière MAKELELE par rapport à l’érosion BOLIKANGO. Cette rivière serait comme un exutoire naturel dans lequel les eaux peuvent être dirigées en cas d’une étude de la lutte antiérosive de cette érosion.
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ABAUNZA, Hernán y Pedro CASTILLO. "Les applications de drones aériens - L’utilisation civile des UAVs". Robotique, agosto de 2017. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-s7816.

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Delpuech, Xavier, Henri Gorioux y Guilhem Pouxviel. "Évaluation de la qualité de la pulvérisation par drone en vignoble de forte pente". IVES Technical Reviews, vine and wine, 24 de febrero de 2022. http://dx.doi.org/10.20870/ives-tr.2022.5402.

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À la suite de l'interdiction des traitements aériens en 2015, les traitements phytosanitaires dans les vignobles de forte pente sont majoritairement réalisés par des opérateurs, soumis à une pénibilité du travail importante, à des risques accrus d’exposition aux produits phytosanitaires, ainsi qu’au risque d’accidents (renversement des engins). La pulvérisation par drone pourrait constituer sur ces parcelles non mécanisables une alternative aux traitements au sol. Le projet PULVEDRONE a permis d’évaluer la qualité de pulvérisation par drone lors de 3 années d’essais de 2019 à 2021 (Ardèche, France).
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Noukpakou, Fabrice y Renaud Pleitinx. "Le paysage Otammari". lieuxdits, 16 de diciembre de 2019, 21–24. http://dx.doi.org/10.14428/ld.vi17.52463.

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Resumen
La recherche doctorale que nous conduisons en Loci, sous la direction des professeurs Renaud Pleitinx et Quentin Wilbaux, est née de la rencontre de notre propre intérêt pour le patrimoine architectural du Bénin et, en particulier, l’habitat otammari, avec les exigences et les compétences des cellules de recherche auxquelles appartiennent nos deux promoteurs : le laboratoire analyse architecture (laa) et LoCiLoCaL.Le laa coordonné par les professeurs Cécile Chanvillard, Pierre Cloquette, Renaud Pleitinx et Jean Stillemans est spécialisé dans le domaine de la théorie de l’architecture. Il se donne pour tâche de définir et de comprendre l’architecture en vue de fournir aux chercheurs dans les domaines de l’architecture des critères d’observation et des principes d’explication utiles à l’étude de toute espèce d’habitat.Coordonné, par le professeur Quentin Wilbaux, le LoCiLoCaL conduit des recherches dans les domaines de l’architecture, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire avec comme souci de tirer le meilleur parti des ressources locales. Dans le cadre de ses recherches, le LoCiLoCal met au point et met en oeuvre des techniques de relevé qui font appel à la photographie aérienne (par avion ou par drone) et à la photogrammétrie.Notre recherche exploite, d’une part, les outils d’analyse et les schèmes explicatifs proposés par le laa et met en oeuvre, d’autre part, les techniques de relevé développées et utilisées au sein de LoCiLoCaL. Pour présenter l’état de cette recherche en cours, nous en préciserons successivement l’objet, la problématique et la méthode.

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