Artículos de revistas sobre el tema "Dépression – Psychiatrie"

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Singer, L. "Dépression, délire, psychose". Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 45s—51s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002649.

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Resumen
RésuméLors du Congrès de 1986 de l’Association Européenne de Psychiatrie, Pierre Pichot dans son rapport sur les «Voies nouvelles de la classification des états dépressifs» a posé le problème de l’autonomie des dépressions délirantes. Si l’on compare le DSM III-R au DSM III et la version provisoire de la CIM 10 à la CIM 9, on relève des changements importants: la dichotomie dépression psychotique-endogène/névrotique-psychogène-réaetionnelle disparaît, ce qui fut d’ailleurs déjà le cas dans le DSM III, mais surtout le délire dans la dépression devient un indice de gravité et ne situe plus cette forme dans une classe indépendante.A vrai dire la clinique avait déjà montré la nécessité de la suppression de la dichotomie psychotique/névrotique, les critères de différenciation diagnostiques s’étant révélés non fiables, variant suivant les écoles et les psychiatres et la clinique ne permettant pas de dissocier les diverses formes. Pas plus ne peut être maintenu, malgré l’opinion encore en cours chez de nombreux psychiatres, le rapport entre une personnalité déterminée comme le « Typus melanchoticus» de Tellenbach et la dépression délirante. Les recherches actuelles montrent en effet qu’il n’existe Pas de corrélation entre la personnalité et la dépression délirante. Le délire dans la dépression apparaît comme un indice de gravité et un mécanisme psychopathologique de défense contre l’angoisse de mort et la culpabilité. Le délire est une forme de pensée qui peut apparaître chez des individus et des groupes sous la pression de panique ou de stress ou de tensions extrêmes. Cette forme de pensée est fréquente dans certaines cultures où elle peut coexister avec la pensée logique. Dans la dépression le délire est transitoire. L’intégration du fait du délire de la dépression délirante dans la psychose dont les caractéristiques restent pour beaucoup le clivage du réel ne peut être maintenue. Le concept même de psychose doit à l’heure actuelle être contesté du fait de son ambiguité et du flou de sa définition qui varie d’une école et d’une théorie à l’autre. Il n’est plus d’actualité de maintenir la dépression délirante dans la catégorie des psychoses fontionnelles affectives, la différenciation entre psychoses affectives et non affectives devant être remise en cause. Cette façon de voir implique l’unicité de la maladie dépressive, ce qui n’exclut pas I existence de causes multiples. Il est vrai que tant que nous ne connaîtrons pas de façon plus précise l’étiologie et les mécanismes pathologiques, le débat restera ouvert.
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Bourrat, M. M. "Dépressions : de l’adolescence à l’âge adulte". European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 613. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.233.

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Resumen
La dépression est un des troubles psychiatriques les plus fréquents et qui génèrent le plus de situations de handicap. Son incidence augmente à l’adolescence, période de fragilité dans la vie de l’individu pendant laquelle se manifestent souvent les premiers symptômes de ce trouble. La prévalence de la dépression à l’adolescence est estimée entre 5 et 9 %. Son retentissement peut être majeur, en particulier à cet âge, par les conséquences qu’elle peut avoir sur le fonctionnement social ou familial. La SFPEADA (Société française de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent et disciplines associées), qui vient de contribuer à l’élaboration des recommandations de la HAS (Haute Autorité de Santé) sur les dépressions de l’adolescent, a souhaité proposer dans le cadre du Congrès Français de Psychiatrie, une session qui associe des interventions de psychiatres d’enfants et d’adolescents et de psychiatres d’adultes. Sous la présidence de Marie-Michèle Bourrat, présidente de la SFPEADA, seront présentés et discutés avec le public :– les éléments d’actualité et les recommandations concernant la clinique et les soins dans les différentes formes de dépressions à l’adolescence (Louis Tandonnet, Nantes);– les actions de prévention ciblées de la dépression à l’adolescence qui ont fait leurs preuves et commencent à se développer en France (Laure Mesquida, Toulouse);– la transition de l’adolescence à l’âge adulte, avec les spécificités cliniques et psychopathologiques de la dépression à cet âge (Benoît Maillet, Nantes);Dans une dimension développementale, la discussion portera notamment sur les liens et les collaborations entre les professionnels intervenant dans l’enfance, à l’adolescence et à l’âge adulte : comment prévenir sans enfermer dans des prédictions, comment accompagner les trajectoires, les séparations, les passages de relais ?
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Tremey, A., T. Charpeaud y P. M. Llorca. "Place des chronothérapies dans la prise en charge de la dépression résistante : à partir d’un cas clinique". European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 645–46. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.009.

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Resumen
IntroductionLa prise en charge des épisodes dépressifs caractérisés, se heurte à un taux de réponse à un premier traitement antidépresseur ne dépassant pas 30 à 45 %, et un taux de rémission n’excédant pas 30 % [1]. Devant ce constat, des stratégies thérapeutiques non-pharmacologiques sont légitimement en cours d’étude. C’est le cas par exemple, des chronothérapies, applications d’un modèle chronobiologique de la dépression élaboré dès le début des années 1980 [2].ObjectifNous nous sommes intéressés à ce modèle et avons souhaité, à partir d’un exemple clinique, nous interroger sur la place des techniques thérapeutiques qui en découlent dans l’organisation hiérarchique des traitements de la dépression.MéthodeNous présentons le cas d’un patient souffrant de dépression unipolaire résistante de stade V [3], présentant à l’admission un score de sévérité côté à 35 sur l’échelle de Montgomery et Asberg. Devant certaines caractéristiques cliniques de l’état dépressif suggérant une « susceptibilité chronobiologique », d’une part, et à la vue de données d’efficacité émanant de la littérature, d’autre part, nous avons décidé d’associer au traitement antidépresseur médicamenteux, un traitement par privation partielle de sommeil et luminothérapie matinale.RésultatsAu terme de cette prise en charge, nous avons constaté une rémission des symptômes dépressifs, avec un score MADRS de 6 après 5 semaines de traitement, et un maintien de la rémission clinique à 6 mois.DiscussionL’application et l’efficacité de ces thérapies renvoient à l’hypothèse d’un fondement chronobiologique de la dépression. Leur place dans les recommandations pour la pratique clinique et dans les algorithmes de traitement de la dépression reste limitée. Il n’apparaît pas impossible que le paradigme pharmacologique dominant la psychiatrie puisse en être une des explications [4]. Il s’agit pourtant d’alternatives thérapeutiques simples, dont l’efficacité et la tolérance sont démontrées dans une littérature de plus en plus abondante.
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Lemoine, P. "Insomnies, hypersomnies, parasomnies en psychiatrie". European Psychiatry 28, S2 (noviembre de 2013): 36. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.087.

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Resumen
Les troubles du sommeil sont probablement parmi les plus ubiquitaires en médecine et il n’existe guère de trouble psychiatrique qui ne les engendre. Certains d’entre eux comme les apnées du sommeil peuvent engendrer des syndromes tels la dépression, la fatigue, l’impuissance ou des déclins cognitifs allant jusqu’à la démence ou en constituer des facteurs de résistance au traitement ; de la même façon, le dépistage du syndrome des mouvements périodiques des membres inférieurs au cours du sommeil souvent associé au syndrome des jambes sans repos pendant l’éveil, peut permettre une meilleure approche de certaines formes de fatigue chronique, de dépression, de syndromes de glissement. D’autres perturbations au cours du sommeil constituent les symptômes clefs d’un syndrome psychiatrique comme par exemple l’hypersomnie dans la dépression saisonnière ou la dépression atypique. Enfin, certains troubles du sommeil chroniques telle l’insomnie au cours de la troisième décennie de la vie sont souvent les signes précurseurs d’une dépression qui surviendra vingt ans plus tard comme s’il existait un facteur commun à l’origine des deux entités pathologiques. De la même manière, une période d’insomnie même brève s’avère un prédicteur d’une rechute maniaque ou d’un épisode psychotique aigu. Apprendre à les reconnaître, les évaluer, s’en servir comme guides cliniques s’avère essentiel dans la prise en charge des patients de notre spécialité : dans quels cas faut-il systématiquement ou éventuellement demander un enregistrement polygraphique de sommeil ? Existent-t-ils et quelle est la valeur des outils diagnostiques moins contraignants comme par exemple l’agenda de sommeil, l’actimétrie ? Comment prendre en charge une insomnie dans un cadre psychiatrique ? Quel est le « bon usage » des hypnotiques ? Telles sont les nombreuses questions que cette rencontre avec l’expert permettra d’évoquer.
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Charron, Anne. "La dépression chez la femme : plus qu’un simple cafard. Récit de deux études de cas". Revue de l'Université de Moncton 39, n.º 1-2 (2 de junio de 2010): 69–96. http://dx.doi.org/10.7202/039843ar.

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Resumen
Résumé Deux études de cas sont relatées dans le présent article afin d’explorer le parcours de la trajectoire expérientielle de la maladie et la période de rétablissement de deux femmes atteintes de dépression, de même que leurs besoins d’apprentissage et les dimensions les plus altérées de leur qualité de vie. Une des femmes est hospitalisée à une unité de psychiatrie et l’autre suit une thérapie de groupe dans un Centre de Jour psychiatrique. Ces études de cas sont décrites et comparées à partir de trois unités d’analyse, soit : 1) le fait de vivre au quotidien avec un trouble dépressif; 2) le besoin d’apprendre en ce qui a trait à leur maladie et 3) la qualité de leur vie. Quatorze thèmes ont émergé de l’analyse interprétative du compte rendu in extenso et une synthèse intégrative de ces thématiques est exposée. L’apparition de la dépression chez les deux sujets gravite particulièrement autour de l’emploi et des difficultés financières.
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Lemperière, T. "La dépression dans les populations médicales". Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 71s—83s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002674.

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RésuméLa prévalence élevée des états dépressifs dans la clientèle du généraliste (environ 10% des consultants) et chez les patients de médecine interne (15 à 25% des hospitalisés) est maintenant bien établie. Ce fait a été longtemps négligé par les praticiens et les psychiatres; même actuellement son importance reste sous-estimée.La proportion d’états dépressifs non-identifiés par les praticiens varie de 1/3 à 2/3 selon les études. Les dépressions méconnues sont source de surconsommation médicale (consultations répétées, examens paracliniques, hospitalisations pour bilans) et ont une évolution moins favorable, plus chronique, que les dépressions identifiées et correctement traitées. Des cas sévères de dépression échappent souvent au dépistage, ce qui n’est pas sans conséquences graves: on sait en effet que la majorité des gens qui se suicident ont consulté un médecin dans le mois qui a précédé leur décès.Parmi les facteurs qui rendent compte de la méconnaissance des états dépressifs par les médecins non-spécialistes, les uns tiennent aux patients qui, dans leur dialogue avec le généraliste, utilisent davantage le langage de la somatisation qu’ils ne verbalisent explicitement un vécu dépressif. D’autres tiennent aux praticiens, à leur intérêt prévalent et parlois exclusif pour les problèmes somatiques, à leur souci légitime de ne pas passer à côté du diagnostic d’une affection médicale, à l’idée qu’ils se font de la dépression et des déprimés, à leur propension à considérer toutes les manifestations dysphoriques comme conséquences légitimes de la maladie physique. Il faut aussi compter avec les conditions d’exercice du généraliste, le temps très court de sa consultation où il n’est pas facile de différencier une réelle pathologie dépressive, généralement liée à des troubles anxieux et moins nette que dans les consultations Psychiatriques, de troubles émotionnels mineurs, situationnels et transitoires.Les instruments habituellement utilisés pour le dépistage et le diagnostic de la dépression (échelles d’autoévaluation, critères de diagnostic type RDC ou critères du DSM III) n’ont pas été validés pour les populations de patients somatiques. Récemment deux nouveaux instruments viennent d’être mis au point pour la détection de la symptomatologie dépressive chez les patients somatiques: I'échelle HAD (Hospital Anxiety and Depression Scale) de Zigmond et Snaith (1983) et le Questionnaire Abrégé d’Auto-Évaluation de la Symptomatologie Dépressive (QD2A) de Pichot et al. (1984). Ces échelles, de passation rapide et bien acceptées par les patients, peuvent servir d’aide au diagnostic pour le praticien dans la perspective d’un meilleur dépistage de la dépression et d’une prise en charge plus efficace des déprimés.
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Fombonne, Eric y Rebecca Fuhrer. "Psychiatrie et épidémiologie". Psychiatry and Psychobiology 1, n.º 4 (1986): 256–73. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00000468.

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Resumen
RésuméL’épidémiologie psychiatrique s’est beaucoup développée depuis trente ans. Après avoir rappelé les définitions et méthodes fondamentales en épidémiologie, nous décrivons des progrès accomplis en épidémiologie psychiatrique. Parmi eux, la définition des cas, les techniques d’identification des cas, et la recherche de facteurs de risque sont présentés ici. Pour les illustrer, certaines connaissances actuelles sur les facteurs de risque dans la schizophrénie et la dépression sont brièvement décrits. Ensuite, les travaux en psychiatrie de l’enfant sont brièvement présentés en insistant sur quelques difficultés spécifiques à la recherche en pédopsychiatrie. Finalement, après avoir fait le point de la situation française, quelques opinions communes qui freinent l’essor de la recherche épidémiologique sont passées en revue. Les conclusions soulignent la possibilité et la nécessité de développer cette approche multi-disciplinaire en psychiatrie.
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Holtzmann, J. "Nouvelles perspectives de prise en charge – apports des nouvelles technologies". European Psychiatry 30, S2 (noviembre de 2015): S38—S39. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.110.

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Resumen
En 2010, 30 millions d’européens ont été affectés par la dépression et ce nombre continue à augmenter . La moitié des européens souffrant de dépression n’ont pas accès à des soins de santé mentale et ne reçoivent pas toujours des traitements ayant prouvé leur efficacité comme la thérapie cognitivo-comportemenale . Le temps d’attente pour une consultation parfois long et les frais de prise en charge élevés constituent des freins majeurs pour ce type de thérapie. La prise en charge par Internet peut potentiellement pallier les inconvénients des soins classiques et permettre un traitement de la dépression de très bonne qualité à un prix abordable . European-COMPARative Effectiveness research on online Depression (E-COMPARED) est un projet de recherche européen de trois ans financé par la Commission Européenne. Il vise à évaluer deux modes de prise en charge de la dépression chez l’adulte : la prise en charge classique (face-à-face) et combinée (face-à-face et Internet). Il s’agit d’un projet multidisciplinaire (psychiatrie, nouvelles technologies de l’information et de communication, soins) et ses membres sont les précurseurs de la prise en charge des troubles mentaux communs par Internet. Au sein de E-COMPARED, l’essai clinique î Stratégie thérapeutique à support numérique dans l’épisode dépressif majeur : étude clinique comparative aux soins courants et étude de coût–efficacité constitue le Work Package 2 et sera réalisé, pour la France, au sein du réseau des centres experts sur la dépression résistante (fondation FondaMental). Ce réseau fédère 11 centres qui assureront le recrutement et la réalisation de l’essai, Cet essai clinique débutera mi-2015 et sera mené parallèlement dans 8 pays. L’objectif principal de cette étude étant de montrer la non-infériorité de thérapie combinée par rapport aux soins usuels de l’épisode dépressif majeur, faisant l’hypothèse que la thérapie combinée permettra d’apporter autant d’amélioration que les soins usuels mais à moindre coût.
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Nique, S., G. Fournis, W. El-Hage, N. Nabhan-Abou, J. B. Garré y B. Gohier. "Transporteur de la sérotonine, troubles anxieux et dépression : revue de la littérature". European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 544–45. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.328.

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Resumen
La sérotonine est une monoamine apparentée à l’adrénaline, la noradrénaline et la dopamine. Elle joue un rôle essentiel pour de nombreux organes du corps humain, notamment à l’étage cérébral où elle est impliquée dans d’importantes fonctions vitales de régulation de l’homéostasie de l’organisme. Son transporteur est le siège de thérapeutiques devenues incontournables en psychiatrie, et il existe une variation génétique de son expression qui serait impliquée dans de nombreuses pathologies psychiatriques.À partir d’une revue récente de la littérature, nous proposons de se focaliser sur l’impact des variations génétiques du récepteur à la sérotonine (5-HTTLPR) dans les troubles anxieux et dépressifs et en particulier sur les mécanismes de régulation émotionnelle. Nous nous intéressons ainsi aux données croisées entre génétique et aspects neuropsychologiques de la dépression et des troubles anxieux. Ce travail permet d’offrir une synthèse des données récentes de la littérature et de réfléchir à de nouvelles voies de recherche sur ces pathologies fréquentes en psychiatrie.
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Rainelli, C. "Trois histoires cliniques complexes en psychiatrie périnatale". European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 609–10. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.223.

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Resumen
La psychiatrie périnatale fait un pont entre les pathologies psychiatriques de l’adulte et celles de l’enfant créant ainsi un espace original par sa clinique et sa temporalité spécifique. Les fragilités antérieures de l’adulte et en particulier celles de la mère peuvent venir s’exprimer au contact de l’évènement naissance et du devenir parent. La problématique passée est alors réactivée dans le cadre du réaménagement psychique nécessaire. Le nourrisson quant à lui porte dès sa conception une histoire inscrite dans celle de ses parents mais aussi sa propre capacité à venir « naître » au monde. La clinique rencontrée entremêle tous ces facteurs, créant des tableaux complexes de décompensation où souffrance de l’adulte et souffrance du bébé sont parfois inextricables. La Société Marcé Francophone accompagne, depuis 1996, les études et recherches cliniques en psychiatrie périnatale. Elle est composée de professionnels de diverses disciplines reflétant la nécessaire pluralité dans la collaboration pour l’aide à apporter aux soins psychiques dans cette période de la vie. Nous avons choisi de vous présenter trois histoires cliniques évoquant la complexité et la gravité de certains symptômes mettant en danger le parent, l’enfant et nécessitant l’articulation coordonnée des différents professionnels entre eux. Seront abordés en reprenant les différents aspects de la clinique maternelle et celle du bébé : une dépression périnatale traitée par sismothérapie, l’évolution au décours d’une dépression maternelle d’un trouble des conduites alimentaires chez le bébé, une dépression grave du nourrisson.
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Gouchouron, G., A. Vicard, S. Bouchiat y M. Trousselard. "Prévalence des états de stress post-traumatique (ESPT) à cinq ans d’un accident de sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE)". European Psychiatry 30, S2 (noviembre de 2015): S112—S113. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.214.

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Resumen
IntroductionEn 2009, à l’aube, le SNLE Le Triomphant est entré en collision avec le sous-marin britannique HMS Vanguard en immersion. Effet de surprise majeur (réveil brutal), absence de contrôle prolongée et menace vitale caractérisent le vécu des 110 sous-mariniers à bord. Une prise en charge trois mois après l’accident, comprenant évaluation psychométrique anonyme de la souffrance psychique au sein de l’équipage (ESPT [1], dépression [2]) et entretiens individuels par le service local de psychiatrie, a été réalisée. Sur les 92 sous-mariniers répondants, 17 % souffraient d’ESPT, et 20 % d’un syndrome dépressif léger à sévère. La sévérité clinique était en lien avec l’existence d’une dissociation péritraumatique au décours du choc [3], et l’intensité de la symptomatologie dépressive. En 2014, cinq ans après l’accident, un état des lieux a été réalisé au sein de cette même population.MéthodologieAprès une information téléphonique auprès de 92 marins portant sur l’objectif de l’étude d’un suivi anonyme de prévalence de l’ESPT, les mêmes auto-questionnaires (Post-Check List Scale1 ; échelle de Beck [2], 21 items) ont été envoyés par voie postale.RésultatsSoixante-sept sous-mariniers encore en activité dans les SNLE ont répondu. La prévalence de l’ESPT est de 11 % des répondants. Dix-huit pour cent de cette population souffre d’un syndrome dépressif léger à majeur. La sévérité clinique de l’ESPT n’était pas en lien avec l’intensité de la symptomatologie dépressive.ConclusionsLa prévalence de l’ESPT au sein de notre population a diminué. Elle est sensiblement identique à d’autres populations de militaire étudiées. Il existe probablement un biais de recrutement, à l’origine d’une sous-évaluation de la prévalence et suggérant l’existence d’une stigmatisation des troubles psychiques au sein des armées. La prévalence importante des syndromes dépressifs questionne l’interaction entre l’accident traumatogène et les conditions de vie à bord (manque de lumière et travail posté) [4].
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Lecrubier, Y. y P. Aloupis. "Sérotonine et dépression: psychopathologie dimensionnelle". Psychiatry and Psychobiology 5, n.º 3 (1990): 219–23. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003527.

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RésuméL’approche nosologique - classique en psychiatrie - n’est plus pertinente pour la dépression. Des paramètres biologiques mettent en évidence l’existence de différentes dimensions dans cette pathologie, dont certaines, liées à des modifications du fonctionnement sérotoninergique, sont sensibles à des produits modifiant ce fonctionnement. Le fait que le traitement de patients obsessionnels par benzodiazépines apporte une amélioration de la symptomatologie anxieuse s’exprimant au niveau neurovégétatif mais a tendance à aggraver les obsessions donne à penser que le médicament reste un des meilleurs outils pour une identification pertinente de dimensions transnosologiques.
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Mouhoud, Théo Tarik, Jonathan Lachal, Marie Rose Moro y Rahmethnissah Radjack. "Expérience de la souffrance dépressive chez l’adolescent enfant de migrant(s)". Enfances & Psy N° 98, n.º 4 (7 de diciembre de 2023): 163–73. http://dx.doi.org/10.3917/ep.098.0163.

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L’adolescence de l’enfant de migrant(s) présentant une souffrance dépressive, semble être le théâtre d’une migration prise dans le processus de séparation-individuation, avec une menace de perte d’identité culturelle d’origine et des défauts importants de transmission de l’histoire familiale et migratoire. La culpabilité est entretenue par la « dette migratoire », l’illégitimité à souffrir provenant de la comparaison avec l’histoire parentale et de la non-reconnaissance de la souffrance par les parents. La prise en charge individuelle des adolescents enfants de migrants souffrants de dépression fait appel aux compétences en psychiatrie transculturelle des thérapeutes, ainsi qu’à la mise en place d’un travail centré sur la narration du fait des problématiques de transmission des récits familiaux et migratoires.
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Papart, P. y M. Ansseau. "¡chelle manie-depression de l'AMDP et inversion maniaque". Psychiatry and Psychobiology 2, n.º 3 (1 de enero de 1987): 214–17. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00004302.

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Resumen
RésuméL’échelle Manie-Dépression de l’AMDP comporte 20 items dépressifs et 7 items maniaques cotés de 0 à 4 (Figure 2). Le score total de l’échelle se calcule par la différence entre les notes totales de dépression et de manie. Cette échelle nous paraît particulièrement bien adaptée pour évaluer les virages maniaques sous traitement antidépresseur. A ce propos, nous rapportons le cas d’une patiente bipolaire de 29 ans, hospitalisée pour un épisode dépressif majeur avec mélancolie, qui a présenté une inversion maniaque de l’humeur après 8 jours de traitement par adinazolam, une triazolo-benzodiazépine. L’arrêt du traitement a fait réapparaître la symptomatologie dépressive antérieure. Ce cas clinique illustre l’intérêt de l’échelle Manie-Dépression de l’AMDP pour le suivi longitudinal des patients bipolaires.
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Lejuste, F., A. Haroche y C. Rabu. "Dépression résistante et pramipexole : à propos de deux cas". European Psychiatry 28, S2 (noviembre de 2013): 102–3. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.273.

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Resumen
Le pramipexole est un agoniste dopaminergique utilisé dans le traitement de la maladie de Parkinson. Plusieurs publications récentes suggèrent son efficacité comme traitement adjuvant de la dépression résistante unipolaire ou bipolaire [1–3,5]. Nous présentons deux cas de dépression résistante traitée par pramipexole.Cas no 1Femme de 63 ans, hospitalisée dans le service de psychiatrie de l’hôpital Henri-Mondor (Créteil) pour un épisode dépressif majeur d’intensité sévère sans caractéristiques psychotiques, dans le cadre d’un trouble dépressif récurrent, résistant à l’escitalopram 20 mg/j et à la venlafaxine 300 mg/j. Une cure de cinq séances d’électro-convulsivotérapie (ECT) a été conduite, avec une efficacité partielle, interrompue pour mauvaise tolérance, et suivie d’une rechute rapide. L’introduction du pramipexole (1,4 mg/j) a été suivie d’une rémission complète, rapide (en 15 jours) et durable (après deux mois de traitement), en association à la lamotrigine (100 mg/j à la fin de notre prise en charge).Cas no 2Femme de 68 ans, hospitalisée dans notre service pour un épisode dépressif majeur d’intensité sévère sans caractéristiques psychotiques, dans le cadre d’un trouble bipolaire de type 3, résistant à plusieurs lignes de traitement bien conduites, dont un tricyclique (clomipramine). Au début de notre prise en charge, elle est traitée par acide valproïque et quiétiapine. Amélioration rapide (en 15 jours) sous pramipexole (1,76 mg/j), en association à la lamotrigine (50 mg/j à la fin de notre prise en charge) et l’acide valproïque (750 mg/j). Dans ces deux cas, le pramipexole a été efficace sans être associé à un antidépresseur, pour des patients ayant une indication d’ECT. Il n’a pas été constaté d’effets indésirables. La présentation clinique était centrée sur le ralentissement psychomoteur, l’anhédonie, l’apragmatisme, l’anesthésie affective. Ces dimensions symptomatiques pourraient être liées aux dysfonctions du système dopaminergique [4]. Ce tableau clinique pourrait être prédictif de l’efficacité des agonistes dopaminergiques.
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Saab, Chantal y Robert Letendre. "Solidarité-Psychiatrie Inc." Santé mentale au Québec 5, n.º 1 (2 de junio de 2006): 41–46. http://dx.doi.org/10.7202/030064ar.

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Resumen
Les auteurs, après avoir expliqué ce que c'est que de souffrir d'une dépression et les conséquences impliquées, font ensuite une critique de l'institution psychiatrique. Ils décrivent leur projet : Solidarité-psychiatrie inspiré par l'expérience de D. W. Winnicott et le concept d'institution de M. Mannoni. Le but du projet est de fournir un lieu de rencontre pour les gens concernés par la réalité de la maladie mentale où ils refléteraient les différents aspects de la maladie mentale et apprendraient à lire ses manifestations dans la vie quotidienne. Le projet est devenu opérationnel en avril 1979, depuis lors plus de 100 personnes en ont bénéficié. Elles ont des rencontres hebdomadaires, des activités continues comme le jeu théâtral, des discussions régulières sur des thèmes variés ; trois comités ont été formés : 1) un comité pour l'atelier théâtre ; 2) un comité pour la réflexion ; 3) un comité pour faire face aux urgences. Elles ont aussi travaillé sur les procédures nécessaires pour obtenir une charte.
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Froger, Nicolas. "Potentialités thérapeutiques des neurostéroïdes en psychiatrie". Biologie Aujourd’hui 213, n.º 3-4 (2019): 131–40. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019023.

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Les neurostéroïdes constituent une famille de molécules synthétisées par le cerveau, représentée par les hormones stéroïdes elles-mêmes, mais également par certains de leurs précurseurs et métabolites. Ils ont des propriétés neuroactives en stimulant des voies de signalisation non génomiques, spécifiques des neurones. Trois types de neurostéroïdes ont été identifiés selon les voies qu’ils activent, à savoir (i) les neurostéroïdes inhibiteurs, (ii) les neurostéroïdes excitateurs et (iii) les neurostéroïdes microtubulaires. Les neurostéroïdes inhibiteurs activent les récepteurs ionotropiques GABA-A, tandis que les neurostéroïdes excitateurs inhibent les courants GABAergiques et stimulent la neurotransmission glutamatergique (soit directement en activant les récepteurs NMDA, soit indirectement via la stimulation des récepteurs sigma-1). Enfin, les neurostéroïdes microtubulaires sont capables de se lier aux protéines associées aux microtubules, comme MAP2, pour favoriser la croissance des microtubules, et in fine la plasticité neuronale. En regard de leurs actions pharmacologiques, certains neurostéroïdes ont fait l’objet d’études cliniques pour le traitement de maladies psychiatriques. C’est le cas de l’alloprégnanolone, le principal neurostéroïde inhibiteur, qui a montré une efficacité dans le traitement de la dépression du post-partum et de l’anxiété. Contrairement à leurs dérivés sulfatés qui n’ont jamais été testés en clinique, la DHEA (déhydroépiandrostérone) et la prégnénolone ont montré des effets antidépresseurs et antipsychotiques. Cependant, la surproduction éventuelle d’hormones provoquée par leur métabolisation a conduit à développer des dérivés de synthèse non métabolisables. C’est le cas du composé MAP4343, un dérivé de la prégnénolone, qui a montré des effets de type antidépresseur dans différents modèles animaux. Il fait actuellement l’objet d’un développement clinique pour le traitement de la dépression.
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Hardy, P., A. L. Penchaud, B. Lavigne y M. Lardinois. "Santé mentale des internes en psychiatrie : quelle prise en charge et quelles recommandations ?" European Psychiatry 30, S2 (noviembre de 2015): S52. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.147.

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L’internat est une période de stress chronique élevé pour les étudiants en médecine qui doivent relever le défi d’apprendre à travailler en équipe, de devenir des médecins compétents, responsables et empathiques, dans un climat parfois compétitif. Les premières études analysant la prévalence des troubles psychiatriques chez les internes dans les années 1960 retrouvaient une prévalence de la dépression d’environ 30 %. Des travaux récents retrouvent des taux identiques ainsi qu’une augmentation significative de la prévalence du burn-out et des symptômes anxieux au cours de l’internat . Cependant, il semblerait que les internes souffrant de troubles psychiatriques se tournent peu vers les professionnels de santé , alors même que l’aggravation des symptômes retentit sur leur fonctionnement, notamment professionnel. Actuellement, il n’existe pas en France de recommandation claire quant à la prise en charge médicale et universitaire des internes en souffrance psychique, malgré des résultats encourageant d’interventions individuelles ou groupales . L’Association française fédérative des étudiants en psychiatrie a donc mené une enquête auprès des représentants des internes en psychiatrie de chaque subdivision et des coordonnateurs locaux du diplôme d’études spécialisées (DES) de psychiatrie. Ce travail, présenté pour la première fois, a pour but de décrire les dispositions médicales et universitaires prises pour les internes en souffrance et celles souhaitées. L’objectif final de cette étude est d’élaborer des recommandations nationales et consensuelles aidant à la prise en charge spécifique de ces étudiants. Le professeur Hardy apportera son regard avec sa double expertise de coordonnateur du DES de psychiatrie de Paris-IDF et de psychiatre intéressé par les troubles affectifs et les facteurs de risques psychosociaux. L’approche sociologique de Madame Penchaud viendra enrichir cette session où elle présentera une revue de la littérature en sciences sociales sur les motivations présidant au choix de la filière psychiatrique et proposera une analyse compréhensive de l’expérience et l’apprentissage professionnel des internes en psychiatrie.
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Desmidt, T. "Sémiologie et diagnostics psychiatriques : un couple moderne enrichi par la phénoménologie". European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 583. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.288.

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L’objectif annoncé de E. Husserl lorsqu’il élabore la phénoménologie est celui d’une science rigoureuse de l’expérience humaine. Les psychiatres qui ont affaire aux expériences de leurs patients, celles-ci ne pouvant être réduites à une sommation de symptômes cliniques ou de processus biologiques, se sont alors naturellement rapprochés de la phénoménologie, en particulier dans la deuxième moitié du XXe siècle. Néanmoins, la phénoménologie est actuellement une approche relativement marginale en psychiatrie, en comparaison des neurosciences, des approches cognitivistes ou encore de la psychanalyse. Pour autant, elle reste plus que jamais compatible avec une approche multidisciplinaire de la psychiatrie, en particulier parce qu’elle cherche à décrire le ‘comment’ de l’expérience humaine, là où d’autres disciplines recherchent principalement le ‘pourquoi’. En outre, la phénoménologie a pu s’enrichir de ses interactions avec les neurosciences sous la forme du courant de la neurophénoménologie qui vise une interaction mutuellement générative entre les deux disciplines. De manière générale, l’approche moderne de la phénoménologie psychiatrique doit permettre non seulement de dépasser l’approche purement symptomatique du DSM ou de la CIM pour se plonger au cœur de l’expérience vécue en décrivant les structures du vécu des patients mais aussi d’enrichir les autres disciplines de la psychiatrie et d’être enrichie par celles-ci en retour. Nous montrerons comment la phénoménologie peut éclairer la psychopathologie et offrir des pistes de réflexion en clinique et en recherche, en prenant certains exemples récents sur la dépression et la schizophrénie.
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Braconnier, A. "Début des états anxio-dépressifs : Étude clinique préliminaire". Psychiatry and Psychobiology 1, n.º 2 (1986): 170–71. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003266.

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RésuméL'étude de vingt jeunes sujets déprimés, dont un peu plus de la moitié présentait une dépression secondaire à un état anxieux aigu, a amené l'auteur à entreprendre une étude clinique prospective sur les modes de début des états anxieux et anxio-dépressifs. L'exemple clinique d'un de ces modes de début faisant partie de l’étude préliminaire sur cette question est ici rapporté. On observe, comme cela a été décrit chez des sujets plus âgés, un enchaînement séquentiel caractéristique : anxiété aiguë suivie d’une agoraphobie et d’un risque de dépression secondaire. Cependant l’existence avant la première crise d'angoisse aiguë cliniquement patente d’une humeur «anxio-dépressive», certes minime et infra-clinique, pose la question de l'âge de début, du mode de début et des relations initiales entre le «corpus» anxieux et le «corpus» dépressif.
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Corfmat, J., D. Januel, S. Braha y V. Moulier. "L’effet placebo : généralités et spécificités en psychiatrie (dépression et schizophrénie)". L'Encéphale 38, n.º 1 (febrero de 2012): 50–57. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2011.01.010.

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Hilal, Fahd, Jérôme Jeanblanc y Mickaël Naassila. "Intérêt et mécanismes d’action de la kétamine dans le traitement de l’addiction à l’alcool – Revue des études cliniques et précliniques". Biologie Aujourd’hui 217, n.º 3-4 (2023): 161–82. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2023028.

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Le Trouble de l’Usage d’Alcool (TUA) est une maladie psychiatrique caractérisée par une consommation chronique et excessive d’alcool malgré des conséquences négatives sur la santé et le fonctionnement social ou professionnel. Les options de traitements du TUA sont actuellement limitées et les tailles d’effet et taux de réponse à ces traitements sont souvent faibles à modérés. L’Organisation Mondiale de la Santé a identifié le développement des médicaments pour traiter le TUA comme l’une de ses 24 priorités. Cette dernière décennie a été marquée par un intérêt renouvelé pour l’utilisation de psychédéliques en psychiatrie. La kétamine, un psychédélique atypique déjà utilisé dans le traitement de la dépression majeure, est au centre de cette renaissance. Cet antagoniste des récepteurs NMDA existe sous deux formes énantiomères, la S-kétamine et la R-kétamine, qui peuvent être métabolisées en différents dérivés, dont certains ont montré des propriétés antidépressives. Cet article de revue vise à faire le bilan des études cliniques et précliniques sur l’utilisation de la kétamine et de ses métabolites dans le traitement du TUA. L’ensemble de ces études montre que la kétamine est efficace pour réduire les symptômes de sevrage et les envies irrépressibles d’alcool. Les propriétés antidépressives avérées de la kétamine contribuent à la diminution du risque de rechute dans le mésusage d’alcool, notamment chez les patients suivant des psychothérapies. Son efficacité est supposée être liée à sa capacité à réguler la voie glutamatergique, à améliorer la neuroplasticité, à réorganiser la connectivité fonctionnelle des réseaux d’état de repos (resting state networks) du cerveau et à réduire les états dépressifs. Bien que ces premiers résultats soient prometteurs, la mise en évidence de différences importantes entre les sexes, et la méconnaissance du rôle de chacun des métabolites dans les effets observés justifient la poursuite des recherches précliniques pour mieux comprendre comment agissent véritablement la kétamine et ses métabolites sur le TUA. En clinique, les études récentes s’intéressent désormais à la dépendance à la kétamine et à la dépression comorbide, ainsi qu’à l’influence du sexe, une comorbidité plus forte entre la dépendance à l’alcool et la dépression semblant exister chez la femme.
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Corbanezi, Elton Rogerio. "TRANSTORNOS DEPRESSIVOS E CAPITALISMO CONTEMPORÂNEO". Caderno CRH 31, n.º 83 (24 de enero de 2019): 335–53. http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v31i83.20059.

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O objetivo do artigo é mostrar como a evolução da nosologia psiquiátrica da depressão pode relacionar-se com determinadas demandas do capitalismo contemporâneo. Primeiro, investigamos as concepções de transtornos depressivos desde a terceira edição do Manual Diagnóstico e Estatístico de Transtornos Mentais (DSM), que instaurou o paradigma psiquiátrico vigente até nossos dias, enfocando especialmente as duas últimas versões (DSM-IV-TR e DSM-5). Ao lado da Classificação Internacional de Doenças da OMS, as edições recentes do manual constituem os principais sistemas classificatórios de psiquiatria, orientando a prática clínica e embasando conceitualmente a ideia atual de epidemia depressiva. Em seguida, fazemos ver como a teoria econômica do capital humano, elaborada por economistas neoliberais da Escola de Chicago, se converte em valor social que, aceito e disseminado amplamente, orienta a conduta de vida dos indivíduos tanto em sociedades liberais avançadas quanto nas terceiro-mundistas. Pretendemos sustentar, assim, que a sistemática ramificação e flexibilização dos transtornos depressivos, as quais estabelecem como patológico formas tênues de sofrimento, correspondem à lógica de intensificação do desempenho de determinadas capacidades individuais imprescindíveis ao capitalismo contemporâneo.DEPRESSIVE DISORDERS AND CONTEMPORARY CAPITALISMThis article aims to show how the evolution of psychiatric nosology of depression may to relate to certain requirements of contemporary capitalism. First, we investigate the conceptions of depressive disorders from the third edition of Diagnostic and Statistical Manuals of Mental Disorders (DSM), which established the current psychiatric paradigm, focusing especially on the last two versions (DSM-IV and DSM-5). Along with International Classification of Diseases by WHO, the recent editions of manual are the main classification systems of psychiatry, guiding clinical practice and conceptually basing the current idea of depressive epidemic. Then we show how the economic theory of human capital, developed by neoliberal economists of the Chicago School, becomes a social value that, widely accepted and disseminated, guides the conduct of life of individuals in advanced liberal societies and in Third World societies. Therefore, we affirm that the systematic ramification and flexibility of depressive disorders, which establish as pathological subtle forms of suffering, correspond to logic of intensification of performance of certain individual capacities indispensable to contemporary capitalism. Keywords: Depressive disorders. Contemporary capitalism. Human capital. Conduct of life. Depressive epidemic. TROUBLES DÉPRESSIFS ET CAPITALISME CONTEMPORAINCet article a pour but de montrer comment l’évolution de la nosologie psychiatrique de la dépression peut se rapporter à certaines exigences du capitalisme contemporain. D’abord, nous étudions les conceptions de troubles dépressifs depuis la troisième édition du Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux (DSM), qui a établi le paradigme psychiatrique actuel, en nous concentrant surtout sur les deux dernières versions (DSM-IV et DSM-5). À côté de la Classification Internationale des Maladies de l’OMS, les éditions les plus récentes du manuel sont les principaux systèmes de classification de la psychiatrie, en orientant la pratique clinique et en fondant conceptuellement l’idée actuelle de l’épidémie dépressive. Ensuite, nous faisons voir comment la théorie économique du capital humain, développée par des économistes néolibéraux de l’École de Chicago, devient une valeur sociale, qui, acceptée et diffusée largement, guide la conduite de vie des individus dans les sociétés libérales avancées et dans les sociétés tiers-mundistes. Nous soutenons, ainsi, que la ramification et l’assouplissement systématiques des troubles dépressifs, qui établissent comme pathologique des formes subtiles de souffrance, correspondent à la logique d’intensification de la performance des certaines capacités individuelles indispensables au capitalisme contemporain. Mots-clés: Troubles dépressifs. Capitalisme contemporain. Capital humain. Conduite de vie. Epidémie dépressive.
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Proudnikova, X. y Y. Hodé. "L’âge du début de premier épisode dépressif conditionne-t-il les caractéristiques ultérieures du trouble dépressif ?" European Psychiatry 30, S2 (noviembre de 2015): S127. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.247.

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La dépression à début précoce aurait un pronostic plus mauvais avec un risque suicidaire plus élevé et des troubles cognitifs plus prononcés . Nous avons cherché à évaluer s’il existe le lien entre la symptomatologie anhédonique et l’âge de survenue du premier épisode dépressif.MéthodeL’anhédonie a été évaluée avec l’échelle de l’expérience temporelle du plaisir (EETP) et la symptomatologie dépressive a été mesurée avec la MADRS. L’échelle EETP permet d’évaluer deux composantes d’anhédonie : le plaisir anticipatoire (PA) qui serait lié à la motivation et le plaisir consommatoire (PC) qui serait lié à l’expérience hédonistique au moment de la consommation. Six hommes et quatorze femmes âgés de 28 à 65 ans, sans antécédent psychotique et avec un score à la MADRS > 20, ont été inclus. Les corrélations entre l’âge du premier épisode dépressif et le score de PA, de PC et à la MADRS ont été étudiées avec le test de corrélation non paramétrique de Spearman.RésultatsLe score moyen à la MADRS était de 32,7 (DS = 7,3). L’âge du premier épisode dépressif est corrélé avec le PA (r = 0,68, p = 0,001), mais ni avec le PC (r = –0,22 ; p < 0,36), ni avec la MADRS (r = 0,4 ; p < 0,08).DiscussionLa dépression à début précoce semble entraîner un plus grand déficit du plaisir anticipatoire dans les épisodes dépressifs ultérieurs. Ce déficit qui traduit une atteinte de la motivation contribue au maintien du trouble dépressif par le mécanisme d’impuissance apprise . Il pourrait être un facteur prédisposant à la plus longue durée d’un épisode dépressif, ainsi que probablement à la plus mauvaise qualité de rémission et à la vulnérabilité par rapport au développement des épisodes dépressifs ultérieurs.
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Bertschy, G. "La dépression mixte". European Psychiatry 30, S2 (noviembre de 2015): S4. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.022.

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La dépression mixte correspond à un syndrome dépressif avec des éléments d’activation psychomotrice de la lignée hypomaniaque. Cette situation pathologique reste mal connue des cliniciens alors qu’elle est présente chez 10 à 20 % des patients dépressifs. Sa faible reconnaissance a été probablement liée à l’absence de ce concept dans les classifications internationales. Le DSM-5 a proposé une refonte de la définition des états mixtes, dépassant une conception particulièrement restrictive dans le DSM-IV. Des « caractéristiques mixtes » peuvent servir de spécificateur pour un épisode de trouble de l’humeur, dépressif ou maniaque. La dépression avec caractéristique mixte est définie par la présence de trois symptômes de la lignée maniaque associée à la dépression, hors agitation, distractibilité ou irritabilité. L’approche proposée par le DSM-5 manque de cohérence clinique et est finalement assez difficile à appliquer. Surtout elle ne permet pas d’identifier la majorité des dépressions mixtes. En effet les formes les plus fréquentes bien décrites dans les travaux de Koukopoulos ou Bennazzi se caractérisent par des symptômes hypomanes peu spécifiques comme l’irritabilité et l’agitation psychomotrice (ou parfois surtout l’absence de ralentissement psychomoteur) et des symptômes hypomanes limités à l’activation psychique qui s’exprime notamment à travers la tachypsychie subjective (avec des caractéristiques phénoménologiques différentes de celle de l’hypomanie) et la pression du discours. Les patients avec une dépression mixte sont particulièrement à risque de conduites suicidaires, d’abus de substances mais surtout de résistance thérapeutique car, même si on manque d’essais cliniques à leur sujet, ces patients non seulement nécessitent la prescription de thymorégulateurs mais aussi le plus souvent un arrêt des antidépresseurs qui ont souvent induit le caractère mixte de la dépression.
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Servant, D. "Du burn-out à la dépression professionnelle. Nouvelles approches en psychiatrie". European Psychiatry 30, S2 (noviembre de 2015): S63. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.175.

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L’exposition à un stress professionnel augmente d’un facteur d’environ 2 le risque de survenue d’une dépression ou d’un trouble anxieux . Les tableaux cliniques rencontrés sont variés et décrits selon différentes dénominations : burn-out ou épuisement professionnel, trouble de l’adaptation, dépression d’origine professionnelle… À l’heure où les pouvoirs publics s’interrogent sur la possibilité de reconnaître le burn-out comme maladie professionnelle il importe pour notre discipline de mieux définir le cadre diagnostique de ces différentes entités. Se posent aussi les questions de la prévention des risques psychosociaux (RPS) et de l’utilisation d’instruments validés et adaptés aux différents contextes professionnels. Une démarche qualitative et quantitative d’évaluation semble la mieux adaptée pour bien cerner les risques inhérents à une profession. Enfin, l’accès aux soins pour ces patients semble insuffisant comme le note un récent rapport du conseil économique social et environnemental qui recommande la création d’unités spécialisées pour la prise en charge. La gestion du stress par les thérapies comportementales et cognitives (TCC) semble bien adaptée à différentes situations comme la prévention primaire et secondaire et la reprise du travail . Elle peut être aussi associée aux soins pour beaucoup de patients psychiatriques confrontés à des difficultés professionnelles. De nouveaux outils de self-help utilisant des supports numériques sont aujourd’hui proposés pour faciliter l’accès à ces soins . À côté des protocoles classiques de TCC de gestion du stress de nouvelles approches thérapeutiques semblent utiles comme la thérapie ACT qui prend en compte les valeurs et les attentes du sujet . Nous présenterons dans cette séance 3 travaux originaux d’équipes françaises : une échelle originale des RPS chez les médecins, hospitaliers, une étude de faisabilité d’un programme numérique et une approche de reprise du travail basée sur l’ACT.
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Lantéri-Laura, Georges. "Introduction historique et critique à la notion de dépression en psychiatrie". PSN 1, n.º 3 (mayo de 2003): 39–47. http://dx.doi.org/10.1007/bf03005908.

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Harbaoui, A., S. Benalaya, W. Homri, A. Bannour y R. Labbene. "Interrelation entre les troubles psychiatriques de l’enfant et la santé mentale de la mère : étude dans une population clinique tunisienne". European Psychiatry 28, S2 (noviembre de 2013): 69. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.181.

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IntroductionLa question d’une transmission ou d’une influence des troubles mentaux des parents sur la santé mentale de leurs enfants, a pris un essor considérable en raison du développement de la génétique et des notions de vulnérabilité ou d’interactions gène–environnement. Les interactions précoces mère–enfant influencent de façon directe le développement psychoaffectif de l’enfant. Les troubles mentaux de l’enfant sont à leur tour générateur ou parfois révélateur d’une pathologie psychiatrique chez les parents, surtout la mère. Cette « boucle » dans laquelle la santé mentale de l’enfant et de la mère sont en perpétuelle interaction, nécessite une intervention spécialisée aussi bien sur l’un et l’autre mais aussi sur la dyade. Objectif.–Le but de ce travail est de faire le lien entre les troubles retrouvés des enfants suivis en pédopsychiatrie et leurs mères qui bénéficient d’une prise en charge en psychiatrie. Décrire le profil des mères dont les enfants sont suivis à la consultation de pédopsychiatrie de l’hôpital Razi et qui sont elles-mêmes suivies pour un trouble psychiatrique. Le recueil de données s’est fait à partir des dossiers médicaux des patientes.RésultatsNous avons recueilli dix dossiers de patientes suivies à la consultation de psychiatrie. Sur nos résultats préliminaires, la dépression maternelle est le trouble le plus fréquemment observé. Le travail est en cours de réalisation. Nous prévoyons d’élargir la population d’étude.ConclusionLa mise en place d’une guidance parentale repose sur le dépistage des troubles psychiatriques chez les parents et surtout la mère. Ce travail est une ébauche d’une perspective de collaboration entre psychiatres et pédopsychiatres.
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Proudnikova, X., Y. Hode, F. Gonzalez y F. Duval. "L’anhédonie dans la dépression unipolaire et bipolaire". European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 571. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.257.

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Les symptômes anhédoniques décrits dans la schizophrénie et dans la dépression pourraient être de nature différente [1]. Cette hypothèse a été explorée avec l’échelle EETP, différenciant l’anhédonie consommatoire (liée à l’éprouvé du plaisir) et l’anhédonie d’anticipation (liée à la motivation à rechercher le plaisir). Les patients souffrant de schizophrénie auraient un score plus bas à la composante anticipatoire [2]. Cette étude vise à évaluer les caractéristiques de l’anhédonie chez des patients dépressifs non psychotiques.MéthodeVingt-huit patients hospitalisés pour un épisode dépressif unipolaire ou bipolaire ont été inclus, (23 femmes, 5 hommes) âgés de 32 à 61 ans. Ils ont été évalués à l’aide de la MADRS et de l’EETP. Les corrélations entre les scores à la MADRS et ceux du plaisir anticipatoire et du plaisir consommatoire ont été analysées avec le test non paramétrique de Spearman.RésultatsLe score MADRS est inversement corrélé avec le score du plaisir consommatoire chez les patients avec un trouble dépressif unipolaire alors qu’il inversement corrélé avec le score du plaisir anticipatoire chez les patients bipolaires.ConclusionDans les dépressions bipolaires, l’anhédonie a une forme différente de celle rencontrée dans la dépression unipolaire. Cela pourrait signifier que la dépression bipolaire est plus en rapport avec un déficit motivationnel comme dans la schizophrénie. Cette étude montre aussi l’intérêt d’une utilisation plus systématique de l’échelle EETP dans les troubles thymiques. Cela pourrait aider à orienter l’action thérapeutique sur les mécanismes de l’éprouvé du plaisir ou sur ceux de la motivation.
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Mesquida, L., M. Guegan y J. P. Raynaud. "Prévenir la dépression chez l’adolescent : c’est possible". European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 613–14. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.235.

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IntroductionLa prévalence de la dépression chez les adolescents est estimée à 5 à 9 %. Elle est associée à un risque accru de suicide. La prévention semble une approche prometteuse ce qui a accéléré le développement de programmes dans ce domaine.ObjectifsÉvaluer l’implantation du programme de prévention cognitivo-comportemental “Pare-chocs”dans le système scolaire français et son efficacité sur les symptômes dépressifs et la prévention d’un épisode dépressif majeur à long terme chez les adolescents.MéthodesNous avons évalué 1968 adolescents en classe de seconde à l’aide de la Center for Epidemiological Study Depression Scale (CES-D). Les adolescents présentant un score de coupure de 26 (n = 145) ou plus ont reçu une proposition de participation à un entretien clinique puis au programme Pare-Chocs s’ils étaient sélectionnés. L’intensité de la symptomatologie dépressive était suivie par la passation régulière de la CES-D en cours (1re, 5e et 11e rencontre) et en aval de la participation au programme (8 semaine et 1 et 2 ans plus tard).RésultatsLes résultats montrent une diminution des symptômes dépressifs en fin du programme ainsi que sur les évaluations ultérieures. Pare-chocs semble adaptable au système scolaire français.ConclusionAu-delà de la diminution des symptômes dépressifs chez les adolescents, cette action semble avoir un impact au niveau collectif en sensibilisant les professionnels et en améliorant la diffusion des connaissances sur le trouble dépressif et ses moyens de prise en charge, ainsi qu’en travaillant sur la dé-stigmatisation et le dépistage d’autres troubles psychiques. La dépression reste un enjeu majeur de santé publique. Sa prévention chez les adolescents semble une approche prometteuse qui permettrait d’éviter l’apparition de la maladie à l’âge adulte.
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Weibel, S. y G. Bertschy. "Dépression mixte dans le DSM 5 : y a-t-il du nouveau ?" European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 565. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.242.

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La dépression mixte correspond à un état dépressif où coexistent des éléments d’excitation de la lignée hypomaniaque. Si le tableau a déjà été décrit par les auteurs classiques, il a été remis à jour depuis les années 1990 et notamment par Koukopoulos. Cependant, jusqu’alors, les classifications internationales ignoraient totalement ce tableau puisque les critères du DSM-IV pour un état mixte étaient particulièrement étroits, requérant la présence d’un plein syndrome maniaque associé à un plein syndrome dépressif. La conséquence est une carence d’études sur la question et des incertitudes sur les principes de prise en charge. Le DSM 5 a annoncé et mis en œuvre un changement dans l’approche des états mixtes, et permettant notamment un diagnostic de dépression mixte : à un diagnostic d’épisode dépressif peut être associé un « spécificateur de caractéristiques mixtes ». Il requiert la présence de trois symptômes maniaques en plus de critères pour un épisode dépressif majeur. Mais sont exclus de la liste des symptômes maniaques l’agitation, l’irritabilité et la distractibilité : ils sont considérés pouvant être à part entière des symptômes de dépression. Nous passons en revue les arguments issus de la littérature suggérant que cette définition des dépressions mixtes est encore probablement trop restrictive, inadaptée par rapport à la réalité clinique, et présentant un certain nombre de contradictions. Ainsi, nous argumentons que ces nouveaux critères n’apportent pas plus de clarté dans le diagnostic de dépression mixte, et ne permettent pas d’améliorer ce diagnostic souvent méconnu. Cela pourrait avoir des incidences sur l’avancée des connaissances sur la caractérisation clinique, la thérapeutique et le pronostic des dépressions mixtes.
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Duparc, François. "Névroses actuelles, solution somatique ou mélancolique". Filigrane 24, n.º 1 (22 de septiembre de 2015): 43–52. http://dx.doi.org/10.7202/1033082ar.

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Face aux pathologies actuelles et au spectre de la dépression dans ses multiples formes, l’idée d’une solution mélancolique ou somatique invite à répondre à un défi nosologique, un peu négligé dans le contexte de la psychiatrie contemporaine. Il s’agit de remettre à l’ordre du jour les névroses actuelles de Freud, pour complexifier nos stratégies d’analystes. De différencier l’ombre d’un objet idéalisé retombant sur le moi, d’une carence représentative traumatique telle qu’elle va produire une « forclusion » du fantasme originaire de castration, à l’origine d’une lignée psychosomatique proche de la neurasthénie ou de la dépression essentielle. Un exemple clinique, avec une stratégie adaptée pour une personne ayant développé une pathologie cancéreuse, permettra d’illustrer ces notions. La stratégie employée, qui vise à travailler avec des traces mal représentées, n’est pas incompatible avec l’évolution vers une analyse classique, en déjouant le piège de la névrose actuelle de notre temps.
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Corruble, E. "Deuil et dépression". European Psychiatry 28, S2 (noviembre de 2013): 41. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.104.

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Au-delà des dogmes anciens posant que le deuil devait être « respecté » et des données cliniques classiques permettant de discriminer deuil et épisode dépressif, la question est aujourd’hui posée de savoir quel curseur choisir pour porter le diagnostic d’épisode dépressif chez les endeuillés ? En effet, bien que les deuils soient des événements de vie inhérents à la vie de tout sujet, et le plus souvent sans interaction avec les épisodes dépressifs, les deuils sont toutefois parmi les évènements de vie le plus souvent associés à des épisodes dépressifs. Cette question du choix du curseur pour porter le diagnostic d’épisode dépressif chez les endeuillés est importante, puisqu’elle va déterminer la nature de la prise en charge à proposer ou non aux endeuillés. Cette question est par ailleurs d’actualité avec la nouvelle critériologie américaine DSM-5. En effet, la définition de l’épisode dépressif majeur du DSM-IV comportait un critère d’exclusion lié au deuil, critère hérité de la culture psychanalytique. Ce critère d’exclusion avait pour objectif de discriminer des sujets présentant une symptomatologie dépressive modérée liée au deuil, de façon à ne pas les prendre en charge prématurément comme des patients déprimés. Dans trois études françaises différentes, nous avons étudié la validité discriminante de ce critère d’exclusion lié au deuil. Nos résultats ont montré une validité discriminante médiocre de ce critère d’exclusion en pratique quotidienne. Et, après de nombreux débats, il a été décidé de supprimer ce critère d’exclusion lié au deuil pour la définition de l’épisode dépressif majeur dans le DSM-5. Le développement par le NIMH d’importants programmes de recherche consacrés au deuil dans toutes ses composantes devrait permettre d’une part de mieux comprendre la physiopathologie du deuil et ses liens avec la dépression et d’autre part de mieux soigner les sujets endeuillés souffrant d’épisodes dépressifs.
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Forgeard, Louis, Yannis Gansel, Guillaume Giret, Fanny Gollier-Briant, Anne-Cécile Courtois y Isabelle Salmona. "Constitution d'une représentation de la dépression au cours de l'internat en psychiatrie". L'information psychiatrique 83, n.º 3 (2007): 195. http://dx.doi.org/10.3917/inpsy.8303.0195.

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Bizzini, Lucio y Lusmila Myers-Arrazola. "Psychothérapie cognitive et dépression dans l'âge: un modèle d'intervention en psychiatrie gériatrique". Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 15, n.º 2 (1996): 183–97. http://dx.doi.org/10.1017/s071498080000670x.

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ABSTRACTPsychological treatment of depression in the elderly has recently benefited from the development of the cognitive approach. In particular, cognitive psychotherapy seems well adapted to and accepted by older people. In this article, we attempt to show the course of this type of psychotherapy in the case of a 79 year-old depressive woman in our Cognitive Therapy Unit for Elderly. We emphasize the therapeutical setting and the content of the sessions, the techniques used, the changes that occurred, and finally, the therapeutic alliance is described. Although some negative views about psychotherapy with older people are not totally abandoned, this vignette is a good illustration of the benefits for the patient and the highly enriching work for the therapist.
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Forgeard, Louis, Yannis Gansel, Guillaume Giret, Fanny Gollier-Briant, Anne-Cécile Courtois y Isabelle Salmona. "Constitution d'une représentation de la dépression au cours de l'internat en psychiatrie". L'information psychiatrique Volume 83, n.º 3 (1 de marzo de 2007): 195–202. http://dx.doi.org/10.1684/ipe.2007.0106.

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Brengard, Dominique. "Équipes mobiles en psychiatrie périnatale : l’art des ponts". Perspectives Psy 61, n.º 3 (julio de 2022): 207–13. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2022613207.

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Resumen
Plus de 30 ans ont été nécessaire au développement d’équipes mobiles en psypérinatalité, entre les équipes pionnières dès les années 90 et la création en 2021-2022 de 10 nouvelles équipes mobiles. L’historicité de cette longue gestation en France montre une évolution des pratiques sous tendues par différentes conceptualisations. Les réflexions de « l’alliance francophone pour la santé mentale périnatale » reconnaissent leur utilité dans un système gradué de soins en psypérinatalité. Population : futurs parents, parents et bébés; du début de la conception aux 2 ans de l’enfant (les 1 000 premiers jours) pour les premières consultations avec une continuité du suivi entre le prénatal et le post-natal, si possible. Missions Prévention prévenante (incluant la prévention des maltraitances intrafamiliales) avec accompagnement et soutien à la parentalité auprès de parents demandeurs de soins mais en difficulté (maladies somatiques invalidantes, bébés sortant de néonatalogie avec soins spécifiques, anxiété parentale importante, etc.). Évaluation : importance de réaliser des évaluations précoces du nourrisson quand il s’agit, par exemple, de différencier un repli relationnel dépressif d’un retrait relationnel autistique. Accès aux soins précoces pour des familles en situation de grande vulnérabilité psychologique et qui ne viennent pas consulter au CMP, alors que le bébé présente des signes de souffrance somato-psychiques; accès aux soins rapide dans les dépressions maternelles du pré et post partum où la souffrance psychique peut être déniée et la demande de soin psy différée. Mobilisation de la non-demande de soins psy des parents : il convient alors d’analyser cette clinique de la non-demande, avec un gradient qui va des demandes non formulées aux demandes non formulables (souvent en lien avec des traumatismes). Quand un des parents ne vient pas mais accepte des consultations thérapeutiques avec le bébé, les visites à domicile (VAD) peuvent permettre de travailler avec la triade père, mère, bébé. Développement de formations et recherches-actions. Fonctionnement Pluridisciplinarité de l’équipe qui peut être composée de temps de pédopsychiatre, psychologue, psychomotricienne, cadre de santé, infirmière, éducatrice, assistante sociale, secrétaire, sage-femme et puéricultrice. Les temps de certains professionnels peuvent être partagés sur le CMP ou l’hospitalisation mère-bébé, ce qui facilite les articulations, quand il s’agit de dispositifs sectoriels. Interventions en binômes pour les premières évaluations et continuité avec un binôme référent pour le suivi thérapeutique conjoint parents-bébés (auquel peut se rajouter un autre intervenant pour un soin spécifique si besoin). La fonction de contenance et continuité du binôme est ici essentielle. Réunions de synthèse et d’analyse des pratiques. Travail en réseau : le tissage des liens avec les professionnels intervenant en périnatalité et impliqués en tant que médiateurs (PMI, Maternité, services sociaux, associations, etc.) est indispensable, ainsi qu’avec les collègues de psychiatrie générale. Le réseau de proximité (professionnels et réseau primaire de la famille) réalise une contenance et un système de soutien. Nombre, durée et lieux d’intervention Le nombre d’interventions est fonction de chaque problématique, le cadre se coconstruisant avec la famille : de quelques VAD pour une évaluation et orientation avec accompagnement vers un autre service, à un suivi au domicile de plusieurs mois en cas de dépression maternelle ou en cas de certaines difficultés associées, voire plus long sur plusieurs années en cas de troubles des liens. La durée d’intervention est d’une heure en moyenne (+ déplacement). Les lieux d’intervention sont variables : domicile, substitut du domicile (centre d’hébergement, CHRS, Maisons parentales, etc.), square, services hospitaliers. Conclusion Un long chemin a été parcouru pour la reconnaissance et le développement des équipes mobiles en psypérinatalité, et il est loin d’être achevé.
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Kahn, JP, N. de Talance, C. Michaux, P. Witkowski, C. Burlet, L. Mejean y M. Laxenaire. "Le cortisol salivaire: une alternative au dosage du cortisol plasmatique". Psychiatry and Psychobiology 5, n.º 2 (1990): 129–36. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003977.

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RésuméL’étude de la fonction hypothalamo-hypophyso-cortico-surrénalienne (HHS) occupe une place de choix dans l’étude du stress, de l’anxiété et d’autres pathologies psychiatriques telle la dépression. Mais les procédures d’investigation actuellement utilisées sont difficiles à mettre en œuvre et susceptibles d’interférer avec les phénomènes étudiés. Les auteurs présentent ici l’adaptation et les applications du dosage du cortisol dans la salive dans diverses conditions statiques et dynamiques chez des patients et des sujets sains qui devraient permettre une approche fructueuse dans l’étude des corrélations clinico-biologiques en psychiatrie et en psychobiologie.
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Edery, P. "Les nouvelles techniques de génétique moléculaire vont-elles révolutionner la psychiatrie ?" European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 549–50. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.340.

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Durant longtemps, la psychiatrie et la génétique n’ont eu que de rares points de rencontre, essentiellement autour de travaux de recherche fondamentale, dans le cadre des études visant à déterminer un gène de vulnérabilité aux troubles mentaux. Aujourd’hui, un grand pas a été franchi qui amène à penser que la génétique fera partie du quotidien de la psychiatrie dans les années à venir et sortira du strict champ de la recherche. En effet, le développement et la diffusion de l’hybridation génomique comparative sur des puces à ADN ou CGH array est en train de bouleverser la pratique hospitalière du diagnostic des anomalies chromosomiques. Dans l’autisme, le déficit intellectuel et dans les troubles mentaux atypiques, la CGH array permet d’augmenter les potentialités diagnostiques syndromiques de plus de 15 % en comparaison aux moyens moléculaires classiques. C’est toute la pratique clinique quotidienne du psychiatre et du pédopsychiatre qui pourrait en être bouleversée. Cette révolution va être poussée plus loin encore avec le développement à venir du Next Generation Sequencing ou séquençage de nouvelle génération qui va permettre de séquencer l’ensemble du génome d’un individu. Encore à ses débuts, cette technique pourrait un jour expliquer l’origine de troubles mentaux comme la schizophrénie, les troubles bipolaires ou la dépression. Si le NGS promet d’éclairer sous un jour nouveau l’étiologie des maladies mentales, l’application au quotidien ne sera pas sans poser un certain nombre de questions, en particulier éthiques. La psychiatrie de demain doit donc se préparer au diagnostic génétique : ce qu’il implique en termes de soins, d’appréhension de la maladie et de conseil génétique. Cette rencontre avec l’expert permettra la présentation des principes et des limites de ces techniques, leurs potentielles indications en psychiatrie et les bouleversements attendus par leur introduction future en pratique clinique.
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Aoudia-Bouras, A., W. Szurhaj, I. Poirot, G. Vaiva, P. Derambure, P. Thomas y S. Hennion. "L’apathie chez les patients atteints d’une épilepsie du lobe temporal". European Psychiatry 30, S2 (noviembre de 2015): S123. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.238.

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Chez les patients atteints d’une épilepsie du lobe temporal (ELT), la dépression constitue la comorbidité psychiatrique la plus fréquente (Gaitatzis et al., 2004). Celle-ci peut être associée à l’apathie, mais l’apathie peut exister en tant que syndrome, indépendamment de la présence d’un trouble dépressif (Kirsch-Darrow et al., 2006). L’apathie n’ayant jamais été évaluée chez les patients avec une ELT, l’objectif de cette étude était donc de mesurer la prévalence de l’apathie dans cette population, et ses liens potentiels avec la dépression.MéthodesCinquante patients ELT et 50 contrôles sains appariés selon leurs caractéristiques démographiques ont été inclus. Pour l’ensemble des participants, la sévérité de la symptomatologie dépressive et apathique était évaluée à l’aide de l’inventaire de dépression de Beck et de l’échelle d’apathie Lilloise (Sockeel et al., 2006).RésultatsChez les patients ELT comparativement aux contrôles, la sévérité de la symptomatologie dépressive et apathique était significativement plus importante. Parmi les patients ELT, 18 (soit 36 %) présentaient une apathie modérée à sévère (i.e. un score > –17), et 14 (soit 28 %) présentaient une dépression modérée à sévère (i.e. un score > 19). Les niveaux de sévérité de la symptomatologie apathique et dépressive étaient positivement associés. L’apathie coexistait avec la dépression chez 8 patients ELT (soit 16 %), et 6 patients ELT (soit 12 %) présentaient une dépression sans apathie. Cependant, 10 patients ELT (soit 20 %) présentant une apathie, ne présentaient pas de dépression.ConclusionCette étude donne des indications sur la prévalence de l’apathie dans le cadre d’une épilepsie du lobe temporal. Cette apathie peut être associée à une dépression. Néanmoins, elle est plus fréquemment relevée indépendamment de toute symptomatologie dépressive associée. D’autres études sont nécessaires afin de mieux caractériser les liens entre, apathie, dépression et épilepsie.
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Braconnier, A., M. P. Bouvard y R. Jouvent. "L'humeur et le ralentissement chez l'adolescent déprimé: Étude comparative avec une population de déprimés adultes". Psychiatry and Psychobiology 1, n.º 3 (1986): 214–19. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00000067.

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RésuméLes travaux sur la dépression de l’adolescent restent encore peu nombreux, malgré la fréquence et la gravité de ce trouble à cette période d’âge. Aux études classiques qui évaluaient, chez l’adulte, la dépression dans son ensemble se sont récemment substitués des travaux qui analysent la symptomatologie dépressive sur un mode dimensionnel.Nous avons tenté dans ce travail de comparer le ralentissement dépressif et les différentes dimensions de l’humeur dépressive, entre une population d’adultes et une population d’adolescents déprimes.Nous avons pour cela utilisé l’échelle de ralentissement dépressif et une échelle expérimentale de mesure de l’humeur dépressive (Jouvent et coll.) chez 24 adultes et 15 adolescents présentant les critères DSM III d’épisode dépressif majeur.Les résultats montrent que les scores évalués globalement par ces deux échelles sont identiques dans les deux populations. Mais l’analyse dimensionnelle met en évidence des différences nettes (figures 1, 2 et 3) entre adultes et adolescents, avec une dimension de déficit émotionnel plus marquée chez les adultes, et une dimension de tristesse plus importante chez les adolescents.Ces résultats nous amènent à penser que c’est peut-être par l’expression quantitativement différente de dimensions cliniques identiques que 1’adolescent trouve sa spécificité par rapport à l’adulte. D’autres études doivent être menées pour étayer cette hypothèse, et pour tenter de valider chez les adolescents des instruments d’évaluation clinique plus précis.
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Corne, Rémi y Raymond Mongeau. "Utilisation des psychédéliques en psychiatrie : lien avec les neurotrophines". Biologie Aujourd’hui 213, n.º 3-4 (2019): 121–29. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2019015.

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Les psychédéliques, souvent appelés hallucinogènes, sont une classe de psychotropes très singulière. Les effets subjectifs et comportementaux qu’ils induisent sont très impressionnants, et malgré leur toxicité potentielle, le risque d’addiction est relativement faible par rapport à la nicotine, l’alcool ou les opiacés. Depuis la découverte des effets antidépresseurs de la kétamine, il existe un regain d’intérêt pour cette classe de molécules. En effet, la psilocybine et l’acide lysergique diéthylamide (LSD) gagnent de la popularité en tant que traitement pour la dépression et l’addiction, la 3,4-méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA) pour l’état de stress post-traumatique, et l’ibogaïne pour l’addiction. Malgré des profils pharmacologiques distincts, ces différentes drogues partagent une cinétique d’action similaire : leurs effets thérapeutiques se font ressentir dans les heures suivant l’administration et perdurent au-delà de leur élimination par l’organisme. Ceci suggère des mécanismes plastiques et neurogéniques impliquant entre autres des facteurs trophiques. Cette revue explorera la littérature concernant les effets de ces différents composés sur les neurotrophines, ainsi que les adaptations plastiques qui sont mises en place dans les heures et jours suivant l’administration, afin de comprendre leur potentiel thérapeutique étonnant.
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Trichard, C. "Dopamine et saillance en psychiatrie : des fonctions aux symptômes". European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 550–51. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.343.

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Des anomalies du fonctionnement des systèmes dopaminergiques ont depuis longtemps été incriminées dans des troubles aussi variés que la schizophrénie, les addictions ou la dépression. Les hypothèses concernant le rôle de la dopamine dans ces maladies ont cependant évolué avec le temps. Ainsi des auteurs ont récemment proposé qu’un dysfonctionnement dopaminergique dans la schizophrénie aurait pour conséquence une attribution aberrante de saillance (propriété d’un élément lui permettant de se distinguer de son contexte) à des stimuli internes ou externes non pertinents. Les hallucinations reflèteraient ainsi l’expérience directe du sujet de cette saillance anormale alors que le délire serait le résultat de la tentative de ce sujet de donner un sens à ce phénomène [1]. Cette théorie permet ainsi pour la première fois de faire un lien entre la dopamine et certains symptômes de la maladie à travers la perturbation d’une fonction physiologique. Elle pourrait aussi participer à une clarification nosographique puisque il a été proposé que ce mécanisme de dysfonction de la saillance soit impliqué dans les symptômes psychotiques en général, quel que soit le cadre nosologique dans lequel ils s’inscrivent [2].
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Boulenger, JP y P. Boyer. "Trouble anxieux et dépressif mixte : problèmes cliniques". European Psychiatry 9, S2 (1994): 15–20. http://dx.doi.org/10.1017/s0924933800004260.

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RésuméLe trouble anxieux et dépressif mixte (ADM) représente une nouvelle catégorie diagnostique regroupant essentiellement des patients vus dans le cadre des soins primaires. Ces patients se définissent comme des sujets présentant des symptômes d’anxiété et de dépression d’intensité limitée et comparable, s’accompagnant au moins de quelques signes neurovégétatifs. En outre, ces patients sont censés ne pas répondre aux critères diagnostiques spécifiques de troubles anxieux ou dépressifs. Cependant, les cas de dépression anxieuse ne sont pas limités aux patients entrant dans cette nouvelle catégorie « sous-syndromale ». De nombreux patients qui répondent aux critères soit de troubles dépressifs soit de troubles anxieux peuvent également présenter des symptomes, un syndrome ou répondre à un diagnostic d’anxiété ou de dépression. On ne sait pas encore si les symptômes d’anxiété et de dépression sont deux expressions différentes d’un même processus psychopathologique sous-jacent. La description récente d’un « syndrome névrotique généralisé » (Tyrer, 1990) représente une tentative de réunification de syndromes séparés dans nos classifications actuelles. Avec cette approche globale, les états d’anxiété,de dépression ou d’ADM sont associés, à un moment ou à un autre, à des traits de personnalité spécifiques et on considère qu’ils expriment différents niveaux d’hyperréactivité à diverses situations stressantes. Cette hypothèse expliquerait le rapport étroit entre ces deux catégories de symptômes, et I’efficacité dont témoignent certains agents psychopharmacologiques à la fois sur les troubles anxieux et dépressifs.
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Bergeron, Lise, Elissa Zavaglia, Claude Berthiaume y Réal Labelle. "Dominique Interactif pour Adolescents-Révisé, dépression, comorbidité et suicidalité". Perspectives Psy 59, n.º 2 (abril de 2020): 148–55. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/202059148.

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Le Dominique Interactif pour Adolescents-Révisé (DIA-R) est un instrument multimédia et auto-administré par les adolescents. Le DIA-R a été conçu pour dépister la dépression, plusieurs autres problèmes intériorisés ou extériorisés, les traits de la personnalité limite et la suicidalité. Cet instrument permet aussi d’évaluer la comorbidité entre différents problèmes de santé mentale. Le DIA-R mesure des symptômes ou des critères définis selon la cinquième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5). Cet article porte sur le contenu, la fidélité, la validité et l’utilité du DIA-R dans une perspective de prévention. Les qualités psychométriques de l’instrument ont été vérifiées dans une étude réalisée auprès de 447 adolescents francophones et anglophones âgés de 12 à 15 ans recrutés dans des écoles et des établissements cliniques de Montréal (Québec, Canada). Les coefficients de fidélité (cohérence interne, fidélité par test-retest) étaient excellents ou modérés. L’analyse de la validité de critère a clairement démontrée la capacité du DIA-R à prédire la dépression, la suicidalité ou d’autres conditions psychopathologiques évaluées par des mesures utilisées comme critères externes de validation. L’identification de la dépression, de la suicidalité ou d’autres formes de psychopathologie, au début de l’adolescence, demeure un enjeu majeur pour les cliniciens et les chercheurs. Le DIA-R pourrait être utile à tous les niveaux du continuum des services en santé mentale des adolescents (écoles, Centres jeunesse, cliniques de psychiatrie), dans le but de proposer des interventions appropriées contribuant ainsi à prévenir l’aggravation des problèmes de santé mentale et ultimement le suicide complété.
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Larrieu, P., F. Olivier y A. Hanrot. "Intérêt de l’adjonction de l’hormone thyroïdienne triiodotyronine (T3) aux antidépresseurs dans le traitement de la dépression : revue de la littérature". European Psychiatry 28, S2 (noviembre de 2013): 100. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.266.

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Depuis près d’un demi-siècle, un grand nombre d’études scientifiques ont permis d’approfondir les connaissances sur les liens existant entre anomalies de la concentration des hormones thyroïdiennes et les maladies psychiatriques. Aujourd’hui, il est démontré chez l’animal que l’administration de tri-iodothyronine (T3) augmente les taux cérébraux de sérotonine et qu’un état d’hypothyroïdie est associé à une diminution de la synthèse sérotoninergique. Chez l’Homme, il existe des preuves indirectes qu’une hypothyroïdie entraîne une hyposérotoninergie cérébrale, corrigée par traitement hormonal substitutif avec amélioration clinique. L’Agence américaine de psychiatrie recommande l’administration de la T3 en traitement adjuvant aux antidépresseurs comme alternative dans la dépression résistante. À travers une revue de littérature utilisant les bases de données Pubmed/Medline et Cochrane, nous faisons le point sur les travaux ayant étudié l’intérêt de l’administration de la T3, d’une part, en co-introduction avec un inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS) ou un tricyclique en traitement de première ligne d’une dépression unipolaire ; d’autre part, en adjonction secondaire à un ISRS ou à un tricyclique dans la dépression résistante. les résultats suggèrent une efficacité de l’administration de la T3 dans le traitement de première ligne en association aux tricycliques et dans le traitement de deuxième ligne en association à la fois aux tricycliques ou aux ISRS. L’efficacité n’a pas été démontrée pour l’association de première ligne T3 + ISRS. Le nombre d’études à haut niveau de preuve reste cependant très faible, avec notamment aucune étude en double aveugle étudiant l’adjonction de la T3 aux ISRS en traitement de deuxième ligne.
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Vozari, Anne-Sophie. "En quête de conformité. Se faire soigner pour se faire mère". Revue française des affaires sociales, n.º 2 (19 de julio de 2023): 301–19. http://dx.doi.org/10.3917/rfas.232.0301.

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Les (futures) mères ne se sentent pas nécessairement comblé·es à l’arrivée d’un enfant. Toutes ne s’en estiment pas pour autant troublées ou malades. Qu’est-ce qui amène certaines à souffrir de ne pas vivre la naissance de leur enfant comme un « heureux événement » ? En quoi faut-il croire pour en venir à « se faire soigner » ? Qui faut-il être pour chercher, au prix d’un important travail émotionnel, à devenir une « bonne » mère, aimante et épanouie ? Cet article analyse l’expérience de femmes qui, incertaines quant à leurs affects et leurs capacités maternelles, ont vécu leur parentalité comme empêchée et s’en sont remises à des professionnel·les de santé pour guérir leur « mal de mère ». Il repose sur l’observation de l’activité d’un dispositif de psychiatrie périnatale d’un grand centre hospitalier francilien et sur des entretiens conduits auprès de dix femmes suivies pour une « dépression » au cours de leur grossesse ou après leur accouchement. Ensemble, ces matériaux permettent d’explorer l’une des formes du « désempêchement parental » : le recours volontaire au traitement médico-psychologique. Adoptant le modèle séquentiel interactionniste, l’article propose d’analyser la dépression périnatale comme une carrière de sortie de la déviance émotionnelle et examine les conditions sociales qui rendent possibles sa réalisation.
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Traoré, Aïcha, Nayi Zongo, Fatimata Rogmossore Ouédraogo y Arouna Ouedraogo. "Prévalence de la dépression et de l’anxiété chez des patientes souffrant de cancer du sein à Ouagadougou, Burkina Faso". Psy Cause N° 84, n.º 1 (2 de enero de 2023): 57–64. http://dx.doi.org/10.3917/psca.084.0057.

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Contexte et objectif : Le vécu d’une patiente souffrant d’un cancer de sein est associé fréquemment à des troubles anxieux et dépressifs qui sont sous diagnostiqués donc sous traités. L’étude a eu pour objectif de déterminer la prévalence de la dépression et de l’anxiété chez les patientes souffrant de cancer du sein à Ouagadougou au Burkina Faso. Méthodologie : cette étude a été transversale et descriptive portant sur les patientes souffrant de cancer du sein et suivies dans les services de chirurgie digestive et générale du Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo et de l’hôpital Schiphra de Ouagadougou. Nos données ont été collectées du 1er juillet au 31 Août 2021 à l’aide d’un hétero-questionnaire comportant les aspects sociodémographiques et cliniques des patientes, le Mini international psychiatric review pour le diagnostic de la dépression, l’échelle de Beck pour l’intensité de la dépression et l’échelle de Hamilton pour évaluer l’anxiété. Résultats : 102 patientes ont pris part à notre étude. L’autopalpation des seins a été la principale modalité de découverte du cancer dans 74,51 % des cas. La prévalence du trouble dépressif était de 39,21 % dans notre étude. Selon l’intensité de la dépression on retrouvait 10 % d’épisode dépressif léger, 47,5 % moyen et 42,5 % sévère. 55,92 % des patientes présentaient une altération de l’image de soi, 43,14 % une tristesse exprimée et 42,17 % un impact sur leur autonomie physique. On notait la présence d’idées suicidaires dans 8,82 %. La prévalence de l’anxiété était de 45,1 %. L’anxiété a été caractérisée légère dans 45,65 % des cas, modérée dans 30,43 % et sévère dans 23,91 % des cas. Symptômes urinaires et génitaux étaient présents dans 62,74 % et l’insomnie dans 54,90 % des cas. 82,5 % des patientes qui présentaient une dépression avaient une anxiété associée. Discussion et conclusion : la prévalence de la dépression et de l’anxiété dans notre étude traduit la nécessité de mettre en place une composante psychologique et psychiatrique dans la prise en charge des patientes souffrant de cancer du sein.
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Frachet, E. "Évolution au décours d’une dépression maternelle d’un trouble des conduites alimentaires chez le bébé". European Psychiatry 29, S3 (noviembre de 2014): 610. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.225.

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Notre activité au sein de la filière de psychiatrie périnatale de Limoges nous amène à rencontrer un nombre important de femmes enceintes présentant des symptômes dépressifs. Ceux-ci ne nécessitent pas systématiquement la mise en place d’un traitement médicamenteux mais justifient un suivi spécialisé permettant de soutenir et d’accompagner ces femmes dans toute la période périnatale. Nous présenterons une situation clinique banale d’une femme souffrant d’un état dépressif pendant sa grossesse. Le suivi va nous confronter à une clinique se complexifiant de troubles interactifs entre la mère et son bébé. L’évolution sera marquée par des troubles des conduites alimentaires de l’enfant mettant en péril sa vie au décours d’un problème somatique grave. Nous reprendrons le cheminement de notre prise en charge au décours de trois années de suivi. Notre réflexion va souligner la nécessaire prise en compte des antécédents maternels et de la structure de personnalité sous-jacente, la mise en place d’un suivi spécifique aux troubles périnataux et enfin l’importance de l’articulation et de la coordination des soins psychiques sur un territoire régional. La complexité de la clinique périnatale entremêlant les pathologies maternelles à celles de l’enfant oriente la spécificité des soins psychiatriques vers une pratique pluridisciplinaire et intégrée dans un réseau de soins psychiques formalisé.
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Cottereau, M. J. "Dépression : mythe, réalité et prise en charge dans un secteur de psychiatrie publique parisien". Figures de la psychanalyse 4, n.º 1 (2001): 69. http://dx.doi.org/10.3917/fp.004.0069.

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