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  1. Tesis

Literatura académica sobre el tema "Colonies françaises – Afrique occidentale – 19e siècle"

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Tesis sobre el tema "Colonies françaises – Afrique occidentale – 19e siècle"

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Toumait, Mohamed. "Le colonisateur français à la rencontre de l'Islam en Afrique de l'Ouest et au Maroc". Perpignan, 2000. http://www.theses.fr/2000PERP0403.

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Resumen
Notre étude repose sur les raisons idéo-politiques et socio-culturelles qui ont incité les colonisateurs français (Faidherbe, Gallieni et Lyautey) à donner de l'islam et des musulmans ouest africains et marocains des représentations qui ne les valorisaient pas aux yeux des autres. Contrairement aux colonisateurs du XVIIe et XVIIIe siècles qui ne pensaient qu'à la conquête et à l'augmentation des territoires, les colonisateurs français au XIXe siècle désirent seulement étendre leur commerce dans toute l'Afrique
Our study rests on the reasons sociocultural ideo-policies and which encouraged the french colonizers (Faidherbe, Gallieni and Lyautey) to give islam and western moslems african and morrocans of the representations which did not develop them with the eyes of the others
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Flory, Céline. "La liberté forcée : politiques impériales et expériences de travail dans l'Atlantique au XIXème siècle". Paris, EHESS, 2011. http://www.theses.fr/2011EHES0135.

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Resumen
Dans la réorganisation du travail colonial consécutive à l'abolition de l'esclavage promulguée le 27 avril 1848 dans l'ensemble des territoires français, les administrations coloniales de concert avec les planteurs prônèrent le recours à l'immigration de travailleurs extérieurs. Sensible à leurs sollicitations, le ministère de la Marine et des colonies mit en place un système, subventionné par l'État, d'introduction de travailleurs extérieurs sous contrat d'engagement de travail. Ainsi de 1854 à 1862, plus de 21 000 hommes, femmes et enfants furent recrutés le long du littoral ouest-africain pour aller travailler à la Guyane et aux Antilles françaises. Cette migration se composait de deux flux migratoires distincts. Un premier, entre 1854 et 1856, où les recrutements s'effectuaient au sein de populations africaines jouissant d'un statut de libre ; et un second, entre 1857 et 1862, où les recrutements s'opéraient au sein de populations de condition captive avec la méthode dite du « rachat préalable ». Par ce procédé, les recruteurs français achetaient des captifs, puis les « affranchissaient » en leur imposant un engagement de travail de dix années à effectuer outre-Atlantique. 93% de ces immigrants furent ainsi recrutés et engagés. Cette étude analyse les discours juridiques et idéologiques tenus par les acteurs coloniaux pour légitimer ces immigrations ainsi que les pratiques effectives mises en place pour recruter, acheminer et mettre au travail la main-d'œuvre engagée. Elle s'intéresse aussi à l'expérience migratoire et de travail des immigrants africains, qui firent souche pour la très grande majorité d'entre eux dans leur colonie d'arrivée
After April 27th 1848, when slavery in the French colonies was permanently abolished, colonial administrators add planters attempted to reorganize colonial labor by introducing foreign contract workers. The Ministry of the Navy and colonies, responding to their requests, established a state-funded system to import indentured laborers. Thus, between 1854 and 1862, more than 21,000 men, women and children were recruited along the coast of West Africa to go to work ID French Guiana and French West Indies. This migration consisted of two distinct flows. First, between 1854 and 1856, recruitment was done among free African populations, and second, between 1857 and 1862, where recruitment was carried out in populations with captive status with a method called repurchase. By this method, French private merchants purchased captives, in order to "free" them by imposing on them a ten-year contract of indenture to be implemented on the other side of the Atlantic. 93% of these immigrants were thus recruited and indentured. This study examines the legal and ideological discourses held by the colonial actors to legitimize these forms of immigrations and focuses on the practices in place to recruit, transport and put to work the indentured workforce. It also treats the experiences of migration and work of African immigrants, who, for the vast majority of them, settled in their place of arrival
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Huillery, Elise. "Histoire coloniale : développement et inégalités dans l'ancienne Afrique occidentale française". Paris, EHESS, 2008. http://www.theses.fr/2008EHES0111.

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Resumen
Cette thèse s'appuie sur l'extraction de données historiques originales puisées dans les archives de l'ancienne Afrique Occidentale Française. Elle est tout d'abord consacrée à la question du bilan économique de l'expérience coloniale pour la France. Je montre que la question n'est pas réglée et apporte une réponse quant au coût direct de la colonisation de l'Afrique Occidentale Française pour l'Etat français : il a été extrêmement faible, en moyenne 0,1 % des dépenses de l'Etat. Le peu d’investissements publics réalisés pendant la période coloniale a été financé presque en totalité par les populations africaines elles-mêmes. En s'appuyant sur !es techniques de l'économétrie, cette thèse s'intéresse ensuite aux effets de long terme de la colonisation française sur le développement et les inégalités régionales au sein de l'ancienne Afrique Occidentale Française. Je montre d'abord que les investissements publics effectués pendant la période coloniale ont créé des inégalités persistantes entre les régions de l'ancienne AOF : la scolarisation, la santé infantile, et les niveaux d’équipement actuels des ménages ouest-africains restent plus élevés dans les régions qui ont bénéficié d’investissements publics plus importants au début de la période coloniale. Enfin, je montre, que les régions dans lesquelles les colons européens ont été relativement plus nombreux ont aujourd'hui un développement relativement plus élevé. La présence européenne a entraîné sur un siècle des modifications dans la répartition du leadership régional : certaines régions très dynamiques ont perdu leur place au profit de régions secondaires, préférées pas les colons pour leur plus grande hospitalité politique
This PhD dissertation uses first-hand historical data on colonial French West Africa. First, I focus on the costs and benefits of colonial experience for France and its former colonies. I review the existing literature and show that evidence on whether colonialism was a costly or beneficiary experience for France is not clear yet. Then I provide an answer on the direct cost of French West Africa for French public expenses: this cost turns out to be very small -on average 0. 1 % of all public expenses. Few public investments were made during colonial times and almost all of them were financed by local population itself. Using econometrics, the thesis then seeks to provide evidence on the long term impact of colonial experience on current performances. I show that early colonial public investments m education, health and public works had large and persistent effects on current outcomes, and that a major channel for the long term effect of early investments is a strong persistence of investments: regions that got more of a specific type of investment at the early colonial times continued to get more of this particular type of investment. Finally, I give evidence that Europeans tended to settle in more prosperous pre-colonial areas and that the European settlement had a strong positive impact on current outcomes. I argue that the African hostility towards colonial power to colonisation provides a random variation in European settlement. Despite, the absence of a "reversal of fortune" within former French West Africa, some of the most prosperous pre-colonial areas lost their advantage because of their hostility: other areas caught up and became the new leaders in the region
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Fall, Papis. "Les déportés de la Sénégambie et du Soudan : entre résistances et répressions dans un espace colonial de 1840 à 1946". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2023. http://www.theses.fr/2023SORUL074.

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Resumen
La problématique de la déportation ou des déportés d’Afrique de l’Ouest, durant l’ère coloniale, n’est pas assez prise en charge par l’historiographie africaine d’expression française et même anglaise qui s'est davantage appesantie plus sur les guerres, les résistances et leurs différentes formes. Ce faisant, une réalité d’un pan de l’histoire coloniale reste plus ou moins méconnue. C'est pourquoi nous voudrions étudier le thème suivant, qui a été et demeure d’une actualité brûlante: « Les déportés de la Sénégambie et du Soudan : entre résistances et répressions dans un espace colonial de 1840 à 1946 ». Les acteurs de cette histoire des déportés sont des figures emblématiques et/ou de simples anonymes, qui ont voulu défendre la terre de leurs ancêtres, diriger les destinées de leurs peuples, lutter pour le maintien des valeurs et des traditions africaines. L’histoire de « ces soldats du refus » – à savoir les chefs religieux, les combattants au service de l’islam et des valeurs ou croyances ancestrales et les chefs politiques auxquels s’ajoutent les aliénés mentaux, les bandits sociaux et délinquants, les hommes de presse, les partisans et/ou disciples des chefs et même les tirailleurs sénégalais – mérite d’être examinée. Cette thèse s’inscrit dans les questionnements d’une histoire coloniale attentive aux enjeux de la répression et du maintien de l’ordre. Face au refus manifeste des meneurs de troupes ou créateurs d’émotions de se résigner au diktat colonial, la réponse donnée par les autorités coloniales était, entre autres, de les déporter/emprisonner, les assigner en résidence surveillée, leur interdire de séjour, pour leur couper toute forme de communication, tout contact avec leur entourage et les mettre ainsi hors d’état de nuire. Dans de nombreux cas, il s'agissait d'une forme d'emprisonnement, ce qui nous conduit à l'étude du milieu carcéral qui dévoile les formes d’évitement, les conditions de vie des déportés, l’architecture liée aux questions sécuritaires, etc. L’application de cette technique de répression, entrant dans la logique des politiques de sécurité, était une manière de freiner l’élan des chefs et d’anéantir toutes les résistances coloniales. L'étude que nous souhaitons conduire vise surtout à cerner la place déterminante de la déportation dans le dispositif de répression coloniale, dans le maintien de l’ordre sécuritaire, de mainmise politique, de contrôle des hommes et des espaces, pour l’exploitation des colonies. La trame chronologique que ce travail tente d’éclairer va de 1840 à 1946, une période charnière de l’histoire coloniale en Afrique de l’Ouest, particulièrement en Sénégambie et au Soudan, en ce sens qu’elle est marquée par des transformations rapides à tous les niveaux (politique, économique, social et culturel). La déportation était-elle si fondamentale, si nécessaire pour la réalisation du projet colonial, le maintien de l’ordre sécuritaire ? Dans quelle mesure les déportés constituaient-ils un réel obstacle, une entrave à l’implantation et à l’imposition du pouvoir colonial ? Quel a été le rôle des acteurs de l’ordre dans le processus de déportation ? Cette thèse explore des thématiques majeures telles que les contextes de déportation, les abus de pouvoir des administrateurs coloniaux, l’Indigénat et la justice indigène, les motivations de la déportation, les multiples réponses des indigènes, leur arrestation et déportation, la place des agents/acteurs (armée, gendarmerie et police coloniales) dans le maintien, le rétablissement et/ou la protection de la stabilité et les conséquences politico-économiques d’une telle « technique de pouvoir»
The problem of deportation or deportees from West Africa during the colonial era is not sufficiently addressed by French- and even English-speaking African historiography, which has focused more on wars, resistances and their different forms. In doing so, a reality of a part of colonial history remains more or less unknown. That is why we would like to study the following theme, which has been and remains of burning topicality: "The deportees of Senegambia and Sudan: between resistance and repression in a colonial space from 1840 to 1946". The actors in this story of the deportees are emblematic figures and/or simple anonymous, who wanted to defend the land of their ancestors, direct the destinies of their peoples, fight for the maintenance of African values and traditions. The history of "these soldiers of refusal" – namely religious leaders, fighters in the service of Islam and ancestral values or beliefs and political leaders to which are added the mentally insane, social bandits and delinquents, men of the press, supporters and/or followers of leaders and even Senegalese riflemen – deserves to be examined. This thesis is part of the questions of a colonial history attentive to the issues of repression and the maintenance of order. Faced with the manifest refusal of the leaders of troops or creators of emotions to resign themselves to the colonial diktat, the response given by the colonial authorities was, among other things, to deport/imprison them, to house arrest, to prohibit them from staying, to cut them off all forms of communication, any contact with their entourage and thus put them out of harm's way. In many cases, it was a form of imprisonment, which leads us to the study of the prison environment that reveals the forms of avoidance, the living conditions of the deportees, the architecture related to security issues, etc. The application of this technique of repression, part of the logic of security policies, was a way of slowing down the momentum of the leaders and annihilating all colonial resistance. The study we wish to conduct aims above all to identify the decisive place of deportation in the system of colonial repression, in the maintenance of security order, political control, control of people and spaces, for the exploitation of colonies. The chronological framework that this work attempts to illuminate goes from 1840 to 1946, a pivotal period in colonial history in West Africa, particularly in Senegambia and Sudan, in that it is marked by rapid transformations at all levels (political, economic, social and cultural). Was deportation so fundamental, so necessary for the realization of the colonial project, the maintenance of security order? To what extent did the deportees constitute a real obstacle, an obstacle to the establishment and imposition of colonial power? What was the role of law enforcement actors in the deportation process? This thesis explores major themes such as the contexts of deportation, the abuse of power by colonial administrators, indigénat and indigenous justice, the motivations of deportation, the multiple responses of indigenous people, their arrest and deportation, the place of agents/actors (army, gendarmerie and colonial police) in maintaining, restoring and/or protecting stability and the politico-economic consequences of such a "technique of power"
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Daget, Serge. "Les croisières françaises de répression de la traite des noirs sur les côtes occidentales de l'Afrique (1818-1850)". Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040303.

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Resumen
L'action des croiseurs français de répression de la traite des noirs ne peut être comprise, si l'on n'a point posé au préalable l'état des forces que ces croiseurs doivent réprimer. La traite illégale depuis 1818 en France, les armateurs négriers métropolitains et antillais ne se privent pas de la pratiquer, sans susciter de fortes réactions des autorités officielles, lesquelles ont cependant institué un système répressif sur la cote d’Afrique. Des conditions sociales, culturelles, politiques, diplomatiques, expliquent autant que les conditions économiques cette permanence d'une activité plus que séculaire. Dès lors, la question est de savoir comment les agents de la répression vont opérer sur la cote d’Afrique, et si leurs résultats ne sont pas évidents, se demander pourquoi. Les croisières françaises, d'abord inopérantes, se plient peu à peu à leur devoir : elles capturent des négriers nationaux, jugés et condamnés. Apres une longue politique de patience et de dénonciations l’Angleterre obtient en 1831 ce qu'elle réclamait jusqu'alors vainement : une collaboration officielle des deux marines de guerre contre les bâtiments négriers. Or, une troisième loi abolitionniste française a pour résultat de mettre fin à la traite nationale. L'on est ainsi devant le paradoxe qu'un système répressif théoriquement efficace n'a plus d'objet réel de s'exercer. Une situation idyllique est créée par la traite introuvable. Des forces dont les intérêts sont bien moins humanitaires que politiques suscitent une grave crise en France, cherchant à supprimer les conventions signées en 1831-1833. Si elles obtiennent un succès, il reste qu'une nouvelle convention avec la nation toujours sentie comme rivale et machiavélique donne naissance à une splendide croisière : elle ne vit qu'une année, car inutile et incapable d'agir contre les nombreux négriers brésiliens ou espagnols. Ainsi, d'une façon générale, il faut conclure à l'échec de la répression française. Cependant, toutes les raisons de cet échec ne sont pas militaires. Le poids des mentalités acquises, des besoins économiques d'ailleurs moins pressants qu'on ne le dit, la faiblesse de doctrines humanitaires incapables de renouvellement, sont parmi les causes profondes de l'échec. En somme, une histoire négative, répétitive, sans évènement marquant. Les progrès de la connaissance de l'homme en Afrique sont à peu près insensibles
The effect which the french cruisers had on the suppression of the african slave trade cannot be understood unless one first takes into account the forces to be curbed. Although slave trading was made illegal in France in 1818, french and west indian slavers did not hesitate to continue their trading without arousing any strong official reaction, even though repressive measures had been taken on the west african coast. Social, cultural, political and diplomatic conditions, as well as economic ones, explain the continued existence of an enterprise that had already lasted more than a century. Consequently, the question is to know how the repressive agents are going to operate on the african coast, and, if their results are not obvious, why not ? French cruisers, at first ineffectual, comply more and more with their duties: they capture national slavers that are judged and condemned. After a long policy of patience and denunciations, England in 1831 secures what she has been claiming in vain: an official co-operation of the royal navy with the french one in order to fight against the slavers. It is then a third french abolition law results in the ending of the national slave trade. We are therefore confronted with the paradox that a theoretically efficient system has no object to justify. An idyllic situation is brought about by an untraceable slave trade. Powers whose interests are less humanitarian than political create a serious crisis in France seeking to suppress the agreement signed in 1831-1833. Although successful, a new covenant with a nation that has always been resented as a machiavellian rival gives rise to a splendid french cruise: it lasts but one year as it is useless, and unable to act against the numerous brazilian or spanish slave traders. Thus, on the whole, french repression has been a failure. All the reasons for this failure have not been military ones. The weight of established mentalities, of economic needs, not nearly as urgent as implied, the weakness of humanitarian doctrines incapable of renovation, are among the deeper causes of this failure. Altogether a negative, repetitive story without any outstanding events. The knowledge of man in africa is imperceptible
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Deville-Danthu, Bernadette. "Education physique, sport, colonisation et décolonisation dans les anciens territoires français d'Afrique occidentale : 1920-1965". Aix-Marseille 1, 1995. http://www.theses.fr/1995AIX10019.

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L'implantation des pratiques physiques et sportives en a. O. F. Est une volonte du colonisateur qui apres la premiere guerre mondiale avait encourage l'education physique et la preparation militaire dans le but d'ameliorer la condition physique des populations autochtones, de les discipliner, d'en faire de loyaux sujets. Mais cette volonte se heurta tres rapidement a l'indifference et au rejet des africains qui preferaient les jeux sportifs et en particulier le football. Les pratiques physiques en a. O. F. Furent alors un terrain d'affrontement entre les colonises et l'administration coloniale. Cette derniere etait opposee au developpement d'un mouvement sportif tel qu'en metropole car elle attribuait aux clubs et aux rencontres sportives un potentiel subversif non negligeable. Cependant, sous la pression internationale et la volonte des africains, elle dut ceder progressivement : n'ayant pu imposer la preparation militaire avant guerre, elle voulut diffuser l'athletisme apres guerre, discipline sportive jugee tres educative. Mais le football devint le sport roi et dans les annees cinquante, un veritable mouvement sportif se developpa en a. O. F. A partir des structures heritees du gouvernement de vichy. Les premiers champions apparurent, principalement en athletisme, en boxe et en football, que la france selectionna avec reticence. Quelques grandes competitions furent developpees a l'echelle de la federation. Mais il fallut attendre les independances et la reduction du mouvement sportif d'a. O. F. Aux cadres nationaux pour voir se developper, avec l'aide de la cooperation francaise, un sport a l'echelle du continent africain.
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Chillali, Anissa. "Aspects du romantisme berbère : étude du discours politique sur les Kabyles, 1830-1914". Lille 3, 1999. http://www.theses.fr/1999LIL30005.

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De 1830 à 1857, la kabylophilie connaît son apogée. Ses thèmes s'affichent dans la plupart des écrits sur l'Algérie. La kabylophilie consiste en la valorisation préférentielle du peuplement kabyle, à qui l'on attribue des qualités spécifiques, comme l'esprit démocratique ou l'absence de fanatisme musulman. Ce courant de pensée qui imprègne le discours politique français, puise ses sources dans la littérature précoloniale. Au XIXème siècle, il est réactualisé par les enjeux de la colonisation. Toutefois à la veille de la Première Guerre mondiale, le courant kabylophile amorce son déclin. Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène. D'abord la soumission définitive de la Kabylie en révélant la réalité, estompe progressivement le mystère qui entourait le pays et ses habitants, et qui entretenait le romantisme kabyle. D'autre part, l'affirmation de l'ordre colonial enlève à l'argumentation kabylophile son utilité politique
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Morando, Laurent. "Les instituts coloniaux et l'Afrique : 1893-1940 : ambitions nationales, réussites locales". Aix-Marseille 1, 2001. http://www.theses.fr/2001AIX10062.

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Certains " grands ancêtres étrangers " sont des références pour les Instituts coloniaux français qui, sauf celui de Nancy, sont des associations privées. Le premier Institut colonial est créé à Marseille en 1893 grâce au concours de la Chambre de Commerce. Son but est de développer la recherche scientifique et l'enseignement colonial pour permettre une mise en valeur rationnelle de l'Empire. Deux autres Instituts sont fondés à Bordeaux et à Nancy (1901 et 1902). Durant la Grande Guerre, ils remplissent un rôle d'expertise auprès du gouvernement pour le ravitaillement de la métropole en produits coloniaux, notamment les arachides de l'A. O. F. L'Institut colonial français est fondé à Paris en 1920. Il a une ambition nationale. Les années 1920 voient les dernières créations en France et en Europe : Nice (1927), Le Havre (1929), Amsterdam (1926). Si les années 1920 constituent l'âge d'or des Instituts coloniaux, les années 1930 sont une période de crise et de mutations. Les grandes Expositions coloniales organisées par la Chambre de Commerce de Marseille en 1906 et 1922 ont pour but de présenter l'Empire au grand public. La propagande coloniale des Instituts est multiforme : expositions permanentes, temporaires, stands dans diverses foires, conférences, propagande scolaire. Son efficacité reste limitée. L'administration refuse d'étendre aux grandes Chambres de Commerce le recrutement des administrateurs coloniaux réservé à l'École coloniale de Paris. Elles fondent alors un enseignement colonial supérieur destiné à former les cadres économiques nécessaires à la mise en valeur de l'Empire. Cet enseignement répond le plus souvent aux besoins locaux grâce à un contenu pratique et un corps enseignant stable et compétent. Certains Instituts créent des services de documentation et de recherche scientifique et technique au service des entreprises adhérentes. Cette action locale et pratique rencontre un vif succès. Les Instituts les plus actifs participent aux grands débats doctrinaux, notamment douanier, concernant la mise en valeur de l'Empire.
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Grondin, Reine-Claude. "La colonie en province : diffusion et réception du fait colonial en Corrèze et en Haute-Vienne (c. 1830-c. 1939)". Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010645.

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Cette thèse étudie la diffusion et la réception du fait colonial en Corrèze et en Haute-Vienne du XIXe siècle à la seconde guerre mondiale. Elle examine les modalités de la mobilisation et de l'appropriation du fait colonial dans une région périphérique. Trois domaines ont été explorés: les conditions matérielles de la diffusion de l'information coloniale et son insertion dans les problématiques régionales, les célébrations du fait colonial et les modalités de la réception de la colonisation de l'Algérie. Le sujet a ainsi exploré le rôle des sociabilités locales, la rencontre entre le fait colonial et le fait régionaliste et a donné lieu à un questionnement sur l'identité régionale. Les célébrations ont révélé les enjeux mémoriels qui ont été mises au service des stratégies identitaires et politiques. L'analyse des conditions de la réception de l'opportunité coloniale algérienne a mis en évidence d'autres représentations de la colonisation.
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Lakhssassi, Mohamed. "Des rapports franco-marocains pendant la conquête et l'occupation de l'Algérie (1830-1851)". Paris 1, 2000. http://www.theses.fr/2000PA010707.

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Resumen
LL'objet de ce travail est d'étudier le cheminement, ainsi que la typologie des rapports franco-marocains pendant la conquête et l'occupation de l'Algérie (1830-1851). Il s'agit en fait d'analyser les multiples incidences de l'établissement colonial en Algérie au plan des rapports franco-marocains, d'évaluer le développement, tant conflictuel que pacifique, de ces relations et de mettre en lumières les problématiques politiques et géo-politiques, générées par le voisinage colonial. Le plan d'exposition retenu comprend quatre parties. La première partie tente de définir le cadre décisionnel qui, de part et d'autre de la méditerranée, déterminait l'action et conditionnait les réactions des protagonistes : marocain et français. La seconde partie s'attache à décrire, en l'analysant, la dynamique de tension qui caractérisa les rapports franco-marocains pendant la période 1830-1844, ainsi, à travers l'analyse des différentes problématiques posées par la conquête et l'occupation de l'Algérie, nous proposons-nous de mettre en lumière le caractère déstabilisateur du fait colonial en Algérie. La troisième partie tend à évaluer la portée réelle du désastre d'Isly (aout 1844), à travers l'analyse approfondie de ses multiples conséquences : politique, économique et, notamment, territoriale. Dans la quatrième partie, enfin, nous nous employons à analyser les tenants et les aboutissants du changement intervenu dans les relations des deux protagonistes, en usant du concept d" "entente" pour caractériser cet épisode crucial des rapports franco-marocains. La conclusion feint de se prêter à une sorte de conceptualisation des rapports franco-marocains pendant la période considérée. Dans l'introduction, enfin, nous nous proposons de justifier le choix du thème de la thèse et ses délimitations chronologiques, de formuler la problématique centrale de l'étude et sa démarche méthodologique et d'exposer, à grands traits, les difficultés rencontrées.
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