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1

Wenger, Stephan y Fulvia Raiola. "Cheval de Troie". Adolescence 71, n.º 1 (2010): 171. http://dx.doi.org/10.3917/ado.071.0171.

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2

Baquedano, Michel. "Le cheval de Troie". Empan 61, n.º 1 (2006): 53. http://dx.doi.org/10.3917/empa.061.54.

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3

Lambin, Gérard. "Le Cheval de Troie". Gaia : revue interdisciplinaire sur la Grèce Archaïque 3, n.º 1 (1998): 97–108. http://dx.doi.org/10.3406/gaia.1998.1342.

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4

Grim, Olivier R. "Un nouveau cheval de Troie". Journal des anthropologues, n.º 122-123 (1 de diciembre de 2010): 27–49. http://dx.doi.org/10.4000/jda.3673.

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5

Giacomo, Pierre. "Le CGS innocent Cheval de Troie". Bulletin d'histoire de l'électricité 16, n.º 1 (1990): 5–8. http://dx.doi.org/10.3406/helec.1990.1123.

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6

Nicaise, Ides, Luc Lauwereys y Nick Matheus. "L'économie sociale d'insertion, cheval de bataille ou cheval de Troie ?" Reflets et perspectives de la vie économique XLI, n.º 3 (2002): 77. http://dx.doi.org/10.3917/rpve.413.0077.

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7

Pommier, Gérard. "Le Livre noir : un cheval de Troie". Le Journal des psychologues 235, n.º 2 (2006): 18. http://dx.doi.org/10.3917/jdp.235.0018.

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8

Eloit, Ilana. "Un cheval de Troie nommé Monique Wittig". Cahiers du Genre 71, n.º 2 (7 de marzo de 2022): 143–68. http://dx.doi.org/10.3917/cdge.071.0143.

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9

Luyet, Pierre-Philippe y Jean Gruenberg. "L’endocytose, cheval de Troie pour l’infection virale". médecine/sciences 21, n.º 11 (noviembre de 2005): 909–10. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20052111909.

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10

Perez, Frédéric. "Et aussi... Le complexe du Cheval de Troie". Dialogue 190, n.º 4 (2010): 135. http://dx.doi.org/10.3917/dia.190.0135.

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11

Nau, Jean-Yves. "Cheval de Troie version [i]Escherichia coli[/i]". Revue Médicale Suisse 3, n.º 136 (2007): 2813. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2007.3.136.2813.

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Fiorini, Benjamin. "Le plaider-coupable, cheval de Troie de l’erreur judiciaire". Délibérée N° 16, n.º 2 (5 de agosto de 2022): 47–52. http://dx.doi.org/10.3917/delib.016.0047.

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13

Bory, Anne y Yves Lochard. "La responsabilité sociale des entreprises : un cheval de Troie politique ?" Sociologies pratiques 18, n.º 1 (2009): 39. http://dx.doi.org/10.3917/sopr.018.0039.

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Ruimy, Michel. "9. La finance islamique, cheval de Troie de la finance moderne ?" Regards croisés sur l'économie 22, n.º 1 (2018): 130. http://dx.doi.org/10.3917/rce.022.0130.

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de Meyer, Edith, Alexandre Beyloune, Ferial Begga, Caroline Dudreuilh, Jean-Louis Beaumont, Philippe Grimbert, Lisette Hauser, France Pirenne y Claire Rieux. "La transfusion, un cheval de Troie ? À propos d’une réaction allergique". Transfusion Clinique et Biologique 23, n.º 4 (noviembre de 2016): 279. http://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2016.08.030.

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Allenet, Benoît y Jean Calop. "L’éducation thérapeutique du patient, cheval de Troie de la pharmacie clinique ?" Actualités Pharmaceutiques Hospitalières 4, n.º 14 (mayo de 2008): 1. http://dx.doi.org/10.1016/s1769-7344(08)70045-3.

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Nassani, B. M., H. Eid, M. Riachy y G. Maalouly. "Le purpura thrombotique thrombocytopénique : un cheval de Troie d’une leucémie aiguë ?" La Revue de Médecine Interne 44 (junio de 2023): A169. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2023.04.082.

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Finding, Susan. "Le cheval à bascule, cheval de Troie ? La politique de la famille entre modèle américain et « social libéralisme »". Observatoire de la société britannique, n.º 1 (1 de enero de 2006): 133–55. http://dx.doi.org/10.4000/osb.528.

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Tsybova, Irina A. "On domestic animals in Russian and French phraseology". Verhnevolzhski Philological Bulletin 3, n.º 26 (2021): 132–37. http://dx.doi.org/10.20323/2499-9679-2021-3-26-132-137.

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Resumen
The aim of this article is to compare French and Russian phraseological units including the names of domestic ani-mals (кошка/ chat, собака/ chien, лошадь/ cheval, корова/ vache, свя/ cochon, коза /chèvre, баран/ mouton) which are discussed according to structural, functional and semantic criteria proposed by A.G. Nazarian. According to the structural criterion, phraseological units include: a) non-predicative (жирный как свинья/ gras comme un cochon; ме-тать бисер перед свиньями/ jeter des perles aux cochons), b) partially predicative (cheval qui n’a ni bouche ni éperon) and с) predicative (le chat parti [absent, quand le chat n’est pas là, quand le chat dort], les souris dansent). Idioms (manger de la vache enragée) and unique phraseological units (appeler un chat un chat) are distinguished according to semantic classification. According to the functional criterion, phraseological units are divided into communicative (да-реному коню в зубы не смотрят/ à cheval donné on ne regarde pas la bouche) and non-communicative (конек, глав-ный козырь/ cheval de bataille), including nominative and infinitive units. Comparing Russian and French phraseolog-ical units we can observe the following relations: coincidence of the plan of content and the image (играть как кошка с мышью/ jouer avec sa victime comme un chat avec une souris), coincidence of the plan of content and different im-ages ( не иметь ни кола, ни двора/ n’avoir ni cheval ni mule), difference of the plan of content and of images, but the presence of domestic animal’s name (кошки скребут на душе, avoir un chat dans la gorge). Phraseological units can сontain metaphor, продать (купить) кота в мешке/ vendre (acheter) chat en poche metonymy (Троянский конь/ cheval de Troie), comparison (amoureuse comme une chatte).
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Lebouc, Denis. "Les concertations restauratrices de groupe : un cheval de Troie dans l'édifice protectionnel belge ?" Les Cahiers Dynamiques 40, n.º 1 (2007): 14. http://dx.doi.org/10.3917/lcd.040.0014.

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Dumont, Adeline. "Du cheval au destrier : dressage, matériel et utilisation en reconstitution militaire". Bien Dire et Bien Aprandre, n.º 33 (1 de diciembre de 2018): 235–48. http://dx.doi.org/10.54563/bdba.672.

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Preiss, Nathalie. "Le Cheval de Troie est de retour : la blague et le Journal des Goncourt". Cahiers Edmond et Jules de Goncourt 1, n.º 10 (2003): 211–32. http://dx.doi.org/10.3406/cejdg.2003.920.

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Pierre, Jean-Philippe. "Les Balkans occidentaux, confins sécuritaires de l’Europe ou cheval de Troie d’un nouvel islamisme ?" Revue Défense Nationale N° 822, n.º 7 (1 de julio de 2019): 81–86. http://dx.doi.org/10.3917/rdna.822.0081.

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Lavault-Olléon, Élisabeth. "Du téléphone à micro-ondes au cheval de Troie : quelle culture pour le traducteur spécialisé ?" ASp, n.º 5-6 (1 de diciembre de 1994): 45–53. http://dx.doi.org/10.4000/asp.4015.

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Bourdon, William y Jim Villetard. "La lutte contre le blanchiment : cheval de Troie de l’État pour atteindre la liberté d’association ?" Revue trimestrielle des droits de l'Homme N° 136, n.º 4 (25 de septiembre de 2023): 1085–98. http://dx.doi.org/10.3917/rtdh.136.1085.

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Resumen
Le 14 juin 2022, la Cour européenne des droits de l’homme a condamné la Fédération de Russie. Indubitablement, la législation russe mise en place à l’égard des « agents de l’étranger » et visant prétendument à lutter contre le blanchiment d’argent n’apparaît être qu’un outil pour soumettre associations et ONG au bon vouloir des autorités. Face aux recrudescences des législations d’exception en Europe, cette décision rappelle avec force la nécessité pour tout État de droit de garantir les droits et libertés fondamentales.
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Regnier, Alain, Mathilde Goetz y Jean-Yves Douet. "Complications de la chirurgie oculaire chez le cheval". Le Nouveau Praticien Vétérinaire équine 16 (octubre de 2022): 22–36. http://dx.doi.org/10.1051/npvequi/2023006.

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Resumen
Conjointement à l’amélioration de la connaissance des affections oculaires du cheval, les indications chirurgicales de certaines d’entre-elles se sont développées au cours de ces deux dernières décennies. Commencée avec la chirurgie des annexes de l’œil et celle du globe oculaire, la chirurgie oculaire chez le cheval a progressivement évolué pour inclure les affections de la cornée et certaines affections intra­oculaires. L’élargissement des indications opératoires des affections de l’œil du cheval a été le résultat d’une évolution vers la spécialisation des méthodes diagnostiques et chirurgicales, et particulièrement pour ces dernières de l’utilisation de la microchirurgie oculaire. Le recul de plusieurs années de pratique a permis d’évaluer les bénéfices et les insuffisances de ces chirurgies oculaires. Dans un premier temps, cet article se propose de passer en revue la réalisation et les complications des chirurgies des annexes de l’œil (paupières et membranes nictitante) et celles du globe oculaire (l’énucléation et ses variantes). Ces chirurgies ont été associées car elles ont de nombreuses indications cliniques, et elles ont en commun d’être généralement simples à réaliser et de pouvoir être faites avec du matériel de chirurgie générale. L’étude de leurs possibles complications permet de mieux les anticiper, et de savoir minimiser leurs conséquences si elles apparaissent.
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Deschamps, Catherine. "La dette est davantage que la somme de ses calculs". SICUREZZA E SCIENZE SOCIALI, n.º 3 (febrero de 2022): 17–34. http://dx.doi.org/10.3280/siss2021-003002.

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Resumen
Le présent article est une esquisse. Fondé sur des intuitions persistantes, il fait dialoguer des ethnographies personnelles sur la sexualité et les affects avec des écrits anthropologiques et des déclarations d'intention politique ayant trait à l'économie. Son déroulé sera le suivant: d'abord, créditer les recherches sur la sexualité d'une portée heuristique; ensuite, partir d'anecdotes de terrain comme «cheval de Troie» vers la discussion de théories qui dépassent ces recherches et les précèdent, tout en insistant sur le passage du troc aux liquidités; enfin, considérer un fait d'actualité sans lien avec les relations intimes - le fameux «quoiqu'il en coûte» prononcé par Emmanuel Macron avant le premier confinement - comme médiation pour faire retour sur ces relations et questionner la prétendue césure occidentale, démocratique et libérale entre l'économie et les activités sociales. Mots clé: sexualité, genre, anthropologie, économie, régimes politiques.
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El Harrech, Youness, Omar Ghoundale, Rachid Zaini, Kamal Moufid y Driss Touiti. "La NLPC en décubitus dorsal modifié : notre expérience". Canadian Urological Association Journal 5, n.º 4 (5 de abril de 2013): 261. http://dx.doi.org/10.5489/cuaj.663.

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Resumen
Introduction et objectif : La NLPC est conventionnellement réaliséeen décubitus ventral. Cette position présente de nombreuxinconvénients. Notre objectif était d’évaluer de façon prospectivele caractère sûr et efficace de la NLPC en position de décubitusdorsal modifié (DDM).Matériel et méthodes : Entre novembre 2004 et janvier 2010,159 NLPC ont été réalisées en DDM. Le patient a été mis endécubitus dorsal avec un billot sous le flanc permettant une rotationde 45 degrés du côté opposé. Une position de lithotomiemodifiée était associée si un double accès antérograde et rétrogradesimultané était nécessaire. Après ponction rénale, la dilatation aété faite selon la technique « one shot » ou en utilisant les dilatateursd’Alken. Les caractéristiques des patients et des calculs, ladurée opératoire, le séjour hospitalier, les complications et le tauxd’absence de calculs résiduels (« stone free ») ont été analysés.Résultats : L’âge moyen des patients était de 47 ± 13,1 ans (22–70).Vingt-et-un patients avaient des ATCD de chirurgie rénale du mêmecôté. Vingt-six patients avaient un rein unique anatomique ou fonctionnel.Un patient avait un rein en fer à cheval et deux patientsavaient une malrotation rénale. Le diamètre moyen des calculsétait de 3,4 ± 1,9 cm (1,3–5,4) et 20 patients avaient des calculscoralliformes. Dix patients avaient des calculs urétéraux et ont euune urétéroscopie simultanée. La durée moyenne de l’interventionétait de 60 ± 29 min. Deux interventions ont été interrompues enraison d’un saignement important. Trois cas de fièvre postopératoireet 2 cas de fistule urinaire traités par sonde en double J ontété notés. Aucune plaie vasculaire ou viscérale n’a été rapportéeni de plaie pleuropulmonaire. Huit patients ont eu une secondeséance de NLPC durant la même hospitalisation. Après trois moisle taux d’absence de calculs résiduels était de 91,8 %.Conclusion : La NLPC en DDM a permis de traiter de façon sûreet efficace les calculs rénaux. Elle a offert plusieurs avantages :facilité d’installation et non-nécessité de changer la position, pasde compression thoracique, moins de contraintes anesthésiques,réduction du risque de plaie colique et possibilité d’accès simultanéantérograde et rétrograde.Purpose: Percutaneous nephrolithotomy (PCNL) is conventionallyperformed with the patient in the prone position. In this study,we assess the safety and efficacy of PCNL in the supine position.Methods: Between November 2004 and January 2010, we performed159 percutaneous nephrolithotomies. The patient is placedin a supine modified position with an air bag underneath the operatingflank. If necessary, a modified lithotomy position allowingthe simultaneous antegrade and retrograde endourological accesswas used. The access has been realized with progressive Alkendilators or with the one-shot technique. Operative times, meanstay in hospital, complications and success rates were analyzed.Results: The mean age was 47 ± 13.1 years (range: 22-70). Twentyonepatients had previous kidney surgery. Twenty-one had solitarykidneys and 3 patients had congenital renal abnormalities. Themean stone size was 3.4 ± 1.9 cm (range: 1.3-5.4). Twenty patients(29.5%) had complete staghorn stones. Ten patients (11.4%) alsohad ureteral stones and underwent concomitant ureteroscopy. Themean operative time was 60 ± 29 min, including patient positioning.In 2 patients it was necessary to suspend the procedure dueto of bleeding. Postoperative complications included prolongedfever in 3 patients, nephrocutaneous fistula requiring double pigtailstent placement. Arterial embolization was never required. Thecolon was never damaged and we had no cases of hydrothorax orkidney loss. A second early treatment using the same percutaneousaccess during the same hospital stay was needed in 8 patients. Thestone-free rate was 91.8%.Conclusions: Percutaneous nephrolithotripsy with the patient ina modified supine position is effective and safe. It offers obviousadvantages from the point of view of the patient’s comfort and useof anesthetic. There is no risk of vitiated positions or traumatismsdue to the change of bed-position and no thoracic compressionoccurs, which makes the procedure safe in patients with associatedcardiorespiratory pathologies or obese patients. Also, the risk ofcolon perforation is reduced, which allowed for allows access tothe entire urinary collecting system.
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MOULIN, THIBAULT. "Un nouveau “cheval de Troie”? Regard sur la codification des normes impératives du droit international général (jus cogens)". Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 58 (15 de octubre de 2021): 225–62. http://dx.doi.org/10.1017/cyl.2021.23.

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RésuméDepuis 2014, la Commission du droit international (CDI) étudie la question des normes impératives (jus cogens). Si ce projet a le mérite d’en éclaircir les aspects, cette contribution avance que certaines de ses observations peuvent aussi être assimilées à des “chevaux de Troie,” et pour deux raisons. Premièrement, certains principes entourant l’accès à l’impérativité pourraient favoriser la définition arbitraire de normes de jus cogens (rejet de la théorie de l’objecteur persistant en la matière, rôle des juridictions). Deuxièmement, certains effets attachés à l’impérativité pourraient être vecteurs de conséquences qui n’ont a priori pas été évaluées par la CDI (conformité des résolutions du Conseil de sécurité et des normes coutumières au jus cogens).
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Lallemand, Élodie Anne y Mickaël Robert. "Complications des chirurgies urogénitales du mâle". Le Nouveau Praticien Vétérinaire équine 16 (octubre de 2022): 94–101. http://dx.doi.org/10.1051/npvequi/2023002.

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Resumen
Les chirurgies urogénitales du cheval mâle sont majoritairement des castrations. La technique de castration scrotale ouverte, la plus fréquemment pratiquée, présente jusqu’à 27,6 % de complications. Parmi celles-ci, les plus fréquentes sont l’œdème excessif, les infections et l’hémorragie. Plus rarement, une éviscération, une lésion du pénis, une vaginocèle ou la persistance du comportement mâle peuvent être rencontrées. La castration fermée au bloc de chirurgie a, elle, un taux de complications bien plus faible et sa complication spécifique est l’hématome scrotal. Lors de la castration d’un cheval cryptorchide, la complication spécifique peut être de ne pas réussir à localiser le testicule ; l’échographie et la cœlioscopie pourront alors être particulièrement utiles. Comme pour toute chirurgie, la maîtrise de la technique chirurgicale, l’asepsie et l’utilisation de matériel performant sont indispensables pour minimiser la survenue de complications. Lorsque celles-ci surviennent, leur identification rapide, une prise en charge adaptée et une bonne communication avec le client sont primordiales. La plupart des complications peuvent être traitées sur le terrain mais certaines, comme l’éventration, les hémorragies non contrôlées ou la péritonite nécessiteront une prise en charge dans un cadre hospitalier.
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Dufays, Jean-Louis. "De la chanson comme cheval de Troie didactique. Un dispositif pour l'accès multimodal à la lecture-écriture littéraire". La Lettre de l'AIRDF 53, n.º 1 (2013): 19–22. http://dx.doi.org/10.3406/airdf.2013.1956.

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Noël, Jean-Sébastien. "Le vidéo-clip : cheval de Troie de l'industrie du disque et territoire créatif (années 1970 ? fin des années 1990)". Le Temps des médias 22, n.º 1 (2014): 257. http://dx.doi.org/10.3917/tdm.022.0257.

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Boisvert, Jean-Marie y Madeleine Beaudry. "Le thérapeute conjugal est un cheval de Troie : Réflexions inspirées des résultats de recherches sur l’intervention auprès des couples". Santé mentale au Québec 16, n.º 1 (11 de septiembre de 2007): 269–86. http://dx.doi.org/10.7202/032214ar.

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RÉSUMÉ L'entraînement à la communication et l'entraînement aux échanges positifs sont les deux méthodes d'intervention conjugale dont l'efficacité est la plus clairement établie au niveau de la recherche. Toutefois, même après une thérapie de couple basée sur ces méthodes, trop peu de couples (35 %) se retrouvent au même niveau que les couples satisfaits de leur relation. Les efforts entrepris pour augmenter ce taux ont porté principalement sur l'élaboration de nouvelles techniques thérapeutiques, notamment à partir des approches cognitive, émotive et systémique. Mais les résultats des études expérimentales faites jusqu'à présent ne prouvent pas la supériorité de ces nouvelles approches. Étant donné cette situation, il est sans doute temps de porter davantage attention aux caractéristiques particulières de la relation thérapeutique en thérapie de couple et aux moyens d'obtenir la collaboration des deux conjoints. Comme l'affirment certains auteurs, la tâche clinique la plus difficile ne consiste sans doute pas à trouver ce que les clients doivent faire pour résoudre leurs problèmes, mais plutôt à déterminer comment les motiver et les aider à le faire. Une analyse de cette tâche à partir d'observations cliniques et des résultats de recherches récentes dans le domaine permet de poser des hypothèses sur les moyens de faciliter l'alliance thérapeutique et de diminuer éventuellement le taux d'échec en thérapie conjugale.
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Souabni-Jlidi, Senda. "La repr�sentation du corps f�minin dans Le Cheval de Troie (1935) et La Conspiration (1938) de Paul Nizan". Aden N�6, n.º 1 (2007): 67. http://dx.doi.org/10.3917/aden.006.0067.

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Perron, Régine. "Choc des Titans ou cheval de Troie dans le multilatéralisme ? Les enjeux d’un ordre multipolaire pour la Russie et la Chine". Relations internationales 197, n.º 1 (18 de abril de 2024): 131–47. http://dx.doi.org/10.3917/ri.197.0131.

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Resumen
Depuis l’invasion de l’Ukraine en février 2022 par la Russie, l’ordre multipolaire est davantage revendiqué, de concert, par la Chine et la Russie. L’expression « ordre multipolaire », formulée pour la première fois par Kissinger en 1969, est consacrée après la fin de la Guerre froide. Depuis 2009, après la déclaration commune présentée à l’ONU en 1997 par la Chine et la Russie, un monde multipolaire est devenu une revendication majeure du Sud face au Nord, surtout face aux États-Unis. Depuis le début des années 2000, Alexandre Douguine et Zhao Tingyang ont peaufiné le concept jusqu’à présenter une vision étrangement commune. Vladimir Poutine et Xi Jinping construisent désormais cet ordre multipolaire, étape par étape, avec leurs alliés des BRICS et de l’OCS.
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A. J. Meulder, Marcel. "Le cheval de Troie et le motif indo-européen de la triple mort au livre II de l’Énéide de Virgile (v. 35-38)". Dialogues d'histoire ancienne 46/2, n.º 2 (2020): 147. http://dx.doi.org/10.3917/dha.462.0147.

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Pentecôte, Jean-Sébastien y Jean-Christophe Poutineau. "L’intervention de la BCE et du FMI lors de la crise grecque : un cheval de Troie en faveur de la solidarité budgétaire dans l’UEM ?" Gestion & Finances Publiques, n.º 4 (julio de 2017): 47–58. http://dx.doi.org/10.3166/gfp.2017.00072.

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Chastel, C. "Infections inapparentes chez l’Homme : un cheval de Troie pour l’introduction et la diffusion des arbovirus transmis par des moustiques dans les régions non endémiques ?" Bulletin de la Société de pathologie exotique 104, n.º 3 (21 de junio de 2011): 213–19. http://dx.doi.org/10.1007/s13149-011-0165-1.

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Doucet, Marc G. "L'organisation mondiale du commerce : où s'en va la mondialisation?" Canadian Journal of Political Science 37, n.º 3 (septiembre de 2004): 783–85. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423904470103.

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Resumen
L'organisation mondiale du commerce : où s'en va la mondialisation?, Christian Deblock, sous la direction de, Québec : Éditions Fides, 2002, 298 p.Depuis quelques années, l'Organisation mondiale du commerce (l'OMC) connaît des moments difficiles. À l'échec monumental de la troisième Conférence ministérielle à Seattle en 1999, et l'émiettement du consensus simulé qui déboucha sur le soi-disant “ cycle du développement ” à Doha en novembre 2001, s'ajoutent l'hostilité affichée par l'administration Bush au multilatéralisme de toutes formes et l'opposition de plus en plus obstinée des pays en développement quant à l'élargissement du mandat de l'organisation, sans oublier, bien sûr, les manifestations populaires qui pourchassent ici et là les réunions ministérielles. L'avance du cheval de Troie des programmes de libéralisation et de régulation économique créé en janvier 1995 suite aux négociations du cycle Uruguay semble sérieusement déroutée, du moins pour l'instant. D'où la justesse de la question que pose le sous-titre de cet ouvrage dirigé par Christian Deblock. En effet, si la question est bien posée, c'est plutôt son traitement, mis en rapport au déroulement des négociations depuis la quatrième réunion ministérielle à Doha, qui marque la contribution majeure de l'ouvrage. L'objectif principal des textes est donc de faire le point sur les développements les plus récents au sein du système commercial multilatéral tout en soulignant les principaux enjeux. Or, il s'agit bel et bien d'un ouvrage d'économie politique qui s'adresse non seulement aux universitaires et aux étudiants francophones de niveau post-secondaires, mais aussi au grand public qui, depuis un certain temps, semble suivre de plus près l'évolution de l'économie mondiale.
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Bel Lakhdar, Abdelhak. "Survivance de l'esprit d'inventaire". Journal of Quality in Education 2, n.º 2 (11 de noviembre de 2011): 13. http://dx.doi.org/10.37870/joqie.v2i2.99.

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RÉFORME. n. f. Rétablissement dans l'ordre, dans l'ancienne forme, ou dans une meilleure forme. Ces choses-là ont besoin de réforme, d'une réforme complète. Cela ne pourrait se faire que par une réforme générale. La réforme des institutions. La réforme des mœurs. La réforme du calendrier. On a fait de nombreuses réformes dans cette administration. RÉFORME se dit encore en parlant des Chevaux de la cavalerie, de l'artillerie, etc., qui ne sont pas ou qui ne sont plus en état de servir. Il y a eu dans ce régiment une réforme de vingt chevaux, qu'il a fallu remplacer. Un cheval de réforme. On dit de même : Du matériel en réforme. Dictionnaire de l’Académie française 8ème édition (1932) La langue française étonnera toujours : voilà deux sens pratiquement contradictoires du même réforme, vocable qui nous préoccupe depuis nombre d’années. La première entrée signifie, globalement, rétablissement dans l'ordre et rendre meilleur. Ce qui n’est pas la même chose, ou, plutôt pas le même cheminement pour obtenir la même chose : rétablir dans l’ordre est, dans une situation de pertinence pédagogique, l’équivalent de ce que j’ai appelé jusqu’à présent restaurer l’académique dans ses droits, spoliés par tant de pratiques informationnelles (au niveau de l’université) et paradigmatiques (au niveau de l’ensemble du système éducatif marocain). La deuxième entrée signifie rejeter ce qui a été jugé désormais inexploitable, dépassé ou forclos. On achève bien les chevaux ! Bien évidemment, la contradiction n’est qu’apparente, et le deuxième sens est pratiquement inclus au deuxième ; on ne réforme, on ne rend meilleur qu’en rejetant, tout ou partie de l’objet à réformer. Et il nous semble bien, comme pour l’Abbé de Saint-Pierre de d’Alembert que le système d’éducation et de formation, fait partie des «établissements les plus utiles [qui ont] besoin de réforme » telles ces « horloges qu’il faut de temps en temps nettoyer et remonter». Pourtant, si la raison lexicale, sur laquelle il me plaît souvent de fonder mes interventions[1], délimite quelque peu le cadre sémantique, elle demeure insuffisante à préciser clairement l’objet critique de mon propos. Réinventons un peu la roue. De l’intérieur du système éducatif[2] et de formation, réformer est un appel magistral d’une ‘’pause épistémologique’’, qui décide de modifier certains rapports au savoir selon les orientations suivantes : - L’actualité académique et épistémique dans la mesure où les contenus sont à la fois renouvelables à l’envie et objets ou supports de critique et d’innovation, - La pertinence méthodologique de ce rapport qui en validerait les dispositifs de production, de transmission et de réception ; dont la fonctionnalité (ou la caducité) de concepts et des moyens pédagogiques mis en œuvre ainsi que l’opportunité des compétences acquises en fonction des besoins sociétaux, humains et économiques à venir ; et, donc, - L’efficience de la formation, dans le souci de ne point gaspiller leur argent et leur temps aux bailleurs de fonds, à l’étudiant, aux employeurs et à la communauté. C’est dire que l’on entame pas une réforme, quand celle-ci engage des fonds lourds et des risques majeurs pour le devenir d’un pays, juste pour le plaisir d’adopter une nouvelle terminologie et la structuration qui en découle (ou qu’elle traduit ?). Celle-ci n’est pas qu’un habillage. Elle est une instrumentalisation conceptuelle qui, pour rétablir dans le droit et rendre meilleur, a dû s’assurer d’une conscience cognitive critique, donc d’un diagnostic fiable, qui, même en tenant compte des maqâmat (séances informelles) de l’opinion publique, doit formaliser cette dernière et la transcender, afin de décider de ce qui est à conserver ou à réformer du système objet de Réforme, tel que celle-ci pourrait se traduire dans le quotidien des professeurs, et dans les performances des établissements. La Réforme implique une nouvelle normalisation. Je voudrais dans les lignes qui suivent démontrer qu’en dépit de la richesse des tableaux, et des documents produits pour la Réforme et autour d’elle, l’on a oublié d’inscrire quelques garanties, dans la police de l’assurance qualité à l’Université.
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Zamith Cruz, Judite. "Marina. Lucchesi, Marco. Santo André (SP): Rua do Sabão, 2023". EccoS – Revista Científica, n.º 67 (18 de diciembre de 2023): e25392. http://dx.doi.org/10.5585/eccos.n67.25392.

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Jogo de espelhos e palavras Analogias duma beleza transitiva Foi entre “formigas e cupins”[1] que descobri e inventei por “ver” o que lia. Do jardim a casa, numa aprazível “distração”, li Marina (do latim, marinus, “marinho”). Se ia em busca de cupins, absorvi-me logo numa bela atividade intrínseca de “ler” a natureza humana. Os estados/processos emocionais deram-se ao meu sonho acordado, frente à lua cheia. Por contraste mínimo, o que acontece no sonho propriamente dito é antes uma não narrativa, uma dissociação não controlada, exibida a superfície de fundo inacessível[2], graciosa alternativa criativa à “associação de ideias”. “O sonho de uma sombra”, em Píndaro (522 – 443 a.C.)[3], foi a ofuscação da “verdade” nua e crua. O sonho e a fantasia permitem a estranha fragmentação da sequência do pensamento escorreito, quando se experiencie a realidade de All-Self (ser com tudo em redor). Um efeito é imaginarmos sermos nós aquela “estrela” e recategorizamos algo num “todos juntos”, “transitarmos”[4], sem fixação, encontrado “tudo em tudo”[5]. “Somos plurais”[6] e mutantes sem “coerência”. Colocado a par o ser e o não ser, dada a aparência de Marina, numa superfície lisa refletida, convoca à reflexão que muda, quando “… todos querem, buscam, sonham com você”[7]. Na afirmação do narrador, Celso, é partilhado o desejo de alguém ou dele com “você”. Num detalhe ora geral, ora específico, algo dela poderá ser comparável ou semelhante a outra coisa, uma analogia. No encalço dela, Marco Lucchesi acompanha-nos no “eterno retorno da leitura”[8], trocadas cartas entre Celso e Marina, na década de noventa do século passado[9]. “Rasgadas”, anos passados por ele, entendidas “inúteis e vazias”[10], tendo ela dirigido um e outro e-mail inúteis, para “confissões”, via ”correspondências”[11], em que culpas confessadas nem sejam alheias a “amores mortos”[12]. Anteriormente, Celso chegaria a procurar Marina em “mundos improváveis”. Em locais de sua casa, a falsa presença, inviável, “tão querida”… Possivelmente desejada, chega a ser atingido o paradoxo da perenidade da vida, no espaço exíguo, amor eterno. Marina encontra-se em quase tudo[13]: “Digamos: a) no terreno baldio das gavetas; b) na agenda que perdeu a validade; c) nas fotos inquietas de um álbum (andorinhas em queda: sem cola, pálidas ou saturadas); d) no velho sótão que não tenho.” Como se “pousássemos os pincéis”, em continuidade, o modelo analógico varia no tempo… O escritor acrescenta: “nosso passado é analógico”[14]. Celso escuta cantos, sons e silêncios (a música “dela”?), no aparelho de rádio analógico... “Analogia”, nas nuances de significado no dicionário, são uma entre outras. E dada a representação de um objeto assemelhar-se ao original, pode Marina ser “pintada” em eternas obras de arte. “Vejo-a”, no que vejo e no que leio: “Coroação da Virgem”, de Fra Angélico (1395 — 1455); “A Madona de San Sisto”, de Rafael (1483 — 1520) … Escolho logo a bela Gioventü, de Eliseu Visconti (1866 - 1944). Figura nº 1 – Óleo sobre tela, Gioventü, de Eliseu Visconti (1898) Fonte: https://en.wikipedia.org/wiki/Giovent%C3%B9 Mas é em Candido Portinari[15], numa obra de 1957 – “O menino com pássaro”, que a voz e ela… se me apagou. Seria recolhida e cuidada por aquele que a encontrasse. Figura nº 2 – Elemento de obra de Candido Portinari (1957) – O menino com pássaro Fonte: https://www.wikiart.org/en/candido-portinari/menino-com-p-ssaro-1957 Numa analogia, a figura oscila de forma contínua, entre passado e presente, imparável no tempo. Sem comparecer perante Celso, também ele num não-lugar se quedou[16]. Os seus braços, “irredentos do todo”[17], vivido um “como se…”, avançariam o distanciamento/estranheza[18] face ao espelhado “teatro de sentimentos”. Fora Marina ferida? Num “jogo de espelhos e palavras”[19], “escrevo por espelhos reticentes, com frases e lacunas movediças” …. “Estendo as mãos para o espelho…”[20]. “Refletida” a escrita em processo, encontro Lucchesi solto no outro. Nos seus termos, a palavra “espelho” dará lugar ao oculto no “jogo de espelho, analogias”[21]. Quando a reflexão teria ainda o Sol no “espelho”, o encontro de ambos jorrava luz. Perdida a década de oitenta, o que é dado, antecipado[22]? Novas luzes e sombras. Celso e Marina foram inicial “espelho de paixão”. Seguiu-se a brecha na paixão. Num salão espelhado da paixão de Nosso Senhor Jesus Cristo, em 1507, vejo uma figuração pintada por Hans Schäufelein. “Herodes” deu lugar à figuração doutros maus tempos, no “Espelho da Paixão” (Speculum Passionis). Cristo diante de Herodes, o malvado, que morreu com o Eclipse lunar. Num “reflexo“, o culpado, no julgamento em “Herodes”[23], convocara Cristo[24], um culpado. Eu sou o outro do outro eterno Eleia, às portas da atual Itália. Numa primeira estrofe de Poema, a expressão dum outro, Parménides (530 a.C. — 460 a.C.), para quem “deus” não foi gerado, existindo[25] ad eternum... A estaca foi colocada num limiar doutro lugar estranho, em Poema: “Aí se encontram as portas”. Talhada a via inovadora do caminhar, tendemos a cruzar linhagens para não nos perdermos. Nem tudo se desgasta e corrompe, com Parménides. No rumo incerto, outra conquista do explorador Ulisses[26], foi ter encontrado o retorno? Ulisses, Celso, Alice, Marina… Pierre e Natacha, Tristão e Isolda. No desencontro, Molly e Leopold ou Eurídice e Orfeu ... A ficarmos “aos pés da biblioteca”[27], a ler vidas nas figuras centrais, estas oferecem um recuo[28]. Abrem portas. Eternas personagens, nem todas juvenis. Celso, o narrador? Alguém que já teve um “matagal” de cabelo perdido, que “nasceu no coração [uma floresta, cabelos…] … com espinhos” - “O elogio da calvície” [29]. Outra personagem de Marina, Alice, foi um exemplo de ajuda, porto marítimo, seguro, onde atracar? Substitui, sem substituir Marina? Alice adotará, também ela, o enigmático porte de “Gioconda”, “a senhora Lisa, esposa de Giocondo”, representada por técnica do sfumato, de Da Vinci (1452 — 1519). Foi seu o “vaso”[30], que Celso amou - “vasos quebrados” [31]. Acresce que “Alice e o vira-lata branco” encontram-se ambos registados num “resumo” de carta[32], em união, bem juntos. Bem articulado no pensado é o que a carta diz e não diz. Mas quem será aquele outro vira latas? Marina ainda pede foto da outra – Alice[33]. Num e-mail registado: “Se puder [você, Celso], mande-me fotos ou vídeos de Alice. Tenho por ela um profundo afeto. Lembro-me de seu sorriso, ao piano”. Será verdade? Uma inquebrável lembrança de Celso, uma só vez, Marina tocara piano com ele, a quatro mãos[34]. Celso poderá ter reparado (n)o vaso, a dado passo. Pode ter tido outra imagem fixada à Alice, de então. Seria aquele vaso que “amava”, ou Alice[35], uma figura magnética? “Para fugir de mil perigos”, a quem não faltou Alice? Alice usou “ampolas e unguentos, magos e poções”[36]? Cuidadora, Alice, com Celso, representado nos rapazes com pássaros feridos[37]? Em suma, pareceria a Celso não existir punção operada ou poder maior, quando os relacionamentos morrem, ainda que os vasos sejam compostos de cacos que se colam: “Não posso reparar o irreparável”[38]. No entanto, Celso conhecia a técnica das peças coladas do Japão - a técnica do kintsugi[39]. Observou, até mesmo o outro vaso por si trazido com os gerânios, da sua antiga casa… “Distancia que se perde. Vaso que se encontra…”[40] Na ficção, a fiação tudo interliga “Vimos a fiação que tudo interliga. Semântica e sintaxe”[41]. Dos golpes de génio ficcional e da sangrenta História, Marco Lucchesi concebeu comparações, em que “mudam as guerras”[42] e as linguagens. Numa realidade de rapto, guerra e paixão, o poema épico transcende o amor passado que eterniza. Homero fundador da literatura ocidental, numa autêntica carnificina, a incerta “Guerra de Troia”, contou com Ájax[43] dentro do cavalo, dando guerra (infinita)[44] a Heitor, o destemido troiano, incapaz de lhe perfurar o escudo. A guerra teve que ser interrompida ao pôr do sol, intervindo Apolo. Do inicial “pomo de discórdia” entre deusas até aos feitos, nove anos passados em guerra, Ájax é “muralha”. A Ilíada evidencia que esmagou o escudo de Heitor, com uma só pedra. Quem sabe se Celso seria uma barreira inexpugnável, de tão “glacial”[45], que se tornou? Numa contenda, para o romance histórico, de 1865 e 1869, Liev Tolstói cruzou aqueles que se amaram, na passagem do Grande Cometa, em 1811: na invasão napoleónica, em 1812, a personagem recorrente, Pierre encontra-se com a bela Natacha, aparentemente apaixonada por Boris, amada por Denisov. Como foi possível a “guerra sem paz”[46]? Celso e Marina viveram dessa “Guerra de quase e talvez”[47], no que foi a “guerra que nos mata”[48]. Lendários amores infelizes e apaixonados, trágicos, na bárbara Idade Média (século V a século XV)? Tristão («tristeza») e Isolda (“das mãos de fada”)[49]. E o Rei Marcos que a perdeu[50]. Guerras nos ensaios não-ficcionais e nas ficções. Já a estranha paixão da cantora Molly e Leopold termina com o “sim” dela, apenas num solilóquio. O corpo de Molly – no livro de James Joyce - seria “sensual”[51], no que ressalta o “incêndio” interior. Divergências? Foi numa dada “tarde”, vinte anos passados, que a caixa eletrónica de Celso recebe um primeiro e-mail de Marina. Iria acabar com a guerra entre ambos. Não parece de comparar com a ficção? Marina e Celso encontrar-se-iam no fim da “guerra fria”[52], em data marcada pela queda do muro de Berlim, 9 de novembro de 1989. Numa Rádio Londres, com “mensagem de Inglaterra aos aliados”, durante a longínqua Segunda Guerra Mundial, ele passava a escutar outra transmissão no rádio bem comum, no sistema analógico. Um sinal da mensagem dela, vulgar. Metáforas básicas da descrição do real Quando se coloque uma figura de estilo, cujos sentidos figurados utilizem comparações como a “metáfora do corpo em lua cheia”[53], é a Lua “tão nua e desarmada a vaporosa Lua”. A pessoa é então toda inteira, se bem que a Lua seja fragmentada noutra fase lunar. Damo-nos a facetas diversas, também. E a não ser a transição de fase a mesma daquela grande lua, Marco Lucchesi ainda afrontou a perda irreparável de parte dela, por Celso, num desaforo: “se você esperava tapetes e fanfarras, perdeu a viagem. Abandonei a timidez, digo o que penso, e sem rodeios.”[54] Dada a acentuada guerra entre Celso e Marina, ao referencial “real”, preferi antes juntar à lua a palavra “viagem” e a palavra “mundo”, no que coloco mais do que o que (a)parece – numa alegoria. Assim, na minha perceção subjetiva, uma fenomenologia, ocorreu algo mais a aprofundar. Nessa viragem, limito mais do que o que se me abra à fixação de “guerra”, quando se sucedam figuras de estilo, no livro[55]. Num jogo de linguagem, retiro a desafogada imagem concreta: o passeio na praia, junto da Cinelândia e o que faço? No termo metafórico duma “psicologia de viagem-vida”, encontro logo ali o figurativo, portanto, com os rodeios à casa velha de Celso, com os eventos no trânsito, com as margens do mar face à praia. Meios mundos são a frente “subaquático”[56] e outros territórios e sítios. Poderia convocar imensos espaços de transição, imaginando[57] além de um “mundo submarino”[58]. Lucchesi tantas vezes observa “estrelas”, algumas “estrelas não promissoras”[59]… Voltando ao avesso, na Terra, à “viagem à roda do piano e do quarto”[60], essas são breves viagens e têm fim. Contudo, é dada à incompletude a infinita “viagem à roda dos teus olhos, punhado de beleza, informe, passageira”[61]. Numa estranha viagem de recuo (na revirada do avesso), focada uma “correspondência” sem troca, é de antemão inviabilizado o “sim” e a chegada a bom porto[62]? Da presença na ausência de Marina: tempo de sonho e pesadelo Como “resumir” os “20 anos”[63] de afastamento? Um desapego de “dez mil dias”, após o “terremoto”. “Dez mil dias” sem se falarem? Pretendo dar forma ao texto, quando pense que uma correspondência convencionada abranja reciprocidade e presença, ainda que evitada a “literatice”[64] e o “episódico”. Não “agradará” ao narrador contar das cartas, para se livrar efetivamente delas. Ameaça que irá “destruí-las”. Celso foi intempestivo, aquando do primeiro e-mail de Marina[65], após aqueles vinte anos de alheamento dela… O livro Marina reproduz a reduzida “novela”[66] de singelas cartas e e-mails. Passado o texto a pente fino, no segundo e-mail de Celso, este redige uma desculpa: “Perdi tudo, não sei como. Preciso de um novo computador. Como se não bastassem formigas e cupins. Obstinado, insisto e recupero apenas uma parte”[67]. Numa convencional “não-narrativa”, coloco a tónica na congruência e na intencional, quando seja a “dissonância”[68] desarmante de “lirismos”. Alcançada a agressividade, a crítica mordaz, a sagacidade e o ardil… Frente ao quebra-cabeças, pede-se abertura (de espírito), quando se leia o “romance de ideias”, no pensamento do ser (em Parménides e Heidegger). Na dimensão emocional, a obra de resiliência traz-me a consciência da artificialidade da ficção. Cubro de culpas a protagonista Marina. Coloco logo a poção de amor viático, um mantimento para sustento num “líquido destino”[69]. Logo passa a parecer-me que “essa viagem nunca termina”[70], numa entusiástica volta no carrocel do mundo, num “eterno retorno”[71]. Essa segunda vez que é nomeado o eterno, dá-me esperança, ainda que Celso assuma: … “não quero este destino circular”. ~ E eu quero! Se o “nosso encontro não estava escrito [no destino] … Não houve um deus a decidir nosso destino, nem brilho de uma estrela promissora. Deixámos simplesmente de escrevê-lo [ao destino]”[72]. Escrevamos o que desejemos, então, por linhas tortas. Há ocasiões, em que um sonho se repete e elucida algo[73]… As produções estéticas de artistas foram os produtos de imaginações, ainda que acreditassem ser ajudados pelo diabo, por um santo ou pelo próprio sonho avassalador e as visões enigmáticas. Giuseppe Tartini (1692 - 1770), William Blake (1757 - 1827) ou o cavaleiro Adolf von Menzel (1815 - 1905) são exemplos elucidativos do pensamento mágico dominante, nos séculos XVIII e XIX. Há quase 100 anos, o psicanalista Carl Jung[74] escreveu o seguinte, com um sentido determinista do sonho: “uma experiência anómala, que não é compreendida permanece uma mera ocorrência; compreendida torna-se uma experiência [humana excecional] vivida”. Uma característica desse tipo de experiências únicas é serem inefáveis, mal descritas. Inefáveis ilações, na sombra que vira a luz? Posso recuar atrás, ao sonho e ao tempo de Píndaro[75]. O que alcançou aquele da Verdade, quando viveu entre 522 e 443 antes da nossa era? Com Píndaro, ficou assente que “[no humano] sonho é uma sombra”. Assim colocado, “sombra” opõe-se a brilho, a luz, quando a “verdade” seja ofuscada, esboroada na obscuridade. E na medida em que seja ausente um sentido puro para as palavras, damo-nos a alegorias, a metáforas, da “transparência” da palavra, da luz ao sábio recuo paradoxal. Possa o sonho ser “iluminação”, tal Marina, duma “beleza transitiva”[76], entre as luas cheias. Marina conforma aquilo[77], o deslocado pela sombra, quando fuja a juventude, na transitória impermanência. Que espelho da “verdade”? Logo na primeira configuração, se o par não foi (ou foi?) um “espelho inverso”[78], Marina chega a ser retratada no vidro fosco, na “transformação [dela] num espelho”[79]– “uma Gioconda cheia de segredos”, representada pelo impressionista Eliseu Visconti, em Gioventü. Indecidíveis formatos. Como abordar palavras guardadas num “poço” que, a ser “raso”[80], sempre igual e espalmado, lembra o “infinito” do “abismo (líquido)”[81], entre duas pessoas que “comunicam”[82]? 2 Analise textual de marina O método de analisar textos “Coerência” traduz a ideia, cunhada pelo psicoterapeuta Carl Rogers (1902 – 1987), em que o participante apresente um relato de experiência bem estruturada - lógica, a faceta cognitiva e interpretativa, uma significação de peso na experiência “arrumada”. Na narrativa literária, a noção de “coerência” coloca-se, no antigo Dicionário de teoria da narrativa[83]: “texto como unidade no processo comunicativo, resultante de intenções e estratégias comunicativas específicas, ele é também um texto semanticamente coerente... elementos recorrentes… não integralmente redundante… progressão de informação no interior de um texto … na ‘enciclopédia’ do recetor”[84]. Na nova literatura, Marina alude o “vórtice” do redemoinho amoroso de Celso e Marina, o forte movimento do “terramoto” bem rápido, cruzado com a empolgante sonoridade das bravas ondas. Marina retém uma imensa fluidez, em torno dum eixo fixado ao vórtice entre ambos. Sorvida a voragem sentimental no turbilhão do mar, noutra asserção a “vórtice” – um turbilhão, o fenómeno “incoerente” trespassa a vitalidade dos movimentos guerreiros de “homens”, nos tempos atuais. Onde encontrar uma “secreta harmonia”[85]? Em mulheres, no desaguisado com homens? “Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado”[86]. Seremos bem menos coerentes do que se pensou, tanto mulheres quanto homens. Todos nós, humanos, somos sujeitos de analogias. Com o “corpo inelutável”[87] de Marina, que foi o “corpo em fuga” e se encontra ao lado do seu, Celso é já do outro lado. Seja que suba ele à Tocata e Fuga em ré menor, de Bach[88]? A inconsistência é presente na ausência de outrem. Outra mexida foi dada ao mundo amoroso, com as híbridas histórias-ficções, realidades e alternativas. Na alternativa ao modo de organização de “identidade do ‘eu’ estacionário”, sem fluidez de maior, teríamos a fixação eterna. Um risco pode ser nem encararmos a vida sujeita a contingências/acasos – o sem ganhar folgo, “… e, de repente… o sobressalto”. Em Marina, o leitor transcende o sabido (ontológico) e o instituído “romance”, o que não pressupõe que todos os planos sejam antecipadamente traçados. Não sabemos se Marina nos deixou. Ela foi a “glória de um destino”[89]? Um famigerado destino? Um Deus não decide do destino do par amoroso[90]. “Desconheço a direção [do futuro, indeterminado]. Soubesse de uma senha [mágica, um código … e o controlaria Celso. No fluxo permanente de mudança, já o passado e o devir são escapes [na aparente “fuga”], uma “disfunção” no presente [na fantasia inviável]. Porque não viver o aqui-e-agora? Amplificado o tempo, a “hipertrofia…”, é inviável a luta interior, “contra a qual luta o presente”[91]. “Deu-se por fim a glória de um destino. Porque, Marina, os relógios não morrem”[92]. “O vento segue os rumos do destino [ou da predisposição de sorte]”[93], tão mais improvável do que a precisão do tempo dos relógios. Abordagem narrativa na psicologia Numa aproximação literária, na psicologia narrativa, “as personagens são os elementos permanentes que sustentam o desenrolar do enredo”[94]. Nem as personagens fogem, nem restam fragmentadas, na “transparência da voz”[95]. Quem fale no esqueleto narrativo, pensa em episódios de um “guião” (scripts) identitário ou coletivo e, para a “narrativa de perda”, em Celso, congrega-se uma “organização de significado”, no que dê conta de mudanças dessa organização afetiva e psicológica, tão frequente e intensa de privação, podendo tornar-se duradoura ou reatar uma mera ocorrência súbita. O presente texto sobre Marina apresenta “fenómenos” talhados. Dito de outro modo, dá corpo a “ideias centrais, ao happening, ao incidente em torno do qual um conjunto de ações e de interações são dirigidas, com vista a serem reconhecidas, geridas e integradas, ou com as quais um conjunto de ações se relaciona”[96]. Numa forma de encontrar e descobrir ocorrências, farei um parêntesis para o que sabemos de um autor. Na sua suspensão de ideias feitas, como nos “lugares comuns”, nos “hiatos” e nos “silêncios”, o que “lemos” nos não ditos, sem um código? Para o efeito enredado, temos a ajuda de comparações constantes, numa “codificação aberta” do texto. Utilizam-se atributos/características para as palavras todas inteiras e para a variabilidade de significados não ficar de fora. E as “palavras (sem) envelope”, plenas de pregnância e fugidias, impõem afundar numa rigorosa análise linha-a-linha. Haverá ainda que conceber dimensões gerais, para “linhas-da-história”, duma ou doutra mini narrativa ou história, em Marina, o “tempo eterno” e o imparável “relógio dos ponteiros”; a vida e a morte; a terra e o mar, a nuvem e a pedra, o fogo do amor e as suas cinzas… Ao “questionar” os dados/textos, no aprofundamento que se justifica, efetuam-se as aludidas “comparações constantes entre fenómenos”. Da projeção, da narrativa e do episódio Em Marina, identificam-se esparsas narrativas míticas, nas guerras e nos amores. No amor, o “projetado” Orfeu[97] chega a parecer ser Celso, na sua ânsia de que Marina não morra …[98]. Celso poder-se-á sentir, noutra volta, um Marcus[99], chegando tarde, perdida Isolda, amante de Tristão[100]. “Pobre rei Marcos. Tão tarde descobriu o desamor”[101]. Marina não é escrito na primeira pessoa, autorreferenciada. Discriminada a faceta “projetiva” (ex.: uma pessoa não específica ou segunda pessoa, outros, alguém de quem se fala ou escreve): Marina ou Alice descobrem-se entre uma “Gioconda cheia de segredos”, uma Molly, o “verbo infinito”, na “voz” da cantora. Um eco repetido da voz dela, Marina. O narrador e Marina “nadam no monólogo de Molly”[102]. É preciso dizer que “não sei até que ponto lembro da tua voz [Marina]”[103]. Dito de outro modo, Celso mal se recorda do que Marina “disse/diz”, repetidamente. Falhou a voz e “deixou de dizer”[104]. Por seu lado, os episódios reais reportam-se às mínimas ações/interações, as quais podem ser relatos de experiências significativas, por vezes truncadas nas premissas, donde a maior ou menor coerência lógica ou consistência lógica. Quando as palavras chegam a mudar de estado, digamos, aluadas, tornam-se “líquidas, turvas, transparentes”[105]. Passam palavras estranhas pela fluência de selves (“múltiplos eus”, mentais e subjetivos), transformações identitárias. Apreender-se-ão coerências doutros implícitos, aspetos tácitos e inaudíveis da daqui e dali. Narrativa episódica A partir dos fenómenos esparsos, no grosso volume da vida, alcançamos registos de realizações pessoais e dos impedimentos, destinos e acasos, sortes e desaires. Foi a partir dessas constatações que distingui os fenómenos de meros episódios, nas narrativas/histórias, que lembram “todo o texto mostrar de forma holística as cognições e os processos emocionais do autor”[106]. O que se designou de plot (na língua inglesa) para um “episódio”, portanto, vai de encontro à narrativa, ao deparar-se o leitor com uma sequência de eventos ao longo do tempo (“sucessão”), para um “texto”[107], mesmo no mínimo “enredo”[108]. Na forma bem estruturada, visou-se o elemento sequencial e dinâmico, na literatura (na lógica, “gramática” ou “sintaxe”), considerado o episódio o “único esqueleto indispensável” e “menos variável”[109]. A variabilidade de Marina encontra-se nas intercaladas unidades de significado/segmentos de tópico, nas breves temáticas, as quais identificam a substituição de conteúdos, nos registos escritos por Celso. Acresce haver processos narrativos de vários modos evidenciados, no sentir, no experienciar e no pensar: a “descrição externa/concreta de acontecimentos de vida (atuais ou imaginados / passados, presentes ou futuros); a “descrição interna experiencial” (subjetiva), de episódios/narrativas, com a identificação verbal de “reações afetivas e/ou estados emocionais” (ex.: “triste”, “zangado”, “frustrada”, etc.); e a “análise reflexiva/interpretativa da descrição de eventos e/ou da experiência subjetiva, sendo os eventos presentes, passados ou futuros”[110]. No primeiro domínio narrativo, a ênfase no sentir alcança menor complexidade do que o experienciar (interno) e o refletir/pensar. Episódios mínimos Após o desenlace por afastamento, surge um episódio elaborado quase no final do livro. Possui a tónica na conduta de Celso, antes da adesão ao refletido, somente após a imersão interior num quadro e num cenário: Episódio - Título Promessa de calor na aflição dela: “Antes do amanhecer, sacudo meus ossos na areia. O mundo frio no vapor das ondas [do mar], enquanto o sol desponta, bem depois, nas rochas que me vedam o horizonte [limite]. Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado. Não sei até que ponto lembro tua voz. Tudo que diz e deixa de dizer [adiante, eco repetido]. O modo, sobretudo a transparência da voz. Como o menino e o pássaro de Portinari. Te vejo, assim, ferida, a proteger-te. Promessa de calor. Será difícil atravessar a noite (p. 91). Registei outros episódios relatados, com mais de “vinte anos”, exceto o primeiro, possivelmente mais recente: (1) Aflições de Celso no mar[111]; (2) Celso e Marina nadaram no mar e, sentir-se-iam “alegres”, possivelmente ao saírem para a praia[112]; (3) “Mística do encontro” de dois “tímidos” (“dissemos algo escasso, imponderável ... o clima, as gentes, a história”)[113]; e (4) Aludidos passeios de bicicleta[114]. Na narrativa criam-se então replays de experiência, quando se atenda ao “eu” subjetivo frente ao quotidiano, a rituais e a “inéditos”, como nos encontros a dois. Somente o episódio de Celso sozinho e aflito no mar não correu bem. Será invencível o revolto mar e a doença de coração: “… ao dorso da onda fria, apressa o coração”[115]. E se é tremendo o risco de morte no mar bravo, não é impossível lutar a dois contra o tempestuoso. O que nem quer dizer deixar de ter mão para apagar aquela ou outra terrível imagem recordada. Afinal, qualquer um sonha com “você”[116]. Ora aquele primeiro “episódio de ‘sonho’”, mas pavoroso, é ilustrativo do mundo irreal, na forma “narrativa”[117]: “um belo dia quase me fui na onda[118] de seis metros. Eu me livrei a muito custo. Um sonho breve que o sal interrompeu. Vantagem provisória...” é acordar. Já o fustigou o voraz turbilhão real da ameaça e perigo no medo da morte dela, quando volte a passar ao mar… Deixar de ser, naquela praia – que “quase levou” Marina … e que é a mesma praia, que “seduz” o narrador[119]. O perigo de afogar-se na praia é real e irreal. Anotei ilações, decorrentes interpretações do texto, nas expressões do autor: (1) Risco frente ao mar[120]; (2) Juventude, em que se possa morrer com alegria[121]; (3) Encontros, fruto de “um milagre matemático… acaso e o seu mistério”[122]; e (4) A bicicleta que “morreu”[123]? A bicicleta? Um indicador do encontro com Marina: “Passeio de bicicleta. Voa o vestido azul. Essa viagem nunca termina”[124]. Noutra apropriação do contexto, o par poderia [ver] “baleias”, ao longe, “delicadas” [125], quando iam pedalando na “bicicleta” … Num contrassenso forjado na comparação, a bicicleta dele era um “cavalo”[126]? Antes dela “morrer”[127], melhor dito, “enferrujar”[128]. Na transição de pensamentos, afetos à morte: “Não há resumo para a última carta. Porque esta é uma carta definitiva. Porque se trata da morte de Marina”[129]. E adiante: “Imploro, Marina, que não morras antes de morrer”[130]. Ficaria ela sem maior sentido de vida? A viragem de alegre “surpresa” chegou a ser concebida, numa anterior “carta destroçada”, restos do que ficou dentro do “caderno escolar” e “cujos pedaços recomponho num mosaico bizantino”[131]: “Carta de amor (desesperado) que rasguei: “...pousa nos lábios uma estrela... secreta harmonia... deserto amanhecer... teu corpo inelutável... lagoa iluminada e seios úmidos... bosque sutil... pequena morte... jogo de espelhos e palavras... teu rosto desenhado no meu peito... à mesa um copo de absinto... duas palavras e voltamos a dormir... infame precipício...” (p. 86). Os procedimentos de análise de experiências são guias de leitura, no que prendem o elucidado “desespero”, o isolamento e o limitado prazer de Celso, quando a vida pudesse afigurar-se um pesado fardo, irado contra Marina, contra o violento mar, o amor eterno… A súmula de alegria - a “surpresa” … Num resumo analítico[132], estabelecem-se relações entre um fenómeno, no sentido da conceção de um episódio. Donde, uma ilustração de seis fatores envolvidos, no episódio Promessa de calor na aflição dela[133]: - Condições causais antecedentes, para a ocorrência reportada (antes do amanhecer, já levantado Celso da areia da praia onde dormiu, ao despontar do sol); - Fenómeno per se (“sacudidos ossos” ao sol, no limite do ser, entre eternas rochas, com a ausência de Marina); - Contexto (a praia junto ao mar ensoleirado); - Estratégias somente idealizadas de ação interativa (ser tomada Marina por indefesa a proteger, no que Celso escreve da sua possibilidade de “ajuda”); - Condições intervenientes (quadro “menino com pássaro” de Portinari…), - O que constrange ou facilita o incidente/fenómeno (recordações de encontros com Marina, num local partilhado e o fenómeno de imaginar um quadro) e - Condições consequentes (a dificuldade de continuar pela noite, sem a presença de Marina e a fixada promessa de calor humano). Nessa leitura duma abstração da experiência, um episódio pode ser idealmente estruturado, se bem que escapem as estratégias de ação interativa. Noutra margem encontram-se a filosofia (de Parménides e Heidegger), o jogo com textos míticos (Ájaz, Rei Marcus…). No “romance de ideias” de Marco Lucchesi, são vastos os domínios de conhecimento. Com o autor aprendi que, ao não aceder a “coisas em si”, tenho as coisas para mim e, talvez, nos apareçam amores e guerras, por prismas do entendimento e da sensibilidade. Dos fenómenos - as aparências - “O que sei?” No quotidiano, sei que vivemos de forma a criarmos conexões entre inauditos episódios, flashbacks, substituições de interesses/temáticas nem buscadas, redundâncias e omissões (como “lacunas de memória”), numa apreensão do que nisso assuma perene “relevância”. O núcleo duro, o “essencial”[134], segundo o autor? “Perdemos as palavras essenciais”[135]. Perdemos “baleias” naquele mar alto, enferrujaram-se as “bicicletas” e desapareceu o “corpo feminino em fuga”[136]. As cartas dizem muito “mais do que parece”[137]. 3 Do mundo poético “Tornei-me um leitor de Parmênides”[138] e de Heidegger No mundo eterno, Parménides colocou o “motor imóvel” do tempo, o “livre-arbítrio”[139], o “cálculo integral”[140] … “causa e concausa”[141] … “tudo em tudo”[142]… Bastará “puxarmos o fio…”[143]? Numa passagem paradoxal da breve (?) “novela”[144], logo vemos como “tudo muda” no (des)encontro, a par de “rádios, guerras, amores”[145]. Não há confissão, não há reparação, na “narrativa não projetiva”. As “narrativas” antes partem dela[146], nos “lugares comuns”[147], registados nas mensagens. O que procura despertar Celso? “A voz de quem morreu, não as histórias”[148]. Bastaria o alcance da superfície, na “voz” dela[149]… No início de Marina, nem se espera a finalização do encontro. Não é desejado o fim do amor. Um mal irremediável. Terá morrido? Obra de “criatividade” dissonante face a espectativas de cartas de amor, Marco Lucchesi coloca-nos a margem de manobra, uma deriva, mudado Celso em permanência e, nesse sentido, as suas posições emocionais básicas são sublevadas e revoltosas, sublimadas, substituídas. Existentia, como a explicitar? Quando numa página inicial, não numerada, o autor nomeia um filósofo italiano, Emanuele Severino (1929 - 2020), que escreveu sobre Martin Heidegger, que exploração de fenómenos “metafísicos”? Martin Heidegger[150], de que trata? Li algures que Heidegger se interessou por “atualidade, realidade, em oposição a possibilidade concebida como ideia”. Ser é a totalidade do que existe. “Aí onde está cada um de nós” - da sein, seria o lugar da nossa presença, duplicada pela sombra da subjetividade. Subjetividade é o vivido que torna algo maior, quanto dá à presença novas formas afetivo-cognitivas. Mundos universais musicais Tenho aquela “vontade” de mudar o passado[151] e de criar uma ideia prospetiva de florescimento. Do mito de amor a Marina, nem estranho virem três damas dar uma flauta a um príncipe, Tamino, que buscará a sua amada. A harmonia da música condensa o “universal”, atingidos géneros e variadas “vozes” trocadas, na “Flauta Mágica”, de Mozart (1756 – 1791). O poder unificador da música é uma metáfora para o príncipe neutralizar o mal. Outra das óperas que acompanham Celso? A ópera de Verdi (1813 – 1901)? Recuo, à procura de La forza del destino, de 1862, cantado por Galina Gorchakova. Será que soubemos escutar o ciciado na voz da atualidade e o que nem se abra ao previsível, no acaso, sem destino[152]? Vozes pessoais de visionários? Na aparência, as palavras são soltas numa poéticas. Meia página abala o leitor. Meia página, umas quantas linhas de “voz”[153] , “voz marinha”, vinda do mar, submarina. Marina. Na “poética da dissonância”, fica aberta a superfície ao “espaço descontínuo”, criado por Lucchesi para ela[154]. A inatingível voz dela? Não sabemos. Na aceção do termo “fragmento”, Heidegger sublinharia essa origem deslocada de textos únicos e incompletos, que deixam espaço por concretizar. Escritores como Lucchesi, coligindo fragmentos, escapam às “correntes literárias”, “movimentos identitários” e “evidências” repetidas. Um significado de recusa de continuidade no vestígio escrito, fragmentado, foi adquirido no mar, que não é terra firme. Todavia, com “intencionalidade”[155] na voz, “nunca poderemos deixar o mundo, o que nunca deixámos”[156], o mundo terreno. Numa particular fenomenologia[157], poder-se-á conceber a “suspensão de julgá-lo”. Como não julgar o mundo do pensamento oblíquo, da metafísica passada? Ficando pela rama, na área concreta, terrena (não marítima, à beira mar, o que “sobrenada” ...). No que importa, não estamos nós fora de água? É de todo difícil alcançar maneira de arrancar o “pensamento de superfície”, também a superfície da página de Marina encante, pela superfície que cobre os reflexos incessantes, os jogos de reflexos, como ilusões e evasões, que surgem e desaparecem. Se não for atingido o que aparece antes do fundo das letras, ficamos aquém de imergir: foi muito antes que Parménides e Heidegger viveram. É preciso dizer que a superfície não se confunde com a aparência - a realidade energética, a dança terreste, da vida dançante[158]. A máscara de Marina já arrasta a ilusão do que aflora (a superfície) – a “transparência da voz”[159]. Esconde-se ela algures, no “re-dobrar” do seu ser[160]. A sua aparência causar-me-ia a diligência em “lê-la” a preceito. A voltar a Parménides e Heidegger, a profundidade[161] do livro dá antes a explorar o ser e as coisas[162], ao invés da superfície (mas com a superfície), a sua luminosidade. Quando a metáfora da luz (do dia, do Sol, da Lua promissora do brilho dos olhos verdes…) não encontra um reino perdido que persiga o ser, quantas ideias ficam subterradas e obscuras ao leitor? Foi a partir daquele ilusório mundo de reflexos (a superfície), que alcancei a incerta profundidade. Será o outro mundo (“marinho”) contrastado ao ilusório da realidade e ainda aquele outro mundo perdura, mutável e instável, matizado de cor intensa e de brilho ténue de águas passadas. Quanto ao retorno à superfície, ao aparecer, no emergir de novo, volta a agitação do mar emocional, que se ressente, no que permanece do eterno esvaziamento. Ficou um poço vazio daquele outro momento de amor ou do que dele reste nas rochas imutáveis. “Tenho por ela um profundo afeto. Lembro-me de seu sorriso, ao piano”[163]. Quando “aparecer é um compromisso metafísico”? A “metafísica” foi além de physis. Cientistas designam a metafísica de “especulação” de ideias, tantas vezes incertas, com que se debatam. O que se entende por “real” é, nesse segundo sentido, o que ultrapassa a “realidade” que conhecemos por perceção (inter)subjetiva. O real é um referencial profundo[164]e infinito; a realidade é o que conhecemos ou julgamos conhecer. Numa mediação poética para a metafísica, “aparecer” situa a presença original no mundo do ser, sendo que o mundo adote a incerteza na errância (e na morada no novo mundo). ~ Quanto “aparecer” vive acima da superfície e da aparência das coisas, é o ser que reflete um inóspito caminho de linguagem reflexiva, aproximativa e assintótica[165]. No ato de escrever, Marco Lucchesi delineou-me a possibilidade de especulação, a liberdade crítica e a ironia, abertas portas à metafísica fenomenológica. O existir em processo trouxera-me antes outros saberes e, nos espaços do mundo daqui, foi indicada a deslocação para a saída de “ex-” (em “existir”). Entretanto, aprendi que existir alcança o sentido de “pôr-se de pé”, de acordo com a etimologia. Num apelo a erguer-se (pondo-se de pé), já o próprio ser permanece em lugar recôndito, na condição de vir a aliar o desvelamento do ente – objeto, coisa, um ser, Marina... Outros “reivindicam” para si o “estar-aí” (da-sein), dito que todos “querem, buscam, sonham com você” [Marina], um corpo no que não “fuja”[166], na errância noturna. Consequência da fuga da luz? Será ela dada a “despertar” outra, a emergente Marina de Celso? Encontra-se ela ausente, no que seria de voltar a abordar a limpidez, a superfície, a “transparência”[167] da constelação “prometida” de dois seres. Uma forma de profundidade incompleta. Numa lúcida forma de escrita, patamar de sonho lúcido, Celso encontra-se em guarda. O narrador não deseja “despertar [vidas escritas]” … Talvez busque tão somente a “voz” dela, naquele eco, em que ressoa a limpidez, alcançará outra “voz”. A quem dar “voz”? A Molly, no seu solilóquio, na primeira pessoa[168]. Molly, uma inigualável cantora de ópera; Marina, de que nem sabe Celso se se lembra… da voz, dada à imagem fugidia na melodia, ao piano[169]. O que passou não se encravou. No ser em mudança, serão cristalizadas mínimas recordações, rareando “o caminho da verdade”[170], sem saída (uma aporia) tantas vezes paradoxal. Guerras dos mundos de ideias As ideias “verdadeiras” e as guerras de “opiniões” não se consolidam, nas correntes do paradoxo. Conjugam batalhas sem fim: Parménides e Zenão vs. Platão; Nicolau de Cusa vs. os que não cooperavam… Numa oposição ao seu tempo, questão cerrada e a descoberto, foi a permanência e a transformação. Parménides reteve a pura permanência, unilateral. Exigente na “ponderação”, Platão (428/427 – 348/347 a.C.) dedicou-lhe um diálogo inteiro - Parménides, em que Sócrates levou uma revisão verbal dum oponente, Zenão de Eleia (século V a.C.), para o efeito de inquirir o sentido do Uno, cujas “absurdas consequências seguem (ou não seguem?) em contradição com a referida doutrina”[171]. E se o ser é múltiplo? “Parménides”, um arauto da “revolução”? Esse é um ponto de um “resumo” do livro. Sendo que o germe da destruição estivesse plantado[172], que revisões foram geradas, a propósito das suas ideias? O que queriam mostrar os eleatas, com Zenão adiante das forças, o arauto da geometria e dos estranhos números, o infinito e o zero? Uma revolução, no conceito de tempo: fluxo constante e deixa de haver presente? O paradoxo de Zenão assinala o contrário à opinião recebida e comum, para o tempo virar uma sequência de mínimos momentos separados, donde vivermos o presente e a mudança ser ilusão. Quanto ao espaço? Sendo uno, não dá condições a haver “lugar” e “aqui”. No espaço fragmentado só há “aqui”, ausente o movimento. A revolução tem sentido no paradoxo, forjadas inesperadas dissensões. “Mudam [os tempos e] as guerras”[173]. No século XV, novo sobressalto. Gerador de ódios por contemporâneos, Nicolau de Cusa (1401 – 1464) alarmou muitos, pelo acento na compatibilidade entre extremos. Encarou a conjetura de “opostos”[174], dicotomizado o mundo por valores antagónicos, quando se creia num ponto de vista considerado válido. Nova batalha. Era Napoleónica, em França e na Europa, no ano VIII (ou, no calendário vigente, datado a 9 de novembro de 1799). Contrastaram adesões e oposições a Napoleão, herói e anti-herói, arrebatado o poder no golpe “18 do Brumário”[175]. As mudanças foram inquestionáveis, com a chefia e as saradas guerras. A guerra entre Marina e Celso não foi uma constante, também não persistiu. No foco da maior peleja, a distância a Marina[176] antecedeu outra circunstância: o entendimento de “como [Celso] se vê”[177]. Num “sinal de transição, de deslocamento”[178], veio de Celso a afirmação séria, numa trégua consigo mesmo: “já não habito na distância”[179]. Anteriormente, despedir-se-ia dela, como um Catulo[180], numa linguagem coloquial, sem intensidade e sem profundidade maior… Poderia estar a recuperar o “habitar”, junto dela. Existirem compatibilizados, nas suas oposições, requer o significado: “habitar”. Talvez se encontre algures, na linguagem. Para “morar”, fica bem longínqua a raiz etimológica, no sânscrito - vatami -, cujo termo alemão é wesen. Dir-se-ia que Celso possa já “estar-aí” (da-sein)[181]. No seu lugar - aí -, à fluência não lhe faltará diferença. Como expor uma diferença melhor do que com o ruído feito pelas diferenças da fala e do canto de Celso e Marina? Revejo a aliança, a separação, o que nem quer significar uma divisão de opostos. Há uma distinção nas “vozes”, para um sistema caótico, em várias escalas de linguagens. A organização de mundos No século XXI, em 2023, há ordem para parar e avançar no terreno do ser. “Há mais de dois milénios…”. Heidegger[182] introduziu essa conjetura perdurante[183], nas primeiras palavras de Ser e Tempo. Fora há muito “esquecido” o que surgira em Parménides, uma abstração – Poema – “onde se encontra o ser e o ente”? Ente pode ser objeto, coisa, ser … E o ser é o mais próximo do ser humano, sem que seja “um Deus ou um fundamento do mundo”[184]. Não existe um ente sem um ser. Acresce perguntar: “o que significa pensar?”[185]. Pensa-se em alguém, um ser, enquanto as guerras matam pessoas. Desde que a nossa imaginação pejou o mundo de deuses, entre ninfas, dragões ou quimeras, foi feita a equação, pelo menos: esquecido o humano. Não neutro, mas esclarecido, Heidegger rebelou-se contra ter sido minada essa incógnita do mundo – o ser, o guardião da questão[186]. Colocado o tão saliente à parte (o ser) e juntas as palavras a ideais, “ordenaram-se” melhor as coisas. Nessa incessante transformação, contra as utopias, foram cometidas “supressões” de coisas, acrescentos de quimeras, os “suplementos”, esquecidas possíveis “deformações”[187]. Aguardado o alvorecer da modernidade líquida, após a linha humanista dos anos sessenta do século passado, ainda seria antecipado o outro tempo do ser frágil, das diferenças e vulnerabilidades acrescidas. Vemos superada a razão não linear, o princípio da não-contradição[188], a alinhar o excluído. Arrastamos até mesmo para a paz a “coincidência de opostos”[189]. No reiterado pensamento ímpar de Lucchesi, um visionário de saberes ontológicos, preside o ser humano que é pensado, dito que ser e não ser não sejam iguais. Os seus conhecimentos são buscados entre um que é muitos[190]: ser e não ser e “ser de todo o ser”, na expressão de Giordano Bruno (1548 – 1600). Ruínas e salvação Um genial revolucionário, Giordano Bruno, foi o que retomara o ser, em On the infinite universe and worlds (“Sobre o infinito, o universo e os mundos”). Recordado num post scriptum[191], o opositor, Bruno, foi morto. Para mais escrevera “A ceia das cinzas”[192], em gritante contraste com o fogo da paixão. Deu-se ao desfecho inolvidável, à morte horrenda, após outra intrincada conjetura resistente à “ignorância” por dogmatismo e ceticismo do tempo. Bem além e aquém do “estar aí“, em substancial presença, o que resiste à fixação ao lugar encontra-se na imaginação, em múltiplas superfícies, no não linear, cujas diversas escalas se coloca Marina. Celso vive numa efetiva transição temporal, quando “o agora é um índice [indicador] da eternidade”[193]. Quando ainda se creia na “eternidade do mundo”[194], uma exceção. Enquanto nos insurgimos, Marina poderia “fixá-lo” ao passado em comum[195]. Na “correspondência” truncada, o narrador assumirá a perspetiva de “crer na eternidade do ser. Mundo sem fim e sem Deus. Essa é a ideia que me salva”[196]. Ademais, imaginar a “eternidade” não diz que não se “aclare a contingência” [197], o acaso, por contemplação intuitiva[198] e sensível. No perpétuo salto entre histos, reparo no ocaso do relacionamento, na paragem e esgotamento dum percurso: “[As cartas de Marina, “ibérica prudência”?] Terminam com abraço afetuoso, promessas impagáveis e mil beijos de Catulo. Cartas inúteis e vazias! Abracem do não ser a eternidade!!”[199]. Creio no indecidível. Não cumpriremos todas as “promessas”, as coisas voltarão a ser as mesmas nas guerras e nos amores à beira mar: o “vestido azul”, a “pedra”, os “passeios” e as “bicicletas”[200]. Recordações e ilusões para “todas as cartas em princípio circular”[201]. “Quem sabe se…”[202], se “tudo se passa aquém da superfície”[203]? A verdade - domínio duplicado da aparência - agarra o “desvendamento”[204]. Da substância/essência não temos algo, além da aparência. E ainda que deixássemos há muito de atingir “as coisas em si”, vivemos demasiado no escuro em volta. Quanto muito, realizemos nova viragem às partes, quando “o passado é órfão do presente [índice de eternidade]”[205], no mundo compartimentado. Vivemos num “tempo inabordável”[206]. De forma paradoxal, deixámos o “museu”[207] e as “espécies” à solta, que diminuem com seres impreparados. Do ser e tempo[208] à nova hermenêutica, reatada “presença”, o que “aparece” no “compromisso metafísico” com o ser[209]? Numa filosofia para o século XX, o existencialismo ainda contou para O ser e o nada[210], no que importou o significado, o valor e o propósito da vida. Na época, avançado distanciamento/estranheza[211] face ao “teatro de sentimentos”. Na Europa, tanto “narrativa”, quanto “ficção” deram lugar ao “novo romance”[212], uma mistura de atores sociais e coletivos, de géneros misturados, uma “polifonia”[213]. A psicologia da vontade e a narrativa Na psicologia então emergente, William James[214] discriminara a “vontade de acreditar” do que queremos fazer “desacreditar” - o que seja convencionado para a época ou para a “troca” correspondida de “cartas” a e-mails, o que escape à explicação e/ou à compreensão[215]. Narrativa, na psicologia pós-racionalista, congregou a ideia de que “contadores de histórias” seriam os que estariam incrustados ao amor e ao sofrimento. Como sublinhado, nas teorias semânticas, havia outras “vozes” e “polifonias”, quando um discurso se enuncie. Fora enunciado. Ademais as (re)autorias e sensibilidades eram provenientes doutros domínios de saber, tomadas por empréstimo (nas teorias feministas, na narratologia, nas ciências sociais e humanas…). As temáticas ganharam sentidos segundos, o significado de ridículo e a ironia alcançou outra voz crítica, ainda com o romance de ideias. Com Laurence Stern[216] é possível “justificar” uns “resumos” dum Celso[217]. Os condensados foram ordenados, entre “ideias confusas”[218] dum amor límpido. Num modelo dos mundos emocionais e do “eu em processo”, as “organizações de significado pessoal” (OSP) remeteram, em fim de século, a "metáforas básicas da descrição do real”. Traduziram apreensões dinâmicas para “estrutura da personalidade” e consumaram “significados”, para formas de dar sentido à vida. O modelo OSP, de Vittorio Guidano Vittorio Guidano foi um psicoterapeuta romano, que viu a criatividade como possibilidade de transitarmos duma para outra organização de “significado pessoal”, da falta e perda à reorganização noutra emoção, talvez pelo receio da distanciação. Correu na margem de entendimentos do corpo e da culpa. Concebeu uma epistemologia, com Leslie Greenberg, Humberto Maturana, Michael Mahoney e Óscar Gonçalves. Numa visão emocional integradora, a faceta de experienciar a vida (I, em inglês; o nível de “eu experiencial”) nem se opôs mais a “significar” a experiência (a narrativa da experiência). Pode ser dado o exemplo buscado no que conheci em Guidano e num seu amigo, Leslie Greenberg, de saúde mental. Quando com eles estudei, partiram dde G. H. Mead[219], entre muitos outros. No sul africano Leslie Greenberg[220] senti a primazia conferida a existir, tão visceral, no âmago da experiência imediata, o "eu". Frente a frente ao vivido subjetivo, Vittorio Guidano[221] colocava-se noutro plano de conhecimento: o “mim reflexivo” (me, em inglês). Contrastava na relação à energia de Greenberg, uma “presença” por inteiro, uma conexão no momento, em níveis diversos (físico, emocional, cognitivo e espiritual), ou seja, havia uma consciência da plena experiência corporal e emocional, vontade de escuta ativa, busca de compreensão. Modelos para fazer mundo Na distância cavada, lemos que “a gota do mar é pequena, quando o tempo de ausência seja longo.” A memória nem se esvai na comparação e compreendido desgaste. O “piano – sobrenada”[222] … – voga à tona de água, assim sendo a memória[223], num “abismo líquido”[224]. Poderia ser a voz “atemporal”[225], inesquecível, aquela voz entretanto quebrada de Marina? Tendo lá permanecido uma presença, não se cravou… No incomensurável passar dos anos, quais “cardumes de palavras”[226], arrastaram “o vazio”[227]. A eternidade deixou de ser. Morreu um mundo terreno junto do mar. O eco imaginário de Marina, na ausência quedou-se. Existem as “rochas” [que] continuam imutáveis[228], fustigadas por ventos e marés. Do revolto mar à mata-bioma e às pedras encalhadas, sobressai o abandono, nas “correntes indomáveis”[229]. Celso, continente/recetáculo, sem mãos. Haja o que desapareça e volte com a “correnteza”[230]. Sem alcance do “mundo submarino”[231], as águas não brilham. Somente na “superfície” são “transparentes” [232] águas, para um mundo que foi desarticulado e fragmentado em partes. Como referido, no uno, teríamos um mundo total e eterno. Numa perspetiva particular, um amigo meu acentuou a condição física, metafórica e metafísica (“especulativa”) do ser. Sem ler Marina, António Maurício enfatizou o transitório – o humano para “ondas do mar” (o seu mundo parcial). Na expressão oral, coloquei as suas palavras de permeio, com parênteses retos, para elucidar o refletido do infinito: Em resumo, e metaforicamente, parece-me que [esse processo humano, dinâmico instável] tem semelhanças com o que acontece às ondas do mar[233] (…) configurações/formas locais e transitórias desse mar/suporte e alimento de todas as outras formas/configurações potencialmente possíveis do mesmo. Que podem nascer, crescer, viver/existir, reproduzir-se e morrer/deixar de ser/existir, porque são fenómenos/seres transitórios. (…) Mas não é por isso [por haver formas locais e transitórias de mar], que o mar/vácuo quântico/TAO/[234]o sem nome/... (pressuposto background/suporte/meio/ e fim de tudo o que é possível, e por isso intemporal, Total, global, cognoscível e/ou incognoscível), sem ser… seja redutível a qualquer aspeto antropomórfico[235] .... mas contendo-os... O meu amigo tem uma conceção física e de recipiente – o “vaso vazio”, o inamovível Uno[236]. Nessa substância, Maurício faz conter os mundos parciais contrastantes. Na “leitura desviante”, colocamos “entrelinhas”[237]. A “colocar parêntesis” no que se saiba ou julgue saber, houve um retorno ao mundo, no abalo cultural da consciência. Na aproximação a coisas[238], podemos condensar “cardumes de palavras”[239], no que sobreviveu unido, o par que se afastou: As “cartas deitam iodo [como o mar] e sal… [como lágrimas] [240]… novo sal”[241] Crescem as ondas que me arrastam para dentro [daquele mundo submerso]. Põe-se Celso “a nadar“[242]. [No mar] Haveria “… a correnteza“… e entretanto “as ondas sobem cada vez mais altas… Já não encontro salva-vidas. [Celso dirigindo-se a Marina, pede-lhe uma vez:] Nademos juntos”[243]… No relacionamento, terá havido … um “naufrágio e tempestade”[244]. Até no “perigo de [Celso] afogar-se na praia”[245]. Ergue-se, subleva-se ele, humano, que “não tem guelras nem escamas”[246] … No salva-vidas da terrena praia, onde não “para de chover” … “mal sei nadar em tanto azul… [Celso] Andava a saltar “nas rochas, acima do cinturão das algas”, mas mergulhara no mar, “quando é escassa a correnteza”[247]. “Caminho sobre a chuva, ondas revoltas [no mar], branca espuma”[248] … “nadar [para] tão longe” …[249]. Na deriva, as “leituras desviantes” de uma temática[250], colocam vários caminhos de leitura. Não fosse o vazio deixado de palavras… [Sempre permanecem] “As pedras [que] rugem no bater das ondas”[251] [instáveis]. [Muda o significado de] “Praia - Cadeia alimentar, baleias, pescadores”[252] … “Sinto no meu corpo a maresia [que muda também, após a vazante, de cheiro intenso do mar] e assim transformo o sal em novo sal”[253] [Em casa] O “relógio de areia” de Celso, quando se encontrava com Marina, no passado, “ficava na estante” … [porque o tempo era subjetivo]. “Um belo dia [a ampulheta] quebrou-se” … “Vinte anos” separaram [Celso e Marina] … quantos “grãos” de areia [na ampulheta] são necessário” para tanto tempo passado?[254] “… ao dorso da onda fria, apressa o coração”[255], sendo que o sal eliminado, baixe a pressão[256] [arterial] e “transformo o sal em novo sal”[257]. Nova vida. As palavras vão e vêm, na modernidade líquida. A tornarem-se as palavras “úmidas”, é o sinal de sofrimento no “sal” e na “lágrima” salgada. Qual garrafa que se joga ao mar? Flutuaram ambos num domínio intemporal, deram-se a palavras inevitavelmente “fartas de imprecisão, saudosas da beleza”[258]. E que “cartas” se virão a “salvar” do mar do esquecimento, com agrestes “ventos do Atlântico”? Na insana movimentação vital, Celso “decide [a dado momento] atravessar a maresia”[259] e quedou-se o mar de distância entre si e Marina[260], ao primeiro e-mail dela, seguido-das imagens coloridas, palavras dela. Marina aparecer-lhe-ia na imaginação dovbelo solilóquio de Molly Bloom[261], um encantatório eco. É dele o repente, quando não queira voltar ao passado: “Não me afasto deste mundo de areia… Passam navios à distância”[262]. Em terra firme, Celso, não sai de si mesmo. No final do livro, arredio, Celso dará conta do inesquecível mau tempo, em que se sentira “naufrago”, abraçado ao não-lugar[263]: “Passada a tempestade, me afogo nos teus olhos [verdes e do mar]”[264], olhos de luz fina e penetrante. Do repetido reparo no olhar de lince, o que ficamos cientes do passado na marinha de salinas, na praia e noutras paragens? A lembrança foi ter à imagem da “jovem” Lívia, sua prima e amiga de Marina… [Lívia] “deu-se às ondas”[265]. Deixou de ser. Condenado, Marcus, perdeu alguém; Celso perdeu Marina, não fossem as “fugas” intempestivas. Anunciado casamento ou “condenação”, na escuta de Grande Missa em Dó Menor, K 427[266], de Amadeus Mozart (1756 – 1791), o significado diverge, para o cineasta Robert Bresson[267]. A perda não justifica uma causa, que seja culpa de falta de pontualidade dela ou o atraso dele. Preso ao antecipado mito: “Cheguei tarde como o Rei Marcus”[268], já que a bela Isolda amava Tristão e vogariam num barco do amor à beira mar[269]. No enlevo por Isolda, Celso assumia encontrar-se na condição do rei[270]. Outro fora a lição de Orfeu[271], que olhou para trás… “Não se ergueu” (no existir). E como a palavra concretiza o pensamento (quando o alcance), em inumeráveis mundos atingimos a parte num ou noutro fator – o mar subterrâneo, o envelope na palavra, uma sinédoque. A crer na memória “líquida”, mais uma vez, em imaginação de Marina[272], Celso “lembrou-a” de que já teriam pisado as pedras até à onda, ao imenso mar[273] Quando o a sair último apaga a luz Na ausência de fundamentos externos e de princípios internos, temos o reino perdido do ser. No mundo abandonado, aliado no estranhamento, é o esquecimento (“o fundador”) uma implicação do recuo do ser[274]. Como constatado, em Heidegger[275], surgiu o ser, um dos seus dois temas constantes. Como ser nem seja fundamento, nem seja princípio, incorreria na dobra original “ser-ente”[276]. Donde, a possibilidade de “re-dobra” do ser em Marina. Para o incauto efeito, somente desviando-se um autor, poderá recuar o ser, em que as hierarquias da existência passam a ser independentes (ser e ente), deixando de fazer sentido o que veio primeiro. Nenhum deus alguma vez pode unir o disperso, nos tempos que correm. Em Heidegger (1986 [1982]), para quê escrever “Porquê poetas”. Andaria o filósofo nos caminhos da floresta obscura, no que recuaria e o conduziu a Hölderlin (1770 — 1843): “E porquê poetas em tempos atribulados?[277]” Além da destroçada condição de “autor-idade”, o autor deslocou-se à poesia de vestígios inacessíveis. Marco Lucchesi pode ter atendido ao segundo tema de Heidegger, quando foque o eterno, em Parménides[278]. Visado fundamento do enigmático “pensamento”: leu as primeiras descobertas nos fragmentos ou vestígios escritos. De Marina, Lucchesi arrasta já o leitor às primeiras interrogações, como nos ousados fragmentos pré-socráticos incompletos, desbravados e arredios a um ponto, excêntrico a linhagens ou a “influências”. Ocorre pensar noutro ângulo de visão criativa, sem articulação entre o próximo e o longínquo, alcançado um brilho lateral, que perpassa na contemporaneidade. Qual será o derradeiro lugar em que pulse o pensar? – Pergunte-se. Em Poema, de Parménides, fragmento de conceitos acutilantes. Possuímos além da “dobra” constitutiva do ser (nos limites entre ser e ente), a prerrogativa de interrogar, de hesitar, de duvidar e de afirmar. Em que mundos desaparece e reaparece a consciência? Resposta: Nos dias que se sucedem a noites, a alternância revela-se à consciência, no sonho e na realidade percetiva. Da diferença entre mundos, Marina, o que perdura na ausência? Memórias de palavras “recorrentes: o nada, a Morte, abismos e fantasmas”[279]. Perdura o “sonho” no eterno “menino”[280]. Em Marina, o coprotagonista Celso, um retirado fazedor de “não histórias”, afigura-se retirado, o que não significa derrotado. Noutra asserção crítica, quando não se bata em retirada, poderão ser dados saltos na compreensão duma obra de múltiplas leituras. Foi no Prefácio à segunda edição de Crítica da razão pura, que Kant alertou para o pensamento, cujos “saltos temerários” nem seriam escusados. Poder-se-ia ir mais longe, no arriscando, nas nossas frágeis sociedades, a ponto de nem ser dito o que se pense, nem ousar-se o criticar. [1] Lucchesi, Marco. Marina. Santo André (SP): Rua do Sabão, 2023, p. 89. Quanto à “romaria de formigas” (p. 78), a ser desfeita, “vivo em guerra contra os cupins…” (p. 23). “Só as cartas ficaram intactas. Desprezadas até pelos cupins” (p. 24). “Pobres cartas! Ai de nós! Indigestão de todos os cupins” (p. 28). Afinal, outra maçada, será o velho computador perder cartas, “perder tudo” (p. 89). [2] A crença no acesso à profundidade teve os seus dias melhores, quando se acreditou numa via única, uma dimensão da base ao topo, entretanto barrados os códigos e a exatidão, buscada na modernidade. [3] Marina, p. 73. [4] Marina, p. 56: Marina possui uma “beleza transitiva”. Marina, p. 60: “Sou trilho morto, intransitivo [que não chega a ela]. Se não te alcanço não me basto”. Marina, p. 71: o caráter transitivo, sendo o que muda, aproximou-se de “sinal de transição, deslocamento”. [5] Marina, p. 27. [6] Marina, p. 76. [7] Marina, p. 76. [8] Marina, p. 15. [9] Marina, p. 13. [10] Marina, p. 87. [11] Marina, p. 13, p. 17. [12] Marina, p. 67. [13] Marina, p. 85. [14] Marina, p. 85. [15] Marina, p. 91. [16] Marina, p. 55. [17] Marina, p. 87. [18] Marina, p. 54: “Distância na distância da distância. Porque o demónio é filho do silêncio. António Vieira dixit”. O silêncio marca a distância tão grande entre ambos, gerador do mal. Mas Celso foi um menino com “fome da distância” (p. 63). Um dia, deixou de “habitar na distância… distância que se perde” (pp. 97-98). [19] Marina, p. 86. [20] Marina, p. 72. [21] Marina, p. 69. [22] Marina, p. 84. [23] Marina, p. 33. [24] Na alusão do autor, a xilogravura de 1507, de Hans Schäufelein the Elder? Um idoso, “o mais velho” (the elder). Ou “Cristo diante de Anás, do espelho da paixão de Nosso Senhor Jesus Cristo”, também de 1507? [25] Marina, p. 22. Parménides é também referido na p. 35 e na p. 98. [26] Marina, p. 49). Ulisses representa o que enfrentou perigos e riscos do mar, explorando o mundo. Escritores foram “navegadores”, por caminhos sem guia e sem antecipação, como James Joyce (1882 – 1941). [27] Marina, p. 49. [28] Marina, p. 71. Celso efetua ainda um recuo, quando “uma janela abre-se ao vento” e se desfaz o enlevo com Marina. Concretamente, recuo terá o sentido militar, na guerra. [29] Marina, pp. 34-34. [30] O vaso é um recetáculo, um contentor para as coisas sensíveis, no Timeu de Platão, datado de 360 a.C. Identifica a chora, no que acolhe as coisas em devir. [31] Marina, p. 89. [32] Marina, p. 77. Nas folhas ímpares, são dados a ler “resumos”, como o da página 27: “Sobre a morte das cigarras e o motor imóvel. As garras do leão. Livre-arbítrio, borboleta e tempestade. Software e cálculo integral. Termina com um verso de Mallarmé.” Geralmente, os “resumos” são ampliados em textos de duas páginas. [33] Marina, p. 81. [34] Marina, p. 43. [35] Marina, p. 89. [36] Marina, p. 78. [37] Marina, p. 67, post scriptum: “Leitor de pássaros, sou como um áugure romano a decifrar tua mensagem”. Na Roma antiga, desde o século VIII a.C., os sacerdotes tornar-se-iam augures, tirando presságios, partindo dos voos, do canto e das entranhas de pássaros, entre outras aves. [38] Marina, p. 89. [39] Marina, p. 87. [40] Marina, post scriptum, p. 98. [41] Marina, p. 50. Na perspetiva computacional, disse-me um informático, a diferença é nítida entre significado e semântica: “fornece-se uma semântica para um argumento (ou seja lá o que for), quando se fornece um método de traduzir os símbolos, que contém para qualquer coisa que tenha significado: dar uma semântica para uma linguagem pressupõe, ou envolve, uma Teoria do Significado. Contrasta com a sintaxe, que é apenas a gramática formal do sistema, que determina que os símbolos estão corretamente juntos ou não. Pode assim seguir-se uma sintaxe do sistema sem ter a mínima ideia da sua semântica”. [42] Marina, p. 43. [43] Marina, p. 18. Na Ilíada, poema homérico, salienta-se o belo e valente Ájax, com que lutou Heitor, sem vencedor ou vencido. [44] Marina, p. 53. [45] Marina, p. 35. [46] Marina, p. 36. [47] Marina, p. 83. [48] Marina, p. 39. [49] Marina, p. 79. [50] Marina, p. 86. [51] Marina, p. 49. [52] Marina, p. 18. A Guerra Fria, tensão geopolítica, no final da Segunda Guerra Mundial (1945), abrangeu Os Estados Unidos da América e a União das Repúblicas Socialistas Soviéticas (URSS), desde a Presidência de Truman, em 1947, tendo fim na dissolução da URSS. [53] Marina, p. 31. [54] Marina, p. 35. [55] Quando a alegoria apresenta dois significados, literal e figurado, as palavras, cujo significado seja literal, devem dar lugar ao significado alegórico (figurado). [56] Por extensão, ao mundo subaquático, Marina, p. 50: “… o abismo líquido”. Marina, p. 37: “um líquido destino terra adentro. Marina, p. 79: “Presumo que se lembre (ó, líquida memória!) da onda que das pedras nos levou ao mar.” [57] Imagino até mesmo O mundo à minha procura, de Ruben A, um relato autobiográfico em que o escritor dá conta da vida e da escola, que “esquece os livros”. [58] Marina, p. 49. [59] Marina, p.54. [60] Marina, p. 65. [61] Marina, p. 65. [62] Marina, p. 13. [63] Marina, p. 27, p. 29. Na mesma página 29: “de dez mil dias” …, após o “terremoto” - “uma “falha sísmica”. [64] Castro, Ruy. A vida por escrito: ciência e arte da biografia. Lisboa: Tinta da China, 2023., p. 16. A “literatice” passa pela ideia de um biógrafo atravessar a pessoa-personagem, para dela extrair o que não saiba de si mesma nos pormenores, para o efeito de conceção de episódios “inesquecíveis”. [65] Marina, p. 16. [66] Marina, p. 13. [67] Marina, p. 89. [68] Marina, p. 13. [69] Marina, p. 37. [70] O interminável percurso, é destacado na página 93. O texto continua com a presença do tempo, para “Zenão de Eleia: Aquiles corre com a tartaruga”, um paradoxo da verdade de Parménides, numa demonstração “por absurdo”. [71] Marina, p. 16. [72] Marina, p. 54. [73] Durante uma noite, após ter querido escrever insistentemente uma sonata, o compositor italiano Giuseppe Tartini compô-la a dormir e a sonhar. Intitulada O Trilo do Diabo, imaginou que o próprio maligno lhe apareceu em pessoa para tocar violino e o “ajudar”. Ele não era capaz de terminar a obra musical, mas quando acordou conseguiu acabá-la com a única parte da música de que se lembrava. [74] Jung, Carl. (1954 [1951], p. 123) [75] Marina, p. 73. [76] Marina, p. 56. [77] Marina, pp. 55-56: “A jovem [caveira sem carne] cedeu sua beleza ao brinquedo”, tratando-se de morta, que na urna funerária tinha a sua boneca de marfim, segundo Marco Lucchesi, preservada do Tempo dos antoninos, na Roma antiga, pelo autor. Portanto, aquilo, demarca a figura histórica, no achado brinquedo, que a acompanhou na urna. https://en.wikipedia.org/wiki/Crepereia_Tryphaena [78] Marina, p. 56. O “espelho inverso”, do aveso, passa o par a dois contrários ou simetricamente opostos. [79] Marina, p. 69. Quem diga a transformação dela alude à sua representação no quadro de outra. [80] Um poço é um recetáculo, a chora, em Platão. Um continente retém um conteúdo, as ideias sensíveis. [81] Marina, p. 50. [82] Marina, p. 96. Nessa página, é salientada a comunicação, quando gatos ronronam e cães latem. [83] Reis, Carlos, & Lopes, Ana Cristina M. Dicionário da teoria da narrativa. Coimbra: Almedina, 1987, pp. 152-155. [84] Idem, pp. 152-153. [85] Marina, p. 86. [86] Marina, p. 91. [87] Marina, p. 86. [88] Marina, p. 63. [89] Marina, p. 95. [90] Marina, p. 54. [91] Marina, p. 73. [92] Marina, p. 96. [93] Marina, post scriptum, p.97. [94] Reis, Carlos & Lopes, Ana Cristina M. Dicionário da teoria da narrativa. Coimbra: Almedina, 1987, p. 154. [95] Marina, p. 91. [96] Strauss, Anselm, & Corbin, Juliet. Basics for qualitative research: Grounded theory procedures and techniques. Newbury Park, CA: Sage, 1990, p. 96. [97] Marina, p. 95. Numa intercalação da história de Proteu com o mito de Orfeu, essa invenção do poeta romano Virgílio (70 a.C. — 19 a. C.), encontra-se nos versos de número 453 a 527 do Livro IV, das Geórgicas. [98] Marina, pp. 71-72. Vale ouvir a rádio Orfeu … Ouço distante a voz de Orfeu. [99] Marina, p. 80, p. 86. [100] Marina, pp. 79-80. [101] Marina, p. 80. [102] Marina, p. 49. [103] Marina, p. 91. [104] Marina, p. 91. [105] Marina, p. 49. [106] Neymeyer, Robert A. & Mahoney, Michael. Construtivismo em psicoterapia. Tradução de Mônica Giglio Armando e Fábio Appolinário. Porto Alegre, Rio Grande do Sul: Artes Médicas, 1997, p. 173. [107] Quem diga texto, poderia referir-se a trabalhos com que um texto se cruza, num filme, romance ou peça de teatro. [108] Forster, Eduard Morgan. Aspects of the novel. New York, NY: Harcourt, Brace and World, 1927. O “enredo” (plot) distingue-se da “história” (story), na medida em que o enredo ordena os acontecimentos de forma temporal e de forma causal, mas a “história” limita-se a ordená-los no tempo. [109] Scholes, Robert, & Kellogg, Robert. The nature of narrative. New York, NY: Oxford University Press, 1966, p. 207, pp. 238-239. [110] Angus, Lynne; Lewin, Jennifer; Boritz, Tali; Bryntwick, Emily; Carpenter, Naomi; Watson-Gaze, James, & Greenberg, Leslie. Narrative Processes Coding System: A Dialectical Constructivist Approach to Assessing Client Change Processes in Emotion-Focused Therapy of Depression. Research in Psychotherapy: Psychopathology, Process and Outcome 2012, 15(2), 54–61. DOI: 10.7411/RP.2012.006 [111] Marina, p. 23. [112] Marina, pp. 79-80. [113] Marina, p 83. [114] Marina, p. 94. [115] Marina, p. 71. [116] Marina, post scriptum, p. 76. [117] Marina, p. 23. [118] No risco de morte no mar bravo, noutro lugar: “… ao dorso da onda fria, apressa o coração” (Lucchesi, 2023, p. 71). [119] Marina, p. 23. [120] Marina, p. 23. [121] Marina, p. 80. A expressão é atribuída pelo autor a um livre pensador, Lucilio Vanini (1585 – 1619), que se autodenominou outro, nas obras publicadas como Giulio Cesare Vanini. [122] Marina, p. 83. [123] Marina, p. 93. [124] Marina, p. 93. [125] Marina, p. 14, p. 79. As baleias primam nos seus “afetos radicais” (p. 79). [126] Marina, p. 93. [127] Marina, p. 93. [128] Marina, p. 93. [129] Marina, p. 95. [130] Marina, post scriptum, p. 99. [131] Marina, pp. 85-86. [132] Strauss, Anselm. Qualitative analysis for social scientists. New York, NY: Cambridge University Press, 1987, p. 32. [133] Marina, p. 91: “Antes do amanhecer, sacudo meus ossos na areia. O mundo frio no vapor das ondas [do mar], enquanto o sol desponta, bem depois, nas rochas que me vedam o horizonte [limite]. Sem que você soubesse, caminhamos lado a lado. Não sei até que ponto lembro tua voz. Tudo que diz e deixa de dizer [adiante, num eco repetido]. O modo, sobretudo a transparência da voz. Como o menino e o pássaro de Portinari. Te vejo, assim, ferida, a proteger-te. Promessa de calor. Será difícil atravessar a noite”. [134] Marina, pp. 13-14. [135] Marina, p. 54. [136] Marina, p. 14. [137] Marina, p. 13. [138] Marina, p. 22. [139] A noção de “livre arbítrio contracausal” indica a decisão livre, não determinada por uma causa, um motor. [140] No cálculo integral, pensa-se na heurística, de Arquimedes (287 – 212 a.C.) , com a finalidade inicial de calcular áreas e volumes e seguir a pista e gravar o movimento dos corpos celestes, do sol, da lua e dos planetas, no que se partiu da aritmética e da geometria. [141] Concausa introduz a causa, que coexiste com outra causa, cujo efeito seja conjugado. [142] Marina, p. 27. [143] Marina, p. 27. [144] Marina, p. 13. A brevidade contrasta como o longo tempo que passou, após o encontro prolongado. [145] Marina, p. 43. [146] Marina, p. 69: “Teus olhos sabem narrativas”. [147] Marina, p. 87. [148] Marina, p. 91. [149] Marina, p. 91. [150] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, (1970 [1947]), p. 65. [151] Marina, p. 75. [152] “O acaso dá-nos os pensamentos, o acaso retira-no-los”. Esse é um pensamento de Blaise Pascal (1623 – 1662). [153] Bakhtin, Mikhail M. Speech genres and other late essays. Austin, Texas: University of Texas Press, 1986. Partindo de “géneros de fala”, certas vozes farão coisas diferentes. A noção de “voz” tornou-se um conceito adequado e útil para a caracterização do narrador num texto: “quem ‘fala’”. “Quem é ‘ouvido’”, “quem expressou algo” … A ser “dada uma voz”, a “voz”, conduziu à critica de uma só voz, com Bakhtin. Na conexão de “voz”, com as ciências sociais, avançamos entre “múltiplas vozes”. [154] Marina, p. 13. [155] A “intencionalidade” em Edmund Husserl (1859 – 1938) e) colocou-se em “Meditações cartesianas”, para a forma basilar da consciência e dos processos psíquicos: “consciência de alguma coisa”. Donde, a proximidade das coisas. [156] Lévêque, Jean. ABCedário da filosofia. Lisboa: Reborn e Publico, 2001, p. 13. [157] O mundo e a consciência veem em conjunto, dum único golpe: se o mundo é exterior/interior à consciência, o que escape é o ribombar de “tempestade”, o espanto perante uma explosão, o ribombar do trovão. [158] Marina, p. 75. [159] Marina, p. 91. [160] A ser retomado o sentido do ser (do ser em si mesmo, do ser do “homem” e do ser do pensamento), com Martin Heidegger (1889 – 1976), a “metafísica” ganhou terreno, na tradição filosófica. Ficou a crítica ao que tenha sido “esquecido” - o ser, com frequência, entre Platão (428/427 – 348/347 a.C.) e Nietzsche (1844 – 1900). [161] Na etimologia de “profundidade”, “pro” indica uma direção a, e “fundus” é o esvaziamento, por extensão de fundo. [162] Na especificidade, “coisa” denota o objeto natural. Acresce o tratamento dado ao objeto ou ao termo natural-artificial, ao real-irreal, ao mental-físico. Na filosofia, “coisa” incorre numa aparição, vaga presença, quando faltem as palavras, por incerteza na “errância”, falhado o alvo … Uma tempestade abrupta, uma explosão. Coisa chega a ser conhecimento, imaginação, vontade... [163] Marina, p. 81. [164] Num referencial da personalidade do adulto, adiante aludido, a psicologia pós-racionalista enquadra um modelo da realidade humana, que conjuga a experiência e o significado da experiência (“eu-mim reflexivo”). À superfície emocional da infância, estudada em John Bowlby, o psiquiatra Vittorio Guidano, aliou a “organização do significado pessoal” (OSP). [165] Uma assíntota, na geometria, para uma curva plana, é uma linha que explora uma distância infinita em relação a um ponto (P), quando esse ponto se distancia ao infinito, sem jamais encontrar a linha. [166] Marina, post scriptum, p. 76. [167] Marina, p. 91. [168] Galindo, Caetano W. Sim, eu digo sim: Uma visita guiada ao Ulysses de James Joyce. São Paulo: Companhia das Letras, 2016, pp. 1104-1106. [169] Marina, p. 43. [170] Parménides. Fragments du poème de Parménides. Paris: PUF, 1996. Na primeira parte do poema, foi concebido um saber puro, a “verdade”, que afeta a via dos jogos de aparência das coisas, vindo a duplicar as aparências, no “desvendamento” (a-letheia, no grego clássico). O Uno, em Parménides, deixou-nos a mensagem fragmentada, na “revelação”, a “abertura”, a verdade escrita, no poema Sobre a natureza. Tanto as diversidades do mundo exterior, quanto as “opiniões dos mortais” (referidas num décimo da segunda parte da obra – o mundo da aparência), foram distanciadas da contemplação. Parménides inspirou a noção de Platão, para a dialética (partindo de duas ideias opostas, gerada uma síntese). [171] Platón. Parménides. Tradução de Guillermo R. de Echandía. Madrid: Alianza, 1987, pp. 55-56. [172] Na circunstância, as tensões antagónicas, entre a unidade e a diversidade, haviam sido protagonizadas por Parménides e Heráclito (cerca de 500 – 450 a.C.). Forçada a ultrapassagem da disputa inicial? [173] Marina, p. 43. [174] Nicolau de Cusa manifestou a sua forma de pensar num mundo em transição, tendo defendido a necessidade de contingência (coincidentia oppositorum), por parte da natureza e aderiu à contemplação intuitiva, em que o conhecimento fosse a unidade dos contrários (no livro Docta ignorantia, “Sobre a ignorância aprendida/sobre a ignorância científica”). [175] Marina, p. 35. [176] Marina, p. 31. [177] Marina, pp. 27-36. Na página 27, assumido ter-se tornado “perigosos”, na página 35, Celso diz ter medo de si mesmo. [178] Marina, p. 71. [179] Marina, post scriptum, p. 97. [180] Marina, p. 87: “[As cartas] Terminam com abraço afetuoso, promessas impagáveis e mil beijos de Catulo”. Catulo foi um poeta romano (87/84 a.C. – 57/54 a.C.), entre outros “modernos”, criticados por Marco Cícero, um contemporâneo, escritor e autor de cartas, mas que mudou a literatura europeia, com impacto no século XVIII. [181] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, 1970 [1947]. Na parte final de Carta sobre humanismo, Heidegger esclareceu: “não eis-me aqui! mas sim, se posso expressar-me num francês obviamente impossível, ‘être le là’ e o ‘aí’ é precisamente a-letheia. Como esquecer que da-sein representa o “estar aí”, o “habitar”? [182] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980. [183] Uma ontologia dedicada ao ser, existência e realidade. [184] Heidegger, Martin. Lettre sur l’Humanism. Paris: Aubier, 1970, p. 77. [185] Heidegger, Martin. Que veut dire penser? In Essais et conferences. Paris: Gallimard, 1958. [186] O ser foi abandonado, quando se colocou adiante o ousia. No saber dos ousiai, enfatizadas substâncias. [187] Goodman, Nelson. Ways of world making. Indianapolis, Indiana: Hackett, 1985, pp. 7-17. [188] Marina, p. 93. Na lógica clássica, uma proposição não pode ser, em simultâneo, “verdadeira” e “falsa” (princípio da não contradição). Uma proposição é falsa ou é verdadeira (princípio do terceiro excluído). [189] Marina, p. 89. Em De docta ignorantia, de 1449, Nicolau de Cusa criou três momentos do “espírito” no itinerário, uma hermenêutica, ora voltado para o “exterior”, ora para o “interior”. Importa para a coincidência de sorte, em não serem anulados pontos de vista diferentes (opostos), do ser humano ao infinito. [190] Marina, p. 89. [191] Marina, post scriptum, p. 62. [192] Marina, p. 89. [193] Marina, p. 73. [194] Marina, p. 35. [195] Marina, p. 35. [196] Marina, p. 93. “Salva-nos” pensar que a unidade primeira não torne a escamotear o ser, frente ao ente, em Deus. A base da metafísica, ciência do ser, foi por muitos anos o debate de “substâncias”, para o que se mantenha por baixo, o “elemento” permanente da coisa. Embora o ser tenha múltiplas aceções, formulam-se todas para um princípio (arché) único, material e definido. Na “correspondência”, o ser não pretende servir a ideia de “ser para Deus”, de ser a pessoa concreta, o que se mantém (ousia, “substância”, “no bem fundo”). [197] Marina, p. 96. [198] Como Nicolau de Cusa, que viu nesse acaso o conhecimento de Deus. [199] Marina, p. 87. [200] Marina, p. 93. [201] Marina, p. 98. [202] Marina, p. 17. [203] Marina, p. 18. [204] O “desvendamento” - aletheia, no remoto Poema de Parménides, um saber do Uno, entretanto desfeito,encontra-se antes de recolocada a ordem do vivido, ou seja, “todas as formas de presença afetivas e intelectuais”, em Jean Lévèque. Lévèque, Jean. ABCedário da filosofia. Lisboa: Reborn e Público, p. 114. [205] Marina, p. 73. [206] Marina, p. 95. [207] Marina, p. 73. [208] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980. [209] Marina, p. 22. [210] Marina, p. 93. “Não ser” tem no francês a palavra “néant”. E “nada” encontra-se em mè eon (“o não-ente”), em grego. Nem sendo a chora, o “nada”, o não-ente, nem chega a ser privação do ser, porque o “lugar” não tem qualquer objeto. O vazio de um contentor – o “vaso” - é diferente: possui forma, é chora. [211] Marina, p. 54: “Distância na distância da distância. Porque o demónio é filho do silêncio. António Vieira dixit”. O silêncio marca a distância tão grande entre ambos, gerador do mal. Mas Celso foi um menino com “fome da distância” (p. 63). Um dia, deixou de “habitar na distância… distância que se perde” (pp. 97-98). [212] Kundera, Milan. 1988. A arte do romance. Lisboa: Dom Quixote, 1988. Nessa obra, o “romance” é de ideias, a partir de Cervantes (1547 – 1616), por longo tempo “aguardada” a inspiração de Laurence Sterne (1713 – 1768), em D. Quixote. Ao romance de ideias foi dada outra linhagem, na marcação francesa: François Rabelais (1494 — 1553) e Denis Diderot (1713 — 1784), quando alcançaram liberdade crítica e ironia revolucionária, no renascimento e no século XVIII. O multifacetado Rabelais cruzou até as facetas na palavra, ora erudita, ora aventureira, percorrendo o lado festivo e o lado religioso e solene. [213] Marina, post scriptum, p. 76: “São minhas essas vozes: que me indagam, enlaçam, apertam, comprimem. Polifonia da gente que me habita. Mas todos querem, buscam, sonham com você”. [214] James, William. The will to believe and other essays in popular philosophy. New York, NY: Longmans, 1897. [215] Marina, p. 49. Para Carl Gustav Jung (1875 - 1961), a “humanidade” dividiu-se em duas partes: nos que “nadariam”, com James Joyce, no Ulisses, havendo quem se “afogasse” (numa autoridade, num qualquer saber dogmático). No Ulisses, é o monólogo de Molly Bloom condutor a um “sim”. [216] A obra de Lucchesi remete a Viktor Shklovsky. um crítico literário russo, em paralelo a Laurence Stern, autor de dissonantes observações, no que este último escreveu “A vida e as opiniões do cavalheiro Tristram Shandy”, um novo Quixote.” [217] Marina, p. 17: “Cada qual começa com um resumo”. [218] Marina, pp. 29-30. [219] Mead, George Herbert. Works of George Herbert Mead. Vol. 1 Mind, self and society from the standpoint of a social behaviourist. Chicago, Illinois: University of Chicago Press, 1967. A explicação das diferenças entre si e Greenberg, foi esclarecida por Guidano, que utilizou os termos de George Herbert Mead – I (“eu”) e me (“mim”), frente a Greenberg. Mead (1863 — 1931) concebeu o self social (Mead, 1913), no sentido de sermos a única espécie que usa a linguagem, aquisição a partir da qual planeamos, pensamos e comunicamos a experiência. A vida de uma pessoa não seria um atributo individual e privado em Mead, cuja narrativa seja uma autoexpressão, envolvendo o controlo da informação do self. [220] Geller, Shari M. & Greenberg, Leslie S. (2012). Therapeutic presence: A mindful approach to effective therapy. American Psychology Association. https://doi.org/10.1037/13485-000 [221] Guidano, Vittorio. The self in process: Towards a post-racionalist therapy. New York, NY: Guilford, 1991. [222] O que seja acima do nada, sobrenada num “lugar” das coisas sensíveis, que soam e ressoam. [223] Marina, p. 43. [224] Marina, p. 50. [225] Marina, p. 49. “Persegue os temporais”, os maus tempos de vendavais no passado-presente-futuro. [226] Marina, p. 18. [227] Marina, p. 49. [228] Marina, p. 73. [229] Marina, p. 73. [230] Marina, p. 18. [231] Marina, p. 49. [232] Marina, p. 73. [233] Tanto “mar” quanto o cérebro são “suportes físicos” e “alimentos”. A imensidão das “ondas do mar” e da mente em movimento configuram um fluxo movediço e inatingível, em que o ser é originariamente “bem-fundo”, a “substância” (no latim, ousia), para o que sejam variações e transformações das coisas. [234] Lao Tzu. Tao Te Ching. Capítulo 4, n.d. http://pt.wikisource.org/wiki/Tao_Te_Ching/IV. No mundo parcial ancestral chinês, pensar é agir. Reiterada a filosofia no T’ai Chi, a conexão ocorrida no Universo propicia a combinação de mente (li) e matéria (chi), “realidade última”, numa acomodação da unidade do Tao, à semelhança do “ancestral das dez-mil-coisas”: O Tao é um vaso vazio // Cujo uso nunca transborda. // Abismo! // Parece o ancestral das dez-mil-coisas! // Abranda o cume; Desfaz o emaranhado; Modera o brilho; Une o pó. // Profundo! // Parece existir algo! // Eu não sei de quem o Tao é filho. // Parece ser o anterior ao Ancestral. [235] Antropomorfismo para uma forma de pensamento em que elementos da natureza ou figuras de deuses alcançam características humanas. [236] O princípio da identidade, em Parménides, assumiu que todo o objeto é idêntico a si próprio. [237] Marina, p. 18. [238] Sartre, Jean-Paul. Une idée fondamentale de la phénoménologie de Husserl, l’intentionalité. La Nouvelle Revue Française, 1939, 304(1), 129-132. Na medida em que a consciência traduz uma aproximação às coisas, poderá “ser algo que não ela própria”. [239] Marina, p. 18. [240] Marina, p. 18. [241] Marina, p. 37. [242] Marina, p. 18 [243] Marina, p. 18. [244] Marina, p. 21. [245] Marina, p. 23. [246] Marina, p. 23. [247] Marina, p. 23. [248] Marina, p. 26. [249] Marina, p. 28. [250] Marina, p. 28. [251] Marina, p. 28. [252] Marina, p. 29. [253] Marina, p. 37. [254] Marina, p. 42. [255] Marina, p. 71. [256] Marina, p. 37. [257] Marina, p. 37. [258] Marina, p. 49. [259] Marina, p. 16. [260] Marina, pp. 16-18. [261] Marina, p. 49. Na obra publicada em 1922, Molly Bloom, cujo nome verdadeiro era Marion, é a personagem de Ulisses, de James Joyce, uma cantora de ópera, reconhecida em Dublin, na Irlanda. No monólogo, é colocado um “fluxo de consciência”, sem parágrafos e sem pontuação de vírgulas e travessões. [262] Marina, p. 55. [263] Marina, p. 55. [264] Marina, p. 95. [265] Marina, p. 61. [266] Marina, p. 95. [267] Casar não foi contemplado por Mozart, tendo vivido poucos mais anos que Jesus. Bresson utilizou a música de Mozart, em 1956, no filme “Um condenado à morte escapou”, passado durante a Segunda Guerra Mundial (1939 a 1945), nomeadamente no Kyrie, de Mozart (caso vocativo da palavra grega kyrios, para “senhor”). No Antigo Testamento, utilizou-se Kyrie na mais antiga tradução grega (Septuaginta), para traduzir a palavra hebraica Yahweh. No Novo Testamento, Kyrie foi o título dado a Cristo, como em Filipenses 2:11. [268] Marina, p. 86. [269] Marina, p. 86. [270] Marina, p. 79. [271] Marina, p. 95. [272] Marina, p. 79. [273] Marina, p. 79. [274] Marina, p. 55: “Ao não lugar me abraço como um náufrago”. No recuo do ser, não será “dispensado” o ser, no que me recorda o protagonista e narrador de Marina, encontrado num não lugar, sob um batimento da “pressão”. [275] Heidegger, Martin. Être et temps. Paris: Gallimard, 1980, pp. 88-89. [276] A dobra é franzida. “Eu-ente”, um depósito material insolúvel, na dobra existe o “sedimento”, em Ensaios e conferências, de Heidegger. [277] No Romantismo, após o Século das Luzes (século XVIII), Hölderlin viveria já ao “cair da noite”. Teriam deixado o mundo três deuses “fraternos” – “Héracles, Dionísio e Cristo”. Acresce dizer, sem romantismo, que alcançada a “noite”, perdermos as referências-guias, as linhagens e ficamos sós. Deixa-se de referir a autoridade (“quem sabe”) e configura-se um destino nem certo, nem seguro. Na incerteza da errância, falharia o alvo que seja excessivamente arriscado. [278] Marina, p. 22, p. 35 e p. 98. [279] Marina, p. 76. [280] Marina, p. 78.
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Duhamel, N., V. Queyrel, N. Tieulié y T. Comont. "Un cheval de Troie ?" La Revue de Médecine Interne, mayo de 2023. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2023.05.001.

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"Le cheval de Troie de M tuberculosis". Biofutur 1997, n.º 171 (octubre de 1997): 7. http://dx.doi.org/10.1016/s0294-3506(97)88023-4.

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Dagenais, David. "Le Partenariat transpacifique, cheval de Troie des États-Unis ?" Interventions économiques, Hors-série. Transformations (1 de marzo de 2014). http://dx.doi.org/10.4000/interventionseconomiques.6037.

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Tavernier, Grégoire. "M. Crouzet et la psychanalyse : un cheval de Troie". Acta Octobre 2019 20, n.º 8 (14 de octubre de 2019). http://dx.doi.org/10.58282/acta.12420.

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"La médecine palliative spécialisée au sein de l’hôpital universitaire – un cheval de Troie". PrimaryCare 14, n.º 09 (14 de mayo de 2014): 148. http://dx.doi.org/10.4414/pc-f.2014.00687.

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Debrun, Gilles. "Vers une anthropocène soutenable et désirable: le logement collectif comme cheval de Troie". lieuxdits, 10 de octubre de 2019, 18–19. http://dx.doi.org/10.14428/ld.vi10.23043.

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Tissier-Raffin, Marion. "Réintallation – Admission humanitaire : solutions d’avenir pour protéger les réfugiés ou cheval de Troie du droit international des réfugiés ?" Revue des droits de l’homme, n.º 13 (4 de diciembre de 2017). http://dx.doi.org/10.4000/revdh.3405.

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Mayor, Adrienne. "Talos, Pandore et le cheval de Troie en tant que produits de la technologie dans la littérature et l'art anciens". e-Phaïstos XI, n.º 1 (25 de abril de 2023). http://dx.doi.org/10.4000/ephaistos.10885.

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Mekki-berrada, Abdelwahed. "Ethnopsychiatrie". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.045.

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Resumen
Le terme « ethnopsychiatrie » a été proposé pour la première fois, autour des années 1940, par le psychiatre et diplomate haïtien Louis Mars (1945). « Ethno-psych-iatrie » vient de ethnos qui en grec ancien, et à la suite d’une série de glissements sémantiques signifie tour à tour famille, tribu, peuple, nation, race. Le terme psuche indique les idées d'âme et d'esprit et, enfin, celui de iatros réfère au médecin, au guérisseur, au soin et au médicament. La notion d’ethnopsychiatrie consiste donc en cette alliance complexe entre ethnos, psuche et iatros. Dans la présente rubrique, l’ethnopsychiatrie est sommairement abordée selon trois dimensions essentielles, à savoir : 1. l’ethnopsychiatrie comme ensemble de théories et de pratiques culturelles; 2. l’ethnopsychiatrie comme discipline anthropologique; et 3. l’ethnopsychiatrie comme pratique clinique. 1. En tant que théorie et pratique culturelle, l’ethnopsychiatrie se veut universelle. Pour Georges Devereux (1908-1985), considéré comme le fondateur de l’ethnopsychanalyse (variante fondatrice de l’ethnopsychiatrie) (Laplantine 2007), « il n’est pas de peuple sans ‘’ethnopsychiatrie’’, c’est-à-dire sans son propre repérage, sans ses modalités de prise en charge des désordres, de ce type de négativité que la science appelle ‘’psychopatologie’’ » (cité par Nathan 2011). L’alliance complexe entre ethnos, psuche et iatros (ethno-psych-iatrie), se décline cependant de multiples façons et par différents peuples pour construire des espaces d’expression du désordre, du mal, du malheur, du mal-être, de la maladie, de la souffrance sociale et de leur dimension cosmogonique. Ces espaces sont des ethnopsychiatries plurielles que chaque société humaine abrite comme dans les traditions ayurvédique, humorale, homéopathique, exorcistique, chamanistique qui s’ajoutent à une liste interminable de théories et d’actions au sujet de la maladie et de l’univers. L’ethnopsychiatrie inclut aussi des rituels tels que, parmi tant d’autres, Mpombo, Mizuka et Zebola qui déploient un répertoire de gestes, de signes et d’êtres mythiques, et qui permettent aux femmes congolaises de (re)négocier leur rôle social et de (re)prendre une parole singulière pour exprimer leur mal-être dans une société où la parole dominante est généralement collective. Loin du Congo, nous retrouvons en Afrique de l’Est et dans la Péninsule arabique, le Zar, un rite impliquant essentiellement des femmes et favorisant lui aussi la résolution de conflits par l’expression collective de ceux-ci. Dans l’ensemble, l’ethnopsychiatrie contribue à la saisie des désordres intrapsychiques, interpersonnels ou sociaux, et cosmogoniques menaçants (Mekki-Berrada 2013). L’ethnopsychiatrie peut être considérée comme un « fait culturel total » qui se décline dans toutes les cultures et dans toutes les sociétés à travers les cinq continents. Au-delà de tous les particularismes, l’ethnopsychiatrie demeure à chaque fois culturellement située et consiste idéalement à transformer un monde chaotique en un monde qui fait sens pour la personne souffrante et son entourage. La psychiatrie contemporaine, elle-même, peut être considérée comme étant une ethnopsychiatrie parce qu'elle est comme les autres culturellement ancrée et dotée d’un ensemble de théories et de pratiques qui lui sont propres (Mekki-Berrada, 2013). Le « fou » dans l’Europe du XVIIIe siècle était un être de « déraison », dans le sens foucaldien du terme, au même titre que tous les autres exclus de la « raison » dominante de l’époque mêlant valeurs religieuses chrétiennes et valeurs sociales aristocratiques et monarchiques; le « fou », « l’insensé » se retrouvait alors avec les mendiants, les homosexuels, les libertins, les prostituées, tous entassés dans les hôpitaux généraux à des fin de contrôle social (Foucault 1972). La psychiatrie moderne est née dans l’Europe de l’Ouest du XIXe siècle quand le fou cessa d’être délinquant, pour être considéré comme malade. Même si, partiellement libéré du regard inquisiteur de l’Église et de la Monarchie, le « déraisonnable » devient aujourd’hui tantôt proie, tantôt sujet, au regard de la psychiatrie contemporaine. 2. En tant que discipline, l’ethnopsychiatrie se propose d’étudier les ethnopsychiatries comme espaces culturels où convergent les savoirs nosologiques, étiologiques et thérapeutiques au sujet du « désordre » mental, social et cosmogonique. L’ethnopsychiatrie-discipline ne constitue pas un bloc théorique monolithique. Sans nous arrêter sur les particularismes régionaux ou nationaux de l’anthropologie (« américaine », « britannique », « française »), la tendance historique générale de l’ethnopsychiatrie veut que cette discipline étudie, à ses débuts, la geste thérapeutique « exotique », non-occidentale, non-biomédicale. Avec le tournant interprétatif inauguré en anthropologie dans les années 1970 par Clifford Geertz et ce que l’on nommera dans les années 1980, avec Arthur Kleinman et Byron Good, l’anthropologie médicale interprétative, l’ethnopsychiatrie va cesser de se limiter aux espaces ethnomédicaux non-occidentaux pour se pencher aussi sur les «traditions ethnomédicales occidentales» incluant la biomédecine et la psychiatrie (Mekki-Berrada 2013), tout en plongeant dans le foisonnement des symboles et des interprétations de la maladie, du mal et du malheur. L’anthropologie médicale interprétative utilisera la culture comme moteur explicatif et principal cheval de bataille théorique. Elle sera cependant vite soumise aux vives critiques de Soheir Morsy (1979) et d'Allan Young (1982). Pour ces auteurs, l'approche interprétative « surculturaliserait » la maladie car elle en privilégierait les significations culturelles et en évacuerait les dimensions sociales et politiques. Cette critique sera poursuivie par Baer et Singer (2003) au sein d’un nouveau paradigme qu’ils nommeront « anthropologie médicale critique », paradigme dans lequel l’économie politique de la santé mentale est le moteur explicatif de la maladie et de la souffrance. De ce point de vue la culture serait un outil idéologique au service de la classe dominante, un « réseau de significations autant que de mystifications » (Keesing 1987 cité par Good 1994) qui camouflerait les inégalités sociales. Généralement considérée comme radicale sur le plan théorique, l’anthropologie médicale critique finira par trouver un équilibre des plus constructifs avec un autre courant nommé « anthropologie médicale interprétative-critique » (Lock et Scheper-Hughes 1996) qui offre l’avantage conceptuel et méthodologique de n’évacuer ni le culturel ni le politique, mais articule ces éléments pour mieux cerner l’enchevêtrement complexe des dimensions tant culturelles et microsociales de la maladie mentale et de la souffrance sociale que leurs enjeux macrosociaux. 3. En tant que pratique clinique, l’ethnopsychiatrie est relativement récente. Si Devereux apparaît comme le fondateur incontesté de l’ethnopsychiatrie-discipline, ce sont ses étudiants, Tobie Nathan et Marie-Rose Moro, qui fonderont l’ethnopsychiatrie-clinique à partir des années 1980, tous trois Français « venus d’ailleurs », porteurs et bricoleurs d’identités métissées. L’ethnopsychiatrie-clinique est une pratique psychiatrique, mais aussi psychologique, dépendamment de l’orientation centrale du « thérapeute principal » qui est soit psychiatre (ex. : Moro), soit psychologue (ex. : Nathan). En Amérique du Nord, ce sont essentiellement des psychiatres qui pratiquent l’ethnopsychiatrie-clinique, ou plutôt l’une de ses variantes, la « psychiatrie transculturelle » (Kirmayer, Guzder, Rousseau 2013) dont les principaux chefs de file sont basés à Harvard Medical School (ex. : Arthur Kleinman) ou à McGill University (ex. : Laurence Kirmayer, Cécile Rousseau). Il est à noter que l’ethnopsychiatrie clinique est très peu en vogue en dehors de l’Amérique du Nord et de l’Europe de l’Ouest. Il existe un certain nombre de variantes du dispositif clinique, mais une consultation ethnopsychiatrique nécessite au minimum : 1. un groupe de thérapeutes issus de cultures et de disciplines diverses, dont un-e seul est responsable et en charge de la circulation de la parole ; 2. la langue maternelle des patients et la présence d’interprètes culturels, ainsi que le passage d’une langue à l’autre, sont des éléments centraux du dispositif clinique afin d’aider à l’identification de nuances, subtilités, connotations et catégories culturelles; 3. le patient est fortement invité à se présenter en consultation avec des personnes qui lui sont significatives dans son propre réseau social ; 4. le dispositif groupal et le passage d’une langue à l’autre posent un cadre multi-théorique et l’ethnopsychiatre peut ainsi établir « un cadre métissé dans lequel chaque élément du matériel [biographique] peut-être interprété selon l’une ou l’autre logique » (Nathan 1986:126). Un tel dispositif facilite la mise en place d’un « espace intermédiaire » qui fait intervenir la culture comme « levier thérapeutique » et permet de révéler des conflits interpersonnels et intrapsychiques (Laplantine 2007 ; Streit, Leblanc, Mekki-Berrada 1998). Les ethnopsychiatres cliniciens procèdent souvent eux-mêmes à des « mini ethnographies » (« mini ethnography » ; Kleinman et Benson 2006) en se mettant « à l’école des gens qui consultent, pas l’inverse » (Nathan 2007). Ces mini ethnographies ont pour outil les « modèles explicatifs de la maladie » (« Illness Explanatory Models » ; Kleinman 1988) qui ont pour but d’être à l’écoute des perspectives des patients pour mieux explorer leur culture ainsi que les dimensions sociales et culturelles de la maladie mentale. En plus d’explorer la dimension culturelle du désordre, l’ethnopsychiatrie cherche à mieux comprendre la dimension psychiatrique des cultures tout en évitant de sur-psychiatriser la culture et de sur-culturaliser la psychiatrie (Laplantine 2007). Dans tous les cas, dès le début de la discipline qu’il a fondée, Devereux (1977) proposait une perspective « complémentariste » encore très utilisée aujourd’hui. Celle-ci exige le recours à la psychanalyse et à l’anthropologie de façon non simultanée, en ce sens que l’ethnopsychiatre est appelée à d’abord épuiser son recours à l’une des deux disciplines avant de se référer à l’autre, et ce, de façon constante. La méthode complémentariste s’accompagne nécessairement de la « décentration » qui est une attitude ou un mécanisme incontournable, qui force le thérapeute à identifier et à minimiser, dans la rencontre clinique, l’impact de sa subjectivité "égocentrée" ou "sociocentrée". En somme l’ethnopsychiatrie, telle que sommairement abordée ici, est un espace culturel où convergent les savoirs nosologiques, étiologiques et thérapeutiques, tous culturellement situés, et qui prend pour objet le « désordre » mental, social et cosmogonique; elle est aussi une discipline anthropologique qui se propose d’étudier ces espaces culturels ; elle est enfin une pratique clinique. Il s’agit de trois pans indissociables et constitutifs d’un même trièdre.
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