Literatura académica sobre el tema "Bidonvilles – Politique publique"

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Artículos de revistas sobre el tema "Bidonvilles – Politique publique"

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Perraudin, Anna. "Thomas Aguilera, Gouverner les illégalismes urbains. Les politiques publiques face aux squats et aux bidonvilles dans les régions de Paris et de Madrid". Métropoles, n.º 24 (22 de julio de 2019). http://dx.doi.org/10.4000/metropoles.6865.

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Tesis sobre el tema "Bidonvilles – Politique publique"

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Merville-Boudjema, Lison. "(Dé)faire les "campements roms" : Analyse des processus de catégorisation des habitant-es des bidonvilles à l'oeuvre dans l'action publique". Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2023. http://www.theses.fr/2023COAZ2039.

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Resumen
La démarche générale de cette thèse consiste à étudier la façon dont sont administrés les espaces nommés squats, bidonvilles et campements illicites par les pouvoirs publics et, par extension, leurs habitant-es, à l'aune de l'étude de la catégorie d'habitat « campements roms » mise en mots dans une circulaire le 5 août 2010. L'analyse de la mise en œuvre de la gestion et de l'expulsion de ces espaces est fondée sur une ethnographie des bidonvilles initiée en 2012 dans différentes villes de France et plus particulièrement dans la ville de Marseille ainsi que sur des entretiens, diverses formes d'observations et l'analyse de littératures grises. De l'élaboration des politiques publiques à leur mise en œuvre par les associations opératrices d'État dans la ville de Marseille (avec un focus sur l'année 2020), cette thèse analyse l'action publique à l'échelle locale afin de proposer une interprétation de la situation nationale. Ce travail, en s'intéressant à la façon dont sont nommés et classés certains habitats précaires identifiés comme illicites voire illégaux, met en lumière les logiques de catégorisation des habitant-es de ces espaces. Ce qui est formulé comme une politique prenant pour objet le logement administre en réalité les populations l'habitent, i.e. les personnes désignées comme roms dans la circulaire de 2010. La thèse met en lumière que l'opération de mise en mots de ces espaces comme « squats », « bidonvilles », « campements », mais aussi « copropriétés dégradées » par les pouvoirs publics nous informe peu sur la nature de ces espaces (les matériaux dont ils sont faits, leur légalité ou leur pérennité) mais relève d'un processus de catégorisation des populations qui les habitent. Toutes les personnes perçues comme roms habitant en bidonville à Marseille ne connaissent pas les mêmes logiques de classement de leur habitat, et ainsi la même mise en œuvre d'un suivi social permettant l'accès à certains droits : selon leur nationalité, leur(s) langue(s), leur statut administratif, la politique publique ne revêt pas le même aspect, aussi bien concernant son volet social (suivi social à partir du diagnostic social énoncé dans la circulaire de 2012) que son volet sécuritaire (les expulsions du lieu d'habitation et du territoire français). Cette thèse entend participer à la réflexion sur la façon dont sont catégorisées les personnes dites roms migrant-es en France en s'intéressant aux rapports sociaux de race, de sexe et de classe à l'œuvre dans l'administration de l'habitat précaire nommé squat, bidonville et campement
The general approach of this thesis is to study the way in which spaces known as squats, shanty towns and illegal encampments are administered by the public authorities and, by extension, their inhabitants, in the light of the study of the housing category 'Roma encampments' that was defined by a circular on 5 August 2010. The analysis of the implementation of the management and eviction of these spaces is based on an ethnography of shantytowns initiated in 2012 in various French cities and particularly in the city of Marseille, as well as on interviews, various forms of observation and the analysis of grey literature. From the development of public policies to their implementation by state-operated associations in the city of Marseille (with a focus on the year 2020), this thesis analyses public action at the local level in order to propose an interpretation of the national situation. By looking at the way in which certain types of precarious housing identified as illicit or even illegal are named and classified, this work sheds light on the ways in which the residents of these areas are categorised. What is formulated as a housing policy actually administers the people who live there, i.e. the people designated as Roma in the 2010 circular. The thesis highlights the fact that the process of labelling these spaces as 'squats', 'shanty towns', 'encampments' and also 'copropriété dégradée' by the public authorities tells us little about the nature of these spaces (the materials of which they are made, their legality or their longevity), but is part of a process of categorising the people who live there. Not all people perceived as Roma living in shantytowns in Marseille are subject to the same logic for classifying their housing, and thus to the same implementation of social monitoring enabling access to certain rights: depending on nationality, language(s) and administrative status, public policy does not take on the same aspect, both in terms of its social aspect (social monitoring based on the social diagnosis set out in the 2012 circular) and its security aspect (housing evictions and deportation from the French territory). This thesis aims to contribute to the debate around the way in which so-called Roma migrants are categorised in France by looking at the social relations of race, gender and class at work in the administration of precarious housing known as squats, shanty towns and encampments
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Scharager, Andrés. "Judiciarisation, politique et conflit social. Résistances et controverses dans un processus de relocalistaion de bidonvilles à Buenos Aires (2008-2018)". Thesis, Tours, 2019. http://www.theses.fr/2019TOUR1501.

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Resumen
L’objectif de la thèse est d’examiner les conflits et controverses suscités par les processus mise en oeuvre de politiques judiciarisées, là où les logiques juridiques, sociales et politico-institutionnelles s’entrecroisent. En définitive, on essaye de connaître les effets de grande portée de la judiciarisation sur le déroulement des conflits et sur la production d’action publique. À partir du cas d’un processus de relocalisation ordonné par un juge à Buenos Aires, on aborde trois objectifs spécifiques. Premièrement, on analyse les controverses juridiques suscitées par le processus d’émergence des résolutions qui ordonnaient de mettre en marche les politiques de relocalisation. Deuxièmement, on caractérise les conflits socio-territoriaux catalysés pendant la période de mise en oeuvre des relocalisations et leur rapport aux stratégies mises en place par les affectés et ses défenseurs pour réclamer. Troisièmement, on examine les dispositifs et mécanismes institutionnels créés par les gouvernements condamnés pour mettre en marche les politiques ordonnées par la justice, en identifiant ses limitations et potentialités pour la canalisation des conflits. Au bout du compte, la somme de ces objectifs permet de comprendre comment le déplacement de la population, en tant que problème judiciaire, s’est transformé en s’institutionnalisant et en se territorialisant
The goal of this thesis is to analyze the conflicts and controversies aroused during the implementation of judicialized policies, in the analytical crossroads between juridical, social and political-institutional logics. Ultimately, I examine judicialization’s far-reaching effects on the ways in which conflicts develop and public action is produced. Based on the case of a relocation process ordered by a judge in Buenos Aires, three specific goals are pursued. First, I analyze the juridical controversies aroused during the appearance of the resolutions that ordered the relocation policies. Second, I characterize the socio-territorial conflicts that took place during the implementation of the resettlements with regard to the strategies undertaken by those affected by those policies and their defendants in order to keep up their demands. Third, I examine the devices and institutional mechanisms created by the convicted government to apply the policies ordered by the judiciary, while identifying their limits and potentials for the channeling of conflicts. Ultimately, the sum of these goals enhances the understanding of how the relocation of the population, which was born as a judicial problem, changed by institutionalizing and territorializing
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Aguilera, Thomas. "Gouverner les illégalismes urbains : les politiques publiques face aux squats et aux bidonvilles dans les régions de Paris et de Madrid". Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2015. http://www.theses.fr/2015IEPP0016.

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Resumen
En questionnant la capacité des acteurs publics à gouverner les squats et les bidonvilles qui persistent dans les régions de Paris et de Madrid, la thèse explique les mécanismes du gouvernement différentiel des illégalismes de logement des années 1960 à nos jours. Elle montre que les squats et les bidonvilles sont gouvernés, mais de façon discontinue et par des politiques aux formes diverses. Elle démontre que l’ingouvernabilité est construite par les acteurs publics pour justifier alternativement l’inaction et la mise en place de politiques de l’exception. L’ingouvernabilité constitue un répertoire discursif justifiant le retrait de l’action publique. C’est aussi un mode de gouvernance qui entretient les politiques de l’urgence, policières et humanitaires, et autorise les bricolages partiels et ponctuels. Mais lorsque les acteurs publics y trouvent des intérêts pour se positionner comme leaders de la gouvernance métropolitaine multiniveaux, des politiques publiques autonomes peuvent s’institutionnaliser autour d’administrations, d’instruments et de budgets propres. Dans tous les cas, les politiques sélectionnent et contraignent des bénéficiaires, tout en refoulant des victimes. Les politiques produisent autant d’illégalité qu’elles n’en résorbent. Derrière ces invariants, notamment issus des effets propres des instruments, la thèse identifie quatre variables clés pour expliquer la diversité des outcomes de l’instrumentation des politiques : les niveaux d’institutionnalisation, les logiques sectorielles, les échelles d’action et le comportement des cibles qui contribuent à la conception des instruments, en neutralisent les contraintes et en détournent les ressources
Addressing the issue of ungovernability of squats and illegal settlements in the Capital Regions of Paris and Madrid, the thesis explains the mechanisms of differential government of housing illegalisms since the sixties. The thesis shows that squats and illegal slums are governed, but in a discontinuous way and by diverse forms of policies. It demonstrates that ungovernability is built by public actors in order to justify alternatively inaction and policies of exception. Ungovernability is a discursive repertory that justifies the disengagement of policies. But it is also a mode of governance that supports emergency policies, implemented by police agencies and NGOs, and that allows policy makers to set up only local and temporary rehousing and social programs. However, as policy makers are rent-seekers, when they find interests to become leaders of the competitive multilevel urban governance, they activate agendas and implement institutionalized and autonomous policies. They create specific administrations, instruments and budgets. Policies select and constraint beneficiaries and evict victims. Thus, policies produce as much illegality as they resolve it. Beside these invariants produced by the sui generis own effects of policy instruments, the thesis identifies four key variables whose combinations explain the policy outcomes diversity: the level of institutionalization, the sectorial logics, the scale of actions, and the behavior of targeted groups who participate to the instruments conception. Squatters and slum dwellers resist, they neutralize constraints and divert resources
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Sachs, Céline. "Évolution et limites de la promotion publique de logements populaires à São Paulo (1964-1985)". Paris 12, 1987. http://www.theses.fr/1987PA120026.

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Resumen
La croissance economique par l'inegalite s'accompagne a sao paulo d'une degradation des conditions de logement populaire malgre la mise en place, a partir de 1964, d'un puissant dispositif de l'intervention de l'etat dans le domaine de l'habitat, axe sur la construction de logements neufs, vendus en accession a la propriete privee et finances a partir de l'epargne populaire. La production de logements accessibles a la population a bas revenu continue a se faire trois quarts en dehors des normes legales, techniques et administratives dans les lotissements peripheriques irreguliers, les favelas (bidonvilles) et les corticos (taudis). L'analyse des politiques federales et la relecture des realisations de la promotion publique a sao paulo fait apparaitre les obstacles qui tiennent aux contradictions inherentes au modele politique, economique et social. A ces limites pour ainsi dire structurelles s'ajoutent les dysfonctionnements dus a la centralisation contraignante du cadre institutionnel. Malgre leur caractere encore experimental et l'echelle tres reduite des realisations, les programmes sociaux d'habitat d'inspiration reformiste, fondes sur l'autoconstruction et le mutirao (entraide), comportent des enseignements pour la reformulation des politiques de logement populaire
Economic growth through inequality brought about in sao paulo a deterioration in the housing conditions of low-income population, notwithstanding the existence of a powerful instrument of public intervention in housing, geared to the construction of new dwellings sold in private ownership and financed through voluntary and compulsory people's savings. About three quarters of dwellings affordable to the low-income population are still produced outside the legal, technical and administrative norms in irregular subdivisions, favelas (squatter settlements) and corticos (slums). The analysis of federal policies and the evaluation of public housing accomplishments in sao paulo leads to the identification of obstacles related to the political, economic and social model. These structural limitations are compunded by the ill functioning due to an overcentralized institutional framework. In spite of their as yet pilote stage and of modest quantitative results, programmes of social housing inspired by the reformist option, based on assisted self-help construction and mutirao (mutual aid), provide a clue for the reformulation of public policies in the realm of low-income housing
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Ott, Thomas. "Les ingouvernables : la faillite du gouvernement des roms en bidonvilles : Lyon, 2005-2012". Thesis, Lyon 2, 2015. http://www.theses.fr/2015LYO20008.

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Resumen
Ce travail s'intéresse aux politiques locales de gestion des bidonvilles à Lyon entre 2005 et 2012. J'ai tenté d'interroger ce qui mène à penser la situation des bidonvilles et des squats de roms comme une situation en même temps spécifique et ingérable. Cette spécificité amène sans cesse à questionner les roms plutôt que les modes de gestion de cette situation, ce qui fait des occupants des bidonvilles des « ingouvernables ». Le problème n'est bien entendu pas celui des roms mais un problème qui concerne le fonctionnement du collectif et notre rapport à ces situations. Parlant « d'occupation » lorsqu'un squat ou un bidonville s'installe entre les mailles du filet urbain, j'ai interrogé ce qui nous occupe tant lorsque des roms occupent une parcelle de vie urbaine. J'ai voulu montrer la répétition et l'insistance avec laquelle on est rivé sur cette présence étrange et étrangère. J'ai essayé de montrer à quel point il est nécessaire aux acteurs et observateurs des situations d'occupation de cerner, discerner et déterminer ce qui se passe et dépasse les attentes de conformation qui définissent la gouvernementalité contemporaine. C'est ce que j'ai tenté de documenter en tant que moments de « la faillite du gouvernement des roms en bidonvilles ».L'objet de ce travail est ce qu'il y a « d'ingouvernable » dans une situation. Ce qui « résiste » au gouvernement dans les situations des bidonvilles et des squats n'est pas une population en particulier, mais l'impossibilité d'en considérer une avec assurance et efficacité. Le problème n'est pas de savoir comment les roms « font » pour ne pas être identifiables à ce point, mais ce qui fait qu'il est nécessaire au gouvernement d'une situation de déterminer ce sur quoi il s'agit d'agir. En d'autres termes, il s'agit d'interroger le rapport qu'entretient l'exercice de la gouvernementalité avec les processus de subjectivation mais aussi les processus d'objectivation. De quelle manière l'exercice du pouvoir détermine un sujet agissant et en quoi les nécessaires sujets et objets transparents et adéquats à la reconnaissance, lorsqu'ils disparaissent de ce champ de « visibilité » pour atteindre le « hors-champ » des « indiscernables », remettent-ils en question l'exercice du gouvernement?L'une des notions centrales qui intervient dans ce travail est celle de résistance: d'abord, ce qui résiste est la possibilité d'objectiver ces situations, qui apparaît dans la perception de l'espace du bidonville, l'état des corps ou encore les recensements des occupants et les cartographies de l'habitat précaire, en tous les cas la possibilité de généraliser et de saisir globalement ce qui se passe; ensuite, ce qui résiste se situe dans l'action même de gestion des « situations de crise » et des bidonvilles, c'est la « crise » même qui est autant celle de l'institution qui ne peut qu'imparfaitement gérer les choses et la crise de son ambition à disposer des corps et du temps de ceux qui déborde du cadre institué; enfin, ce qui résiste s'adosse plus que s'oppose aux dispositifs par des manières de faire qui récupèrent ou conservent une marge de manœuvre tout en se situant en marge des subjectivités domestiques où s'investit avec plus ou moins de succès la gouvernementalité contemporaine
This work deals with slums management local policies in Lyon between 2005 and 2012. I tried to interrogate what is leading to think roma’s slums situation as a specific and unmanageable situation. This specificity lead constantly to question roma people rather than the management’s policies of the situation. It produce roma people as not governed people or, as i said, « the ungovernables ». The problem is not obvioulsy roma’s problem, but a problem concerning the operation of social life and our own relation with these situations. Speaking about « occupation » when a settlement is occuring in the city’s cracks, I asked what is « occupying » us so much when roma occupy a plot of our city. I wanted to show with wich repetition and insistance we are binding on this strange and foreign presence. I tried to show how much it is necessary for the observers and actors of the situation to indentify, to distinguish and to establish what is going on and what is going over the expectations of conformation, wich are defining the contemporary governmentality. That is what i tried to document it as moments of « governmentality’s failure of roma’s slums».The purpose of this work is what it is « ungovernable » in any kind of situation. What resists to the governement of squats and slums situations is not a population in particular, but the impossibility to consider one with assertivness and effectivness. The problem is not to know how roma people are doing to be unidentified at this point but what is leading to be necessary for the governement of the situation to establish what it is needed to intervene on. In other words, the question is the relation between the practice of governement and the production’s process of subjectivity, as well as objectivity : in wich way the practice of power produce an acting subject and how necessarily transparent and appropriate-to-recognition subjects and objects, when they disappear of the field of « visibility » to get « off the limelight » the field of the « indinstinguishables », are calling the practice of governement in question ?One of the central notions in this work is the notion of resistance : first of all, what resists is the possibility of objectivize these situations, wich is appearing in the tricky perception of the space or the body’s conditions in slums, or the difficulty of population census and precarious housing mapping in the whole city, in all cases the possibility to generalize and to understand globaly what happens ; then, what resists is situated in the management of a « crisis situation » as a slum, it is the « crisis » itself wich is instituion’s one who is imperfectly able to govern things, and in the same time the crisis of its ambition to state and order body’s and time’s of whom overflows the established framework ; finally, what resists lean on apparatus more than is opposed to, with some ways of operating recovering or keeping a « room for maneuver », situated in the edge of the domestic subjectivity where the contemporary governmentality try, with more or less succes, to invest
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Delon, Margot. "Les incidences biographiques de la ségrégation : trajectoires et mémoires des enfants des bidonvilles et cités de transit de l’après-guerre en France". Thesis, Paris, Institut d'études politiques, 2017. http://www.theses.fr/2017IEPP0012.

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Que sont devenus les enfants des bidonvilles et cités de transit de l’après-guerre en France ? Alliant entretiens, observations, archives et statistiques, la thèse reconstitue les expériences et les trajectoires d’individus d’origines algérienne, marocaine et portugaise ayant grandi dans les bidonvilles et cités de Nanterre et de Champigny-sur-Marne, en Île-de-France. Elle rend compte de leur vécu dans ces formes d’habitat précaires, ségrégées et stigmatisées qui ont duré de nombreuses années en insistant sur la diversité des expériences résidentielles et donc de leurs effets socialisateurs. De fait, les anciens enfants des bidonvilles et cités ont connu des trajectoires variées et n’interprètent pas cet épisode de la même façon. Quatre profils sont analysés : le reproduction des inégalités, les petites promotions locales, la reproduction de l’isolement et les ascensions sociales individuelles. La divergence de ces parcours tient à deux ensembles de facteurs. D’une part, ces familles ont été des cibles privilégiées des politiques nationales et municipales de l’habitat et de l’immigration. En catégorisant et en traitant différemment les bidonvilles et cités de transit selon l’origine de leurs habitants et leur localisation, ces politiques publiques ont eu des effets de court, moyen et long terme très importants. D’autre part, les trajectoires de ces descendants d’immigrés ont été forgées par les ressources et les dispositions antérieures à la migration de leurs parents ainsi que par les contextes relationnels dans lesquels ils ont évolué dans les bidonvilles et les cités de transit
What has become of children living in slums in Post-War France? Drawing from an investigation based on interviews, observations, archive work and statistics, I analyze in this dissertation the experiences and trajectories of individuals of Algerian, Moroccan and Portuguese descent who grew up in slums in Nanterre and Champigny-sur-Marne slums (Île-de-France region). I explain what it may have meant to live all these years in such a deprived, segregated and stigmatized form of housing and I insist on the diversity of residential experiences and of socialization effects. Indeed, previous slum children have known various trajectories and they don’t interpret this episode in the same way. Four profiles are analyzed: the reproduction of inequalities, the moderate mobilities, the reproduction of isolation, the upward trajectories. Two series of factor explain these differences. First, these families have first been targeted by national and local policies of housing and migration. By categorizing and treating differently slums depending on their inhabitants’ origins and on their location, these public policies have had very important short, mean and long time effects. Second, the trajectories have also been formed by their parents’ pre-migration resources and dispositions and by the relational contexts they evolved in while being in slums
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Collet, Victor. "Du bidonville à la cité : les trois âges des luttes pro-immigrés : une sociohistoire à Nanterre (1957-2011)". Thesis, Paris 10, 2013. http://www.theses.fr/2013PA100161.

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Resumen
Fin des années 1950. Nanterre, terre communiste et d’immigration. Terre de luttes. La politisation ouvrière et communiste rencontre la guerre d’Algérie et les bidonvilles où vivent des milliers d’Algériens, de Marocains et de Portugais. A l’éloignement municipal avec ces Nanterriens venus d’ailleurs et au traitement exceptionnel infligé à ces derniers répond la naissance d’une cause des étrangers. Cette thèse explore les différents « âges » de cette cause, en les liant au cadrage public du problème par la municipalité. L’histoire sociale et l’action collective de longue durée examinent ces luttes de l’immigration souvent oubliées, depuis les bidonvilles à l’engagement dans les cités aujourd’hui, et interrogent les rapports entre champ politique et mouvement social. Déportant le regard, la sociohistoire montre l’écart entre passé et présent, pensable et possible : de l’inventaire des problèmes par les pionniers chrétiens, de l’hybridation des luttes dans l’après 68 radicalisant la cause des « travailleurs immigrés » à gauche, à son éclatement actuel en autant d’engagements particuliers – socioculturel et de cité, pour une mémoire positive de l’immigration ou la diversité en politique, en soutien aux étrangers ou au pays d’émigration. S’y éclaire un changement majeur du répertoire militant : la déradicalisation et l’ascension associative, qui croisent au début des années 1980, le dédoublement entre soutien aux immigrés (enracinés) et défense des étrangers (fraichement arrivés). Moment où, paradoxalement, les enfants d’immigrés prennent en main leur défense pour en finir avec les derniers vestiges du « ghetto français » dans lequel on les a placés : les cités de transit
End of the 50's. Nanterre, communist stronghold and immigration land. Land of struggles. The politicized workers and communist activists encounter the Algerian conflict and the slums where thousands of migrants from Algeria, Morocco and Portugal are living. In response to the marginalization of these "Nanterriens" from abroad and the special status imposed upon them, a cause des étrangers emerges.This dissertation explores the various "stages" of that cause, linking them to the handling of the issue by the municipal authorities. Social history and the long term collective action review those often forgotten struggles of the immigration, from the slums to the involvement in today's cités, and question the relationship between the political domain and the social movement. Sociohistory shifts the focus to the gap between past and present, from the pioneering assessment of problems by christian activists, through the post-68 leftist radicalization of the cause of migrant workers, to the present day fragmentation into specific engagements: in the socio-cultural field, at the cité level, promoting a positive memory of immigration or diversité in politics, in support of the étrangers or their country of origin. It highlights a major change in the activist arena: the unradicalization and the growth of grassroots initiatives, which echo at the beginning of the 80's the de-coupling of support to the immigrés (already settled) and defence of the étrangers (newly arrived). This is also the time when the children of immigrés take things in their own hands to put an end to the last remnants of the "French ghetto" where they have been relegated: the cités de transit
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Ninnin, Justine. "Sortir des favelas de Rio de Janeiro d'une situation d'exception : sécurisation et territorialisation de l'action publique : l'exemple de Rocinha et de Vigidal". Thesis, Paris 1, 2015. http://www.theses.fr/2015PA010682.

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En tant que ville-hôte de la Coupe du Monde de Football en 2014 et des Jeux Olympiques en 2016, la municipalité de Rio de Janeiro tente de répondre aux attentes internationales concernant les enjeux de planification urbaine et de sécurité. Au cœur des actions publiques se trouvent des espaces longtemps considérés comme un « problème urbain » : les favelas. Malgré plusieurs tentatives d’éradication durant la dictature militaire, principalement dans les zones aisées de la ville, elles se sont multipliées et font aujourd’hui l’objet de politiques de sécurisation et d’urbanisation. Pour plus d’efficacité, les politiques publiques se territorialisent, favorisent les partenariats public-privé et la participation de la société civile. Il s’agit de faire sortir les favelas d’une situation d’exception en y introduisant les normes et les aménités urbaines similaires aux quartiers formels (infrastructures, équipements, services, etc.). Avec des taux de criminalité très élevés, la sécurité est un défi posé à la ville. Aussi, depuis 2008, une nouvelle politique de sécurité a été mise en place : la pacification, visant à reprendre le contrôle des territoires dominés par des groupes criminels et à améliorer les rapports entre la population et les policiers en mettant en place une occupation permanente par des Unités de Police de Pacification (UPP). Si les conditions de vie dans les favelas s’améliorent, ces nouvelles actions publiques affichent toutefois des résultats contrastés : la recrudescence de confrontations entre policiers et trafiquants dans certaines favelas pacifiées a contribué à renforcer le sentiment d’insécurité des habitants. De plus, le processus de valorisation, voire de gentrification, observé dans certaines favelas pacifiées offrirait à la fois de nouvelles opportunités aux habitants, mais, face à l’augmentation des prix, certains sont contraints à déménager. Plus généralement, l’accélération des transformations urbaines dans le contexte des méga-événements peut bouleverser l’organisation socio-spatiale de la ville (déplacements de population, travaux d’infrastructure de transport, construction d’équipements sportifs, etc.). En s’intéressant plus spécifiquement à deux favelas récemment pacifiées, Rocinha et Vidigal, situées à proximité des quartiers les plus aisés et touristiques de Rio de Janeiro, nous cherchons à mettre en lumière les transformations socio-spatiales et les effets des actions publiques territorialisées
As host city of the FIFA World Cup in 2014 and Olympic Games in 2016, municipality of Rio de Janeiro seeks to respond to international expectations in terms of urban planning and security. Favelas, which have often been considered as an « urban problem », are at the heart of the public actions. Despite several eradication attempts during the military dictatorship, especially in wealthy areas of the city, the favelas have increased and are now subject of security and urbanization policies. For efficiency, public policies are rethought in a territorialised way, reinforcing public-private partnerships and the participation of the civil society. It pretends to remove the favelas of a situation of exception by introducing standards and urban amenities similar to formal neighborhoods (infrastructure, equipment, services, etc.). With very high crime rates, security is a challenge for the city. In 2008, the Public Security Secretariat of the State of Rio de Janeiro developed the so-called “pacification” policy, aiming at regaining control of the territories dominated by criminal groups, and at improving relations between the population and the police force, with the establishment of permanent Police Pacification Units (UPP). If the living conditions in the favelas are improving, these new public actions, however, show contrasted results : a new outbreak of confrontations in pacified favelas, between traffickers and police officers has contributed to reinforcing the feeling of insecurity of favelas residents. Moreover, valuation process and even gentrification, observed in some pacified favelas open up new opportunities to residents, but because of the price increase some of them are forced to move away. More generally, acceleration of urban transformations in the context of mega-events could modify the socio- spatial organization of the city (population displacements; transport infrastructure works, sports facilities construction, etc.). Focusing more specifically on two recently pacified favelas, Rocinha and Vidigal, located near wealthiest and most tourist areas of Rio de Janeiro, we seek to highlight the socio- spatial transformations and the effects of territorialised public actions
Como cidade-sede da Copa do Mundo FIFA em 2014 e dos Jogos Olímpicos em 2016, a municipalidade do Rio de Janeiro procura atender as expectativas internacionais em termos de planejamento urbano e de segurança. No centro das ações publicas se encontram áreas que foram consideradas durante muito tempo como um " problema urbano " : as favelas. Apesar de várias tentativas de erradicação na época da ditadura, especialmente nas áreas mais ricas da cidade, elas multiplicaram-se e são agora objeto de políticas de segurança e urbanização. Para mais eficiência, as políticas públicas se territorializam, e promovem parcerias público-privadas e a participação da sociedade civil. Trata-se da saída das favelas duma situação de exceção através da introdução de normas e amenidades urbanas semelhantes aos bairros formais (infra-estruturas, equipamentos, serviços, etc.). Com índices de criminalidade muito altos, a segurança é um desafio para a cidade. Assim, desde 2008, uma nova política de segurança está sendo implantada : a pacificação, para tentar recuperar territórios dominados por grupos criminosos e melhorar as relações entre a população e a polícia através de uma ocupação permanente das Unidades de Polícia Pacificadora (UPP). Se as condições de vida nas favelas estão melhorando, essas novas ações públicas, no entanto, mostram resultados contrastados : o aumento de confrontos entre a polícia e traficantes em algumas favelas pacificadas contribuiu para reforçar o sentimento de insegurança dos moradores. Além disso, o processo de valorização até mesmo de gentrificação, observado em algumas favelas pacificadas iria oferecer novas oportunidades para alguns moradores, mas por causa do aumento dos preços, algums deles têm que se remover. Dum modo mais geral, as accelerações das transformações urbanas no contexto dos mega-eventos pode modificar a organização sócio-espacial da cidade (remoções, obras de infra-estrutura de transporte, construção de instalações esportivas, etc.). Centrando-se mais especificamente em duas favelas recentemente pacificadas, Rocinha e Vidigal, localizadas perto das áreas mais ricas e turísticas do Rio de Janeiro, procuramos destacar as transformações sócio-espaciais e os efeitos das ações públicas territorializadas
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Gosselin, Anne-Sophie. "La danse à l’école des pauvres : projet politique d’intégration sociale des enfants des favelas : l’exemple d’une ONG à Fortaleza, Brésil". Thesis, Paris 10, 2011. http://www.theses.fr/2011PA100155/document.

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Resumen
Basé sur une démarche empirique, l’objet d’étude de la thèse est centré sur la notion de pauvreté dans ses dimensions corporelle et politique. Réalisé entre 2006 et 2007 dans une ONG brésilienne où sont enseignées les danses classique et contemporaine à des jeunes des favelas de Fortaleza (métropole du Nordeste du Brésil), le travail ethnographique constitue un fondement empirique pour questionner de manière théorique l’articulation entre les processus de socialisation et d’incorporation dans les logiques de prise en charge des populations dites pauvres, exclues ou marginalisées. Dans le cadre d’une idéologie de l’intégration sociale, nous démontrons comment l’art chorégraphique est réapproprié et utilisé comme mécanisme éducatif de lutte contre l’exclusion sociale. L’enjeu du travail d’observation et d’analyse sociologique est de montrer, dans une démarche compréhensive, en quoi la danse peut être – ou ne pas être – support d’une insertion sociale et d’une affiliation aux institutions éducatives. En d’autres termes, comment l’apprendre par corps peut participer d’un projet de socialisation des populations des favelas. Est-ce qu’apprendre la danse permet – ou ne permet pas – de se constituer un rapport « différent » au monde social et à l’insertion dans ce monde social ? L’observation ethnographique révèle des processus de socialisation qui mettent eu jeu le corps, mais aussi le langage et l’affect. Entre la favela et l’école de danse, l’analyse fait ainsi apparaître une socialisation plurielle qui débouche sur des logiques de socialisation différenciées à la fois complémentaires et conflictuelles. En dépassant la réalité locale observée, cette étude permet finalement une réflexion générale sur les notions d’intégration et d’exclusion, sur la pauvreté dans les favelas, les politiques sociales et les actions des ONG sur ce que l’on nomme les « marges » de la société Brésilienne
Based on an empirical approach, the object of study of this thesis focuses on the notion of poverty taking into consideration its body and political dimensions. Realised from 2006 to 2007 in a Brazilan dance school and NGO where Contemporary and Classical dance are taught to young people coming from the favelas of Fortaleza (large city of the Northeast of Brazil), ethnographic work constitutes a grounded basis that leads to theoretical questions concerning socialization and embodiment in the context of social work with populations said to be poor, excluded and marginalized. As part of an ideology of social integration, the art of choreography is transformed into an educational means to fight against social exclusion. Adopting a comprehensive approach, the ethnographic observation and the sociological analysis aim at demonstrating how dance can – or cannot – be the support of social integration and affiliation to educational institutions. In other words, how learning through the body experience can take part in the project of socialization of people from the favelas. Does learning dance allow – or not – an individual to create a “different” relation to the social world and to assist the individual being integrated into this social world? The ethnograhic observation highlights socialization processes mobilizing the body but also language and affect. Between the favela and the dance school, the analysis shows a plural socialization that leads to differentiated processes both complementary and conflicting. Surpassing the local reality observed, this study finally brings a larger reflection on the notions of integration and exclusion, poverty in the favelas, social policies and the actions of the NGOs on what is called the “margins” of Brazilian society
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Cohen, Muriel. "Des familles invisibles : politiques publiques et trajectoires résidentielles de l'immigration algérienne (1945-1985)". Phd thesis, Université Panthéon-Sorbonne - Paris I, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01001023.

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Resumen
L'immigration familiale algérienne en France s'est développée entre le début des années 1950 et le début des années 1980, selon des configurations variées, fonction du contexte et des situations sociales. Le nombre de familles algériennes en France est ainsi passé de quelques milliers à 100 000 environ. Dans un premier temps, seuls les travailleurs les plus stables ont fait venir leur famille, mais la guerre d'indépendance a entraîné des arrivées précipitées de familles fuyant les violences de guerre. Dès l'indépendance, des mesures ont été prises pour encadrer et limiter de façon stricte les arrivées de ces familles, alors que les familles étrangères soumises au régime général d'immigration affluaient. Le logement a été le principal instrument de cette politique d'immigration familiale discriminatoire. La présence d'importants bidonvilles algériens, dans un contexte de grave crise du logement, a été utilisée comme prétexte à cette politique, malgré l'existence d'autres bidonvilles et la capacité financière de la plupart des familles à se loger autrement. Mais dans le même temps, des mesures ont été prises pour améliorer les conditions de logement des familles étrangères installées en France, qui ont largement bénéficié aux familles algériennes - en dépit de discriminations de la part de certains bailleurs sociaux -, du fait de l'ancienneté de leur implantation et de la taille des familles. Un certain nombre parviennent également à se loger dans le parc privé ordinaire, éventuellement en devenant propriétaire. La minorité de familles issues des bidonvilles et relogées en cités de transit, dont la vie quotidienne est retracée dans cette thèse, ont cependant été durablement exclues de l'accès au logement et à la ville contemporaine.
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Libros sobre el tema "Bidonvilles – Politique publique"

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Securitization of Property Squatting in Europe Routledge Research in Urban Politics and Policy. Taylor & Francis Ltd, 2013.

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Capítulos de libros sobre el tema "Bidonvilles – Politique publique"

1

DUEZ, Jean-Baptiste. "Autour des projets d’insertion des « Roms »". En Pratiques de la diversité et de la citoyenneté, 109–24. Editions des archives contemporaines, 2022. http://dx.doi.org/10.17184/eac.5590.

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Resumen
Le concept de « super-diversité » proposé par Steven Vertovec (Vertovec, 2007) peut s’avérer prolifique pour aborder la situation contrastée des destructions des « terrains », « bidonvilles », « Platz » ou « campements » et des mouvements sociaux qui les ont accompagnés, mais aussi pour questionner les conditions d’émergence des projets d’insertion ainsi que leur réception. Une enquête ethnographique s’intéressant au parcours de « résidents » et au suivi de personnes s’étant trouvées sur différents bidonvilles restitue ces différentes situations afin de décrire comment l’inscription territoriale s’est concrétisée, et comment les parcours individuels et d’élévation sociale se construisent en dépit des stratégies nationales visant à les refouler. Malgré un intérêt marqué pour l’histoire européenne et mondiale qui les concerne au premier plan, le constat reste celui d’une situation figée et d’un faible engagement de l’État et des politiques publiques.
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