Literatura académica sobre el tema "Berry (France) – 16e siècle"

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Artículos de revistas sobre el tema "Berry (France) – 16e siècle"

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Beltran, Alain. "Woronoff Denis, Histoire de l'industrie en France. Du 16e siècle à nos jours". Vingtième Siècle. Revue d'histoire 54, n.º 2 (1 de abril de 1997): 149–50. http://dx.doi.org/10.3917/ving.p1997.54n1.0149.

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Burg, Gaëlle. "La littérature médiévale en FLE : un corpus à réévaluer". Swiss Journal of Educational Research 44, n.º 3 (14 de diciembre de 2022): 378–87. http://dx.doi.org/10.24452/sjer.44.3.7.

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Resumen
Le corpus littéraire traditionnellement utilisé dans l’enseignement secondaire et supérieur en FLE emprunte le plus souvent à la littérature des 19e, 20e et 21e siècles, plus rarement aux œuvres du 16e, 17e et 18e siècle et presque jamais aux textes du Moyen Âge. Plusieurs facteurs peuvent l’expliquer : l’inaccessibilité apparente de ces textes, la barrière représentée par la langue ancienne, une méconnaissance des enseignant·e·s à l’égard de cette littérature, son absence dans les manuels ou encore un point aveugle de la recherche en didactique des langues étrangères. Cet article propose une analyse du corpus littéraire enseigné en FLE (secondaire et supérieur en France, Allemagne et Suisse) et propose des pistes pour l’élaboration d’une didactique du texte ancien en classe de FLE.
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NEVEU, A. "La raniculture est-elle une alternative à la récolte ? Etat actuel en France". INRAE Productions Animales 17, n.º 3 (29 de julio de 2004): 161–75. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.3.3587.

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Resumen
La grenouille est apparue dans la gastronomie européenne au cours du 16e siècle. La plupart des grenouilles consommées sont prélevées sur des stocks naturels, mais ceux-ci ont fortement diminué au cours du 20e siècle du fait de l’augmentation de l’activité humaine (augmentation des prélèvements, diminution des habitats favorables). La France est le principal pays importateur avec 3000-4000 t/an de cuisses surgelées en provenance des pays d’Extrême-Orient et 700-800 t/an de grenouilles vivantes. Au cours des dernières années, des essais d’élevage intensif de grenouilles ont été conduits dans plusieurs pays. Des essais ont été mis en place dans les années 80 dans l’ouest de la France pour tester les capacités d’élevage de grenouilles du complexe esculenta (deux espèces parentales : Rana lessonae et R. ridibunda et un hybride : R. esculenta). R. ridibunda s’est avérée la plus intéressante pour l’élevage intensif et a fait l’objet d’un essai de longue durée. Au début de l’essai, les femelles effectuaient plusieurs pontes par an avec une fertilité satisfaisante. Après une dizaine d’années d’élevage, la fécondité et la fertilité ont diminué, sans que les causes de ces diminutions soient totalement élucidées. Le développement des têtards dure de 2 à 3 mois.Les grenouillettes peuvent être alimentées avec des granulés dès la métamorphose. Après 40 jours, le taux de survie est de 92 % et la taille moyenne de 32 mm. La durée d’élevage depuis le sevrage est de 10 à 12 mois, avec une production de 20 à 30 kg/m2 pour une température comprise entre 15 et 25°C. Une alternative à la production intensive est de reconstituer les stocks naturels. Depuis 1986, plusieurs essais ont été conduits avec R. temporaria, qui associent l’élevage intensif des têtards en étang, le lâcher des grenouillettes dans la nature et le suivi du retour des adultes qui reviennent pondre sur leur lieu de naissance après deux ou trois ans (taux de retour d’environ 6 %). Le choix entre ces deux voies doit également tenir compte des contraintes réglementaires et socio-économiques.
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Weis, Monique. "Le mariage protestant au 16e siècle: desacralisation du lien conjugal et nouvelle “sacralisation” de la famille". Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, n.º 8 (20 de junio de 2019): 134. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.07.

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Resumen
RÉSUMÉLe principal objectif de cet article est d’encourager une approche plus large, supraconfessionnelle, du mariage et de la famille à l’époque moderne. La conjugalité a été “désacralisée” par les réformateurs protestants du 16e siècle. Martin Luther, parmi d’autres, a refusé le statut de sacrement au mariage, tout en valorisant celui-ci comme une arme contre le péché. En réaction, le concile de Trente a réaffirmé avec force que le mariage est bien un des sept sacrements chrétiens. Mais, promouvant la supériorité du célibat, l’Église catholique n’a jamais beaucoup insisté sur les vertus de la vie et de la piété familiales avant le 19e siècle. En parallèle, les historiens décèlent des signes de “sacralisation” de la famille protestante à partir du 16e siècle. Leurs conclusions doivent être relativisées à la lumière de recherches plus récentes et plus critiques, centrées sur les rapports et les représentations de genre. Elles peuvent néanmoins inspirer une étude élargie et comparative, inexistante dans l’historiographie traditionnelle, des réalités et des perceptions de la famille chrétienne au-delà des frontières confessionnelles.MOTS-CLÉ: Époque Moderne, mariage, famille, protestantisme, Concile de TrenteABSTRACTThe main purpose of this paper is to encourage a broader supra-confessional approach to the history of marriage and the family in the Early Modern era. Wedlock was “desacralized” by the Protestant reformers of the 16th century. Martin Luther, among others, denied the sacramental status of marriage but valued it as a weapon against sin. In reaction, the Council of Trent reinforced marriage as one of the seven sacraments. But the Catholic Church, which promoted the superiority of celibacy, did little to defend the virtues of family life and piety before the 19th century. In parallel, historians have identified signs of a “sacralization” of the Protestant family since the 16th century. These findings must be relativized in the light of newer and more critical studies on gender relations and representations. But they can still inspire a broader comparative study, non-existent in traditional confessional historiography, of the realities and perceptions of the Christian family beyond denominational borders.KEY WORDS: Early Modern Christianity, marriage, family, Protestantism, Council of Trent BIBLIOGRAPHIEAdair, R., Courtship, Illegitimacy and Marriage in Early Modern England, Manchester, Manchester University Press, 1996.Beaulande-Barraud, V., “Sexualité, mariage et procréation. Discours et pratiques dans l’Église médiévale (XIIIe-XVe siècles)”, dans Vanderpelen-Diagre, C., & Sägesser, C., (coords.), La Sainte Famille. Sexualité, filiation et parentalité dans l’Église catholique, Problèmes d’Histoire des Religions, 24, Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, 2017, pp. 19-29.Bels, P., Le mariage des protestants français jusqu’en 1685. 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Lebrun, François. "François Laplanche, La Bible en France, entre mythe et critique, 16e -19e siècle, Paris, Albin Michel, « L'évolution de l'humanité », 1994, 318 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 50, n.º 1 (febrero de 1995): 215–16. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900060819.

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Maillard, Michel. "L'évolution des modèles propositionnels dans la grammaire portugaise de 1536 à 1936". Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, n.º 25 (9 de abril de 2022): 201–16. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2008.1397.

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Resumen
Durant les quatre siècles qui s'écoulent de 1536, date de parution de la première grammaire vernaculaire du portugais, à 1936, année où se publie la dernière grammaire historique du corpus, notre article suit l'évolution, au Portugal, des modèles de la proposition. Cette histoire peut se diviser en quatre périodes, selon que l'influence idéologique dominante vient d'Espagne, de France ou d'Allemagne. C'est d'abord, au 16e siècle, la grammaire «humaniste», marquée par le castillan Nebrija. Apparaît ensuite, aux 17e et 18e siècles, la grammaire «universaliste», qui se veut conforme au schéma Suppositum-Verbum-Appositum de Sánchez de las Brozas. Suit au 19e la grammaire «philosophique», influencée par le modèle Sujet-Copule-Attribut de Port-Royal et des Encyclopédistes. Vient enfin la grammaire «philologique», marquée par l'Allemagne, et qui se développe après 1870, sous la double influence contradictoire du modèle verbo-centré de Becker et du modèle nomino-centré de Diez. On s'interrogera non seulement sur la pertinence des différents modèles pour la description du portugais mais aussi sur les facteurs externes, d'ordre géographique, politique et culturel, qui peuvent expliquer le succès d'un paradigme à un moment donné de l'histoire.
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ΝΥΣΤΑΖΟΠΟΥΛΟΥ-ΠΕΛΕΚΙΔΟΥ, ΜΑΡΙΑ. "ΤΑ ΠΛΑΣΤΑ ΕΓΓΡΑΦΑ ΣΤΟΥΣ ΜΕΣΟΥΣ ΧΡΟΝΟΥΣ ΣΤΟ ΒΥΖΑΝΤΙΟ ΚΑΙ ΣΤΑ ΒΑΛΚΑΝΙΑ: Κριτήρια πλαστότητας, στόχοι και τεχνικές". Eoa kai Esperia 7 (1 de enero de 2007): 25. http://dx.doi.org/10.12681/eoaesperia.7.

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Resumen
<p>Le problème de la distinction entre les documents authentiques et les faux fut posé au 17e siècle en Allemagne et en France, pour des raisons politiques et sociales: en France, en raison de la lutte des rois contre les revendications des nobles; en Allemagne, à cause des contestations de droit civil. Mais c'est dans les milieux des Acta Sanctorum à la deuxième moitié de ce siècle que l'on a commencé à faire dans les archives des couvents des recherches systématiques sur l'authenticité des documents, en vue de l'édition des Vies des saints. La recherché dans ce domaine du moine jésuite Daniel vo Papenbroeck (1659), la première du genre, fut importante, quoique incomplète et avec des critères souvent inexacts. Le bénédictin Jean Mabillon en 1675 a corrigé et complété cette recherche avec une rigoureuse méthode scientifique: dans son grande oeuvre De re diplomatica (1681) il a formulé des règles fondamentales pour l'étude critique des documents, mettant ainsi les bases de la Diplomatique en tant que science à part. Selon l'opinion généralement admise, on considère comme faux les documents dont les éléments ne correspondent pas aux données historiques et diplomatiques. La falsification des documents est un phénomène diachronique concernant des affaires ecclésiastiques, publiques ou privées. Au Moyen Âge, à Byzance et aux pays Balkaniques, les faux n'étaient pas rares et leur nombre s'augmenta à l'époque de la domination ottomane.</p>Objectif de la falsification des documents est principalement la revendication des biens (fonciers ou revenus) et des privilèges, exemptions fiscales ou subventions, et d'autres objets d'intérêt surtout économique. Le temps de leur falsification a une grande importance pour la recherche, car il peut fournir d'éléments utiles pour le motif de cette entreprise. Le faussaire ne rédige jamais en entier son document, mais au contraire, afin de lui donner une apparence d'authenticité, il copie un ou plusieurs documents authentiques antérieurs, dont le contenu concorde plus ou moins à son sujet. Ainsi quelquefois le faux a l'aspect d'une copie - authentifiée, philologique ou figurée -, ce qui crée dans certains cas des difficultés à la recherche (cf. Actes de Chilandar, n. éd., No 37). <p>Critères de fausseté sont certains éléments de forme et de fond: tells le papier (p. ex. les filigranes), l'encre, l'emploi anormal du sceau et l'écriture; la structure et l'enregistrement; Vintitulatio et la phrase finale des actes impériaux; les fautes d'orthographe, de syntaxe et d'expression, surtout pour les documents de la chancellerie impériale; l'emploi inexact de termes, de titres, d'institutions et de données prosopographiques et numismatiques ne correspondant pas à la réalité historique; enfin, la discordance des éléments chronologiques qui constitue la faute la plus fréquente. Pour tous ces cas nous citons d'exemples caractéristiques. Quand le faussaire a comme modèle un seul document authentique, il le copie d'habitude presque mot à mot, tâchant de remplacer les éléments spéciaux de son modèle par ceux qui correspondent à son objet. Il combine parfois les éléments des plusieurs documents authentiques. Dans certains cas la fabrication du faux se fait par étapes, surtout quand son modèle est en mauvais état ou bien qu'il n'existe pas un modèle propre à la circonstance (cf. Actes de Docheiariou, app. III).</p> <p>Parmi les méthodes les plus caractéristiques que le faussaire emploie pour donner une apparence d'authenticité à son faux, nous notons celle où l'on fait ratifier le document falsifié par une autorité, ecclésiastique d'habitude, qui, ne connaissant pas les critères d'authenticité, le certifie, de bonne foi, ou plus encore il le fait introduire dans son propre document. Tel fut le cas du faux chrysobulle de Manuel II Paléologue (1407), en faveur du couvent de Kastamonitou, fabriqué au 16e siècle et ratifié par le patriarche Jéremie II en 1579, qui l'a fait introduire dans son gramma dont une copie confirmée par l'Hiéra Koinotès du Mont Athos fut par la suite ratifiée par le patriarche Callinique IV vers 1803 (Actes de Kastamonitou, Ιγ). Mais le cas le plus frappant est celui des deux faux chrysobulles en faveur du couvent de Xéropotamou, attribués l'un à l'empereur Théodose II (427), conservé en "copie conforme" (ίσον άπαράλλακτον) du métropolite d'Adrinople Nicéphore (1774-1780), et l'autre à Romain 1er Lécapène (924) (!!); tous les deux, pleins de fautes diplomatiques et d'anachronismes historiques, furent fabriqués probablement à la première moitié du 18e siècle, pour soutenir l'ancienneté du couvent et certifier la possession précieuse d'un morceau de la Sainte Croix. Le faux de Romain 1er fut traduit en valaque (déjà en 1759), italien, latin et français (Actes de Xéropotamou, Ια et Iß). Nos recherches nous ont permis de soutenir que ce faux fut employé par les moines de Xéropotamou pour leur quête (ζητεία) surtout aux Principautés Danubiennes (depuis 1761) au profit de leur couvent qui se trouvait alors en grande pénurie; ce qui explique le motif de la fabrication et de la traduction en valaque.</p> <p>En terminant, nous signalons que la plupart de documents faux dont la date falsifiée se rapporte à Byzance ou aux pays Balkaniques sont fabriqués durant la domination ottomane, quand la situation politique et économique ainsi que les cadres administratifs avaient totalement changés et que les couvents et autres fondations avaient perdu leur revenus et leurs privilèges. Le fait que les autorités d'alors ignoraient les critères d'authenticité des documents facilitait cette entreprise.</p> <p>Nous signalons enfin que les documents falsifiés, tout en étant faux du point devue diplomatique, ont une certaine valeur en tant que sources historiques, car il peuvent, sous certaines conditions, nous fournir des renseignements utiles, diplomatiques et historiques.</p><p> </p><br />
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Renard, Samuel. "Bouchet Marion, La céramique de la fin de l’âge du Fer dans le Berry. Approches chronologique, culturelle et territoriale de la société des Bituriges ( ii e - i er siècle av. J.-C.) , Tours, FERACF, 2017, 292 p., 116 fig., 1 CD-Rom (Revue archéologique du Centre de la France, Suppl. 67). ISBN 978-2-913272-53-8. Prix : 30 €". Revue du Nord 423, n.º 5 (9 de julio de 2018): III. http://dx.doi.org/10.3917/rdn.423.0331c.

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Frobert, Ludovic. "N. Zemon Davis, Essai sur le don dans la France du 16e siècle". Astérion, n.º 1 (1 de junio de 2003). http://dx.doi.org/10.4000/asterion.20.

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Gagné, Natacha. "Anthropologie et histoire". Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.060.

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On a longtemps vu l’histoire et l’anthropologie comme deux disciplines très distinctes n’ayant pas grand-chose en partage. Jusqu’au début du XXe siècle, l’histoire fut essentiellement celle des « civilisés », des Européens et donc des colonisateurs. Si les colonisés n’étaient pas complètement absents du tableau, ils étaient, au mieux, des participants mineurs. L’anthropologie, pour sa part, s’est instituée en ayant pour objet la compréhension des populations lointaines, les « petites sociétés », autochtones et colonisées, ces populations vues comme hors du temps et de l’histoire. Cette situation était le produit d’une division traditionnelle (Harkin 2010 : 114) – et coloniale (Naepels 2010 : 878) – du travail entre histoire et anthropologie. Celle-ci se prolongeait dans le choix des méthodes : les historiens travaillaient en archives alors que les anthropologues s’intéressaient aux témoignages oraux et donc, s’adonnaient à l’enquête de terrain. Les deux disciplines divergeaient également quant à la temporalité : « Pour l’histoire, (…) le temps est une sorte de matière première. Les actes s’inscrivent dans le temps, modifient les choses tout autant qu’ils les répètent. (…) Pour l’anthropologue, s’il n’y prend garde, le temps passe en arrière-plan, au profit d’une saisie des phénomènes en synchronie » (Bensa 2010 : 42). Ces distinctions ne sont plus aujourd’hui essentielles, en particulier pour « l’anthropologie historique », champ de recherche dont se revendiquent tant les historiens que les anthropologues, mais il n’en fut pas de tout temps ainsi. Après s’être d’abord intéressés à l’histoire des civilisations dans une perspective évolutionniste et spéculative, au tournant du siècle dernier, les pères de l’anthropologie, tant en France (Émile Durkheim, Marcel Mauss), aux États-Unis (Franz Boas), qu’en Angleterre (Bronislaw Malinowski, Alfred Radcliffe-Brown), prendront fermement leur distance avec cette histoire. Les questions de méthode, comme le développement de l’observation participante, et l’essor de concepts qui devinrent centraux à la discipline tels que « culture » et « fonction » furent déterminants pour sortir de l’idéologie évolutionniste en privilégiant la synchronie plutôt que la diachronie et les généalogies. On se détourna alors des faits uniques pour se concentrer sur ceux qui se répètent (Bensa 2010 : 43). On s’intéressa moins à l’accidentel, à l’individuel pour s’attacher au régulier, au social et au culturel. Sans être nécessairement antihistoriques, ces précepteurs furent largement ahistoriques (Evans-Pritchard 1962 : 172), une exception ayant été Franz Boas – et certains de ses étudiants, tels Robert Lowie ou Melville J. Herskovits – avec son intérêt pour les contacts culturels et les particularismes historiques. Du côté de l’histoire, on priorisait la politique, l’événement et les grands hommes, ce qui donnait lieu à des récits plutôt factuels et athéoriques (Krech 1991 : 349) basés sur les événements « vrais » et uniques qui se démarquaient de la vie « ordinaire ». Les premiers essais pour réformer l’histoire eurent lieu en France, du côté des historiens qui seront associés aux « Annales », un nom qui réfère à la fois à une revue scientifique fondée en 1929 par Marc Bloch et Lucien Febvre et à une École d’historiens français qui renouvela la façon de penser et d’écrire l’histoire, en particulier après la Seconde Guerre mondiale (Krech 1991; Schöttler 2010). L’anthropologie et la sociologie naissantes suscitèrent alors l’intérêt chez ce groupe d’historiens à cause de la variété de leurs domaines d’enquête, mais également par leur capacité à enrichir une histoire qui n’est plus conçue comme un tableau ou un simple inventaire. Les fondateurs de la nouvelle École française des Annales décrivent leur approche comme une « histoire totale », expression qui renvoie à l’idée de totalité développée par les durkheimiens, mais également à l’idée de synthèse du philosophe et historien Henry Berr (Schöttler 2010: 34-37). L’histoire fut dès lors envisagée comme une science sociale à part entière, s’intéressant aux tendances sociales qui orientent les singularités. L’ouvrage fondateur de Marc Bloch, Les rois thaumaturges (1983 [1924]), pose les jalons de ce dépassement du conjoncturel. Il utilise notamment la comparaison avec d’autres formes d’expériences humaines décrites notamment dans Le Rameau d’Or (1998 [1924; 1890 pour l’édition originale en anglais]) de James G. Frazer et explore le folklore européen pour dévoiler les arcanes religieux du pouvoir royal en France et en Angleterre (Bensa 2010; Goody 1997). Il s’agit alors de faire l’histoire des « mentalités », notion qui se rapproche de celle de « représentation collective » chère à Durkheim et Mauss (sur ce rapprochement entre les deux notions et la critique qui en a été faite, voir Lloyd 1994). Les travaux de la deuxième génération des historiens des Annales, marqués par la publication de l’ouvrage de Fernand Braudel La Méditerranée et le monde méditerranéen à l’époque de Philippe II en 1949 et de son arrivée en 1956 à la direction de la revue, peuvent encore une fois mieux se comprendre dans l’horizon du dialogue avec l’anthropologie, d’une part, et avec les area studiesqui se développèrent aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, de l’autre (Braudel 1958). Le projet est de rapporter « la spécificité des acteurs singuliers, des dates et des événements à des considérations plus vastes sur la transformation lente des mœurs et des représentations. Le travail ne consiste pas seulement à capter au projet de l’histoire des rubriques chères à l’anthropologie, mais aussi à caractériser une époque [et une région] par sa façon de percevoir et de penser le monde » (Bensa 2010 : 46). Il s’agit alors de faire l’histoire des structures, des conjonctures et des mentalités (Schöttler 2010 : 38). Les travaux de cette deuxième génération des Annales s’inscrivent dans un vif débat avec l’anthropologie structuraliste de Claude Lévi-Strauss. Si tant Braudel que Lévi-Strauss voulaient considérer les choses de façon globale, Lévi-Strauss situait la globalité dans un temps des sociétés des origines, comme si tout s’était joué au départ et comme si l’histoire n’en serait qu’un développement insignifiant. Pour sa part, Braudel, qui s’intéressait à l’histoire sérielle et à la longue durée, situait plutôt la globalité dans un passé qui sert à comprendre le présent et, jusqu’à un certain point, à prévoir ce qui peut se passer dans le futur. Ce qui constitue le fond de leur opposition est que l’un s’intéresse à l’histoire immobile alors que l’autre s’intéresse à l’histoire de longue durée, soit l’histoire quasi immobile selon laquelle, derrière les apparences de la reproduction à l’identique, se produisent toujours des changements, même très minimes. Dans les deux cas, l’ « événementiel » ou ce qui se passe à la « surface » sont à l’opposé de leur intérêt pour la structure et la profondeur, même si ces dernières ne sont pas saisies de la même façon. Pour Braudel, la structure est pleinement dans l’histoire ; elle est réalité concrète et observable qui se décèle notamment dans les réseaux de relations, de marchandises et de capitaux qui se déploient dans l’espace et qui commandent les autres faits dans la longue durée (Dosse 1986 : 89). Les travaux de Braudel et son concept d’ « économie-monde » inspireront plusieurs anthropologues dont un Marshall Sahlins et un Jonathan Friedman à partir du tournant des années 1980. Pour Lévi-Strauss, la structure profonde, celle qui correspond aux enceintes mentales humaines, « ne s’assimile pas à la structure empirique, mais aux modèles construits à partir de celle-ci » (Dosse 1986 : 85). Elle est donc hors de l’histoire. Comme le rappelait François Hartog (2014 [2004] : 287), Lévi-Strauss a souvent dit « rien ne m’intéresse plus que l’histoire. Et depuis fort longtemps! » (1988 : 168; voir d’ailleurs notamment Lévi-Strauss 1958, 1983), tout en ajoutant « l’histoire mène à tout, mais à condition d’en sortir » (Lévi-Strauss 1962 : 348) ! Parallèlement à l’entreprise déhistoricisante de Lévi-Strauss, d’autres anthropologues insistent au contraire à la même époque sur l’importance de réinsérer les institutions étudiées dans le mouvement du temps. Ainsi, Edward E. Evans-Pritchard, dans sa célèbre conférence Marett de 1950 qui sera publiée en 1962 sous le titre « Anthropology and history », dénonce le fait que les généralisations en anthropologie autour des structures sociales, de la religion, de la parenté soient devenues tellement généralisées qu’elles perdent toute valeur. Il insiste sur la nécessité de faire ressortir le caractère unique de toute formation sociale. C’est pour cette raison qu’il souligne l’importance de l’histoire pour l’anthropologie, non pas comme succession d’événements, mais comme liens entre eux dans un contexte où on s’intéresse aux mouvements de masse et aux grands changements sociaux. En invitant notamment les anthropologues à faire un usage critique des sources documentaires et à une prise en considération des traditions orales pour comprendre le passé et donc la nature des institutions étudiées, Evans-Pritchard (1962 : 189) en appelle à une combinaison des points de vue historique et fonctionnaliste. Il faut s’intéresser à l’histoire pour éclairer le présent et comment les institutions en sont venues à être ce qu’elles sont. Les deux disciplines auraient donc été pour lui indissociables (Evans-Pritchard 1962 : 191). Au milieu du XXe siècle, d’autres anthropologues s’intéressaient aux changements sociaux et à une conception dynamique des situations sociales étudiées, ce qui entraîna un intérêt pour l’histoire, tels que ceux de l’École de Manchester, Max Gluckman (1940) en tête. En France, inspiré notamment par ce dernier, Georges Balandier (1951) insista sur la nécessité de penser dans une perspective historique les situations sociales rencontrées par les anthropologues, ce qui inaugura l’étude des situations coloniales puis postcoloniales, mais aussi de l’urbanisation et du développement. Cette importance accordée à l’histoire se retrouva chez les anthropologues africanistes de la génération suivante tels que Jean Bazin, Michel Izard et Emmanuel Terray (Naepels 2010 : 876). Le dialogue entre anthropologie et histoire s’est développé vers la même époque aux États-Unis. Après le passage de l’Indian Claims Commission Act en 1946, qui établit une commission chargée d’examiner les revendications à l’encontre de l’État américain en vue de compensations financières pour des territoires perdus par les nations autochtones à la suite de la violation de traités fédéraux, on assista au développement d’un nouveau champ de recherche, l’ethnohistoire, qui se dota d’une revue en 1954, Ethnohistory. Ce nouveau champ fut surtout investi par des anthropologues qui se familiarisèrent avec les techniques de l’historiographie. La recherche, du moins à ses débuts, avait une orientation empirique et pragmatique puisque les chercheurs étaient amenés à témoigner au tribunal pour ou contre les revendications autochtones (Harkin 2010). Les ethnohistoriens apprirent d’ailleurs à ce moment à travailler pour et avec les autochtones. Les recherches visaient une compréhension plus juste et plus holiste de l’histoire des peuples autochtones et des changements dont ils firent l’expérience. Elles ne manquèrent cependant pas de provoquer un certain scepticisme parmi les anthropologues « de terrain » pour qui rien ne valait la réalité du contact et les sources orales et pour qui les archives, parce qu’étant celles du colonisateur, étaient truffées de mensonges et d’incompréhensions (Trigger 1982 : 5). Ce scepticisme s’estompa à mesure que l’on prit conscience de l’importance d’une compréhension du contexte historique et de l’histoire coloniale plus générale pour pouvoir faire sens des données ethnologiques et archéologiques. L’ethnohistoire a particulièrement fleuri en Amérique du Nord, mais très peu en Europe (Harkin 2010; Trigger 1982). On retrouve une tradition importante d’ethnohistoriens au Québec, qu’on pense aux Bruce Trigger, Toby Morantz, Rémi Savard, François Trudel, Sylvie Vincent. L’idée est de combiner des données d’archives et des données archéologiques avec l’abondante ethnographie. Il s’agit également de prendre au sérieux l’histoire ou la tradition orale et de confronter les analyses historiques à l’interprétation qu’ont les acteurs de l’histoire coloniale et de son impact sur leurs vies. La perspective se fit de plus en plus émique au fil du temps, une attention de plus en plus grande étant portée aux sujets. Le champ de recherche attira graduellement plus d’historiens. La fin des années 1960 fut le moment de la grande rencontre entre l’anthropologie et l’histoire avec la naissance, en France, de l’« anthropologie historique » ou « nouvelle histoire » et, aux États-Unis, de la « New Cutural History ». L’attention passa des structures et des processus aux cultures et aux expériences de vie des gens ordinaires. La troisième génération des Annales fut au cœur de ce rapprochement : tout en prenant ses distances avec la « religion structuraliste » (Burguière 1999), la fascination pour l’anthropologie était toujours présente, produisant un déplacement d’une histoire économique et démographique vers une histoire culturelle et ethnographique. Burguière (1999) décrivait cette histoire comme celle des comportements et des habitudes, marquant un retour au concept de « mentalité » de Bloch. Les inspirations pour élargir le champ des problèmes posés furent multiples, en particulier dans les champs de l’anthropologie de l’imaginaire et de l’idéologique, de la parenté et des mythes (pensons aux travaux de Louis Dumont et de Maurice Godelier, de Claude Lévi-Strauss et de Françoise Héritier). Quant à la méthode, la description dense mise en avant par Clifford Geertz (1973), la microhistoire dans les traces de Carlo Ginzburg (1983) et l’histoire comparée des cultures sous l’influence de Jack Goody (1979 [1977]) permirent un retour de l’événement et du sujet, une attention aux détails qui rejoignit celle qu’y accordait l’ethnographie, une conception plus dynamique des rapports sociaux et une réinterrogation des généralisations sur le long terme (Bensa 2010 : 49 ; Schmitt 2008). Aux États-Unis, la « New Culturel History » qui s’inscrit dans les mêmes tendances inclut les travaux d’historiens comme Robert Darnon, Natalie Zemon Davis, Dominick La Capra (Iggers 1997; Krech 1991; Harkin 2010). L’association de l’histoire et de l’anthropologie est souvent vue comme ayant été pratiquée de manière exemplaire par Nathan Wachtel, historien au sens plein du terme, mais également formé à l’anthropologie, ayant suivi les séminaires de Claude Lévi-Strauss et de Maurice Godelier (Poloni-Simard et Bernand 2014 : 7). Son ouvrage La Vision des vaincus : les Indiens du Pérou devant la Conquête espagnole 1530-1570 qui parut en 1971 est le résultat d’un va-et-vient entre passé et présent, la combinaison d’un travail en archives avec des matériaux peu exploités jusque-là, comme les archives des juges de l’Inquisition et les archives administratives coloniales, et de l’enquête de terrain ethnographique. Cet ouvrage met particulièrement en valeur la capacité d’agir des Autochtones dans leur rapport avec les institutions et la culture du colonisateur. Pour se faire, il appliqua la méthode régressive mise en avant par Marc Bloch, laquelle consiste à « lire l’histoire à rebours », c’est-à-dire à « aller du mieux au moins bien connu » (Bloch 1931 : XII). Du côté des anthropologues, l’anthropologie historique est un champ de recherche en effervescence depuis les années 1980 (voir Goody 1997 et Naepels 2010 pour une recension des principaux travaux). Ce renouveau prit son essor notamment en réponse aux critiques à propos de l’essentialisme, du culturalisme, du primitivisme et de l’ahistoricisme (voir Fabian 2006 [1983]; Thomas 1989; Douglas 1998) de la discipline anthropologique aux prises avec une « crise de la représentation » (Said 1989) dans un contexte plus large de décolonisation qui l’engagea dans un « tournant réflexif » (Geertz 1973; Clifford et Marcus 1986; Fisher et Marcus 1986). Certains se tournèrent vers l’histoire en quête de nouvelles avenues de recherche pour renouveler la connaissance acquise par l’ethnographie en s’intéressant, d’un point de vue historique, aux dynamiques sociales internes, aux régimes d’historicité et aux formes sociales de la mémoire propres aux groupes auprès desquels ils travaillaient (Naepels 2010 : 877). Les anthropologues océanistes participèrent grandement à ce renouveau en discutant de la nécessité et des possibilités d’une anthropologie historiquement située (Biersack 1991; Barofsky 2000; Merle et Naepels 2003) et par la publication de plusieurs monographies portant en particulier sur la période des premiers contacts entre sociétés autochtones et Européens et les débuts de la période coloniale (entre autres, Dening 1980; Sahlins 1981, 1985; Valeri 1985; Thomas 1990). L’ouvrage maintenant classique de Marshall Sahlins, Islands of History (1985), suscita des débats vigoureux qui marquèrent l’histoire de la discipline anthropologique à propos du relativisme en anthropologie, de l’anthropologie comme acteur historique, de l’autorité ethnographique, de la critique des sources archivistiques, des conflits d’interprétation et du traitement de la capacité d’agir des populations autochtones au moment des premiers contacts avec les Européens et, plus largement, dans l’histoire (pour une synthèse, voir Kuper 2000). Pour ce qui est de la situation coloniale, le 50e anniversaire de la publication du texte fondateur de Balandier de 1951, au début des années 2000, fut l’occasion de rétablir, approfondir et, dans certains cas, renouveler le dialogue non seulement entre anthropologues et historiens, mais également, entre chercheurs français et américains. Les nouvelles études coloniales qui sont en plein essor invitent à une analyse méticuleuse des situations coloniales d’un point de vue local de façon à en révéler les complexités concrètes. On y insiste aussi sur l’importance de questionner les dichotomies strictes et souvent artificielles entre colonisateur et colonisé, Occident et Orient, Nord et Sud. Une attention est aussi portée aux convergences d’un théâtre colonial à un autre, ce qui donne une nouvelle impulsion aux analyses comparatives des colonisations (Sibeud 2004: 94) ainsi qu’au besoin de varier les échelles d’analyse en établissant des distinctions entre les dimensions coloniale et impériale (Bayart et Bertrand 2006; Cooper et Stoler 1997; Singaravélou 2013; Stoler, McGranahn et Perdue 2007) et en insérant les histoires locales dans les processus de globalisation, notamment économique et financière, comme l’ont par exemple pratiqué les anthropologues Jean et John Comaroff (2010) sur leur terrain sud-africain. Ce « jeu d’échelles », représente un défi important puisqu’il force les analystes à constamment franchir les divisions persistantes entre aires culturelles (Sibeud 2004: 95). Ce renouveau a également stimulé une réflexion déjà amorcée sur l’usage des archives coloniales ainsi que sur le contexte de production et de conservation d’une archive (Naepels 2011; Stoler 2009), mais également sur les legs coloniaux dans les mondes actuels (Bayart et Bertrand 2006; De l’Estoile 2008; Stoler 2016)
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Tesis sobre el tema "Berry (France) – 16e siècle"

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Perrochon, Cécile. "L'architecture bénédictine en Berry aux XIe et XIIe siècles". Paris 10, 2005. http://www.theses.fr/2005PA100085.

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Le monachisme bénédictin, solidement implanté en Berry, y connut son plein épanouissement aux XIe et XIIe siècles. Nombreux étaient les édifices religieux qui, à cette période, relevaient de la règle de saint Benoît. Aujourd'hui, certains constituent des exemples particulièrement remarquables de l'art roman. Treize abbayes furent fondées entre 613 et 1093 ; d'elles dépendaient trois cent vingt et une églises berrichonnes. L'analyse architecturale des premières met en évidence des éléments structurels et fonctionnels récurrents, plus ou moins sensibles dans les secondes. L'évocation d'édifices non bénédictins de la région montre cependant que les églises qui forment le corpus de cette étude leur sont étroitement apparentées ; il n'existe donc pas de caractéristiques artistiques particulières à l'ordre, dont le rôle s'est probablement limité à favoriser l'impact exercé sur le Berry par plusieurs grands établissements comme Cluny ou Saint-Benoît-sur-Loire
Benedictine monachism was firmly established in Berry, and thrived there throughout the XIth and XIIth centuries. In those times, numerous were the religious edifices which depended on saint Benedict's rule. Nowadays, some of them constitute particularly noticeable examples of romanesque art. Between 613 and 1093, thirteen abbeys were founded. They ruled over three hundred and twenty one churches scattered all over Berry. The architectural analysis of the formers throws light on recurring structural as well as functional elements which seem less obvious in the latters. For that matter, considering the non benedictine edifices of the area shows that they bear a close relation to the churches on which this study focuses. We can therefore infer that there are no artistic characteristics specific to that order, whose role was probably limited to spreading the influence of such great monasteries as Cluny or Saint-Benoît-sur-Loire
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Boisson, Didier. "Les protestants de l'ancien colloque du Berry de la Révocation de l'édit de Nantes à la fin de l'ancien Régime (1679-1789), ou l'inégale résistance de minorités religieuses". Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040096.

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Jusqu'en 1685, les protestants du colloque du Berry sont très minoritaires : la plupart des communautés sont isolées (Aubusson, Corbigny, Issoudun), mais les plus importantes se localisent dans le val de Loire (Sancerre, Chatillon-sur-Loire et Gien). Dans les années qui précédent l'Edit de Fontainebleau, les protestants résistent aux persécutions, malgré l'action du clergé catholique et la destruction de temples. Au XVIIIe siècle, ils subissent des persécutions qui sont plus importantes en période de paix extérieure et pour lesquelles les intendants jouent un rôle considérable. Le clergé catholique cherche à convertir sincèrement les nouveaux catholiques, mais il ne comprend pas la politique royale : il souhaite davantage de fermeté. La révocation est responsable de la dispersion de nombreux protestants dans le royaume : les villes d'Orléans et surtout de paris servent de refuge. Le nombre de départs vers les pays étrangers varie beaucoup d'une communauté à une autre. Les biens des fugitifs peuvent être saisis, mais le pouvoir se revele souvent incapable de les gérer correctement. Les communautés protestantes résistent à Sancerre, Chatillon-sur-Loire et Asnières-les-bourges, ailleurs elles disparaissent. Le culte peut ainsi continuer grâce principalement à l'ancrage du calvinisme parmi les éléments populaires, vignerons et artisans. Les notables se convertissent, quittent la région ou ne participent au culte public que tardivement. La composition socioprofessionnelle des communautés s'est peu modifiée au XVIIIe siècle : celle d'Asnières n'est toujours composée que de vignerons, celle de Chatillon-sur-Loire est partagée entre notables et vignerons, mais celle de sancerre voit disparaitre ses élites. Quand l'édit de 1787 est promulgue, la tolérance n'est pas admise par tout le monde, en particulier par le clergé
Until 1685, the protestants in berry were a true minority : most of the communities were quite isolated (Aubusson, Corbigny, Issoudun) but the more important ones settled in the Loire valley (sancerre, chatillon-sur-loire, gien). In the years before the edict of Fontainebleau, the calvinists resisted the persecutions in spite of the catholic clergy's action and the destruction of their temples. In the eighteenth century, they faced more important persecutions in external peacetime in which administrators played a significant part. The catholic clergy wished sincerely to convert the new catholics but they didn't understand the royal policy and expected a firmer action. The revocation is responsible for the dispersion of numerous protestants all over the kingdom : Orleans but Paris above were their only places of refuge. The number of escapes to foreign countries varied from a community to another. The fugitives' properties were seized but the administration couldn't deal properly with them. The protestant communities resisted in Sancerre, Chatillon-sur-Loire and Asnieres-les-Bourges, but everywhere else they disappeared. The protestant service could then only go on thanks to the presence of calvinism among the people like vine growers and craftsmen. The leading citizens got converted, left the spot or attended the public church service belatedly. In the eighteenth century, the profession of those who were part of communities remained quite the same : vine growers in Asnieres, leading citizens and vine growers in Chatillon-sur-Loire but in the community of Sancerre, the elite disappeared. When the edict of 1787 was promulgated, toleration wasn't accepted by everybody and particularly among the clergy
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Pauquet, Alain. "La société et les relations sociales en Berry au milieu du XIXe siècle : essai d'une histoire globale de la sociabilité dans le département du Cher de 1830 à 1855". Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010709.

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Au milieu du dix-neuvième siècle, la société dans le Cher (la partie nord du Berry) était encore profondément rurale, agraire et inégalitaire (domination de la grande propriété). La population augmentait rapidement grâce à une natalité élevée et une mortalité en diminution. La révolution industrielle et agricole avait commencé depuis mille huit cent trente-cinq environ, mais elle se trouvait freinée par la crise du milieu du siècle. Sous la seconde république, les idées démocratiques se répandirent et en mille huit cent quarante-neuf, la majorité des électeurs votèrent pour les "rouges". L'études des actes de mariage de l'année mille huit cent quarante-cinq a permis de mieux connaitre cette société, en mesurant pour chaque classe sociale et chaque profession, la mobilité sociale, les migrations, le choix des conjoints (âge, homogamie, endogamie) ainsi que la sociabilité d'amitié et de parenté (d'après les témoins au mariage). Pour chaque type de relation sociale, il a été effectué une analyse factorielle. Dans le cas des relations d'amitié, celle-ci constitue une sorte de test sociométrique à grande échelle, qui révèle, mieux que les mariages, le système des liens sociaux. La variété des occasions de rencontre est présentée dans l'étude des lieux publics (promenades, cafés, théâtres) des réunions privées (salons, veillées paysannes), des fêtes et des grèves. Cette études de la sociabilité (qui inclut la dimension géographique des phénomènes) analyse également les structures familiales (avec une typologie), les associations (notamment les cercles bourgeois) et l'envers de la sociabilité (la criminalité et les différentes formes de violence). En conclusion, l'auteur, qui insiste sur la coupure sociologique des années mille huit cent trente à trente-cinq propose l'édification d'une "sociométrie historique"
In the middle of the nineteenth century, the society in cher (the northern part of Berry) was still intensely rural, agrarian and inequal (domination of large estates). Population was increasing fastly, thanks to a high birth rate and a declining mortality. The industrial and agricultural revolution had started since about eighteen hundred and thirty five, but it was slowed down by the crisis of the middle of the century. Democratic ideas spread out under the second republic and, in the year eighteen forty nine, a majority of electors voted for the "reds". The analysis of marriage certificates of eighteen hundred and forty five has allowed a better knowledge of this society. A statistical study has been done for each social class and each profession, about social mobility, migrations, the choice of spouses (according to their age, homogamy or endogamy) as well as sociability of friendship and kinship (proved by the witnesses at the wedding). Computer graphics made with the analysis of contingency tables have been realised for each kind of social relationship. As far as friendship relationship are concerned, the computer graphic is like a sociometric test, at a large scale, which reveals the system of social links, better than the analysis of marriages themselves. The diversity of social gatherings appears in the sociological study of public places, private meetings, festivals and strikes as well. This research about sociability (which includes geographical variations) also describes the structures of families (using a typology), associations (especially about clubs) and the other side of sociability (criminality and all kinds of violence). As a conclusion, the writer, who insists on the social brake of the first years of the reign of louis-philippe, suggests the project of an "historical sociometry"
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Malandain, Gilles. "L'affaire Louvel, ou l'introuvable complot : événement, enquête judiciaire et expression politique dans la France de la Restauration". Paris 12, 2005. https://athena.u-pec.fr/primo-explore/search?query=any,exact,990003941880204611&vid=upec.

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"Partant d'un questionnement sur les formes de l'expression politique avant l'avènement du suffrage universel, ce travail revient sur un événement retentissant, un peu oublié, l'assassinat du duc de Berry, neveu de Luois XVIII, le 13 février 1820. Largement interprété comme le résultat d'un complot, l'attentat de Louvel est suivi d'une crise politique majeure et d'une vaste enquête, jusqu'au procès de l'assassin devant la Cour des pairs. Une exceptionnelle mobilisation de tous les agents de l'Etat, notamment magistrats, policiers et préfets, conduit à la production de sources originales sur une France hantée par la rupture révolutionnaire, où le complot se révèle introuvable mais prolixe. La thèse se concentre d'abord sur l'expérience, les usages ou contre-usages, et les diverses lectures de l'événement, puis elle analyse en détail l'enquête comme processus et comme pratique "interactive". Enfin la question du rapport populaire au politique est abordée à travers les apports des sources judiciaires. "
This thesis proposes to pay attention to a tremendous but forgotten event, the assassination of the duc de Berry, Louis XVIII's nephew, on 13th of February 1820. Louvel's crime was widely understood as the result of a plot against the monarchy, and led therefore to a major political crisis and royalist reaction. The murderer's trial before the Cour des pairs was also preceded by a broad inquiry, involving most officials, ike magistrates or prefects, trying to pierce the social and political darkness of postrevolutionary France. They found not plot but proceded original archive materials on memories and rumours stirred up by the event in various social classes. The study first focuses on the ways the event was experienced, used and read among the political opinion. Then judicial proceedings and police investigation are analyzed in detail. The case of Louvel and more generally the way these judicial sources help understanding popular uses of politics between 1789 and 1848 are finally discussed
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Fontvieille, Damien. "La galaxie Bochetel : un clan de pouvoir au service de la couronne de France de Louis XII à Louis XIII". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2020. http://www.theses.fr/2020SORUL144.

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Cette thèse étudie un groupe de familles alliées au XVIe siècle, formant un clan de pouvoir aux vastes dimensions. Guillaume Bochetel, secrétaire d’État de 1547 à sa mort en 1558, est l’architecte de ce clan. Par les alliances nouées pour ses enfants, il a rassemblé autour de lui plusieurs familles de robins en ascension par le service du roi, les L’Aubespine, les Bourdin, les Morvillier notamment qui, à leur tour, ont apporté leurs propres alliés, comme les Neufville ou les Brulart. L’étude est menée du XVe siècle, moment où plusieurs familles se mettent au service des princes dans le Val de Loire, et le début du XVIIe siècle lorsque le clan se délite progressivement, laissant pour héritier politique Villeroy, secrétaire d’État de Charles IX à Louis XIII. Il s’agit de mettre en évidence un groupe de pouvoir particulier, marqué par une forte solidarité, et l’importance des liens du sang, dont les membres exercent les plus hautes charges sous les Valois. Ils détiennent la plupart des secrétariats d’État entre 1547 et 1588 et occupent régulièrement des charges diplomatiques en Europe. Le fonctionnement d’un tel clan, avec ses rivalités, les rôles dévolus à chacun, et ses différentes figures est mis en avant. Le clan, par son ancrage en Berry, où il dispose de nombreux alliés, permet également d’examiner la manière dont se noue le dialogue entre la cour de France et les provinces. Les hommes et les femmes du clan ont en partage une identité sociale particulière, entre haute robe cultivée et noblesse. Ce clan offre ainsi un miroir des transformations de la monarchie française à l’époque moderne, entre État domestique et naissance progressif d’une administration expérimentée
This thesis study a familial group which composes a clan of power whose extension is very large. Guillaume Bochetel, secretary of State between 1547 and his death in 1558, is the architect of this clan. Through the alliances forged for his children he has reunited around him several families of “robins” who move up the social ladder thanks the service of the king, such as the L’Aubespine, the Bourdin or the Morvillier who in turn have brought their own allies, such as the Neufville or the Brulart. The study covers a period between the 15th century, when several families start serving the princes of the Val de Loire and the beginning of the 17th century when the clan is progressively fading away leaving Villeroy as the political heir, secretary of State between Charles IX and Louis XIII. The purpose is to underline a particular group of power marked by a strong solidarity and the importance of blood links, whose members hold the highest offices under the Valois. They possess the majority of the secretaries of State between 1547 and 1588 and are regularly sent as diplomates in Europe. The functioning of this clan with its rivalries, the roles given to each member and its different figures is outlined. The clan, through his allies in Berry, allows to study the dialog between the French court and the provinces. The men and women of this clan share a particular social identity, between the “haute robe” and the nobility. This clan offers also a mirror of the transformations of the French monarchy in the modern era, between a domestic state and the progressive birth of an experimented administration
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Morgat, Alain. "Tenir son rang : Apanages et douaires royaux en France au seizième siècle (1498-1620)". Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2004PA040198.

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Since the Middle Ages, kings of France give pieces of land to members of their family, in order to provide them with the means of maintaining a rank suiting to their extraction. This practice lives on during the XVIth century, in which about twenty apanages and dowers are founded for princes, princesses and dowager queens of France. Women are still entitled to receive domains from the King, although the legislation of the time tends to limit their rights. The resources of their domains and financial aid of the King allow the “princes apanagés” to support a household consonant with their rank, thanks to the careful management of the councils which assist them. Within the princely domains the local officers accept the new authorities upon them, but they keep on following the royal pattern of government. The presence of the “princes apanagés” in their domains is vividly made clear only in the event of special acts, such as the repeated favours granted by duchesses of Berry Marguerite d'Angoulême and Marguerite de France to the University of Bourges or the use by François d'Alençon of the duchy of Anjou for his political plans
Le roi de France accorde depuis le Moyen Age aux membres de sa famille des domaines afin que ceux-ci aient les moyens financiers de tenir un rang digne de leur origine. Cette pratique perdure au XVIe siècle, au cours duquel une vingtaine d'apanages et de douaires sont constitués en faveur de princes, de princesses et de reines douairières de France. Les femmes ont en effet encore le droit de recevoir des donations domaniales, en dépit d'un certain durcissement de la législation à cette époque. Les ressources de leurs domaines et l'aide financière du roi permettent aux princes d'entretenir une maison conforme à leur rang, grâce à la gestion attentive des Conseils qui les assistent. Au sein des domaines princiers, les juridictions et les officiers locaux prennent en compte le changement d'autorité, sans pour autant s'écarter du modèle de l'administration monarchique. La présence des princes apanagés s'y marque surtout en cas d'action particulière, par exemple les faveurs des duchesses de Berry Marguerite d'Angoulême et de Marguerite de France à l'égard de l'université de Bourges ou l'utilisation du duché d'Anjou par François d'Alençon dans le cadre de ses menées politiques
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Gourgues, Pascal. "Le Berry du VIIIème au début du XIème siècle : Etude sur les manifestations de pouvoir dans la seconde moitié du haut Moyen âge". Paris 2, 2000. http://www.theses.fr/2000PA020038.

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Au xie siecle, treize familles sont implantees dans l'ancien cadre du pagus de berry. Les differents statuts qui ressortent de l'etude de ces lignages invitaient a poser la question de l'origine de leurs pouvoirs et, plus globalement, a chercher si leur place ne pouvait s'expliquer par l'organisation carolingienne et la lente evolution des institutions au cours des viiie, ixe et xe siecles. Troispoints ont ete envisages -le premier a trait aux circonscriptions mineures. Une demarche pluridisciplinaire a permis de cerner certaines des realites recouvertes par des termes comme vicaria, centena ou encore defensaria. La structure de ces circonscriptions donne en outre l'occasion de determiner l'existence de lieux ou s'exprimait, a l'epoque carolingienne, le pouvoir public et qui ne sont pas forcement mentionnes par les sources. -le deuxieme point aborde la question du fonctionnement des institutions dans le berry aquitain entre la fin du viiie et le debut du xe siecle. La documentation, le plus souvent exterieure a cette region aide a cerner la place a part de ce comte frontalier et surtout le role capital de l'archeveque de bourges, principal appui du rexfrancorum dans sa politique meridionale. -enfin, le dernier point vise a cerner la chronologie de l'emergence des nouvelles formes de pouvoir. Si la mort du dernier duc guilhemide laisse la succession d'aquitaine vacante elle ne marque pas pour autant la disparition de l'autorite comtale et donc de l'unite du berry. Ce sont les robertiens qui y imposent leur puissance ce qui explique d'une part, que le berry echappe au renouveau de la principaute d'aquitaine et d'autre part, la place grandissante des vassaux d'hugues le grand comme les maisons de blois ou d'anjou dans le nord de la region. Dans le reste du pagus ce sont principalement trois familles, issues d'anciens agents du pouvoir, qui arrivent a imposer leur domination.
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Wanegffelen, Thierry. "Des chrétiens entre Rome et Genève : une histoire de choix religieux en France, vers 1520-vers 1610". Paris 1, 1994. http://www.theses.fr/1994PA010696.

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1520-1580 : Deux mises en œuvre rivales de l'idéal de réforme, les réformations protestante et catholique, déchirent la chrétienté occidentale. Chacune constitue une église qui prétend à l'universalité. Mais ce phénomène de « construction confessionnelle » (konfessionsbildung) est trop rapide (à peine le temps d'une vie) pour que tous les chrétiens parviennent à l'accepter sans difficulté. Or, ni l'histoire des églises, ni l'histoire des dogmes ne rendent compte de positions « d'entredeux confessionnel » pourtant fort répandues. Pour les aborder, il faut, au contraire, tenter une histoire de la sensibilité religieuse, être attentif aux destins singuliers. Ceux-ci ont permis l'élaboration de quatre concepts : nicodemites, moyenneurs, temporiseurs et ireniques. Nicodemites (en particulier Marguerite de Navarre et son confesseur Gérard Roussel) et moyenneurs (notamment, a des titres divers, Claude d'Espense, le cardinal Charles de Lorraine, Charles du Moulin, Jean de Monluc et Michel de L'Hospital) sont inscrits dans le premier XVIe siècle, avant le tournant des années 1550-1560, donc dans une époque où il demeure possible, même si c'est de plus en plus difficile, de refuser le choix confessionnel tout en restant catholique; les iréniques, quant à eux (surtout Jean Hotman de Villiers et Pierre de L'Estoile), dans les années 1580-1610, catholiques comme protestants, n'ont pu que s'y plier, tout en le relativisant. Enfin les temporiseurs (Hugues Sureau du Rosier, les « fidèles infidèles » de Troyes et de Lectoure. . . ), encore dans les années 1560-1580, ont tout fait pour le différer. L'étude permet d'abandonner la vision frontale traditionnelle, et d'opérer des distinctions qui manquent aux analyses habituelles du fait confessionnel, en particulier entre catholicisme et reformation catholique. Elle facilite, entre autres, la compréhension de la conversion d'Henri IV, elle éclaire d'un jour nouveau des phénomènes majeurs du XVIIe siècle , tels que le jansénisme voire l'arminianisme, et elle contribue à mieux comprendre le développement du déisme au XVIIIe
From 1520 up to 1580, western christianity was split by the two competing protestant and catholic reformations. Each camp set up its own church which pretended to be universal, yet this denominational settlement (konfessionsbildung) was too quick to be fully acceptable by all christians (it hardly covered a life-span). Neither the history of churches nor a history of doctrines have so far properly insisted on the existence of a distinctive via media advocated by a number of contemporaries. This approach rests on a history of religious sensibility, and a number of individual cases emerge. Four groups of people were involved at the time : nicodemites, moyenneurs, temporiseurs et ireniques. The nicodemites (in particular Marguerite de Navarre and her confessor, Gérard Roussel) and the middle-of-the-road moyenneurs (Claude D’Espense, cardinal Charles de Lorraine, Charles du Moulin, Jean de Monluc and Michel de L'Hospital. . . ) Lived in the fir st half of the sixteenth century, prior to the 1550-60 turning point. They could still regard themselves as catholic, though it was increasingly difficult to avoid denominational commitment. The irenics (especially the protestant jean hotman de villiers and the catholic pierre de l'estoile) only paid lip service to religious allegiance, while the delaying temporiseurs (Hugues Sureau du Rosier, and some inhabitants of troyes in champagne and lectoure in gascony) tri ed to postpone their choice indefinitely in the 1560s-1580s. This study questions received denominational interpretation s, by introducing new, hitherto unexplored distinctions between catholicism and the catholic reformation. In tum, it ope ns, new perspectives on the conversion of Henri IV, seventeenth-century arminianism and jansenism, not ot forget later deism in the age of the enlightement
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Nassieu-Maupas, Audrey. "Peintres et lissiers à Paris dans la première moitié du XVIe siècle". Paris, EPHE, 2006. http://www.theses.fr/2006EPHE4083.

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Roussel, Diane. "Paris en ordres et désordres : justice, violence et société dans la ville capitale au XVIe siècle". Paris 13, 2008. http://www.theses.fr/2008PA131027.

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Paris à l’aube des temps modernes mérite-t-elle la sulfureuse réputation de capitale du crime que lui attribue en particulier la propagande monarchique glorifiant la Lieutenance générale de Police, créée en 1667 ? La capitale au XVIe siècle est-elle « pousse-au-crime » ou, au contraire, matrice de civilisation des mœurs ? Alors que la Couronne étend sa tutelle en matière de police, les figures du voleur et du meurtrier professionnels, ainsi que du marginal délinquant, mobilisent les efforts de réforme comme ils envahissent l’imaginaire des chroniqueurs parisiens. Les sources de la pratique judiciaire (lettres de rémission, instructions criminelles du parlement de Paris et du tribunal seigneurial de Saint-Germain-des-Prés) montrent en revanche l’omniprésence de la violence ordinaire. L’étude de ses formes, de ses circonstances et de la sociologie des criminels permet de distinguer les caractères spécifiques de la violence parisienne. Tandis que l’engouement pour le duel à l’épée modèle l’homicide urbain, les sources de la petite délinquance présentent de nombreux indices de la lente pacification des citadins. La justice, mais aussi le groupe professionnel et la communauté des voisins exercent, selon des modalités parfois concurrentes, mais le plus souvent complémentaires, un contrôle social étroit sur la jeunesse. L’événement traumatisant de l’assassinat d’Henri IV, en 1610, révèle cependant la fin de ce système communautaire traditionnel de régulation du désordre, fragilisé par les nouveaux défis de la poussée démographique, de la paupérisation et des inégalités socio-culturelles croissantes, et manifeste, à l’inverse, le tournant vers l’État protecteur
Does Paris in the early modern period deserve the fiendish reputation of the ‘crime capital’, as the monarchic propaganda would have us to believe in order to glorify the Lieutenance générale de Police, created in 1667 ? Does the French capital in the 16th century produces crime or is it, on the contrary, a matrix of civilization? While the Crown widens its guardianship in police, the figures of the professional thief and murderer, as well as the delinquent vagabond, mobilize the efforts of reform as they invade the imagination of the Parisian chroniclers. The sources of the judicial practice (letters of remission, criminal instructions of the Paris’ Parliament and the seigniorial court of Saint-Germain-des-Prés) show on the other hand the omnipresence of common violence. The study of its forms and circumstances as well as the sociology of criminals allows distinguishing specific patterns in the Parisian violence. Whereas the craze for sword duel shapes the urban homicide, the records of small crime present numerous hints of the slow pacification of townsmen’s behaviours. Justice, but also the professional group and the neighbours’ community exert a narrow social control over the youth with rival but mostly complementary modalities. However, the traumatizing event of Henri IV assassination, in 1610, reveals the end of this traditional community system of disorder regulation, weakened by the new challenges of the population increase, the impoverishment and the raising sociocultural gap, and shows the population’s request for State protection
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Libros sobre el tema "Berry (France) – 16e siècle"

1

Braekman, E. M. Le Protestantisme belge au 16e siècle: Belgique, Nord de la France, Refuge. Carrières-sous-Poissy, France: La Cause, 1999.

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2

Early modern France, 1560-1715. 2a ed. Oxford: Oxford University Press, 1998.

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3

Françoise, Autrand, Stirnemann Patricia Danz 1945-, Villela-Petit Inès y Toulet Emmanuelle 1957-, eds. Les Très riches heures du duc de Berry et l'enluminure en France au début du XV siècle. Paris: Somogy, 2004.

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4

Stirnemann, Patricia. Les Très riches heures du duc de Berry et l'enluminure en France au début du XVe siècle. Paris: Somogy, 2004.

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5

Société historique du Val de Sèvre, ed. Dictionnaire des familles de Saint-Maixent: Selon les registres des paroisses Saint-Saturnin et Saint-Léger, du 16e siècle à 1802. [Saint-Maixent-L'Ecole]: Société historique du Val de Sèvre, 2002.

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6

Lacour, Francesca. Les fils de saint François en Berry: Le couvent des Cordeliers de Châteauroux du XIIIe siècle à nos jours. La Crèche: Geste, 2011.

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7

Bonniffet, P. Structures sonores de l'humanisme en France: De Maurice Scève, Delie, object de plus haulte vertu (Lyon, 1544) à Claude Le Jeune, Second livre des meslanges (Paris, 1612). Paris: H. Champion, 2005.

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Voyageurs étrangers à la cour de France: 1589-1789 : regards croisés. Rennes: Presses universitaires de Rennes, 2014.

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9

Roy, Lyse. L' Université de Caen aux XVe et XVIe siècles: Identité et représentation. Leiden: Brill, 2006.

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10

Roy, Lyse. L'Université de Caen aux XVe et XVIe siècles: Identité et représentation. Leiden: Brill, 2005.

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Capítulos de libros sobre el tema "Berry (France) – 16e siècle"

1

Guyotjeannin, Olivier. "Fils et filles de roi de France, du xiie au xve siècle : du lignage au royaume". En Jean de Berry et l’écrit, 113–31. Éditions de la Sorbonne, 2019. http://dx.doi.org/10.4000/books.psorbonne.54203.

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