Tesis sobre el tema "Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Influence – Chine"

Siga este enlace para ver otros tipos de publicaciones sobre el tema: Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Influence – Chine.

Crea una cita precisa en los estilos APA, MLA, Chicago, Harvard y otros

Elija tipo de fuente:

Consulte los 20 mejores tesis para su investigación sobre el tema "Aristote (0384-0322 av. J.-C. ; philosophe) – Influence – Chine".

Junto a cada fuente en la lista de referencias hay un botón "Agregar a la bibliografía". Pulsa este botón, y generaremos automáticamente la referencia bibliográfica para la obra elegida en el estilo de cita que necesites: APA, MLA, Harvard, Vancouver, Chicago, etc.

También puede descargar el texto completo de la publicación académica en formato pdf y leer en línea su resumen siempre que esté disponible en los metadatos.

Explore tesis sobre una amplia variedad de disciplinas y organice su bibliografía correctamente.

1

Zhu, Weijia. "La diffusion et l'influence de la philosophie d'Aristote en Chine à partir des dynasties Ming et Qing". Electronic Thesis or Diss., Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0014.

Texto completo
Resumen
Cette thèse porte sur la diffusion et l’influence des idées d’Aristote en Chine de la fin de la dynastie Ming jusqu’à la période contemporaine. Le but de cette recherche consiste à cerner les impacts interculturels et à favoriser la compréhension des dialogues et des échanges entre la culture d’origine européenne et chinoise. Il était important de découvrir la traduction des oeuvres et les recherches spécialisées concernant la philosophie d’Aristote en Chine. Il semblait aussi pertinent de se pencher sur l’étude comparative entre la philosophie d’Aristote et quelques courants de pensée principaux de la Chine dans certains domaines, comme l’éthique et l’éducation de Confucius, la philosophie naturelle de Lao zi, la logique de Mo zi et la pensée politique de Han Feizi. Et pour conclure, il fallait reconnaître les influences considérables d’Aristote dans ces domaines en Chine. Cette étude s’appuie sur une base documentaire large et variée que j’ai dépouillée en France et en Chine
This thesis focuses on the spread and the influence of Aristotle¡¯s ideas in China from the end of the Ming`s Dynasty to the contemporary period. The purpose of this research is to identify the interculturals impacts and to promote the understanding of the dialogues and the exchanges between European and Chinese native culture. It was of great importance to find out the translation of the works and also the specialized research on the philosophy of Aristotle in China. In addition, a comparative study on the philosophy of Aristotle and several major schools of thought in China in some areas, such as the ethics and the education of Confucius, the natural philosophy of Laozi, the logic of Mo Zi and the political thought of Han Feizi. At the end, we try to conclude with the considerable influence of Aristotle in several areas in China. This study is based on a wide series of documents we have got through in France and in China
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
2

Zhu, Weijia. "La diffusion et l'influence de la philosophie d'Aristote en Chine à partir des dynasties Ming et Qing". Thesis, Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0014.

Texto completo
Resumen
Cette thèse porte sur la diffusion et l’influence des idées d’Aristote en Chine de la fin de la dynastie Ming jusqu’à la période contemporaine. Le but de cette recherche consiste à cerner les impacts interculturels et à favoriser la compréhension des dialogues et des échanges entre la culture d’origine européenne et chinoise. Il était important de découvrir la traduction des oeuvres et les recherches spécialisées concernant la philosophie d’Aristote en Chine. Il semblait aussi pertinent de se pencher sur l’étude comparative entre la philosophie d’Aristote et quelques courants de pensée principaux de la Chine dans certains domaines, comme l’éthique et l’éducation de Confucius, la philosophie naturelle de Lao zi, la logique de Mo zi et la pensée politique de Han Feizi. Et pour conclure, il fallait reconnaître les influences considérables d’Aristote dans ces domaines en Chine. Cette étude s’appuie sur une base documentaire large et variée que j’ai dépouillée en France et en Chine
This thesis focuses on the spread and the influence of Aristotle¡¯s ideas in China from the end of the Ming`s Dynasty to the contemporary period. The purpose of this research is to identify the interculturals impacts and to promote the understanding of the dialogues and the exchanges between European and Chinese native culture. It was of great importance to find out the translation of the works and also the specialized research on the philosophy of Aristotle in China. In addition, a comparative study on the philosophy of Aristotle and several major schools of thought in China in some areas, such as the ethics and the education of Confucius, the natural philosophy of Laozi, the logic of Mo Zi and the political thought of Han Feizi. At the end, we try to conclude with the considerable influence of Aristotle in several areas in China. This study is based on a wide series of documents we have got through in France and in China
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
3

Brague, Rémi. "Aristote et la question du monde". Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040002.

Texto completo
Resumen
Plusieurs aspects de la métaphysique, de la physique, de l'éthique et de la psychologie d’Aristote peuvent s'interpréter comme des affleurements d'un concept non-thématisé, celui d'être-dans-le-monde (l'in-der-welt-sein de heidegger). L’ensemble de la pensée grecque classique, même si elle était fascinée par l'ordre du cosmos, ne s'est guère demande ce que signifiait "être-dans-le-monde". L’expérience de la facticité, qui est un des traits fondamentaux de celle-ci, est ce qui permet à Aristote dans le protreptique, de justifier la vie philosophique ; mais il conçoit celle-ci comme culminant dans la contemplation, c'est-à-dire l'accès a ce qui est au plus haut point (ch. 2). Aristote est toujours resté pris dans cette ambiguïté, qui provient de ladite transposition : son éthique révèle ses hésitations entre deux sujets de l'agir moral : le "je" à qui il incombe d'agir de par ce qu'il a d'unique, le cédé a l'homme, tel qu'il est défini par sa place parmi les autres parties de l'univers (ch. 3 & 4). Par suite, il lui faut définir l'homme comme le plus mondain des êtres sublunaires : l'homme imite l'univers grâce à son universalité, et parce qu'il est capable de saisir les réalités les plus élevées (ch. 5). Cependant, Aristote ne peut définir le topos - ce dans quoi sont les choses- sans renvoyer à notre façon particulière d'être-là, même s'il réintroduit ensuite l'idée d'univers grâce à sa théorie des dimensions du corps humain comme fondées dans la structure objective du cosmos (ch. 6). Les difficultés de la définition aristotélicienne de l'âme ainsi que celles de la doctrine de l'intellect agent proviennent de la tentative d'Aristote pour transposer ce qu'il pense implicitement comme l'ouverture même du monde à travers notre présence dans le registre de la réalité mondaine-ce qui l'oblige à réduire l'âme à la conscience de ce qui se produit parmi les choses du monde (ch. 7). Il conçoit celui-ci d'une manière telle qu'elle l'amène à exclure le mouvement spécifiquement humain au profit de la continuité absolue des corps célestes. Cependant, la contemplation de soi du premier moteur reflète l'ambiguïté non résolue de l'energeia humaine : le pur acte d'être-là et l'activité de contempler le plus haut de tous les êtres s'y fondent (ch. 8). Malgré tout, l'energeia comme concept ontologique fondamental ne peut pas se définir en dehors de l'expérience humaine de l'être-là (ch. 9)
Some aspects of aristotle's metaphysics, physics, ethics and psychology can be accounted for as dim echoes of a concept a. Never dealt with thematically : being-in-theworld (heidegger's in-der-welt-sein). Classical greek though as a whole, although it was fascinated by the orderliness of the cosmos, hardly asked what being-in-the world means (ch. 1). The experience of facticity, which is one of its main features, enables a. To justify philosophical life in the protrepticus, but he conceives of this life as focussing on contemplation, i. E. Access to what emphatically is (ch. 2). A. Never got rid of this ambiguity, which arises from such a transposition : his ethics bear witness of his hesitating between two subjects of moral life : the i whom it behoves to act, because of his uniqueness, gives way to man as defined by his place among other parts of the universe (ch. 3 & 4). A. Therefore has to define man as the worldliest of all sublunar beings : he imitates the universe thanks to his universality and because he can grasp the highest beings (ch. 5). Nevertheless, a. Cannot define topos - the place in which things are - without his referring to our paculiar way of being there, although he later brings back the idea of universe through his theory of the dimensions of human body as rooted in the objective structure of the cosmos (ch. 6). The difficulties in a. "s definition of the soul as well as in his doctrine of the active intellect stem from his attempt at translating what he silently conceives of as the vey openness of the world through our presence, into the optics of worddly realitywhat compels him to reduce soul to consciousness of what takes place among things of the world. (ch. 7). A. Conceives the universe in a way which leads him to dis- card specifically human motion on behalf of the heavenly beings' absolute continuity. However, the first mover's self-contemplation mirrors the unresolved ambiguity of hu- man energeia : both the pure act of being there and the activity of contemplating the highest being coalesce in it (ch. 8). However, a. 's central ontological concept, en- ergeia, cannot be defined apart from the experience of our being there (ch. 9)
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
4

Viano, Cristina. "Héraclite dans Aristote". Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040138.

Texto completo
Resumen
L'objet de cette recherche est la source aristotelicienne d'heraclite. Les schemas conceptuels a travers lesquels aristote expose la doctrine de l'ephesien se ramenent a deux grands themes qu'on retrouve aussi chez platon : l'etre et le devenir heraclite fait partie du groupe des anciens physiologues qui reconnurent la seule cause materielle. L'arche (le principe des etres) est pour lui le feu et ce choix semble le distinguer, parmi les autres monistes, comme"le plus coherent" a cause des caracteristiques extremes de cet element, qui relevent plus de la forme que de la matiere : finesse, autonomie, mi-incorporeite. Toutes les choses prennent origine du feu et reviennent a lui selon un devenir perpetuel, comme si elles etaient plongees dans un courant de fleuve. La seule chose qui "persiste" est le feu. Les elements gnoseologiques et ethiques de la pensee d'heraclite semblent se rapporter a la physiologie du feu et l'image qui en resulte est celle d'une pensee totale sans coupures qualitatives. Aristote fait souvent allusion a la mediation des heracliteens dont cratyle est le representant par excellence. L'heracliteisme apparait comme une involution theorique : cratyle oublie le repere ontologique de l'arche et rend absolue la vitesse du devenir, sa derniere position est le refus de la connaissance et de la parole. L'interpretation sceptique d'heraclite commence a se dessiner dans le temoignage d'aristote. La doctrine du devenir semble suivre une ligne ideale qui surgit du passe poetique, atteint son plus haut niveau speculatif chez heraclite et devient absolue dans l'agnosticisme des heracliteens dont les echos parviendront jusqu'aux sceptiques
The subject of this research is heraclitus' aristotelician source. The conceptual schemas through which aristotle exposes the ephesian's doctrine consist of two main themes one can also find in plato : being and becoming. Heraclitus is an ancient physiologist and according to him fire is the material cause and the arche (the principe of all beings). The choice of fire seems to distinguish him as "the most coherent" with monist vision of reality. In fact aristotle says that caracteristics of fire are extreme and belont more to form than to matter. Continuously all things have their origin in fire and come back to him. This becoming looks like a river stream. The only "persisting" thing is fire. Heraclitus' knowledge and ethics are in his physiology of fire. The resulting image is a total thought without qualitative breaks. Aristotle offen alludes to the heracliteans' mediation, of whose cratylus is the most representative. Heraclitismus appears as a theoretical involution : cratylus forgets ontological element of arche and makes absolue the river's speed and renonces to knowledge and to words. Heraclitus' sceptical interpretation begins in aristotle's source. The doctrine of becoming follows an ideal line which begins in poetical past, reaches his hight speculative level in heraclitus, and falls into decline with heracliteans' agnosticism, the echos of whose will get to sceptics
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
5

Girard, Charles. "Le réalisme des relations : étude des réponses apportées au problème de la différence entre la relation et son fondement (1250-1350)". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040047.

Texto completo
Resumen
La question de savoir si la relation est différente réellement de son fondement se rencontre fréquemment dans les textes médiévaux à partir du milieu du treizième siècle. Elle se pose avant tout dans un cadre aristotélicien de discussion des catégories et revient à se demander si la catégorie de relation ajoute véritablement une chose supplémentaire, la relation, dans la réalité. Cette question s'inscrit dans une représentation réaliste des relations : pour la plupart des auteurs du treizième et du quatorzième siècle, le fait que des choses soient réellement reliées entre elles ne fait pas de doute. Deux hommes de même taille sont bel et bien égaux, c'est-à-dire réellement reliés entre eux par une relation d'égalité. La difficulté est alors de comprendre comment ces choses sont reliées entre elles, ou encore, ce qu'est exactement cette relation dont il est alors question. Faut-il dire que l'égalité dans chacun des hommes de même taille est une nouvelle chose qui s'ajoute à la substance de chacun d'eux et aux accidents de taille, appartenant à la catégorie de quantité, sur lesquels ces relations d'égalité sont fondées ? Ou faut-il dire que l'égalité est réelle d'une autre manière, c'est-à-dire sans pour autant ajouter une nouvelle chose à ce à quoi elle advient ? Ce problème, qui se rencontre déjà dans les tensions existant entre les différents exposés qu'Aristote a consacrés à cette catégorie, a reçu de multiples réponses. Celles-ci nous éclairent sur la manière dont le réel est appréhendé au Moyen-Âge et sur les débats ontologiques de l'époque. Le travail ici résumé entreprend de délimiter précisément ces réponses et propose une manière de les classer
Whether relation is really distinct from its foundation or not is a question that can easily be found in medieval texts from the mid-thirteenth century onwards. It comes from an aristotelian background, the discussion about the categories, and asks if the category of relation really posits another thing, i.e. a relation, in reality. It results from a realist perspective on relations. In fact, most thirteenth and fourteenth century thinkers held without doubt that things outside the mind are really connected between them. Two men sharing the same height are really equal, that is, really linked to each other by a relation of equality. What is then left to understand is how these things are linked between them, or the exact nature of the aforementioned relation. Should we say that the equality in each of the equally sized men is a new thing that adds to the substance of each of them and to the accidents of height, belonging tho the category of quantity, on which these relations are founded? Or should we say that equality is real in another way, that is, without adding a new thing to the subject acquiring it? We can already find this issue in Aristotle himself, emerging from disagreeing texts devoted to this category. It received various answers that enable us to understand better how reality was defined in the Middle Age and some of the ontological debates of the time. The work that is here summed up attempts to precisely delineate these various answers and to provide a way of classifying them
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
6

Manzini, Frédéric. "Spinoza : lecteur d'Aristote". Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040157.

Texto completo
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
7

Yokoyama, Yoshiji. "La grâce et l’art du comédien : conditions théoriques de l’exclusion de la danse et du chant dans le théâtre des Modernes". Paris 10, 2008. http://www.theses.fr/2008PA100018.

Texto completo
Resumen
Depuis la Renaissance, les Modernes - notamment les Français - ont élaboré une forme théâtrale singulière dans le monde : un théâtre sérieux excluant la danse et le chant. Le but de notre étude est d'éclaircir les motivations et les significations de cette exclusion à travers l'analyse du développement historique de la notion de grâce, notion clé de l'art du comédien moderne. Au niveau sociologique, la conclusion est simple : le comédien du théâtre des Modernes s'interdit de chanter et de danser, car son modèle est l'orateur romain, et non le comédien romain dansant et chantant. La gratia représente une corporalité de l'orateur romain qui doit s'écarter le plus possible de celle des professionnels des techniques physiques. L'idéologie de la rhétorique romaine a pénétré dans l'art du comédien moderne à travers les pratiques théâtrales exécutées dans le cadre de l'éducation humaniste - ces pratiques ont fait « renaître » le théâtre des Anciens, mais sous une forme scénique totalement différente. Cependant l'histoire de l'idée est plus complexe. Alors qu'à l'époque archaïque, la notion de grâce - khans en grec représentait le charme de la danse et du chant, elle finit par incarner la critique aristotélicienne du spectaculaire dans la rhétorique hellénistique. La gratia dans la rhétorique romaine est héritière de cette histoire paradoxale. Le théâtre des Modernes assimile l'idéologie aristotélicienne à travers la rhétorique romaine. La grâce des Modernes représente le modèle théâtral de la vérité qu'a établi Aristote. Dans ce sens, le théâtre des Modernes fonctionne comme vecteur de la morphologie aristotélicienne de la vérité : la vérité se dit quand le corps se tait
After the Renaissance a unique theatre genre gradually developed in certain modern societies (in particular in France) which excluded singing and dancing. The aim of my study is to clarify the motivations and significance of this exclusion through an analysis of the historical development of the notion of "grace", a central concept in the modern actor's art. In sociological terms, my conclusion is simple: an actor in modern theatre refrained from dancing and singing because his mode) was the Roman orator, not ancient Roman actors who sang and danced. The Roman notion of gratia represented the orator's body, which strived to be as far removed as possible from that of professionals of physical techniques. The ideology of Roman rhetoric made its way into the modern actor's art through theatrical practices that were carried out in the framework of a humanist education, "reviving" ancient theatre in a totally different form. The history of the idea is more complex, however. Whereas, in the Archaic Period, the notion of grace - kharis in Greek - represented the charm of dance and song, in the later Hellenistic Period it embodied the Aristotelian critique of the spectacular. Gratia in Roman rhetoric received this paradoxical history as its legacy. "Grace" to the moderns was based on the theatrical mode) of truth established by Aristotle. In this sense, modern theatre is a vector of the Aristotelian morphology of the truth: the truth is told when the body remains Bilent
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
8

Zhang, Yijing. "Traduire l’impensé, penser l’intraduisible. La première traduction chinoise des Catégories d’Aristote". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040119.

Texto completo
Resumen
Le traité des Catégories d’Aristote est l’une des premières œuvres de la philosophie occidentale traduite en chinois. Introduit par les jésuites en Chine au XVIIème siècle, sa traduction fut une confrontation entre la pensée gréco-chrétienne et la pensée chinoise. Elle nous renseigne sur le rapport entre la langue et la pensée. Le premier chapitre est un aperçu de l’environnement historico-culturel dans lequel cette traduction a été réalisée. Le deuxième chapitre présente notre méthode et nos outils de travail. Nous expliquons, dans le troisième chapitre, le titre de l’ouvrage en chinois : il est censé être la traduction du mot « logique », mais il est composé de mots qui renvoient à des doctrines philosophiques chinoises traitant de problèmes fondamentalement différents de ceux dont s’occupe la logique aristotélicienne. Les quatrième et cinquième chapitres constituent un commentaire de la traduction chinoise du premier chapitre du traité aristotélicien. Les différences linguistiques entre le chinois et les langues indo-européennes se révèlent tant sur le plan lexical que sur le plan grammatical. Nous terminons notre travail par une discussion sur la traduction du verbe « être ». Notre objet est de montrer que ce qui est perdu dans la traduction est moins le sens du mot « être » que sa syntaxe et le mode de pensée qui lui est lié. Étudier les intraduisibles en philosophie, c’est découvrir les différentes façons de thématiser et de problématiser, qui caractérisent chaque système de pensée. Cette étude de philosophie comparée gréco-chinoise espère contribuer à la réflexion sur la pluralité linguistique et culturelle
Aristotle’s Categories is one of the first Western philosophical texts translated into Chinese. Since Jesuit missionaries introduced scientific thoughts into China in the 17th century, Chinese literati have shown a strong interest in the demonstration method that was originated in Aristotelian logic. This dissertation presents a detailed study of the Chinese translation Ming li tan, with the aim of addressing several issues on the relationship between language and thought. Chapter 1 is an overview of the historical and cultural environment in which the translation took place. Chapter 2 presents our approach to comparative philosophy. Chapter 3 discusses the translation of the title “Ming li tan”. The term “ming li” is used as a translation of the word “logic”, but is actually composed of terms referring to Chinese philosophical doctrines which deal with problems fundamentally different from those of the Aristotelian logic. Chapters 4 and 5 provide a detailed commentary of the Chinese translation of the first chapter of Categories, focusing in particular on three notions: homonym, synonym and paronym. We conclude our work with a discussion on the translation of the verb “to be” and its derivatives (e.g., being, substance), and explain the reasoning behind its various Chinese renditions. Our central claim is that what is lost in translation is less the literal meaning of word “to be” than its syntax and the way of thinking underlying the use of this word. The focus on translation provides a unique approach to studying linguistic relativism and linguistic and cultural pluralism. A good understanding of these issues is crucial for improving the intercultural dialogue
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
9

Yang, Jing. "Traductologie, linguistique,culture : recherches sur des perspectives interculturelles relatives à l'héritage de l'Europe et de la Chine". Electronic Thesis or Diss., Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0002.

Texto completo
Resumen
En partant d’une synthèse sur les relations entre l’évolution de langue, la culture et la traduction, la thèse vise à établir une recherche à propos des effets d’influence de la culture d’arrivée sur le choix des stratégies de traduction. Sélectionnés en vue d’une fonction contrastive, trois sujets d’échanges culturels sont discutés dans la thèse. Les études nominales et culturelles de style comparatif sur les trois sujets d’intérêt acheminent ultérieurement la thèse vers les analyses sur les méthodes de la traduction sous influences d’idéologie culturelle
Begin with a synthesis on the relations between the evolution of language, the culture and the translation, this thesis aims to establish a recherche regarding the effects of the target culture in influencing the choice of translation strategies. Selected for a contrastive purpose, three topics of cultural exchanges are discussed in the thesis. The nominal and cultural studies of the three topics from a comparative view then paved the path of the thesis towards the analysis with reference to the methods of translation under the influence of cultural ideology
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
10

Rua, Zarauza Begoña. "Ricoeur. L'historicité de la liberté". Paris, EHESS, 2015. http://www.theses.fr/2015EHES0185.

Texto completo
Resumen
Ce travail s'ouvre sur une ample préface en explicitant les présupposés majeurs de la pensée de Ricceur autour de question de la liberté. Ensuite, on distinguera deux parties : 1 ) les Chapitres I et II sont consacrés à montrer les présupposés théoriques de Ricœur autour de la liberté ; et 2) les Chapitres III, IV et V constituent le développement et l'application de ces présupposés. Puis, une partie importante du travail est construite autour de ce que je considère comme ses chef-d'œuvre : la Métaphore vive, Temps et Récit, Soi- même comme un autre. C'est en partant des présupposés traités dans les Prolégomènes et les Chapitres I et II que ces œuvres prendront une unité autour de l'historicité de la liberté. On comprend alors qu'il ne s'agit pas seulement de l'idée de liberté d'après ses caractères essentiels, mais de ce qu'est la liberté dans le monde, dans les œuvres humaines (parmi lesquelles les plus importants les œuvres écrites comme les lois, la littérature, l'histoire, ies livres sacrés. . . ), et dans le temps. On comprend aussi le retournement décisif de la philosophie contemporaine vers l'herméneutique, dans le cas de Ricœur, vers l'herméneutique textuelle, et comment l'on arrive à la conviction que les récits ont un aspect cognitif tout à fait légitime. Enfin, s'il y a une expression de Ricœur lui-même qui évoque la densité de cette question c'est la suivante : « Tout ce que l'on raconte arrive dans le temps, prend son temps, se déroule temporellement. » (« De l'Interprétation », recueil Du texte à l'action, Éd. Poche "Points-Essais, 377". Paris, Seuil, 1998)
A wide preface opens this work, therefore, to explain Ricceur's major philosophical presuppositions about the question of freedom. 1) Chapters I and II are devoted to show the theoretical assumptions of Ricosur about freedom and 2) Chapters III, IV and V are the development and implementation of such presuppositions. Moreover, an important part of the work is built around what I consider as his three masterpieces: The Rule of Metaphor, Time and Narrative and Oneself as Another. Starting from the presuppositions treated on the preface and on chapters I and II, these works attain its unity in relation to historicity of freedom. It is thus concluded that it is not a matter of freedom restricted to its essential characteristics, but to the understanding of what freedom is in the world, among human works (namely the most important, the work's written such as laws, literature, history, holy books. . . ), and what it is in time. It is also understood the turning point of contemporary philosophy to hermeneutics, to textual hermeneutics in the case of Ricceur, and how convincing is that stories have a cognitive aspect completely legitimate. Finally, if there is an expression of Ricceur that evokes this issue in all its density is as follows: "Everything that is recounted occurs in time, takes time and unfolds temporally. " ("De l'lnterpretation" Du texte a Taction, Ed. Poche "Points-Essais, 377", Paris, Seuil, 1998)
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
11

El, Hachimi Lucile. "Métaphysique et perfection : l’articulation fārābīenne du théorique et du pratique". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL111.

Texto completo
Resumen
Cette thèse présente la pensée d’al-Fārābī, premier des grands philosophes arabes aristotéliciens, comme une philosophie systématique de la réalisation. En partant du nœud problématique de l’articulation du théorique et du pratique, il s’agit d’interroger l’unification totalisante qui caractérise l’œuvre du « Second Maître ». Notre hypothèse est que cette réalisation, aussi bien intensive, comme parachèvement, qu’extensive comme intégration, s’opère grâce à une redéfinition de deux concepts (néo-)aristotéliciens : la métaphysique et la perfection. Ces deux notions qu’al-Fārābī transforme, afin de proposer des résolutions à des tensions propres aux positions aristotéliciennes, conduisent à un système philosophique original. La notion de fiṭra, qui définit la figure fārābīenne de l’homme, s’appuie sur l’interprétation essentialiste de la perfection d’Alexandre d’Aphrodise et permet de construire une nature humaine comme disposition prise dans une logique de substantialisation. Avec ce nouveau concept, al-Fārābī inscrit au cœur de la substance un dynamisme, tout en rendant essentiel son parachèvement. De cette étape fondationnelle, il fait émerger une véritable science pratique autour la vertu délibérative et des règles qu’elle produit. Or cela n’est possible que sur le fond de transformations ontologiques majeures : apparaît alors la chose, l’ontologie formelle qu’elle permet et la distinction entre l’essence et l’existence qu’elle présuppose. L’action politique du philosophe qui, par sa substantialisation, offre à tous, sous forme religieuse, leur réalisation permet l’intégration architectonique de l’ensemble des existants manifestant par là ce que c’est qu’être principe
This PhD thesis is a study of the thought of al-Fārābī, the first of the main Aristotelian Arabic philosophers, and presents it as a systematic philosophy of realisation. Starting with the problematic crux of the articulation between the theoretical and the practical, it questions the totalizing unification that characterizes the “Second Master’s” work. Our hypothesis is that this realisation, both in its intensive form as completion and its extensive form as integration, takes place through a redefinition of two (neo-)Aristotelian concepts: metaphysics and perfection. These two notions, that al-Fārābī transforms in order to offer answers to tensions proper to the Aristotelian positions, lead to an original philosophical system. The notion of fiṭra, which defines the Fārābīan human figure, is based on Alexander of Aphrodisias’ essentialist interpretation of perfection. It enables an elaboration of human nature as a disposition in the logic of substantialization. With this new concept, al-Fārābī inscribes a dynamic at the heart of the substance while rendering its completion essential. From this foundational step, he erects a genuine practical science built around the deliberative virtue and the rules it produces. This is only possible through major ontological transformations: thus the concept of thing appears, as well as the formal ontology it enables and the distinction between essence and existence which it presupposes. Through his substantialization, the philosopher offers everyone their realisation in the form of religion, so that his political action enables the architectonic integration of all existents, hence showing what it is to be a principle
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
12

Boulègue, Laurence y Agostino Nifo. "Le De amore d'Agostino Nifo : édition, traduction et commentaire". Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040188.

Texto completo
Resumen
Philosophe aristotélicien célèbre à son époque dans les universités italiennes les plus prestigieuses, Agostino Nifo (1469-1538) reste méconnu. Le De amore, écrit en 1529, est l'un de ses derniers ouvrages. Derrière un traitement original et séduisant du thème platonicien de l'amour, Nifo propose une nouvelle métaphysique aristotélicienne, en opposition au commentaire sur le banquet de Platon (1469) de Marsile Ficin. En un expose nourri de sources multiples, le De amore, au croisement de la tradition philosophique péripatéticienne et de celle, plus littéraire, des traites d'amour, révèle une pensée aboutie et cohérente qui illustre une page importante de l'évolution de l'aristotélisme au XVIème siècle. Cette thèse présente dans le premier volume une Edition et une traduction française annotées du De amore accompagnées d'un commentaire dans le second volume. Ce commentaire se propose d'éclairer le contexte dans lequel s'inscrit l'ouvrage afin d'en dégager les enjeux véritables, philosophiques et sociaux. Apres l'étude historiographique de la critique et la biographie de l'auteur, nous analysons la tradition philosophico-littéraire des traites d'amour qui fleurissent dans l’Italie du XVIème siècle. Nous dégageons, dans ce courant, la spécificité du De amore de Nifo et l'originalité de ses positions. D'un nouvel aristotélisme à un platonisme revisité, les thèses du De amore offrent une nouvelle conception du thème de l'amour qui, tout en se nourrissant des courants qui l'ont précédée, apporte une réflexion aristotélicienne jusqu'ici absente sur le sujet.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
13

Nūṣīrī, Muḥammad. "Le Burhān d'Avenpace". Bordeaux 3, 2000. http://www.theses.fr/2000BOR30010.

Texto completo
Resumen
Le burhan d'avenpace gloses d'ibn bagga au commentaire de al farabi aux seconds analytiques d'aristote le manuscrit d'ibn bagga intitule : ta'aliq ibn bagga ala burhan al farabi (gloses d'avenpace au commentaire de al farabi constitue une partie impor-tante du manuscrit gloses d'ibn bagga a la logique de al farabi. Les deux manuscrits disponibles de ces ta'a liq sont le manuscrit de l'escu-rial et celui de la bibliotheque d'oxford. Ne en 475h/1082 a saragosse ibn bagga est mort en 533h/1138 a fes. Il vivait vers la fin du regne des almoravides et au debut des almohades. La question du burhan (la demonstration) dans les debats d'idees au sein de la pensee arabo-musulmane par le passe comme aujourd'hui et plus particulierement a l'epoque ou ibn bagga a ecrit son traite a connu un interet particulier dans l'ideologie almohade : la demonstration a joue un role important dans l'epa-nouissement de la raison demonstrative par opposition a la raison r hetoricienne. De nos jours, ce debat est a nouveau repris de plus belle. Il est interessant de comprendre pourquoi un tel sujet est actualise et dans quels aspects il est aborde. Notre etude se repartit sur une introduction et sept chapitres. Le premier est consacre a la presentation du manuscrit. Le second chapitre etudie la transmission du burhan dans le monde arabo-musulman. Les termes techniques et les expressions du burhan constituent l'objet du troisieme chapitre. Quant au quatrieme chapitre, il etudie la theorie de la 'illa dans le burhan. Le cinquieme chapitre aura pour titre l'analyse des ta aliq d'ibn bagga. Une comparaisonentre les ta'aliq d'ibn bagga au burhan de al farabi mettra en valeur leurs caracteristiques. Le chapitre six aura pour objet l'impact du barhan de al farabi a ibn rusd. Enfin dans le septieme chapitre, l'edition critique du ta'liq constitue l'analyse des deux publications du burhan d'ibn bagga disponibles pour pouvoir etablir une prochaine edition.
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
14

Di, Martino Carla. ""Ratio particularis". Immaginazione, cogitativa ed estimativa da Ibn Sînâ a Tommaso d'Aquino : Contributo allo studio della tradizione arabo-latina della psicologia di Aristotele". Paris, EPHE, 2003. http://www.theses.fr/2003EPHE5015.

Texto completo
Resumen
Cette étude, par un choix méthodologique conscient, s’est organisée suivant deux voies différentes : une voie d’histoire des textes, en suivant la transmission arabo-latine des textes psychologiques d’Aristote, à savoir, le « De anima » et les « Parva Naturalia », et une voie d’histoire doctrinale, en étudiant la réception de ces œuvres et la réaction, direct (exégèse) et indirecte (traité de psychologie), aux doctrines contenues. La détermination précise de l’apport de la science psychologique arabe, en particulier de Ibn Sînâ / Avicenne et de Ibn Rushd / Averroès, à l’attitude et aux thématiques de la tradition psychologique latine, d’abord augustinienne, puis de l’intégration, sur des sujets donnés, des trois traditions augustinienne, arabe et aristotélicienne dans l’œuvre d’Albert et de Thomas, représentants excellents de la pensée philosophique latine du XIIIe siècle, me semble un premier résultat important. Le fait d’avoir placé dans leur cadre historique et doctrinal des concepts capitaux du lexique arabo-latin, comme intentio, mémoire, forme spirituelle, reditio, ratio particularis, et leur intégration dans la philosophie latine, me semblent en être un second. Cette étude, d’ailleurs, ne ‘est voulu être qu’une contribution à l’étude de la tradition arabo-latine de la psychologie d’Aristote. C’est là ma première contribution, dans le cadre plus général du courant, auquel j’espère continuer à apporter mon concours, d’une redécouverte de nos racines médiévales, qu’elles soient chrétiennes, islamiques et judaïques, car l’histoire de la pensée est surtout une histoire humaine, on ne peut lui imposer un cours, tout comme l’arrêter
Through an aware methodological choice, this study has been organized following two different ways: the first one deals with the history of texts, and it studies the Arabic and Latin tradition of Aristotle’s psychological works, i. E. “De Anima” and “Parva Naturalia” ; the second way deals with a doctrinal history and it studies how these works were interpreted and both the direct (exegesis) and indirect (psychological traits) reactions to the doctrines that were in these works. The precise awareness of the influence of the Arabic psychological science, especially Ibn Sînâ / Avicenna and Ibn Rushd / Averroes, to the themes of the Latin psychological tradition, originally Augustinian, and also of the integration of the three traditions, i. E. The Augustinian one, the Arabic ones and that of Aristotle, in the Albert and Aquina’s works, which are two excellent representatives of the Latin philosophical theories of the 13th century, is the first important result of this work. The historical and doctrinal framing of very important concepts in the arabo-latin lexicon that is “intention”, memory, Spiritual Form, “reditio”, “ratio particularis” and the study of their integration onto the Latin philosophy is the second result. This study is nothing but a contribution to the study of the arabo-latin tradition of the Aristotle’s psychology. It is the first contribution to a more general picture, to which I hope to keep on contributing with my own studies, to rediscover our medieval origins both Christian, Jewish or Islamic, since the history of thought is above al a human history: we cannot channel it in a fixed route and, least of all, try to stop it
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
15

Arli, Merve. "La matière, l'âme et le monde dans la critique aristotélicienne du Timée de Platon". Electronic Thesis or Diss., Paris 1, 2021. http://www.theses.fr/2021PA01H205.

Texto completo
Resumen
Cette étude vise à examiner la lecture du Timée de Platon par Aristote. Conformément à cet objectif, les nombreuses questions abordées dans le Timée sont reprises dans les principaux domaines d'études d'Aristote, au fur et à mesure de sa lecture : l’univers, la nature, la matière, l’âme, le mouvement. Nous avons accordé donc une large place à l’analyse de chacune de ces notions. Il s’agit de comparer le Timée tel qu’Aristote le présente et le texte de Platon, pour analyser et exposer la manière dont Aristote se rapporte à Platon dans l’élaboration de sa propre philosophie. Ces références sont parfois de l’ordre de la citation ; parfois aussi de l’ordre de la critique explicite, mais aussi implicite, quand le texte aristotélicien s’appuie sur ce que Platon a déjà exprimé sans le citer, ni le critiquer ouvertement. Selon l’idée soutenue dans cette étude, le Stagirite ne procède pas systématiquement à une lecture littérale du Timée. Lorsqu’il critique Platon, ce n’est pas toujours afin de confirmer sa propre position philosophique. Cette lecture est avant tout un travail de distinction entre les concepts essentiels tels que la matière, le lieu, etc. Ce faisant, il systématise la pensée de Platon, lequel s'appuyait sur le discours vraisemblable portant sur la genesis du cosmos
This dissertation aims to examine Aristotle’s reading of Plato's Timaeus. In accordance with this objective, many questions on universe, nature, matter, soul, movement, already addressed in the Timaeus, are re-raised in the main areas of Aristotle’s studies. We therefore devote a great deal of attention to the analysis of each of these concepts. It deals with the comparison between the Timaeus as Aristotle presents it and the text of Plato, in order to analyze and expose the way in which Aristotle relates to Plato in the development of his own philosophy. These references are sometimes in the order of citation; sometimes also of the order of explicit criticism, but also implicit, when the Aristotelian text is based on what Plato has already expressed without citing it, nor criticizing it openly. According to the idea held in this study, the Stagirite does not systematically read the Timaeus literally. When he criticizes Plato, it is not always in order to confirm his own philosophical position. We have shown that this reading is above all a work of distinction between essential concepts such as matter, place, etc. In doing so, Aristotle systematizes Plato's thought, which was based on the likely account about the genesis of the cosmos
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
16

Cordonier, Valérie. "Les formes de l'auctoritas : lieux d'émergences d'un "averroïsme théologique" dans la lecture thomasienne de Maïmonide, d'Avicenne et d'Averroès sur la science du premier moteur". Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040011.

Texto completo
Resumen
L'étude propose une analyse détaillée et complète des formes diverses adoptées au fil des oeuvres thomasiennes, par les autorités d'Aristote, d'Avicenne, d'Averroès et de Maïmonide en matière de science, de providence et de gouvernement divins. En analysant, dans l'ensemble du corpus thomasien, l'évolution des “erreurs” combattues et la manière même dont elles sont reconstruites, je mets au jour différents types de “rapport aux sources” et je montre comment le traitement complexe imposé par Thomas aux textes à sa disposition, donne lieu à la formation de certaines erreurs doctrinales qui seront interdites quelques années plus tard par l'évêque de Paris. En comparant un tel traitement avec l'approche des mêmes auctoritates chez Albert de Cologne, je montre que c'est, chez son élève, une vision particulière des rapports entre foi et raison qui a provoqué, dans sa doxographie, la “précipitation” de certaines thèses que les censures allaient définitivement “figer” en 1270 et en 1277
This study gives a detailed analysis of the various forms adopted by the authorities of Aristotle, Avicenna, Averroes and Maimonides in the work of Thomas Aquinas. A particularly interesting topic for such an analysis is that of the divine science. So, as starting point of my study, i compile a full list of texts related to this question. On this basis, i proceed to analyse these passages, comparing them with its implicit or explicit sources by the Greek, Arabic and Jewish predecessors of Thomas in the aristotelian tradition. The particular treatment imposed on these texts displays significant differences in various phases of Aquinas' career, that i try to compare with the very different approach of such authorities by Albertus Magnus. In this way, this study will establish an evolution in the thomasian attitude toward these thinkers, and try to relate it to the intellectual context of this time, particularly to the articles in the condemnations of 1270 and 1277 concerning divine science, providence and knowledge of the future contingents
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
17

Raffray, Matthieu. "« De Relativis » : La doctrine des relatifs jusqu’aux synthèses d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040095.

Texto completo
Resumen
Le primat de la relation est une caractéristique fondamentale des philosophies contemporaines comme des évolutions récentes de la théologie : le but de cette étude est de retracer les développements de la notion de relation jusqu’aux grandes synthèses théologiques du 13è siècle, afin d’évaluer les fondements historiques et la légitimité conceptuelle des relationalismes contemporains. Après avoir étudié la naissance d’une ontologie des êtres relatifs chez Platon et Aristote, ainsi qu’à travers les ambiguïtés de leurs transmissions, nous montrons comment les théologiens de l’Antiquité ont exploité ces fondements philosophiques, autour des modèles de « l’attribution différenciée » chez Augustin et de « l’accidentalité différenciée » chez Boèce. Au 12è siècle, ces modèles antiques ont à leur tour donné lieu à un changement de paradigme, au sujet de la predicatio in divinis, de Gilbert de Poitiers jusqu’à Pierre Lombard. Nous centrons alors notre étude sur les synthèses sententiaires d’Albert le Grand et de Thomas d’Aquin, qui exploitent l’un et l’autre la notion comme l’élément clef d’une description unitaire et structurée de l’édifice théologique. Albert emploie une notion typiquement aristotélicienne de la relation comme instrument pour édifier une théologie cohérente et rationnelle ; Thomas développe ces intuitions albertiennes et met en œuvre une vue ordonnée du Monde dans ses rapports avec Dieu, dont la condition, contrairement à de nombreuses lectures thomistes, est la stricte accidentalité de l’être relatif. A l’issue de ce parcours historique, on aura donc mis en évidence la tentation platonisante qui constitue la source conceptuelle des relationalismes contemporains
The primacy of relation is a fundamental characteristic of contemporary philosophies as well as recent evolutions of Christian theology: the goal of this study is to describe the first developments of the notion of relation up to the great theological synthesis of the 13th century, in order to evaluate the historical foundations and the conceptual validity of the contemporary “relationalisms”. After studying the birth of the ontology of relative beings by Plato and Aristotle, as well as through the ambiguities of their transmissions, we show how the theologians of Antiquity exploited those philosophical sources using two models: the “differentiated attribution” with Augustine, and the “differentiated accidentality” with Boethius. During the 12th century, those two antique models became in their turns the origin of a change of paradigm on the problem of predicatio in divinis, from Gilbert of Poitiers to Peter Lombard. We then center our study on the sentential synthesis of Albert the Great and Thomas Aquinas, who both exploited the notion of relation as a key-element of a united and well-structured description of their theological thought. Albert uses a typical Aristotelian notion of relation as a tool for building a coherent and rational theology; Thomas develops those albertian intuitions and organizes a well-ordered view of the World in its relations to God, whose condition, contrary to many thomistic interpretations, is a strictly accidental conception of the relative beings. At the end of this historical path, we will then have shown the Platonist temptation which constitutes the conceptual source of the contemporary “relationalisms”
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
18

Lamrani, Lila. "La psychologie aristotélicienne dans l'Islam classique : traduction et commentaire de l'Épître sur le retour d'Avicenne". Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040199.

Texto completo
Resumen
La Risala al-adhawiya fi al-ma`ad d’Avicenne, portant sur la question du Retour à la vie une fois la mort survenue, présente un certain nombre de thèses originales par rapport aux autres écrits de ce philosophe. Le Retour ne peut concerner les corps : il est en effet réserver aux âmes dans la mesure où l’essence de l’homme réside dans son âme. Les corps se corrompent définitivement au moment de la mort. Le Coran n’a rien d’un texte démonstratif, il s’agit d’un texte rhétorique visant à susciter chez ses lecteurs le comportement moral approprié. On ne peut donc déduire de l’affirmation coranique répétée selon laquelle les corps reviendront à la vie que les corps seront effectivement ressuscités. Par ailleurs, si dans le monde physique il existe une pluralité d’âmes, c’est uniquement en raison de la multiplicité de la matière corporelle qui les accueille. Si les âmes doivent survivre indépendamment des corps qui assurent leur individuation, comment pourraient-elles exister individuellement ? Il n’y aura pas d’existence individuelle des âmes après la mort, mais un Retour de ces âmes au Principe (l’Intellect Agent, ou, en dernière instance, le Principe Premier, Dieu) dont elles émanent : les âmes se résorbent donc dans leur origine et n’ont plus d’existence séparée. Le Retour est absolu
Avicenna’s Risala al-adhawiya fi al-ma`ad, dealing with the question of Return to life once death has occurred, comes up with various original theses that do not appear in Avicenna’s other writings. The Return cannot affect the body : it is indeed dedicated to souls inasmuch as the essence of man lies in his soul. Bodies get corrupted once and for all when death occurs. The Quran has nothing to do with a demonstrative text, it is a rhetorical text that aims at provoking in its readers the appropriate moral behaviour. It is therefore impossible to deduce from the repeated coranic assertion saying that bodies will come back to life that bodies will effectively resurrect. If in the physical world there is a plurality of souls, it is only because of the multiplicity of the corporeal matter that receives them. If souls have to survive independently from bodies that allow their individuation, how then could they individually exist ? There will not be any individual existence of souls in the hereafter, but a Return of these souls to the Principle (the Agent Intellect, or, at last, the First Principle, God) from which they emanate : therefore souls resorb in their origin and do not have any separate existence. It is an absolute Return
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
19

Hatakeyama, Kana. "La faute dans la tragédie française du XVIIe siècle". Electronic Thesis or Diss., Bordeaux 3, 2016. http://www.theses.fr/2016BOR30007.

Texto completo
Resumen
Cette thèse a pour objectif d’étudier la tragédie du XVIIe siècle en France avec la notion de faute tragique, hamartia, et de montrer l’originalité et la diversité des tragédies classiques. Commentée dans la Poétique d’Aristote, l’hamartia se définit comme une notion médiane entre un délit volontaire et une malchance. Coupable d’une hamartia, le héros n’en est pas pour autant entièrement responsable malgré sa prise d’initiative, dans la mesure où la faute n’est pas due à l’intention perverse. Parce que le malheur déclenché par une hamartia, apparaît disproportionné à l’intention du coupable, les spectateurs éprouvent de la compassion envers le héros infortuné. Dans la mesure où la compassion est une des émotions essentielles de la tragédie au même titre que la terreur – en effet, la catharsis consiste en l’épuration de ces émotions –, la faute tragique constitue à cet égard un des composants sine qua non de la tragédie. Mais arrivée au XVIIe siècle en France, la faute garde-t-elle le même statut ? Pour répondre à cette question, nous examinons les tragédies de sept dramaturges, Alexandre Hardy, Pierre Du Ryer, Jean Rotrou, Tristan L’Hermite, Pierre Corneille, Jean Racine et Jean-Galbert de Campistron, ce qui permet d’étudier le XVIIe siècle en entier. Le premier chapitre sera consacré à l’examen de la notion de faute dans les écrits théoriques. Dans le deuxième chapitre, nous nous intéresserons à la fabrique du héros coupable. Le troisième chapitre portera sur la nature de la faute. Et nous étudierons, dans le quatrième chapitre, le statut de la faute sur le plan dramaturgique, avant d’examiner, dans le dernier chapitre, les problèmes moraux. Ce travail révèlera l’importance de la Poétique d’Aristote dans la tragédie du XVIIe siècle en France
The purpose of this doctoral thesis is to study the French tragedy in the seventeenth century researching into the notion of tragic flaw, hamartia, and to show the originality and the diversity of the French classical tragedy. This notion, commented by Aristotle in "Poetics" originally differs from either an intentional crime or an accidental one. The tragic flaw presupposes the participation of an agent without denying the presence of fortuity. Although a tragic hero is responsible for his misfortune, as it proceeded from his fault, the result exceeds his intention. And this disparity between intention and misfortune makes the audience feel compassion for the hero suffering from his misfortune. If this compassion is one of the emotions caused only by tragedies, the tragic flaw constitutes in this respect an essential element of tragedy. But is the concept of fault identical in the Christendom society of the seventeenth century? To answer this question, I deal with the tragedies of seven dramaturges, Alexandre Hardy, Pierre Du Ryer, Jean Rotrou, Tristan L’Hermite, Pierre Corneille, Jean Racine and Jean-Galbert de Campistron, to cover the seventeenth century. In the first section of this work, I examine the notion of fault in the theoretical texts. The second section consists in studying the tragic figure. The third section is about the nature of the fault, the private fault and the politic fault. The fourth section concerns the status of fault on the dramaturgical level, before examining moral questions in the final section. This work reveals the importance of Aristotle’s Poetics in the French tragedy of the seventeenth century
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
20

Malard, Constance. "Un Banquet aristotélicien : la renaissance de l’aristotélisme dans les Dialogues d’Amour de Léon l’Hébreu (env. 1465-1525)". Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2020. http://www.theses.fr/2020SORUL135.

Texto completo
Resumen
Malgré le titre radical de cette étude qui porte sur les Dialogues d’Amour entre « Philon » et « Sophie », œuvre rédigée « en langue toscane » dont une série d’extraits sont ici traduits en français, nous n’avons nulle intention de nier la dette de leur auteur, « Leone medico Hebreo » (Yehuda Abravanel, env. 1465-1525), à l’égard du judéo-platonisme médiéval et du néoplatonisme florentin. Notre objectif est d’étudier ses emprunts au corpus aristotélicien et de situer cette inspiration dans une perspective polémique : Aristote serait un point d’incidence à partir duquel le médecin juif s’écarterait de l’interprétation ficinienne du Banquet de Platon. À bien y regarder, ces « disputes sur l’amour », pour reprendre le titre de leur version hébraïque, peuvent constituer un véritable « Banquet aristotélicien », c’est-à-dire une réflexion érotique d’apparence platonisante mais en réalité fondée sur certaines thèses logiques, éthiques et théoriques d’Aristote. Telle est en tout cas notre première intuition. Pour autant, il ne s’agit pas de soutenir l’idée d’une fidélité servile au Stagirite. D’abord, parce qu’il nous semble que l’intérêt de Léon l’Hébreu se trouve dans l’usage créatif qu’il fait de cette autorité. Ensuite, parce qu’une telle référence charrie des traditions interprétatives diverses, latines et arabo-juives, qui surimposent à la pensée du « Liseur » des controverses cosmologiques, noétiques et théologiques. Enfin, parce que ces débats spéculatifs, transposés sur un sol érotique, sont reformulés et résolus différemment. C’est à cette « renaissance de l’aristotélisme » que nous tentons en outre d’être sensibles. Plus spécifiquement, nous voulons montrer que les Dialogues d’Amour reprennent et rénovent le paradigme aristotélico-maïmonidien du Guide des égarés. La présente thèse se propose donc d’examiner à la fois l’impact des références aristotéliciennes dans un discours amoureux et, comme en retour, l’efficience du thème érotique dans le traitement des problèmes suscités par la lecture du « Philosophe »
In spite of the radical title of this work on the Dialogues of Love between Philo and Sophia, written in toscan language and for which I offer an extract of a new French translation, I do not intend to deny what Leone medico Hebreo (Yehuda Abravanel, 1465-1525) owed to medieval Judeo-Platonism and Florentine Neoplatonism. The goal here rather becomes to insist in sharp contrast on his Aristotelian legacy and to take into account the polemical context of this inspiration : I want to suggest that Aristotle is a way of moving beyond the Ficinian reading of Plato’s Convivio. In fact, these « disputes on love », to use the title of the Hebrew version, may be a real « Aristotelian Symposium », that is an erotic reflection of Platonic appearance but actually based on several aspects of Aristotle’s logic, ethic and physical theories. This is in any case the first thesis I want to defend. However, I don’t intend to suggest that this is a faithful rendition of the Aristotelian teachings. First, because I think that Leone Ebreo’s philosophical value is precisely in his creative use of this authority. Then, because such a reference brings with it various Latin and Arab-Jewish interpretative traditions which superimpose cosmologic, noetic and theological controversies to Aristotle’s thought. Lastly, because these speculative debates, transposed in an erotic context, are rephrased and resolved differently. It is to this « Renaissance Aristotelanism » that I attempt to be attentive. More specifically, I want to show that the Dialogues of love take back and renew the Aristotelian/Maimonidean paradigm of the Guide for the Perplexed. Therefore, this dissertation is about examining both the impact of Aristotle’s references on a lover’s discourse and, conversely, the efficiency of the erotic scheme in the way of solving the problems from Aristotle’s treatises
Los estilos APA, Harvard, Vancouver, ISO, etc.
Ofrecemos descuentos en todos los planes premium para autores cuyas obras están incluidas en selecciones literarias temáticas. ¡Contáctenos para obtener un código promocional único!

Pasar a la bibliografía