Academic literature on the topic 'Végétation concurrente'

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Journal articles on the topic "Végétation concurrente":

1

SCOTT (John K.) and EVANS (Katherine J.). "La Lutte biologique contre la végétation concurrente en forêt : cas particulier de Rubus fruticosus en Australie." Revue Forestière Française, no. 6 (2002): 585. http://dx.doi.org/10.4267/2042/4946.

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2

Tellier, Renée, Luc C. Duchesne, Robert S. McAlpine, and Jean-Claude Ruel. "Effets du brûlage dirigé et du scarifiage sur l'établissement des semis et sur leur interaction avec la végétation concurrente." Forestry Chronicle 71, no. 5 (October 1, 1995): 621–26. http://dx.doi.org/10.5558/tfc71621-5.

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Abstract:
In 1990, a jack pine forest was clear-cut on an 15 ha area and divided into 40 plots. In 1991, ten plots were burned-over under varying conditions to obtain different fire intensities and ten plots were scarified. Each plot was planted in 1992 with red pine (Pinus resinosa Ait.) and white pine (P. strobus L.) seedlings. Survival rate and health of the seedlings was evaluated for the first two years after planting and the non-crop vegetation was assessed using a competition index developed for conifer management in Ontario. Our results show seedling survival rate, health, biomass and height to be improved when planted on burned-over or scarified sites and that fire intensity influences certain of those characteristics. Key words: scarification, fire, Pinus resinosa, Pinus strobus, competition
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Dietz, Lucie, Lisa Laurent, Eric Lacombe, Jean-Claude Gégout, Jean-Luc Dupouey, and Catherine Collet. "Dynamique spontanée de régénération des peuplements du Nord-Est de la France au cours des 20 ans suivant la tempête de 1999." Revue forestière française 74, no. 4 (December 11, 2023): 481–94. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2023.7899.

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Abstract:
Suite au passage de la tempête Lothar en 1999, deux observatoires ont été mis en place dans le Nord-Est de la France pour caractériser la dynamique spontanée de recolonisation forestière et aider les gestionnaires dans leur choix d’itinéraire sylvicole. Nous présentons ici l’évolution de la composition dendrologique, de la densité et des diamètres des tiges sur 20 ans, en fonction de la taille de la trouée, de la composition du peuplement pré-tempête et de l’acidité du sol. La régénération naturelle ligneuse dans les trouées post-tempête est satisfaisante en densité et en diversité en essences 20 ans après la tempête, 87 % des sites ayant plus de 2 500 tiges/ha et la strate supérieure à 2 m comptant 4,4 espèces en moyenne sur 314 m2. Les situations présentant une faible densité de tiges ont pu être identifiées trois ans après la tempête : ce sont d’anciens peuplements résineux, sur sol acide où une végétation concurrente s’est développée.Messages clés• Des observatoires permettent de caractériser la régénération (post tempête 1999).• Vingt ans après, la diversité des essences est satisfaisante sauf sur sol acide après d’anciens peuplements résineux.
4

Tassin, Jacques. "André Aubréville (1897-1982), a pioneering forester and a visionary mind." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (January 7, 2015): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31240.

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Abstract:
André Aubréville fut un forestier d’exception. Formé à l’École forestière française de Nancy, il rejoignit dans les années 1920 les services forestiers coloniaux. Ses livres quifontencore référence témoignent d’un esprit encyclopé- dique, d’une grande lucidité et d’un talent de visionnaire. Comprenant combien l’avenir de la forêt tropicale était menacé par les activi- tés humaines, il mit en place des structures forestières susceptibles d’assurer ce qu’on nommerait aujourd’hui une production sou- tenue. Il devint en 1939 Inspecteur général des Eaux et Forêts de l’Afrique occidentale française mais était aussi déjà réputé comme botaniste spécialiste des Sapotacées et bio- géographe. À l’âge de 60 ans, il fut nommé Professeur au Muséum national d’histoire naturelle de Paris, et entra à l’Académie des Sciences de l’Institut de France. Travailleur in- fatigable, il considérait la botanique comme un outil permettant de mieux comprendre la complexité des forêts tropicales. S’insur- geant contre les généralisations abusives, il montra pourquoi la climatologie actuelle ou passée déterminait localement la compo- sition floristique et les contours de la forêt africaine, forêt malmenée par les feux dont il mesurait l’effet dévastateur et durable. Il fut le premier à entreprendre une véritable tropicalisation de la foresterie, à démontrer la faiblesse du concept de forêt primaire et à suggérer la valorisation des forêts secon- daires. Il ne doutait pas que le matériau bois tiendrait, cinquante ans plus tard, face aux matériaux concurrents, et que les espèces les plus demandées le demeureraient encore pour leurs qualités technologiques supé- rieures. L’ensemble de son œuvre appelait à une forme d’interventionnisme susceptible de préserver les ressources forestières tropi- cales de toute forme d’exploitation abusive. D’aucuns ont pu y voir l’expression d’un tem- pérament jugé trop colonial. Mais on peut tout autant aujourd’hui y déceler, par l’am- pleur des propositions formulées en faveur de la protection de la végétation forestière, l’œuvre d’un forestier résolument précurseur et visionnaire.
5

Costes, E., S. Jaffuel, A. Audubert, M. Jay, J. Lichou, and M. N. Demene. "Chronologie du développement du fruit en relation avec la croissance végétative chez l'abricotier Prunus armeniaca L. cv. Rouge du Roussillon." Canadian Journal of Botany 73, no. 10 (October 1, 1995): 1548–56. http://dx.doi.org/10.1139/b95-168.

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Abstract:
The chronology of fruit development and vegetative growth is described for the apricot cultivar 'Rouge de Roussillon'. We observed a synchrony between the major events of fruit development and those of vegetative growth. This allows us to complete a descriptioon of phases in fruit by taking in account the unfurling of preformed, then newly formed parts of growth units (GU). During the first period, which lasts approximately 12 days following full flowering, numerous events unfold simultaneously. In the absence of leaves, everything the tree produces during this period depends on its reserves. During the second period (from around 12 to 30 days) cell division ceases in the future fruit and the preformed parts of the growth units unfurl. From 30 to 60 days after full flowering, the fruit develops little, while the neoformed parts of the growth units are formed. The cessation of growth is spread out at intervals during this period and, at 60 days, 80% of GU have ceased to grow. The embryo continues its development until about 90 days, while the number of growing shoots is limited. Finally, beyond 90 days, the fruit finishes its enlargement while new growth units appear on the tree. The period of direct concurrence between vegetative and floral development seems limited to the two early periods. In effect, the preformed leaves in the winter bud seem to be incapable of providing assimilates to all the growing organs. Consequently, the priority is alternatively vegetative growth (unfurling of newly formed leaves) then fruit development. Key words: apricot, embryogenesis, growth, flowering, fruit development. [Journal translation]
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Weaver, Peter L. "Changements à long terme de structure et de composition d'une forêt primaire humide de basse montagne suite au passage d'ouragans a Puerto Rico." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 317, no. 317 (September 1, 2013): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.317.a20525.

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Abstract:
Dacryodes excelsa, espèce arborée connue sous les noms de tabonuco à Puerto Rico et de gommier aux Petites Antilles, domine les sommets de la forêt tropicale humide de basse montagne (selon Beard) de l'archipel des Caraïbes ; où périodiquement les ouragans passent à travers les îles modifiant la structure des massifs forestiers, leur composition en essences et leur dynamique. Au nord-est de Puerto Rico, l'étude chronologique post-ouragans menée entre 1946 et 2010 a permis de suivre les modifications de la végétation sur une parcelle de 0,40 hectare à 380 metres d'altitude dans la forêt expérimentale de Luquillo. Celle-ci a montré : (1) la défoliation, la casse et les chablis provoqués par le vent induisant une mortalité immédiate entraînent une déstructuration de forêt en perte du nombre de tiges, de hauteur des arbres et de biomasse ; (2) la mortalité différée de d'autres arbres blessés s'accompagne d'un rapide et abondant recrutement de Cecropia schreberiana et d'espèces cicatricielles, augmentant le nombre de tiges dans la forêt ; (3) une accélération de la croissance en diamètre et l'accumulation de la biomasse pendant une vingtaine d'années après l'ouragan, suivie du déclin de leur ratio ; (4) un très fort taux de survie après l'ouragan et une augmentation de la vitesse de croissance en diamètre de Dacryodes excelsa ; (5) toujours suite à l'ouragan, une augmentation de la richesse en espèces pendant une période de 20 ans au cours de laquelle les espèces primaires et secondaires grandissent ensemble, suivie dune chute d'abondance liée la concurrence ; (6) enfin, des conditions d'évolution asymptotiques aussi bien pour les tiges et la biomasse que pour le nombre d'espèces, après plus de 40 ans. En outre, d'autres études connexes menées dans des types de forêts semblables ont montré que les ouragans et les coupes intensives induisent des réactions de croissance comparables. Cette étude s'avère être d'intérêt régional puisque la forêt humide de basse montagne de Puerto Rico partage des conditions environnementales semblables ainsi que les mêmes essences forestières avec les montagnes des Antilles.
7

Stöckli and Sword. "Zolmitriptan als Lingualtablette in der Migräne-Anfallsbehandlung – die ZORO Studie." Praxis 92, no. 9 (February 1, 2003): 379–89. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.92.9.379.

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Abstract:
Dans une étude prospective ouverte effectuée auprès de 27 cabinets et policliniques de neurologie en Suisse (Etude ZORO [=Zomig® oro]), la forme linguale du zolmitriptan a été examinée chez 113 patients migraineux pour le traitement des crises. Trois cent onze (311) crises avec ou sans aura ont été évaluées. Les patients ont documenté soigneusement chaque crise dans un journal structuré en indiquant le moment du début de la migraine, l'intensité, le moment de la prise du médicament, la durée de la migraine, les symptômes concomitants, la prise de médication supplémentaire et les effets indésirables. Le début de l'effet, évalué de manière subjective, est intervenu dans les 60 minutes pour 56% des crises, pour 73% en l'espace de 2 heures. L'intensité des douleurs a été évaluée à l'aide d'une échelle visuelle analogue de la douleur de 1 à 10. L'effet défini par la diminution de la douleur de 2 paliers ou plus, a été obtenu chez 68% des crises (population ITT) dans les 2 heures. Chez 34% des patients ITT en moyenne, les douleurs ont totalement disparu en l'espace de 120 minutes. Le Meaningful Migraine Relief (MMR), qui est défini comme l'amélioration importante de l'état de santé général, a été atteint pour 59% des crises dans les 120 minutes, après > 2 heures dans 34% d'autres cas. L'intensité des symptômes concomitants – nausées, photophobie et phonophobie – a diminué en 2 heures de près de 50% (mesurée à l'aide d'une échelle visuelle analogue de 1 à 10: 0 = pas de symptôme; 10 = symptômes extrêmement forts). Après l'effet thérapeutique initial, des rechutes migraineuses ont été observées pour 22% des crises en moyenne dans un délai de 4 à 24 heures après la prise du médicament. Des effets indésirables déjà connus liés au triptan ont été rapportés par 17% des patients. Dans la majorité des cas, ils n'ont pas entraîné l'arrêt du traitement; des effets sévères n'ont pas été constatés. Le journal des patients a également documenté le moment du début de la migraine et le moment de la prise du médicament, en supposant que le laps de temps est relativement court compte tenu de la fabrication idéale de la préparation. De manière surprenante, les patients qui ont été informés de manière très détaillée par les neurologues en charge de l'étude de l'importance d'un traitement précoce des crises, n'ont pris le triptan que 90 minutes (médiane) après l'apparition de la migraine (n = 308 crises). Sur l'échelle visuelle analogue de 1 à 10, l'intensité moyenne de la douleur a alors augmenté, passant de la médiane 5.0 à 6.0. Ce comportement inattendu de la part des patients peut s'expliquer par les raisons suivantes: l'expérience de nombreux patients migraineux selon laquelle les crises de migraine s'atténuent souvent de manière spontanée en peu de temps; la difficulté de distinguer le début d'une migraine d'une céphalée de tension, et peut-être d'autres raisons. Toutefois, ce résultat appelle d'autres études de ce genre. Cette forme linguale de triptan représente une réelle concurrence pour les autres triptans sous forme de comprimés usuels, aussi bien en ce qui concerne l'efficacité en cas de céphalées, l'effet sur les symptômes concomitants végétatifs, la rapidité du début de l'effet, que l'acceptation. Elle convient particulièrement bien aux patients migraineux actifs qui souhaitent disposer rapidement d'un médicament efficace en toute circonstance pour soulager les crises.

Dissertations / Theses on the topic "Végétation concurrente":

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Dumas, Noé. "La végétation concurrente de la régénération forestière : évaluation des surfaces colonisées, modélisation de l'abondance et de l'impact sur la régénération ligneuse à l'échelle de la France." Electronic Thesis or Diss., Paris, AgroParisTech, 2022. http://www.theses.fr/2022AGPT0015.

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Abstract:
Le renouvellement forestier est une étape clef dans la vie des peuplements forestiers car il permet le maintien à long terme de la forêt, et des services écosystémiques qui lui sont associés. Parmi les facteurs susceptibles d’impacter négativement le renouvellement, la colonisation par des espèces végétales concurrentes peut ralentir la régénération ligneuse, voire la bloquer pendant plusieurs décennies.L’objectif de cette thèse est d’estimer l’impact, à une échelle régionale à nationale, de la végétation concurrente sur la régénération ligneuse. La thèse est principalement basée sur l’utilisation des données de l’inventaire forestier national français (IFN).Une première étape, utilisant les résultats d’une enquête auprès de gestionnaires forestiers, a permis de dresser une liste des principales espèces concurrentes pour la régénération ligneuse, et de déterminer les surfaces sur lesquelles chaque espèce est présente avec une forte abondance. La ronce (Rubus fruticosus), la fougère aigle (Pteridium aquilinum) et la molinie bleue (Molinia caerulea) sont les principales espèces concurrentes en France, et sont chacune présentes à forte abondance dans plus de 300 000 ha des forêts à faible couvert de canopée en France.Afin de mieux comprendre l’écologie des espèces concurrentes, le rôle de l’ouverture de la canopée sur la probabilité de présence et de forte abondance des espèces concurrentes a été étudié. Pour une majorité d’espèces, le couvert de la canopée a un effet faible sur la probabilité de présence des espèces. À l’inverse, l’abondance des espèces est fortement corrélée au couvert de la canopée, un couvert important étant pour la majorité des espèces concurrentes associé à une plus faible abondance.L’effet de la végétation concurrente sur le recouvrement de la régénération ligneuse a ensuite été modélisé à l’échelle de la France pour les trois principales espèces. Une forte abondance de P. aquilinum et M. caerulea est associée à une diminution relative du recouvrement de la régénération ligneuse d’environ 30 % et 40 % respectivement, par rapport à des situations où ces espèces sont présentes à faible abondance. À l’inverse, R. fruticosus a un effet plus ambivalent sur la régénération ligneuse. Le recouvrement de régénération ligneuse augmente en moyenne légèrement pour des abondances de R. fruticosus intermédiaires, et diminue sensiblement pour une forte abondance de cette espèce.Enfin, la probabilité de présence et de forte abondance des trois principales espèces concurrentes a été modélisée, afin d’identifier les conditions de fortes abondances et de prédire la localisation des surfaces potentiellement impactées par l’apparition de ces trois espèces lors de l’ouverture de la canopée. La difficulté de modéliser précisément la présence mais surtout le niveau d’abondance de ces espèces a conduit à des modèles de faibles capacités prédictives, ne permettant pas d’obtenir des estimations robustes des conditions à fort risque d’envahissement par les trois espèces étudiées.En conclusion, cette thèse a montré que les problèmes de régénération ligneuse liés à des espèces de végétation concurrente sont présents sur des surfaces notables dans les forêts françaises. P. aquilinum et M. caerulea ont globalement un effet négatif marqué sur la régénération ligneuse quelle que soit leur abondance, tandis que l’effet de R. fruticosus n’est globalement négatif que pour de fortes abondances. Enfin, cette thèse a également démontré l’importance de modéliser séparément la présence et l’abondance, et identifié les principaux facteurs à mieux prendre en compte pour mieux modéliser l’abondance des espèces
Forest renewal is a key stage in the life of forest stands as it allows the long-term maintenance of the forest and its associated ecosystem services. Among the factors likely to have a negative impact on forest renewal, colonisation by competitive species can slow down tree regeneration, or even block it for several decades.The objective of this thesis is to estimate the impact of competitive vegetation on tree regeneration on a regional to national scale. The thesis is mainly based on the use of French National Forest Inventory (NFI) data.A first step, using the results of a survey of forest managers, was to establish a list of the main competing species for tree regeneration, and to determine the areas where each species is present with a high abundance. Bramble (Rubus fruticosus), Eagle Fern (Pteridium aquilinum) and Purple Moor-grass (Molinia caerulea) are the main competitive species in France, and are each present with a high abundance in more than 300,000 ha of forests with open canopies in France.In order to better understand the ecology of competitive species, the role of canopy openness on the probability of presence and high abundance of competitive species was studied. For a majority of species, canopy cover has a weak effect on the probability of presence of species. Conversely, species abundance was strongly correlated with canopy cover, with high canopy cover being associated with lower abundance for most competitive species.The effect of competitive vegetation on tree regeneration cover was then modelled at the scale of France for the three main species. High abundance of P. aquilinum and M. caerulea is associated with a relative decrease in tree regeneration cover of about 30% and 40% respectively, compared to situations where these species are present at low abundance. Conversely, R. fruticosus has a more ambivalent effect on tree regeneration. Woody regeneration cover increases slightly on average at intermediate R. fruticosus abundances, and decreases significantly at high abundance of this species.Finally, the probability of presence and high abundance of the three main competing species was modelled, in order to identify the conditions of high abundance and to predict the location of the areas potentially impacted by the appearance of these three species when the canopy is opened. The difficulty of accurately modelling the presence and, more importantly, the level of abundance of these species led to models with poor predictive abilities, which did not allow for robust estimates of the conditions at high risk of colonisation by the three species studied.In conclusion, this thesis has shown that tree regeneration problems related to competitive vegetation species are present on significant areas in French forests. P. aquilinum and M. caerulea have a marked negative effect on tree regeneration regardless of their abundance, whereas the effect of R. fruticosus is only negative at high abundances. Finally, this thesis also demonstrated the importance of modelling presence and abundance separately, and identified the main factors that need to be taken into account to better model species abundance

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