Journal articles on the topic 'Variation du locuteur'

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1

Dubois, Sylvie. "La dimension sociale et la dynamique interactionnelle : un réseau cohérent d’effets sur le discours." ARTICLES 15, no. 1 (November 12, 2021): 5–18. http://dx.doi.org/10.7202/1083720ar.

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Abstract:
Depuis longtemps, les sociolinguistes ont mis au jour la forte relation entre l’aspect social et l’interaction : Labov, 1966 ; Bell, 1984 ; Finegan et Biber, 1994 ; Rickford et McNair-Knox, 1994. Ils ont prouvé que les facteurs sociodémographiques (sexe, âge, classe sociale, ethnicité) influencent la variation linguistique quel que soit le style langagier (formel ou informel) adopté par le locuteur. L’usage de l’énumération - une stratégie discursive fréquente, expressive et fonctionnelle - chez les Montréalais francophones est influencé par des facteurs sociaux (l’âge et la classe socioprofessionnelle) et des facteurs interactionnels (l’entrevue et le questionnaire). Les plus jeunes locuteurs du corpus (15-33 ans) et les informateurs de la classe moins favorisée, à un degré moindre, sont responsables d’une plus grande part d’énumérations de type A : informatives, sous forme d’inventaire et peu complexes structurellement (longueur, syntaxe, marqueurs, répétition, etc.). Inversement, les locuteurs plus âgés (34 ans et plus) et ceux de la classe socioprofessionnelle élevée élaborent de préférence des énumérations de type B : argumentatives dont les éléments sont synonymiques ou organisés selon un ordre spécifique et structurellement plus complexes. Par ailleurs, on remarque un plus grand nombre d’énumérations de type A dans le questionnaire, alors que les énumérations de type B se repèrent davantage dans l’entrevue. Les résultats de mon analyse montrent clairement la variation linguistique déterminée uniquement par l’interaction ou par les facteurs sociaux, mais on observe également des parallèles importants entre les deux dimensions puisqu’elles existent conjointement et forment la base extralinguistique sur laquelle repose le discours des locuteurs.
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2

Bartning, Inge. "Synthèse rétrospective et nouvelles perspectives développementales." Language, Interaction and Acquisition 3, no. 1 (May 7, 2012): 7–28. http://dx.doi.org/10.1075/lia.3.1.02bar.

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Abstract:
Cet article présente une synthèse des recherches en acquisition du français langue seconde/étrangère menées à l’Université de Stockholm. Il fait le lien entre les premiers résultats obtenus au sein du projet InterFra (Interlangue française — développement, interaction et variation) avec les recherches menées récemment sur les stades très avancés. L’article se divise en trois parties. Les deux premières sont rétrospectives, d’abord une description du corpus InterFra — présenté ici dans son intégralité pour la première fois —, puis un bilan des résultats des thèses qui ont utilisé ce corpus, et, finalement, les stades de développement proposés par Bartning et Schlyter (2004). La troisième partie présente un projet sur les stades ultimes d’une L2, High-level proficiency in second language use, programme de recherche commun à cinq départements de l’Université de Stockholm et rend compte des résultats d’études récentes concernant trois groupes d’un niveau proche du locuteur natif, des locuteurs non natifs appelés respectivement avancés, bilingues fonctionnels et quasi-natifs. L’article se clôt sur un bilan de ces études.
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Gelas, Hadrien. "Enquête auprès d'un locuteur du Gisir (Gabon) à Lyon: réflexion sur l'origine de la variation." Faits de Langues 35-36, no. 1 (2010): 401–12. http://dx.doi.org/10.1163/19589514-035-036-01-900000023.

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Ashby, William J. "Un nouveau regard sur la chute du ne en français parlé tourangeau: s'agit-il d'un changement en cours?" Journal of French Language Studies 11, no. 1 (March 2001): 1–22. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269501000114.

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Abstract:
Quoique la norme du français standard prescrive le double marquage de la négation dans le syntagme verbal (ne . . . pas), l'usage contemporain veut que le français parlé laisse tomber la première marque (ne). Dans un article de 1981 qui s'appuyait sur un corpus de français oral enregistré à Tours en 1976, Ashby avait mis en lumière une forte co-variation entre la chute du ne et l'âge du locuteur, les jeunes omettant beaucoup plus souvent le ne que les personnes plus âgées. Cette distribution semble relever d'un changement en temps apparent. Pourtant, comme le signale Labov (1994), un trait linguistique plus fréquent chez les jeunes ne représente pas nécessairement un changement en cours. On peut supposer qu'il s'agit d'un phénomène lié à l'effet de génération (age grading), phénomène dans lequel les locuteurs alterent leur comportement linguistique au cours de leur vie tandis que la grammaire de la communauté ne change pas. De manière à trancher entre les deux hypothèses (d'un côté, changement en cours; de l'autre, effet de génération), cette étude établit une comparaison des distributions de la variable (ne) à deux époques différentes: le corpus tourangeau de 1976 est doublé d'un nouveau corpus enregistré en 1995 au même endroit. Cette comparaison démontre que, sur le plan du temps réel, la chute du ne s'est accélérée, ce qui sous-tend donc l'hypothèse du changement en cours.
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Guertin, Monelle. "Variation sociophonétique dialectale et stylistique : quelle est la langue cible en français langue seconde à Montréal ?1." Arborescences, no. 7 (August 22, 2018): 67–89. http://dx.doi.org/10.7202/1050969ar.

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Abstract:
La variété de français parlée dans l’Hexagone a été par le passé considérée comme un modèle de « bon français », tandis que la variété québécoise s’est trouvée dépeinte de façon moins prestigieuse. En enseignement des langues secondes, ces opinions ont un impact sur les choix et les perceptions des apprenants envers de la langue cible. Plusieurs chercheurs ont étudié ces perceptions dans une comparaison France–Québec. Cette étude propose de vérifier si la variation stylistique propre à chaque variété dialectale affecte les réactions envers le français de France et celui du Québec de la même manière que les variétés le font, pour des apprenants de français langue seconde à Montréal. Selon la technique du locuteur masqué, les participants ont écouté et réagi à des locutrices natives du français parisien et du français québécois produisant exactement le même contenu linguistique dans deux situations différentes, formelle et informelle. Les résultats montrent que la variation stylistique a eu une importance considérable dans les perceptions et les choix des participants. Parallèlement, les données révèlent un amalgame réalisé entre, d'une part, langue formelle et français européen et, d’autre part, langue informelle et français québécois.
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Gauthier, Valérie, Amélie Hien, and Ali Reguigi. "Morphosyntaxe et sémantique de quelques locutions contenant le mot « tête » dans les canadianismes." Actes de la Journée des Sciences et Savoirs, no. 24 (March 22, 2019): 19–39. http://dx.doi.org/10.28984/actes_acfas.v0i24.305.

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Abstract:
Bien qu’une intercompréhension entre les locuteurs du français à travers le monde soit possible grâce aux nombreuses conventions prescrites, l’efficacité de leur communication peut toutefois être compromise à cause de la présence de mots et d’expressions propres à un pays ou à une région. En effet, le français est susceptible de variations synchroniques et diachroniques, étant donné les variations culturelles, sociales, économiques et politiques à l’intérieur d’un même pays et entre les pays ou les régions partageant cette langue. Ces mots et locutions, qui peuvent faire partie du vocabulaire de certains locuteurs, réfèrent alors à des réalités spécifiques de leurs pays ou de leurs régions. En outre, ces expressions ont souvent une telle opacité sémantique que les locuteurs étrangers à celles-ci risquent d’être déroutés et ne seront pas en mesure d’en comprendre le sens (Klett, 2013, p. 60). À titre d’exemple, dans une situation où un locuteur francophone de la Belgique communique avec un locuteur francophone du Canada, il est possible qu’il y ait une incompréhension des expressions utilisées de part et d’autre. De même, cette incompréhension peut s’instaurer entre locuteurs d’un même pays. Cela suggère que le vocabulaire de ces locuteurs diffère par des facteurs individuels, c’està-dire des facteurs sociolinguistiques, qui ont un effet sur leur usage et leur compréhension des expressions. C’est sur cette incompréhension que nous nous penchons dans cette étude. Étant donné la panoplie d’expressions existantes, nous avons restreint notre champ de recherche en ne nous intéressant qu’à quelques locutions anatomiques1 contenant le mot « tête » dans les canadianismes, telles que « être une tête carrée » et « avoir des yeux tout le tour de la tête ».
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Boissonneault, Julie. "Essai sur le français parlé en Ontario : entre représentations et légitimité." Cahiers Charlevoix 12 (July 3, 2018): 89–116. http://dx.doi.org/10.7202/1048917ar.

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Abstract:
Pour sa deuxième contribution, Julie Boissonneault, qui a précédemment analysé lescontraintes institutionnelles qui entravent l’intention et la réalisation des études universitaires en français en Ontario, se penche ici sur la perception qu’on a de la langue des Franco-Ontariens. La langue française parlée en Ontario fait souvent l’objet d’un discours dépréciatif qui établit la compétence des Franco-Ontariens à l’aune de leurs manquements au français de référence. Or, ce discours, qui ne tient pas compte de l’enjeu de la variation interne de toute langue et des processus naturels d’évolution des parlers, nourrit des représentations à l’égard du parler qui sont souvent partielles ou fausses et qui, en retour, peuvent mener à un sentiment d’incompétence chez le locuteur franco-ontarien. Cet essai propose un regard critique sur la trialectique – « discours épilinguistique / représentation linguistique / sécurité-insécurité linguistique » – et met de l’avant la primauté de la description concertée, détaillée et critique de toute variété de langue dans son aménagement « formel ».
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Dewaele, Jean-Marc. "Une distinction mesurable: corpus oraux et écrits sur le continuum de la deixis." Journal of French Language Studies 11, no. 2 (September 2001): 179–99. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269501000229.

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Abstract:
L'opposition oral/écrit est analysée à travers la variation dans les proportions des catégories grammaticales dans vingt-et-un corpus oraux et écrits italiens, néerlandais, français et d'interlangue française. Une analyse factorielle permet d'extraire une dimension unique sur laquelle s'opposent deux groupes de catégories grammaticales. Les substantifs, les articles, les adjectifs et les prépositions se situent près du pôle négatif tandis que les pronoms, les verbes, les adverbes, les interjections et les conjonctions se situent près du pôle positif de cette dimension qui reflète le continuum de la deixis. Les corpus oraux se situent près du pôle déictique/implicite et s'opposent aux corpus écrits qui se rapprochent du pôle explicite du continuum. Les énoncés oraux sont davantage ancrés dans le contexte spatio-temporel du locuteur tandis que le discours écrit est généralement plus indépendant du contexte spatio-temporel, ce qui explique son caractère plus nominal et sa proportion plus importante de mots essentiellement non-déictiques ou explicites.
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Taine-Cheikh, Catherine. "Le ḥassāniyya et la variation diglossique à travers WhatsApp: la Mauritanie à l’heure du Covid-19." International Journal of the Sociology of Language 2022, no. 278 (November 1, 2022): 81–106. http://dx.doi.org/10.1515/ijsl-2022-0021.

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Abstract:
Abstract Malgré la résistance, voire les protestations, de la population négro-africaine ou sub-saharienne (Halpulaaren, Soninké et Wolofs), la place de l’arabe ne cesse de gagner du terrain en Mauritanie. Face au français qui a perdu son statut de langue officielle en 1991, c’est l’arabe standard qui semble le grand gagnant. Cependant le dialecte arabe ḥassāniyya se maintient comme langue maternelle de l’ensemble de la communauté maure (les Bīđ̣ân) et son usage tend même à s’étendre dans la rue comme langue de communication. Depuis les années 1970, des formes mixtes sont apparues, notamment dans les productions à visée politique, mais dans l’ensemble, les sphères d’emploi des formes non mixtes sont restées bien différenciées, aussi bien à l’oral qu’à l’écrit. L’usage des nouvelles technologies n’a pas apporté de bouleversement radical: le choix du dialecte ou de l’arabe littéraire continue à dépendre à la fois du locuteur, du thème et du point de vue énonciatif. Cependant, alors que ce choix ne concernait, auparavant, que les productions orales, il s’est étendu dorénavant à l’écrit, certains Mauritaniens n’hésitant plus à communiquer en ḥassāniyya par écrit. C’est notamment cette évolution que je me propose de montrer à travers l’étude de messages reçus par WhatsApp. Le corpus constitué au cours de l’année 2019–2020 comprend des enregistrements audio, des vidéos et des textes écrits. Ceux-ci nous ont été réexpédiés par des Mauritaniens bien informés qui les avaient sélectionnés pour leur intérêt particulier (politique, social ou esthétique). Parmi eux, une dizaine de messages concerne la crise du Covid-19 qui a donné lieu à des prises de position relativement tranchées.
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Nakamura, Takuya, and Christiane Marque-Pucheu. "La construction à un point X en relation avec l’exclamative en à quel point." SHS Web of Conferences 46 (2018): 12014. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184612014.

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Abstract:
Dans cette étude préalable à une description plus générale des exclamatives en à quel point (AQP), nous examinons les distributions des SP à un point X (AUPX) comportant un déterminant indéfini. Ces derniers doivent sous-tendre AQP exclamatif (et interrogatif) selon une hypothèse présuppositionelle sur les phrases interrogatives et exclamatives mettant en jeu un élément Qu- (cf. Michaelis & Lambrecht). Nous démontrons que, contrairement à la distribution générale de quel, AQP ne possède que l’emploi exclamatif indirect, excluant l’exclamatif direct et les interrogatifs direct et indirect, ce qui va à l’encontre du jugement d’acceptabilité de linguistes comme J.-C. Milner. Les syntagmes AUPX reliés au syntagme AQP expriment exclusivement le haut degré, en raison 1) du sens lexical de « seuil/limite » que le nom point y revêt et 2) d’un paradigme de modifieurs qui exclut une variation libre, condition préalable de la question en quel. Ils peuvent être considérés comme une construction. Ces modifieurs (adjectif ou relatif), en distribution complémentaire avec une forte intonation exclamative, décrivent l’incrédulité ou l’indicibilité du locuteur, traduisant son appréciation subjective vis-à-vis du haut degré. Ils constituent souvent le prédicat principal d’une exclamative indirecte. AQP n’est alors qu’une variante syntaxique subordonnée d’AUPX.
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Morel, Mary-Annick. "Valeur énonciative des variations de hauteur mélodique en français." Journal of French Language Studies 5, no. 2 (September 1995): 189–202. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269500002751.

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Abstract:
AbstractPoursuivant un ensemble de travaux développés à Paris III sur les relations entre énonciation et intonation dans le français oral spontané, je presénte ici quelques hypoth`ses nouvelles sur la valeur énonciative de ces variations. Je propose de considérer que le point le plus haut de la plage intonative du locuteur montre que les deux participants du dialogue sont impliqués dans le point de vue qui est développée (ce qui se produit entre autres à la finale du «theme» ou de l'interrogation totale), alors que les niveaux inférieurs de la plage intonative signifient que le locuteur développe un point de vue qui lui est personnel et qui ne met pas en jeu une pensée autre (ceci se produit entre autres à la finale d'une assertion ou d'une injonction). Je propose aussi de considérer qu'il y a un niveau neutre de Fo, où se situent les hésitations et les incises (lorsque le locuteur juge nécessaire d'ajouter des gloses sur ce qu'il est en train d'énoncer).
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Dewaele, Jean-Marc, and Vera Regan. "Maîtriser la norme sociolinguistique en interlangue française: le cas de l'omission variable de ‘ne’." Journal of French Language Studies 12, no. 2 (July 2002): 123–48. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269502000212.

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Abstract:
L'acquisition de la norme sociolinguistique française pose des problèmes considérables aux locuteurs non-natifs. L'analyse de la variation dans l'omission du ne dans un corpus d'interlangue avancée de 27 apprenants néerlandophones interviewés dans une situation informelle et formelle confirme que l'instruction formelle est insuffisante pour la maîtrise de la norme sociolinguistique native. Une majorité de locuteurs omettent le ne un peu moins souvent dans une situation formelle mais la variation va dans le sens opposé pour une minorité de locuteurs. L'observation et surtout la participation à des interactions authentiques avec des locuteurs natifs stimulent l'acquisition de la norme sociolinguistique. Une analyse statistique révèle que différentes variables socio-biographiques, psychologiques et situationnelles déterminent la variation intra- et interindividuelle dans les taux d'omission du ne.
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Dewaele, Jean-Marc. "Extraversion et richesse lexicale dans deux styles d'interlangue française." ITL - International Journal of Applied Linguistics 99-100 (January 1, 1993): 87–105. http://dx.doi.org/10.1075/itl.99-100.05dew.

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Abstract:
Dans cet article nous cherchons dans quelle mesure certains traits de la personnalité (en l'occurrence le degré d'extraversion) permettent d'expliquer des phénomènes de variation synchronique interindividuelle dans deux styles d'interlangue de nos 21 locuteurs néerlandopho nes parlant français. Nous avons constaté que dans un contexte formel le discours oral des locuteurs introvertis est plus riche que celui des locuteurs extravertis.
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Abdoulaye, Mahamane L. "Les variations en hausa chez les locuteurs natifs." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 15 (April 9, 2022): 127–77. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2004.1630.

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Abstract:
Cette contribution a pour but de présenter et d'interpréter des données de l'enquête relatives aux pratiques linguistiques de locuteurs natifs du hausa (les Hàusàawaa) sur les plans phonologique, morphologique, syntaxique et lexical.
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Pršir, Tea. "Le double rapport oral-écrit et écrit-oral dans la revue de presse radiophonique." Çédille 1 (September 1, 2010): 143. http://dx.doi.org/10.21071/ced.v1i0.10551.

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Abstract:
Cette étude propose une description de l'apport de la prosodie à la circulation du discours dans la revue de presse radiophonique. Une analyse outillée, illustrée par Prosogrammes, montre l'ampleur des variations prosodiques chez le locuteur. Une analyse polyphonique explique que ces variations sont dues aux différentes voix originaires tant du support écrit (journaux) que du support oral (tribune, conférences).
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DEKHISSI, LAURIE. "Qu’est-ce t’as été te mêler de ça ?! Une « nouvelle » structure pour les questions rhétoriques conflictuelles." Journal of French Language Studies 26, no. 3 (June 10, 2015): 279–98. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269515000253.

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Abstract:
RÉSUMÉCet article porte sur la variation syntaxique entre qu’est-ce (que) et pourquoi dans les questions rhétoriques conflictuelles (QRC). Le corpus utilisé est constitué de 38 films du cinéma de banlieue afin d’observer cette variation chez les locuteurs du français multiculturel, garants d’un langage très expressif. Il s’avère que la structure /kesk/ est une structure très emphatique, directe et plus menaçante que sa variante en pourquoi, qui elle, est ambiguë entre une demande d’information traditionnelle et une QRC. Cette structure, /kesk/, utilisée sans distinction d’âge et favorisée par les locuteurs masculins du corpus, se révèle être un outil communicatif très puissant et présent dans le français parlé dès 1668 chez Molière.
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Marchand, Aline, and David Le Gac. "Acquisition de la prosodie en langue additionnelle : l’accentuation en français par des locuteurs adultes plurilingues de langue initiale turque." SHS Web of Conferences 78 (2020): 09007. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207809007.

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Abstract:
Cette étude expérimentale porte sur l’acquisition des accents primaire (A1) et secondaire (A2) en français langue additionnelle (La) par des locuteurs adultes plurilingues de langue initiale (Li) turque. Étant donné les convergences et divergences entre les A1 et A2 français et turcs concernant leurs places et paramètres acoustiques, l’objectif est de voir comment sont réalisés ces accents en français La par les locuteurs turcs. L’analyse contrastive des deux systèmes accentuels suggère que, par rapport au français Li, les locuteurs turcs réalisent des écarts phonétiques plutôt que phonologiques. L’analyse acoustique avec Praat confirme nos hypothèses : sur le plan phonologique, l’A1 en français La est bien placé en fin de groupe accentuel, avec les paramètres acoustiques pertinents (F0 et durée), et l’A2 initial n’est pas réinterprété comme un A1 turc non final ; mais sur le plan phonétique, les locuteurs ont des difficultés à gérer les proportions des allongements et des variations de F0. Ces résultats confirment les prédictions de l’Hypothèse de la surdité accentuelle (Dupoux & al. 1997/2010) et de l’Hypothèse de la Différence de Marque (Eckman 1977/2008) : l’A1 turc étant au moins aussi complexe que l’A1 français, les locuteurs turcs ne sont pas sourds aux différences de l’A1 français.
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Deulofeu, José. "Variation syntaxique : recherche d'invariants et étude des attitudes des locuteurs devant la norme." Langages 26, no. 108 (1992): 66–78. http://dx.doi.org/10.3406/lgge.1992.1651.

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BLONDEAU, HÉLÈNE, RAYMOND MOUGEON, and MIREILLE TREMBLAY. "Analyse comparative deça fait que, alors, doncetsoà Montréal et à Welland: mutations sociales, convergences, divergences en français laurentien." Journal of French Language Studies 29, no. 1 (August 14, 2018): 35–65. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269518000169.

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RÉSUMÉLa présente étude compare l’évolution récente du français parlé à Montréal et celle du français parlé à Welland (Ontario) où réside une minorité francophone. Le phénomène variationnel retenu est l'emploi des connecteurs(ça) fait (que),so,alorsetdonc. Les corpus utilisés ont été recueillis à l'aide d'entretiens enregistrés de 2011 à 2015 parmi des échantillons de locuteurs stratifiés selon l’âge, la classe sociale et le sexe. L'analyse des données révèle des différences marquées dans l’évolution de ces connecteurs dans les deux communautés. Par exemple, à Montréal on observe une forte montée de(ça) fait (que)et l'obsolescence d'alorset à Welland, une forte montée deso(forme absente à Montréal), le net déclin de(ça) fait (que)et le maintien relatif d'alorsetdonc. L’étude de la configuration sociale de la variation montre plusieurs points de convergence entre les deux variétés de français laurentien (ex. association de(ça) fait (que)avec les locuteurs de la CSE basse et d'alorsavec ceux de la CSE haute). Toutefois, l'analyse de l'effet combiné des facteurs âge, CSE, sexe et bilinguisme sur la variation met au jour des différences importantes entre les deux parlers et l’émergence de normes endogènes divergentes.
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Bento, Margaret. "Une étude sociophonétique des affriquées désonorisées en franco-québécois." Revue québécoise de linguistique 26, no. 1 (April 30, 2009): 13–26. http://dx.doi.org/10.7202/603142ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cette étude montre que la dynamique de la variation linguistique des affriquées, notamment en ce qui concerne les phénomènes de désonorisation, est non seulement soumise à des pressions d’ordre combinatoire, mais réagit aussi à des facteurs sociaux. Ainsi, cette analyse révèle qu’outre l’influence de l’environnement phonétique, les facteurs sexe (les femmes assibilant moins et dévoisant plus leurs articulations que les hommes) et région d’origine (les locuteurs de Chicoutimi assibilant et dévoisant moins que ceux de Québec) sont à prendre en considération dans l’explicattion de la variation linguistique.
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Guerin, Emmanuelle. "Les « emprunts urbains contemporains » : une approche sociolinguistique d’un phénomène lexical." SHS Web of Conferences 46 (2018): 05003. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184605003.

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Abstract:
L’observation des pratiques illustrant le vernaculaire urbain contemporain, tel qu’il émerge notamment dans les quartiers populaires et multiculturels d’Île de France, met en évidence l’intégration de nombreux mots étrangers issus de l’anglais et des langues de l’immigration. Parmi ces dernières, l’arabe y occupe une place privilégiée. Cette contribution met en lumière la spécificité de ce type d’emprunts qui suggère une opération interprétative qui repose autant, voire plus, sur le principe même d’emprunt à une langue donnée, dont la sélection déclenche un cadre de références implicitement partagé par les locuteurs, que sur le sens du mot dans la langue d’origine. En somme, on montre, à partir des données issues du corpus Multicultural Paris French (MPF), que ces emprunts urbains contemporains sont observables en tenant compte d’implications d’ordre pragmatique. Cette étude s’inscrit dans une démarche plus globale d’objectivation du discours sur les pratiques langagières de certains locuteurs, encore trop souvent exclues du champ de variation de la langue française.
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Avilés González, Karla J. "Expériences langagières réflexives dans un monde nahua divers : De la stigmatisation sociolinguistique à la dialectologie sociale appliquée." Signifiances (Signifying) 5, no. 1 (June 9, 2022): 67–83. http://dx.doi.org/10.52497/signifiances.v5i1.311.

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Abstract:
Ce travail cherche à contribuer à une linguistique des individus à partir d’un parcours réflexif sur le travail de terrain réalisé avec des locuteurs nahuaphones au Mexique. Dans un premier temps, il abordera les expériences langagières vis-à-vis des stigmates sociolinguistiques. Ces dernières font émerger un métalangage local qui permet de mieux saisir le métalangage « savant », mais aussi de construire du sens afin de revendiquer le nahuatl de Santa Catarina (Morelos). Cette approche, qui va de la théorie de l’action à la pratique, est au cœur de la méthodologie mise en œuvre dans les ateliers d’écriture co-participatifs développés dans deux régions nahuaphones, Tepetitlán (Oaxaca) et Mecayapan (Veracruz), auxquels s’intéresse cet article dans un second temps. Les locuteurs révèlent la présence d’une variation sociolinguistique importante, aussi bien au niveau métadiscursif que linguistique, qui permet simultanément de construire ou reconstruire des stratégies communicatives pour mieux apprendre la diversité dialectale du monde nahua.
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Blondeau, Hélene. "La trajectoire de l'emploi du futur chez une cohorte de Montréalais francophones entre 1971 et 1995." Revue de l'Université de Moncton 37, no. 2 (June 1, 2007): 73–98. http://dx.doi.org/10.7202/015840ar.

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Abstract:
S'appuyant sur des données diachroniques documentant la variation en ce qui concerne la référence temporelle au futur en français, cet article fait la lumière sur la contribution du suivi de cohorte à la compréhension du changement linguistique. La recherche en temps réel présente une étude de cas de 12 locuteurs suivis au cours d'une période de 24 ans (1971 à 1995). Les résultats indiquent une augmentation de l'usage du futur synthétique, une tendance contraire à celle du changement communautaire en cours qui suggère plutôt un déclin de la forme synthétique. Cependant, l'analyse des contraintes linguistiques sur la variation indique que la polarité, que l'on considérait précédemment le facteur principal influençant la variation, continue d'exercer une influence incontestable sur la distribution des formes. L'article conclut à la complémentarité des approches méthodologiques en temps apparent et en temps réel dans l'étude de la variation et du changement linguistique.
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Rea, Béatrice. "Le retour d’un « être » cher ? Étude sociolinguistique de l’alternance des auxiliaires dans le français de Montréal (1971-2016)." SHS Web of Conferences 46 (2018): 02002. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184602002.

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Abstract:
Ma communication examine l’alternance en français montréalais des auxiliaires avoir et être dans la vingtaine de verbes nécessitant conventionnellement être (ex. J’ai tombé) et dans les pronominaux (ex. Je m’ai fait mal). Cette variabilité a été recensée dans pratiquement toutes les communautés francophones d’Amérique du Nord et dans certaines régions de France et de Belgique. Après avoir analysé le corpus montréalais Sankoff-Cedergren (1971), Sankoff & Thibault (1977) ont observé une généralisation d’avoir dans 34% des occurrences. Puisqu’en 45 ans le paysage linguistique montréalais a connu de grands changements, je tente de déterminer par le biais d’entrevues sociolinguistiques avec 48 locuteurs l’état de cette variation. Après avoir transcrit les temps composés des verbes démontrant une alternance en 1971 et ceux des pronominaux obtenus, je groupe mes locuteurs selon divers facteurs (âge, sexe, classe socio-économique, insertion dans le marché linguistique, bilinguisme, etc.). Mes résultats préliminaires montrent que l’alternance d’auxiliaires dans les intransitifs a globalement diminué (taux de sélection d’avoir de 10,4%) depuis 1971 et que celle dans les pronominaux est socialement marquée. Le maintien d’être corrèle avec une classe socio-économique et une insertion dans le marché linguistique élevés.
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Ruvoletto, Samantha, and Nori Kondo. "La liaison variable : des manuels scolaires japonais au jugement de locuteurs natifs." SHS Web of Conferences 78 (2020): 07010. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207807010.

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Abstract:
La liaison variable est un phénomène phonologique du français sujet à plusieurs contraintes para-linguistiques ou extra-linguistiques comme, par exemple, des facteurs sociolinguistiques et stylistiques (Durand et al., 2011). Sa variation fait que cette liaison pose des difficultés quand il s’agit de l’expliquer dans les manuels de français langue étrangère comme montré par Kondo (2012) dans son étude sur les manuels de FLE publiés au Japon. Dans cette étude, nous essayons de comprendre si les réalisations de la liaison variable présentes dans ces manuels correspondent aux réalisations potentielles de 30 locuteurs natifs (divisés en deux groupes : Groupe Formel et Informel). Dans une tâche de jugement, les participants entendent 50 phrases dans deux conditions : « liaison réalisée » (ex. il est[t] originaire [ilɛ.tɔ.ʁi.ʒi.nɛʁ]) ; « non réalisation liaison » (ex. il est originaire [ilɛ.ɔ.ʁi.ʒi.nɛʁ]) et doivent décider s’ils prononceraient plutôt la première ou la deuxième phrase. En comparant nos résultats avec les réalisations des manuels, nous nous rendons compte que si nous analysons exclusivement les contextes syntaxiques, les manuels proposent une réalisation de la liaison qui est plus normative que variable. Cependant si nous nous concentrons sur une analyse « mot à mot », ces mêmes manuels proposent des pourcentages de réalisation plus proches de l’usage qu’à la norme. Ces résultats nous permettent de réfléchir sur comment présenter la liaison variable dans les manuels de FLE.
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Hansen, Anita Berit. "Etude du E caduc — stabilisation en cours et variations lexicales." Journal of French Language Studies 4, no. 1 (March 1994): 25–54. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269500001964.

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Abstract:
AbstractNous étudierons l'hypothèse selon laquelle le E caduc précédé d'une seule consonne — (V) C_C — serait en train de se stabiliser dans le français non-méridional, surtout en syllabe initiale de mot, mais aussi en monosyllabe et en syllabe médiane. A l'aide de deux corpus de français parlé parisien, rassemblés en 1972–1974 et en 1989, nous montrons d'abord que cette stabilisation ne peut pas être confirmée dans la langue parlée de Parisiens cultivés. Le E caduc étudié semble être une variable sociolinguistique stable, variant avec le style et avec 1'âge des locuteurs. La deuxième partie de notre analyse fait apparaître en outre un conditionnement lexical important en syllabe initiale (0% de maintien danssemaine, 100% dansrelation). Nous examinerons le rôle joué par la fréquence du mot, par la présence du préfixere-, et par la relation articulatoire entre les consonnes qui entourent le E caduc.
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HAMBYE, PHILIPPE, and MICHEL FRANCARD. "Le français dans la Communauté Wallonie-Bruxelles. Une variété en voie d'autonomisation?" Journal of French Language Studies 14, no. 1 (March 2004): 41–59. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269504001401.

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Abstract:
La présente étude examine la question du degré d'autonomisation de la variété de français en usage dans la Communauté Wallonie-Bruxelles par rapport au français standard. Nous proposons d'abord une revue critique des réponses apportées par certains auteurs à cette question, qui souligne des carences méthodologiques récurrentes dans de nombreux travaux. Les éléments de réponse basés sur l'étude des représentations des locuteurs sont également pris en considération. Nous montrons ensuite comment les enquêtes menées actuellement par le centre de recherche VALIBEL tentent de dépasser les limites des recherches antérieures et nous conduisent à réévaluer l'importance de la variation diatopique du français en Belgique.
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Mondada, Lorenza. "Variations sur le contexte en linguistique." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 11 (April 9, 2022): 243–66. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.1998.1851.

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Abstract:
S’il est aujourd’hui courant, voire banal, d’affirmer que les usages linguistiques, comme d’autres activités humaines, sont à rapporter à la situation dans laquelle ils se déploient, force est de reconnaître que les dissensions restent grandes dès qu’il s’agit de préciser le type de relation qui s’établit entre les deux, de définir plus précisément cette dimension située ou d’identifier ses traits pertinents (cf. Goodwin & Duranti, 1992). Cette diversité fait de la notion de contexte un moyen d’interrogation des pratiques et des théories en linguistique : puisque la question du contexte, qu’elle soit minimisée ou prise au sérieux, se pose dans tout modèle en sciences humaines, elle permet de caractériser ce modèle par rapport à sa façon de définir sa démarche, de circonscrire son objet et de traiter ses observable. Nous allons donc expliciter quelques axes fondamentaux qui permettent de distinguer différentes conceptions du contexte, d’abord selon des démarches qui minimisent ou au contraire qui maximisent son rôle (1), puis selon les dimensions privilégiées par sa définition (2). Nous proposerons ensuite quelques exemples (3), montrant que non seulement les activités mais aussi les ressources des locuteurs sont élaborées localement et qu’ils permettent ainsi d’esquisser une approche contextuelle des pratiques et des formes langagières (4).
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MOUGEON, RAYMOND, SANDRINE HALLION, DAVY BIGOT, and ROBERT PAPEN. "Réponses aux commentaires." Journal of French Language Studies 26, no. 2 (April 12, 2016): 177–81. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269516000090.

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Abstract:
Tout d'abord, nous tenons à remercier nos collègues de leurs commentaires sur notre article. L'espace prévu pour nos réponses étant limité notre réaction à ces commentaires sera sélective et brève. La question de l'effet de la méthodologie sur la fréquence des variantes dans les corpus a retenu l'attention de nos collègues. En particulier, ils se sont interrogés sur la signification et les raisons de la fréquence relativement plus grande de ne . . . que à Saint-Boniface. Cette interrogation est légitime, car ce résultat pourrait être l'indice du début d'une montée de ne . . . que durant les vingt ans qui séparent le recueil des corpus de Welland et Bonnyville (1975 et 1976) de celui du corpus de Saint-Boniface (1995/97). Étant donné que dans ce dernier corpus la mesure de l'influence de l’âge n'apporte pas un soutien concluant à l'hypothèse du changement, nous penchons plutôt pour y voir un impact de la méthodologie: les locuteurs de la classe supérieure étaient surreprésentés dans l’échantillon et l'enquêtrice n'appartenait pas à la communauté. S'il nous semble difficile de trancher entre ces deux interprétations, il ne faut pas perdre de vue l'effet positif des traits spécifiques de la méthodologie utilisée pour la collecte de ce corpus. En effet, la surreprésentation des locuteurs de la classe supérieure a eu le mérite de fournir suffisamment d'occurrences de la variante pour effectuer une analyse de l'influence des contraintes linguistiques. De plus, les origines françaises de l'enquêtrice ont mis au jour le fait que les membres de la classe supérieure font un usage plus fréquent de cette variante en situation d'accommodation linguistique ascendante. Par contraste, dans les trois autres corpus et dans ceux utilisés par les études antérieures, la fréquence marginale ou l'absence de ne . . . que, en partie imputable à la collecte des données par des membres de la communauté, a occulté ce type d'accommodation. Il y a donc complémentarité entre la méthodologie du corpus de Saint-Boniface et celle des autres corpus. Il a également été souligné à quelques reprises qu'il y avait plus de locuteurs catégorisés comme cols bleus que de locuteurs catégorisés comme cols blancs dans le corpus de Saint-Laurent. Comme nous l'avons précisé, Saint-Laurent est une communauté où le statut social et l’éducation des habitants sont, en règle générale, peu élevés. La forte prédominance de rien que dans le corpus pourrait donc refléter en partie la spécificité de la structure sociologique propre à cette communauté. Par ailleurs, le corpus de Saint-Laurent a le mérite de révéler que dans ce type de communauté les locuteurs qui sont en haut de l’échelle sociale ont un taux d'emploi de cette variante fort élevé et ne se distinguent guère des locuteurs des couches sociales basses. Par contraste, dans les trois autres communautés, la couche sociale haute se distingue nettement des couches sociales plus basses par un emploi moins fréquent de rien . . . que. La comparaison du corpus de Saint-Laurent avec les trois autres corpus, fournit donc une indication de la force de l'effet de la cohésion sociale sur la variation dans le parler de la communauté franco-métisse.
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Mougeon, Raymond. "Diversification du parler des adolescents franco-ontariens." Cahiers Charlevoix 7 (April 10, 2017): 229–76. http://dx.doi.org/10.7202/1039327ar.

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Abstract:
Raymond Mougeon analyse un cas de diversité linguistique : les mots et locutions qui marquent la conséquence dans le parler des adolescents franco-ontariens. Bien que ce sujet paraisse de prime abord pointu, l’auteur entend montrer que ce « petit sous-système de la grammaire du français […] permet d’aborder la plupart des dimensions distinctives de la variation du français ontarien ». Ainsi, à l’aide du corpus Mougeon et Beniak, recueilli en 1978 au moyen d’entrevues enregistrées, il scrute les divers emplois des conjonctions ça fait que, so, alors et donc dans le parler des adolescents de North-Bay, Pembroke, Cornwall et Hawkesbury, en Ontario, qu’il met en rapport avec ceux des locuteurs montréalais, au Québec. L’auteur examine l’alternance entre ces quatre conjonctions en fonction de divers facteurs : la localité, l’appartenance socio-économique, le sexe, la fréquence de l’emploi du français et le registre (sujet abordé dans l’entrevue). Il relève des divergences dans l’emploi de ces marqueurs : par exemple, la tournure typique du français vernaculaire ( ça fait que ) est mieux préservée dans les communautés majoritaires ; une pression normative plus faible rend les minorités tolérantes à l’anglais et explique l’emprunt, plus ou moins fréquent de la conjonction so selon le milieu et la condition des locuteurs ; chez ceux qui sous-utilisent le français, on observe une tendance à la standardisation (emploi plus fréquent d’alors et de donc ).
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Racine, Isabelle, and François Grosjean. "La production du E caduc facultatif est-elle prévisible? Un début de réponse." Journal of French Language Studies 12, no. 3 (November 2002): 307–26. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269502000340.

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Abstract:
Dans cette étude, nous examinons les facteurs qui influencent la production des mots comportant un E caduc facultatif en syllabe initiale. Nous avons demandé à des locuteurs francophones de raconter quatre histoires comportant des mots où le E caduc est facultatif, et nous avons ensuite calculé, pour chaque mot, un taux de production avec effacement. Afin de prédire les taux obtenus, sept facteurs ont été choisis et, pour chacun d'eux, un coefficient de corrélation a été calculé. Une combinaison des trois facteurs les plus importants a ensuite été utilisée pour déterminer le pourcentage de variation du E caduc facultatif qui peut être expliqué. Il en ressort que la production du E caduc facultatif est en partie prévisible.
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Glikman, Julie, Christophe Benzitoun, Jean-Philippe Goldman, Yves Scherrer, Mathieu Avanzi, and Philippe Boula de Mareüil. "Donnez votre Français à la Science ! Internet et la documentation de la diversité linguistique : présentation de la plateforme et premiers résultats." SHS Web of Conferences 46 (2018): 02003. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184602003.

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Abstract:
La plateforme de production participative (crowdsourcing) Donnez votre Français à la Science (DFS) vise à collecter des données linguistiques en mettant l’accent sur la variation en français européen. Les données recueillies dans le cadre d’un projet de production participative sont utiles pour une meilleure connaissance des différents usages de la langue, mais cela permet également de tisser des liens entre communauté scientifique et grand public en rendant ces derniers acteurs de la recherche et en les encourageant à suivre les enquêtes à venir. Les deux principales activités décrites ici sont : 1. une étude linguistique sur la connaissance de la variation lexicale régionale avec une rétroaction immédiate et 2. un système de géolocalisation des locuteurs, à savoir un quiz dont l’objectif est de deviner l'origine géographique du participant sur la base de la comparaison de ses réponses aux données précédemment recueillies dans d’autres enquêtes. Les évolutions de la plateforme, en cours de développement, sont également évoquées en conclusion.
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Thibault, Pierrette. "Regard rétrospectif sur la sociolinguistique québécoise et canadienne." Revue québécoise de linguistique 30, no. 1 (July 10, 2003): 19–42. http://dx.doi.org/10.7202/000512ar.

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Abstract:
Résumé L’article fait le survol de la recherche sociolinguistique canadienne des trente-cinq dernières années s’insérant dans le cadre de la linguistique variationniste. Trois thèmes sont abordés : 1o l’évolution du traitement de la notion de variable, qui est au coeur de la démarche empirique des variationnistes ; 2o le type de données sur lesquelles reposent les analyses, et 3o le lien dynamique entre les locuteurs dont le parler est analysé et la communauté dont ils se réclament. Les recherches rapportées sont centrées autour de la caractérisation des variations au sein d’une communauté, des effets du contact entre deux langues et des sources historiques des variétés étudiées.
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Aniwali, Idrissa. "Existe-t-il une koïnè de hausa au Niger ?" Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 11 (April 9, 2022): 23–31. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.1998.1838.

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Abstract:
Cet article tire ses fruits des recherches empiriques effectuées dans le cade du projet Pluriling de coopération entre l’Université de Lausanne et l’Université de Niamey. Il entre dans le cadre d’une série de publications ayant trait aux analyses et interprétations des données stockées recueillies lors des recherches effectuées sur les pratiques et représentations linguistiques auprès des populations des différentes localités visitées à savoir : Hawan-Dawaki, Kornaka, Nobi, Tagone, la communauté urbaine de Niamey et Agadez. Cette recherche à pour souci d’étudier les variations du hausa chez ceux qui ont le hausa comme langue première et ensuite voir ce qui se passe chez les locuteurs non natifs de cette langue.
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Cunillera Domènech, Montserrat. "El tratamiento de las portadas y las contraportadas en la traducción de un premio Goncourt." Çédille 7 (April 1, 2011): 96. http://dx.doi.org/10.21071/ced.v7i.5457.

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Abstract:
La présente étude rend compte du traitement qu’ont reçu les pages de couverture et de quatrième de couverture dans les traductions du roman de Romain Gary La Vie devant soi, lauréat du prix Goncourt en 1975. Les éléments concrets des pages de couverture qui ont été examinés sont les illustrations, le titre et le nom de l’auteur; en ce qui concerne les quatrièmes pages de couverture, nous avons analysé le type d’information contenue dans cette partie et le résumé de l’argument. L’importance de l’espace péritextuel pour annoncer une œuvre littéraire et pour séduire le public a pu être constatée dans tous les textes analysés bien que la stratégie suivie ait été distincte dans chaque cas. Le but principal est donc de déterminer les variations les plus importantes entre les différentes versions et de montrer dans quel sens elles sont révélatrices du point de vue du locuteur- éditeur.
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Dupuis, Jacinthe. "Étude sociolinguistique de quelques caractéristiques des emprunts à l’anglais par des franco-américains du Massachusetts." Revue québécoise de linguistique 25, no. 2 (May 1, 2009): 35–61. http://dx.doi.org/10.7202/603137ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ On entend souvent dire que le français parlé par les Franco-Américains comporte un grand nombre d’anglicismes. L’étude d’un corpus recueilli auprès de 25 locuteurs franco-américains du Massachusetts permet de quantifier plus précisément la situation. On constate que le nombre d’emprunts à l’anglais dans le discours français est comparable à plusieurs points de vue à celui d’autres communautés francophones minoritaires en Amérique du Nord, soit en général moins de 1 %. De plus, on observe un certain degré de variation sociologique, les hommes empruntant davantage que les femmes, tout comme les plus âgés par rapport aux plus jeunes. Quoique très limitée, cette analyse exploratoire indique que des perceptions et des jugements parfois subjectifs demandent une étude plus approfondie et à partir de données nombreuses et représentatives.
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Rodriguez, Liliane. "Le lexique nordique des jeunes Manitobains : constantes et variations sociolinguistiques dans le vocabulaire fondamental désignant les animaux." Le dossier 29, no. 2 (November 30, 2017): 429–55. http://dx.doi.org/10.7202/1042268ar.

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Abstract:
Ce que l’on appelle le vocabulaire fondamental (ou lexique disponible) des jeunes forme le socle sémantique sur lequel se construit, au fil des ans, le lexique du locuteur adolescent puis adulte, voire l’imaginaire de l’écrivain. Ce vocabulaire est fondamental car il s’acquiert jusqu’à l’âge de treize ans, pour désigner les objets de notre expérience immédiate du monde: les vêtements, les jeux, l’école, les animaux, etc. Nos enquêtes, réalisées en douze communautés du Manitoba entre 1990 et 2006, montrent que la notion sémantique du Nord occupe une place récurrente dans le vocabulaire fon-damental des jeunes Franco-Manitobains. Extraits des corpus lexicométriques établis par des méthodes de statistique lexicale sur les données de ces enquêtes, nos exemples, ici, proviennent du champ lexico-sémantique «Les animaux» (le champ de la faune). Les indices de disponibilité de ces mots (leur usage réel, et non une simple compréhension passive) ont été calculés selon deux paramètres sociolinguistiques: urbain/rural et fille/garçon. Ces indices convergent, mettant en évidence la forte représentation lexicométrique d’une expérience nordique vécue (ours, carcajou, etc.) par rapport à la faible représentation de référents lointains (girafe, éléphant, etc.) dans le développement du lexique, de la mémoire sémantique et de l’imaginaire des jeunes Manitobains.
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Dekhissi, Laurie. "Les exclamatives en comment dans le cinéma de banlieue: une étude variationniste." Journal of French Language Studies 31, no. 2 (July 2021): 216–40. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269521000028.

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Abstract:
RésuméDans cet article, nous analysons la variation dans l’emploi des exclamatives en QU-,1 qui ont pour marqueur exclamatif qu’est-ce que, ce que, comme et comment. Pour ce faire, nous adoptons l’approche variationniste et nous avons recours à un corpus de 45 films du cinéma de banlieue dont seulement 24 témoignent de la présence d’exclamatives en QU-. Ces 24 films couvrent la période de 1991 à 2019. Nous avons récolté 75 occurrences de phrases exclamatives correspondant à la variable étudiée, prononcées uniquement par des locuteurs vivant dans des cités HLM. Les résultats obtenus montrent la forte fréquence d’utilisation du marqueur comment (61 occurrences) par rapport aux autres marqueurs plus couramment rencontrés dans le français parlé du quotidien et qui est, par conséquent, au centre de notre attention dans cette étude.
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BILLIEZ, JACQUELINE, and LAURENCE BUSON. "Perspectives diglossique et variationnelle – Complémentarité ou incompatibilité? Quelques éclairages sociolinguistiques." Journal of French Language Studies 23, no. 1 (January 30, 2013): 135–49. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269512000397.

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Abstract:
RÉSUMÉL'hypothèse d'une diglossie française est-elle une voie opérante pour analyser et développer les compétences linguistiques de locuteurs, enfants ou adultes, francophones? Cet article se propose d'apporter des éclairages sociolinguistiques sur cette question aujourd'hui largement discutée, en linguistique comme en didactique du français.Notre contribution articule plusieurs arguments pouvant appuyer, nuancer, voire contredire le bien-fondé de cette approche, dans une perspective à la fois sociolinguistique, psycholinguistique, et didactique.En confrontant la perspective diglossique à la réalité des pratiques stylistiques d'enfants et d'adultes sur la base d'un corpus de données recueillies en situations formelles et informelles, nous montrons combien il est délicat d'aborder la variation en termes dichotomiques si l'on envisage l'ensemble des niveaux linguistiques engagés dans la communication et pas seulement quelques variables isolées caractéristiques de deux extrêmes du continuum stylistique.
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Huyghe, Richard, and Gilles Corminboeuf. "Les alternances objet / oblique en français : goûter (à) un vin, dévaler (de) la colline, chercher (après) ses clés, etc." SHS Web of Conferences 46 (2018): 12012. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184612012.

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Abstract:
L’étude porte sur le cas où deux constructions, l’une à complément d’objet, l’autre à complément oblique, sont en concurrence pour un même verbe (goûter X / goûter à X, chercher X / chercher après X, pousser X / pousser sur X). Nous définissons dans un premier temps les conditions exactes des alternances étudiées et clarifions plusieurs points relatifs à la polysémie verbale, au statut syntaxique du SP et à l’extension d’emploi de l’alternance. Nous consacrons la seconde section du papier à l’étude des contreparties sémantiques éventuellement associées à l’existence de deux constructions distinctes. Nous établissons une tripartition des alternances, fondée sur la littérature scientifique à disposition, et nous montrons que la classification proposée ne couvre pas l’ensemble des cas répertoriés en français. Nous proposons une approche multifactorielle du phénomène, qui ménage notamment une place aux faits de variation inter-locuteurs.
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Glikman, Julie, and Adeline Patard. "Être pour aller en français d’Europe." SHS Web of Conferences 138 (2022): 02001. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213802001.

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Abstract:
L’objectif de cette contribution est d’interroger la variation opérant dans le paradigme d’aller entre les formes avoir été et être allé en français d’Europe (ex. j’ai été / je suis allé à la piscine). Après une revue des discours métalinguistiques sur la question, nous retraçons l’origine et la diffusion de la forme avoir été dans les contextes passés où elle peut alterner avec être allé. Cela nous renseignera sur la chronologie de l’intégration d’avoir été au paradigme de aller et son éventuelle réanalyse sémantique, ainsi que sur l’état actuel de la variation. Nous mettrons ainsi au jour le parcours sémantico-pragmatique de avoir été lui permettant de prendre place dans des contextes passés de aller. Ensuite, nous évoquerons la question de l’effet de la norme sur les usages à travers le jugement des locuteurs, pour voir l’influence du discours normatif sur le développement de avoir été comme passé de aller. Ainsi, malgré le changement sémantique et la réanalyse permettant le glissement de être vers les emplois de aller, les deux variantes sont encore bien vivantes en français contemporain d’Europe et alternent selon une distribution diaphasique.
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Secova, Maria. "Changement grammatical et discursif en français multiculturel de la région parisienne." Lingvisticæ Investigationes. International Journal of Linguistics and Language Resources 40, no. 2 (December 31, 2017): 173–99. http://dx.doi.org/10.1075/li.00003.sec.

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Abstract:
Résumé Cet article cherche à comparer la variation et le changement dans deux domaines linguistiques, à savoir la grammaire et le discours. Il présente les résultats du projet « Multicultural London English – Multicultural Paris French » et s’interroge sur les différences dans l’usage des traits innovants et leur corrélation avec certaines catégories sociales. Du côté grammatical, la recherche se concentre en particulier sur l’usage des interrogatives indirectes in situ telles que je sais pas c’est qui et je sais ça veut dire quoi, fréquemment utilisées à l’oral chez certains locuteurs. Du côté pragmatico-discursif, elle discute de l’utilisation des particules d’extension (et tout, et tout ça). L’étude révèle que la distribution des innovations discursives n’est pas la même que celle des innovations grammaticales, dont l’usage est davantage clivé en fonction des catégories sociales. L’article tente d’apporter des éclairages sur les processus de grammaticalisation et de changement, en s’interrogeant sur l’existence d’un français multiculturel typiquement « jeune » ou typiquement « parisien ».
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Napieralski, Andrzej. "La boisson dans la langue des jeunes – analyse du lexique des jeunes Polonais." Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no. 14 (December 30, 2019): 83–97. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.14.08.

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Abstract:
La langue des jeunes est une variante de la langue « standard » qui est utilisée par des pairs et qui fait partie de la variation diastratique de la langue. L’utilisation d’un sociolecte propre aux jeunes locuteurs de la langue est un signe d’appartenance à un groupe dont l’âge est le facteur déterminant. Il est vrai que l’utilisation de certains lexèmes est conditionnée par la situation linguistique dans laquelle les gens se retrouvent (variation diaphasique), mais il n’est pas moins vrai que certaines formes lexicales sont plus utilisées par des jeunes, surtout dans des échanges au sein d’un groupe de pairs. Notre recherche aura comme objectif de présenter le vocabulaire dit « jeune » qui touche le domaine de la boisson (les noms des boissons, les types d’alcools, les verbes utilisés pour parler de l’action de boire). Notre corpus sera constitué à la base du lexique que nous retrouverons sur le site du parler jeune (www.miejski.pl ; langue universelle des jeunes). Les résultats obtenus seront classés selon les procédés lexicogéniques responsables de la création de nouvelles formes lexicales (de forme, de sens, emprunts). Dans notre analyse nous nous occuperons des formes lexicales néologiques contemporaines comme les mots wudżistu ‘vodka’ (mot-valise de wódka ‘vodka’ et jujutsu ‘ju-jitsu’), zibol ‘personne qui est en train de boire’ (onomatopée de zib ‘bruit produit pendant l’ingestion d’un liquide’), tankować ‘faire le plein d’essence’ (métaphore) ou sztela ‘gnôle’ (emprunt au parler de Silésie).
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Charuau, Delphine, Béatrice Vaxelaire, and Rudolph Sock. "L’organisation spatio-temporelle de la respiration chez l’enfant." SHS Web of Conferences 138 (2022): 08005. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213808005.

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Abstract:
La respiration en parole est un phénomène complexe, interagissant en permanence avec la structure linguistique de la langue. Bien que largement étudié chez l’adulte, peu de travaux portent sur la relation entre l’organisation spatio-temporelle respiratoire et la structure linguistique chez l’enfant dont les modèles respiratoires n’ont pas encore atteint leur maturité. L’objectif de ce travail consiste à enrichir la description du développement des modèles respiratoires chez l’enfant et de comprendre la manière dont respiration et linguistique interagissent entre elles. À l’aide de la pléthysmographie respiratoire par inductance, nous avons mesuré la variation des périmètres thoracique et abdominal tout au long de la phonation, nous offrant la possibilité d’observer l’interaction respiration-syntaxe lors d’une production lue par 15 locuteurs âgés de 8 à 11 ans. Les résultats montrent que la majorité des pauses sont réalisées aux endroits prévus par la syntaxe. Par ailleurs, la plupart des pauses sont dédiées à la prise de souffle. Si la durée des pauses est sensible à la localisation syntaxique, la durée de l’inspiration n’est pas significativement impactée. Enfin, si elle est soumise à une forte variabilité inter et intra-individuelle, l’amplitude des mouvements inspiratoires est indépendante de la structure linguistique.
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Bouzouita, Samia. "Cohésion et hiérarchisation des unités intonatives et textuelles dans l'oral spontané en français : constantes et variations dans un corpus de 3 locuteurs de 30 ans." L'Information Grammaticale 123, no. 1 (2009): 54–56. http://dx.doi.org/10.3406/igram.2009.4069.

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Anttila, Raimo, and Sheila Embleton. "The Iconic Index." Diachronica 6, no. 2 (January 1, 1989): 155–80. http://dx.doi.org/10.1075/dia.6.2.02ant.

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Abstract:
SUMMARY It is maintained that the basic semiotic concepts of icon and index in the Peircean sense give the best tools for both describing and explaining change. The notion of iconic index is used to explicate assimilation, morphophonemics, sociolectal pronunciation variation, grammatical agreement, and semantic change. In all these cases, the iconic index gives an accurate and insightful explanation. As a real demonstration of the worth of the concept of the iconic index, drastic lexical change is analyzed through the examples of Cockney rhyming slang and Australian avoidance (e.g., 'mother-in-law') languages. The iconic index also allows one to draw some parallels to certain Western taboos. Even in these instances of drastic lexical change, the iconic index holds its ground as a descriptive and explanatory tool. RÉSUMÉ Les auteurs maintiennent que les concepts fondamentaux de C. S. Peirce de 'icon' et de 'index' offrent les meilleurs outils pour la description et l'explication du changement linguistique. La notion de 'iconic index' est utilisée pour expliquer l'assimilation, la morphophonologie, la variation dans la prononciation individuelle, l'accord grammatical et le changement sémantique. Dans tous ces cas, l'index iconique donne une explication précise et perspicace. Pour démontrer l'utilité de ce concept, des exemples de changement lexical abrupt tirés du rime patois du Cockney et des langues australiennes qui connaissent un système qui fait les locuteurs éviter certains mots (e.g., ceux qui ont affaire avec la belle-mère). L'index iconique permet également d'établir certains parallèles ä des tabous occidentaux. Même dans ces cas de changement abrupt dans le lexique, le concept d'index iconique maintient son utilité comme moyen de description et d'explication. ZUSAMMENFASSUNG Die Autoren stellen die Behauptung auf, daß von Charles Sanders Peirce entwickelte Begriffe wie 'Ikon' und 'Index' uns die besten Mittel an die Hand geben, Veränderungen zu beschreiben und zu erklaren. Der 'ikonische Index' dient dazu, Assimilation, Morphophonologie, Variationen in der individuellen Aussprache, grammatische Übereinstimmung sowie Bedeutungswandel zu erklären. In all diesen Fällen bietet der 'ikonische Index' genaue und erhellende Erklärungen. Um den Wert dieses Konzepts zu illustrieren, werden Beispiele aus volkstumlichen Reimen des Cockney und aus australischen Sprachen ge-wählt, die ein Prinzip kennen, demzufolge bestimmte lexikalische Bereiche (z.B. die Schwiegermutter betreffend) umgangen werden. Der 'ikonische Index' erlaubt uns auch, Parallelen zu bestimmten abendländischen Tabus zu ziehen. Selbst in diesen Fallen eines drastischen lexikalischen Wechsels erweist sich das Konzept als ein wichtiges Beschreibungs- und Erklärungs-mittel.
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Anastasio, Simona. "L’expression du déplacement en italien L2." Language, Interaction and Acquisition 10, no. 2 (November 4, 2019): 204–28. http://dx.doi.org/10.1075/lia.19003.ana.

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Abstract:
Résumé Cet article vise à analyser la conceptualisation spatiale dans une tâche narrative orale (Frog story) chez des adultes apprenants d’italien langue seconde (L2) qui se distinguent (a) par leur langue maternelle (L1, anglais ou français) et (b) par leur niveau de compétence en L2 (intermédiaire vs avancé). Pour ce faire, nous adoptons une méthodologie impliquant des comparaisons entre les récits de groupes natifs et non natifs ayant accompli la même tâche, afin de comprendre de quelle manière les apprenants se rapprochent de la langue cible (LC) et s’ils sont influencés par leur L1 lors du discours spatial en L2. Les usages natifs des locuteurs des L1 observées confirment les différences inter-typologiques entre les langues à cadrage verbal, le français et l’italien, et à cadrage satellitaire, l’anglais (Talmy, 1985, 2000). Néanmoins, une variation intra-typologique entre l’italien et le français est attestée : seul l’italien exploite des constructions satellitaires. Les données en L2 révèlent que les productions des apprenants intermédiaires sont assez similaires quelle que soit la L1, alors que des phénomènes évidents de transfert conceptuel sont attestés aux stades avancés lorsqu’il y a des similarités structurelles entre la langue source (LS) et la LC et que l’input en fournit une évidence positive.
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Susylowati, Eka. "The Use of Javanese by Society of Keraton Surakarta Hadiningrat." Journal of English Teaching and Learning Issues 2, no. 1 (June 21, 2019): 11. http://dx.doi.org/10.21043/jetli.v2i1.5227.

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Abstract:
This research aims to find out Javanese form and its relationship between locutor and interlocutor. This research is qualitative in nature. The location of this research is in the Surakarta Hadiningrat palace. The language variation used in this research is daily activity and official palace ceremonies. The data are derived from the verbal interaction among society of kraton in formal and informal situation. The data were collected by recording, observing, interviewing technique. The analysis data used Hymes, ethnography method communication. The result of the research shows that the Javanese forms consists of <em>ngoko, madya, krama, krama inggil, kedhaton</em> and even Indonesian. Related to the relation between locator and interlocutor, the form of Javanese affected by the horizontal and vertical relation accordance with social status in the palace. The pattern of using <em>ngoko, madya, krama</em> has changed, moreover when Indonesian has been their repertoire.
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Hutin, Mathilde, Caihong Weng, Martine Adda-Decker, and Lori Lamel. "La liaison facultative en français : étude de grands corpus combinant approche automatique relâchée et jugement perceptif." SHS Web of Conferences 138 (2022): 10004. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202213810004.

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Abstract:
Les systèmes d’alignement automatique de la parole sont aujourd’hui très performants pour produire segmentations et étiquetages automatiques, notamment grâce aux variantes incluses dans leurs dictionnaires de prononciation, par exemple en autorisant des variantes avec et sans consonne de liaison (ex. est prononcé [e] ou [et]). La liaison en français est un phénomène de sandhi externe qui, lorsqu’elle est dite « facultative », se caractérise par le fait que la consonne de liaison peut être réalisée ou non de façon également grammaticale, ce qui représente un défi pour les systèmes. Nous nous concentrons ici sur la liaison dans le contexte « verbe être conjugué + un/une » et analysons plus de 100h de français parlé pour (i) analyser les erreurs d’alignement, et (ii) dresser un panorama de la réalisation de la liaison facultative en français contemporain. Nous montrons, d’abord, que les erreurs d’alignement ont souvent des causes non-identifiables à l’oreille et que, lorsque la cause est établie, elles sont essentiellement dues aux variations prosodiques et aux disfluences, typiques de l’oralité mais encore mal prises en compte par les systèmes. Ensuite, nous montrons que la réalisation de la liaison est influencée par le style de parole mais pas par le sexe des locuteurs et que son taux a baissé de 30% en 50 ans.
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Mamode, Meï-Lan. "L’intonation du français au Canada : Étude de cas des patrons intonatifs et des syllabes accentuées dans les variétés parlées au Nouveau-Brunswick et au Québec." Journal of French Language Studies 29, no. 03 (June 19, 2019): 397–421. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269519000139.

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Abstract:
RÉSUMÉÀ travers l’examen des contours intonatifs d’une variété de français parlée au Nouveau-Brunswick (FNB), nous cherchons d’abord à vérifier l’hypothèse prédisant que l’intonation du français est sous-tendue par le patron sous-jacent /LHiLH*/, tel que décrit par Jun et Fougeron (2002) dans le cadre de la théorie métrique-autosegmentale. Notre but second est de déterminer si le FNB présente des particularités intonatives le distinguant du français québécois (FQ), la variété la plus parlée et la plus documentée au Canada. Pour ce faire, la parole semi-spontanée de trois locuteurs de chaque variété est analysée. Nous comparons les types de contours intonatifs, la fréquence d’apparition de ces contours, ainsi que deux propriétés phonétiques (soit la hauteur de la fréquence fondamentale et la durée) des syllabes accentuées dans les deux variétés. Les contours répertoriés démontrent qu’effectivement, l’intonation du FNB est régie par le patron /LHiLH*/, mais que cette variété fait état d’une prédominance de continuités descendantes. L’analyse des paramètres phonétiques des syllabes accentuées révèle que le FNB privilégie l’usage de la durée à la frontière des syntagmes accentuels non finaux, tout en exhibant des variations de durée syllabique importantes en fonction de la position du syntagme accentuel dans la phrase.
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