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Journal articles on the topic 'Vaches laitières – Reproduction (biologie)'

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GRIMARD, B., J. AGABRIEL, G. CHAMBON, A. CHANVALLON, F. CONSTANT, and S. CHASTANT. "Particularités de la reproduction des vaches allaitantes de races françaises." INRA Productions Animales 30, no. 2 (June 19, 2018): 125–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2239.

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Abstract:
La reproduction des vaches allaitantes présente des particularités par rapport à celle des vaches laitières. Améliorer leur reproduction est un levier pour augmenter leur productivité. Les génisses de race à viande sont pubères lorsqu’elles ont atteint 50-55% du poids adulte vs 40-45% chez les génisses laitières. Les premières peuvent être mises à la reproduction vers 70% du poids adulte contre 60% pour les secondes. Le taux de renouvellement est assez faible en élevage allaitant, de 18 à 30% selon les races. Après le vêlage, la durée de l’anœstrus postpartum est plus longue qu’en race laitière du fait de la tétée du veau. L’expression des chaleurs est bonne chez la vache allaitante : les chaleurs durent entre 6 et 10 h dans les 3 principales races (Charolaise, Limousine et Blonde d’Aquitaine), et l’acceptation du chevauchement est exprimée dans 90 à 100% des œstrus. La monte naturelle domine en élevage allaitant : seuls 3 à 24% des veaux sont issus d’insémination selon les races. La fertilité des vaches allaitantes est actuellement mal connue, la performance de reproduction est plutôt approchée par la fécondité : l’intervalle vêlage-vêlage moyen des troupeaux est compris entre 379 et 444 jours selon les races. La proportion de vaches atteintes d’endométrite après vêlage semble élevée chez la vache allaitante comme chez la vache laitière (environ 20% même au-delà de 50 jours postpartum) mais les effets de cette affection sur la reproduction ont été peu explorés. De nombreuses données françaises concernant les races à viande spécialisées et rustiques sont présentées dans cet article.
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2

Ba Diao, Maty, A. Dieng, M. M. Seck, and R. C. Ngomibé. "Pratiques alimentaires et productivité des femelles laitières en zone périurbaine de Dakar." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 59, no. 1-4 (January 1, 2006): 43. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9953.

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Abstract:
Les pratiques alimentaires et les performances de reproduction et de production laitière ont été étudiées dans une unité laitière dans la zone périurbaine de Dakar. Une enquête sur les pratiques alimentaires a été réalisée en septembre - octobre 2004. L’exploitation des données enregistrées a permis de calculer la production laitière moyenne par vache entre novembre 2003 et octobre 2004 et les paramètres de reproduction entre 1991 et 2004. La superficie fourragère (30 ha) et l’effectif de vaches présentes (84 vaches) étaient nettement plus élevés que ceux de la majorité des élevages laitiers périurbains de Dakar. Néanmoins, l’alimentation des animaux est restée fortement tributaire des apports de paille de riz et des concentrés. Les difficultés d’acquisition de ces intrants ont induit des changements fréquents de régimes alimentaires. En outre, comme il y avait un mélange de plusieurs types génétiques bovins très différents dans un même lot d’alimentation, les besoins quotidiens en éléments nutritifs de base ont été rarement couverts pour les fortes productrices. Ces mauvaises conditions d’élevage se sont traduites par une production laitière moyenne faible (1 972 kg/vache/an), un âge au premier vêlage élevé pour les génisses nées au Sénégal (37 mois) et des intervalles entre vêlages (17 mois) trop longs. L’analyse des facteurs influençant les résultats de reproduction a montré que l’intervalle entre vêlages était fortement lié aux effets du type génétique et des variations climatiques interannuelles. Ces observations indiquent l’importance des facteurs du milieu (climat, conduite alimentaire) sur les performances des vaches et la nécessité d’une gestion rigoureuse de l’alimentation en fonction du type génétique.
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DEZETTER, Charlotte, Didier BOICHARD, Nathalie BAREILLE, Bénédicte GRIMARD, Pascale LE MEZEC, and Vincent DUCROCQ. "Le croisement entre races bovines laitières : intérêts et limites pour des ateliers en race pure Prim’Holstein ?" INRA Productions Animales 32, no. 3 (September 10, 2019): 359–78. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2019.32.3.2575.

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Abstract:
Dans certains ateliers, la robustesse des vaches de race pure Prim’Holstein, se traduisant par leur capacité à maintenir à la fois de bonnes performances de reproduction, de santé et de production, se trouve dégradée. Ceci peut se traduire par des répercussions avoir des répercussions techniques et économiques négatives importantes. Le croisement entre races laitières pourrait être une voie d’amélioration. Or, à l’exception notable de la Nouvelle Zélande, le croisement laitier reste très marginal dans les pays développés. Ce constat pourrait s’expliquer en partie par un manque de connaissances sur les avantages et inconvénients du croisement. L’objectif de cette synthèse est de faire le point sur les connaissances actuelles autour du croisement laitier. Le croisement permet de bénéficier des effets génétiques additifs de la sélection intra-race mais également des effets génétiques non-additifs. Ces effets sont généralement favorables et augmentent le potentiel génétique des individus issus de croisement. Ainsi les vaches issues de croisement de première génération entre Prim’Holstein et Montbéliarde ont un niveau génétique quasiment équivalent à la Prim’Holstein pour la quantité de lait et à la Montbéliarde pour le taux de conception. L’intérêt technico-économique d’introduire du croisement laitier dans un atelier initialement en race Prim’Holstein dépend de la situation initiale de cet atelier. Lorsque la productivité des vaches Prim’Holstein est élevée et que les performances de reproduction et de santé sont correctes, l’intérêt du croisement semble nul. En revanche dans des ateliers à productivité élevée mais faisant face à des situations de reproduction et de santé dégradées, le croisement permet d’augmenter de 5 % la marge brute de l’atelier. Pour des niveaux de productivité plus modérés, l’intérêt économique est moindre (+ 3 à 4 % de marge brute), mais la robustesse des vaches apparait améliorée.
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Lakhdissi, H., B. Haddada, A. Lahlou Kassi, and M. Thibier. "Conduite de la reproduction en grands troupeaux laitiers dans les conditions marocaines. II. Reprise de l'activité cyclique <em>post-partum</em>." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 41, no. 4 (April 1, 1988): 441–47. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8670.

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Abstract:
La présente étude se rapporte à 158 vaches laitières de race Holstein entretenues dans deux grandes unités laitières. Elle vise à étudier en période de jours courts (septembre à mars) la reprise après vêlage, de l’activité cyclique estimée soit d’après l’observation des chaleurs, soit selon l’élévation de la progestéronémie plasmatique. La seule observation des chaleurs est apparue inadéquate pour estimer le délai de cette reprise. En revanche, l’évaluation des concentrations de progestérone montre que 50 % des femelles ont recouvré leur activité cyclique 30 jours post-partum et 90 % 60 jours post-partum. La majorité d’anœstrus rencontrés au cours des 2e et 3e mois post-partum, correspond donc à un anœstrus cyclique et non à un anœstrus vrai (10 % environ au soixantième jour). La production laitière quotidienne, comprise entre 12 et 22 kg exerce une influence significative sur cette reprise, mais en revanche, ni la variation pondérale (estimée par le tour de poitrine) ni l’infection utérine post-partum n’exercent d’effet sur celle-ci. La précocité de la détection des chaleurs et non pas celle de la reprise de l’activité cyclique influence favorable­ ment le délai de fécondation. Les conditions d’environnement marocaines en jours courts ne semblent pas modifier la physiologie sexuelle post-partum des vaches laitières. Il demeure néanmoins un problème zootechnique crucial, celui d’une détection satisfaisante des chaleurs.
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CHENOST, M., D. LAFAYE, J. M. BOISSAU, J. P. CHAISE, and L. L’HOTELIER. "Les cannes de maïs dans l’alimentation des ruminants. Utilisation des cannes traitées à l’ammoniac et à l’urée par des bovins à besoins modérés." INRAE Productions Animales 4, no. 3 (July 31, 1991): 241–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.3.4338.

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Abstract:
Les cannes de maïs récoltées en balles rondes derrière la moissonneuse-batteuse et conservées par injection de 3 kg d’ammoniac pour 100 kg de matière sèche de canne peuvent constituer l’essentiel (80 %) de la ration hivernale de génisses laitières à viande en croissance modérée et de vaches à viande en gestation-lactation. Distribuées à volonté en l’état (elles sont déjà grossièrement hachées à la récolte), les quantités qui en sont ingérées, toutefois moins élevées que les spathes traitées (UEB de 1,60 contre 1,30), permettent :- à des génisses laitières et à viande, recevant 1,5 kg de céréales et 100 g de CMV (15-15) soufré par jour, de réaliser des croîts de l’ordre de 400 g/j lorsqu’elles ont 2 ans et de 500 à 600 g/j lorsqu’elles ont un an. Si l’objectif de croissance est plus élevé, il conviendra d’ajouter une source d’azote peu fermentescible (300 à 500 g/j de tourteau de soja) ;- à des vaches à viande en fin de gestation - début lactation recevant 1,5 puis 2 kg de céréales à partir du vêlage et 180 g du même CMV de limiter leur perte de poids entre le vêlage et la mise à l’herbe à 30 kg, perte tout à fait acceptable dans le cas de vêlages précoces. Les performances de reproduction enregistrées sur 3 années d’observation, les condition de vêlage, le poids des veaux à la naissance et leur vitalité ne sont pas affectés.
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RÉMOND, B., and J. B. COULON. "Digestion du lactosérum dans le rumen chez les vaches laitières." Reproduction Nutrition Développement 26, no. 1B (1986): 311–12. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19860232.

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Ahmed Moharram, A. "Performances de reproduction et de production laitière de la race Frisonne-Holstein en Egypte." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 41, no. 2 (February 1, 1988): 209–13. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8723.

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Abstract:
Les données de reproduction et de production laitière de 257 vaches de race Frisonne-Holstein européenne importées en Égypte ont été étudiées pendant cinq ans dans une station d’élevage bovin en Alexandrie. Au total 826 lactations ont été analysées. L’âge moyen au premier vêlage est de 25,0 ± 0,15 mois. L’intervalle vêlage-fécondation est de 98,5 ± 1,1 jours et l’intervalle vêlage-vêlage est de 381,9 ± 1,4 jours en moyenne. La durée de lactation est en moyenne de 299,6 ± 1,1 jours; la quantité moyenne de lait en 305 jours est de 4 571 ± 48 kg; la durée moyenne de tarissement est de 61,7 ± 0,4 jours ; le taux butyreux moyen est de 3,49 ± 0,1 % ; la quantité de matières grasses est de 153,5 ± 1,7 kg en moyenne et le taux azoté moyen est de 3,34 ± 0,1 %. Les résultats obtenus servent de base à une sélection visant à l’accroissement sensible des performances laitières du troupeau.
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COULON, J. B., F. LESCOURRET, B. FAYE, E. LANDAIS, J. L. TROCCON, and L. PÉROCHON. "Description de la base de données "LASCAR", un outil pour l’étude des carrières des vaches laitières." INRAE Productions Animales 6, no. 2 (February 28, 1993): 151–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.2.4196.

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Abstract:
Dans l’objectif d’étudier la carrière des vaches laitières (à partir du premier vêlage), une base de données relationnelle, baptisée LASCAR, a été élaborée. Elle a été alimentée à partir d’enregistrements réalisés au cours des 20 dernières années dans les troupeaux laitiers des 3 domaines expérimentaux du centre INRA de Clermont-Fd-Theix. Elle est composée de 10 tables décrivant les caractéristiques génétiques et de la période d’élevage des animaux, les performances individuelles à différentes échelles de temps (production et composition du lait, poids vif, troubles sanitaires, événements liés à la reproduction), et quelques facteurs de variation de ces performances (conduite alimentaire, climat). Elle regroupe 3851 lactations provenant de 1179 carrières. Ses données ont fait l’objet d’un contrôle de cohérence exhaustif. Différentes démarches d’étude de la carrière à partir de cette base sont présentées.
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Kibwana, D. K., A. M. Makumyaviri, and J. L. Hornick. "Pratiques d’élevage extensif et performances de bovins de race locale, et croisée avec des races laitières exotiques en République démocratique du Congo." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 65, no. 3-4 (March 1, 2012): 67. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10125.

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Abstract:
Afin d’analyser les pratiques d’élevage et leurs relations avec les perfor­mances zootechniques de bovins de race mixte, lait et viande, en territoire de Beni, province du Nord-Kivu, République démocratique du Congo, une étude a été menée de juillet 2003 à novembre 2006, sur 8 676 bovins, pro­venant de 65 élevages et comportant 4 945 vaches de race locale, et croi­sées avec des races exogènes considérées amélioratrices. Des enquêtes, des observations démographiques, des mesures de production laitière et des suivis de reproduction ont été effectués dans les exploitations de l’étude. Les don­nées ont été analysées à l’aide du test du chi carré et de modèles linéaires généralisés, en fonction du type génétique, de la qualité du fourrage et du type de complément. Les résultats ont montré un certain niveau de techni­cité des éleveurs, un faible renouvellement des populations bovines et une influence des pratiques d’élevage sur la production laitière, l’âge au premier vêlage et l’intervalle entre vêlages. Chez les vaches de type croisé, la produc­tion laitière journalière a été plus du double de celle observée chez la race locale. La complémentation sous forme de fourrages et de concentrés a per­mis d’augmenter significativement mais faiblement la production laitière par rapport à la situation sans complément. L’âge au premier vêlage et l’intervalle entre vêlages ont été influencés par le type génétique, et l’intervalle entre vêlages également par la complémentation et le type de fourrage. Ces résul­tats montrent l’importance de la conduite des élevages sur les performances laitières et reproductives des vaches dans la région d’étude.
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AYRAULT-JARRIER, Maryse, Jacqueline BURDIN, Ginette THOMAS, A. MAZUR, and Y. RAYSSIGUIER. "Apolipoprotéines des lipoprotéines de la vache laitière." Reproduction Nutrition Développement 28, no. 1 (1988): 193–94. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19880159.

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BRUNSCHWIG, P., C. HURTAUD, Y. CHILLIARD, and F. GLASSER. "L’apport de lin dans la ration des vaches laitières : Effets sur la production, la composition du lait et des produits laitiers, les émissions de méthane et les performances de reproduction." INRAE Productions Animales 23, no. 4 (November 14, 2010): 307–18. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.4.3310.

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Abstract:
La supplémentation en lin des rations des vaches laitières est une pratique qui se développe, avec pour objectifs l’amélioration de la qualité nutritionnelle du lait et la diminution des rejets de méthane. En effet, la recherche de laits moins riches en Acides Gras (AG) saturés et avec un rapport plus faible entre acide linoléique et acide linolénique, incite à utiliser des aliments riches en acides gras polyinsaturés (et en particulier en acide alpha-linolénique C18:3 n-3) pour corriger des rations insuffisamment riches en cet AGPI. Parmi les aliments des vaches laitières, le lin est un aliment particulièrement riche en C18:3 n-3. La diminution des rejets de gaz à effet de serre (dont le méthane) est également une préoccupation actuelle des filières animales. De nombreux essais de supplémentation en lin, sous différentes formes, ont été publiés ces dernières années, et les données disponibles permettent de tirer des conclusions sur ces effets attendus. Le présent article fait le point sur les disponibilités en lin et sur les différentes formes d’apport dans les rations. Les effets du lin sur la production laitière, sur la composition du lait et des produits laitiers, la production de méthane et la reproduction sont passés en revue. L’analyse des effets sur le lait s’appuie sur 41 essais zootechniques publiés. La culture de lin oléagineux est peu importante en France. L’approvisionnement est fait dans des pays européens et au Canada. Les variétés présentent des teneurs variables en acide alpha-linolénique. L’introduction de lin dans la ration diminue un peu la quantité de MS ingérée mais ne modifie en général pas la production laitière (volumes et taux). La teneur du lait en AG saturés diminue et le pourcentage en C18:1-trans est augmenté, et ce d’autant plus que l’apport de lipides se fait sous forme non protégée (graines extrudées, huile) et avec des rations riches en amidon (pour les AG trans). La teneur en C18:2 n-6 n’est en moyenne pas modifiée, sauf par l’apport d’huile. La proportion en C18:3 n-3 du lait est multipliée en moyenne par 2 ou 3 pour les formes pratiques les plus efficaces (graines aplaties, farine), et peut atteindre jusqu’à 1,4% des AG du lait avec ce type de supplémentations. Il n’apparaît pas d’effet dose de lipides apportée pour le C18:2 n-6 et le C18:3 n-3, alors qu’il en existe un pour les C18:1-trans. Le beurre et les fromages ont la même composition en AG que le lait dont ils proviennent. Les qualités organoleptiques de beurres et fromages ne sont pas modifiées par l’addition de lin dans la ration. Différents effets sont cités dans la bibliographie pour expliquer une augmentation potentielle de la fertilité, qui reste à confirmer. La production ruminale de méthane est diminuée par l’ajout de lin dans la ration. En conclusion, l’ajout de lin à la ration des vaches laitières a des effets analogues à ceux d’introduction d’herbe dans le régime fourrager, à l’exception d’une teneur en AG trans supérieure.
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DULPHY, J. P., and P. D'HOUR. "Comparaison des quantités de fourrage vert ingérées entre des vaches laitières, des génisses de race laitière, des génisses de race à viande et des moutons." Reproduction Nutrition Développement 27, no. 1B (1987): 209–10. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19870215.

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FRIGGENS, N. C., O. MARTIN, L. BRUN-LAFLEUR, D. SAUVANT, and P. FAVERDIN. "La partition des nutriments entre fonctions physiologiques chez les vaches laitières dépend du génotype et de son expression dans le temps." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (May 17, 2013): 101–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3140.

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Abstract:
La compréhension de la partition des nutriments est essentielle pour appréhender le fonctionnement biologique des animaux d’élevage et pas seulement pour prévoir les sorties productives. La partition des nutriments entre la fonction lactation et d'autres fonctions telles que la capacité immunitaire et la reproduction est essentielle vis-à-vis de la capacité des élevages à s’adapter, au même titre que l'efficacité de la partition des nutriments. La sélection des vaches sur la production de lait a accru la sollicitation des réserves corporelles tout en réduisant la robustesse des vaches laitières. En conséquence, il devient de plus en plus nécessaire d'intégrer dans les modèles nutritionnels des forces motrices innées qui modifient la partition des nutriments en fonction de l'état physiologique et qui semblent déterminer des trajectoires programmées. Cette synthèse présente à partir de travaux récents, comment les modèles nutritionnels de la lactation peuvent mieux intégrer ces trajectoires et la capacité homéostatique de l'animal pour faire face aux changements d’environnement. Ces développements ont considérablement étendu la portée générale des modèles de partition des nutriments afin de mieux prendre en compte le type d'animal et son état physiologique. Cependant, ces modèles restent très largement axés sur la prévision de la partition entre les sorties de production et les réserves corporelles et sont encore, pour la plupart, des modèles de recherche, bien que des progrès substantiels aient été accomplis pour en faire des outils d’aide à la décision en élevage. Relier la prévision de la partition des éléments nutritifs à ses conséquences sur la santé, la reproduction et la longévité est un défi qui ne fait que commencer à être pris en compte. C'est une perspective importante pour les recherches futures sur la partition des nutriments.
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COQUIL, X., A. BLOUET, J. L. FIORELLI, C. BAZARD, and J. M. TROMMENSCHLAGER. "Conception de systèmes laitiers en agriculture biologique : une entrée agronomique." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 221–34. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3349.

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Abstract:
Cette synthèse centrée sur un dispositif expérimental de 240 ha, situé à Mirecourt, dans la plaine des Vosges, vise à configurer et étudier les conditions pratiques de la mise en œuvre de systèmes agricoles a priori durables sur le plan agro-environnemental. La prise en compte de la diversité des potentialités du milieu, comme principe fondateur des systèmes agricoles, est un gage de la durabilité des systèmes. Dans cette perspective, deux systèmes laitiers autonomes, conduits suivant le cahier des charges de l’agriculture biologique ont été configurés sur l’installation expérimentale INRA ASTER-Mirecourt, vue comme un petit territoire agricole au sein duquel des échanges mutuels et équivalents peuvent avoir lieu entre les systèmes. Ces systèmes sont testés depuis 2005 : un système laitier herbager (SH) dont l’objectif consiste à maximiser la part d’herbe valorisée par le pâturage (40 vaches laitières et leur renouvellement sur 78 ha de prairie permanente) et un système de polyculture Elevage laitier (SPCE) qui vise le bouclage du cycle des éléments (60 vaches laitières et leur renouvellement sur 50 ha de prairie permanente et 110 ha de surfaces en rotations culturales). De 2005 à 2008, ces 2 systèmes de production laitiers ont été relativement productifs, livrant de 83 à 98% de leur référence laitière. La pérennité du troupeau SH, dont les vêlages sont groupés sur 3 mois en fin d’hiver, a été passagèrement difficile à assurer en raison de performances de reproduction faibles notamment au cours des campagnes 2005 et 2006. La trésorerie fourragère du SH a été très excédentaire en raison d’un sous-chargement du système et une productivité maintenue des prairies. A l’inverse, les trésoreries en fourrages et en paille du SPCE ont été relativement tendues et les ajustements ont principalement portés sur les régimes alimentaires et sur les effectifs animaux. Au-delà des tensions révélées par le choix d’autonomie de matière des systèmes, nous soulignons la nécessité d’une vigilance accrue à porter au comportement des ressources constitutives de ces systèmes, telles que les modifications de dynamiques de pousse de l’herbe et le rythme de reproduction des animaux. L’expérimentation évolue vers une meilleure intégration du comportement des ressources pour un meilleur ajustement des modalités de conduite.
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De FONTAUBERT, Y., J. COCHAUD, and M. TERQUI. "Synchronisation des chaleurs chez la vache laitière : bilan de l’utilisation du Syncro-Mate B pendant cinq années successives." INRAE Productions Animales 2, no. 5 (December 10, 1989): 317–23. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.5.4425.

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Abstract:
Une technique de maîtrise de la reproduction chez les bovins, le Syncro-Mate B, a été testée sur un troupeau d’une centaine de vaches laitières durant cinq années afin d’en étudier les effets sur la reproduction et sur la production laitière. La conduite de ce troupeau est caractérisée par l’existence d’une seule période imposée de mise en reproduction du 15 décembre au 1er mars et par l’obligation de réformer systématiquement toutes les femelles non gravides en fin de campagne. La fertilité obtenue après la première insémination systématique dépasse 50 % et en fin de campagne, le pourcentage de femelles non gravides ne dépasse pas 14 %. Grâce à une prolificité de 113 %, la fécondité atteint 96 %. Quatre-vingt quinze pour cent (95 %) des vêlages ont lieu sur une période de trois mois permettant ainsi de produire des veaux et du lait à une époque où les prix sont élevés. En comparaison avec d’autres troupeaux laitiers ayant une production comparable (plus de 6 000 kg de lait par vache) il est montré que l’utilisation des techniques modernes de reproduction est compatible avec une amélioration de la production laitière évaluée à 100 kg de lait par vache et par an. Pour un coût faible par animal, le Syncro-Mate B représente un outil permettant de mieux planifier le travail de l’éleveur et la production.
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Haou, Abir, Kamel Miroud, and Djallel Eddine Gherissi. "Impact des caractéristiques du troupeau et des pratiques d’élevage sur les performances de reproduction des vaches laitières dans le Nord-Est algérien." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 74, no. 4 (December 13, 2021): 183–91. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.36798.

Full text
Abstract:
L’étude a porté sur les effets des caractéristiques du troupeau (race, taille, parité et zone d’étude) et des pratiques d’élevage (chaleurs induites/naturelles, pratique du flushing ou non, et durée du tarissement) sur les taux de fécondité et de fertilité de 721 vaches laitières (VL) des races Montbéliarde (n = 379) et Prim’Holstein (n = 342) réparties sur 23 troupeaux, nées et mises à la reproduction en Algérie. Les paramètres de fécondité ont révélé un intervalle entre le vêlage et les premières chaleurs de 86,8 ± 48 jours, entre le vêlage et la première insémination artificielle (IA) de 108 ± 80,4 jours, entre la première IA et l’IA fécondante de 42,9 ± 85,2 jours, entre le vêlage et l’insémination fécondante de 152 ± 116 jours, et entre vêlages de 427 ± 122,8 jours. Un taux de réussite moyen en première IA de 54,8 % (VL) et 38,8 ± 20 % (troupeau), un index de fertilité apparent de 1,83, et 19,3 % de VL inséminées trois fois et plus (dans 16,2 ± 11 des troupeaux) ont été enregistrés. La fécondité plus que la fertilité était loin des objectifs. La race n’a eu aucun effet significatif sur la fertilité (p > 0,05), mais les performances de reproduction ont varié significativement (p < 0,05) en fonction de la taille du troupeau, de la parité, de la région d’étude, des chaleurs induites ou naturelles, et de la pratique ou non du flushing. La fécondité était plus faible chez les animaux dont la durée du tarissement dépassait 60 jours (p < 0,05). Une mise à la reproduction tardive au-delà de 80 jours post-partum a été le paramètre qui a affecté le plus les performances de reproduction des VL dans la zone d’étude.
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BALANDRAUD, Nathan, Claire MOSNIER, Luc DELABY, François DUBIEF, Jean-Philippe GORON, Bruno MARTIN, Dominique POMIES, and Anaël CASSARD. "Holstein ou Montbéliarde : des différences phénotypiques aux conséquences économiques à l’échelle de l’exploitation." INRA Productions Animales 31, no. 4 (February 10, 2019): 337–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.4.2394.

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Abstract:
Dans un contexte économique instable et difficile, les choix tels que la race utilisée dans les exploitations bovines laitières peuvent être remis en cause. Cet article présente au travers de deux études, l’analyse des différences phénotypiques de vaches de race Montbéliarde (Mo) et Holstein (Ho) et leur intégration au sein d’un modèle bioéconomique. Placées dans des conditions d’élevage équivalentes, les vaches de race Mo produisent environ 12% de lait en moins que celles de race Ho, avec des taux butyreux et protéique supérieurs. L’âge au vêlage est en moyenne inférieur de trois mois chez les vaches Ho, mais leurs performances de reproduction et de santé sont moins bonnes, aboutissant à un intervalle entre vêlages supérieur de 25 jours à celui de la race Mo et une fréquence de mammites plus élevée. Réalisés en excluant les systèmes sous appellation d’origine ou indication géographique contrôlée et en Agriculture Biologique, ces travaux permettent de préciser les différences de réponses à système fourrager équivalent. Les simulations économiques quantifient les conséquences des choix raciaux à l’échelle de l’exploitation dans deux scénarios : i) à même nombre de vaches et ii) à même volume de lait vendu. Ces scénarios sont appliqués à trois cas types conventionnels spécialisés dans la production laitière, mais avec des systèmes fourragers et des niveaux de production laitière contrastés (ensilage de maïs en Bretagne, maïs-herbe en Pays-de- -Loire et tout foin en Auvergne). Sur le plan économique, les simulations où les troupeaux des deux races vendent le même volume de lait montrent que la race Mo est plus rentable quel que soit le système d’élevage (+8 à +23% de résultat courant). Dans la deuxième situation, à nombre de vaches équivalent, les résultats économiques des deux races sont très proches. D’un côté, les besoins alimentaires du troupeau Ho sont supérieurs en conséquence du taux de renouvellement et du niveau d’ingestion des animaux plus élevés. De l’autre, malgré une productivité inférieure, la qualité du lait et la meilleure valorisation des carcasses de la race Mo génère plus de produits. Au final, le troupeau de race Mo permet de dégager entre 1000 et 2900 € de résultat courant supplémentaire par unité de travail homme et par an selon les situations.
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LE COZLER, Y., J. R. PECCATTE, J. Y. PORHIEL, P. BRUNSCHWIG, and C. DISENHAUS. "Pratiques d’élevages et performances des génisses laitières : état des connaissances et perspectives." INRAE Productions Animales 22, no. 4 (June 20, 2009): 303–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.4.3356.

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Abstract:
En élevage laitier, l’éleveur doit réussir à amener ses génisses de renouvellement à être de bonnes femelles laitières (notamment des points de vue de la production, de la reproduction et de la longévité), adaptées aux conditions d’élevage et au système de production, et ce, au moindre coût de production. Ceci reste une gageure, mais des solutions existent. Le présent article se propose de faire le point sur celles-ci, en s’intéressant particulièrement aux conditions d’élevage et aux différentes étapes clés de l’élevage de la génisse laitière, de sa naissance jusqu’au premier vêlage. Certaines informations allant au-delà (réforme par exemple) complètent cette approche. L’article reprend et réactualise les données existantes depuis plusieurs décennies, notamment en ce qui concerne l’alimentation de la future vache laitière. La maîtrise de l’âge au 1er vêlage (24, 30 ou 36 mois dans le cas des vêlages groupés), selon le système de fourrage considéré ou en place dans les élevages, s’avère cruciale. Dans le cas d’un vêlage à 24 mois d’âge, une puberté acquise précocement, une cyclicité maintenue, un bon état d’engraissement et un bon développement aux différents stades sont des objectifs à atteindre dans les meilleures conditions possibles pour le succès de cette pratique. Ceux-ci dépendent grandement des programmes alimentaires et des races, mais il est important d’éviter un engraissement excessif qui pourrait être pénalisant pour la suite de la carrière. Dans le cas d’un vêlage à 30 ou 36 mois des rythmes de croissance plus modérés, notamment en période de stabulation, sont possibles, à condition de ne pas descendre trop bas en terme de croissance journalière (400 g/j ou moins), pour ne pas affecter la reproduction et la carrière des vaches. Les régimes alimentaires à base d’herbe et exploitant les capacités de croissance compensatrice des animaux permettent de réduire significativement et efficacement les coûts d’élevage. Dans le cas de vêlages groupés ou lors de la conduite en lots, la pratique alimentaire peut être accompagnée de traitements hormonaux (PGF2a ou analogues, progestagènes). Réduire encore plus l’âge au vêlage vers 20 mois d’âge, avec une réduction des coûts, des rejets, du travail… est sans doute possible et cette possibilité nécessitera d’être testée dans les années à venir.
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ANDRÉ, F., and S. BAZIN. "Influence relative de quelques facteurs zootechniques sur les paramètres sanguins autour du vêlage chez les vaches laitières." Reproduction Nutrition Développement 27, no. 1B (1987): 303–4. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19870261.

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MAZUR, A., S. BAZIN, and Y. RAYSSIGUIER. "Etude de la stéatose hépatique en début de lactation chez les vaches laitières consommant de l'ensilage d'herbe." Reproduction Nutrition Développement 28, Suppl. 1 (1988): 171–72. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19881160.

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COULON, J. B., M. DOREAU, B. RÉMOND, M. JOURNET, B. MARQUIS, and A. OLLIER. "Evolution des activités alimentaires des vaches laitières en début de lactation et liaison avec les quantités d'aliments ingérées." Reproduction Nutrition Développement 27, no. 1A (1987): 67–75. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19870107.

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CHAMPREDON, C., B. RÉMOND, and P. PATUREAU-MIRAND. "Influence du niveau énergétique et azoté de la ration sur l'aminoacidémie libre de vaches laitières en début de lactation." Reproduction Nutrition Développement 27, no. 1B (1987): 301–2. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19870260.

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BARTIAUX-THILL, Nicole, R. OGER, E. FRANÇOIS, and A. THÉWIS. "Courbes d'excrétion fécale de l'oxyde de chrome administré aux vaches laitières au pâturage. Définition d'un échantillonnage biquotidien des fèces." Reproduction Nutrition Développement 28, no. 1 (1988): 87–88. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19880106.

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Mambrini, M., and JL Peyraud. "Dynamique de l'eau dans le rumen de vaches laitières : facteurs de variation et relation avec le transit des particules." Reproduction Nutrition Développement 30, Suppl. 2 (1990): 183s—184s. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19900822.

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RULQUIN, H., Jeanne FLECHET, Renée LEFAIVRE, A. OLLIER, and Claire SORNET. "Utilisation des produits terminaux de la digestion par la mamelle chez la vache laitière." Reproduction Nutrition Développement 26, no. 2B (1986): 583–88. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19860407.

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BERNABÉ, J., H. RULQUIN, J. P. CAUDAL, and Joëlle DUVÉRÉ. "Estimation du débit sanguin mammaire chez la vache laitière par thermodilution. 2. Résultats préliminaires." Reproduction Nutrition Développement 28, no. 1 (1988): 205–6. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19880165.

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Benchaar, C., C. Bayourthe, R. Moncoulon, and M. Vernay. "Digestion ruminale et absorption intestinale des protéines du lupin extrudé chez la vache laitière." Reproduction Nutrition Development 31, no. 6 (1991): 655–65. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19910605.

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AGABRIEL, J., and R. BAUMONT. "Avant-propos." INRA Productions Animales 30, no. 2 (June 19, 2018): 91–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2235.

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Abstract:
Il faut remonter loin dans les archives de l’INRA, et plus précisément au numéro spécial du « Bulletin du CRZV de Theix » datant de l’année 1974 pour trouver un ouvrage entièrement dédié aux « vaches allaitantes »1. Quarante-trois ans plus tard, c’est avec plaisir que nous présentons ce nouveau dossier dans la revue INRA Productions Animales qui leur est entièrement consacré. Un tel regroupement d’articles sur cet animal et ce système d’élevage est donc assez rare et nous remercions chaleureusement les animateurs de la revue de l’avoir initié. Le numéro de 1974 constatait le développement soutenu des troupeaux allaitants en France qui accompagnait la tendance à la spécialisation des systèmes de production tant vers le lait que vers la viande. Les travaux de recherches engagés mettaient en avant les spécificités de ce système peu étudié jusque-là : la productivité de la femelle, biologiquement limitée à un veau par an, impose une stratégie générale de réduction des charges et des coûts de production et par là une maximisation de l’utilisation de l’herbe dans le système fourrager. Ils se démarquaient alors des travaux réalisés sur les vaches laitières. Et pour produire efficacement de la viande, disposer d’animaux tardifs de grands formats est un atout important par la capacité qu’ils ont à déposer efficacement de la masse musculaire. Les objectifs de sélection proposés alors ont ciblé le potentiel de croissance des veaux tout en améliorant les facilités de vêlage des vaches et le format des carcasses des vaches de réforme. Ces connaissances, développées par des chercheurs de renommée2, ont porté leurs fruits et accompagné la transformation constante du cheptel Français : le nombre de vaches allaitantes a presque été multiplié par deux (4,2 millions actuellement en France). Il est supérieur à celui des vaches laitières depuis l’année 2005 et la production de viande qui en est issue avoisine désormais 65% de la production nationale. Les vaches ont grandi et grossi (+ 5kg /an en moyenne), mais les troupeaux également. La productivité par travailleur a plus que doublé (Veysset et al 20153) sans que la productivité numérique des vaches n’en pâtisse trop. Mais cette réussite quantitative flagrante marque le pas, et ne suffit plus pour aborder sereinement l’avenir de la production. Au niveau des exploitations de nombreux signaux défavorables se sont allumés. Les revenus des éleveurs stagnent et restent parmi les plus bas des professions agricoles. L’image de l’élevage se dégrade dans notre société urbanisée. Les bovins en général sont aussi interrogés sur leur bilan environnemental qui est sujet à controverses, et désormais c’est la finalité première de production de viande de ces troupeaux allaitants qui est en débat. Ces constats sont maintenant bien connus, et rappelés brièvement dans les introductions des articles de M. Lherm et al, et d’A. Cerles et al. Ils provoquent des inquiétudes grandissantes à tous les niveaux de la filière. Que peuvent apporter aux débats en cours les recherches récentes ciblées vers les vaches allaitantes ? C’estce qui a motivé la réalisation de ce dossier qui vise à rassembler et synthétiser les connaissances récentes acquises, d’une part, à l’échelle de l’animal, et, d’autre part à celle du système de production.Pour introduire ce dossier, l’article de M. Lherm et al met en perspective les évolutions des « élevages allaitants » dans les quatre principaux pays européens producteurs : France, Royaume-Uni, Irlande et Espagne. L’analyse des trajectoires technico-économiques des élevages allaitants au cours des dernières décennies dans ces quatre pays montre que les choix d’investissements, de mécanisation, et d’agrandissement des structures n’ont pas été partout semblables. Ensuite, ce dossier fait le point des avancées dans les disciplines et dans les onnaissances zootechniques de base pour la conduite des élevages bovins allaitants : l’amélioration génétique, la physiologie de lareproduction, les facteurs de variation de la production de lait des mères, la quantification de leurs besoins nutritionnels et de leur efficience alimentaire. L’article de L. Griffon et al discute de ce que l’on peut attendre des nouveaux outils génétique comme la génomique, et comment ils vont s’intégrer dans les nouveaux schémas d’amélioration. Les nouvelles connaissances physiologiques pour la maîtrise de la reproduction, pour la prévision de la courbe de lactation et pour la maîtrise de l’alimentation des vaches allaitantes sont détaillées successivement dans les articles de B. Grimard et al, de B. Sepchat et al et d’A. De La Torre et J. Agabriel. Ils fournissent de nouveaux indicateurs sur les aptitudes des animaux dont l’élevage du futur a besoin : robustesse, autonomie, efficience. Autant de propositions pour de nouvelles mesures de routine qui participeront à la détermination des nouveaux phénotypes. L’article de M. Doreau et al éclaire le débat sur l’empreinte environnementale de l’élevage allaitant en synthétisant les connaissances actuelles permettant d’établir le bilan de ses impacts positifs et négatifs. Les controverses sur le besoin en eau, les rejets de gaz à effet de serre ou d’azote pour produire un kg de boeuf par exemple, sont encore très fortes et nécessitent des apports scientifiques de fond pour les apaiser. Même s’il est acquis qu’élevage allaitant et prairie sont liés, et que ce lien conforterait une image favorable auprès des citoyens comme auprès des consommateurs, les interrogations sociétales demandent des réponses. Les travaux en cours permettent de les affiner. Enfin, l’article d’A. Cerles et al qui clôt ce dossier pose les fondements des futurs possibles pour l’élevage bovin allaitant à partir d’un travail de prospective pour les filières viandes réalisé sur le territoire du Massif central qui analyse les conséquences de cinq scénarios contrastés prenant en compte de puissants déterminants comme le changement climatique, l’évolution de la consommation de viande, les politiques agricoles et environnementales4. La bonne utilisation des surfaces herbagères, la maîtrise complète de la qualité des viandes sont de points incontournables à travailler dans les années à venir, et les acteurs devront faire émerger ensemble les opportunités de projets qui les aideront à avancer. Nous sommes persuadés que ces divers sujets par la manière exhaustive et synthétique dont ils ont été traités dans ce dossier, aideront les lecteurs dans leurs recherches personnelles et à se forger leur propre expertise. Nous remercions encore tous les auteurs, les relecteurs et le secrétariat de la revue pour leurs investissements qui ont permis de mener ce travail à son terme. J. Agabriel, R. BaumontInra, UMR Herbivores------------1 L’exploitation des troupeaux de vaches allaitantes. 6ème journées du Grenier de Theix. Supplément du Bulletin Technique du CRZV Theix. Numéro spécial 1974 : 398pp.2 On peut ainsi citer Claude Béranger, Michel Petit, Gilbert Liénard, François Ménissier et toutes leurs équipes d’alors.3 Veysset P., Lherm M., Roulenc M., Troquier C., Bebin D., 2015. Productivity and technical efficiency of suckler beef production systems: trends for the period 1990 to 2012. Animal 9, 2050-2059.4 Cerles A., Poux X., Lherm M., Agabriel J., 2016. Étude prospective des filières viandes de ruminants du Massif central, horizon 2050. INRA Centre Auvergne-Rhône-Alpes. http://www.ara.inra.fr/Le-centre-Les-recherches/projets-et-actualites/ProspectiveViande
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RÉMOND, B. "Evolution du poids du contenu du réticulo-rumen chez les vaches laitières au cours des deux premiers mois de la lactation." Reproduction Nutrition Développement 28, no. 1 (1988): 109–10. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19880117.

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30

DEHARENG, D., and J. M. GODEAU. "Variations nycthémérales de la concentration en ammoniac dans le liquide du rumen, chez les vaches laitières dans la période péri-partum." Reproduction Nutrition Développement 28, Suppl. 1 (1988): 165–66. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19881157.

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31

LE HENAFF, L., H. RULQUIN, and J. L. PEYRAUD. "Composition en acides aminés du flux d'azote entrant dans le duodénum chez la vache laitière." Reproduction Nutrition Développement 28, Suppl. 1 (1988): 119–20. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19881134.

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32

RÉMOND, B., and Carole JACQUIER. "Effet de l'addition de sorbitol à la ration des vaches laitières en début de lactation sur leurs performances et sur quelques paramètres sanguins." Reproduction Nutrition Développement 26, no. 1B (1986): 365–66. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19860259.

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33

DE BRABANDER, D. L., Ch V. BOUCQUÉ, B. G. COTTYN, and F. X. BUYSSE. "Effet des caractéristiques du hachage du maïs-ensilage sur la digestibilité et sur quelques paramètres zootechniques chez des vaches laitières et des taurillons." Reproduction Nutrition Développement 28, no. 1 (1988): 99–100. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19880112.

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34

RULQUIN, H. "Détermination de certains acides aminés limitants chez la vache laitière par la méthode des administrations post-ruminales." Reproduction Nutrition Développement 27, no. 1B (1987): 299–300. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19870259.

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DOREAU, M., Agnès DELACROIX, and B. RÉMOND. "Liaisons entre la digestion et le stade physiologique chez la vache laitière : rôle du temps de transit." Reproduction Nutrition Développement 25, no. 4B (1985): 779. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19850609.

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36

LEONTOWICZ, Hanna. "Influence d'un sirop de glucose sur la digestibilité de la ration chez les brebis et sur la production laitière de vaches." Reproduction Nutrition Développement 27, no. 1B (1987): 285–86. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19870252.

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37

DOREAU, M., K. ADINGRA, B. RÉMOND, and Y. CHILLIARD. "Effets respectifs des quantités ingérées et du stade physiologique sur la digestibilité d'une même ration chez la vache laitière." Reproduction Nutrition Développement 28, Suppl. 1 (1988): 63–64. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19881106.

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LEGAY-CARMIER, Françoise, D. BAUCHART, M. DOREAU, and Christiane LEGAY. "Contribution relative des bactéries du rumen, libres et fixées aux particules, au flux bactérien duodénal chez la vache laitière." Reproduction Nutrition Développement 28, Suppl. 1 (1988): 117–18. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19881133.

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PEYRAUD, J. L., M. MAMBRINI, and H. RULQUIN. "Temps de séjour comparé de l'ensilage de maïs égrené et d'un aliment concentré dans une ration mixte distribuée à 2 niveaux d'ingestion à des vaches laitières." Reproduction Nutrition Développement 28, no. 1 (1988): 111–12. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19880118.

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40

PEYRAUD, J. L. "Etude de la digestion du trèfle blanc chez la vache laitière : influence de la saison et de l'âge des repousses." Reproduction Nutrition Développement 26, no. 1B (1986): 333–34. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19860243.

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41

RULQUIN, H. "Influence de l'équilibre en acides aminés de trois protéines infusées dans l'intestin grêle, sur la production laitière de la vache." Reproduction Nutrition Développement 26, no. 1B (1986): 347–48. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19860250.

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42

Benchaar, C., M. Vernay, C. Bayourthe, and R. Moncoulon. "Effet de l'extrusion de la féverole (Vicia faba) sur les flux intestinaux d'azote et d'amidon chez la vache laitière en production." Reproduction Nutrition Development 32, no. 3 (1992): 265–75. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19920306.

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RAYSSIGUIER, Y., A. MAZUR, B. RÉMOND, Y. CHILLIARD, and Elyett GUEUX. "Influence de l'état corporel au vêlage et du niveau d'alimentation en début de lactation sur la stéatose hépatique chez la vache laitière." Reproduction Nutrition Développement 26, no. 1B (1986): 359–60. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19860256.

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RULQUIN, H., J. BERNABÉ, J. P. CAUDAL, and Joëlle DUVÉRÉ. "Estimation du débit sanguin mammaire chez la vache laitière par thermodilution. 1. Mise au point du matériel et des conditions de mesures." Reproduction Nutrition Développement 28, no. 1 (1988): 203–4. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19880164.

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BAUCHART, D., Françoise LEGAY-CARMIER, J. P. JOUANY, Brigitte MICHALET-DOREAU, M. DOREAU, Christiane LEGAY, and Françoise DUBOISSET. "Effets de l'addition de palmitostéarine ou d'huile de soja sur les protozoaires du rumen chez la vache laitière et chez le mouton." Reproduction Nutrition Développement 28, Suppl. 1 (1988): 85–86. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19881117.

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MAMBRINI, Muriel, J. L. PEYRAUD, and H. RULQUIN. "Comparaison de différentes méthodes de calcul du temps de séjour des résidus alimentaires dans l'ensemble du tube digestif chez la vache laitière." Reproduction Nutrition Développement 28, Suppl. 1 (1988): 149–50. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19881149.

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BAUCHART, D., Françoise LEGAY-CARMIER, and M. DOREAU. "Distribution des bactéries adhérentes en fonction de la taille des particules dans les contenus du rumen et du feuillet chez la vache laitière." Reproduction Nutrition Développement 27, no. 1B (1987): 341–42. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19870231.

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48

RULQUIN, H. "Effet de la nature des aliments concentrés sur les lieux de la digestion d'une ration à base d'ensilage de maïs chez la vache laitière." Reproduction Nutrition Développement 26, no. 1B (1986): 331–32. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19860242.

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49

PEYRAUD, J. L. "Comparaison de l'oxyde de chrome et de l'ytterbium pour la mesure des flux duodénaux par simple et par double marquage chez la vache laitière." Reproduction Nutrition Développement 27, no. 1B (1987): 223–24. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19870222.

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BISTON, R., Nicole BARTIAUX-THILL, A. THÉWIS, E. FRANÇOIS, P. LIMBOURG, M. GIELEN, and P. DARDENNE. "Prévision de la quantité d'herbe ingérée par la vache laitière au pâturage. Comparaison de méthodes d'estimation de la digestibilité et du mode d'échantillonnage des fécès." Reproduction Nutrition Développement 28, Suppl. 1 (1988): 61–62. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19881105.

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