Academic literature on the topic 'Troupe d’élite'

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Journal articles on the topic "Troupe d’élite"

1

Chauviré, Frédéric. "La Maison du Roi sous Louis XIV, une troupe d’élite. Étude tactique." Revue Historique des Armées 255, no. 2 (April 1, 2009): 84–94. http://dx.doi.org/10.3917/rha.255.0084.

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Abstract:
La Maison du roi constitue le corps le plus prestigieux de l’armée royale. Mais c’est aussi une troupe d’élite, redoutée sur tous les champs de bataille. Sa supériorité tactique trouve son origine dans la singularité de sa doctrine de combat. Beaucoup plus manœuvrière que les régiments ordinaires, elle s’en distingue également par sa conduite de la charge : choix de l’arme blanche, adoption d’une allure élevée et recherche du choc. Les qualités de cette troupe expliquent que Louis XIV ait voulut en faire l’instrument privilégié de sa gloire. Dans les grandes batailles ou dans les combats, la Maison est systématiquement engagée à la pointe du dispositif tactique. Cette doctrine d’emploi résolument offensive et audacieuse se paie cependant parfois au prix fort.
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Chauviré, Frédéric. "La Maison du Roi sous Louis XIV, une troupe d’élite." Revue Historique des Armées 242, no. 1 (January 1, 2006): 114–21. http://dx.doi.org/10.3917/rha.242.0114.

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Abstract:
Louis IV, dont le règne et la conception même de la souveraineté furent si marqués par la guerre, aurait-il pu ne pas accorder à la cavalerie de sa Maison militaire une place éminente au sein de son armée ? Ces unités anciennes, que le roi a regroupé en un corps autonome, brillent bien sûr à la cour, mais qu’en est-il de leur rôle effectif sur les champs de bataille ? Pour envisager une réponse exhaustive à cette question, il faudrait tout d’abord étudier la Maison du Roi d’un point de vue organique, à la recherche des éléments intrinsèques – dont la volonté royale n’est pas le moindre – qui font une troupe d’élite. C’est ce que nous tenterons d’analyser dans le présent article en nous attachant d’abord aux éléments extérieurs et matériels (équipements, armement, organisation en escadron) puis à ceux qui déterminent véritablement la capacité au combat d’une troupe : la discipline, la formation et l’exercice.
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De Souza, Pedro. "Le statut discursif du doublage. Le cas de Troupe d’élite doublé en français." Scientia Traductionis, no. 15 (December 19, 2014): 212. http://dx.doi.org/10.5007/1980-4237.2014n15p212.

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4

Clarke de Dromantin, Patrick. "Heurs et malheurs des troupes jacobites au service de la France au XVIII e siècle." Revue Historique des Armées 253, no. 4 (December 1, 2008): 28–42. http://dx.doi.org/10.3917/rha.253.0028.

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Abstract:
Au lendemain de l’éviction du roi d’Angleterre, Jacques II Stuart, lors de la Glorieuse Révolution de 1688, 25 à 30000 soldats jacobites, Irlandais pour la plupart, se réfugièrent en France pour constituer la célèbre brigade irlandaise au service du roi très chrétien. L’auteur rappelle dans cet article les pages les plus glorieuses de l’extraordinaire épopée de ces troupes d’élites dans les guerres de Louis XIV, puis tout au long du XVIII e siècle à travers toute l’Europe et même dans le Nouveau Monde avec leur remarquable participation à la guerre d’Indépendance américaine. Il retrace ensuite les innombrables tribulations auxquelles ils furent soumis au cours de leur vie militaire : les déboires concernant leurs rémunérations, leurs promotions, leurs pensions de retraite, leurs affectations successives, le sort de leurs veuves et de leurs enfants et parfois leur tragique destin, notamment au moment de Révolution française, quand tout les désignait à la vindicte populaire…
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5

Joannon, Pierre. "Les soldats perdus de l’armée d’Irlande." Revue Historique des Armées 253, no. 4 (December 1, 2008): 43–54. http://dx.doi.org/10.3917/rha.253.0043.

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Abstract:
Au lendemain de l’éviction du roi d’Angleterre, Jacques II Stuart, lors de la Glorieuse Révolution de 1688, 25 à 30000 soldats jacobites, Irlandais pour la plupart, se réfugièrent en France pour constituer la célèbre brigade irlandaise au service du roi très chrétien. L’auteur rappelle dans cet article les pages les plus glorieuses de l’extraordinaire épopée de ces troupes d’élites dans les guerres de Louis XIV, puis tout au long du XVIII e siècle à travers toute l’Europe et même dans le Nouveau Monde avec leur remarquable participation à la guerre d’Indépendance américaine. Il retrace ensuite les innombrables tribulations auxquelles ils furent soumis au cours de leur vie militaire : les déboires concernant leurs rémunérations, leurs promotions, leurs pensions de retraite, leurs affectations successives, le sort de leurs veuves et de leurs enfants et parfois leur tragique destin, notamment au moment de Révolution française, quand tout les désignait à la vindicte populaire…
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Foureault, Fabien, Lena Ajdacic, and Felix Bühlmann. "L’organisation collective du grand patronat américain." Revue française de sociologie Vol. 64, no. 1 (January 22, 2024): 183–217. http://dx.doi.org/10.3917/rfs.641.0183.

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Abstract:
Nous contribuons au débat sur la « fracturation des élites » en examinant l’organisation collective du patronat américain dans le domaine extraprofessionnel. Nous utilisons les informations d’une base de données originale pour analyser un réseau biparti, reliant 1 472 administrateurs et dirigeants d’entreprises issus de dix secteurs économiques à 5 590 organisations dans huit domaines sociaux différents. En s’inspirant de la théorie de la mobilisation des ressources, nous démontrons l’intérêt de prendre en compte la différenciation sectorielle pour comparer deux ensembles d’élites. L’un appartient à des entreprises établies, représentées dans des secteurs historiquement plus anciens comme l’industrie, les matières premières ou l’alimentation et le commerce de détail. L’autre appartient à des entreprises « challengers » que l’on trouve dans des secteurs plus récents tels que les fonds spéculatifs ( hedge funds ), les sociétés de capital-investissement ( private equity ) et les entreprises technologiques. En modélisant l’accès au capital social, la force des liens au sein du groupe et l’implication politique, nous pouvons montrer que les élites établies ont, aujourd’hui, toujours une plus grande capacité d’action collective face aux élites challengers.
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Ferrer i Mallol, Maria Teresa. "Sobre els orígens del Consolat de Mar a Barcelona el 1279 i sobre els cònsols d'Ultramar a bord de vaixells. Un exemple de 1281." Anuario de Estudios Medievales 23, no. 1 (April 2, 2020): 141. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1993.v23.1044.

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Abstract:
Le Consolat de Mar de Barcelone trouve ses origines dans l' «Universitat dels prohoms de Ribera», corporation créée par Jaume Itr, le 7 janvier 1258. Cette cor­poration avait la faculté d’élire un «prohom» dont la responsabilité était de proté­ger les intérêts des navigateurs et des commerçants de ce quanier maritime. Pere el Gran, le 19 juin 1279, octroie au Conslat de Mar un nouveau privileège, privilège qui lui donne une apparence plus proche de celle qui serait finale­ment la sienne, en le dotant d'un organe représentatif des commerçants de Barcelone, institution constituée par deux «prohoms», élus parmi eux. L'analogie avec la corporation antérieure est évidente en ce qui se réfère à l’exercice des pri­vilèges concédés aux «prohoms» de Ribera qui, de cette façon, pouvaient nommer consuls dans les bateaux catalans qui partaient pour des pays d'outre-mer et qui avaient la capacité de défendre les intérêts des commerçants catalans auprès des autorités locales, de trouver une solution aux conflits entre catalans, etc… Dans cet article, on publie et commente la première nomination connue d’un consul à bord d'un bateau catalan, en partance pour Constantinople, en 1281.
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Daoust, Jean-François. "Le mystère de Québec." Article hors thème 36, no. 2 (July 4, 2017): 143–58. http://dx.doi.org/10.7202/1040416ar.

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Abstract:
Québec est un mystère politique et nombreuses sont les explications proposées pour comprendre le comportement électoral de la région de la capitale. Par rapport au reste de la province, les citoyens de la région choisissent d’élire beaucoup plus de députés de partis conservateurs depuis les années 1970. Plusieurs chercheurs ont examiné ce casse-tête, mais aucun modèle théorique n’est en mesure d’en rendre compte et de lever le voile sur le mystère. Cette recherche revient sur les modèles d’explication proposés pour ensuite tester empiriquement quelques relations qui pourraient s’avérer fécondes dans la résolution de l’énigme. Les résultats réfutent les plus récentes tentatives d’explication et laissent toujours cette énigme irrésolue, mais démontrent toutefois que même si les électeurs de la région de Québec se disent généralement plus à droite sur l’échiquier politique et moins favorables à la redistribution économique, la clé du mystère ne se trouve pas au niveau des valeurs et de l’attitude de l’ensemble de la population. La piste la plus féconde apparaît lorsqu’on isole l’attitude des moins nantis : il n’y a pas de classe pauvre qui serait économiquement plus à gauche dans la région de Québec.
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ROBERT, LUCIE. "RACONTER POUR NE PAS VIEILLIR." Dossier 43, no. 1 (February 5, 2018): 69–78. http://dx.doi.org/10.7202/1043151ar.

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Abstract:
La peau d’Élisa est le résultat d’une commande adressée à Carole Fréchette par le projet Écrire la ville, organisé conjointement par le Centre des auteurs dramatiques de Montréal et l’Atelier Sainte-Anne de Bruxelles. La conception du projet date de 1995, la création de 1998 au Théâtre d’Aujourd’hui. Il y a certes un choix étonnant à ce que ce projet qui vise à « écrire la ville » prenne la forme du souvenir raconté à haute voix, « avec des petits détails qui donnent des frissons », et que ces souvenirs, qu’on emprunte au besoin (« Vous n’auriez pas, comme ça, tout de suite, un souvenir à me prêter ? »), aient aussi pour fonction de protéger la peau du vieillissement. L’article interroge cette étrange relation entre le corps, la parole et la ville, qui engendre la transformation de l’actrice en conteuse, voire en rhapsode, livrant en ses propres mots les souvenirs des autres, pour ne pas avoir à répondre des siens propres, et à ce que, à travers ces souvenirs, ce soit, somme toute, la ville de Bruxelles qui se trouve redessinée.
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Kaiser, Daniela. "Protection de l’enfant et adolescent dans le sport." Paediatrica 33, no. 3 (September 30, 2022). http://dx.doi.org/10.35190/paediatrica.f.2022.3.1.

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Abstract:
En 2015 est paru le livre «Leiden im Licht» (Souffrir à la lumière), une biographie d’Ariella Käslin. Elle y raconte ses expériences à Macolin pendant son séjour de gymnaste artistique. À Macolin se trouve le Centre national de gymnastique artistique et rythmique . Toutes les athlètes qui veulent avoir du succès s’entraînent à Macolin. Dans ces deux disciplines sportives les abus sont nettement plus fréquents, ces sports étant pratiqués surtout par des filles. Les révélations de la sportive très populaire en Suisse n’ont pourtant pas eu de conséquences. Et cela bien qu’au préalable plusieurs dénonciations consternantes avaient fait les gros titres dans les médias, comme celles concernant Larry Nassar, l’ancien médecin de l’équipe de gymnastes d’élite des USA.
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Dissertations / Theses on the topic "Troupe d’élite"

1

Wilmart, Julien. "Les deux compagnies de Mousquetaires du roi de France (1622-1815) : corps d’élite, confiance royale et service extraordinaire." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2022. http://www.theses.fr/2022SORUL092.

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Abstract:
Les deux compagnies de Mousquetaires du roi appartenaient aux unités de la garde rapprochée du souverain, qui prit le nom, sous Louis XIV, de Maison militaire du roi. Créée en 1622 par Louis XIII à partir de la compagnie des Carabins de Henri IV, la première compagnie demeura sur pied jusqu’en 1646, époque à laquelle Mazarin la licencia. En 1657, Louis XIV et le cardinal la rétablirent. En 1634, le roi se fit capitaine en titre du corps, déléguant le commandement à un capitaine-lieutenant, témoignant ainsi un insigne honneur et son affection particulière envers ses Mousquetaires. En 1660, Mazarin offrit à Louis XIV sa propre compagnie de Mousquetaires à cheval comme cadeau de mariage. Établies sur le même pied en 1665, ces deux compagnies virent leurs fonctions dépasser leur rôle intrinsèque de garde du roi. Louis XIV fit en effet des troupes de sa Maison des unités d’élite et leur assigna un service de guerre : dès lors, les Mousquetaires participèrent à toutes les guerres, s’y forgèrent leur réputation et décidèrent plus d’une fois du sort de l’engagement. Ils portaient partout la marque de la puissance royale et furent ainsi régulièrement utilisés dans le cadre de missions délicates pour réprimer des soulèvements intérieurs ou arrêter des personnages influents, constituant une police politique royale. Les Mousquetaires apparaissaient donc comme les représentants de l’arbitraire royal. De par leur proximité avec le souverain et leur efficacité militaire, Louis XIV en fit également une école militaire pour la jeune et haute noblesse du royaume, qui était invitée à venir y apprendre les rudiments du métier des armes avant d’espérer obtenir un commandement. Les deux compagnies devinrent ainsi une pépinière d’officiers des armées royales. Malgré le dynamisme de cette école et leur utilité notamment à contenir la guerre des Farines à Paris, les Mousquetaires furent licenciés par Louis XVI en 1775. Éphémèrement rétablis dans l’Armée des Princes en 1791-1792 et sous la Restauration en 1814, Louis XVIII les supprima définitivement en 1815. Ce travail de recherche d’histoire militaire conduit une double approche en étudiant les Mousquetaires comme l’exemple du fonctionnement d’un corps d’élite de l’armée française d’Ancien Régime, sans toutefois négliger l’ensemble des particularités propres à cette troupe qui fondèrent leur renommée
The two companies of the Mousquetaires du roi of France were part of the royal bodyguard units, named Maison militaire during the reign of Louis XIV. The first company was created in 1622 by Luis XIII from the unit of the Carabiniers instituted by his father Henry IV. This company remained active until 1646, when it was disbanded by Mazarin, to be revived by Luis XIV and Cardinal Mazarin in 1657. In 1634, the King transferred the command of the companies to a Captain-Lieutenant. This endorsement highlights the King’s respect and fondness towards the Mousquetaires. In 1660, Mazarin offered his own company of cavalry musketeers to Luis XIV as a wedding gift. Established in 1665, the two companies saw their functions expanded beyond their initial intrinsic role of royal bodyguards. Under Louis XIV, the Royal Household became an elite unit with a vital military role in wars. During his reign, the Mousquetaires participated to each war and forged their reputation as a crucial element to the success of the battles they fought. They became a symbol of the royal power and were employed by the King in delicate missions to shut down riots or silence prominent political figures. The Mousquetaires functioned as the royal political police. In addition to being recognized for their military prowess and benefiting from the King’s endorsement, under Louis XIV the Mousquetaires became a military school for the nobles, who were encouraged to join the company to gain the military experience needed as aspiring commanders. The two companies became indeed a treasure trove of officials for the Royal Army. Despite their dynamism and crucial role in containing the Flour War in Paris, the Mousquetaires were disbanded by Louis XVI in 1775. Only briefly reestablished within the “Armée des Princes” in 1791-1792 and under the Restoration in 1814, the companies were permanently disbanded in 1815 by Louis XVIII. The research on military history presented here focuses not only on the role of the Mousquetaires as an elite corps of the French army during the Old Regime, but also on the peculiarities that contributed to their fame
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