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Journal articles on the topic 'Troubles psychiques sévères'

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1

Robin, A., C. Kiefer, and K. Cochepin-Martins. "Troubles psychiques des traumatisés crâniens sévères." EMC - Psychiatrie 5, no. 4 (January 2008): 1–10. http://dx.doi.org/10.1016/s0246-1072(08)48547-4.

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Sebbane, D. "Effets secondaires des antipsychotiques : recommandations européennes." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 672. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.076.

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Abstract:
Les patients atteints de troubles psychiques sévères sont en moins bonne santé physique et ont une espérance de vie réduite par rapport à la population générale. Les données de la littérature montrent que leur taux de mortalité est deux à trois fois plus élevé et qu’ils présentent un risque de mortalité majoré par la survenue de maladies cardiovasculaires.L’étiologie de cette surmortalité cardiovasculaire associée à la schizophrénie, au trouble unipolaire et au trouble bipolaire est multifactorielle.Elle inclut des facteurs génétiques, des facteurs environnementaux liés aux styles de vie des patients ainsi que des effets spécifiques liés à la maladie : on observe un risque relatif 1,5 fois plus élevé de la présence de facteurs de risque cardiovasculaires modifiables tels que l’obésité, le tabagisme, l’hypertension et la dyslipidémie. Le risque de développer un diabète sucré de type II est également fortement augmenté. L’autre facteur étiologique à considérer est celui des effets secondaires liés au traitement.En effet, le traitement médicamenteux de la majorité de ces troubles psychiatriques repose sur l’utilisation des antipsychotiques. Bien que ces médicaments aient une efficacité démontrée, ils sont malheureusement associés à des effets secondaires majeurs comme la somnolence et la sédation, mais aussi une prise de poids importante et la majoration des facteurs de risque cardiovasculaires.Actuellement, aucune stratégie efficace n’existe pour prévenir ces effets. Pourtant, l’accès au dépistage, aux mesures de prévention du risque cardiovasculaire et aux soins somatiques restent restreints pour ces patients. L’European Psychiatric Association (EPA) a ainsi émis des recommandations européennes afin d’améliorer la prise en charge des patients souffrant de troubles psychiatriques sévères. Elles orientent vers la prise en charge transdisciplinaire de ces effets, ainsi que vers la sensibilisation des psychiatres et des médecins généralistes au dépistage et au traitement des facteurs de risque cardiovasculaires et du diabète chez ces patients.
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3

Fayol, P., and JJ Dumond. "Les limites de la nosographie psychiatrique dans les troubles psychiques des traumatisés crâniens sévères." Annales de Réadaptation et de Médecine Physique 40, no. 7 (January 1997): 543–46. http://dx.doi.org/10.1016/s0168-6054(97)84831-3.

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4

Fayol, P., and JJ Dumond. "Les limites de la nosographie psychiatrique dans les troubles psychiques des traumatisés crâniens sévères." Annales de Réadaptation et de Médecine Physique 39, no. 6 (January 1996): 383. http://dx.doi.org/10.1016/0168-6054(96)86983-2.

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5

Guillermet, Élise, Nicolas Meunier-Beillard, Marie Costa, Marion Defaut, Isabelle Millot, Vincent Demassiet, Jean-Luc Roelandt, and Frédéric Denis. "Exemple de coconstruction d’un programme d’empowerment en faveur de la santé des personnes vivant avec des troubles psychiques." Santé Publique Vol. 35, no. 3 (October 12, 2023): 261–70. http://dx.doi.org/10.3917/spub.233.0261.

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Abstract:
Introduction : Au sein de la population présentant des troubles psychiques sévères et persistants, on observe une surreprésentation des facteurs de risque et des pathologies cardiovasculaires. Une personne chez qui un diagnostic de schizophrénie ou de troubles bipolaires a été porté aurait deux à trois fois plus de risque de mourir d’une maladie cardiovasculaire que la population générale. But de l’étude : Dans le cadre du projet « Collaboration patient-soignant pour une meilleure prise en charge des troubles cardiovasculaires des patients souffrant de troubles psychiques au long cours » (COPsyCAT), un programme d’ empowerment a été coconstruit pour réduire ces inégalités de santé. La prise en compte de l’expérience et des besoins des patients, de leurs aidants et des professionnels de santé est au cœur de chacune des étapes méthodologiques suivies pour la création du programme. Résultats : Les parties prenantes ont défini le programme comme devant viser l’amélioration de la qualité de vie et non la réduction du risque cardiovasculaire. Des outils ont été sélectionnés selon leur maniabilité pour permettre l’orientation autogérée des patients, de telle sorte que les contraintes inhérentes aux cloisonnements entre psychiatrie et soins primaires soient contournées. Le programme se base sur la mutualisation des ressources existantes sur un territoire. Pouvoir d’agir individuel et construction de contexte favorable à la santé sont ainsi pensés pour se renforcer mutuellement et agir sur des leviers réformateurs. Conclusions : Cet article décrit concrètement les étapes grâce auxquelles le programme d’ empowerment COPsyCAT a été conçu, en coconstruction par les chercheurs de l’étude, les usagers et associations d’usagers et les professionnels de santé à partir de leurs savoirs expérientiels. La faisabilité du programme et l’appropriation des outils en situation réelle va être prochainement évaluée. La mesure de l’efficacité du programme sur le risque cardiovasculaire viendra dans un second temps.
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Bergot, C. "Des idées reçues à l’épidémiologie de la schizophrénie en Afrique sub-saharienne." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S93—S94. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.399.

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Abstract:
La schizophrénie dans les sociétés traditionnelles africaines est depuis longtemps sujet d’interrogations multiples et de fantasmes divers. Mais tandis que les représentations traditionnelles de la maladie mentale en Afrique sub-saharienne sont bien connues des anthropologues et des ethnopsychiatres, il semble important de les réinterroger au filtre de la société africaine contemporaine. De même, ne serait-il pas temps de rediscuter certaines représentations occidentales idéalisées, selon lesquelles la schizophrénie serait rarissime en Afrique et les malades y seraient mieux pris en charge par la communauté ? Dans une deuxième partie, nous étudierons la littérature internationale concernant l’épidémiologie de la schizophrénie dans le monde, plus particulièrement en Afrique. Des premières enquêtes d’Emil Kraepelin à Java à la fin du 19e siècle, aux comités internationaux mandatés par l’Organisation mondiale de la santé pour la rédaction du DSM IV-R, et plus récemment du DSM 5, en passant par les données publiées par des psychiatres africains, nous ferons le point sur les données épidémiologiques concernant la schizophrénie en Afrique de l’Ouest. Nous verrons quelles sont les disparités géographiques et socioéconomiques [1]. Ces données seront toutefois à nuancer : sont-elles réellement interprétables au regard du contexte culturel et social des pays concernés ? La proportion de personnes effectivement prises en charge reste minime et le recensement des individus atteints de troubles psychiques ne peut dès lors être qu’approximatif. Malgré l’insuffisance de statistiques officielles, les soignants travaillant en Afrique sub-saharienne confirment au fil des personnes rencontrées l’existence incontestable de troubles psychiques sévères, comme la schizophrénie. Ils y observent une même triade symptomatologique, ne différant que par l’expression clinique du délire, influencé par le vécu, social et culturel, des personnes. Ils témoignent du quotidien des malades africains, fait d’enchaînements et de maltraitance. L’accès aux soins est un parcours du combattant pour les familles. Cela s’illustre dans les faits par des durées extrêmement élevées de psychose non traitée.
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7

Gandré, C., and M. Coldefy. "Le recours aux soins somatiques des personnes suivies pour des troubles psychiques sévères en France : comparaison avec la population générale." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 68 (March 2020): S31. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2020.01.069.

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8

Dubreucq, M., S. Jourdan, A. Poizat, and J. Dubreucq. "Ressenti des sages-femmes dans la prise en charge en suites de couche des patientes avec troubles psychiques sévères : une analyse qualitative." L'Encéphale 46, no. 3 (June 2020): 226–30. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2019.07.009.

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9

Hingray, C., and A. Biraben. "Comorbidités psychiatriques et épilepsie." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S76. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.349.

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Abstract:
Les comorbidités psychiatriques des épilepsies sont nombreuses et fréquentes. Un patient épileptique sur trois présente au cours de sa vie une pathologie psychiatrique (contre une personne sur cinq en population générale). Les études retrouvent des prévalences augmentées chez les patients épileptiques, en particulier pour les troubles de l’humeur, les troubles anxieux et les troubles psychotiques. Les troubles psychiatriques précèdent, accompagnent ou compliquent les différentes formes d’épilepsie. On sait, de plus, aujourd’hui que l’existence d’un trouble de l’humeur ou d’un trouble psychotique chez un sujet non épileptique augmente significativement le risque ultérieur de développer une épilepsie. Ces comorbidités ont un impact considérable, non seulement en termes de souffrance psychique et de qualité de vie, mais également sur le contrôle des crises épileptiques et sur l’efficacité et la tolérance des traitements antiépileptiques. De toute évidence, le lien qui unit épilepsie et troubles mentaux n’est pas celui d’une causalité unidirectionnelle où les troubles mentaux se réduiraient aux conséquences de l’épilepsie sur la santé mentale. En réalité, il s’agit moins d’une causalité que d’une association ; la relation entre pathologies épileptiques et psychiatriques est bidirectionnelle, voire triangulaire – certains facteurs physiopathologiques exposant les sujets à la fois à la survenue de troubles épileptiques et psychiatriques. L’usage des critères diagnostiques issus du DSM s’avère souvent problématique dans le cas des comorbidités psychiatriques de l’épilepsie. En effet, bon nombre de patients épileptiques présentent des symptômes psychiatriques sévères et invalidants mais atypiques, spécifiques qui ne réunissent pas l’ensemble des critères nécessaires au diagnostic d’un trouble particulier. Une attention particulière doit être notamment portée aux rapports temporels entre les crises d’épilepsie et l’apparition des symptômes psychiatriques. On distingue ainsi les troubles psychiatriques péri-ictaux (pré-ictaux, ictaux, postictaux) des troubles psychiatriques interictaux. Nous détaillerons, en outre, le syndrome dysphorique interictal, la psychose postictale et les crises non épileptiques psychogènes.
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Chavaroche, Philippe. "Pourquoi et comment la clinique a-t-elle déserté le secteur médico-social ?" VST - Vie sociale et traitements N° 163, no. 3 (August 2, 2024): 59–64. http://dx.doi.org/10.3917/vst.163.0059.

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Abstract:
La préoccupation clinique a quasiment déserté les établissements médico-sociaux pour adultes. Le déni de la souffrance psychique de nombreux usagers, pourtant porteurs de troubles psychopathologiques sévères pour certains, semble en être une des causes principales, en réduisant le handicap aux seules limitations sociales qu’il suffirait de compenser. La clinique comme souci d’une souffrance à accueillir, à comprendre et à soigner n’a donc plus sa place. La disqualification de cette orientation touche également les professionnels dont la compétence clinique n’est plus reconnue, soutenue et dirigée. La psychiatrie, comme recours possible pour étayer le soin dans le médico-social, est largement défaillante.
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Masse, Morganne, and Emmanuel Stip. "Développer le flair du psychiatre : des enseignements tirés de deux cas cliniques de syndrome de référence olfactive." Santé mentale au Québec 49, no. 2 (2024): 203–19. http://dx.doi.org/10.7202/1114411ar.

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Abstract:
L’olfaction est souvent négligée en sémiologie psychiatrique, malgré sa pertinence clinique et son impact sur le fonctionnement social. Le syndrome de référence olfactive (SRO), qui se manifeste par une fausse croyance selon laquelle une personne émet une odeur nauséabonde, entraîne une détresse sévère et altère le fonctionnement social. Cet article cherche à souligner la pertinence de l’olfaction dans la sémiologie psychiatrique, en mettant l’accent sur le SRO. Nous présentons une étude de deux hommes atteints de SRO, suivis en unité de troubles psychotiques, selon les critères CARE. Une revue de littérature effectuée selon les critères PRISMA, examine 53 études issues de PubMed, PsychInfo, Google Scholar et Cairns et complète les présentations cliniques. Cette analyse permet ainsi une discussion sur les connaissances actuelles du SRO, en réfutant, nuançant et validant les hypothèses en vigueur sur la nosographie et l’étiologie du trouble. Nous proposons d’approfondir le rôle de l’olfaction, en explorant son association avec les émotions, la formation des impressions et la Théorie de l’Esprit. Affiner notre compréhension de l’influence de l’olfaction sur le fonctionnement psychique et social pourra enrichir nos approches diagnostiques et thérapeutiques en psychiatrie du SRO.
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De Ara, Carla Garcia Gonzalez, Stéphane Morandi, Matthias Lippuner, Joel Delmatti, Philippe Golay, and Charles Bonsack. "« Chez soi d’abord » : se rétablir chez soi d’un trouble psychique sévère." Revue Médicale Suisse 13, no. 575 (2017): 1605–9. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2017.13.575.1605.

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Gouchouron, G., A. Vicard, S. Bouchiat, and M. Trousselard. "Prévalence des états de stress post-traumatique (ESPT) à cinq ans d’un accident de sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE)." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S112—S113. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.214.

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Abstract:
IntroductionEn 2009, à l’aube, le SNLE Le Triomphant est entré en collision avec le sous-marin britannique HMS Vanguard en immersion. Effet de surprise majeur (réveil brutal), absence de contrôle prolongée et menace vitale caractérisent le vécu des 110 sous-mariniers à bord. Une prise en charge trois mois après l’accident, comprenant évaluation psychométrique anonyme de la souffrance psychique au sein de l’équipage (ESPT [1], dépression [2]) et entretiens individuels par le service local de psychiatrie, a été réalisée. Sur les 92 sous-mariniers répondants, 17 % souffraient d’ESPT, et 20 % d’un syndrome dépressif léger à sévère. La sévérité clinique était en lien avec l’existence d’une dissociation péritraumatique au décours du choc [3], et l’intensité de la symptomatologie dépressive. En 2014, cinq ans après l’accident, un état des lieux a été réalisé au sein de cette même population.MéthodologieAprès une information téléphonique auprès de 92 marins portant sur l’objectif de l’étude d’un suivi anonyme de prévalence de l’ESPT, les mêmes auto-questionnaires (Post-Check List Scale1 ; échelle de Beck [2], 21 items) ont été envoyés par voie postale.RésultatsSoixante-sept sous-mariniers encore en activité dans les SNLE ont répondu. La prévalence de l’ESPT est de 11 % des répondants. Dix-huit pour cent de cette population souffre d’un syndrome dépressif léger à majeur. La sévérité clinique de l’ESPT n’était pas en lien avec l’intensité de la symptomatologie dépressive.ConclusionsLa prévalence de l’ESPT au sein de notre population a diminué. Elle est sensiblement identique à d’autres populations de militaire étudiées. Il existe probablement un biais de recrutement, à l’origine d’une sous-évaluation de la prévalence et suggérant l’existence d’une stigmatisation des troubles psychiques au sein des armées. La prévalence importante des syndromes dépressifs questionne l’interaction entre l’accident traumatogène et les conditions de vie à bord (manque de lumière et travail posté) [4].
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Seppänen, A.-V., F. Daniel, S. Houzard, C. Le Bihan, M. Coldefy, and C. Gandré. "Cancer chez les personnes suivies pour un trouble psychique sévère : quelles difficultés dans les parcours de soins ?" Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 71 (March 2023): 101493. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2023.101493.

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Seppänen, A.-V., F. Daniel, S. Houzard, C. Le Bihan-Benjamin, M. Coldefy, and C. Gandré. "Trouble psychique sévère et cancer : la double peine. Une étude nationale sur les parcours de soins pour cancer colorectal du dépistage aux soins de fin de vie." Journal of Epidemiology and Population Health 72 (March 2024): 202260. http://dx.doi.org/10.1016/j.jeph.2024.202260.

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Otero, Marcelo. "Folie." Anthropen, October 10, 2023. http://dx.doi.org/10.47854/anthropen.v1i1.51923.

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Abstract:
La référence à la folie demeure un opérateur incontournable pour affirmer l’impossibilité d’étudier ce qu’on appelle couramment les « troubles sévères et persistants » seulement en termes de pathologies mentales, psychiques ou psychiatriques. Dès l’apparition des premiers asiles explicitement destinés aux fous jusqu’aux catégorisations psychopathologiques des manuels de psychiatrie contemporains, en passant par les innombrables récits littéraires, fresques picturaux et discours philosophiques, les tentatives de cerner l’univers de la folie amènent à des réponses diverses et contrastées. Pour ne citer que Pascal (1652-1653): « Les hommes sont si nécessairement fous, que ce serait être fou par un autre tour de folie de n’être pas fou ». Si la folie est incontournable, comment cerner cette expérience universelle en termes sociaux et culturels?
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Scotto di Vettimo, Delphine. "“J’ai le corps qui parle”. Refus du féminin chez une jeune femme boulimique." Oxymoron 0. Numéro inaugural (April 28, 2010). http://dx.doi.org/10.61953/oxy.3067.

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Abstract:
Soumission à Epi-revel L’histoire d’une jeune femme, hospitalisée pour état dépressif sévère et troubles des conduites alimentaires, montre l’importance de la prise en compte du vécu de honte qui lui est contingente. À l’appui de cette situation clinique, les auteurs mettent ici en relief deux modélisations conceptuelles de cet affect, qui sont, d’une part une honte aliénante grevant durablement le sujet qui s’y trouve assujetti ; d’autre part une honte salvatrice qui signe le début d’une élaboration psychique et d’une appropriation subjective. L’hypothèse d’une clinique de la honte, ici articulée à la psychopathologie de la boulimie, s’inscrit dans sa forme la plus coutumière, comme l’expression syntaxique qui prévaut dans l’univers honteux : mise à nu, dévoilement et déchéance. En écho, nous pouvons souligner l’analogie de l’expérience psychothérapique avec une entreprise de « dévoilement » et de « mise à nu » qui prend un relief de réalité et qui fait de l’actualisation transférentielle de la honte le risque d’une répétition : le dévoilement de « la souillure » et la déchéance qui en découle sous le regard qui fait honte du clinicien. C’est à partir du modèle freudien de la honte structurale post-œdipienne, articulée au versant imaginaire et arrimée à la culpabilité, que sera menée cette réflexion qui insiste, à travers une évocation clinique, sur cette co-occurrence entre troubles des conduites alimentaires, fragilité narcissique et sentiment de honte. National audience
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