Academic literature on the topic 'Troubles cognitifs mineurs'

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Journal articles on the topic "Troubles cognitifs mineurs":

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Mallet, J., N. Ramoz, P. Gorwood, and C. Dubertret. "Cannabis et schizophrénie : approche clinique, cognitive et neurologique dans la définition d’un nouveau phénotype." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 7–8. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.018.

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Abstract:
IntroductionSelon le modèle multifactoriel, la schizophrénie résulte de l’interaction de plusieurs gènes avec différents facteurs environnementaux, dont le cannabis qui peut jouer un rôle chez des sujets vulnérables [1]. Certains résultats issus de l’hypothèse neurodéveloppementale suggèrent une perturbation précoce du neuro-développement moins importante chez les consommateurs de cannabis et une sensibilité aux effets pharmacologiques du cannabis [3]. Les signes neurologiques mineurs (SNM) sont le reflet d’anomalies neuro-développementales précoces, ils sont fréquents dans les pathologies développementales à début précoce et remplissent les critères d’un marqueur endophénotypique [2]. Nous avons fait l’hypothèse que les patients consommateurs réguliers de cannabis avant le début des troubles constituent une entité phénotypique homogène avec une atteinte neuro-développementale précoce moins marquée. Patients et méthodeNous avons évalué prospectivement la symptomatologie négative, les déficits cognitifs et les SNM chez 61 patients schizophrènes suivis à l’hôpital Louis-Mourier (Colombes). L’évaluation était clinique avec la Positive And Negative Symptoms Scale, cognitive (fonctions exécutives, attentionnelles et mnésiques) et neurologique à l’aide de la Neurological Evaluation Scale. Les patients ayant consommé du cannabis avant le début des troubles étaient comparés aux autres patients (test t de Student pour les données quantitatives, test du Δ-2 ou test de Fischer pour les données qualitatives).RésultatsLes résultats principaux sont présentés dans le Tableau 1. On constate une perturbation plus importante des fonctions exécutives, attentionnelles et mnésiques dans le groupe des non-consommateurs de cannabis. Les SNM sont plus fréquents dans le sous-groupe non-consommateur de cannabis. Tableau 1Comparaison des caractéristiques cliniques, cognitives et neurologiques entre les patients ayant fumé régulièrement du cannabis avant le début des troubles et les autres patients.SZ THC+ (n = 34)SZ THC− (n = 27)pQI attendu total (Barona), moyenne (ET)96,9 (9,0)101,7 (11,3)0,08QI total (NART 40), moyenne (ET)103,4 (9,2)100,8 (9,9)0,36ANT, moyenne (ET)ANT, temps moyen de réponse664,1 (105,1)768,2 (195,3)0,03ANT, orientation28,9 (48,3)50,4 (33,2)0,07ANT, conflit162,4 (84,2)171,5 (76,1)0,70ANT, alerte30,5 (40,6)26,8 (46,4)0,77Rey t0, n (%)n = 28n = 220,18*Type 115 (53,6)7 (31,8)0,12Type 210 (35,7)7 (31,8)0,77Type 32 (7,1)5 (22,8)0,21*Type 41 (3,6)3 (13,6)0,30*Rey t0 Temps (ms), moyenne (ET)166,3 (74,1)163,6 (121,4)0,92Rey t1 type, n (%)n = 28n = 210,02*Type 113 (46,4)5 (23,8)0,10Type 28 (28,6)5 (23,8)0,70Type 34 (14,3)1 (4,8)0,37Type ≥ 43 (10,7)10 (47,6)0,003Empan note brute, moyenne (ET)15,0 (3,8)13,0 (3,8)0,06CVLT, moyenne (ET)n = 28n = 21Liste A, essai 1, note z−1,0 (1,3)−1,7 (1,2)0,04Nombre de persévérations2,9 (2,0)4,8 (2,9)0,01Apprentissage liste A, total, note z−1,3 (1,5)−2,1 (1,2)0,05SNM, moyenne (ET)Actes moteurs complexes2,4 (2,8)5,3 (3,7)0,003Coordination motrice1,2 (1,7)3,6 (3,1)0,003Intégration sensorielle2,0 (2,4)5,1 (3,0)0,0003Score total11,5 (9,9)28,2 (15,6)0,0001Nombre d’items7,1 (4,9)14,2 (5,5)< 0,0001PANSS total symptomatologie positive, moyenne (ET)17,6 (7,9)14,6 (6,0)0,10PANSS total symptomatologie négative, moyenne (ET)16,0 (6,7)24,3 (8,3)0,0001PANSS total psychopathologie générale, moyenne (ET)30,8 (8,9)37,2 (10,0)0,01PANSS total, moyenne (ET)64,4 (20,7)76,1 (21,4)0,03SZ THC+ : patients ayant fumé régulièrement du cannabis avant le début des troubles ; SZ THC- : patients n’ayant pas fumé régulièrement de cannabis avant le début des troubles ; QI : quotient intellectuel ; ET : écart type ; NART : National Adult Reading Test ; ANT : Attention Network Test ; Rey : test des figures de Rey ; CVLT : California Verbal Learning Test ; SNM : signes neurologiques mineurs ; PANSS : Positive and Negative Symptoms Scale.*Test non paramétrique.ConclusionLes patients consommateurs réguliers de cannabis avant le début des troubles représenteraient une entité phénotypique homogène. Le cannabis est un facteur environnemental pouvant intervenir tardivement sur le neurodéveloppement et pouvant jouer un rôle causal chez certains patients.
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El Kadiri, Wafa, Benoit Delpont, Sophie Mohr, Corinne Leloup, Laurent Brondel, Yannick Bejot, and Agnès Jacquin-Piques. "Étude de la gustation chez les patients ayant des troubles cognitifs mineurs ou majeurs de type Alzheimer, par l’analyse des potentiels évoqués gustatifs." Revue Neurologique 178 (April 2022): S3. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2022.02.124.

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Krebs, M. O., O. Gay, G. Martinez, and I. Amado. "Signes neurologiques mineurs et contrôle moteur : ce qu’ils nous apprennent sur la schizophrénie, ses mécanismes et ses frontières." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 580–81. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.282.

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Abstract:
Les signes neurologiques mineurs (SNM) sont des marqueurs aujourd’hui bien reconnus dans la schizophrénie, présents à un moindre degré chez les apparentés. Leur signification et leur spécificité reste néanmoins incertaines. Des aspects méthodologiques pourraient expliquer certaines de ces incertitudes (échelles variables selon les publications, méthodes de cotation sensible ou non au changement, types de signes pris en comptes etc) [1]. Les corrélats des SNM peuvent apporter des éléments de réponses sur leur origine et leur signification. Nous avons ainsi montré que la SNM sont associés à une moindre performance cognitive, à plus d’erreurs dans les tâches oculomotrices, notamment dans des tâches de saccades adaptatives [2], ainsi à une altération du circuit préfronto cérébelleux [3], suggérant un dysfonctionnement cérébelleux.Par ailleurs, nous avons également montré que les patients ayant des SNM ont une altération de la morphologie corticale, avec une moindre gyrification corticale, témoignant de l’origine développementale des SNM [4].Enfin, nous avons montré récemment que les SNM sont plus marqués chez les sujets présentant un début des troubles précoces, avant l’adolescence (avant 15 ans), comparés à ceux présentant un trouble débutant à l’âge adulte, suggérant à nouveau que les SNM sont les marqueurs d’une forme à charge développementale plus importante.L’association des SNM avec un âge de début précoce et des anomalies structurales touchant en particulier les circuits cérébelleux, suggère que les SNM pourraient permettre d’identifier un sous-type de schizophrénie précoce, et interroge sur un continuum avec les troubles du spectre autistique.
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Pechenot-Paillot, Audrey, Thierry Moulin, and Elisabeth De Bustos Medeiros. "Troubles cognitifs post AVC chez des patients victimes d’un accident vasculaire mineur ou d’un AIT suivi en hôpital de jour de neuro-vasculaire à Besançon : facteurs de risques et conséquences." Revue Neurologique 175 (April 2019): S69. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2019.01.197.

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Menez, Cindy, Christelle Filleau, Lyne Daumas, Alexandra Konig, Justine Lemaire, and Guillaume Sacco. "Apport de l’activité physique sur la motivation des patients atteints de troubles cognitifs mineurs à majeurs." Soins Gérontologie, July 2023. http://dx.doi.org/10.1016/j.sger.2023.06.005.

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Dissertations / Theses on the topic "Troubles cognitifs mineurs":

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Payne, Magali. "Olfaction, cognition et émotions : liens dans la maladie d'Alzheimer, l'apathie et la COVID-19." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2022. http://www.theses.fr/2022COAZ6013.

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Abstract:
Dans cette thèse nous avons créé un test olfactif et vérifié son utilité pour dépister des troubles en lien avec la pathologie d'Alzheimer ou celle de l'apathie, ou encore dans la COVID-19.Après avoir recueilli l'avis des cliniciens et les recommandations des experts chimistes, nous avons ensuite sélectionné quatorze odeurs, mis au point un test olfactif informatisé qui permet d'obtenir automatiquement le score de seuil de perception et d'identification. Ce travail a permis le dépôt d'un Brevet d'invention pour le "Test Olfactif de Dépistage de la maladie d'Alzheimer et de l'apathie", ou TODA.Nous avons vérifié l'intérêt du TODA en pratique de soins courants dans l'aide au diagnostic de la maladie d'Alzheimer auprès de malades d'Alzheimer en contrôles sains, en France et au Québec. Les scores olfactifs différenciaient très significativement les sujets et étaient corrélés à la mesure cognitive globale. Le TODA permettait aussi de repérer une identification des odeurs différente en fonction de la culture et de la pathologie.Dans une population de sujets présentant un Trouble Cognitif Mineur avec ou sans apathie, les résultats au TODA permettaient de différencier les sujets très significativement, notamment dans la sous-dimension sociale des critères de l'Apathie.Auprès de sujets présentant une post-infection à la COVID-19, le TODA a été utilisé en parallèle du Sniffin'Sticks Test, gold-standard actuel, pour vérifier la validité des résultats du TODA. Le TODA a aussi permis de mettre en évidence des confusions d'odeurs proches, révélant une atteinte de leurs propriétés olfactives. Son utilisation en cas de suspicion d'atteinte sémantique associée a elle aussi été concluante.La comparaison des scores obtenus au TODA par les sujets MA et par les sujets post-COVID-19 a révélé que les résultats étaient similaires. Seule l'étude des odeurs les plus significatives a permis de faire la différence entre les deux pathologies
In this thesis we created an olfactory test to measure its usefullness to detect disorders such as Alzheimer's disease or apathy syndrome or COVID-19.First, we collected the opinions of clinicians and the recommendations of experts chemists. We then selected fourteen odors, and we developed a computerized olfactory test that was able to calculate threshold and identification automatically using theses odors. We submitted a Patent for this test named "Olfactory Test for screening Alzheimer's disease ans apathy" (TODA).We cerified the interest ol TODA in everyday care practice in the diagnosis of Alzheimer's disease. Using subjects with Alzheimer's disease and healthy control subjects, both in France and Quebec, the test scores significantly differenciate AD subjects from control subjects. This test allowed cognitive monitoring of patients and highlighted odor identification regardless of culture and pathology.With a population of subjects with Minor Cognitive Disorder, with and without apathy, the results were able to significantly differenciate subjects, in particular, with a social sub-dimension of Critéria of Apathy.With subjects suffering from post-COVID-19 infection we tested with the TODA and in parallel we used the Sniffin' Stick Test, a gold standard, to verify the validity of the TODA results. The TODA also allowed us to highlight the problems identify similar odors. Finally, we also highlighted the interest of using the TODA in the case of suspected associated semantics impairment.The comparison of the TODA scores obtained by AD subjects and COVID-19 subjects showed that there was no difference between the two groups. Only the study of the most significant odors made it possible to differenciate between the two patologies
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Gay, Olivier. "Marqueurs neurodéveloppementaux en psychiatrie : intérêt dans les troubles schizophréniques." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2016. http://www.theses.fr/2016USPCB016/document.

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Abstract:
Le terme de neurodéveloppement dans son acception la plus large renvoie à l'ensemble des processus permettant le développement du système nerveux depuis les étapes les plus précoces de sa formation in utero jusqu'aux étapes plus tardives de maturation à l'adolescence aboutissant au système nerveux adulte. Les travaux de ces quarante dernières années ont conduit à proposer un modèle neurodéveloppemental des troubles psychiatriques, notamment schizophréniques, sur la base d'arguments génétiques, épidémiologiques et d'imagerie. Ce modèle propose que l'apparition de la maladie soit liée à une/des anomalie(s) dans les processus de formation (neurodéveloppement précoce) et de maturation (neurodéveloppement tardif) du système nerveux, sous l'effet combiné de facteurs génétiques et environnementaux. Dans ce contexte, ce travail de thèse vise à préciser les effets des anomalies neurodéveloppementales sur les troubles psychiatriques, notamment schizophréniques à travers l'étude de différents marqueurs. La première étude a pour objectif d'étudier les corrélations entre deux marqueurs du développement cérébral précoce : un marqueur clinique (les signes neurologiques mineurs) et un marqueur en imagerie (la sulcation du cortex cérébral) dans une population de sujets atteints de schizophrénie. Une corrélation entre ces deux marqueurs est mise en évidence : l'index de sulcation est d'autant plus faible que les sujets présentent des signes neurologiques mineurs significatifs. Notre conclusion est que l'étude combinée de différents marqueurs peut permettre d'isoler des sous-groupes de patients ayant eu des atteintes neurodéveloppementales précoces plus marquées. La deuxième étude a pour objectif de caractériser l'effet de différents marqueurs d'anomalies neurodéveloppementales précoces sur le fonctionnement cognitif de sujets atteints de schizophrénie. L'effet sur le contrôle exécutif (mesuré par la tâche du Trail Making Test) de marqueurs cliniques (signes neurologiques mineurs, latéralisation manuelle) et en imagerie (sulcation du cortex cingulaire antérieur et élargissement des ventricules ventraux) est mesuré en recherchant les effets principaux et les interactions entre chaque marqueur. Nous trouvons des interactions entre différents marqueurs, avec principalement un effet de sommation non-linéaire. Notre interprétation est que les différents marqueurs reflètent des atteintes distinctes, bien que toutes précoces, du développement cérébral avec un effet final commun sur les fonctions exécutives. La troisième étude a pour objectif de préciser la spécificité de la sulcation comme marqueur d'anomalies neurodéveloppementales précoces à travers son étude dans une population de sujets adultes présentant un trouble du spectre autistique (TSA), pathologie débutant dès la petite enfance, en lien évident avec des atteintes neurodéveloppementales précoces. Des anomalies de sulcation du cortex cingulaire antérieur, similaires à celles observées chez les patients atteints de troubles schizophréniques, sont détectées chez les patients présentant un TSA. Ces résultats sont en faveur d'anomalies neurodéveloppementales précoces partagées entre différentes pathologies psychiatriques : les modifications de la sulcation corticale sont spécifiques non pas d'un trouble donné mais de la précocité des atteintes. En conclusion, nous proposons que l'étude des anomalies neurodéveloppementales soit intégrée dans une approche dimensionnelle en psychiatrie
The term neurodevelopment in its broadest sense refers to all of the processes encompassing development of the nervous system from the earliest stages of formation in utero to later stages of maturation during adolescence to produce the fully functional adult nervous system. Work over the last thirty years has led to a neurodevelopmental model of human psychiatric disorders, including schizophrenia, based on genetic, epidemiological and imaging evidence. This model asserts that disease is fundamentally linked to or develops from abnormality(s) in the formation processes (early neurodevelopment) and maturation (late neurodevelopment) of the nervous system due to a combination of genetic and environmental factors. In this context this thesis aims to clarify the effects of neurodevelopmental abnormalities on psychiatric disorders, including schizophrenia, through the study of different markers. The first study aims to investigate correlations between markers of early brain development: a clinical marker (neurological soft signs) and an imaging marker (sulcation of the cerebral cortex) in a population of subjects with schizophrenia. A correlation between these two markers is presented: the sulcation index was found to be lower in subjects that had significant neurological soft signs. We concluded that the combined study of different markers may help to isolate subgroups of patients with greater early neurodevelopmental damage. The second study aims to characterize effects of different markers of early neurodevelopmental abnormalities on cognitive functioning in patients with schizophrenia. Effects on executive control (as measured by the Trail Making Test) were correlated with clinical markers (neurological soft signs, handedness) and imaging (sulcation of the anterior cingulate cortex and enlargment of the ventricles). We found interactions between different markers with a mainly non-linear summation effect. Our interpretation is that different markers reflect separate insults, though all early, on brain development with a common final effect on executive function. The third study aims to clarify the specificity of sulcation as a marker of early neurodevelopmental abnormalities by studying a population of adult subjects with autism spectrum disorder (ASD), a patholody beginning in early childhood and linked with evidence of early neurodevelopmental damage. Sulcation abnormalities of the anterior cingulate cortex, similar to those observed in patients with schizophrenia are detected in patients with ASD. These results suggest early neurodevelopmental abnormalities are shared by different psychiatric disorders and that changes in cortical sulcation are not specific to a given disorder but the early damage. In conclusion, we suggest that the study of neurodevelopmental abnormalities should be integrated into a dimensional approach in psychiatry
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Dervaux, Alain. "Influence de la consommation de substances sur l'émergence et l'évolution des troubles psychotiques." Phd thesis, Université Pierre et Marie Curie - Paris VI, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00814790.

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Abstract:
De nombreuses études ont montré que la fréquence de l'usage, de l'abus et de la dépendance au cannabis sont particulièrement élevés chez les patients atteints de schizophrénie, à tous les stades de leur évolution : lors des prodromes de la maladie, lors du 1er épisode psychotique et au cours de l'évolution. Les raisons de la fréquence de la comorbidité sont multifactorielles et comprennent les effets psychotomimétiques induits par la consommation de cannabis, certains traits de personnalité et une vulnérabilité familiale, dont nous avons étudié certains aspects. Nous avons retrouvé des scores de SNM plus élevés dans une population de patients non psychotiques, dépendants au cannabis que chez les sujets témoins, en particulier des scores de coordination motrice et d'intégration sensorielle. Nous avons retrouvé des niveaux d'impulsivité et de recherche de sensations plus élevés chez les patients atteints de schizophrénie avec abus/dépendance au cannabis par rapport aux patients simples usagers et aux patients abstinents. Nous avons évalué les caractéristiques des patients sensibles aux effets psychotomimétiques induits par le cannabis : ils avaient un âge de début du 1er épisode psychotique plus précoce (2 ans et demi) et des antécédents familiaux de troubles psychotiques plus fréquents par rapport aux patients non sensibles. Dans une étude réalisée dans un service universitaire au Maroc, nous avons retrouvé que le profil des conduites addictives chez les patients schizophrènes était différent de celui retrouvé dans les études antérieures en Europe ou en Amérique du Nord, suggérant que la disponibilité des drogues et le contexte socio-culturel ont aussi une influence.
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Andriuta, Daniela. "Les fonctions exécutives, le ralentissement de l'action et leurs corrélats anatomiques dans les phases précoces de la Maladie d'Alzheimer." Electronic Thesis or Diss., Amiens, 2019. http://www.theses.fr/2019AMIE0044.

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Abstract:
La Maladie d'Alzheimer (MA) évolue de la plainte cognitive subjective (PCS) vers un trouble neurocognitif (TNC) mineur puis vers un TNC majeur, elle est caractérisée par un trouble mnésique proéminent. Au stade précoce de la MA, l'intensité des dysfonctions exécutives et du ralentissement de l'action (RA) ainsi que leurs corrélats anatomiques (CA) demeurent inconnus. L'objectif principal était de définir dans les phases précoces de la MA, l'intensité des dysfonctions exécutives et du RA ainsi que leurs CA. Dans l'étude 1, nous avons montré: l'atteinte des fonctions exécutives (FE) ne différait pas entre la MA (avec biomarqueurs positifs) et le TNC vasculaire. Dans l'étude 2, nous avons effectué une méta-analyse et avons montré : le temps de réaction simple (TRS) était significativement plus long dans le TNC mineur que dans le groupe control. Dans l'étude 3, nous avons montré dans la cohorte MEMENTO (2323 TNC mineurs et PCS) : l'atteinte des FE était associée à la diminution de l'épaisseur corticale dans les régions parsorbitalis gauche, supramarginale (SMG) droite, l'isthme cingulaire droit et le précuneus droit. Dans l'étude 4 nous avons déterminé le CA du RA chez 30 patients (25 MA et 5 TNC corticaux autres). Le ralentissement du TRS était associé à l'atrophie des cortex préfrontal dorsolatéral droit et SMG gauche. En conclusion, dans les phases précoces de la MA, l'atteinte des FE et le RA faisaient partis du profile cognitif typique. L'atrophie des cortex pariétal inférieur (comprenant le SMG) et à moindre mesure, préfrontal rends compte des dysfonctions exécutives et du RA. Des futures études doivent confirmer ces résultats dans la MA prodromale et préclinique
Alzheimer’s disease (AD) progresses from preclinical isolated subjective cognitive complaints (SCC) to mild neurocognitive disorders (NCD) and then major NCD and is “typically” characterized by prominent memory impairment. In early stages, the intensity of ED and action slowing and their imaging correlates are undetermined. The main objective was to establish in early stages of AD, the intensity of executive dysfunction (ED) and action slowing as well as their imaging correlates. In the Study 1, we showed that executive functions were impaired to a similar extent in AD (with positive CSF biomarkers) and VCI. In the Study 2 we performed a meta-analysis (327 mild NCD and 468 healthy controls) and showed that mean simple reaction time (SRT) was longer in mild NCD group. In the Study 3 we investigated the imaging correlates of ED in MEMENTO cohort (2323 mild NCD or SCC). ED were related to cortical thickness in the left pars orbitalis, right precuneus, right supramarginal (SMG) and the right isthmus cingulate regions. In the Study 4 we determined the imaging correlates (using voxelwise based morphometry) of action slowing in 30 patients with NCD (25 AD, 3 Lewy body dementia, 2 behavioral frontotemporal degeneration). SRT slowing was associated with right dorso-lateral prefrontal and left SMG cortices atrophy. To conclude in early stages of AD, action slowing and ED were a part of the cognitive profile. The atrophy of inferior parietal (including the SMG) and to a lesser extent, of prefrontal cortices accounted for ED and action slowing. In the future studies these results will have to be confirmed in prodromal and preclinical AD
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Martinez, Gilles. "Continuum autisme-schizophrénie : apport de l’étude de la cognition sociale et de marqueurs phénotypiques développementaux." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCB065/document.

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Abstract:
Autisme et schizophrénie sont deux troubles psychiatriques neuro-développementaux. L’étude des formes précoces de schizophrénie, fréquemment associées aux troubles du spectre de l’autisme (TSA), a suggéré un possible continuum développemental entre ces troubles. Des arguments cliniques et épidémiologiques, et issus des études en génétique moléculaire ou en imagerie cérébrale, sont progressivement venus étayer cette hypothèse. Dans ce contexte, l’étude de la cognition sociale a fait l’objet d’un intérêt particulier, des altérations étant rapportées dans les deux troubles avec toutefois des résultats contrastés, révélant autant de points communs que de différences. Les relations entre altération de la cognition sociale et charge neuro-développementale ont par ailleurs été peu explorées. A travers nos trois études, nous avons confirmé l’existence d’altérations de la cognition sociale dans les TSA et la schizophrénie. Le MASC (Movie for the Assessment of Social Cognition), épreuve mixte et originale dont nous avons validé la version française, a permis de montrer une altération globale des capacités de mentalisation plus importante dans les TSA que dans la schizophrénie. Les Triangles Animés (épreuve d’attribution d’intention reposant sur un matériel non verbal) ont permis de révéler des différences qualitatives : tandis que l’hypomentalisation est commune aux deux troubles, l’hypermentalisation apparaît plus marquée dans la schizophrénie. Par ailleurs, à travers un continuum autisme-schizophrénie, l’altération de la cognition sociale était liée à la désorganisation de la pensée et du langage, et à l’importance des signes neurologiques mineurs (marqueur de vulnérabilité neurodéveloppementale). En outre, chez les sujets avec schizophrénie, l’hypermentalisation était corrélée à la précocité d’installation du trouble. Nos résultats soulignent l’intérêt de pouvoir repérer chez des patients adultes un trouble du développement. En ce sens, nous avons présenté les premiers éléments de validation d’un autoquestionnaire de dépistage des troubles du développement, permettant en population adulte un repérage rétrospectif des signes et symptômes d’autisme présents dans l’enfance. En conclusion, nos résultats apportent des arguments en faveur du continuum autisme-schizophrénie, en montrant l’existence d’une altération de la cognition sociale, dans ces deux troubles, corrélée à la charge neuro-développementale de façon trans-nosographique. Il existe toutefois des différences qualitatives. Un sous-groupe de sujets avec schizophrénie dont le trouble a débuté précocement semble par ailleurs se dessiner, caractérisé par une tendance à hyper-mentaliser et présentant une désorganisation plus marquée
Autism and schizophrenia are both neurodevelopmental psychiatric disorders. Research on early-onset schizophrenia, commonly associated to autism spectrum disorders (ASD), suggested a possible developmental continuum between both of these disorders. Clinical and epidemiological evidence, and research from molecular genetics or brain imaging, come to support this hypothesis. In this context, social cognition is a matter of special interest. Impairments are reported both in the two disorders, but with inconsistent results, revealing common features as well as differences. Otherwise, links between social cognition impairments and neurodevelopmental burden have been until now poorly explored. Through the contribution of our three studies, we confirmed the importance of social cognition impairment in autism and schizophrenia. The MASC test (Movie for the Assessment of Social Cognition), an original tool which was by our findings validated in a French version, revealed higher overall impairment of mentalizing capabilities in ASD than in schizophrenia. Animated Shapes (non verbal test of attribution of intentions) revealed qualitative differences: whereas hypomentalizing is common both to ASD and schizophrenia, overmentalizing seemed to be more important in schizophrenia. Furthermore, along a continuum between autism and schizophrenia, social cognition impairment was linked to thought and language disorganization, and to neurological soft signs (a marker for neurodevelopmental load). In addition, in subjects with schizophrenia, overmentalizing was correlated to the precocity of onset of the disease. Altogether, our results highlight the need to screen developmental feature in adulthood. In that way, we presented preliminary results in order to validate a developmental disorders screening self-rated questionnaire. As a conclusion, our results bring evidence in favour of a hypothesis of a continuum between autism and schizophrenia, showing a social cognition impairment in both disorders, correlated to the neurodevelopmental load existing in both of them in a transnosographic way. We contributed to emphasize the sub-group of subjects with schizophrenia with early-onset of disease, characterized by a tendency to overmentalizing and presenting a marked disorganization. Our work provides avenue to further studies, integrating neuroimaging and genetic data, that will help to advance in a deeper comprehension of the pathophysiology of autism and schizophrenia. Furthermore, we used and validated in this work promising tools to improve finely psychopathological evaluation and differential diagnosis in adults suffering from autism and from schizophrenia
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Mallet, Jasmina. "Marqueurs neurodéveloppementaux, cognition et facteurs environnementaux précoces et tardifs dans le phénotype psychotique des pathologies mentales Heavy cannabis use prior psychosis in schizophrenia : clinical, cognitive and neurological evidences for a new endophenotype? Etude et apport de la latéralité comme marqueur neurodéveloppemental dans les troubles schizophréniques et bipolaires Cigarette smoking and schizophrenia : a specific clinical and therapeutic profile? Results from the Face-Schizophrenia cohort Tobacco smoking is associated with antipsychotic medication, physical aggressiveness and alcohol use disorder in schizophrenia : results from the Face-SZ national cohort Tabagisme et schizophrénie, impact sur la cognition Tobacco smoking and psychotic-like experiences in a general population sample Poster congrès français de psychiatrie 2018 : Expériences psychotiques chez 50 patients adolescents hospitalisés pour la 1ère fois : approche trans-diagnostique et prospective avec la PQ16." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2018. https://wo.app.u-paris.fr/cgi-bin/WebObjects/TheseWeb.woa/wa/show?t=2403&f=17360.

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Abstract:
Les maladies mentales représentent un ensemble catégoriel très hétérogène, même au sein d’une entité nosographique. L’approche multifactorielle rend compte de l’hétérogénéité clinique des troubles mentaux et du continuum entre certaines dimensions cliniques, voire entre le normal et le pathologique. Parmi ces dimensions, le phénotype psychotique constitue une dimension essentielle du trouble schizophrénique. L’approche dimensionnelle permet d’envisager la recherche d’expériences psychotiques dans la plupart des troubles mentaux ainsi qu’en population générale. Nous faisons l’hypothèse générale que certains troubles psychiatriques avec symptômes psychotiques pourraient être la résultante de l’interaction entre certains facteurs environnementaux précoces (traumatismes obstétricaux par exemple) et tardifs (consommation de toxiques, traumatismes) et le neurodéveloppement de l’individu. Un travail initial a été de rappeler les concepts de vulnérabilité en psychiatrie, et de prendre l’exemple du trouble schizophrénique pour réaliser une revue de la littérature sur les facteurs de risque en fonction de leur interaction précoce ou tardive avec le neurodéveloppement. Ensuite, dans le premier axe de recherche de la thèse, nous évaluons certains marqueurs neurodéveloppementaux précoces (signes neurologiques mineurs, latéralité, cognition). Notre premier travail, concerne la caractérisation clinique, neurologique et cognitive de 64 patients souffrant de trouble schizophrénique, en fonction de leur consommation de cannabis ou pas avant le début des troubles. Il apporte des éléments en faveur d’une charge neurodéveloppementale moins lourde chez les patients ayant consommé du cannabis, et de l’impact potentiel de cette substance chez des sujets vulnérables. Notre second travail, préliminaire, concerne l’impact clinique et cognitif de la latéralité chez les patients souffrant de schizophrénie (n=667) et de trouble bipolaire (n=2445). Nous apportons des arguments pour un poids neurodéveloppemental (mesuré avec cet indice) plus important dans la schizophrénie. Notre deuxième axe de recherche se concentre sur le tabagisme comme facteur environnemental tardif dans le trouble schizophrénique et le phénotype psychotique. Nous montrons dans deux travaux sur la cohorte FACE-SZ (n=361 ; n=474), que ces patients consomment presque deux fois plus qu’en population générale et qu’ils pourraient représenter un sous-groupe présentant des caractéristiques spécifiques d’un point de vue socio-démographique, clinique et thérapeutique. Dans un troisième travail préliminaire, nous comparons les fonctions cognitives de ces patients (n=785) et montrons que l’hypothèse d’automédication ne peut pas rendre compte à elle seule, de la forte prévalence du tabagisme chez ces patients. Dans un quatrième travail, nous étudions l’impact du tabagisme sur le phénotype psychotique dans une approche dimensionnelle, et montrons une association entre le tabagisme et certaines expériences de type psychotique dans un échantillon représentatif de la population générale américaine (NESARC, n=34653). Enfin dans un dernier axe de recherche nous nous intéressons au phénotype psychotique dans une population d’adolescents et jeunes adultes hospitalisés pour un premier épisode psychiatrique (n=50). Dans une étude préliminaire, nous montrons une forte prévalence des expériences de type psychotique chez ces jeunes adultes, quel que soit le diagnostic posé six mois à postériori, soulignant le caractère trans-nosographique du phénotype psychotique lors de l’émergence des troubles. L’ensemble de ce travail reflète l’hétérogénéité clinique des maladies mentales et l’importance de l’approche dimensionnelle et trajectorielle pour identifier des facteurs de risque (ou de protection). Les enjeux sont une meilleure compréhension étiopathogénique, des perspectives de prévention, et une prise en charge personnalisée des patients
Mental diseases represent a very heterogeneous categorical group, even within a given nosographic entity. Multifactorial approaches allow accounting for the clinical heterogeneity of mental disorders, the continuum between certain clinical dimensions, and even between the normal and the pathological. Among such dimensions, the psychotic phenotype constitutes an essential dimension of schizophrenic disorder. The dimensional approach allows for the search of psychotic experiences in most mental disorders as well as in the general population. We make the general hypothesis that certain psychiatric disorders with psychotic symptoms could be the result of the interaction between early- (obstetric traumas for example) and late- environmental factors (toxics, traumatisms) and the neurodevelopment of the individual. The initial step in this thesis work was to better define the concepts of vulnerability in psychiatry, and, based on the example of schizophrenia, to conduct a review of the literature on risk factors according to their early or late interaction with neurodevelopment. Subsequently, the first axis of research of the present thesis was to evaluate early neurodevelopmental markers (neurological soft signs, laterality, cognition). Our first work concerned the clinical, neurological and cognitive characterization of 64 patients suffering from schizophrenia, according to their cannabis use (or not) prior to psychosis. It provided evidence for a lower burden of neurodevelopment in cannabis users, and the potential impact of this substance on vulnerable individuals. Our second work concerns the clinical and cognitive impact of lateralization in patients with schizophrenia (n = 667) and bipolar disorder (n = 2445). We bring arguments for a neurodevelopmental weight (measured with this lateralization index) that is more important in schizophrenia. Our second axis of research focused on tobacco smoking as a late environmental factor in schizophrenia and psychotic phenotype. We showed in two studies on the FACE-SZ cohort (n = 361, n = 474) that SZ patients consumed almost twice as much as the general population and that they could represent a SZ subgroup with specific socio-demographic and clinical characteristics. In a third study, we compare the cognitive functions of these patients (n = 785) and show that the self-medication hypothesis alone cannot account for the high prevalence of their smoking. In a fourth work, we studied the impact of smoking on the psychotic phenotype with a dimensional approach, and showed an association between smoking and certain psychotic-type experiences in a representative sample of the US general population (NESARC, n = 34653). Finally, in a last line of research, we evaluated the psychotic phenotype in a population of adolescents and young adults hospitalized for a first psychiatric episode (n = 50). In a preliminary study, we show a high prevalence of psychotic-like experiences in these young adults, regardless of the diagnosis made six months afterwards, highlighting the trans-nosographic character of the psychotic phenotype during the emergence of different mental disorders. Overall, the present thesis underscores the clinical heterogeneity of mental illnesses and the importance of dimensional and trajectory approaches in identifying risk (or protective) factors, towards a better etiopathogenic understanding, better prevention opportunities, and a personalized patient care

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