Academic literature on the topic 'Transmission du savoir grec profane'

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Journal articles on the topic "Transmission du savoir grec profane"

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Trizio, Michele. "Fabio Acerbi and Gudrun Vuillemin-Diem, La transmission du savoir grec en Occident: Guillaume de Moerbeke, le Laur. Plut. 87.25 (Thémistius, “in De an.”) et la bibliothèque de Boniface VIII. (Mediaevalia Lovaniensia Series 1, 49.) Leuven: Leuven University Press, 2019. Paper. Pp. viii, 254; color and black-and-white figures. €37. ISBN: 978-9-4627-0169-4." Speculum 97, no. 2 (April 1, 2022): 470–71. http://dx.doi.org/10.1086/719343.

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2

Hammad, Manar. "L'Université de Vilnius: exploration sémiotique de l’architecture et des plans." Semiotika 10 (December 22, 2014): 9–115. http://dx.doi.org/10.15388/semiotika.2014.16756.

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Abstract:
Cette étude sémiotique de l’Université de Vilnius s’articule en deux composantes intimement liées: l’objet d’étude d’une part, la méthode mise en oeuvre d’autre part. L’image qui se dégage de l’objet dépend de la méthode descriptive, et la méthode descriptive a été adaptée pour la prise en compte de certains caractères spécifiques de l’objet donné. Par commodité, ces deux composantes seront abordées séparément dans ce résumé.L’objet d’étude est constitué par l’Université de Vilnius, considérée d’un point de vue spatial. Si l’état actuel des bâtiments est directement accessible à l’observation, plusieurs états antérieurs sont décrits par une collection de plans conservés dans les archives du département de l’héritage culturel du Ministère de la Culture Lituanien. La Bibliothèque Nationale de France conserve en outre une collection de projets dessinés pour l’Université de Vilnius au sein de la Compagnie de Jésus. L’analyse sémiotique de ce corpus syncrétique (bâtiments, plans techniques, projets) impose la prise en compte d’acteurs sociaux (enseignants, étudiants, techniciens) et d’acteurs environnementaux (froid, feu, intempéries, vieillissement) dont les interactions avec les lieux sont productrices de sens.Le caractère spécifique d’un tel corpus pourrait laisser croire que l’analyse n’aurait d’intérêt que pour des lecteurs lituaniens motivés par des liens affectifs locaux. Sans remettre en cause les qualités indéniables du corpus retenu, l’utilisation de la méthode sémiotique donne à l’analyse un intérêt méthodologique dont la généralité ne se restreint pas au cas considéré. Pour l’étude des plans de l’Université de Vilnius, l’approche sémiotique est amenée à effectuer un bond qualitatif par rapport aux études initiées en 1974 par le Groupe 107, et l’approche discursive Greimassienne remplace une approche linguistique trop attachée au modèle Hjelmslevien. La consécution diachronique des plans permet de reconnaître plusieurs transformations de l’espace universitaire, chacune d’entre elles distinguant un avant d’un après. L’aménagement des cours autour desquelles se déploient les salles, la concaténation des cours, leur orientation, leurs degrés d’ouverture, permettent de reconnaître des effets de sens successifs qui informent l’opération globale par laquelle l’Université tend à occuper la totalité de l’îlot urbain dans lequel elle est inscrite, et dont elle n’occupait initialement qu’une partie réduite. L’apparition des portiques au dix-septième siècle, leur mode d’implantation, leur organisation modifient profondément l’espace universitaire, tant dans son allure visuelle que dans son fonctionnement pragmatique. La substitution des voûtes aux plafonds change l’allure de l’intérieur des locaux, tout en assurant une meilleure résistance aux éventuels incendies, dont l’occurrence répétée est notée par les archives.L’analyse discursive de l’espace impose la prise en compte d’acteurs sociaux qui agissent sur l’espace ou dans son cadre. Une première distinction différencie les Enseignants des Enseignés. Lors de la fondation de l’Université en 1586, l’enseignement est confié à la Société de Jésus, dont la fondation en 1540 était relativement récente, et dont la vocation à l’enseignement s’affirmait avec force non seulement en Europe, mais aussi au Nouveau Monde récemment découvert. La dissolution de l’Ordre Jésuite en 1772 eut des répercussions directes sur l’Université de Vilnius, en particulier sur l’organisation interne des locaux et sur leur attribution fonctionnelle (on peut noter que la différenciation fonctionnelle des lieux est inscrite sur les plans qui remontent au début du dix-septième siècle). Les espaces dévolus aux étudiants permettent de distinguer un groupe résidant (les internes) et un groupe non résidant (les externes) parmi une population que l’on suppose locale et régionale, car la situation géographique de la Lituanie était relativement périphérique par rapports aux centres du savoir qu’étaient Rome et Paris à la fin du seizième siècle et au début du dix-septième siècle. L’élaboration parisienne des plans pour l’Université de Vilnius témoigne du fait que l’on pensait l’espace comme un moyen d’action (que la sémiotique identifie, selon les cas, comme acte d’énonciation spatiale, ou comme acte de manipulation, au sens technique du terme).Différentes expressions matérielles (alignement des bâtiments sur les directions cardinales, allure italianisante des cours à portiques) véhiculent les valeurs profondes universelles du programme de base de l’Université, qui est celui de la diffusion (transmission) de valeurs abstraites d’un centre vers une périphérie. L’enseignement réservait un large part à la religion catholique, universelle par définition (c’est le Père de l’Église Clément d’Alexandrie qui promeut l’usage du terme grec Katholikos -universel- pour qualifier le Christianisme). Dans l’Italie de la Renaissance, les théoriciens Alberti et Vasari opposent les valeurs universelles de l’Humanisme, tirées de l’Antiquité Classique, aux valeurs particulières caractérisant la production de l’Europe « gothique » du Moyen-Âge, ce dernier étant défini négativement comme ce qui a séparé l’Antiquité de la Renaissance.Considérée comme énoncé spatial, l’architecture apparaît comme un dispositif matériel chargé de modalités destinées à réguler l’action des acteurs qui y accomplissent leurs programmes d’usage. La circulation physique des personnes s’avère jouer un rôle central parmi les actions reconnaissables. Le circuit des visites guidées, opposé à la latitude donnée aux étudiants et aux enseignants, permet de définir un secteur public (moderne) de l’Université, centré sur la bibliothèque, et opposable à un secteur privé centré sur le rectorat. Les portiques, installés aux différents étages pour résoudre des questions de circulation humaine, remplissent simultanément des fonctions d’éclairage et d’isolation thermique. En reconnaissant de telles superpositions fonctionnelles, l’analyse impose la reconnaissance d’acteurs sémiotiques non matériels tels que la lumière et le froid. La poursuite de la même logique d’analyse mène à la reconnaissance du feu et du temps comme acteurs jouant un rôle dans la détermination des formes architecturales, et donc dans la formation de l’énoncé spatial qu’est l’Université.Opposable aux processus évoqués ci-dessus, l’action qui coordonne l’homogénéisation de l’allure de la Grande Cour et celle de la Cour de l’Observatoire ne relève pas de l’énoncé spatial interne, mais d’une énonciation externe: elle témoigne d’une pensée plastique, géométrique, qui poursuit une fin identitaire: son action donne à l’Université, à un moment de son existence, une allure cohérente qui participe à la définition de son identité. Une démarche énonciative comparable est repérable, à l’époque récente, dans la mise en espace de deux espaces garnis de fresques: le vestibule balte et le vestibule grec. Par de tels actes énonciatifs, la direction de l’Université s’adresse à la communauté universitaire, définie ainsi comme un destinataire interne, pour lui transmettre des messages dont les valeurs profondes sont reconnaissables comme l’identité, la cohérence, l’universel, le particulier. D’autres transformations architecturales, en particulier celles qui sont menées au début du dix-neuvième siècle sur la cour de la bibliothèque, développent vis à vis du public extérieur à l’Université, un discours relatif aux savoirs qu’elle développe et diffuse dans la société. Le caractère diachronique du corpus impose de reconnaître des transformations, mettant dès lors l’accent sur des actes énonciatifs spatiaux, puisque tout acte de construction est interprétable comme un acte énonciatif. Ce qui fait beaucoup de place, dans l’analyse, aux effets de sens énonciatifs, aux dépens des effets de sens énoncifs. D’un point de vue méthodologique, ceci apporte la preuve, par l’exemple, de la pertinence de l’utilisation du concept d’énonciation pour une expression spatiale et non verbale.
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Costes, Mylène. "Quand les professionnels des bibliothèques parlent du patrimoine écrit." Balisages, no. 4 (May 20, 2022). http://dx.doi.org/10.35562/balisages.847.

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Abstract:
Si le récit participe d’une recherche de légitimité pour les institutions patrimoniales, la place qu’il occupe et les formes qu’il prend diffèrent fortement d’un établissement à l’autre. Nous nous intéressons ici aux récits accompagnant les collections en ligne des bibliothèques. Il s’agit de saisir la manière dont le récit est mobilisé dans la médiation en ligne du patrimoine écrit. À l’instar du musée (Tardy et Renaud, 2016), nous considérons ici la bibliothèque comme une instance d’énonciation qui, dans une logique de valorisation patrimoniale, va opérer des choix discursifs qui délimiteront l’espace possible des interprétations. Même si l’usage du numérique s’est déployé massivement, répondant à un besoin de renouvellement institutionnel, nous formulons l’hypothèse qu’il n’apporte pas une réelle innovation dans la médiation du patrimoine des bibliothèques. Nous nous demandons dans quelles mesures les narrations actuelles permettent le partage d’une culture informationnelle entre savoir expert et savoir profane. Comment et sous quelles formes le recours au récit s’inscrit-il dans le projet communicationnel de la bibliothèque ? Quelle(s) articulations sont souhaitées et réellement opérées entre le travail de « documentarisation » des collections patrimoniales et la nécessité de les médier pour en permettre l’appropriation par un plus large public ? Pour ce faire, nous prenons appui sur une étude de terrain conduite auprès du réseau des médiathèques de Toulouse et du réseau des médiathèques du Grand Albigeois en 2021. Notre attention s’est portée sur l’analyse des récits et discours produits par les professionnels quant à leurs collections patrimoniales. Il s’est agi d’appréhender la manière dont le récit est mobilisé par les professionnels dans la valorisation patrimoniale, tout en analysant dans quelle(s) mesure(s) il est ou non constitutif de sa médiation. In fine, nous rendons compte de la manière dont la stratégie discursive autour du patrimoine écrit est envisagée et mise en application entre nécessité de transmission, contraintes institutionnelles et adaptation des formes et contenus aux publics visés. De l’articulation entre ces différents points dépend l’appropriation des collections que l’institution est en mesure de proposer à ses usagers.
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Dissertations / Theses on the topic "Transmission du savoir grec profane"

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Chu, Minqi. "Culture laïque dans un espace provincial byzantin : production et transmission des livres manuscrits et du savoir profanes grecs en Italie méridionale (Xe-XIe siècle)." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne université, 2024. http://www.theses.fr/2024SORUL046.

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Abstract:
La transmission du savoir laïque, en particulier celui hérité de l'Antiquité, était dynamique à Constantinople durant l'époque macédonienne. Cependant, cette effervescence intellectuelle ne semble pas avoir eu le même écho dans les espaces provinciaux, tel que l'Italie méridionale hellénophone (à l'exception de la Terre d'Otrante). Le faible nombre de manuscrits grecs profanes, produits et diffusés dans cette province durant les Xe et XIe siècles, témoigne de cette situation. Malgré leur quantité limitée, ce corpus de manuscrits grecs présente une diversité thématique riche, comprenant des œuvres de grammaire, de rhétorique, de lexicographie, de calcul, de droit civil, de médecine, ainsi que de littérature et de philosophie antiques. L'examen approfondi de chaque manuscrit de ce corpus, au prisme de la méthode « stratigraphique » qui intègre les données paléographiques, codicologiques et philologiques, nous permet d'établir un portrait aussi complet que possible de leur production et diffusion locales entre le Xe siècle et le XIe siècle. Ce travail révèle comment ces livre-manuscrits et ces connaissances séculières s'intégraient et étaient utilisées au sein de la société locale, dévoilant ainsi un pan souvent occulté par les sources historiques. En outre, la comparaison de ce corpus profane byzantin avec celui de l'ère normando-souabe illustre la pérennité de l'héritage byzantin local tout en soulignant l'apparition de nouveautés caractéristiques de la période normando-souabe
The transmission of secular knowledge, particularly that inherited from antiquity, was dynamic in Constantinople during the Macedonian era. However, this intellectual effervescence did not seem to have the same echo in provincial areas such as Hellenic-speaking southern Italy (with the exception of Terra d'Otranto). The small number of secular Greek manuscripts produced and circulated in this peripherical province in the 10th and 11th centuries prior to the Norman Conquest bears witness to this situation. Despite its limited quantity, the corpus of local secular Greek manuscripts presents a rich thematic diversity, including works of grammar, rhetoric, lexicography, scientific calculation, civil law, medicine, as well as ancient literature and philosophy. The in-depth examination of each manuscript in this corpus, through the prism of the “stratigraphic” method that integrates paleographical, codicological and philological data, enables us to establish as complete a picture as possible of their local production and circulation between the 10th century and the first half of the 11th century. This work reveals how these book manuscripts and secular knowledge were integrated and used within local society, revealing an aspect often obscured by historical sources. Furthermore, the comparison of this Byzantine secular corpus with that of the Norman-Swabian era illustrates the durability of the local Byzantine heritage, while highlighting the appearance of novelties characteristic of the Norman-Swabian period within local secular culture
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Books on the topic "Transmission du savoir grec profane"

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Transmission du Savoir Grec en Occident: Guillaume de Moerbeke, le Laur. Plut. 87. 25 et la Bibliothèque de Boniface VIII. Leuven University Press, 2019.

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