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Journal articles on the topic 'Traduction et création'

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1

Boisseau, Maryvonne. "(Im)possible coïncidence des textes : l’ordinaire de la création. « The Sea in Winter » (Derek Mahon) / « La Mer hivernale » (Jacques Chuto)." Partie 2 – Les dessous de la créativité 62, no. 3 (March 19, 2018): 552–64. http://dx.doi.org/10.7202/1043948ar.

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Abstract:
La traduction littéraire n’est pas simple communication ou simple transmission du sens. Elle est aussi écriture originale parce qu’elle procède d’une énonciation qui est unique comme celle dont a procédé le texte initial. C’est en se fondant sur cette hypothèse que cet article interroge l’adéquation entre les termes de traduction et création et la portée de la comparaison « latraductioncomme création ». L’article s’attache d’abord à la proximité sémantique des termes de création et créativité que l’on substitue souvent l’un à l’autre. Puis sont examinés les liens entre le processus de traduction en tant que cheminement créatif et le « produit », en tant que création. L’article avance l’idée que la traduction peut être appréciée comme une création si elle résulte d’un travail qui vise à la rencontre des textes et cherche une concordance esthétique et poétique entre les langues en puisant dans les profondeurs de la langue de traduction. À cette fin, sont comparés des extraits du poème « The Sea in Winter » de Derek Mahon et de sa traduction par Jacques Chuto, « La Mer hivernale », afin de mettre au jour les ressorts de l’ordinaire de la création.
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2

Dancette, Jeanne, Louise Audet, and Laurence Jay-Rayon. "Axes et critères de la créativité en traduction." Meta 52, no. 1 (March 12, 2007): 108–22. http://dx.doi.org/10.7202/014726ar.

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Abstract:
Résumé L’on voudrait que la traduction soit considérée comme une création ; or toutes les traductions ne sont pas créatives. Dans quelle mesure et en quoi y a-t-il création en traduction ? Les approches cognitives permettent de faire la lumière sur l’élaboration du sens et de la forme en traduction, et de préciser la notion de créativité. Des modèles sont issus des théories et des études empiriques sur la question. Nous chercherons à les discuter à la lumière des résultats de nos propres observations. Nous proposons un modèle de la créativité qui intègre la compréhension et la réécriture : une double hélice traversée par cinq axes (formel, sémantique, référentiel, narratif et traductologique) pour rendre compte des différents niveaux sur lesquels s’exerce la créativité. Le cas particulier de la traduction littéraire sera aussi discuté. Finalement, nous dégagerons quelques critères de la créativité.
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3

Roesler, Stéphanie. "Relectures et traductions du Hamlet de Shakespeare par Yves Bonnefoy : de la ré-énonciation à la création." TTR 27, no. 1 (July 27, 2016): 43–65. http://dx.doi.org/10.7202/1037118ar.

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Abstract:
Toute traduction littéraire commence par la lecture, étape première de l’interprétation qui est déjà éminemment subjective. La traduction ne saurait prétendre à l’objectivité pas plus qu’à la transparence du traducteur, et ce plus encore dans le cas de la traduction de la poésie, où sens et forme sont inséparables. La voix du traducteur, expression même de sa subjectivité, sera nécessairement audible dans la traduction, qui est ré-énonciation. C’est ce que nous démontrerons ici à travers les cinq traductions du Hamlet de Shakespeare par Yves Bonnefoy, qui illustre comment, passant de la ré-énonciation à la création, il a su faire résonner sa propre voix de poète traducteur. Des notions théoriques empruntées à Barbara Folkart nous aideront à mettre en lumière le fait que la traduction de la poésie ne peut être que subjective, création d’un poème nouveau dans une autre langue, et finalement activité d’écriture.
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Jaka, Aiora. "Pseudo-traductions et traducteurs fictifs dans l’oeuvre de l’écrivain basque Joseba Sarrionandia." Meta 59, no. 1 (September 5, 2014): 24–46. http://dx.doi.org/10.7202/1026469ar.

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Abstract:
Le présent article a pour objectif de souligner le potentiel créatif que les pseudo-traductions et les traducteurs fictifs peuvent apporter à l’oeuvre d’un écrivain, ainsi que leur possible contribution au développement d’une littérature, surtout quand il s’agit d’une littérature minoritaire ne jouissant pas d’une longue et abondante tradition. En présentant les exemples tirés de l’oeuvre de l’écrivain et traducteur basque Joseba Sarrionandia, qui cherche souvent à créer l’illusion qu’un de ses propres textes est la traduction d’une oeuvre étrangère ou qu’une de ses traductions a été trouvée ou traduite par un personnage fictif, nous tenterons de montrer comment ces pratiques littéraires transgressives, qui oscillent entre la traduction et la création littéraire, remettent en question certaines notions et définitions traditionnelles, telles l’originalité du texte de départ, l’appartenance exclusive d’un texte à un auteur, l’invisibilité du traducteur ou l’authenticité et la pureté des langues et des littératures.
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5

Charest, Nelson. "Traduction et art poétique, de Valéry à Bonnefoy." Tangence, no. 113 (June 5, 2017): 87–100. http://dx.doi.org/10.7202/1040009ar.

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Abstract:
Cet article tente de tracer un départage des poétiques du xxe siècle, entre ce que nous proposons d’appeler une ère poïétique et une ère herméneutique. Ces deux poétiques sont particulièrement visibles dans les oeuvres critiques de Paul Valéry, d’une part, et d’Yves Bonnefoy, d’autre part. Leurs traductions respectives, et tout particulièrement les réflexions qu’elles leur permettent d’établir sur leurs créations propres, semblent un lieu privilégié où ils élaborent des poétiques qui se veulent d’emblée comparatives et générales. Ainsi se comprennent mieux, à notre sens, leurs visions respectives de l’oeuvre mallarméenne et de sa philosophie du langage. Alors que Valéry considère la traduction et la création poétique comme un moyen d’accéder aux sources du travail poétique, maintenu constamment dans ses exigences, Bonnefoy les considère plutôt comme une tentative, toujours ouverte et a posteriori, de questionner le poème et de relancer sa précarité, son espérance.
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6

Zubillaga Gómez, Naroa. "La traducción del discurso oral de la literatura infantil y juvenil alemana: las partículas modales ja y eben/halt al euskera." Meta 60, no. 3 (April 5, 2016): 621–37. http://dx.doi.org/10.7202/1036146ar.

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Abstract:
Le but de cet article est de résumer les résultats de l’analyse de la traduction de certaines particules modales allemandes en basque. Les données proviennent de notre thèse sur la traduction de la littérature allemande pour enfants en langue basque, qui a été menée selon une méthodologie descriptive et avec un vaste corpus numérique de 33 oeuvres originales allemandes et leurs traductions. Étant donné que le corpus renferme à la fois des traductions directes et indirectes, cet article examine également les différents résultats obtenus en comparant les traductions directes et indirectes. Les particules modales allemandes sont très fréquentes, surtout dans le discours oral et dans le discours écrit informel. Ainsi, l’analyse de la traduction de ces particules dans une langue minoritaire comme le basque nous permet de plonger dans le problème de la traduction des éléments discursifs oraux dans une langue où la création de l’oralité fictive semble assez complexe. Une attention toute particulière est donnée à la mesure du niveau de standardisation et à l’observation des cas d’interférence.
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7

Gimenez, Sarah. "Défis et enjeux de la traduction littéraire : vers une anthologie judéo-espagnole dans le cadre du projet LJTrad." Tsafon 88 (2024): 67–82. https://doi.org/10.4000/12trh.

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Abstract:
Cet article examine les défis de la traduction littéraire dans le cadre du projet LJTrad, qui vise à préserver et diffuser les littératures en langues juives, telles que le yiddish et le judéo-espagnol. La création d'une anthologie judéo-espagnole fait face à des obstacles liés à la classification des genres littéraires et à la fidélité aux textes originaux. Il analyse les spécificités linguistiques et culturelles de cette littérature ainsi que les stratégies pour surmonter les difficultés de traduction. Enfin, il souligne l'importance de ces traductions pour la préservation du patrimoine et la recherche.
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8

Frincu, Ioana Simina. "Essai d’antologuer les préfaces des traductions roumaines du XIXe siècle." Belas Infiéis 9, no. 3 (April 23, 2020): 41–57. http://dx.doi.org/10.26512/belasinfieis.v9.n3.2020.30832.

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Abstract:
Insuffisamment exploités dans l’histoire et l’historiographie de la traduction roumaine, les discours préfaciers accompagnant les traductions roumaines du XIXe siècle montrent l’éclectisme des approches des traducteurs roumains dans une période de transition, trouble sur tous les plans. Nous avons tracé, grâce à un corpus de quelques dizaines de paratextes, des lignes directrices concernant la perception de l’activité traduisante de l’époque, grâce à ces témoignages de traducteurs, occasionnels ou consacrés, dont le mérite est d’avoir fait œuvre de pionniers et d’avoir fait découvrir au lectorat roumain les productions culturelles de l’étranger. Malgré les dérapages ou les abus traductifs, l’accent a porté sur les éléments prouvant que le texte traduit ne représente pas une traduction littérale, mais la création du traducteur, résultat d’un acte interprétatif élaboré, complexe (parfois digne de rivaliser en complexité avec l’original même). L’orientation clairement cibliste de la majorité des transpositions en roumain des textes étrangers, les interventions trop tranchantes par rapport au texte source où l’adaptation va de l’ethnocentrisme à une restructuration massive, à la fois sur le plan du signifié que sur celui du signifiant, nous légitiment de les classifier de dérivés de la traduction proprement dite. Cet article ne se propose pas de porter des appréciations, favorables ou dénigrantes, concernant les performances des traducteurs sur lesquels nous nous sommes arrêtés, mais de mettre en valeur l’existence en soi de ces mini-traités de traduction où les traducteurs verbalisent, sinon conceptualisent, les difficultés de traduire vers une langue qui n’était nullement formée, achevée et maturée. Cependant, le commentaire péremptoire du traducteur n’autorise pas la critique de sa création, soumise à des engagements nobles tels que l’éveil nationaliste, l’accomplissement de la langue, le développement et l’organisation de l’enseignement. Le penchant autoréflexif identifié dans le métadiscours du traducteur et le désir de justifier ses options traductives nous aident à retracer les origines de la critique des traductions en Roumanie. Ainsi, de par leur contenu théorique et idéologique, certaines préfaces-manifestes montrent que les traductions du XIXe siècle sont le résultat d’un travail acharné, d’une détermination forcenée et d’admirables ambitions d’ouvrir des voies, de tracer des routes aux autres qui suivront leur exemple pour en faire mieux.
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Kayra, Erol. "Le langage, la poésie et la traduction poétique ou une approche scientifique de la traduction poétique." Meta 43, no. 2 (October 2, 2002): 254–61. http://dx.doi.org/10.7202/003295ar.

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Abstract:
Résumé L'auteur discute de divers aspects de la traduction poétique. Plus qu'un simple recodage, la traduction poétique est un art en soi, une création originale, une activité pratique et de savoir lié à la perception et à la création.
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Godbout, Patricia. "Pseudonymes, traductionymes et pseudo-traductions." Dossier 30, no. 1 (January 21, 2005): 93–103. http://dx.doi.org/10.7202/009891ar.

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Abstract:
Résumé Dans ce texte, l’auteur examine trois stratégies traductionnelles qui jettent, chacune à sa manière, un éclairage révélateur sur le rapport entre l’auteur et son oeuvre. D’abord, un cas récent de pseudo-traduction des poèmes d’Andreas Karavis est présenté pour en dégager la signification et les implications. Sont ensuite examinées la pratique et la contribution d’un poète et traducteur de Saint-Denys Garneau, John Glassco, qui a recours à de nombreux pseudonymes dans son oeuvre de création et qui prône une poétique de la traduction non littérale et re-créatrice. Enfin, le choix de quelques écrivains-traducteurs québécois au début du vingtième siècle de recourir à des noms de plume pour signer leurs traductions fait l’objet d’une analyse contextuelle.
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Ladmiral, Jean-René. "Comment peut-on être sourcier ? Critique du littéralisme en traduction." Partie 1 – Réflexions théoriques 62, no. 3 (March 19, 2018): 538–51. http://dx.doi.org/10.7202/1043947ar.

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Abstract:
La prise en compte de la traduction littéraire comme création pose d’emblée l’immémoriale question du littéralisme, qui oppose sourciers et ciblistes. Quand on traduit une oeuvre littéraire, le théorème de dichotomie met en évidence le choix à opérer entre la spécificité ethnoculturelle (et linguistique) du texte original et l’esthétique littéraire qui est la sienne, et au sein de laquelle le rythme est un aspect parmi d’autres. Or il apparaît que l’accent mis trop souvent sur le décalage interculturel est plus ou moins surdéterminé par des impensés idéologiques. Mais la créativité littéraire de la traduction est un enjeu esthétique, et non pas idéologique. Cela dit, l’idée même de créativité est tendanciellement aporétique – et ce, alors qu’elle est concrètement à l’oeuvre dans les traductions de haut niveau.
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Nakaji, Yoshikazu. "L'œuvre poétique entre traduction et création." Littérature 125, no. 1 (2002): 66–72. http://dx.doi.org/10.3406/litt.2002.1746.

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Masson, Jean-Yves. "La traduction entre critique et création." Revue de littérature comparée 369, no. 1 (2019): 85. http://dx.doi.org/10.3917/rlc.369.0085.

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Ballard, Michel. "Créativité et traduction." Target. International Journal of Translation Studies 9, no. 1 (January 1, 1997): 85–110. http://dx.doi.org/10.1075/target.9.1.06bal.

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Abstract:
Résumé Il peut paraître étrange de parler de créativité en relation avec la traduction quand on sait à quel point on se plaît à souligner qu'il s'agit d'une activité seconde. Or la traduction requiert un très grand travail à l'intérieur de la langue d'arrivée qui fait du traducteur un authentique créateur. C'est ce travail de création de formes que l'on se propose d'explorer ici par une théorisation qui implique une structuration de l'équivalence dans le cadre de l'unité de traduc­tion.
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Christol, Alain. "Noms de peuples – calque, traduction, création." Lalies 39 (2019): 163–77. http://dx.doi.org/10.4000/12329.

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Abstract:
Parmi les noms propres, les ethnonymes se distinguent par la nature de leurs référents, qui sont des collectivités humaines et non des individus. Le présent article étudie la manière dont les ethnonymes sont choisis par les locuteurs et la place qu’ils prennent dans l’imaginaire, en fonction de leur référent mais aussi des interférences phonétiques et/ou sémantiques qui se créent avec des appellatifs.
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Ez-Zouaine, Younès. "Proust, traducteur de Ruskin. De la traduction de Ruskin à la création d’À la recherche du temps perdu." Partie 2 – Les dessous de la créativité 62, no. 3 (March 19, 2018): 585–98. http://dx.doi.org/10.7202/1043950ar.

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Abstract:
La rédaction de Contre Sainte-Beuve et d’À la recherche du temps perdu de Marcel Proust a été précédée par la traduction de The Bible of Amiens (1884) et de Sesame and Lilies (1865) de John Ruskin. L’examen de ces deux traductions montre que le traducteur s’en est inspiré pour échafauder le socle esthétique de son oeuvre à venir. En effet, la traduction des essais ruskiniens fait partie intégrante du processus d’apprentissage et de maturation qui devance et prépare la rédaction définitive de À la recherche du temps perdu. Cette traduction a consisté en une activité de transfert des contenus esthétiques de l’oeuvre de l’esthète anglais à la sienne propre. Nous essaierons dans cet article de montrer que le cadre esthétique d’À la recherche du temps perdu provient directement, avec quelques modifications que nécessite toute transformation créatrice, de sa confrontation avec les livres de Ruskin.
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Peeters, Kris. "Traduction, retraduction et dialogisme." Meta 61, no. 3 (March 23, 2017): 629–49. http://dx.doi.org/10.7202/1039222ar.

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Abstract:
Cet article cherche à explorer ce que le dialogisme bakhtinien pourrait signifier pour la poétique de la traduction littéraire. À partir de la théorie du discours de Bakhtine, il est argumenté que la traduction relève d’un processus de création dialogique qui est décrit comme l’incorporation, dans le « créé » de la forme du texte traduit, du « donné » d’un matériau à traduire qui relève de la fondamentale non-équivalence du discours d’autrui. Au binarisme différentiel des formes supposées « équivalentes » d’un « texte source » et d’un « texte cible » se substitue ainsi une poétique inclusive qui considère le texte « original » comme un texte non traduit et le texte traduit comme un original dont la forme nouvellement créée incorpore le matériau à traduire du discours d’autrui. Laretraduction, qui plus est, est une double prise de position dialogique, vis-à-vis d’un « donné » qui comprend le matériau à traduire, mais aussi les formes par lesquelles les premières traductions ont dialogiquement incorporé ce matériau. À partir d’analyses du dialogisme des retraductions anglaises deL’Étrangerde Camus (Kaplansky 2004) et deNanade Zola (Brownlie 2006) et de la retraduction française d’Ulyssesde Joyce (Hoepffner 2011), il est montré comment la retraduction redéfinit et intensifie les intersections dialogiques entre textes, langues et cultures. Bref, les retraductions étudiées ne sont guère, comme le voudrait laretranslation hypothesis, plus « sourcières », mais plus ouvertement dialogiques, c’est-à-dire à-la-fois-sourcières-et-ciblistes, que les premières traductions.
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Berri, Kenneth R. "Pont de suspension. La collaboration auteur-traducteur mise à nu." Meta 62, no. 3 (March 19, 2018): 599–613. http://dx.doi.org/10.7202/1043951ar.

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Abstract:
Lorsque l’auteur d’un roman et un traducteur travaillent ensemble, cela crée une situation unique, fondée sur la créativité et l’interprétation. Cet article expose les différents étais et états d’une telle entreprise littéraire, et examine la collaboration de l’auteur et du traducteur dans la production de trois versions successives de deux passages du roman De troublants détours (Sanconie 2004). Chaque version représente le matériau du pont créatif qui symbolise la distance entre les textes source et cible. L’auteur et le traducteur sont temporairement suspendus dans cet espace créatif où l’un et l’autre attendent leurs commentaires réciproques sur les étapes de la traduction. L’alliance de l’auteur et du traducteur crée un nouvel espace où les textes source et cible convergent et cohabitent en dépit de leur altérité. La nouvelle traduction, en tant que création, est le produit d’un recyclage des différentes versions ainsi que de négociations impliquant la narration et les stratégies de représentation et d’interprétation, dans des circonstances et selon des paramètres qui repoussent les frontières de la traduction classique.
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Khayal, Ma'hmoud. "Hebrew-Arabic Translations in the Modern Era: A General Survey." L'école de Tel-Aviv : pour une théorie de la traduction littéraire 43, no. 1 (October 2, 2002): 86–94. http://dx.doi.org/10.7202/003311ar.

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Abstract:
Résumé Cet article retrace le développement des activités de traduction d'hébreu en arabe à l'époque moderne. Il prend particulièrement en considération le changement de statut de la langue hébraïque et les réalités politiques complexes et mouvantes dans lesquelles vivent les locuteurs des deux langues. La création de l'État d'Israël, en 1948, constitue un tournant dans ce développement. L'article distingue donc les traductions réalisées dans le monde arabe avant 1948 et celles réalisées après. Il traite également à part des traductions réalisées en Israël. Une étude de chacun des trois groupes révèle des caractéristiques propres à chacun liées à des facteurs concernant l'activité traduisante, le style, le public-cible ou la manière dont les traductions sont reçues.
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Avtonomova, Natalia. "Traduction et création d'une langue conceptuelle russe." Revue philosophique de la France et de l'étranger 130, no. 4 (2005): 547. http://dx.doi.org/10.3917/rphi.054.0547.

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Qianyuan, Gui. "Das Wesen des Übersetzens ist kreativ." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 41, no. 3 (January 1, 1995): 129–39. http://dx.doi.org/10.1075/babel.41.3.02qia.

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Abstract:
Pour la plupart des gens mais aussi pour de nombreux traducteurs, la traduction ne serait, en tant qu'activité sociale indispensable, qu'un travail facile et mécanique, et n'aurait qu'une fonction de "pontage" dont le traducteur ne serait en définitive que l'instrument. Mais en réalité, la traduction est un acte essentiellement créateur au même titre que celui du peintre ou de l'écrivain. Les raisons en sont les suivantes: 1. Chaque langue ayant ses propres habitudes et ses propres caractéristiques, la traduction -c'est-à-dire le transfert d'un texte rédigé dans une langue-source vers une langue d'arrivée -ne saurait être ni simple ni mécanique. 2. Les exigences posées à la traduction ne relèvent en aucun cas ni d'un "nombre égal" ni d'un "ordre de grandeur égal" mais d'un "même poids" et d'un "même effet". Sans l'apport créatif du traducteur, aucune traduction ne saurait être conforme à ces attentes. 3. Que la traduction exige du traducteur une maîtrise des techniques et la possession de certaines aptitudes n'échappe à personne, mais d'après moi, cette technique et ces aptitudes sont tout simplement les moyens et les méthodes propres au processus créateur qu'est la traduction. 4. Le travail du peintre ou de l'écrivain qui reproduisent sur le papier ou sur une toile ce qu'ils ont vu et entendu, est pure créativité. Pourquoi le travail du traducteur qui reproduit dans une autre langue ce qu'il a lu dans une langue-source ne serait-il pas, lui non plus, création pure?
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Toussaint, Floriane. "Agnieszka Zgieb, passeuse de Krystian Lupa en France." Double jeu 21 (2024): 63–76. http://dx.doi.org/10.4000/12iw1.

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Abstract:
Depuis 1999, Agnieszka Zgieb travaille à faire connaître le travail de Krystian Lupa en France. Elle intervient d’abord en tant que traductrice, de ses spectacles et d’entretiens qui lui sont consacrés, avant de s’engager dans un travail plus approfondi relevant tantôt de la dramaturgie (traduction des répétitions avec des acteurs et actrices non polonais, participation aux processus de création des spectacles), tantôt de la création d’archives sur son travail (coordination de numéros de revues, direction d’ouvrages, traduction et publication des textes originaux de Lupa). Cet entretien revient sur la singularité de cette relation au long cours tissée d’amitié, qui n’a cessé de se renouveler et de s’approfondir avec les années, et qui a fait d’Agnieszka Zgieb une passeuse déterminante du travail du maître polonais en France.
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Wang, Mingxing. "La traduction comme création: Entretien avec Gao Xingjian." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, no. 1 (November 6, 2017): 118–20. http://dx.doi.org/10.29173/af29334.

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Abstract:
Récipiendaire du prix Nobel de littérature, Gao Xingjian est notamment l’auteur de La Montagne de l’âme et de plusieurs pièces de théâtre. Cela dit, on ignore souvent qu’il a également signé plusieurs traductions. Cet entretien réalisé avec Gao Xingjian le 10 septembre 2015 à l’occasion du 5e Congrès des études asiatiques et pacifiques qui s’est tenu à L’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO) à Paris, est l’occasion d’apporter un éclairage sur son travail de traducteur. L’entretien a été réalisé en chinois, puis traduit en anglais et en français.
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Stratford, Madeleine. "Traduire les dialogues de Marianne Apostolides." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 63, no. 6 (December 31, 2017): 767–85. http://dx.doi.org/10.1075/babel.00013.str.

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Abstract:
Résumé Voluptuous Pleasure: The Truth about the Writing Life de Marianne Apostolides se compose de neuf histoires « vraies », inspirées de la vie d’Apostolides et de sa famille : l’action se situe entre la réalité et la fiction. Ce livre, tout en racontant des histoires, remet en question l’acte d’écrire et le concept d’histoire lui-même. Le fil conducteur est le rapport au père de l’auteure et à sa terre natale, la Grèce. Sur le plan traductif, les dialogues occupent une place essentielle. C’est en effet grâce au naturel et à l’authenticité des paroles rapportées (inventées?) par Apostolides que l’on saisit la personnalité et la profondeur des personnages. Dans cet article, j’aborderai mon processus de traduction de ce livre pour les éditions La Peuplade en m’attardant à la nouvelle Two Dialogues: On Bravery. Puisant dans les cadres théoriques et méthodologiques de la recherche-création, je propose de retracer mon processus de recréation des dialogues en analysant plusieurs versions françaises produites au cours de l’été 2014. J’observerai l’évolution de mon postulat traductif en décrivant et en catégorisant les stratégies adoptées en cours de traduction, puis en les contrastant avec celles qui ont été privilégiées dans la version finale.
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Quillard, Geneviève. "La traduction des jeux de mots dans les annonces publicitaires1." TTR : traduction, terminologie, rédaction 14, no. 1 (September 3, 2003): 117–57. http://dx.doi.org/10.7202/000531ar.

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Abstract:
Résumé Cette étude est basée sur un corpus d’environ deux cents annonces publicitaires humoristiques publiées dans divers magazines. Elle vise à étudier les techniques de création et de (re)création utilisées dans les textes sources et dans les textes cibles pour créer des effets humoristiques. Effectuée du point de vue de la rhétorique et de la sémantique interprétative, cette analyse montrera non seulement que l’humour est traduisible, mais que les traductions sont souvent excellentes.
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Volken, Henri. "Langues et création mathématique." European Journal of Language Policy: Volume 13, Issue 1 13, no. 1 (April 1, 2021): 17–27. http://dx.doi.org/10.3828/ejlp.2021.3.

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Abstract:
Les mathématiques s’apparentent-elles à une langue idéale, tellement univoque et précise que le problème pratique de la traduction d’une langue à une autre ne pose guère de problèmes ? Ce n’est pas si simple si nous considérons toutes les phases de la création mathématique, et non seulement la dernière, qui consiste à formaliser les résultats et par conséquent à atténuer le plus possible l’importance des subtilités linguistiques inhérentes au langage vernaculaire. Nous suggérons le point de vue suivant. Dans les phases antérieures à la formalisation, dans ces moments-clés qui consistent à décrire la situation, à esquisser une voie de solution, à discuter la procédure, à argumenter de la méthode, le plurilinguisme peut offrir une vision stéréoscopique permettant de prendre du recul, d’être plus critiques et de sortir de certains chemins trop balisés dans une langue unique. Pour illustrer cela, nous nous limitons au domaine des mathématiques classiques, où, à l’aide de trois exemples historiques, nous retraçons l’émergence de concepts et d’idées inattendus, émergence favorisée par des approches linguistiques différenciées et par le recul ainsi obtenu.
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Lane-Mercier, Gillian. "La fiction anglo-québécoise en traduction française depuis 1990 : agents, agences et textes." Recherche 55, no. 3 (February 2, 2015): 531–58. http://dx.doi.org/10.7202/1028378ar.

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Abstract:
Cet article s’inscrit dans une recherche plus vaste visant à consolider les bases méthodologiques de la sociologie de la traduction, tout en aménageant des points d’articulation entre celle-ci et la traductologie. Son objectif consiste à présenter les diverses difficultés d’ordre démographique, culturel, linguistique, esthétique et identitaire rencontrées dans le cadre d’un projet pilote, ainsi que les solutions retenues et quelques résultats préliminaires. Ce projet pilote portait sur les enjeux soulevés par la création et l’exploitation statistique d’une base de données de toutes les oeuvres de fiction anglo-québécoises traduites en français entre 1990 et 2013. Nous partions de l’hypothèse que les critères d’établissement et les variables retenus véhiculent une image tant des conditions sociales de production et de mise en circulation des traductions dans le contexte québécois contemporain que des rapports entre les communautés littéraires anglophone et francophone.
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Odeh, Akram, and Sana’a Abu Fara. "La néologie dans le domaine touristique et sa traduction en arabe." Dirasat: Human and Social Sciences 51, no. 3 (May 30, 2024): 365–77. http://dx.doi.org/10.35516/hum.v51i3.4709.

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Abstract:
Objectif: cette contribution a pour objectif d’analyser les problèmes linguistiques et extralinguistiques de compréhension et de réexpression que pose la traduction en arabe d’un petit corpus de néologismes touristiques français. Selon nos recherches, ces derniers ne possèdent pas d’équivalences arabes. Tenter de combler cette lacune nécessite d’une part, une étude approfondie de ces néologismes, et d’autre part, de nombreuses recherches documentaires. Méthodologie: cette recherche se base sur les enseignements de l’Ecole Interprétative de Paris. Elle souligne les difficultés de saisie des termes sources, les barrages entravant leur transfert en langue cible. Elle traité également la synonymie dans la langue source et cible. Résultat: cette étude propos une soixantaine de nouveaux équivalents arabes touristiques pour des néologismes d'origine française. Elle réfute et exclut plusieurs néologismes touristiques utilisés en arabe notamment dans la presse. Des synonymes de certaines traductions arabes de termes touristiques modernes sont unifiés, en fonction des critères et des normes des Académies de Langue Arabe. Conclusion: cette recherche souligne l’importance et la nécessité d’intensifier les recherches en matière de traduction des néologismes étrangers étant donné le rôle joué par l’industrie touristique dans la création d’emplois et les PIB de plusieurs pays arabes.
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Mareuge, Agathe. "« D'un monde lointain, étrange, étranger… »: Arp traducteur et la langue maternelle du poète." Nottingham French Studies 56, no. 2 (July 2017): 177–87. http://dx.doi.org/10.3366/nfs.2017.0179.

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Abstract:
Ce texte cherche à préciser la nature du rapport du poète et artiste alsacien Jean Hans Arp (1886–1966) à ses langues et à la langue, et de montrer qu'il s'agit moins de l'expression d'une culture « nationale » qui serait tantôt allemande, tantôt française, que de la création d'une langue poétique singulière, née de l’écart « entre les langues » et entre les espaces culturels, littéraires et poétiques. Traduction et auto-traduction exemplifient les procédés propres à l’écriture poétique arpienne au niveau intralinguistique. Un premier exemple montre que la traduction est l'occasion pour Arp d'introduire un jeu avec l'héritage poétique symboliste français, avec l'importance attachée à musicalité et à la matérialité visuelle, spatiale des mots – à leur volume plastique. Deuxièmement, la traduction depuis une langue fictive, l'ibolithique, permet non plus un jeu sur le dépaysement, mais le réinvestissement du mythe littéraire de l'Arcadie pour faire rejaillir une langue archaïque, libérée des conventions humaines.
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Daigle, Madeleine. "La traduction et l’interprétatin dans les Territoires du Nord-Ouest." section II 38, no. 1 (September 30, 2002): 107–10. http://dx.doi.org/10.7202/002444ar.

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Abstract:
Résumé Depuis que le CTIC a vu le jour, en 1975, les interprètes et les traducteurs du Canada travaillant dans les deux langues officielles peuvent en devenir membres. Bien que l'interprétation et la traduction dans les langues autochtones aient été développées depuis de nombreuses années, le Bureau des langues du gouvernement des Territoires du Nord-Ouest fut seulement fondé dans les années soixante-dix. La dernière décennie a vu une nette amélioration des services d'interprétation et de traduction dans le nord du Canada, comme en témoigne la création de l'ITSNWT (Société d'interprétation et de traduction des Territoires du Nord-Ouest). La société met actuellement au point des examens officiels afin que les interprètes et traducteurs puissent être diplômés en langues autochtones.
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Nyongwa, Moses. "La traduction dans la formation des étudiants au Collège de Saint-Boniface : hier, aujourd’hui et demain." Articles 19, no. 2 (March 24, 2009): 191–205. http://dx.doi.org/10.7202/029558ar.

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Abstract:
Résumé Dès le début du Collège, la traduction fait partie des disciplines enseignées, même si elle n’est perçue que comme une stratégie d’apprentissage des autres langues dominantes dans le milieu intellectuel qu’étaient le latin et le grec. Elle restera ainsi pendant très longtemps discipline ancillaire. C’est avec la disparition du Cours classique que la traduction commencera à s’émanciper et prendra son envol avec la création de l’École de traduction en 1983. L’école offre donc un programme de baccalauréat spécialisé et un certificat en traduction. Quelques années plus tard, les cours du certificat sont entièrement offerts par Internet. Il est d’ailleurs le premier programme au monde offert entièrement par Internet. La clientèle de ce programme est à la fois locale, régionale et internationale. Cette ouverture sur le monde permet de regarder l’avenir de la traduction au Collège avec optimisme. Par ailleurs, la traduction a joué un rôle important dans la formation de l’identité franco-manitobaine. L’ouverture à l’autre (discipline ou personne) est le trait qui caractérise à la fois la discipline et la personne.
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Brisset, Annie. "La traductologie canadienne au fil des publications (1970-2017)1." TTR 30, no. 1-2 (May 31, 2019): 121–48. http://dx.doi.org/10.7202/1060021ar.

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Abstract:
Tributaire de l’histoire et de la politique du bilinguisme, la traduction devient au Canada une discipline universitaire de plein droit dans la décennie 1970. Au départ, la formation des traducteurs occupe le devant de la scène, matérialisée dans la production de manuels. La réflexion sur l’histoire, la théorie et la critique des traductions se développe au tournant des années 1990 parallèlement à la consolidation de la discipline sur la scène internationale. La traductologie canadienne évolue avec le renforcement des composantes théoriques au niveau de la maîtrise et l’ouverture de programmes de troisième cycle. La création de l’Association canadienne de traductologie et deTTR, sa revue, signe l’autonomisation de la discipline. L’analyse des livres publiés entre 1970 et 2017 permet d’identifier les grandes orientations de la recherche et leur évolution.
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Galli, Pauline. "De Poe à Mallarmé, de Mallarmé à Poe : traduction, édition, création." TTR 25, no. 2 (October 8, 2013): 143–65. http://dx.doi.org/10.7202/1018806ar.

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Abstract:
La traduction par Mallarmé des poèmes de Poe pose de manière singulière la question du lien entre l’activité de poète et celle de traducteur. S’inscrivant explicitement sur les traces de Baudelaire, cherchant à relever le défi lancé par ce dernier qui s’était limité à une traduction des nouvelles de Poe, n’osant pas en traduire les poèmes, Mallarmé place d’emblée son entreprise dans un rapport singulier à la notion d’auctorialité. En effet, sa référence n’est pas uniquement l’auteur traduit, mais également le traducteur précédent. Proposant une traduction qui, en dépit d’une grande fidélité, s’autorise des libertés étonnantes, il ne se contente pas de proposer sa version des poèmes de Poe, mais élabore une édition originale se fondant sur des initiatives déroutantes. Les frontières se troublent donc entre les rôles de poète, de traducteur, et d’éditeur, qu’endosse Mallarmé, mais cette confusion semble se résoudre dans la notion d’impersonnalité, idéal obsédant de la poétique mallarméenne.
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Joubert, Clara. "Pour une recherche-création en traductologie." Marges 39 (2024): 57–68. http://dx.doi.org/10.4000/12koe.

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Abstract:
Discipline jeune, la traductologie a connu de nombreuses évolutions discursives au cours des quarante dernières années, se détournant de la perception d’un traducteur invisible pour étudier les facteurs culturels, politiques, sociaux qui entourent la production d’une traduction. Cet enrichissement ne s’est pas accompagné d’un renouvellement des méthodes de recherche, et la recherche-création, qui s’inscrit dans la suite logique des mutations de la traductologie, pourrait encourager ce renouveau.
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Lahlou, Hassina. "La Terminologie Linguistique De L’anglais Vers L’arabe: Quels Procédés De Création, Quels Procédés De Transfert?" AL-Lisaniyyat 23, no. 2 (June 19, 2017): 73–84. http://dx.doi.org/10.61850/allj.v23i2.289.

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Abstract:
La linguistique moderne se caractérise par une terminologie très compliquée engendrée par la pluralité des écoles et approches lin- guistiques, d'une part, et la fonction réflexive des termes linguis- tiques d'autre part. Face à cette situation terminologique, l'arabe fait recours à l'emprunt, la traduction littérale ou à la traduction par équivalence. Cela dépend de la présence ou non du concept dans le champ linguistique arabe. Dans le cas de l'équivalence, la néologie, sous ses différentes formes: dérivation, composition, amalgame, présente une solution clé pour résoudre les problèmes de traduction. Cependant, le transfert de la terminologie linguis- tique de l'anglais vers l'arabe présente plusieurs difficultés métho- dologiques dues aux différences dans les constructions des termes entre les deux systèmes linguistiques. Cet article relève quelques aspects de cette problématique sur des exemples concrets offerts par une étude descriptive et analytique d'un dictionnaire de termi- nologie anglais-arabe.
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García Gavín, Santiago. "Lugares comunes de la traducción en la Edad Media y Moderna." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 63, no. 5 (December 31, 2017): 689–701. http://dx.doi.org/10.1075/babel.00004.gar.

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Abstract:
Résumé L’objectif de cet article est d'examiner le rôle littéraire de la traduction dans la mesure où elle se réfère à un changement dans le concept de littérature. Ce paradigme remonte à la légitimité des sources anciennes et s’étend jusqu’à l’exigence de l’originalité de la création littéraire, qui s’échelonne entre l'époque médiévale et les Temps modernes. Alors qu'à l’époque médiévale, la traduction était considérée comme un processus productif qui soutenait « l’auctoritas » et faisait partie de la vérité symbolique, pendant les Temps modernes, son rôle était de préserver la fiction d’authenticité demandée par un auteur. L’introduction de l’innovation culturelle et littéraire joue également un rôle ici, de même que la distanciation de la fable et la figure rhétorique paradoxale.
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Rydning, Antin Fougner. "De la théorie à la pratique de la traduction." Meta 43, no. 3 (October 2, 2002): 349–63. http://dx.doi.org/10.7202/004012ar.

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Abstract:
Résumé Cette étude a pour objectif la mise en application de la méthode interprétative de traduction à la traduction norvégienne d'un texte pragmatique français. Le cadre méthodologique dans lequel s'inscrit cette étude nous est fourni par L'analyse du discours comme méthode de traduction (Delisle 1980). La grande originalité de L'analyse résidant essentiellement au niveau du palier de l'exégèse lexicale, nous nous fonderons intégralement sur ce palier pour expliquer la création des équivalences contextuelles dans notre traduction. Les paliers de l'interprétation de la charge stylistique et de l'organicité textuelle étant traités de façon plus schématique, nous étofferons le modèle de Delisle en y insérant nos propres composantes ainsi que celles d'autres théoriciens du langage.
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Féral, Josette. "Que peut (ou veut) la théorie du théâtre? La théorie comme traduction." L’Annuaire théâtral, no. 29 (May 4, 2010): 28–50. http://dx.doi.org/10.7202/041454ar.

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Abstract:
Résumé Il faut s’en remettre à l’évidence, le domaine de la théorie du théâtre souffre de plusieurs maux. Le premier tient à la nature même de la théorie qui a connu au cours des années 1990 un recul certain, résultat sans doute du ressac qui a accompagné la fin des discours dominants au centre de la réflexion des années 1960 et 1970. Le second tient au soupçon généralisé et toujours actuel qui affecte toute approche théorique dès lors que celle-ci prend pour champ d’application la création artistique. Cette rupture radicale peut-elle s’expliquer et, plus encore, peut-elle se dépasser? Ce texte tente un tel rapprochement en posant comme hypothèse que la réflexion théorique et la création artistique portent en leur coeur un même principe de fonctionnement : ils traduisent le monde. Vaste principe à partir duquel Antoine Vitez voit le travail du metteur en scène et que cet article applique aussi par analogie au domaine de la théorie.
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Mayoral Asensio, Roberto. "Los estudios de traducción, la profesión de traductor y el mundo profesional en España." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 38, no. 3 (January 1, 1992): 186–92. http://dx.doi.org/10.1075/babel.38.3.18may.

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Abstract:
Les études universitaires de Traduction et d'Interprétation ont subi une grande transformation en Espagne. Elles viennent de recevoir la plus grande reconnaissance académique et scientifique pour être transformées en un titre supérieur et pour avoir approuvé le nouveau domaine de "Linguistique appliquée à la Traduction et à l'Interprétation", qui permet la création des Départements universitaires propres. Celui-ci exige de renforcer la dimension académique de nos études et de maintenir comme objectif la formation de professionnels. La formation que reçoit le diplômé universitaire en Traduction et en Interprétation n'est pas celle que la pratique professionnelle exige, on la doit dans une certaine mesure à la structure propre et à la nature de l'université. Il est nécessaire aussi de distinguer la pratique de la traduction comme apprentissage de la pratique de la traduction professionnelle. La dimension économique de la traduction est le grand élément de la formation de nos titulaires. La pratique professionnelle doit être le point principal de référence de nos centres et la source principale d'information sur la qualité et les déficiences de notre travail. En Espagne seulement une infime partie du travail de traduction est réalisée par des professionnels. Mais on prévoit l'ouverture dans un futur immédiat de grands champs d'activité pour les professionnels. Le monde professionnel en tous cas se ressemble un peu à ce qu'on disait il y a quelques décennies et tous ceux qui travaillent autour de la traduction et de l'interprétation (professionnels, enseignants, entreprises, associations professionnelles, théoriciens ...) doivent faire un effort pour incorporer dans leurs schémas la nouvelle réalité. Même les principes traditionnels comme la collégialité professionnelle se voient débordés par une nouvelle sensibilité plus favorable à laisser au marché libre la garantie de la qualité.
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Mossetto, Anna Paola. "Bouche rouge : livre d’art et d’amour." Dossier 17, no. 3 (August 30, 2006): 446–57. http://dx.doi.org/10.7202/200978ar.

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Abstract:
Résumé L'analyse des rapports se nouant entre íes treize poèmes de Paul-Marie Lapointe et les treize lithographies de Gisèle Verreault dans Bouche rouge est conduite à partir du postulat, posé par Youri Lotman et Boris Gasparov, d'une relation d'isomorphisme entre l'organisation rhétorique du verbal et celle de l'artistique. On peut ainsi concevoir l'établissement d'un système bipolaire, entre les poèmes et les images, qui permettrait d'éviter une traduction simplement linéaire entre les deux termes et qui instituerait une 'traduction rhétorique", les objets sémiotiques en question sont pris en deux types de juxtaposition: un rapport métonymique où le thème (le texte écrit) recevrait du rhème (les dessins) une orientation plus précise (ici, la formalisation de la femme génératrice); et un rapport métaphorique où le thème engendrerait une nouvelle signiftance grâce au rhème (ici, la création artistique de la femme du poète).
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Stillman, Robert E. "Radical Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 37, no. 3 (January 1, 1991): 168–76. http://dx.doi.org/10.1075/babel.37.3.05sti.

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Abstract:
La recherche d'une langue universelle en Angleterre au 17e siècle s'étend des propositions préliminaires de Francis Bacon, philosophe de la "nouvelle science", jusqu'à la création d'une langue philosophique par l'évêque John Wilkins, fondateur principal de la Royal Society. Les languages universelles, je le maintiens, sont, en premier lieu, des exemples de la "traduction radicale"; elles constituent l'effort d'accomplir par des moyens nouveaux le rêve inachevé des humanistes de retrouver une harmonie entre les mots et les choses. Les langues universelles ne sont pas des traductions d'une langue à une autre; elles traduisent plutôt ce que l'on pourrait décrire comme ou bien le livre de la nature ou bien le discours de l'esprit en un système de signifiants dont la logique fonctionne comme miroir de la logique du monde. Illustrées le mieux dans l'oeuvre de Bacon et de Hobbes, les conséquences politiques de la traduction radicale sont des plus profondes. L'histoire du mouvement de la langue universelle se reflète dans l'histoire des rois Stuart, ceux qui ont travaillé le plus pour l'établissement d'un ordre politique absolu. Le nouvel état autoritaire a trouvé un appui dans cette nouvelle langue elle-même autoritaire.
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Szeflińska-Baran, Magdalena. "Fonctionnement interlingual des mèmes humoristiques : entre création, interprétation et traduction." Studia Romanica Posnaniensia 48, no. 4 (December 22, 2021): 21–34. http://dx.doi.org/10.14746/strop.2021.484.002.

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Abstract:
The article focuses on the multisemiotic functioning of Internet memes in communication through the web, focused, among other things, on a humorous effect. The role of the image, first of all, in the creation of the Internet meme and also in its re-application in a multicultural and interlingual environment seems fundamental. This iconic element is part of the large and varied number of relationships with other types of signs (linguistic, cultural, discursive). It seems that the question of the typological diversity of image-text relations (in the very broad sense of it) can be addressed from a variety of perspectives that involve not only a philosophy of translation, but also an approach to humorous communication on the Internet. The article aims to analyse the nature of the relationship that unites an iconic element with a linguistic element that constitutes the essence of the message conveyed by internet memes.
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Bariki, Ozidi. "La Traduction Universitaire au Nigéria." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 50, no. 2 (December 31, 2004): 132–42. http://dx.doi.org/10.1075/babel.50.2.04bar.

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Abstract:
Abstract For the teacher of translation in a Nigerian University French Class, the primary objective is to teach the French Language. Thus there is need to clearly defi ne the objectives of translating vis-a-vis French. Our research reveals fuzziness in terms of objectives and "unevenness’’ in text typologies translated in class. Examination questions and evaluation of translated texts also portrayed arbitrariness. As for the teaching of translation, it can be encapsulated by the Jakobsonian approach of interlingual, intersemiotic and intralingual translation. Résumé Dans cet article, nous proposons que l’enseignement de la traduction dans le cours de francais doit s’intégrer au grand objectif du français, celui de la création des hommes cultives, ayant un horizon élargi de la vie à travers la maitrise du français. Ce grand objectif doit se traduire également d’une manière pratique dans l’objectif du cours de traduction. En classe, on traduit des textes tout en tenant compte des éléments linguistiques. Tout ceci implique un programme bien défini, élaboré et suivi fidèlement. La traduction en classe ne doit pas se limiter aux textes littéraires. Il faut élargir le champ de textes à traduire pour inclure des textes fonctionnels et technico-scientifiques entre autres. Quant à l’enseignement, nous préconisons une approche éclectique basée sur les trois sortes de traduction formulées par Jakobson: la traduction interlinguale, la traduction intralinguale et la traduction intersémiotique.
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Bataillon, Michel. "Faust I & II. Chronique d’un sur-titrage." Meta 62, no. 3 (March 19, 2018): 624–33. http://dx.doi.org/10.7202/1043953ar.

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Abstract:
Illustrant les différentes étapes du sur-titrage des deux pièces de Goethe, Faust I & II, depuis sa création jusqu’au spectacle créé par Robert Wilson en 2015, cet article offre un bref panorama de l’histoire du sur-titrage, développée dans la récente publication du Guide du sur-titrage au théâtre, publié par l’auteur, Laurent Muhleisen et Pierre-Yves Diez sur le site de la Maison Antoine Vitez. Le jeu scénique impose de conduire un sur-titrage à l’oreille et à l’oeil, une tâche facilitée par un premier logiciel, Torticoli, permettant l’envoi des titres, et remplacé récemment par un deuxième logiciel, Opus, permettant une édition juxtalinéaire des titres. Le traducteur procède au découpage du texte joué, établissant une hiérarchie dans les informations pour aboutir à des titres cohérents et immédiatement lisibles. Le rédacteur des titres ne peut donc se servir d’une traduction existante. L’exemple de l’oeuvre de Goethe permet de comprendre comment le rédacteur des sur-titres ne peut s’en tenir à la lettre du texte mais doit sur-titrer à la fois les mots, les situations et les images, montrant ainsi en quoi ce type de traduction diffère de la traduction pour la scène et l’acteur, qui elle-même diffère de la traduction littéraire.
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Bury, Emmanuel. "Trois traducteurs français aux XVIe et XVIIe siècles: Amyot, Baudoin, d'Ablancourt." Revue d'histoire littéraire de la France o 97, no. 3 (March 1, 1997): 361–71. http://dx.doi.org/10.3917/rhlf.g1997.97n3.0361.

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Abstract:
Résumé Il s'agit ici d'illustrer l'âge d'or de la traduction littéraire en étudiant trois cas exemplaires : Amyot, traducteur de Plutarque, qui inaugure et légitime le genre à l'époque de Charles IX, Baudoin, qui l'adapte aux attentes du public des années 1620-1640, enfin d'Ablancourt, qui témoigne à la fois de l'apogée et du déclin du genre. C'est d'abord en tant que pionniers et promoteurs de la langue française qu'il convient de considérer ces trois auteurs ; on évalue aussi leur rôle dans la promotion des grands genres en prose (le roman, l'histoire). Les enjeux de la traduction sont alors proprement rhétoriques : l'auteur de « Belles Infidèles » vise à convaincre et à persuader un public actuel, avec un texte venu du passé ou d'une autre culture, qu'il faut actualiser selon un horizon d'attente moderne et français. L'effet est donc premier dans cet effort d'adaptation, et le traducteur le recherche comme il le ferait pour une oeuvre originale : c'est à ce titre que la traduction de l'âge classique ressortit bien à la plus authentique création, et que ses chefs-d'oeuvre appartiennent de plein droit à notre « patrimoine littéraire ».
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Raschi, Nataša. "Sur la traduction du théâtre francophone africain : l’exemple de Werewere Liking." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 1, no. 3 (January 7, 2011): 79–86. http://dx.doi.org/10.29173/af9695.

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Abstract:
Nous concentrons ici notre attention sur la toute dernière production de Werewere Liking – Le Parler-Chanter et Médée – que nous avons traduite en italien. Auteur de pièces de théâtre, d’essais et de romans, mais aussi metteur en scène, peintre et écrivain, elle est originaire du Cameroun et, en 1985, a fondé à Abidjan (Côte d’Ivoire) un groupe de création artistique panafricain : la communauté du Village Ki-Yi. S’agissant d’œuvres créées en vue de la représentation scénique, plus aptes à être vues que lues, nous analysons les traits essentiels de ces textes, les multiples options offertes par la traduction et surtout les résultats obtenus.
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SLIMANI, Asma. "Ecrire entre les langues à l’aune de l’identité culturelle : la traduction interroge la création plurielle dibienne." ALTRALANG Journal 5, no. 01 (June 10, 2023): 176–86. http://dx.doi.org/10.52919/altralang.v5i01.269.

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Abstract:
Writing between Languages in the Light of Cultural Identity: Translation Examines the Dibian Collective Creation ABSTRACT: This paper investigates and examines the collective writing strategy of the Franco-Algerian writer, Mohammed Dib, in one of his distinctive novels that was written in French, Neiges de Marbre (2003). Dib’s novel is set on the edge of different languages and cultures, in other terms, at the heart of heterolinguism which paves the way to question the future pattern of the latter in Arabic literary translation. This research will therefore rely on literary theories that were introduced and refined by academics such as Rainier Grutman (1992, 2012), and Laté Lawson- Hellu (2003, 2004) so as to discuss how translation tendencies adopted by Mohammed Sari (2011) oscillate between avantgardist translation and homogenizing translation. RÉSUMÉ : Le présent article se propose d’examiner la création plurielle dans l’œuvre romanesque d’expression française de l’écrivain algérien, Mohammed Dib qui s’intitule : Neiges de Marbre (2003). Ce roman se situe à la lisière de différentes langues-cultures, autrement dit, au cœur de l’Hétérolinguisme, ce qui nous amène à nous interroger sur le devenir de ce dernier en traduction littéraire. Nous nous attachons à élucider cette problématique à la lumière des recherches de Rainier Grutman (1992, 2012) et de Laté Lawson-Hellu (2003, 2004) pour arriver à dire que les tendances de traduction adoptées par Mohammed Sari (2011) dans la version arabe de ce roman oscillent entre traduction avant-gardiste et traduction homogénéisante.
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Lemieux, René. "La souveraineté peut-elle se transférer? Les enseignements de la traduction du traité de Waitangi (1840)." TTR 29, no. 2 (August 27, 2018): 73–98. http://dx.doi.org/10.7202/1051014ar.

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Abstract:
L’objectif de cet article est d’interroger le concept de souveraineté hérité de la modernité européenne à partir de sa « traduction » en maori dans le traité de Waitangi conclu en 1840 entre les chefs maoris d’Aotearoa (Nouvelle-Zélande) et l’Empire britannique. Le concept de souveraineté est difficilement traduisible en maori puisqu’il ne possède pas d’équivalent direct. Le terme kawanatanga choisi par le missionnaire-traducteur Henry Williams n’est qu’une translittération du mot anglais governor auquel le suffixe -tanga a été ajouté; ce terme rend mal l’idée du pouvoir absolu du souverain. Est-ce une « mauvaise » traduction pour autant? Henry Williams était-il incompétent? A-t-il plutôt voulu sciemment tromper les Maoris, comme le laissent entendre certains chercheurs? Le concept était-il lui-même intraduisible? Lorsqu’on analyse la traduction du terme souveraineté, on découvre qu’il n’y a pas d’équivalence formelle préétablie avant sa réalisation et que la souveraineté ne se transfère pas, mais se performe. Le contenu du concept est ainsi isomorphe à sa production : la souveraineté est une performance, et la traduction comme opération de création de termes participe à son actualisation. En utilisant un terme étranger mais profane pour rendre le concept, Henry Williams, sans peut-être le vouloir ou en être conscient, refuse la souveraineté dans son abstraction et, ce faisant, résiste aux tentatives de sceller l’interprétation du texte dans une unicité souveraine. Vue sous ce nouvel angle, la traduction de Williams participerait d’une « pensée sauvage » au sens de l’anthropologue Pierre Clastres, instituant une relativité toujours vulnérable, mais essentielle dans la perspective d’une traduction postcoloniale.
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Bonanni, Sara, and Simona Pollicino. "Remontée ou héritage ? Mémoire(s) de soi chez Yves Bonnefoy poète et traducteur." Quêtes littéraires, no. 12 (December 30, 2022): 185–95. http://dx.doi.org/10.31743/ql.14877.

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Abstract:
Compte tenu de l’acception polysémique du mot, cette étude explore les différentes déclinaisons de la « mémoire » dans la pratique de la poésie et de la traduction d’Yves Bonnefoy. Avec ses dernières œuvres, le poète lègue à son lecteur ses « mémoires » d’enfance, en lui confiant la mission dont il investit la poésie : célébrer, contre l’oubli, la « mémoire » de l’expérience partagée avec autrui. En outre, la mémoire constitue en même temps la source et le processus de la création poétique, comme le démontre aussi sa pratique de la traduction. Si la « tâche » du traducteur selon Bonnefoy coïncide avec une recherche, l’exploration des profondeurs de la mer qu’est chaque langue dans le but de faire resurgir de l’étendue sombre et silencieuse de la nuit la lumière d’une parole réparatrice, en traduisant les vers d’autres poètes, Bonnefoy revit l’expérience de la poésie à travers un nouvel acte poïétique, en remémorant chaque fois l’intuition et l’émotion.
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Muris-Prime, Camille. "‘ Trouver une langue ’: Rimbaud et l’éthique de la traduction." Nottingham French Studies 56, no. 2 (July 2017): 201–11. http://dx.doi.org/10.3366/nfs.2017.0181.

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Abstract:
Dans les lettres dites « du voyant », Rimbaud se donne comme tâche de « trouver une langue » engageant une réflexion sur ce qu'est la langue de création qui s'accompagne dans sa poésie d'une interrogation sur la qualité du matériau poétique qu'est le langage et sur sa forme: celle de la prose. Trouver une langue pour faire de la poésie c'est trouver la forme d'une parole polyphonique et presque polyglotte. Le « je est un autre » de Rimbaud résonne avec la formule de Derrida « Je n'ai qu'une langue mais ce n'est pas la mienne » pour la transformer en: « Je n'est qu'une langue, mais ce n'est pas moi. » La poésie rimbaldienne se définit comme un projet où le je est à la fois multiple et potentiel pour devenir ce « lieu mixte » dont parle Kristin Ross et mettre au point ce que nous appellerons une éthique de la traduction.
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