Journal articles on the topic 'Traditions céramiques'

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Plaen, Estelle De. "Dynamique des traditions céramiques dans la région de Mirria (Niger)." Afrique : Archeologie et Arts, no. 4 (December 15, 2006): 140–42. http://dx.doi.org/10.4000/aaa.1484.

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Maigrot, Yolaine, and Julien Vieugué. "Outils de potier néolithiques : traditions techniques et organisation des productions céramiques." Bulletin de la Société préhistorique française 107, no. 4 (2010): 641–42. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.2010.13970.

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3

Saulieu, Geoffroy de, Richard Oslisly, Pascal Nlend, and François Ngouoh. "Deux mille cinq cents ans de traditions céramiques à Dibamba Yassa (Cameroun)." Afrique : Archeologie et Arts, no. 13 (November 15, 2017): 23–40. http://dx.doi.org/10.4000/aaa.979.

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4

LaViolette, Adria. "Review of M. Sall. Traditions céramiques, identités et peuplement en Sénégambie: Ethnographie comparée et essai de reconstitution historique." Journal of African Archaeology 5, no. 1 (June 2007): 149–50. http://dx.doi.org/10.3213/1612-1651-10089.

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Dupuy, Christian. "Mayor Anne, 2011, Traditions céramiques dans la boucle du Niger. Ethnoarchéologie et histoire du peuplement au temps des empires précoloniaux." Journal des Africanistes, no. 83-1 (February 1, 2013): 331–33. http://dx.doi.org/10.4000/africanistes.3658.

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6

Gehres, Benjamin, and Anthony Lefort. "Échanges transmanche de traditions techniques dans la préparation des céramiques : le site portuaire gaulois de la Batterie-Basse à Urville-Nacqueville (Manche)." ArchéoSciences, no. 42 (June 27, 2018): 57–74. http://dx.doi.org/10.4000/archeosciences.5274.

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7

Dueppen, Stephen. "Review of Traditions céramiques dans la boucle du Niger: ethnoarchéologie et histoire du peuplement au temps des empires précoloniaux by Anne Mayor." Azania: Archaeological Research in Africa 47, no. 3 (September 2012): 396–98. http://dx.doi.org/10.1080/0067270x.2012.712311.

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Ard, Vincent. "Traditions techniques et savoir-faire céramiques au Néolithique récent dans le Centre-Ouest de la France : le cas des sites d’habitat attribués au Vienne-Charente." Bulletin de la Société préhistorique française 105, no. 2 (2008): 345–69. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.2008.13804.

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François, Véronique. "Céramiques ottomanes de tradition byzantine d'Iznik." Anatolia Antiqua 4, no. 1 (1996): 231–45. http://dx.doi.org/10.3406/anata.1996.1200.

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Frank, Barbara E. "Traditions céramiques dans la boucle du Niger. Ethnoarchéologie et histoire du peuplement au temps des empires précoloniaux. By A. Mayor. Journal of African Archaeology Monograph Series 7. Africa Magna Verlag, Frankfurt am Main, 2011, 356 pp. ISBN 978-3-937248-25-7. € 35.90 (Hardcover)." Journal of African Archaeology 10, no. 2 (October 25, 2012): 232–34. http://dx.doi.org/10.3213/2191-5784-10217.

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Gerritsen, Anne. "Fragments of a Global Past: Ceramics Manufacture in Song-Yuan-Ming Jingdezhen." Journal of the Economic and Social History of the Orient 52, no. 1 (2009): 117–52. http://dx.doi.org/10.1163/156852009x405366.

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Abstract:
AbstractThis essay explores textual genres related to the production of ceramics in Jingdezhen, including maps, literati collections, the literature of connoisseurship, local gazetteers, and merchant manuals. An analysis of these genres brings the Chinese textual record of ceramics into sharper focus and reveals what has remained unwritten. Whereas European writings on Chinese ceramics from the seventeenth and eighteenth centuries dwell on modes of manufacture in a global context, Chinese writers generally ignore matters of technology and commerce beyond the confines of the Chinese realm. These omissions emerge in part from the peculiarities of the genres within which these writings have been transmitted. Cet essai examine les différents genres de textes qui ont trait à la production de la céramique dans Jingdezhen. Parmi ces textes, il se trouve des cartes géographiques, des collections d'écrits de 'literati', des monographies locales et des manuels de commerce. L'analyse de ces genres permet d'approfondir notre compréhension de la tradition écrite au sujet de la céramique, tout en révélant en même temps, ce qui reste implicite en ces textes. Les auteurs chinois ne s'attardent pas aux questions de technologie, ni au commerce au-delà des confins de l'Empire chinois. Le présent essai suggère que ces omissions s'expliquent par les conventions des genres auxquels ces écrits appartiennent.
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Lucci, Carlamaria. "Une peinture sur vase grec à l’Antikenmuseum de Bâle (BS 477) : une esquisse d’exploitation didactique." Babylonia Journal of Language Education 3 (September 9, 2023): 30–37. http://dx.doi.org/10.55393/babylonia.v3i.276.

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Abstract:
Les peintures sur vases représentent des ressources précieuses pour l’enseignement/apprentissage de la langue et de la culture grecques anciennes dans la mesure où elles offrent un aperçu de la vie quotidienne et/ou de l’imaginaire héroïque des Grecs. L’opportunité de familiariser des élèves avec ces ressources est aujourd’hui redoublée du fait qu’à l’option de visites réelles des musées qui les abritent s’ajoute l’option de contacts virtuels et ciblés par le recours au numérique. Dans ma contribution, je proposerai une esquisse de séquence didactique axée sur le contact réel et virtuel avec une peinture sur vase qui est actuellement conservée à l’Antikenmuseum de Bâle (BS 477 ; n°. Beazley Archive 203796). La particularité de cette céramique peinte, fabriquée dans un atelier athénien au début du Ve s. av. J.-C., est de réunir sur ses deux faces principales plusieurs personnages (identifiables par des inscriptions) présents aussi dans l’Iliade, le poème héroïque des Grecs par excellence, issu d’une tradition vraisemblablement antérieure à sa composition autour des VIIIe-VIe s. av. J.-C. La séquence d’enseignement, proposée d’une manière à être adaptée à des prérequis variables selon le niveau scolaire (secondaire I ou secondaire II), portera plus précisément sur une comparaison entre certains extraits de l’Iliade et les images qui se trouvent sur les deux faces principales du vase, avec l’objectif de sensibiliser les élèves à la variation et à la flexibilité de la tradition héroïque grecque entre voie orale/aurale et voie iconographique.
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Wisniewski, Béatrice. "Une approche de la tradition céramique vietnamienne du premier millénaire apr. J.-C. L’appropriation de techniques issues du monde chinois." Aséanie 26, no. 1 (2010): 159–80. http://dx.doi.org/10.3406/asean.2010.2154.

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Sarr, Bilal. "« Quand on parlait le berbère à la cour de Grenade » : quelques réflexions sur la berbérité de la taifa ziride (al-Andalus, xie siècle)." Arabica 63, no. 3-4 (May 26, 2016): 235–60. http://dx.doi.org/10.1163/15700585-12341000.

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Abstract:
Using data provided by the written sources and the archaeology, this article aims at analysing the Zirid Taifa of Granada, studying its different elements (administration, organisation of the state, the succession to power and material culture) in order to discover its authentic Berber aspects. The Zirides, recently arrived in al-Andalus, offer us a unique opportunity to draw comparisons between the process of Islamisation in the Maghreb and in al-Andalus. The decisive power of the tribal ǧamāʿa, the important role of women, the persistence of a Berber onomastics and the use of Berber language are features of a group that maintains a North African identity. Other areas, such as the evolution of the city, the pottery and the administrative structure of the state are clearly borrowed from the Arab-Andalusian tradition. À partir des données fournies par les sources écrites et l’archéologie, cet article se propose d’analyser la taifa ziride de Grenade, en étudiant ses différents éléments (l’organisation de l’État, la désignation des émirs et la culture matérielle) afin de révéler leurs aspects authentiquement berbères. Les Zirides, récemment arrivés en al-Andalus, nous offrent une occasion unique d’établir des parallèles entre le processus d’arabo-islamisation au Maghreb et celui d’al-Andalus. Le pouvoir de décision important de la ǧamāʿa tribale, le rôle de la femme, la persistance d’une onomastique berbère et l’utilisation de la langue berbère sont caractéristiques d’un groupe qui conserve une identité nord-africaine. D’autres domaines comme l’évolution de la ville, le mobilier céramique et la structure administrative de l’État ont en revanche nettement emprunté à la tradition arabo-andalouse. This article is in French
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Visseyrias, A. "Les formes de la tradition : techniques et savoir-faire céramiques à la fin de l’Âge du Bronze, entre Rhin et Rhône, thèse de doctorat de l’université de Franche-Comté,." Bulletin de la Société préhistorique française 104, no. 3 (2007): 604–9. http://dx.doi.org/10.3406/bspf.2007.13598.

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Tremblay, Roland. "Christian Gates St-Pierre, Potières du Buisson. La céramique de tradition Melocheville sur le site Hector-Trudel, Collection Mercure, Musée canadien des civilisations, Gatineau, 2006, 319 pages." Recherches amérindiennes au Québec 36, no. 2-3 (2006): 149. http://dx.doi.org/10.7202/1081873ar.

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Delvoye, Adrien. "Les traditions céramiques du mégalithisme du Sénégal et de Gambie : une nouvelle périodisation pour l’Afrique de l’Ouest aux Ier et IIe millénaires de notre ère." Journal of African Archaeology, October 17, 2022, 1–29. http://dx.doi.org/10.1163/21915784-bja10020.

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Abstract:
Résumé Cet article présente les fondements, la construction et les résultats d’un nouveau modèle de périodisation des productions céramiques provenant des sites mégalithiques du Sénégal et de Gambie (8e-16e siècles). Pour la première fois dans cette région, cette périodisation est basée sur des contextes stratigraphiques soigneusement renseignés, obtenus sur la nécropole de Wanar (Sénégal). Le croisement des approches typologiques et technologiques révèle différentes productions, reflets de traditions céramiques et de groupes artisanaux distincts. À Wanar, la succession de ces productions aux caractères morpho-fonctionnels spécifiques a pu être corrélée avec l’émergence de styles architecturaux particuliers. Cette périodisation offre également une lecture renouvelée des corpus céramiques issus de fouilles anciennes. Elle interroge par ailleurs le statut des productions céramiques et des sites, en distinguant les vestiges antérieurs à l’érection des architectures monumentales de ceux participant pleinement à leur fonctionnement rituel. Cette recherche permet finalement d’entamer une réflexion sur la place des traditions céramiques sénégambiennes au sein de l’Afrique de l’Ouest médiévale. This article aims to detail the construction and results of a new periodization of ceramic productions from megalithic sites in Senegal and The Gambia (8th-16th centuries CE). For the first time there, this model is based on carefully documented stratigraphic contexts obtained on the necropolis of Wanar (Senegal). The intersection of typological and technological approaches reveals different productions, reflections of ceramic traditions, and distinct craft groups. In Wanar, the succession of these productions with specific morpho-functional characters could be correlated with the emergence of particular architectural styles. This periodization also integrates materials from previous excavations and thus offers a renewed reading of it. The distinction between ceramic vestiges anterior to the erection of monumental architectures and others fully participating in their ritual functioning leads to question both the status of ceramic productions and sites. This research finally contributes to integrating Senegambian pottery production into the broader context of medieval West Africa.
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Motta, Lucie. "Le sanctuaire de Vacuna à Montenero Sabino (localité de Léone, Rieti) à l’aube de la conquête romaine." Frontière·s, Supplément 1 (May 20, 2022). http://dx.doi.org/10.35562/frontieres.1078.

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Abstract:
Les opérations archéologiques conduites depuis 2019 sur le sanctuaire de Vacuna à Montenero Sabino (localité de Léone) par une équipe de l’université Lumière Lyon 2 dirigée par le professeur A. Borlenghi ont révélé une occupation discontinue entre le début du iiie siècle av. J.‑C. et l’époque médiévale : un sanctuaire entre le début du iiie siècle av. J.‑C. et le ier siècle apr. J.‑C., une fréquentation de nature et durée inconnues à partir du ive siècle apr. J.‑C., et une zone funéraire médiévale. Parmi les différentes structures mises au jour, une fosse datée autour de la fin du iiie siècle av. J.‑C. a notamment retenu notre attention au regard de son mobilier dont l’assemblage céramique présente un faciès des plus intéressants, à la frontière entre traditions locales, encore peu connues en Sabine intérieure, et importations, aussi bien romaines que falisques, nettement plus connues et diffusées. Le présent article vise donc à présenter les premiers résultats d’une enquête typo-chronologique menée sur les céramiques du iiie siècle av. J.‑C. des sanctuaires de Sabine intérieure, mais aussi à aborder la question plus large et délicate de la culture matérielle de ces espaces particuliers à l’aube de la conquête romaine.
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Álvarez Dopico, Clara Ilham. "Une nouvelle tradition : la céramique algéroise à l’aube du xxe siècle." ABE Journal, no. 13 (October 15, 2018). http://dx.doi.org/10.4000/abe.4333.

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Frînculeasa, Alin, Bianca Preda, and Volker Heyd. "Pit-Graves, Yamnaya and Kurgans along the Lower Danube: Disentangling IVth and IIIrd Millennium BC Burial Customs, Equipment and Chronology." Praehistorische Zeitschrift 90, no. 1-2 (January 1, 2015). http://dx.doi.org/10.1515/pz-2015-0002.

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Abstract:
Die Autoren untersuchen im Beitrag Grubengräber unter Grabhügeln (Kurgane) von der gesamten Unteren Donau auf ihre Bestattungssitte, Grabausstattung, Stratigraphie undLes sépultures à fosses ou à puits sous tumulus (kourgane) de la culture Yamna dans la vallée inférieure du Danube font l’objet de notre article. Nous nous penchons sur les questions concernant les rites funéraires, le mobilier des sépultures, la stratigraphie et les datations radiocarbone. Ces dernières comprennent 17 dates AMS récemment obtenues en Munténie du nord, la plupart inédites. On peut distinguer deux groups de sépultures. Un premier groupe consiste en sépultures à fosses plus ovales que rectangulaires; les corps sont fléchis sur le côté, il y a peu d’ocre et les récipients (en céramique de production apparemment locale) sont rares. Les sépultures de ce groupe sont pour la plupart les sépultures primaires à l’intérieur des tumuli. En utilisant des datations radiocarbone obtenues récemment pour les sépultures 3B et 5 B à Ariceşti IV (et en partie celles de la sépulture 2/3 de Păuleşti II), comté Prahova, nous démontrons que the groupe date d’avant environ 3050/3000 cal BC, probablement recouvrant tout le dernier tiers du IVe millénaire BC. Le second groupe présente toutes les caractéristiques de la culture classique ‘Yamna’: sépultures primaires et secondaires, fosses surtout rectangulaires et couvertes de poutres, corps en décubitus avec jambes fléchies, taches ou morceaux d’ocre, mobilier rare où on remarque quelques anneaux de chevelure en métal précieux. La céramique est à nouveau rare, mais quand elle est présente il s’agit souvent de gobelets décorés au cordon, très semblables aux gobelets de la culture de la céramique cordée de l’Europe du centre et du nord. Les datations radiocarbone de ces sépultures de ce groupe datent d’après environ 3050/3000 cal BC, et il est peut-être même possible de les subdiviser le long des parties plates et raides de la courbe de calibration, c’est-à-dire allant d’environ 3050/3000 à 2880 cal BC, et ensuite depuis environ 2880 à 2580 cal BC. Ceci pourra en fin de compte nous permettre de distinguer uns phase ‘Yamna’ ancienne d’une phase plus récente. En bref, et après avoir examiné plus de 500 datations radiocarbone et/ou dendrochronologiques provenant d’une zone allant de l’Oural à la Tisza, le phénomène des sépultures à puits ou fosses couvre une période allant d’environ 3500 cal BC à 2400 cal BC. En incluant les sépultures plus anciennes de Suvorovo-Novodanilovka (Ve millénaire BC.) et certaines sépultures (ou kourganes) de la culture des steppes attribuées à Cernavoda I et cultures associées (première moitié du IVe millénaire BC), il devient évident qu’un courant d’échange existait de façon continue durant 2000 ans entre le nord-est, le nord et l’ouest du Pont-Euxin. Quoique nous supposons que la culture ‘Yamna’ a surtout vu une vague intense de migrants venants de l’est au sein d’un milieu social, économique et idéologique nouveau, il reste à établir si les premières sépultures à fosses sous tumulus du Danube inférieur datant d’à partir de 3300 cal BC étaient un apport de peuples des steppes apparentés à des peuplades du nord du Pont-Euxin avec traditions funéraires de type Nizhne-Mikhailovka et Kvityana, ou s’il s’agit plutôt de rites appartenant à une population locale qui aurait intégré de nouvelles coutumes ‘orientales’ dans ses propres rites funéraires. Il est fort probable que nous avons affaire à une combinaison des deux possibilités.The Pit-Graves under burial mounds (Kurgans) of the Lower Danube region are being assessed in terms of their burial customs, funeral equipment, stratigraphy and radiocarbon dates. The latter comprise 17 recently performed AMS dates from Northern Muntenia, most of them yet unpublished. Two distinct burial groups can be separated: A first consists of graves with more oval than rectangular grave-pits, predominantly side-crouched body positions of the deceased, few ochre, and rare but seemingly local pots. Graves of this group are mostly the primary graves in their mounds. By using some already published and the newly obtained
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Allibert, Claude. "L’archipel des Comores et son histoire ancienne. Essai de mise en perspective des chroniques, de la tradition orale et des typologies de céramiques locales et d’importation." Afriques, no. 06 (December 25, 2015). http://dx.doi.org/10.4000/afriques.1721.

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Kaczmarek, Maciej, and Grzegorz Szczurek. "The Early Iron Age Fortified Settlements in Wielkopolska (western Poland) ‒ past and present perspectives in archaeological research." Praehistorische Zeitschrift 90, no. 1-2 (January 1, 2015). http://dx.doi.org/10.1515/pz-2015-0011.

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Abstract:
In der Region Wielkopolska (Großpolen) befinden sich eine Reihe befestigter Siedlungen, die in die frühe Eisenzeit datieren und einzigartige Merkmale hinsichtlich ihrer Funktion, Genese und Chronologie aufweisen. Bedeutsam sind diese Siedlungsbefunde nicht nur im Blickwinkel der Vorgeschichte Polens, sondern auch im überregionalen Kontext. Die Deutung dieser Siedlungen, die bereits über längere Zeiträume im Mittelpunkt der Forschung standen und dabei unter verschiedenen räumlichen und fachspezifischen Fragestellungen betrachtet wurden, ist sehr unterschiedlich, wird in der Forschung jedoch als eher unbefriedigend angesehen. Neben jenen Siedlungen gibt es noch weitere Fundplätze, die jedoch zumeist in nur wenigen Kampagnen oder in vereinzelten Sondagen archäologisch untersucht wurden. Ausgenommen davon sind die Siedlungen Biskupin und Sobiejuchy. Auch die Ergebnisse jener Forschungen müssen unter verschiedenen Aspekten als wenig zufriedenstellend bezeichnet werden. Obgleich der Forschung heutzutage ein breites Spektrum fortschrittlicher und ausgefeilter Technologien für die Gewinnung absoluter Datierungen zur Verfügung steht, liegen doch für die hier betrachtete Region nur wenige Fakten zur Chronologie befestigter hallstattzeitlicher Siedlungen vor. Aus diesen Gründen begannen die Autoren ein Projekt zur Erarbeitung und Sammlung genau jener Schlüsselinformationen. Die wichtigsten Verfahren zur Gewinnung absoluter Daten waren dabei neben der Dendrochronologie Radiokarbonuntersuchungen an Hölzern, organischen Materialen aus den Kulturschichten sowie an osteologischem Material, ferner Lumineszenzuntersuchungen von Keramik. Ein weiterer wichtiger Baustein des Projekts bestand im Vergleich der auf diesem Weg gewonnenen Daten mit solchen aus traditionellen archäologischen Studien (etwa bezüglich der Änderung von Keramikstilen).Die Verfasser strebten außerdem an, die Entwicklung befestigter hallstattzeitlicher Siedlungen mit Hilfe der Fernerkundung, der Luftaufklärung, geophysikalischer Untersuchungen und digitaler Geländemodelle (Geomagnetik, 3D-Modellierungen, Orthofotografien) besser zu verstehen. Der vorliegende Beitrag stellt einen vorläufigen Bericht über die entsprechenden Untersuchungen in Großpolen dar.Le caractère des habitats fortifiés de l’époque de Hallstatt dans la région de Wielkopolska est unique en ce qui concerne leur évolution interne, le rôle qu’ils ont pu remplir, leur origine et leur chronologie. Il s’agit d’un groupe de monuments fondamentaux, et leur étude dépasse le simple examen d’un aspect particulier de la préhistoire polonaise. Ces habitats, qui ont été étudiés au cours des ans de façon fort variable et sous des angles divers, sont mal connus, comme la littérature spécialisée l’a relevé depuis longtemps. Il existe, en dehors des sites fouillés au cours de longues campagnes pluriannuelles (tels Biskupin et Sobiejuchy), des sites qui n’ont fait l’objet que de courtes campagnes d’une ou deux saisons ou des sites ou seuls de petits sondages ont été faits. De plus, l’analyse des résultats de ces fouilles laisse en général aussi à désirer. Malgré les possibilités offertes par les nouvelles méthodes de datation absolue, notre connaissance des habitats fortifiés de l’époque de Hallstatt dans la région de Wielkopolska est encore fort maigre. Les auteurs ont ainsi initié un nouveau projet dont l’objectif est d’obtenir plus d’informations sur des aspects de ces habitats non explorés ou insuffisamment étudiés. La datation absolue par radiocarbone et par dendrochronologie (d’éléments structurels en bois, de matériel organique provenant de couches culturelles, d’ossements) et par luminescence (pour la céramique) constitue l’objectif principal de cette étude. De plus nous tentons d’établir des corrélations entre les dates obtenues et la masse de matériel archéologique récupéré afin de vérifier et de modifier les dates obtenues par les méthodes traditionnelles de datation (basée sur les changements typologiques de la céramique). Enfin, nous espérons obtenir des informations plus étendues sur l’évolution des habitats fortifiés de l’époque de Hallstatt de la région par l’application de méthodes de prospections telles la photographie aérienne, les prospections géophysiques, les modèles numériques de terrain (par magnétométrie, modèles en 3D, ortho-photographies). Notre article est un rapport préliminaire sur l’étude en cours des habitats fortifiés de Wielkopolska.The unique nature of the Early Iron Age fortified settlements of Wielkopolska, in terms of their internal development, alleged function, genesis and chronology, places them in a group of monuments that have a fundamental meaning. Studying these sites goes beyond understanding this particular aspect of Polish prehistory. The recognition of these settlements, studied over the years and considered under various spatial and subject-specific angles, is very uneven and, in general, unsatisfactory, as has long been pointed out in the literature. Apart from the sites explored in long-term excavation campaigns, there are sites where reconnaissance work was carried out over only one or two seasons (excepting Biskupin and Sobiejuchy) or where only sondages were made. Furthermore, the analysis of the results of these investigations is, in general, also fairly unsatisfactory. Despite the opportunities offered by the current methods of absolute dating, we still know very little about the chronology of the fortified Hallstatt settlements of Wielkopolska. Hence the authors have started a new project aimed at gathering key information that has not so far been obtained or that has been insufficiently investigated. The most important element is absolute dating by dendrochronological and radiocarbon methods (timber structural elements, organic material from culture layers, osteological material) and luminescence (ceramics). Another important aspect consists of attempts at correlating the absolute dates obtained with the mass of archaeological material to verify and modify the traditional dating methods (changes in pottery styles). Last but not least we aim to obtain broader information regarding the development of all Hallstatt fortified sites from the study area through remote sensing, which includes aerial reconnaissance, geophysical surveys, digital terrain models (magnetometry maps, 3D models, orthophotographs). This article is a preliminary report on the new investigations of the Wielkopolska fortified settlements currently being conducted by the authors.
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Auger, Reginald, and Allison Bain. "Anthropologie et archéologie." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.030.

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Abstract:
Les parcours sinueux qu’ont suivis l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord depuis une cinquantaine d’années démontrent des intérêts convergents pour la connaissance et l’explication du comportement humain et cela avec des méthodes de recherche de plus en plus divergentes. L’anthropologie qui a émergé des milieux intellectuels aux États-Unis au XIXe siècle avait pour origine l’intérêt pour la compréhension des populations autochtones de l’Amérique; de cet intérêt pour l’humain, se sont développés des outils pour comprendre le comportement qui se cachait derrière le geste posé. Dès le début, l’anthropologue s’intéressait aux comportements et l’archéologue documentait les traces du geste posé. De cette proximité entre l’anthropologie et l’archéologie qui s’est concrétisée par la création du Bureau of American Ethnology à la fin du XIXe siècle, il était naturel de placer la formation en archéologie au sein de départements d’anthropologie dans les universités aux États-Unis et au Canada. Malgré l’apparence initiale d’un champ unifié et d’un terrain partagé entre l’anthropologie et l’archéologie, la pratique s’est transformée pour devenir tout autre au fil des ans. Au milieu du XXe siècle, l’archéologie commence à remettre en question sa relation avec les interprétations fonctionnalistes des anthropologues (Trigger 2006 : 363-372). La première figure à souligner le problème de l’inéquation entre les résultats de la recherche archéologique et la théorie en anthropologie fut Walter Taylor (1948) dans son livre A Study of Archaeology. Taylor, le relativiste, exposa son penchant pour le particularisme historique dans une approche qu’il identifie comme étant conjonctive; pour ce chercheur iconoclaste, l’historiographie comptait pour beaucoup. L’approche conjonctive consistait à établir des corrélations entre différents types de données dans des contextes historiques et culturels spécifiques afin de faire le pont entre des particularités historiques (les collections archéologiques) et des données anthropologiques. La méthodologie qu’il proposait impliquait la vérification d’hypothèses par l’analyse de la composition et de la structure des collections archéologiques. L’objectif central de cette approche visait à mettre de l’avant des études contextuelles détaillées qui permettraient d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques. Dans sa formulation de l’approche conjonctive en archéologie et la vérification d’hypothèses, Taylor reconnaissait qu’une réflexion critique était nécessaire puisque l'archéologue travaillait dans le présent. En dépit de la richesse des collections archéologiques et constatant le danger qui planait sur l’archéologie si nous avions continué à publier des listes d’attributs de nos objets au lieu d’interpréter la culture matérielle comme étant la trace du comportement humain, dans un geste de médiation entre l’anthropologie et l’archéologie, Binford (1962) publiait son article portant le titre Archaeology as Anthropology. Comme il le signale dans son introduction son article qui faisait suite à un ouvrage venant d’être publié par Willey et Phillips (1958) où l’on mentionne clairement que l’archéologie américaine « c’est de l’anthropologie ou rien du tout ». Ce geste d’éclat dans une période charnière de l’enseignement de l’archéologie dans les universités nord-américaines allait donner naissance à un nouveau paradigme que l’on appela la New Archaeology aussi connue sous le nom d’archéologie processuelle. Un tel changement de paradigme venait en contradiction avec les pratiques européennes en matière d’archéologie préhistorique, notamment celles de l’École de Bordeaux et de François Bordes, son membre le plus influent, qui avait réussi à imposer sa vision sur le sens de la variabilité des outils en pierre du paléolithique moyen (Bordes 1961; 1984). Dans sa thèse de doctorat intitulée The Bordes-Binford Debate: Transatlantic Interpretive Traditions in Paleolithic Archaeology, Melissa C. Wargo (2009) présente une analyse en profondeur des modes de pensée qui diffèrent entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Essentiellement, le raisonnement traditionnel voulait que l’apparition d’une nouvelle culture archéologique (de nouveaux types) puisse signifier la manifestation d’un nouveau groupe de personnes, un groupe ethnique détectable avec les outils de l’archéologie. C’est ce que nous apprenions à la lecture des travaux de François Bordes sur les changements technologiques observés au paléolithique moyen. Lorsque Binford est parvenu à étudier les mêmes collections, il proposa des interprétations toutes autres. Ainsi, alors que pour Bordes, des outils différents représentent des groupes différents; si l’ensemble de l’assemblage ne peut être attribué à un groupe avoisinant, peut-être alors que certains éléments peuvent l’être. Et si de tels parallèles peuvent être établis, l’approche de Bordes a pour corollaire que c’est là le lieu d’origine de la population à l’étude et que nous serions en présence d’une diffusion de traits culturels à partir de la migration d’un groupe ethnique. Pour Binford, la différence dans la composition des assemblages devrait plutôt être interprétée comme étant le résultat d’adaptations; pour ce chercheur, les assemblages archéologiques sont des coffres d’outils adaptés pour une fonction particulière. Nonobstant la grande quantité de statistiques accumulées, Binford, de son propre aveu, admit qu’il fut incapable d’expliquer ce qu’elles signifiaient. En d’autres mots, il avait beaucoup d’information sur le présent mais ne pouvait l’expliquer par manque d’analogie avec le passé. En dépit de ces différences d’opinion, l’utilité de la typologie de Bordes réside dans le fait qu’elle fournissait un langage descriptif; cette typologie a cependant été par la suite rejetée par certains chercheurs qui considéraient que la définition des types de François Bordes était inadéquate parce que trop subjective. Pire encore, Bordes a été accusé d’incorporer dans ses interprétations des hypothèses non vérifiées sur les capacités cognitives des hominidés durant le paléolithique moyen. De nos jours, nos analyses de la technologie visent à remplacer cette approche typologique de Bordes par une méthode s’appuyant sur la combinaison d’attributs dont la description porte davantage sur le comportement. De toute évidence, le débat entre le promoteur de la New Archaeology et la figure de proue de l’archéologie française et son approche taxonomique en pierre a permis de mettre en évidence un malaise profond sur la façon dont le passé devrait être interprété. Ce débat est aussi emblématique de traditions scientifiques différentes entre l’Europe et l’Amérique du Nord. C’est dans ce contexte intellectuel que sont nés des départements d’anthropologie associant l’anthropologie culturelle, l’anthropologie biologique, la linguistique et l’archéologie. Ces quatre champs sont apparus à des moments bien précis de l’histoire des universités nord-américaines mais de nos jours, la réalité de l’anthropologie est devenue beaucoup plus complexe (Bruner 2010). Un étudiant en archéologie peut avoir des besoins de formation en géographie, en histoire, en géologie, en botanique, en biologie, en ethnohistoire, en systèmes d’information géographique, en informatique, etc. alors qu’un étudiant en anthropologie pour atteindre un niveau de compétence élevé pourrait avoir besoin de formation en histoire, en science politique, en sociologie, en art, en littérature, en théorie critique, etc. Malgré que les besoins aient grandement changé depuis la création des départements d’anthropologie, les structures académiques sont demeurées statiques. La protection des départements d’anthropologie dans leur configuration actuelle des quatre champs relève le plus souvent des politiques universitaires. Ainsi, même si les professeurs étaient d’accord qu’il serait intellectuellement plus profitable de scinder ces gros départements, la question de diviser les départements d’anthropologie en unités plus petites qui feraient la promotion de l’interdisciplinarité dans les sciences humaines et sociales n’est pas envisagée dans la plupart des universités nord-américaines (Smith 2011). Au milieu de cette tourmente, se sont développés un certain nombre de départements et de programmes d’archéologie en Amérique du Nord. De là est née une discipline émancipée du joug des structures trop rigides et se donnant un ensemble de méthodes de recherche qui lui étaient propres. La trajectoire conceptuelle empruntée par ceux-ci a permis de remonter au-delà du geste et de la parole en retenant une classe cohérente de concepts explicatifs développés, certes en anthropologie, mais raffinés et adaptés au contact de l’archéologie et d’autres disciplines en sciences humaine et sociales et sciences de la nature. Cette indépendance intellectuelle de l’anthropologie s’est notamment affirmée par des collaborations entre l’archéologie et la philosophie des sciences (Kelly et Hanen 1988; Salmon 1982; Wylie 2002; Wylie et Chapman 2015). La croissance de l’intérêt pour les explications processuelles des données archéologiques chez plusieurs archéologues nord-américains fut motivée par le fait que les néo-évolutionistes en anthropologie mettaient trop l'accent sur les régularités dans les cultures. Les concepts utilisés en archéologie processuelle exerçaient une influence significative sur notre discipline et l’adoption de cette approche théorique était d’autant plus attrayante car les variables proposées se présentaient comme des causes majeures de changements culturels et relativement accessibles à partir des vestiges archéologiques. Cette approche s'intensifia et donna de nouvelles directions aux tendances déjà présentes en archéologie préhistorique. Dans ce changement de paradigme qui donna naissance au courant de la Nouvelle Archéologie en Amérique du Nord et à un moindre degré au Royaume-Uni, l’accent était placé sur la vérification d’hypothèses sur les processus culturels comme outils d’explication du passé. De la position qu’elle occupait comme l’un des quatre sous-champs de l’anthropologie ou encore, de celle de servante de l’histoire, l’archéologie est devenue l’un des plus vastes champs du monde académique (Sabloff 2008 : 28). En plus d’avoir trouvé son ancrage théorique dans les sciences sociales et humaines, l’archéologie, attirée par les techniques et méthodes fraie régulièrement avec les sciences physiques et les sciences de la nature. En se donnant ses propres méthodes de collecte et d’analyse pour l’examen de cultures distinctes et en poursuivant avec des comparaisons interculturelles, la discipline cherchait à mieux comprendre les cultures qui se sont développées à travers le temps et l’espace. Puisque l’objet d’étude de l’archéologie porte sur les traces de groupes humains dans leur environnement naturel et leur univers social, les questions qu’elle se pose sont fondamentales à l’histoire de l’humanité et pour répondre à de telles questions elle s’est dotée de méthodologies d’enquête qui lui sont propres. L’utilisation d’équipements sophistiqués pour déterminer la composition chimique des résidus lipidiques incrustés sur un outil en pierre taillée ou encore, les recherches sur la composition physico-chimique de la pâte d’une céramique sont des techniques visant à répondre à des questions d’ordre anthropologique. Le quand et le comment du passé sont relativement faciles à identifier alors que pour découvrir le pourquoi l’archéologue fait souvent appel à l’analogie ethnographique, une méthodologie issue de l’insatisfaction des archéologues à l’endroit des travaux en anthropologie culturelle (David et Kramer 2001). Une autre méthodologie est celle de l’archéologie expérimentale qui s’intéresse à la fabrication et à l’usage des outils (Tringham 1978), méthode similaires à celle de l’ethnoarchéologie. L’expérimentation à partir d’outils fabriqués par le chercheur et les banques de données provenant d’expérimentations contrôlées servent alors d’éléments de comparaison pour interpréter la forme des assemblages archéologiques (Chabot et al. 2014) est au centre de la méthode préconissée. Le développement de l’ethnoarchéologie durant les années 1970 aurait inspiré Binford (1981) lorsqu’il mit de l’avant l’utilisation de théories de niveau intermédiaire pour établir un lien entre ses données archéologiques et les théories de niveau supérieur sur le comportement. Sa décision semble avoir reposé sur les développements de l’approche ethnoarchéologique et ses propres terrains ethnoarchéologiques chez les Nunamiut de l’Alaska (Binford 1978). D’autres orientations théoriques ont vu le jour au cours des années 1960–1970 et ont fait la distinction entre différentes approches matérialistes par rapport à des schémas évolutionnistes antérieurs. Par exemple, Leslie White (1975) adopta une forme de déterminisme technologique très étroit qui reflétait une croyance en la technologie comme source de progrès social. Julian Steward (1955) envisagea un déterminisme écologique moins restrictif alors que Marvin Harris (1968) y voyait un déterminisme économique encore plus large. Pour ces quelques positivistes le rôle que l’archéologie se devait de jouer était d’expliquer la culture matérielle du passé. Quant à l’archéologue Lewis Binford (1987), il soutenait que l’étude des relations entre le comportement humain et la culture matérielle ne devrait pas être le rôle central de l’archéologie puisque selon lui, les données ne contiendraient aucune information directe sur les relations entre le comportement humain et la culture matérielle. Dorénavant, les données archéologiques se devaient d’être comprises par elles-mêmes, sans avoir recours à des analogies ethnographiques. Cette dernière approche voulait clairement établir de la distance entre l’archéologie, l’anthropologie culturelle, l’ethnologie et peut-être les sciences sociales en général ; son mérite était peut-être, justement, d’éviter les réductionnismes et les analogies rapides entre explications anthropologiques et assemblages archéologiques. Dans la même veine, d’autres remises en question sont apparues durant les années 1980 avec les travaux d’Ian Hodder (1982; 1985) sur la validité des certitudes positivistes qui avaient été le fonds théorique et empirique des adeptes de la New Archaeology. Depuis cette réflexion sur l’essence même de l’archéologie, Hodder a reconnu qu’une position critique est fondamentale face à l’objet d’étude; naquit alors le courant théorique post-processuel en archéologie. Dans son cheminement pour découvrir la signification des vestiges qu’elle étudie, l’archéologie post-processuelle s’appuie sur des études détaillées permettant d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques en exploitant la diversité des sources; cette direction du courant post-processuel en archéologie porte le nom d’archéologie contextuelle. Comme tout changement de paradigme apporte avec lui son lot de détracteurs, l’archéologie post-processuelle a été immédiatement accusée d’une trop grande subjectivité interprétative voire, de déconstructionisme. Les autres orientations placées sous le label archéologie post-processuelle incluent : le structuralisme, le néo-marxisme, l’archéologie cognitive, la phénoménologie, et d’autres encore Ainsi l’individu, l’agent ou l’acteur et son intentionnalité devrait être au centre des interprétations dans la théorie post-processuelle. Nous pouvons conclure que l’examen de la relation entre l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord a permis de constater que, depuis ses débuts, l’archéologie dans cette région du monde a vécu une liaison relativement tumultueuse avec l’anthropologie. Cette condition, souvent problématique, a vu naître, au Canada d’abord, des groupuscules d’archéologues avec des intérêts divergents qui se sont distanciés des paradigmes qui dominaient les départements d’anthropologie pour former des départements d’archéologie ou des programmes d’archéologie autonomes des programmes d’anthropologie. Sur les chemins empruntés ces nouveaux départements sont entrés en relation avec les départements de sciences naturelles, notamment, la géographie, avec laquelle les archéologues ont partagé un ensemble de concepts et de méthodes. Il en a résulté un enseignement de l’archéologie nettement interdisciplinaire et faisant appel à des méthodes quantitatives pour comprendre la culture matérielle dans son environnement naturel et expliquer son milieu culturel à partir de concepts empruntés aussi bien aux sciences humaines qu’aux sciences naturelles.

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