Journal articles on the topic 'Toute la commutation optique'

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1

Latour, Gaël. "Construire un système d’imagerie 3D de tomographie par cohérence optique (OCT)." Photoniques, no. 114 (2022): 21–25. http://dx.doi.org/10.1051/photon/202111421.

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Abstract:
Les étudiants ont la fierté de construire - de toute pièce - un microscope produisant des images tridimensionnelles (3D) d’objets transparents ou faiblement diffusants. Le projet laisse le temps aux étudiants de progresser en toute autonomie et de surmonter les difficultés théoriques et expérimentales rencontrées. Leur rigueur et leur ténacité sont récompensées par la beauté des films 3D qu’ils réalisent avec leur propre microscope.
2

Collet, J., and T. Amand. "Inversion logique toute optique par écrantage excitonique dans CdSe." Revue de Physique Appliquée 22, no. 10 (1987): 1281–85. http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:0198700220100128100.

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3

Simonot, Lionel. "Premières mesures photométriques : De Léonard de Vinci à Pierre Bouguer." Photoniques, no. 105 (November 2020): 25–27. http://dx.doi.org/10.1051/photon/202010526.

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Abstract:
Comment mesurer une quantité de lumière ? Cette question fondamentale pour toute expérience optique n’allait pas de soi jusqu’au XVIIIe siècle. Il fallait inventer un instrument et un protocole de mesure utilisant le seul photodétecteur alors disponible : l’œil humain. Plusieurs savants et quelques grands peintres contribuèrent sur plus de deux siècles à l’élaboration du premier photomètre.
4

Anderson, Alyssa Erin, and Gordon Hensel. "Les opticiens de l’Alberta possèdent-ils les compétences requises pour exécuter des examens de la réfraction et prescrire un appareil optique de façon autonome et en toute sécurité?" Canadian Journal of Optometry 83, no. 1 (February 25, 2021): 25–36. http://dx.doi.org/10.15353/cjo.v83i1.3602.

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Abstract:
L’Alberta est l’une des trois provinces canadiennes qui autorisent les opticiens à effectuer des examens de la réfraction. Récemment, l’Alberta College and Asso-ciation of Opticians (ACAO) a demandé que le champ d’exercice des opticiens soit élargi pour inclure la capacité de prescrire des appareils optiques, qui est actuellement réservée aux optométristes et aux ophtalmologistes. Tout au long du présent document, le terme « prescrire » devrait être interprété comme la prescription d’un appareil optique, et non comme celle d’un agent pharmaceu-tique thérapeutique. Dans le présent document, nous cherchons à déterminer si les opticiens qui effectuent des examens de la réfraction désignés en Alberta ont une formation et des connaissances adéquates pour exécuter un examen et pre-scrire un appareil optique de façon autonome en toute sécurité. Pour répondre à cette question de recherche, nous avons dressé une liste de 27 compétences qui selon nous sont requises pour prescrire et faire des examens de la réfrac-tion de façon autonome en toute sécurité. Nous avons ensuite évalué les pro-grammes d’optique du Northern Alberta Institute of Technology (NAIT) et les examens d’entrée dans la profession administrés par l’Association nationale des autorités de réglementation des opticiens du Canada (NACOR) de même que le Bureau des examinateurs en optométrie du Canada (BEOC) pour déterminer s’ils couvrent ces 27 compétences. Nos constatations montrent que les pro-grammes de sciences optiques du NAIT ne couvrent pas ou n’évaluent pas dans la pratique plus de la moitié (59 %) des compétences requises pour prescrire et exécuter des examens de la réfraction de façon autonome en toute sécurité, et que l’examen de la NACOR ne couvre pas 77 % de ces compétences. Selon cette information, les opticiens qui effectuent des examens de la réfraction désignés en Alberta ne possèdent pas la formation et les connaissances nécessaires pour exécuter cet examen et prescrire un appareil optique de façon autonome en toute sécurité. Le fait d’accorder aux opticiens le pouvoir légal de prescrire et d’exécuter des examens de façon autonome peut donner lieu à un problème de santé publique, car il pourrait y avoir une augmentation du nombre de maladies oculaires et systémiques non diagnostiquées ou non détectées.
5

Lopez-Lago, E., V. Couderc, L. Griscom, F. Smektala, and A. Barthélémy. "Inscription toute optique d'une non linéarité d'ordre II dans un verre chalcohalogenure." Journal de Physique IV (Proceedings) 12, no. 5 (June 2002): 213–14. http://dx.doi.org/10.1051/jp4:20020136.

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6

Bourel-Ponchel, E., M. Mahmoudzadeh, M. Fournier, A. Delignières, P. Berquin, and F. Wallois. "Imagerie optique et épilepsie partielle : toute la lumière sur le foyer épileptique !" Neurophysiologie Clinique/Clinical Neurophysiology 42, no. 4 (June 2012): 256. http://dx.doi.org/10.1016/j.neucli.2012.04.024.

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7

Mohammed Amine Mehdi, KHELLADI. "Approche de dépollution vs approche de non-pollution : quel choix technologique dans l’entreprise algérienne ?" Dirassat Journal Economic Issue 12, no. 1 (January 27, 2021): 799–812. http://dx.doi.org/10.34118/djei.v12i1.1130.

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Abstract:
La nécessité pour les entreprises, particulièrement industrielles, de recourir aux technologies environnementales ne fait plus débat. Différents dans leur efficacité, leur coût et leur mode d’installation, ces éco-instruments sont susceptibles de contenir ou d’éliminer complètement toute forme de déséconomie externe sur l’environnement. Le présent travail analysera le choix de type de ces technologies fait par un échantillon d’entreprises du secteur industriel. Comme principal résultat, la préférence d’usage chez ces organismes est, très majoritairement, en faveur d’une optique de non-pollution et en défaveur quasi-absolue de celle de la dépollution.
8

Johnson, Jeffrey. "Recovering the Curse of Eve: John Donne's Churching Sermons." Renaissance and Reformation 35, no. 2 (April 1, 1999): 61–71. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v35i2.10724.

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Abstract:
L'office liturgique de relevailles ("Churching of Women after Childbirth"), tout en ayant son origine dans les lois de purification détaillées au Lévitique 12, s'était néanmoins transformé, à l'époque où John Donne servait de prêtre, en occasion surtout sociale. Les deux sermons de relevailles de Donne qui ont été préservés répondent à cette tendance en situant la pratique dans un contexte de repentir collectif. En particulier, Donne aligne les relevailles sur le sacrement de baptême; dans cette optique, la purification qu'il préscrit, encore que liée au nettoyage corporel, est élargie théologiquement pour illustrer le besoin de toute l'humanité d'être lavée de sa déchéance.
9

Bains, Christopher. "Rencontres vénitiennes : l’héritage esthétique de Gautier." Études littéraires 42, no. 3 (August 27, 2012): 83–92. http://dx.doi.org/10.7202/1012019ar.

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Abstract:
Gautier ne s’est pas empressé d’aller en Italie comme la plupart des romantiques ; il attend l’année 1850 pour se rendre dans ce pays qui, pour des raisons esthétiques, s’avérera devenir pour lui un lieu de pèlerinage. Sans doute, le retard de Gautier s’explique-t-il par un désir d’éviter la recréation dans Italia d’une certaine conception romantique du pays. Le regard de Gautier consiste en une appropriation de l’objet esthétique à travers la délectation de ses parties composantes, ses couleurs, ses aspects et ses contours. Ce mode de consommation optique transforme le réel en l’esthétique et détourne l’image littéraire de toute interprétation du banal.
10

Constantinovici, Simona. "Sommelier d'eau. Quelques considérations sur le lexique des nouveaux métiers." Scientific Bulletin of the Politehnica University of Timişoara Transactions on Modern Languages 22, no. 1 (January 15, 2024): 14–25. http://dx.doi.org/10.59168/mejd5836.

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Abstract:
Le profil néologique du roumain actuel comporte la présence d'un nombre considérable de mots qui envoient au champ sémantique des métiers. Pour le linguiste, il s’agit d’un territoire expectant, encore peu étudié, mais qui pourrait devenir fertile et incontournable dans l’avenir, à la lumière d’une approche plurielle. On se propose d’identifier et d’analyser ponctuellement quelques dénominations inédites, comme le syntagme sommelier d’eau, qui n’existaient pas autrefois au niveau du lexique roumain. Dans cette optique, les informations d’ordre étymologique pourraient devenir révélatrices pour toute leur conduite sémantique. On essayera d’observer dans quelle mesure les dictionnaires de termes récents réussissent à signaler ces transformations inouïes, souvent paradoxales, survenues dans le domaine du lexique.
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Khainnar, Yasmina. "L' évaluation Formative Adaptée Aux Styles Et Aux Stratégies D'apprentissage , En Grammaire Du F.l.e." مجلة المعيار 23, no. 1 (March 5, 2023): 1152–68. http://dx.doi.org/10.37138/almieyar.v23i1.3541.

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Abstract:
l’acte d’apprendre relève du subjectif. En effet, la diversité des styles et des stratégies d’apprentissage de chaque apprenant ne fait que confirmer la différence des individus dans leurs agirs d’apprendre. Cette différence mérite d’être prise en charge ; car il s’agit d’une dimension tellement centrale qui mérite d’être prise en considération lors de toute intervention didactique ou pédagogique, notamment dans une optique de formation. C’est autour de cet aspect subjectif de l’apprentissage que le présent article se propose de traduire les styles et les stratégies d’apprentissage adoptés par l’apprenant, en tâches qui les prennent en compte, les mettent en évidence ; et ce dans le cadre de l’évaluation formative en vue de la rendre plus ciblée et efficace.
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Bernigaud, Sylvie. "Le silence et le procès civil." Les Cahiers de droit 56, no. 3-4 (December 17, 2015): 257–85. http://dx.doi.org/10.7202/1034452ar.

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Abstract:
Qu’il soit ou non le reflet d’une stratégie procédurale, le silence est valorisé lorsqu’il s’inscrit dans une optique respectueuse des droits de la défense et du principe du contradictoire. Le Code de procédure civile lui attribue une valeur fonctionnelle qui dépend à la fois de la maîtrise des parties sur le déroulement du procès et de la responsabilité du juge en matière juridictionnelle, concernant la régulation de l’instance. Accepté, toléré ou réprouvé, le silence n’est pas un, mais s’exprime de différentes manières dans le cadre du procès civil, ce qui rend aléatoire toute tentative d’intégration dans telle ou telle catégorie juridique. Il n’est pas pour autant l’expression d’une quelconque anarchie procédurale, la loi encadrant ses différentes manifestations et les effets juridiques qu’elles produisent.
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ZRIBI-HERTZ, ANNE. "De la notion de grammaire standard dans une optique diglossique du français." Journal of French Language Studies 23, no. 1 (January 30, 2013): 59–85. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269512000361.

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Abstract:
RÉSUMÉCet article cherche à préciser le schéma diglossique de description du français envisagé dans Zribi-Hertz (2011a), qui propose de représenter la compétence linguistique d'un francophone par deux grammaires internes en intersection, respectivement étiquetées Grammaire Standard et Grammaire Dialectale. Quel est le statut de la Grammaire Standard dans ce schéma ? S'agit-il bien d'une grammaire interne, au sens où l'entend la grammaire générative ? Ou seulement d'une grammaire externe incarnant une norme imposée aux locuteurs par des grammairiens ? L'hypothèse ici défendue est que les deux grammaires sécantes du schéma diglossique doivent bien être des grammaires internes, mais que la Grammaire Standard interne, régie en tant que telle par le Principe de Cohérence présidant à toute grammaire interne, est à distinguer de la Norme Académique fixée de façon institutionnelle sur la base d'écrits attestés produits par des auteurs divers, et qui échappe de ce fait au Principe de Cohérence. L'argumentation de cet article s'appuie sur une étude de cas: les syntagmes nominaux sans nom lexical (DPSN) en français hexagonal moderne, dont les propriétés attestées ne sont pas prédites par la grammaire énoncée par la Norme Académique. Il est soutenu, sur la base de productions attestées récentes recueillies sur internet, que la grammaire académique souffre d'incohérences qui la rendent inapprenable (non intériorisable), et que les francophones ont donc mis en place une grammaire interne cohérente qu'ils intègrent aussi bien à leur Grammaire Dialectale qu'à leur Grammaire Standard.
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Nguvulu Lufuma, Stève. "La sous-traitance et ses effets en République Démocratique du Congo." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 2, no. 3 (February 1, 2022): 399–406. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.023.v2.i3.44.

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En promulguant la loi n° 17/001 du 18 février 2017 ainsi que les dispositions complémentaires, le législateur congolais cherche à travers cette loi à promouvoir les petites et moyennes entreprises congolaises. Dans cette optique, la loi réserve la sous-traitante dans le secteur prive aux entreprises à capitaux congolais. Toutes fois, des dérogations sont prévues est peuvent justifier le recours à une entreprise sous-traitance étrangère : par exemple, en cas de carence d’expertise sur le territoire congolais. Mais la loi et ses décrets d’application encadrent strictement ces exceptions. En d’autre terme, sous réserve des exceptions prévues par la loi et de toute précision qui pourraient être apportées par une autre loi ou décret ne peuvent être sous traites en République Démocratique du Congo que des sociétés dont le capital est détenu directement ou indirectement à 51% par des personnes physiques congolais.
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Tietse, Samuel. "Construction de la valeur d’usage des sources d’information stratégiques en médecine : application dans le domaine hospitalo-universitaire." Documentation et bibliothèques 50, no. 4 (April 22, 2015): 295–303. http://dx.doi.org/10.7202/1030058ar.

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Abstract:
De nos jours, l’enjeu majeur d’une médecine forte reste la qualité des soins. Cet attribut est conditionné par une pratique clinique s’appuyant désormais sur des preuves scientifiques solides lorsqu’elles sont disponibles et sur l’actualisation des connaissances des médecins. S’ensuit une nécessité qui oblige les professionnels de la santé à s’informer ou se former en toute confiance. Pour y parvenir, ils doivent rechercher et cerner l’information pertinente parmi toute celle accessible à travers diverses sources. Se pose alors le problème de la pertinence d’une source et, dans cette optique, il nous a paru intéressant de déterminer la perception des médecins vis-à-vis des sources d’information stratégiques afin de construire une valeur d’usage associée à ces dernières dans le domaine de la santé. Pour ce faire, nous avons mené une enquête concernant une population de 113 médecins hospitalo-universitaires en région Rhône-Alpes et dans la Loire, dont une bonne majorité ressentent le besoin de s’informer et de se former. Ils s’en donnent les moyens et privilégient certaines sources d’information jugées stratégiques : les bases de données et les portails médicaux spécialisés en ligne, les forums et news, les bibliothèques personnelles (presse médicale de formation, ouvrages de référence), enfin ils ont recours aux avis de leurs confrères et collègues pour rendre performantes et efficaces des stratégies de soins qu’ils développent face aux patients.
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Poughon, Jean-Michel. "1804-2004 : D’une lecture civiliste de l’économique à une lecture économique du droit civil ?" Les Cahiers de droit 46, no. 1-2 (April 12, 2005): 427–44. http://dx.doi.org/10.7202/043847ar.

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Abstract:
Le Code civil peut être envisagé dans une optique économique. À ce titre, il peut être considéré comme un ensemble de règles présidant à la circulation des biens et des richesses. Il constitue la traduction juridique de l’économie libérale dont il impose les règles. Il est l’organisateur des désirs et des besoins de l’individu. Cette fonction semble remise en question de nos jours, dans la mesure où le contexte philosophique et économique actuel fait prédominer la valeur individuelle sur toute autre. L’individu se veut libre de disposer de lui-même, de son propre corps, à la recherche de son seul intérêt. Un tel désir se trouve légitimé par les progrès techniques et biologiques qui permettent une satisfaction croissante des besoins individuels. Dès lors, le Code civil, qui a redécouvert le corps humain pour mieux le protéger, se heurte à la volonté individuelle qui veut en disposer librement. Le Code ne devient-il pas soumis aux valeurs individuelles et, par-delà, aux valeurs économiques ?
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Shusterman, Ronald. "Syndromes du quotidien et du cosmologique." Figures de l'Art. Revue d'études esthétiques 20, no. 1 (2011): 231–44. http://dx.doi.org/10.3406/fdart.2011.950.

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Abstract:
Il s’agira d’évoquer les Biennales de Lyon et de Venise en analysant leurs implications éthiques, métaphysiques, ontologiques et épistémologiques. «Le Spectacle du Quotidien » (Lyon) présentait un art explicitement social. Dans une optique goodmanienne, la Biennale de Venise (Fare Mondi) se voulait cosmologique. Peut-on réellement faire ou refaire des mondes tous les deux ans dans le cadre d’une biennale ? Doit-on observer et recenser le réel, toujours au même rythme ? En quoi la politique et/ ou la cosmologie seraient-elles la finalité de l’art ? Premièrement, on peut estimer que l’art purement social (l’art du recensement, de l’archivage, de l’accumulation, et du constat sociologique) a atteint ses limites, et que la véritable efficacité éthique de l’art viendrait surtout de son efficacité plastique. Ensuite (et contre Goodman), il faudra se demander si toute production est réellement et automatiquement la production d’un monde. Si, en dernière analyse, l’art produit (essentiellement et pragmatiquement) du fictionnel, alors il faudra réduire toutes les prétentions ontologiques qui colorent le discours critique actuel.
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Sraïri, Mohamed Taher, and A. Cholin Kuper. "Conséquences de la libéralisation des marchés sur les opérateurs de la filière laitière au Maroc." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 60, no. 1-4 (January 1, 2007): 177. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9970.

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Abstract:
La filière laitière marocaine a connu une évolution mouvementée depuis le début des années 1970 jusqu’à nos jours. La situation initiale, très protégée, se caractérisait par un interventionnisme étatique prononcé car il fallait pallier dans l’urgence la rareté du lait face à une demande en plein essor. A partir de 1980, l’application de mesures d’ajustement structurel a progressivement supprimé toute forme de subvention. De tels bouleversements et la rapidité avec laquelle ils se sont enchaînés ont eu des répercussions marquées sur l’organisation de la filière, en particulier dans les élevages de bovins laitiers où les caractéristiques de la production ont notablement évolué. Actuellement, un pas de plus va être franchi avec la préparation à l’entrée en vigueur des accords de libre-échange avec l’Union européenne. Ceci va induire la fin de toute protection et une concurrence accrue entre produits laitiers locaux et importés sur le marché marocain. Dans cette optique de libéralisation et compte tenu du renchérissement actuel des prix des intrants agricoles sur les marchés internationaux, une nécessaire mise à niveau des outils de production et de régulation au sein de la filière est attendue avec des conséquences certaines pour l’ensemble de ses opérateurs. Le maintien des activités de production, de collecte et de transformation du lait au Maroc, dans des conditions propices à leur développement durable, est en jeu : recherche de productivité optimale et de produits de qualité, efficience de la valorisation de l’eau, distribution équitable des revenus de la filière à tous ses intervenants, avec pour objectif un prix au consommateur en rapport avec le pouvoir d’achat.
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Gaudreault, André, and Philippe Marion. "Pour une nouvelle approche de la périodisation en histoire du cinéma 1." Hors dossier 17, no. 2-3 (November 16, 2007): 215–32. http://dx.doi.org/10.7202/016756ar.

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Abstract:
Résumé La périodisation est essentielle pour permettre à l’historien de structurer son appréhension du passé et possède une finalité relativement pédagogique. Tout exercice de périodisation est cependant un discours sur l’histoire et procède d’un croisement entre présent (celui du sujet historien) et passé (celui de l’objet historique). Un croisement qui relèverait d’ailleurs davantage du sujet percevant et de son contexte que de l’objet temporel supposément perçu. La périodisation serait ainsi fondamentalement un exercice proprement constructiviste. Premier exemple de périodisation, pour l’histoire du cinéma : le centenaire, en 1995. Mais que célèbre-t-on, au juste, au bout de cette période de cent années ? L’événement « originel » serait-il l’invention du Cinématographe Lumière et le dépôt du brevet ? Si tel est le cas, parler sans ambages du « centenaire du cinéma », c’est faire l’économie de la démonstration à la base de pareil positionnement, qui établit une adéquation biunivoque entre cinématographe et cinéma. Serait-ce plutôt la fameuse première projection publique payante du 28 décembre 1895 au Grand Café à Paris ? Quel statut aurait alors la toute première projection du Théâtre optique d’Émile Reynaud, qui a eu lieu au moins trois ans avant l’invention du Cinématographe Lumière ? Quel statut auraient les projections de lanterne magique ? Il s’agira de montrer ici que, dans le cas d’un média complexe comme le cinéma, l’on ne peut utiliser la notion de périodisation que si on la conjugue au pluriel et que tout essai de périodisation doit entrer en relation avec les diverses séries culturelles au croisement desquelles adviennent les médias. On verra qu’il n’est somme toute guère aisé de faire se croiser le maillage inextricable d’un média complexe comme le cinéma et une notion aussi unilinéaire et simplificatrice que celle de « période ».
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Alarcon, W. "De Devereux à Nathan : une lecture ethnopsychiatrique de la schizophrénie." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S93. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.397.

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Abstract:
Au milieu du 19e siècle, en rupture avec les théories des aliénistes tels que Pinel et Esquirol, a émergé l’idée que la folie serait le signe de la décadence d’une civilisation corrompue par la modernité. Certaines théories ethnopsychiatriques, étudiant les troubles mentaux au sein d’un milieu culturel donné, s’opposent à la conception hippocratique d’une folie endogène (Folie-Maladie) en réaffirmant les conceptions exogènes (Folie-Sacré), décrites de façon similaire sous nos latitudes au Moyen-Âge chrétien. À l’image de Devereux, certaines figures de l’ethnopsychiatrie, sous l’influence conjointe de la psychanalyse et du structuralisme, prendront comme acquis fondamental l’idée relativiste selon laquelle l’interprétation du symptôme serait plus importante que le symptôme lui-même, la culture et le symbolique occultant quasiment le biologique. Devereux élaborera dans cette optique une théorie socioculturelle de la schizophrénie qu’il considérera comme le désordre ethnique caractéristique de la société occidentale dysfonctionnelle. Pour lui, ce trouble mental serait absent des sociétés authentiquement primitives et n’apparaîtrait en leur sein que suite aux processus d’acculturation qu’elles subissent [1]. Dans le sillage de cette pensée, Tobie Nathan développera quant à lui une théorie sociale et culturelle de la Folie [2]. Faisant fi des connaissances scientifiques au profit de la cosmogonie traditionnelle, il suppose que les populations étrangères n’auraient pas la même façon de penser le sujet et l’inconscient psychique, rendant toute théorie psychiatrique, neurodéveloppementale comme psychanalytique, inutilisable. En cherchant systématiquement des symboliques différentes à toute anomalie clinique, ce courant de l’ethnopsychiatrie tombe souvent dans la surinterprétation culturaliste. Nous questionnerons enfin l’idée que cet aspect de la pensée ethnopsychiatrique, en s’appuyant sur la culpabilité occidentale issue de la colonisation, répondrait au besoin de l’« Homme blanc » de réparer la faute dont on l’accuse, celle d’avoir souillé de façon indélébile la pureté originelle fantasmée des sociétés traditionnelles et d’y avoir importé jusqu’aux pathologies psychiatriques les plus graves
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Schulte-Tenckhoff, Isabelle. "Te tino rangatiratanga : substance ou apparence ?" Articles 23, no. 1 (November 25, 2004): 89–114. http://dx.doi.org/10.7202/009508ar.

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Abstract:
Résumé Les termes de rangatiratanga (« souveraineté ») et kawanatanga (« gouvernorat ») occupent une place centrale dans le Traité de Waitangi (1840), instrument bilingue dont les deux versions officielles (anglaise et maorie) divergent significativement toutefois. Après avoir rappelé le contexte historique et juridique, l’auteure explore les champs sémantiques respectifs de kawantanga et rangatiratanga dans la double optique du droit interne et du droit international. Sur le plan interne, le débat tourne actuellement autour de l’accommodement de te tino rangatiratanga dans le cadre de l’ordre juridique néo-zélandais. Sur le plan international, le Traité de Waitangi symbolise surtout une relation de type nation-à-nation entre les Maoris et la Couronne britannique. Le lien entre ces deux niveaux d’analyse est assuré par le paradigme de l’internalisation en vertu duquel les dispositions du Traité ne sont plus vues aujourd’hui qu’à la seule luière de leur rôle en droit public interne. Il s’ensuit qu’elles ne sont justiciables que selon les termes établis par la partie étatique. Celle-ci étant juge et partie à la fois, toute possibilité de réconciliation de te tino rangatiratanga avec la souveraineté légale de la Couronne se heurte à des limites importantes.
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Talbot, Aurélien. "La traductique en débat : émergence et usages d’un néologisme." Équivalences 50, no. 1 (2023): 19–41. http://dx.doi.org/10.3406/equiv.2023.1607.

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Abstract:
Le néologisme «traductique » apparaît et commence à circuler dans la deuxième moitié des années 1980. Le concept qu’il désigne fait alors l’objet de débats en écho à ceux ayant accompagné l’apparition du néologisme «traductologie » . Nous cherchons ainsi à dégager deux visages de la traductique en revenant brièvement sur la diffusion de ce néologisme qu’Antoine Berman aurait été «le premier à défendre activement » (Collectif 1988) avant qu’il ne soit repris dans une toute autre optique de recherche et développement (L’Homme 1988 ; 1999). Nous observons ensuite comment la ligne de partage entre traductique et traductologie semble renforcer la distinction ancienne entre traduction littéraire et spécialisée alors que la traductique contribue par ailleurs à faire émerger une préoccupation transversale aux différents genres de traduction comme en témoignent les recherches d’Elmar Tophoven. Face à cette contradiction, nous montrons, enfin, que la trajectoire du néologisme «traductique » est traversée par la question du point de bascule entre une convergence redoutée et une convergence heureuse entre traduction et informatique, son apparition ayant permis de rappeler le caractère «d’emblée technique » de la traduction tout en soulignant les risques liés à son «devenir industriel » (Stiegler 1987).
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Barahona de Almeida, Inês. "A Cegueira na Origem do Desenho - Jacques Derrida em Mémoires d'aveugle." Philosophica: International Journal for the History of Philosophy 10, no. 19 (2002): 155–76. http://dx.doi.org/10.5840/philosophica20021019/2010.

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Abstract:
La réflexion qui suit a pour but de suivre le texte de Jacques Derrida, intitulé Mémoires d'aveugle, L'autoportrait et autres ruines. Ce texte constitue le catalogue de l’exposition que le philosophe a organisé au Musée du Louvre sur la cécité et le dessin. En ayant pour réflexion le mythe de Dibutade qui est à l’origine du dessin, surgiront comme traits fondamentaux dans l’argumentation derridienne la reconduction de la vision à la mémoire, la radication du dessin dans la partie d’ombre, dans l’absence, et la nature ambivalente de la trace du dessin. En tenant compte du mythe de l’origine du dessin et du rôle de la vision et de la cécité, Jacques Derrida arrive à la formulation de sa thèse centrale: chaque fois qu’un dessinateur dessine un aveugle, il fait son auto-portrait. Ensuite, on analyse la figuration des aveugles, cherchant à souligner les aspects les plus importants, comme le besoin d’un “théâtre des mains”, la relation entre haptique et optique, ou encore la singulière vocation des aveugles pour devenir des êtres de lumière, élus du divin, donc témoins d’une rédemption et d’une ascèse. Suivant la suggestion du texte de Jacques Derrida, on aboutit au fait que la vision et la cécité ont une importance pour ce qui est de la définition de toute Anthropologie, pour ce cas d’une “Anthropologie des larmes”.
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Salumu, Fiston WANDJA, Gilbert MISAKO KASASA, Davreux YABILI FAMBA, and Moïse IBETA EMPEKA. "COALITION FCC-CACH EN RDC: Portée et incidence socio-politique dans la Ville de Kisangani." IJRDO - Journal of Social Science and Humanities Research 8, no. 12 (December 26, 2022): 22–27. http://dx.doi.org/10.53555/sshr.v8i12.5489.

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Abstract:
Conquérir le pouvoir dès nos jours, nécessite un recours à un certain nombre de stratégies ou mécanismes qui rendent facile l’esprit de compétitivité. C’est dans cette optique que les partis et hommes politiques s’y penchent à des coalitions qui ne visent pas seulement la conquête ; mais celle-là peut aussi être une stratégie utilisée pour du pouvoir pour le relever les défis de gouvernance de l’Etat. Sur ce, en ce qui concerne la coalition Front Commun pour le Congo (FCC) et le Cap pour le Changement (CACH) en sigle « FCC-CACH), cette dernière a vu le jour dans une période post-électorale marquée par le triomphe du FCC aux élections provinciales et législatives (partie majoritaire) et la victoire du CACH au scrutin présidentiel de décembre 2018 en République Démocratique du Congo (RDC). Le but ce pacte politique était de relever les défis liés à la gestion commune de la chose publique. Paradoxalement, le fondement idéologique de cette coalition reste une désillusion au vu de tous ses faits manifestes notamment, la crise politique dans toute l’étendue de la république à travers la non collaboration entre les regroupement politiques en coalition, la mise en évidence d’une division sociale causée par la lutte machiavélisme de positionnement politique de l’un ou l’autre regroupement, la haine tribale ; ce qui donne lieu un dysfonctionnement socio-politique voire une mégestion. En effet, cette coalition laisse de traces explicatives qui démontrent son incidence négative dans la construction de la démocratie en RDC et le développement socio-politique de la Ville de Kisangani en particulier. Les points épinglés dans cet article en explicitent mieux.
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Sbaiss, Larbi, and Mohamed Amine Mbarki. "Les Formes des Démarches Qualité dans les Collectivités Locales Marocaines." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 10 (April 29, 2023): 79. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n10p79.

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Abstract:
Dans cet article nous cherchons à mettre en exergue les formes que prennent les démarches qualité dans la sphère publique marocaine. Il s’agit d’un essai de retour à la littérature de l’histoire des réformes et de la gestion locale, afin d’identifier les formes que les décideurs et les dirigeants marocains donnent aux projets d’amélioration de la qualité des services au sein des administrations locales. Ce travail s’inscrit dans le cadre de notre thèse de recherche sur les démarches qualité dans les collectivités locales marocaines avec un focus sur les communes urbaines. Il s’agit également d’apporter un éclairage sur le fait que les démarches qualité ne se limitent pas uniquement aux séries des normes ISO, à la gestion de la qualité totale ou aux autres référentiels, mais au contraire, les démarches qualité comprennent toutes les approches, les pratiques, les outils qui visent l’amélioration continue de la qualité de service. Par conséquent, nous admettons que toute initiative qui s’inscrit dans cette optique est considérée comme une démarche qualité. Toutes les formes de démarches qualité identifiées au sein des collectivités locales marocaines, ne font pas référence aux normes ISO, ces dernières sont connues comme les démarches les plus sollicitées par les dirigeants des organismes. Ce constat a fait l’objet d’une recherche longitudinale que nous avons menée dans ce type d’administration publique. In this article we seek to highlight the forms that quality approaches take in the Moroccan public sphere. This is an attempt to return to the literature of the history of reforms and local management, in order to identify the forms that Moroccan decision-makers and leaders give to projects to improve the quality of services in within local governments. This work is part of our research thesis on quality approaches in Moroccan local authorities with a focus on urban municipalities. It is also a matter of shedding light on the fact that the quality procedures are not limited solely to the series of ISO standards, to the management of total quality or to the other reference systems, but on the contrary, the quality procedures include all the approaches, practices and tools aimed at continuous improvement of service quality. Therefore, we accept that any initiative that falls within this perspective is considered a quality approach. All the forms of quality approaches identified within Moroccan local authorities, do not refer to ISO standards, the latter are known as the approaches most requested by the leaders of the organizations. This finding was the subject of a longitudinal study that we conducted in this type of public administration.
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Picard, Marc. "On the Effects of Frequency-Induced Phonological Change." Diachronica 14, no. 1 (January 1, 1997): 109–18. http://dx.doi.org/10.1075/dia.14.1.05pic.

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Abstract:
SUMMARY It has long been recognized that there are two basic types of sound change: phonetic change, which is intrinsically regular, and analogical change, which is basically irregular. In addition, it has been argued by Witold Manczak that in any language, about one third of the words manifest an irregular sound change due to frequency. Such changes have in common the fact that in language after language they apply to the same lexical categories, amputating segments from forms whose length and frequency are in discordance. Although Manczak has studied this phenomenon extensively from a diachronic perspective, no one has yet looked specifically at the synchronic consequences of this type of change. What such a study reveals, inter alia, is how it is possible for an irregular sound change due to frequency to yield a regular synchronic morphophonemic rule, and also how such a morphophonemic process can emerge without first going through a strictly phonological stage. RÉSUMÉ On reconnaît depuis longtemps qu'il y a deux types de changements phonologiques: le changement phonétique, qui est intrinsèquement régulier, et le changement analogique, qui est fondamentalement irrégulier. Or voilà plusieurs années que Witold Mariczak tente de démontrer que dans toute langue, environ le tiers des mots manifeste un changement irrégulier dû à la fréquence. De tels changements ont en commun le fait que dans langue après langue, ils s'appliquent aux mêmes catégories lexicales en amputant des segments aux formes dont la longueur et la fréquence sont en déséquilibre. Bien que Mariczak ait étudié ce phénomène à fond dans une optique historique, personne n'a encore examiné de façon spécifique les conséquences synchroniques de ce type de changement. Une telle étude démontre, entre autre, qu'il est possible pour un changement phonologique irrégulier dû à la fréquence d'aboutir à une règle morphophonémique synchronique régulière, et aussi comment un tel processus morphophonémique peut surgir sans avoir passé au préalable par une étape strictement phonologique. ZUSAMMENFASSUNG Das Vorhandensein von zwei Grundtypen der Lautveränderung ist seit langem anerkannt: phonetischer Wandel, der gewöhnlich regulär ist, und aria-logischer Wandel, der als irregular gilt. Hierzu kame noch die Tatsache, laut Witold Manczak, daB in jeder Sprache etwa ein Drittel der Wörter häufig-keitsbedingten unregelmaßigen Lautwandel unterliege. Solche Veränderun-gen haben die Eigenschaft gemein, daB in einer Sprache nach der anderen stets die gleichen lexikalischen Kategorien betroffen sind, in dem sie Segmente abtrennen, deren Lange und Gebrauchshäufigkeit im Widerspruch stehen. Abschon Manczak dieses Phanomen intensiv aus der diachronischen Perspektive studiert hat, hat bis heute niemand sein Augenmerk auf die synchronen Konsequenzen dieses Veranderungstyps gerichtet. Was namlich eine solche Untersuchung zutage fördert, ist u.a. wie es möglich ist für einen irregulären Lautwandel, der durch Verwendungshäufigkeit hervorgerufen wurde, eine reguläre synchronische morphophonemische Regel hervorzu-bringen, und auch wie solch ein morphophonemischer Prozeß entstehen kann, ohne zunachst ein strikt phonologisches Stadium durchlaufen zu haben.
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Levesque, Anne. "Les francophones éffacé·e·s : l’intersectionnalité et la mise en œuvre des droits linguistiques législatifs en Ontario et au Canada." Canadian Journal of Women and the Law 34, no. 2 (December 1, 2022): 246–82. http://dx.doi.org/10.3138/cjwl.34.2.03.

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Abstract:
Le présent article traite de l’intersectionnalité et les droits linguistiques législatifs en Ontario et au Canada. L’argument principal évoqué porte sur la nécessité de l’analyse intersectionnelle pour assurer l’égalité réelle dans la conception et la mise en œuvre des droits linguistiques législatifs des francophones en situation minoritaire dans toute leur diversité. En gros, la Loi sur les services en français (LSF) en Ontario et la Loi sur les langues officielles du Canada (LLO) confèrent aux francophones des droits à des services gouvernementaux en français dans certains contextes. Selon la théorie de l’intersectionnalité, afin d’assurer l’égalité réelle quant aux services publics offerts dans la langue française, telle que celle garantie par la LSF et la LLO, il faut identifier, prendre en compte et affronter les formes d’oppression complexes qui marginalisent les francophones qui se retrouvent dans des positions à l’intersection d’un ou de plusieurs autres axes de domination. Ce texte vise ainsi à lancer une discussion sur la conception et la mise en œuvre des droits linguistiques législatifs à partir d’une lentille intersectionnelle. Il se décline en trois parties. La première partie explique ce qu’est l’intersectionnalité. Alors que les universitaires francophones ont adopté plus tardivement l’intersectionnalité que les universitaires de langue anglaise, l’analyse demeure complètement absente du domaine des droits linguistiques au Canada. La seconde partie aborde d’abord une discussion sur la diversité au sein de la communauté francophone en Ontario et au Canada, puis traite de certains aspects des droits linguistiques sous l’angle intersectionnel. Je commencerai par examiner brièvement certaines dispositions de la LSF et de la LLO. Dans la troisième partie, je porterai une attention particulière sur les rapports du commissaire aux services en français, du commissaire aux langues officielles et de l’adjointe de l’ombudsman chargée de certaines fonctions sous la LSF. Les rapports et recommandations ne révèlent aucune analyse intersectionnelle des enjeux de droits linguistiques législatifs. De plus, on ignore les retombées éventuelles des violations des droits linguistiques législatifs sur les francophones marginalisés par leur position à l’intersection de plus d’un axe de domination. Pourtant, à la lumière de la riche diversité qui existe au sein de la communauté francophone en Ontario et au Canada ainsi que de l’émergence récente des mouvements sociaux visant à lutter contre la discrimination intersectionnelle dans une variété de domaines de la société, il est stupéfiant que les termes « genre », « race », « handicap », « transgenre », ou « orientation sexuelle » soient pratiquement absents des rapports du commissaire aux langues officielles et de l’ombudsman adjointe de l’Ontario responsable de certains aspects de la LSF. La troisième partie aussi aborde quelques exemples des impacts perceptibles et importants d’un manque d’analyse intersectionnelle sur les revendications en matière de droits linguistiques de façon plus générale. On peut ainsi observer que les intérêts des francophones qui se heurtent à des axes de domination autres que la langue sont trop souvent ignorés puisque les revendications en matière de droits linguistiques ne sont pas formulées dans une optique intersectionnelle. En conclusion, j’offre quelques recommandations pour remédier à ces problèmes.
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Werner Paulus et Jean Meinnel. "Préface." Journal de Physique IV (Proceedings) 103 (February 2003): III—IV. http://dx.doi.org/10.1051/jp4/20030000.

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Abstract:
En 1994, l'attribution du prix Nobel à Cliff Shull et Bert Brockhouse pour leurs travaux de pionniers pendant les années 50, concernant tant la diffusion élastique des neutrons que la diffusion inélastique, a été la reconnaissance éclatante de l'importance de la diffusion neutronique pour toute la communauté scientifique.Le grand intérêt du neutron pour la recherche s'appuie principalement sur ses propriétés physiques particulières :- les neutrons utilisés pour la caractérisation de la matière (et fournis en relativement grandes quantités par les réacteurs ou les sources à spallation) disposent de longueurs d'onde et d'énergies correspondant directement aux distances interatomiques et aux énergies d'agitation de la matière. Ainsi, par diffusion neutronique, on peut étudier en même temps la structure et le comportement dynamique de la matière ;- le fait que le neutron soit doué d'un moment magnétique lui permet d'interagir avec tout atome porteur d'un moment magnétique. Ceci permet de caractériser intimement le comportement magnétique de la matière à l'échelle microscopique ;- la possibilité de pouvoir varier facilement le contraste d'un même élément en utilisant ses différents isotopes fait du neutron un outil irremplaçable en chimie et physique du solide ainsi qu'en biologie et matière molle ;- enfin, n'ayant pas de charge électrique, les neutrons peuvent pénétrer la matière sans être absorbés significativement, ce qui rend possible une caractérisation non destructive des contraintes et textures sur de grosses pièces des matériaux.Toutes les qualités des neutrons mentionnées ci-dessus permettent de comprendre l'importance de la diffusion neutronique pour des domaines très nombreux et très différents à la fois en recherche fondamentale mais aussi pour des applications industrielles. L'utilisation de l'outil-neutron demande toutefois non seulement une bonne connaissance des différents mécanismes d'interaction entre le neutron et la matière, mais également une haute spécificité dans la conception et l'utilisation des diffractomètres et spectromètres neutroniques. Pour ces raisons, l'accès aux neutrons est souvent limité, sinon réservé à des spécialistes, ce qui freine tout naturellement l'utilisation par des chercheurs non familiarisés à ce domaine.Pour combattre ce déficit d'information et cet état de fait, en accord avec de nombreux collègues Rennais, nous avons proposé à la Société Française de Neutronique d'organiser une École d'été qui s'adresse plus spécialement à de non-spécialistes de la diffusion neutronique. Le public visé concernait donc à la fois les chercheurs confirmés mais peu familiarisés avec le domaine neutronique, mais aussi les jeunes chercheurs dès le niveau doctorant. En effet pour ces derniers, l'utilisation des “grands instruments" s'avère nécessaire pour qu'ils soient à la hauteur de leur sujet de thèse. Pour cette raison, il était évident d'intégrer cette École d'été dans le programme de l'École Doctorale “Sciences des Matériaux" de l'Université de Rennes 1 qui rassemble chimistes, physiciens et géologues. Dans le même contexte, notre intérêt était de proposer un large spectre de cours couvrant la diversité des applications de la diffusion neutronique dans les différents domaines de recherche en chimie et physique des matériaux, en sciences de la terre ainsi qu'en sciences pour l'ingénieur. Un deuxième but était de montrer de plus la complémentarité des neutrons et des rayons X et plus spécifiquement des X produits par rayonnement synchrotron.Dans l'avenir, nous sommes persuadés que la diffusion neutronique va jouer un rôle clé pour le développement de nouveaux matériaux et de leur caractérisation. Dans cette optique, des efforts considérables ont été déjà engagés aux États-Unis ainsi qu'au Japon où deux nouvelles sources de neutrons sont en cours de construction. Du point de vue européen, si les sources de l'ILL et d'ISIS peuvent encore être considérées comme des leaders au point de vue mondial, il est évidemment souhaitable que la nouvelle source neutronique à spallation (European Spallation Source : ESS) soit rapidement réalisée. Aujourd'hui ce projet est bien avancé, cette source devrait dépasser le flux des sources actuelles par près de deux ordres de grandeur et ainsi de maintenir au meilleur niveau les compétences Européennes. Il est évident qu'une utilisation efficace et intelligente des sources existantes, mais aussi de celles de la nouvelle génération, implique une certaine infrastructure nationale tant au niveau de la conception, de la réalisation que du fonctionnement des différents spectromètres. Ceci implique un très fort engagement des universités dans les différents projets de recherche. Le devoir des universités qui en résulte est donc d'intégrer l'utilisation des “grands instruments" dans leur programme d'enseignement. Dans ce sens, nous souhaitons que ce cours, entièrement rédigé en français, contribue à la fois à aider les chercheurs “non spécialistes” à accéder plus facilement au domaine neutronique, mais aussi à servir de base aux enseignants pour l'organisation et la préparation de leurs cours.Nous tenons à remercier tous les collègues qui ont accepté de rédiger de façon détaillée les cours qu'ils avaient présentés oralement dans la grande salle du VVF de Trégastel, ainsi que toutes les personnes qui ont contribué à la réussite du séjour ou à la réalisation de ce fascicule. Nous gardons un excellent souvenir de l'atmosphère de l'École qui a eu lieu à Trégastel, en plein centre de la côte de granite rose en Bretagne, en mai 2001 et était jumelée avec les Journées de la diffusion neutronique, elles aussi organisées sous l'égide de la SFN.Nous souhaitons que la lecture de cet ouvrage soit utile à un maximum de chercheurs.
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Dominique, Richard. "L'ethnohistoire de la Moyenne-Côte-Nord." Articles 17, no. 2 (April 12, 2005): 189–220. http://dx.doi.org/10.7202/055714ar.

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Abstract:
En 1972, le projet de recherche « Ethnographie de la Côte-Nord du Saint-Laurent» place à l'intérieur de sa problématique générale un volet intitulé: l'ethnohistoire. Soucieuse de ne pas limiter les résultats de ses recherches à des moules d'analyse déjà établis et intéressée à illustrer constamment la conceptualisation des gens de la Moyenne-Côte-Nord, l'équipe de recherche perçoit comme complémentaire l'analyse de la science populaire utilisée par les témoins qui vivent les mêmes faits qu'elle étudie sous un angle expérimental. L'ethnohistoire de la Moyenne-Côte-Nord représente une facette de cette complémentarité. Afin de bien situer cette intention, une mise en place des principales tendances en cours en ethnohistoire s'avère utile. Auparavant, deux remarques importantes se posent au point de départ puisqu'elles clarifient les prémisses de l'ethnohistoire. 1. L'utilisation de l'histoire par l'anthropologie suscite beaucoup de discussions et cela depuis les origines de l'anthropologie. L'ethnohistoire ne se greffe pas à cette problématique. L'ethnohistoire ne représente pas le champ privilégié où l'utilisation et la perception de l'histoire que les anthropologues ont mis de l'avant à travers les différents courants anthropologiques se manifestent. 2. Ce premier point tient surtout au fait que l'ethnohistoire se conçoit comme un ensemble de méthodes, de techniques. Elle ne s'étiquette pas comme une discipline. L'ethnohistoire s'intègre aux différents courants théoriques en anthropologie et s'utilise selon les questions théoriques jugées importantes par les différentes écoles. Il n'y a pas de théories ethnohistoriques indépendantes des autres théories anthropologiques. Toute discussion au sujet de la relation histoire-anthropologie se situe au niveau théorique et non méthodologique; l'ethnohistoire ne peut fournir d'éléments pertinents. Trois tendances se concrétisent et fournissent des résultats différents, selon l'appartenance théorique aux écoles anthropologiques. L'histoire spécifique, l'ethnographie historique (ethnohistory) et l'ethnohistoire (folk history) constituent présentement ces trois options. L'histoire spécifique. Cette tendance se préoccupe surtout de situer des traits culturels spécifiques à l'intérieur d'un contexte. Tout en utilisant et recherchant des dates, des lieux et des événements précis, les chercheurs essaient ici de mettre en relief un modèle de diffusion et de transformation d'un trait culturel particulier. L'étude des variantes des mythes et dçs légendes par Franz Boas et Edward Sapir chez les Amérindiens de la Côte-Nord-Ouest du Pacifique constitue un exemple de cette tendance. L'utilisation des données archéologiques, linguistiques, physiques et des études de diffusion culturelle reflète bien la préoccupation du courant diffusionniste en anthropologie. L'ethnographie historique. Souvent retrouvée sous l'appellation ethnohistoire (ethnohistory), cette tendance s'identifie aux anthropologues américains (Fenton, Ewers, De Laguna, Lurie, etc.) qui reconstruisent historiquement des cultures amérindiennes à l'aide des archives, des traditions orales et des données recueillies sur le terrain. La recherche se traduit par l'application de la perspective historique aux sociétés qui ne sont pas incluses dans l'histoire occidentale. De par leur formation, ces chercheurs veulent comprendre, expliquer des phénomènes culturels. L'historiographie d'une ethnie ne répond pas à cette demande. Le choix des données historiques doit s'effectuer en fonction des questions théoriques en anthropologie. Ainsi la mise en relation des travaux de terrain avec les sources historiques dans un cadre théorique peut produire des éléments importants pour la construction d'un modèle explicatif du changement. Cette orientation a pris forme, vers 1950, au contact des études plus générales d'acculturation et de relations interethniques, des systèmes politiques et économiques. L'ethnographie historique repose sur des fondements plus théoriques et généralisants afin de permettre une comparaison entre différents groupes étudiés. Sous cet angle, elle se présente comme une méthode intégrée à d'autres pour répondre aux questions théoriques soulevées en anthropologie. Cette approche exige une nomenclature conceptuelle qui favorise un niveau de généralisation formelle. Une de ses premières fonctions se concrétise par l'élaboration d'un inventaire du matériel existant et par l'orientation subséquente de l'emploi et de la fabrication des autres méthodes. Lorsque la synthèse des différentes données est effectuée, des patterns d'incorporation des groupes ethniques à leur environnement, de changements économiques et politiques, d'acculturation, etc., en ressortent. En somme, l'ethnographie historique se présente comme l'application de la méthode historique et l'utilisation des concepts anthropologiques pour découvrir des pattems d'organisation humaine. L'ethnohistoire (folk history). Le domaine des réflexions et des constructions historiques en cours dans une communauté devient le pôle d'attraction de cette optique. La véracité des faits, la cohérence des événements, les modèles de changement, etc., ne sont pas ici pertinents. C'est plutôt le système logique permettant de réfléchir et de conceptualiser les événements et les comportements qui attire l'attention du chercheur. L'articulation de la recherche s'effectue autour de ce que les gens pensent de leur passé. Vers les années '60, le mot « ethno » se couvre d'une nouvelle signification, à savoir: découvrir comment s'établit le processus de la connaissance chez un peuple. Auparavant, le préfixe « ethno » ne possédait qu'une connotation identificatrice sans pour autant spécifier les bases de l'identité du peuple en question. Théoriquement, chez les culturalistes, la culture ne se conçoit plus comme l'ensemble des comportements humains, l'idéologie, l'histoire, les institutions, les produits matériels, etc., mais bien plus comme le tout de la connaissance humaine.2 Les analyses portent sur la «grammaire de la culture» et par conséquent ne précisent pas les comportements actuels et futurs des individus. Méthodologiquement, les techniques et les propositions théoriques se construisent sous la forme d'une recherche « emic », c'est-à-dire une approche valide que pour une communauté. L'ethnographie historique travaille à la reconstruction historique dans le sens et le découpage qui convient aux critères occidentaux. Elle utilise les archives et les résultats des autres disciplines connexes afin d'écrire une histoire universelle basée sur des découpages préalablement établis. Par contre, l'ethnohistoire démontre la version, la signification et l'explication historique fournies par une communauté. Précisément, elle met en relief les principes régissant la sélection et l'ordre des événements retenus comme significatifs pour une culture. Cette limitation à une seule culture amène pour l'instant le rejet d'une histoire universelle. Dans les sociétés non euro-américaines, les mythes, les légendes, les contes constituent le champ d'investigation privilégié pour l'ethnohistoire.
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Pourmazaheri, Afsaneh, and Esfandiar Esfandi. "L’écart sémantico-référentiel dans la représentation de l’Autre." @nalyses. Revue des littératures franco-canadiennes et québécoise, January 11, 2017. http://dx.doi.org/10.18192/analyses.v12i1.1930.

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Abstract:
Dans le récit de voyage, toute forme qui incarne la présence d’une entité autre que « le référent » réel peut altérer la représentation de celui-ci. On réalise donc clairement dans cette optique à quel point le dialogisme et la polyphonie, en se manifestant dans le texte, seront susceptibles d’en perturber l’ekphrasis et son élaboration graduelle. Le dialogisme produit et perçu est un principe général et définitoire du langage tandis que la polyphonie est l’effet produit sur le discours par ce même dialogisme. Les passages du texte concernés par ces deux phénomènes complémentaires complexifient le tissu du texte et interpellent le lecteur, dont le principal objectif reste tout naturellement de suivre l’auteur-voyageur pas à pas dans son périple. Dans le présent travail, nous nous intéressons aux phénomènes de cet ordre qui constituent des facteurs majeurs d’écart dans les textes « viatiques ».
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Meriem, Tayeb Ben. "Ingénierie des systèmes de commutation optique et des réseaux locaux à large bande sur fibres optiques : analyses et perspectives." Annales Des Télécommunications 45, no. 9-10 (September 1990). http://dx.doi.org/10.1007/bf02995308.

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Ibro, Mohamed Abdou, Martijn Cuyx, and Paulo Debenest. "Un robot à bras articulés pour l’inspection CND des réservoirs de stockage : inspection visuelle à distance et contrôle par ultrasons." e-journal of nondestructive testing 28, no. 9 (September 2023). http://dx.doi.org/10.58286/28478.

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Abstract:
Afin de garantir la sûreté des sites industriels d’exploitation (pétrochimique, nucléaire,…), des inspections de leurs infrastructures sont réalisées régulièrement. Le contrôle non destructif (CND) de ces infrastructures pose problème car elles peuvent être situées dans des environnements dangereux ou difficiles d’accès. Afin d’améliorer l’accessibilité, la fiabilité, la sécurité et les coûts des inspections, des applications robotiques ont été développées. Dans cet article, une nouvelle technique d’inspection à distance utilisant un robot à bras articulés est présentée pour le contrôle visuel et la mesure d’épaisseur par ultrasons de réservoirs de stockage. Le robot conçu pour les applications à longue portée dans des espaces confinés utilise un dispositif LIDAR (Light Detection And Ranging) et le simulateur de robotique CoppeliaSim pour créer un environnement 3D en temps réel afin de cartographier et de naviguer en toute sécurité dans son environnement. Le robot est équipé d’une caméra de haute résolution avec zoom optique x30 pour l’inspection visuelle et une sonde ultrasons pour la mesure d’épaisseur.
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Sbaiss, Larbi, and Mohamed Amine Mbarki. "Les Formes des Démarches Qualité dans les Collectivités Locales Marocaines." European Scientific Journal ESJ 2 (February 28, 2023). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.2.2023.p351.

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Abstract:
Dans cet article nous cherchons à mettre en exergue les formes que prennent les démarches qualité dans la sphère publique marocaine. Il s’agit d’un essai de retour à la littérature de l’histoire des réformes et de la gestion locale, afin d’identifier les formes que les décideurs et les dirigeants marocains donnent aux projets d’amélioration de la qualité des services au sein des administrations locales. Ce travail s’inscrit dans le cadre de notre thèse de recherche sur les démarches qualité dans les collectivités locales marocaine avec un focus sur les communes urbaines. Il s’agit également d’apporter un éclairage sur le fait que les démarches qualité ne se limitent pas uniquement aux séries des normes ISO, à la gestion de la qualité totale ou aux autres référentiels, mais au contraire, les démarches qualité comprennent toutes les approches, les pratiques, les outils qui visent l’amélioration continue de la qualité de service. Par conséquent, nous admettons que toute initiative qui s’inscrit dans cette optique est considérée comme une démarche qualité. Toutes les formes de démarches qualité identifiées au sein des collectivités locales marocaines, ne font pas référence aux normes ISO, ces dernières sont connues comme les démarches les plus sollicitées par les dirigeants des organismes. Ce constat a fait l’objet d’une recherche longitudinale que nous avons menée dans ce type d’administrations publiques.
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Sbaiss, Larbi, and Mohamed Amine Mbarki. "Les Formes des Démarches Qualité dans les Collectivités Locales Marocaines." European Scientific Journal ESJ 2 (February 20, 2023). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.2.2023p351.

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Abstract:
Dans cet article nous cherchons à mettre en exergue les formes que prennent les démarches qualité dans la sphère publique marocaine. Il s’agit d’un essai de retour à la littérature de l’histoire des réformes et de la gestion locale, afin d’identifier les formes que les décideurs et les dirigeants marocains donnent aux projets d’amélioration de la qualité des services au sein des administrations locales. Ce travail s’inscrit dans le cadre de notre thèse de recherche sur les démarches qualité dans les collectivités locales marocaine avec un focus sur les communes urbaines. Il s’agit également d’apporter un éclairage sur le fait que les démarches qualité ne se limitent pas uniquement aux séries des normes ISO, à la gestion de la qualité totale ou aux autres référentiels, mais au contraire, les démarches qualité comprennent toutes les approches, les pratiques, les outils qui visent l’amélioration continue de la qualité de service. Par conséquent, nous admettons que toute initiative qui s’inscrit dans cette optique est considérée comme une démarche qualité. Toutes les formes de démarches qualité identifiées au sein des collectivités locales marocaines, ne font pas référence aux normes ISO, ces dernières sont connues comme les démarches les plus sollicitées par les dirigeants des organismes. Ce constat a fait l’objet d’une recherche longitudinale que nous avons menée dans ce type d’administrations publiques.
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Russo, Gláucia. "Amor e dinheiro: uma relação possível?" Caderno CRH 24, no. 61 (December 9, 2011). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v24i61.19042.

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Abstract:
Neste artigo, tentarei compreender em que aspectos a economia monetária modifica ou influencia o amor na modernidade, sem perder de vista que tais relações se inserem em um contexto onde domina o individualismo e as relações mercantis, mas também relações humanas com toda a sua complexidade, contradições e surpresas. Por meio do diálogo com Georg Simmel, em sua discussão sobre dinheiro e a sociedade moderna, e autores como Tönnies, Giddens e Lázaro, problematizamos alguns dentre os variados aspectos presentes nesse debate. Tomamos como pressuposto que amor e dinheiro aparecem em nossa sociedade como polos ao redor dos quais a vida gira e, se, à primeira vista, são representados como elementos antagônicos ou separados, de outro ângulo, são desejos que se complementam. A sociedade do dinheiro, a nosso ver, faz surgir uma nova modalidade de amor: o amor moderno, fabricado, interessado, que não se sustenta sem a base do dinheiro. Palavras-chave: dinheiro, amor, modernidade, sociedade; comunidade.LOVE AND MONEY: A POSSIBLE RELATIONSHIP? Glaucia Russo In this paper I will try to understand which aspects monetary economy changes or affects love in the modernity, without losing sight that such relationships are embedded in a context where market relations and individualism dominate, but also human relations with all their complexity, contradictions and surprises. Through dialogue with Georg Simmel, in his discussion of money and modern society, and authors like Tönnies, Giddens and Lázaro, we discuss some of the various issues involved in this debate. We take for granted that love and money in our society appear as poles around which life revolves, and if, prima facie, are represented as separated or antagonistic elements, from another angle are complementary desires. The society of money, in our view, gives rise to a new kind of love: modern love, manufactured, interested, that cannot stand without the money base. KEYWORDS: money, love, modernity, society, community.AMOUR ET ARGENT: CETTE RELATION ESTELLE POSSIBLE? Glaucia Russo Il s’agit, dans cet article, d’essayer de comprendre sous quels aspects l’économie monétaire modifie ou influence l’amour dans la modernité, sans perdre de vue que de telles relations s’inscrivent dans un contexte où ce sont l’individualisme et les relations de marché qui dominent, mais aussi les relations humaines dans toute leur complexité, leurs contradictions et leurs surprises. En dialoguant avec Georg Simmel, dans son analyse concernant l’argent et la société moderne, ainsi qu’avec des auteurs tels que Tönnies, Giddens et Lázaro, nous avons pu poser le problème des enjeux de ce débat. Nous sommes partis du principe que l’amour et l’argent surgissent dans notre société comme des pôles autour desquels la vie s’articule et, s’ils sont d’abord représentés comme des éléments antagoniques ou séparés, vus dans une autre optique, il s’agit de désirs complémentaires. La société de l’argent fait surgir, à notre avis, un nouveau type d’amour : l’amour moderne, fabriqué, intéressé, qui ne peut exister dans être basé sur l’argent. MOTS-CLÉS: argent, amour, modernité, société, communauté. Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br Publicação Online do Caderno CRH no Scielo: http://www.scielo.br/ccrh
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Chamberland, Line. "Hétérosexisme." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.107.

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Abstract:
L’hétérosexisme réfère à l’ensemble des croyances qui valorisent et promeuvent l’hétérosexualité tout en infériorisant les sexualités non hétérosexuelles. Ainsi, l’hétérosexualité apparaît comme la sexualité universelle, allant de soi, naturelle, normale, morale, bref elle est dotée d’une valeur supérieure en référence à des systèmes normatifs religieux, scientifiques, juridiques ou autres, alors que l’homosexualité (ou toute sexualité s’écartant de la norme hétérosexuelle) se voit dépréciée en tant que crime, péché, acte sexuel non naturel, pathologie, déviance sexuelle, etc. Le concept d’hétérosexisme apparaît aux États-Unis au début des années 1970, en même temps que celui d’homophobie (Herek, 2004). Tout en contestant les savoirs institutionnels de l’époque, ces deux termes proposent néanmoins des voies distinctes de conceptualisation de l’oppression des personnes homosexuelles. L’homophobie inverse le paradigme psychomédical dominant en pathologisant non plus l’homosexualité, mais la peur irrationnelle qu’en ont certains individus. L’hétérosexisme enracine cette oppression dans le social, par analogie avec d’autres systèmes de croyances qui différencient et hiérarchisent des catégories de personnes, comme le racisme et le sexisme (Herek, 2000). Le premier terme emprunte à la psychanalyse alors que le second provient d’une pensée d’inspiration féministe, antiraciste et anticapitaliste. Les deux concepts se diffuseront largement au sein des mouvements de libération des gays et des lesbiennes, puis dans l’univers académique, d’abord dans le monde anglo-saxon et plus tardivement en France (Tin, 2003). À l’origine, le concept d’hétérosexisme s’inscrivait dans des perspectives lesbiennes-féministes. Il s’articulait avec diverses analyses critiques de la place de l’hétérosexualité institutionnalisée dans les processus de subordination des femmes par les hommes (Dugan, 2000). Dans un tel paradigme, l’hétérosexisme fait partie du système patriarcal qui assujettit les femmes, notamment en justifiant leur infériorisation au nom de la différence soi-disant naturelle entre les sexes/genres et de la complémentarité qui en découlerait nécessairement. Sur le plan politique, la notion appelle à une remise en question des constructions socioculturelles de la masculinité et de la féminité et des institutions qui maintiennent des rôles rigides de genre (Herek, 2004). En somme, la régulation des sexualités y est indissociable du maintien des rapports de domination des hommes sur les femmes. Dans cette optique, l’hétérosexisme est envisagé comme un système d’oppression étroitement relié à d’autres inégalités systémiques, comme le sexisme, le racisme ou le classisme (Wilton, 1995). Cependant, dans les usages récents du concept, les références aux théories issues du lesbianisme-féministe ou à l’intersectionnalité des luttes sociales sont le plus souvent absentes. Au fil des décennies, les définitions de l’hétérosexisme se sont multipliées tout en reprenant l’idée essentielle d’un processus systémique de différenciation et de hiérarchisation des sexualités hétérosexuelle et homosexuelle. Selon une recension de Smith, Oades et McCarthy (2012), certaines mettent l’insistance sur la normalisation de l’hétérosexualité et la promotion d’un style de vie hétérosexuel, d’autres sur la disqualification et l’occultation des autres sexualités. Dans cette dernière lignée, l’une des plus courantes est celle du psychologue Gregory Herek (2004) : « une idéologie culturelle qui perpétue la stigmatisation sexuelle en déniant et en dénigrant toute forme non hétérosexuelle de comportement, d’identité, de relation et de communauté non hétérosexuelle » (p. 16, traduction libre). Dans son opérationnalisation, le concept d’hétérosexisme se déploie tantôt vers le social, tantôt vers l’individuel, ce qui n’est pas sans générer des tensions théoriques. Dans le premier cas, la description des manifestations de l’hétérosexisme illustre son ancrage social et culturel, qu’il s’agisse de la présomption d’une hétérosexualité universelle dans les politiques et les pratiques des diverses institutions (écoles, services publics, entreprises, etc.), de l’idéalisation de l’amour hétérosexuel dans les représentations (films, romans, etc.), de l’injonction au silence ou à la discrétion adressée aux gays et aux lesbiennes sous prétexte que la sexualité relève de la vie privée, ou encore de l’assimilation de leurs expériences diverses au modèle dominant de conjugalité hétérosexuelle (Fish, 2006). Sans qu’il n’y ait de consensus sur une perspective théorique commune, les explications de l’hétérosexisme attirent l’attention sur les mécanismes structurels qui en assurent la reproduction, comme le langage et le droit. Dans cette veine, Neisen (1990) définit l’hétérosexisme en associant les notions de préjugés et de pouvoir, ce dernier s’exerçant notamment dans les sphères étatique (criminalisation des relations homosexuelles) et scientifique (discours pathologisants). Dans le second cas, l’accent sera mis sur les effets individuels de l’hétérosexisme en matière de statut et d’inégalités sociales. Ainsi l’hétérosexisme est souvent vu comme la source ou le fondement des attitudes et des comportements homophobes envers les personnes non hétérosexuelles ou perçues comme telles. Par exemple, Pharr (1997) voit dans l’hétérosexisme le pendant institutionnel de l’homophobie : le déploiement systématique de l’idéologie hétérosexiste sur le plan culturel et les gestes homophobes dans les interactions sociales se renforcent mutuellement pour maintenir le pouvoir et les privilèges associés à l’hétérosexualité. Sous cet angle, et malgré leurs racines distinctes sur les plans épistémologique et politique, les concepts d’hétérosexisme et d’homophobie ont souvent été jumelés et présentés comme des notions complémentaires l’une à l’autre, l’un agissant au niveau social, comme une idéologie inégalitaire des sexualités, et l’autre au niveau individuel ou psychologique. Pour sa part, Borrillo (2000) relève l’impossibilité de déconnecter les deux termes puisque l’homophobie ne peut se comprendre indépendamment de la reproduction de l’ordre social des sexes (sexisme) et des sexualités (hétérosexisme). Phénomène à la fois cognitif et normatif, l’hétérosexisme renvoie à « l’ensemble des discours, des pratiques, des procédures et des institutions qui en problématisant ainsi la “spécificité homosexuelle”, ne cessent de renforcer un dispositif destiné à organiser les individus en tant qu’être sexués. » (p. 24). Cependant, les deux notions sont parfois vues comme plus ou moins interchangeables et positionnées comme des concurrentes parmi lesquelles il faut choisir. Une première dissension surgit alors à propos des manifestations d’ostracisme que les deux termes permettent de capter. Au concept d’homophobie, il est reproché d’être androcentrique (centré sur les agressions subies par les hommes gays) et de se focaliser sur les gestes extrêmes d’un continuum de rejet de l’homosexualité, ce qui ne permet pas de rendre compte de leur vaste éventail, ni de leurs formes institutionnelles (Herek, 2004). L’hétérosexisme est considéré comme une notion plus adéquate pour couvrir l’ensemble des manifestations qui reconduisent les inégalités entre les sexualités, y compris les plus subtiles et celles qui s’insinuent dans la banalité du quotidien et que l’on pourrait assimiler au sexisme ordinaire. De même, comparativement aux mesures d’attitudes homophobes, axées sur le rejet, les mesures d’attitudes hétérosexistes, comme l’échelle d’hétérosexisme moderne (Walls, 2008), seraient plus aptes à saisir la persistance des stéréotypes (négatifs mais aussi positifs) envers les personnes gays, lesbiennes ou bisexuelles, même chez les individus exprimant des dispositions favorables à leur égard. Autrement dit, la référence à l’hétérosexisme permet d’enregistrer les changements sociétaux positifs tout en révélant la persistance de la hiérarchie des orientations sexuelles. Toutefois, ce concept sera critiqué en retour comme opérant une dilution ou une euphémisation de l’hostilité généralisée envers les personnes et les sexualités non hétérosexuelles qui en occulterait les démonstrations les plus brutales. Le second axe de tension renvoie aux explications, tantôt psychologiques, tantôt sociologiques, de la stigmatisation des personnes non hétérosexuelles. Le concept d’homophobie a maintes fois été critiqué pour son réductionnisme psychologique (Chamberland et Lebreton, 2012 ; Herek 2004). De même, lorsque le seul usage de l’hétérosexisme est l’application à une mesure d’attitude individuelle, il lui sera reproché d’escamoter toute analyse structurelle et de réduire ainsi la portée analytique du concept. Les implications du choix de l’un ou l’autre concept sont à la fois théoriques et politiques. Plusieurs auteur·e·s optent pour le concept d’hétérosexisme, car il engage à se pencher sur les rapports sociaux et les structures qui reproduisent les inégalités sexuelles. Il s’agit de s’éloigner des schèmes d’explication psychologique ayant la cote dans les sociétés libérales et des solutions uniquement centrées sur l’intervention auprès des individus (sensibilisation, formation, etc.) pour envisager des transformations sociales globales ou à tout le moins des mesures s’attaquant à la hiérarchie des sexualités dans l’organisation des diverses sphères de vie (famille, école, travail, etc.) (Herek, 2004 ; Wilton, 1995). Dans un récent effort de synthèse, Rumens (2016) propose de distinguer l’hétérosexisme culturel, qui réfère à la dimension institutionnelle, et l’hétérosexisme individuel. Avec la montée du post-structuralisme, le concept d’hétérosexisme connaît un certain désaveu, au même titre que d’autres notions faisant référence à toute structure sociale. Son emploi décline au profit du concept d’hétéronormativité créé par Michael Warner (1993), qui met en lumière la normativité langagière et discursive opérant à travers la construction des catégories binaires (des corps, des sexes, des genres, des désirs, etc.) qui composent la matrice de l’hétérosexualité (Herek, 2004). Dans le champ interdisciplinaire des études sur la sexualité, l’hétérosexisme demeure un concept central pour analyser la stratification sexuelle et les inégalités sociales qui en découlent. Bien que le concept se prête à plusieurs définitions, son potentiel heuristique est maximisé lorsqu’il se conjugue à des cadres théoriques et analytiques susceptibles de rendre compte de l’inscription d’une idéologie qui privilégie systématiquement l’hétérosexualité dans les institutions, dans les pratiques sociales et culturelles et dans les interactions quotidiennes, exerçant ainsi une contrainte à l’hétérosexualité (Fish, 2006).
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González Sánchez, Margarita, and José Manuel Muñoz Rodríguez. "La formación de ciudadanos críticos. Una apuesta por los medios." Teoría de la Educación. Revista Interuniversitaria 14 (November 13, 2009). http://dx.doi.org/10.14201/2994.

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Abstract:
RESUMEN: Los medios de comunicación requieren de una constante reflexión en torno al papel que desempeñan en la sociedad actual. En este artículo se parte de la idea de abrir el mundo cerrado del aula al entorno, rico en posibilidades educativas. Pensamos que hemos de comprender desde el entorno exterior de los centros los mensajes que emiten los medios de comunicación para así asumir el reto formativo que nos plantean, principalmente en la edad en la que los individuos, si bien no manipulan esos medios, sí reciben su información.En esta perspectiva, la cuestión radica no tanto en hacer uno u otro uso de los medios, ni incluso disponer de un tamiz educativo que filtre el acceso a ellos, sino más bien en interpretar el lenguaje significativo y comunicacional de los medios para así poder encontrar las claves formativas de lo que debe ser una educación autónoma y crítica en los medios. Ello supone la necesidad de potenciar y desarrollar una formación en medios, formando personas reflexivas y críticas ante ellos; es necesario enseñar a interpretar y actuar con el conocimiento, a saber manejar de forma crítica y creativa las fuentes de información y el mejor instrumento en este sentido es la educación, que debe estar en permanente diálogo con los medios si quiere hacer de los ciudadanos del siglo xxi sujetos críticos, autónomos y reflexivos ante los medios.ABSTRACT: The communication media require a constant reflection around the role that they play in current society. In this article it is started from the idea of opening the closed world of the classroom to the outside environment, rich in educational possibilities. We think that we have to understand from the foreign environment the messages issued from the media, in order to assume the formative challenge that they put forward to us, principally in the age in which the individuals, even though they do not handle those media, receive its information.In this perspective, the question lives not so much in making one or other use of the media, neither including having an educational sieve than it filters access to them, but rather in interpreting the significant and communication language of the media. And in this way we will to be able to find the training keys to reach an independent and critical education on the media's world. It means the need to promote and develop training in media, in order to train reflexive and critical people face to it. It is necessary to teach to interpret and act with the knowledge. It is necessary, as well, to teach on how handle in a critical and creative way the sources of information. And the best instrument in this sense is the education, which must be in permanent dialogue with the media if it wants to do critical, independent and reflexive subject citizens of the 21st century confronted to the communication media.SOMMAIRE: Les moyens de communication demandent une constante réflexion quant à son rôle dans la société actuelle. Cet article part de l'idée d'ouvrir le monde fermé de la classe vers l'extérieur, riche en possibilités éducatives. Nous pensons qu'il faut comprendre depuis l'environnement extérieur de l'école les messages émis par les moyens de communication; de cette façon nous pourrons mieux relever le défi dans le domaine de la formation, surtout à l'âge où les individus —même s'ils n'utilisent pas ces moyens— reçoivent toute l'information.Dans cette optique, la question clé ne se trouve pas dans l'utilisation des ces moyens ni dans l'établissement d'un filtre éducatif pour y accéder. La vraie question est plutôt de savoir bien interpréter le langage significatif de ces moyens de communication, dans le but d'être capable d'identifier les solutions quant aux formations propres à une éducation autonome et critique. Cela implique d'encourager et de développer une formation dans le domaine des moyens de communication, tout en formant des personnes à faire preuve de réflexion critique à cet égard. Il faut dès lors apprendre à interpréter et agir en connaissance de cause, ainsi qu'à utiliser les sources d'information de manière critique et créative. Et la meilleure façon d'atteindre cet objectif est l'éducation, qui doit être en dialogue constant avec ces moyens de communication si l'on veut faire des citoyens du xxi siècle des sujets critiques et autonomes.
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Biache, Marie-Joseph, and Géraldine Rix-lièvre. "Sport (pratiques sportives)." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.027.

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Abstract:
Le sport, envisagé sous l’angle des pratiques sportives, s’inscrit dans un ensemble plus vaste de comportements : celui des pratiques corporelles. Ces dernières peuvent constituer l’objet de travaux anthropologiques (Bromberger, Hayot, Mariottini 1995; Darbon 2002; Garnotel 2009 ; Sizorn 2007). Le sport, en tant que phénomène social complexe, se prête à l’analyse sociologique, car il semble attaché, à la fois comme résultante et comme cause d’autres phénomènes, au faisceau de déterminismes sociaux, économiques et institutionnels. Il est avant tout une institution, autant dans son mode de constitution -il n’y a de sport à proprement parler qu’inscrit dans et produit par des instances sportives internationales, nationales et locales- que dans son expression. Le sport renvoie à un système autonome, structuré, réglementé. La sociologie souligne l’importance de la création et du développement institutionnel du sport comme phénomène social, et des différents sports comme expressions propres de ce phénomène, à la fois sociologiquement définies et socialement distinctes (Darbon 2008). La perspective d’analyse institutionnelle du sport -développement et dynamique des structures institutionnelles et politiques- trouve son complément dans des recherches sociologiques plus centrées sur des aspects spécifiques du phénomène global. Les processus de distinction de communautés ou de groupes de pratiques focalisent le regard de certains pans de la recherche : la question centrale du genre y prend toute sa place (Menesson, Clément, 2009). L’intérêt porté aux trajectoires sociales et professionnelles des sportifs est une autre manière d’aborder le phénomène « sport » (Sobry 2010). Ce dernier n’est cependant pas envisageable sans le regard public qui s’y porte, car le sport est aussi un spectacle. La description des publics comme l’étude du supportérisme font partie intégrante de l’analyse du phénomène ainsi que l’examen de ses modalités de construction médiatique et économique : la vision devient sociétale (Ohl 2010). Cependant, les pratiques sportives, manifestations premières du phénomène, sont aussi l’objet d’investigations relevant de l’histoire sociale de leur évolution. L’histoire institutionnelle trouve une inspiration et un complément dans la description des rapports entre changement des pratiques sportives et évolution de la sphère technologique. Le sport est envisagé comme analyseur des mentalités, mais aussi comme hypostase des avancées de la connaissance du corps. L’évolution des préparations à la compétition, le recours à des moyens artificiels de maximisation des performances physiques sont la traduction des changements dans le rapport au corps, à la fois sociaux et culturels et instrumentaux. Mais les pratiques sportives peuvent également être l’objet d’une histoire des techniques, non seulement celle des artéfacts, mais aussi celle des formes de mouvement, marquées par des types sociaux et des structures opératoires (Vigarello 1988). Le retour vers une centration sur les pratiques proprement dites introduit à une perspective plus anthropologique que sociologique -sans que toutefois la frontière soit délimitée avec évidence. Une ethnologie des groupes et communautés de pratiquants peut dans ce cas être entreprise, l’accent étant porté sur la description et l’analyse des comportements qui font unité, cohérence et signification, autant pour les pratiquants que pour les spectateurs, les chercheurs étant alors en mesure de circonscrire des cultures sportives (Darbon 2002; Fournier, Raveneau 2010). Parallèlement, les pratiques sportives détiennent un sens pour leurs acteurs et traduisent simultanément le versant idiosyncrasique de la communauté ou du groupe. Elles sont un support d’identité et d’appartenance, mais aussi l’expression de connaissances particulières et d’une forme de morale incarnée. Elles appartiennent au domaine plus vaste des techniques du corps et une étude historique peut en être produite comme peut en être constituée une ethnologie, laquelle accorde aux usages du corps une place principale. Garnotel (2009) montre par exemple que devenir un cycliste professionnel suppose de construire progressivement les techniques corporelles du métier liées tant à l'entraînement qu'au soin du corps ou l’absorption de produits « dopants » et s’inscrit dans une morale incarnée liée à l’optimisation de la performance, même si celle-ci s’oppose à l’éthique absolue du sport. Les pratiques sportives, à l’instar de toutes les pratiques corporelles, supposent un apprentissage technique et une conformation du corps acquise par le sujet. Elles sont simultanément actes et connaissances, ces dernières présentes sur deux registres. Le premier est celui des théories locales ou indigènes de l’action des sujets, largement saturées de concepts pragmatiques (Rolland et Cizeron 2011) ; le second est celui des connaissances implicites et tacites modulées par des normes d’action et des valeurs d’actes. Sizorn (2007) dévoile par exemple, que l'expérience des trapézistes est marquée par la légèreté et l'aisance tout autant que par la douleur et la peur, registres qui construisent la corporéité et l'identité des pratiquants. Ainsi envisagées, les pratiques sportives redeviennent celles d’un groupe ou d’une communauté, caractérisées par une dialectique entre technique singulière et connaissances collectives, ces dernières relevant essentiellement de représentations et de convictions. Elles n’échappent pas aux modalités de sexuation présentes dans les groupes humains lesquelles participent à l’attribution, implicite ou explicite, de normes et de valeurs aux actions. La relation en quelque sorte organique entre comportements et connaissances permet d’inscrire les pratiques sportives, comme techniques du corps, dans le régime de la tèchné grecque : le savoir-faire est en rapport étroit avec un savoir portant sur le sens du monde. Ces pratiques appartiennent à une expérience constituée, à la fois collective et individuelle. Une telle optique cognitive peut trouver un complément dans une analyse symboliste. Les pratiques sportives expriment et supportent un sens constitutif de la communauté : le sport devient un espace projectif dont la signification est cachée ; il peut être dans ce cas la représentation d’une transcendance et/ou une pratique ritualisée. Les pratiques sportives sont alors envisagées de manière étendue, non limitée à la perspective technique, le versant psychologique qui les marque spécifiant le processus à l’œuvre. Il est ainsi plus difficile de développer l’idée d’une anthropologie du sport que l'idée d'une anthropologie des pratiques corporelles. En tant que phénomène général, le sport est principalement l’objet d’une sociologie, même s'il peut être celui d'une anthropologie qui reste alors philosophique, soutenant l'universalisme du phénomène et promouvant un idéal sportif. Le phénomène sportif y est envisagé de façon a-culturelle; l'anthropologue considère dans ce cas les pratiques de manière transcendante et reconstruit intellectuellement leur unité phénoménologique. En revanche, l’intérêt premier accordé aux sujets des pratiques sportives, à leurs actes et aux connaissances qu’ils formulent à propos de ceux-ci, doit mener à une anthropologie des pratiques corporelles. Si une ethnologie distingue des styles de pratiques sportives, une anthropologie suppose d'emprunter des propositions théoriques qui établissent la nature des connaissances incorporées qui sous-tendent les pratiques. Ainsi, l'arbitrage en rugby peut être étudié comme une pratique particulière au cours de laquelle l'arbitre montre et impose aux joueurs ce qui est possible relativement aux modalités cognitives selon lesquelles il appréhende spontanément l'activité des joueurs (Rix 2007). En ce sens, seule une anthropologie cognitive des pratiques sportives pourrait, à partir des travaux de terrain, mettre à jour les modes généraux -voire universels- de connaissance sous-jacents à l’inscription des activités corporelles humaines dans un cadre socialement normé.
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Caroline, Hervé. "Réconciliation." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.113.

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Abstract:
La réconciliation est une préoccupation contemporaine qui oriente les politiques et les actions des institutions et des individus dans certains contextes nationaux et internationaux. Les politiques de réconciliation se déploient à la suite d’épisodes traumatiques dans le but de rebâtir des relations de confiance et de respect entre des États et des individus ou des groupes brimés. Elles se développent également dans les démocraties modernes dans le but de réparer la relation entre certains groupes et engager les pays dans des processus de démocratisation et d’inclusion des différents groupes culturels, ethniques et sociaux. Souvent édictées comme des politiques nationales, elles s’implantent à travers des mesures concrètes dans les différents niveaux institutionnels de la société et orientent les discours dominants. La question de la réconciliation a reçu l’attention des chercheurs en sciences sociales, en droit, en science politique, en philosophie morale, mais également en littérature ou en théologie. Il s’agit d’un objet dont l’anthropologie s’est emparé récemment en montrant la diversité des contextes dans lesquels il se déploie, les rapports de pouvoir sous-jacents et les significations variées que les différents groupes sociaux lui assignent. La réconciliation, comme projet politique national, est souvent mise en place à la suite des travaux d’une Commission de vérité et réconciliation (CVR) visant à éclairer certains troubles politiques et restaurer la justice sociale ou un nouvel ordre démocratique dans une optique de justice réparatrice. La Commission nationale d’Argentine sur la disparition des personnes (1983) est considérée comme la première d’une longue série de commissions qui ont enquêté sur des situations de troubles politiques, de guerres civiles, de répressions politiques, de génocide. Plus d’une quarantaine de commissions ont été dénombrées depuis cette date (Richards et Wilson 2017 : 2), principalement en Afrique (Tunisie, Burundi, Côte d’Ivoire, Togo, etc.), dans les Amériques (Canada, Pérou, Brésil) ou encore en Asie (Timor oriental, Népal, etc.). Parmi les plus importantes, on compte la Commission nationale de vérité et de réconciliation du Chili (1990-1991) qui a documenté les circonstances des milliers de disparitions et de morts sous la dictature d’Augusto Pinochet et préparé le pays vers une transition démocratique. La Commission de vérité et de réconciliation d’Afrique du Sud (1996-1998) visait quant à elle à recenser toutes les violations des droits de l’homme commises dans le pays au cours des décennies précédentes et à mettre fin à l’apartheid. La plupart du temps, ces commissions sont le résultat de pressions exercées par des groupes d’activistes au sein d’un État, ou, comme c’est de plus en plus souvent le cas, de pressions exercées au niveau international par les organisations non gouvernementales ou d’autres mouvements politiques. Elles constituent des organismes indépendants des appareils judiciaires et leur objectif premier est d’enquêter sur les coupables et les victimes et d’émettre des recommandations en vue de restaurer la paix (Richards et Wilson 2017 : 2). Ces Commissions de vérité et réconciliation s’appuient sur des principes de droit international, mais certains auteurs y voient aussi la résurgence d’une éthique religieuse à travers l’importance donnée au concept de pardon, central dans plusieurs religions du Livre, comme l’Ancien Testament, le Nouveau Testament ou encore le Coran (Courtois 2005 : 2). Les anthropologues ont montré qu’en fonction des méthodologies utilisées lors des enquêtes, les discours sur la vérité peuvent varier. Ainsi, certaines histoires ou expériences sont rendues visibles tandis que d’autres sont oubliées (Buur 2000, Wilson 2003, Ross 2002). Au fil du temps, les CVR ont eu des mandats, des prérogatives et des applications différents. En témoigne la CVR du Canada qui avait pour but, non pas d’assurer la transition d’un pays autocratique vers une démocratie, mais de lever le voile sur les expériences de déracinement et de violence vécues par les peuples autochtones au sein des pensionnats. À l’image du travail de Susan Slyomovics (2005) sur la Commission du Maroc, les anthropologues ont analysé les programmes de réparation et de restitution mis en place par certaines commissions. Ils ont aussi montré que certains groupes sociaux restaient marginalisés, comme les femmes (Ross 2002). Theidon (2013), dans son travail sur la commission de vérité et réconciliation du Pérou, a montré de son côté que les CVR oublient souvent d’inclure des enquêtes ou des discussions sur la façon dont les violences politiques détruisent les relations familiales, les structures sociales ou les capacités de production économique de certains groupes. Les anthropologues permettent ainsi de mieux comprendre les perspectives des survivants face au travail et aux recommandations de ces commissions en documentant la diversité de leurs voies et de leurs expériences. Ils montrent que la réconciliation est avant tout un projet construit politiquement, socialement et culturellement. La réconciliation est un objectif central à la plupart des CVR, mais elle est un objectif qui la dépasse car elle est la plupart du temps mise en place une fois que la CVR a achevé ses travaux et émis ses recommandations. Les CVR ont en effet rarement l’autorité de mettre en place les recommandations qu’elles édictent. Les anthropologues Richards et Wilson (2017) présentent deux versions de la réconciliation en fonction des contextes nationaux : une version allégée (thin version) à travers laquelle les politiques nationales encouragent la coexistence pacifique entre des parties anciennement opposées ; et une version plus forte (thick version) lorsque des demandes de pardon sont exigées à ceux qui ont commis des crimes. Si la réconciliation suppose qu’un équilibre puisse être restauré, il n’en reste pas moins qu’elle se base sur une interprétation spécifique de l’histoire (Gade 2013) et qu’elle participe à la construction d’une mémoire individuelle, collective et nationale. Cette notion permet donc d’offrir un cadre souple aux élites qui prennent en charge le pouvoir après les périodes de troubles pour que celles-ci puissent (re)légitimer leur position et les institutions politiques, souvent héritières de ce passé qu’on cherche à dépasser (Richards et Wilson 2017 : 7). Ce discours sur la réconciliation vise ainsi à instiller des valeurs morales publiques et construire une nouvelle image commune de la nation. Selon Wilson, les CVR seraient des modèles promus par les élites politiques pour construire une nouvelle harmonie qui permettrait d’occuper la conscience populaire et la détourner des questions de rétribution et de compensation financière. Le nouvel ordre politique est présenté comme étant purifié, décontaminé et déconnecté avec l’ancien ordre autoritaire, une façon de construire une nouvelle vision de la communauté en inscrivant l’individu dans un nouveau discours national (Wilson 2003 : 370). La réconciliation, comme projet politique national, ne fait en effet pas toujours l’unanimité. Par exemple, elle est devenue une véritable préoccupation collective au Canada depuis la remise du rapport de la Commission de vérité et réconciliation du Canada en 2015, mais le sens donné à celle-ci varie. Même si le rapport de la CVRC prévient qu’il n’y a pas une vérité ou une vision de la réconciliation (CVRC 2015 : 14) et que pour les Autochtones, la réconciliation exige aussi une réconciliation avec le monde naturel (CVRC 2015 : 15), ce processus national est vivement critiqué par certains intellectuels autochtones, comme Taiaiake Alfred (2016), pour qui la réconciliation est un processus de « re-colonisation » qui occulte la dynamique coloniale encore à l’œuvre (Alfred 2011 : 8). Cette critique se retrouve dans d’autres contextes postcoloniaux, comme en Nouvelle-Zélande ou en Australie, où les excuses proférées par les gouvernements concernant les différentes formes d’injustice subies par les peuples autochtones oblitèrent les enjeux les plus cruciaux, à savoir la nécessité d’abolir les politiques coloniales et de faire avancer les projets d’autonomie politique des Autochtones (Johnson 2011 : 189). La réconciliation est constitutive de toute relation sociale et en ce sens elle peut être instrumentalisée au sein de discours visant à faire ou défaire les liens sociaux (Kingsolver 2013). C’est donc aussi là que se situe l’enjeu de la réconciliation, sur la capacité à s’entendre sur ce qu’est une bonne relation. Borneman définit la réconciliation comme un au-delà de la violence (departure from violence), c’est-à-dire comme un processus intersubjectif à travers lequel deux personnes ou deux groupes tentent de créer une nouvelle relation d’affinité, non plus marquée par la violence cyclique, mais par la confiance et l’attention réciproques ; cela étant possible seulement si les États instaurent des politiques de réparation et que la diversité des points de vue des personnes concernées par ces politiques est prise en compte (Borneman 2002 : 282, 300-301). En ce sens, une lecture anthropologique au sujet de la réconciliation permet de développer une réflexion critique sur la réconciliation en la considérant avant tout comme une préoccupation politique contemporaine dont il s’agit de saisir le contexte d’émergence et les articulations et comme un processus à travers lequel les individus tentent, à partir de leurs points de vue respectifs, de redéfinir les termes d’une nouvelle relation. La discipline anthropologique est en effet à même de mettre au jour les rapports de pouvoir inhérents aux processus de réconciliation, de révéler les significations culturelles sous-jacentes que les différents acteurs sociaux attribuent au pardon, à la réconciliation ou encore à ce qui constitue les bases d’une relation harmonieuse. L’anthropologie peut enfin lever le voile sur les dynamiques de réciprocité et de don/contre-don qui se déploient au travers de ces processus et ainsi décrypter les multiples dimensions qui participent à la fabrique des sociétés.
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Dunoyer, Christiane. "Alpes." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

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Abstract:
Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?

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