Journal articles on the topic 'Tourismes culturel et de loisir'

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Langlois, Simon. "Loisir, culture, villégiature et tourisme dans les budgets des ménages québécois, 1969-2006." Les Cahiers des dix, no. 63 (June 8, 2010): 279–306. http://dx.doi.org/10.7202/039920ar.

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Abstract:
Quatre ensembles de dépenses – pour la culture, le loisir, la villégiature et le tourisme – effectuées au sein du foyer et en dehors, ont occupé une place grandissante dans les budgets des ménages québécois au cours de la seconde moitié du XXe siècle. La fréquence des débours, les sommes affectées aux différents types de consommation, l’importance relative et la structure d’ensemble des dépenses sont étudiées. Les dépenses pour le loisir sont les plus importantes mais en régression dans le temps. La villégiature et le tourisme sont des activités en forte croissance tant en volume qu’en fréquence de consommation. D’autres activités comme le cinéma et les consommations à caractère culturel prennent place de plus en plus au sein du domicile, maintenant bien équipé avec une panoplie de biens électroniques utilisés afin de meubler les temps libres. Le contenu de ces fonctions de consommation est devenu très diversifié. Des changements dans les modes de vie et dans la structure de la population – hausse du revenu discrétionnaire, baisse de la fécondité, augmentation du nombre de retraités – de même que le développement de l’offre de produits et services nouveaux par le système de production expliquent l’extension considérable des dépenses pour le loisir et la culture dans les budgets des ménages. La consommation apparaît davantage individualisée, un aspect lié notamment à l’avènement de nouveaux équipements électroniques au domicile et dans la vie privée.
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SUCHET, André. "Acteurs et dynamiques de projet dans l’histoire d’une impossible reconversion de territoire. Abondance, petite station de sports d’hiver dans les Alpes du Nord." Cahiers de géographie du Québec 60, no. 171 (October 2, 2017): 493–514. http://dx.doi.org/10.7202/1041219ar.

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Abstract:
Le village-station d’Abondance, dans les Alpes françaises du Nord, décide au printemps 2007 la fermeture définitive du domaine skiable en difficulté économique pour se reconvertir en destination de tourisme culturel autour de son patrimoine gothique. Mais cette « nouvelle donne » suscite localement un vif rejet et, à la suite de multiples retournements de situation, les remontées mécaniques sont remises en état, tandis que les projets de tourisme culturel sont abandonnés. Presque 10 ans après cette affaire médiatisée, notre étude analyse socialement, historiquement et politiquement (à partir d’une méthode qualitative de terrain) le système d’acteurs et les enjeux de cette non-reconversion ou, plutôt, de cette continuité des activités de sports d’hiver en moyenne montagne à l’échelle locale. Les résultats mettent en évidence les ressorts de la construction d’un attachement territorial à une économie particulière, en l’occurrence les sports d’hiver. Un attachement motivé notamment par un rapport de classe entre le monde agricole (peu favorable aux sports d’hiver et en perte de vitesse) et le secteur du tourisme, dont l’histoire de vie des acteurs montre la revanche sociale que constitue pour eux cette économie du loisir.
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Paquin, Maryse. "Évaluation de l’appréciation des premiers diplômés du programme court de 2e cycle en interprétation et médiation culturelles." Éducation et francophonie 43, no. 1 (May 1, 2015): 116–30. http://dx.doi.org/10.7202/1030184ar.

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Abstract:
À l’écoute des besoins de formation de la société, les universités ont pour rôle de proposer une offre éducative visant à mieux préparer l’étudiant à relever les défis qui l’attendent, une fois diplômé. Depuis les années 2000, les institutions culturelles sont nombreuses à réclamer une formation universitaire sur la médiation culturelle. Dans ce contexte, le Département d’études en loisir, culture et tourisme de l’Université du Québec à Trois-Rivières offre, depuis l’automne 2010, un programme court de 2e cycle en ce domaine. Une évaluation de l’appréciation des diplômés de la première cohorte a été menée. Les résultats montrent qu’en plus de nouvelles connaissances ces diplômés ont acquis une capacité de réflexion critique sur la théorie et les pratiques professionnelles en médiation culturelle, une autonomie intellectuelle et professionnelle, une identité professionnelle forte, de même qu’une capacité d’agir en développement culturel. Parmi les pistes éventuelles de développement de la formation, il apparaît opportun de poursuivre l’évaluation de l’appréciation auprès d’un plus grand nombre de diplômés, de mettre sur pied une association professionnelle et de coordonner la mise en oeuvre de programmes d’études supérieures spécialisées afin de permettre aux étudiants intéressés d’approfondir la réflexion d’ordre théorique et pratique amorcée au programme court.
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Yoni, Moïse, Issaka Senou, and Elie Yempabou Yonli. "Caractérisation des Parcs Agroforestiers à Anarcadium occidentale L. et Services Ecosystémiques dans la Forêt Classée de Dindéresso à l’Ouest du Burkina Faso." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 27 (September 30, 2023): 203. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n27p203.

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Abstract:
Les parcs agroforestiers à Anacardium occidentale fournissent de nombreux services aux populations locales de la Forêt Classée de Dindéresso (FCD) à l’Ouest du Burkina Faso. En dépit de cette importance, la nature de ces services est mal documentée. La présente étude a pour but de caractériser les parcs agroforestiers à Anacardium occidentale de la FCD et d’identifier les services écosystémiques. L’étude a été réalisée à partir des enquêtes sociodémographiques, ethnobotanique et d’inventaire forestier auprès des producteurs et de la population environnante. Notre étude montre que l’exploitation des parcs est faite exclusivement par des hommes, tous de l’ethnie autochtone Bobos. Aussi le faible niveau d’alphabétisation affiché n’optimise pas l’exploitation des plantations d’anacardier. Les services écosystémiques les plus importants sont ceux de l’approvisionnement (alimentation, 24,6% ; bois énergie, 24,6% et médicaments, 24,6%), de régulation (climat, 51.74%) et culturel (loisirs, 50.94% et tourismes 45.28%). Les parties de l’anacardier les plus utilisées en pharmacopée sont préférentiellement l’écorce (63.04%), les racines (26.08%) et les feuilles (10.88%), administrés par voie orale et en bain. Les fruits sont principalement transformés en cacahouètes (27.67%) et en pâte (21.27%). Les causes de dégradation majoritairement exprimées sont le pâturage (17.82%), les déchets ménagers (17.82%) et les feux de végétation (14.72%). Par contre les contraintes de production les plus citées sont les vents violents (17.64%) et les attaques d’insectes (15.96%). Les résultats ont aussi mis en évidence la dégradation des parcs depuis les 20 dernières années couplée à une baisse flagrante de la production et une rareté de l’espace cultivable. L’inventaire floristique a permis d’identifier l’état sanitaire des anacardiers, dont la plus grande menace est le parasitisme (19.86%). Il a aussi montré l’importance de la FCD pour la population environnante principalement pour le ramassage de bois (18.58%) et la récolte des fruits (18.58%). Les espèces ligneuses préférentiellement associées à l’anacardier sont Vitellaria paradoxa (37%) et Parkia biglobosa (17%), tandis que les cultures majoritairement associées sont Zea mays (70%) et Phaseolus vulgaris (68%). Les mesures dendrométriques effectuées sur 988 individus montrent que le diamètre moyen (DBH) est de 32.39 cm et le diamètre moyen du houppier de 7.52 m. Par ailleurs la plupart des individus des plantations ont des diamètres compris entre 20 et 45 cm caractéristique d’un peuplement artificiel équienne. Des actions sylvicoles ciblées pour ouvrir la canopée et le sous-bois doivent donc être menées pour améliorer les conditions de germination et de survie des semis de l’espèce. Agroforestry parks with Anacardium occidentale provide numerous services to local populations in the Forêt Classée de Dindéresso (FCD) in western Burkina Faso. Despite this importance, the nature of these services is poorly documented. The aim of the present study is to characterize the western Anacardium agroforestry parks of the FCD and to identify ecosystem services. The study was based on sociodemographic, ethnobotanical and forest inventory surveys of producers and the surrounding population. Our study shows that the parks are exploited exclusively by men, all from the indigenous ethnic group. This gives them full access to the land, unlike migrants. Also, the low level of literacy displayed does not optimize the exploitation of cashew plantations. The most important ecosystem services are those of supply (food, 24.6%; wood energy, 24.6% and medicines, 24.6%), regulation (climate, 51.74%) and cultural (leisure, 50.94% and tourism, 45.28%). The parts of the cashew tree most commonly used in the pharmacopeia are bark (63.04%), roots (26.08%) and leaves (10.88%), administered orally and in baths. Fruits are mainly processed into peanuts (27.67%) and paste (21.27%). The main causes of degradation are grazing (17.82%), household waste (17.82%) and vegetation fires (14.72%). On the other hand, the most cited production constraints were strong winds (17.64%) and insect attacks (15.96%). The results also highlighted the degradation of the parks over the last 20 years, coupled with a flagrant drop in production and a scarcity of cultivable space. The floristic inventory enabled us to identify the health status of cashew trees, the greatest threat being parasitism (19.86%). It also showed the importance of FCD for the surrounding population, mainly for gathering wood (18.58%) and harvesting fruit (18.58%). The woody species most commonly associated with cashews are Vitellaria paradoxa (37%) and Parkia biglobosa (17%), while the crops most commonly associated are Zea mays (70%) and Phaseolus vulgaris (68%). Dendrometric measurements carried out on 988 trees show that the average diameter (DBH) is 32.39 cm and the average crown diameter is 7.52 m. Most of the trees in the plantations have diameters of between 20 and 45 cm, characteristic of an even-aged artificial stand. Targeted silvicultural measures to open up the canopy and undergrowth are therefore needed to improve germination and survival conditions for the species seedlings.
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Massiera, Bernard, Simona Ionescu, and Sorina Cernaianu. "Étude comparative des pratiques et représentations du sport en Roumanie et en France : les conséquences d'un héritage politique différent." Revue d’études comparatives Est-Ouest 39, no. 2 (2008): 173–200. http://dx.doi.org/10.3406/receo.2008.1900.

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Le développement des activités physiques de loisir reste furtif en Roumanie comparativement à celui de la France, alors que son élite olympique se maintient à un très haut niveau et que son admission dans la mouvance européenne l'entraîne dans une émancipation sociale et économique. Ce paradoxe nous invite à comparer les pratiques et les représentations du sport dans ces deux pays. Une enquête comparative met en évidence que le sport en Roumanie renvoie à des usages fonctionnels s'éloignant de la dimension hédoniste du loisir sportif observée en France. Cette situation semble être un héritage culturel du communisme, qui usait du sport comme d'un outil idéologique pour forger des représentations nationalistes, et entrave l'action politique actuelle visant le développement des formes ludiques du sport.
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Njuwu Chupenga, Claude. "Pluralisme et développement culturel : défi pour l’animation." Revue internationale animation, territoires et pratiques socioculturelles, no. 10 (June 15, 2016): 1–8. http://dx.doi.org/10.55765/atps.i10.573.

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Dans le contexte actuel d’urbanisation névrotique, traversé par des conflits liés au pluralisme, les animateurs adoptent une approche de démocratie culturelle. Mais cette perspective favorable à l’épanouissement culturel des communautés peut-elle s’appliquer en milieu rural ? En effet, aussi bien dans les pays développés que ceux du Sud, un système informel se développe parfois loin des centres urbains à côté du système officiel d’éducation qu’est l’école. La création des foyers de jeunesse, des centres d’animation, des complexes sportifs et autres, contribue au développement des individus et des communautés dans ces localités. Cette perspective exige de réhabiliter le rôle de l’animateur, trop souvent réduit à celui d’amuseur public. L’animation doit pouvoir s’ériger en un vaste champ de créativité. Elle consiste à co-créer avec les individus, les groupes et les communautés des activités de loisir susceptibles d’améliorer la structure cognitive, morale, psychologique et physique des participants. L’animation doit être un facteur de rapprochement.
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Wharton, Chris, and John Fenwick. "Real urban images: policy and culture in northern Britain." Culture and Local Governance 4, no. 1 (December 20, 2012): 1–30. http://dx.doi.org/10.18192/clg-cgl.v4i1.824.

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Abstract: This paper explores recent attempts to re-imagine and re-brand northern British cities through processes of economic and (mainly) cultural regeneration. It analyses the creation of new contemporary urban images and presentations and compares these with the economic, social and cultural life experiences of people living in the areas. It examines the process of recharacterising former industrial conurbations as being at the cutting edge of contemporary, postmodern culture. A range of features is identified here within similar political, economic and policy contexts: deindustrialisation and regeneration driven by local business and political elites; emphasis on culture as spectacle to the exclusion of other cultural configurations; reliance on tourism and advertising, hyper consumption and leisure as determining aspects of the local economy; and the reorganisation of city populations. Keywords: Visual culture; city; Britain; cultural policy; cultural regeneration Résumé: Cet article explore les tentatives récentes de ré-imaginer et de « re-brander » les villes du nord de la Grande-Bretagne par le biais de stratégies de régénération urbaine mettant principalement l’accent sur les interventions de nature culturelle. Cet article met en relief la recomposition du paysage visuel urbain des villes du nord pour les contraster avec les conditions économiques, sociales et culturelles qui caractérisent l’existence et l’expérience des citadins qui y vivent. En particulier, il s’agit notamment d’examiner les pratiques et le processus de redéfinition des espaces industriels en lieux qui incarnent le contemporain et l’avant-garde de la culture postmoderne. De ces observations, on constate des similitudes dans les moyens utilisés par les autorités dans des contextes qui partagent les mêmes conditions politiques et économiques, à savoir : la régénération entendue comme un projet porté par les élites politiques et économiques locales; un accent mis sur la culture « spectacle » au détriment d’une compréhension et d’un usage plus inclusif de cette dernière; un accent marqué sur les activités de promotion touristique; l’hyperconsommation et le loisir en tant que moyens de développement local; et la réorganisation et la recomposition de la population urbaine comme conséquence de ces mobilisations de la culture. Mots clé : Culture visuelle, ville; Grande-Bretagne; politiques culturelles; régénération urbaine
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Da Nóbrega, Petrucia, and Laís Saraiva Torres. "La boue comme champ expressif : une esthésiologie du corps et la motricité en danse." Movement & Sport Sciences - Science & Motricité, no. 99 (2018): 69–75. http://dx.doi.org/10.1051/sm/2018006.

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Il s’agit de présenter le corps esthésiologique à partir des récits en première personne des participants à la manifestation traditionnelle « Os Cão », pendant le Carnaval de la plage de Redinha, à Natal, au Brésil, en 2017. D’autre part, il s’agit d’évoquer le spectacle « Cão sem plumas » (Le Chien sans plumes), de Débora Colcker pour créer des liens entre l’esthésiologie et l’expérience esthétique de la boue comme un champ expressif pour l’écologisation du corps vers la création de nouveaux sens pour la motricité, notamment dans le domaine de la danse. Une telle proposition nous aide à comprendre la quête de la danse vers une nouvelle fabrication poétique du réel en interaction avec la nature, au mouvement et à la notion du spectacle lui-même au-delà du divertissement ou du simple « loisir » mais comme pourvoyeur de sens existentiel, esthétique et culturel.
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Aceti, Monica. "Des imaginaires en controverse dans la pratique de la capoeira : loisir, « métier » et patrimoine culturel immatériel." Staps 87, no. 1 (2010): 109. http://dx.doi.org/10.3917/sta.087.0109.

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Bertho Lavenir, Catherine. "La biographie en histoire culturelle." Globe 15, no. 1-2 (March 6, 2013): 183–99. http://dx.doi.org/10.7202/1014631ar.

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Cet article pose la question des rapports particuliers entre histoire culturelle et projet biographique. Il explore les différents liens entre les deux domaines. Les textes relevant de l’écriture de soi sont des sources privilégiées de la biographie. Ces sources doivent être réintégrées dans leur contexte culturel pour être bien comprises. L’auteur d’un journal intime, d’une correspondance ou d’un journal de voyage se décrit et décrit le monde qui l’entoure avec les outils mentaux et stylistiques qui lui ont été fournis par son éducation, son milieu, sa génération. La question du genre est centrale dans cette perspective. Par ailleurs, ces sources décrivent des pratiques qui appartiennent à l’histoire culturelle dans ses différentes dimensions. Elles donnent des éclairages originaux sur la vie culturelle envisagée au sens étroit du terme (lecture, théâtre, vie musicale), mais aussi sur la dimension anthropologique de la culture : de l’éducation des enfants à la sémiologie du costume, et des pratiques de loisir à la vie religieuse.
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Cartier, Alice, and Yves Morales. "Événementiel sportif et attractivité urbaine et touristique des territoires." Méga-événements sportifs 33, no. 1 (June 14, 2016): 32–40. http://dx.doi.org/10.7202/1036717ar.

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En procédant à l’analyse des concours d’exercices et de sport de l’Exposition universelle de 1900, cet article propose une réflexion sur la façon dont l’événement sportif peut être utilisé à des fins de valorisation touristique des espaces, de mise en scène des progrès humains, de diffusion des valeurs associées aux loisirs corporels et de mode de cohésion sociale. L’étude conduit à montrer que les concours d’exercices et de sports ont été organisés en privilégiant la dimension universelle d’événements prenant une diversité de formes : festives, sportives et utilitaires ; tout en rejetant le modèle olympique, en germe à cette période. La controverse entre les positions des organisateurs de l’Exposition et les représentants du mouvement olympique met en évidence des visions différentes de la culture physique et de son intérêt politique ou économique. L’analyse du corpus confirme que les concours internationaux de 1900, tant dans leur diversité que dans leur dispersion dans le temps et l’espace des fêtes proposées, répondent au projet de valoriser les progrès humains, d’offrir des distractions aux touristes et de rassembler les populations, mais ne souscrivent que modérément au modèle plus restreint du sport de compétition basé sur l’amateurisme et un « universalisme » olympique circonscrit.
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De Myttenaere, Bernard, and Emmanuel D’Ieteren. "Le kayak en Wallonie." Téoros 28, no. 2 (May 5, 2014): 9–20. http://dx.doi.org/10.7202/1024802ar.

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Depuis une trentaine d’années, les activités ludosportives en milieu rural occupent une place non négligeable au sein de nombreux territoires touristiques, témoignant ainsi d’un nouveau rapport au temps, au corps et à la nature au sein de la société occidentale. Parmi ces activités, le kayak interpelle nombre d’acteurs publics et privés liés à la gestion du milieu aquatique, de par les enjeux socio-économiques, culturels et environnementaux, et les conflits que cette activité suscite. En Wallonie, comme dans de nombreux territoires ruraux, la rivière est ainsi le théâtre de conflits d’usage qui opposent des groupes d’acteurs aux valeurs et intérêts souvent divergents. Dans un contexte de montée en puissance des préoccupations environnementales, force est de constater que la pratique du kayak a été touchée en Wallonie par de nombreuses réglementations et soumise à toujours davantage de contraintes visant à minimiser les supposées incidences de cette activité. Cependant, l’adoption de ces mesures, considérées comme illégitimes par les loueurs de kayaks, conjuguée à l’absence d’étude objectivant les impacts environnementaux de la pratique du kayak ont participé à l’éclosion d’une importante controverse environnementale. Partant de ce constat, cette contribution présente, d’une part, les résultats d’une étude visant à mieux comprendre les spécificités socio-économiques de la pratique du kayak en Wallonie et, d’autre part, montre les enjeux auxquels sont confrontées les activités sportives de loisir et de tourisme de nature en Wallonie. Dans notre analyse, nous exposons une série de facteurs qui, à nos yeux, expliquent l’existence d’une controverse environnementale et notamment le jeu de rapports de force inégaux entre les différents acteurs de la rivière. L’étude montre les difficultés que rencontre la filière des sports de nature en Wallonie dans un contexte où les modes de régulation de l’activité du kayak concilient difficilement les enjeux du développement du tourisme sportif de nature et la protection de l’environnement.
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Vincent, Romain. "Faire entrer le jeu vidéo en classe : les cultures ludiques juvéniles au prisme des pratiques enseignantes." Éducation et sociétés 50, no. 2 (September 7, 2023): 69–85. http://dx.doi.org/10.3917/es.050.0069.

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Le jeu vidéo est un des derniers produits de la culture de masse à entrer en classe et son usage, appuyé sur les pratiques numériques des élèves, voudrait susciter motivation et développement de compétences. Les recherches sur cette introduction restent souvent consacrées à l’efficacité du dispositif sur les apprentissages ou la motivation sans rendre compte de sa mise en forme éducative au sein des pratiques enseignantes. Le but de cet article est d’étudier la rencontre entre culture scolaire et dispositif ludique, mais aussi entre la culture ludique des enseignants et celle de leurs élèves. Il s’appuie sur l’observation et l’enregistrement vidéo de cours de 17 professeurs du secondaire français dans diverses disciplines, complétés par des entretiens avec les enseignants et certains de leurs élèves. Si médias, entreprises et institutions évoquent parfois la nécessité pour les enseignants de s’adosser aux pratiques juvéniles, rares sont les élèves qui connaissent les jeux que leurs enseignants font entrer en classe. Si des jeux connus des élèves sont utilisés, les enseignants leur appliquent une grille de lecture savante éloignée du rapport entretenu par les joueurs dans leur quotidien, plutôt centré sur le plaisir et la performance, laissant apparaître un décalage culturel (Dagiral & Tessier 2010) entre les cultures ludiques des professeurs et des élèves. Paradoxalement, importer les pratiques juvéniles peut entraîner une mise à distance de l’expérience personnelle des élèves au profit d’une appréhension plus scolaire de leur loisir. Cela s’accompagne d’une mise à l’écart de la culture ludique des filles et remet en cause l’idée que l’usage scolaire de la culture de masse peut contribuer sans heurt à l’égalité des chances.
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Michaud, Jean. "M. PICARD, Bali: Tourisme culturel et culture touristique, Paris : l’Harmattan, Collection Tourismes et sociétés, 1992 / D. HARRISON, éditeur, Tourism and the Less Developed Countries, Londres, Belhaven, New York et Toronto : Halsted, 1992 / P. MACCANNELL, Empty Meeting Grounds: The Tourist Papers, Londres et New York : Routledge, 1992." Culture 14, no. 1 (November 5, 2021): 79–80. http://dx.doi.org/10.7202/1083262ar.

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Bartzokas-Tsiompras, Alexandros, Kostis C. Koutsopoulos, and Panos Manetos. "European Journal of Geography (Year 2023): Reviewer Appreciation & Publication Recap." European Journal of Geography 15, no. 1 (January 17, 2024): 1–5. http://dx.doi.org/10.48088/ejg.a.bar.15.1.001.005.

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Abstract:
Dear Readers, As we begin a new year full of potential and opportunity, we wish each of you much joy and success. As we embark on this journey, we al-so celebrate a significant milestone – the fifteenth anniversary of the European Journal of Geography. Over the past decade and a half, our journal has become a beacon of excellence in the field of geography and the social sciences. This journey has been characterised by unwavering commitment and tireless dedication, a collective endeavour led by the dedicated members of our editorial team and the European Association of Geographers (EUROGEO). Their diligence and passion have been instrumental in making our journal the respected publication it is today. Looking back on our shared history, we are proud to have published over 310 articles dealing with key topics in geography, planning and development. These scholarly contributions have not only explored and analysed important topics, but have also introduced new ideas (Kout-sopoulos, 2022; Manetos et al., 2022), methods (Cramer-Greenbaum, 2023; Krevs et al., 2023; Morawski & Wolff-Seidel, 2023) and data (Hojati & Mokarram, 2016) that will inspire future generations of geographers to transcend conventional disciplinary boundaries. The richness of our content encompasses numerous facets and includes the fields of geography education (Fraile-Jurado & Periáñez-Cuevas, 2023; Humble, 2023; Martínez-Hernández et al., 2023; Mašterová, 2023; Puertas-Aguilar et al., 2023), physical geography (Sánchez-Martínez & Cabrera, 2015), sustainability (Leininger-Frézal et al., 2023; Mally, 2021), tourism (Bandt et al., 2022; Jovanovic et al., 2022), geoin-formatics (Batsaris et al., 2023; Vestena et al., 2023), spatial analysis (Agourogiannis et al., 2021; Bartzokas-Tsiompras & Photis, 2020b; Wieland, 2022), remote sensing (Younes et al., 2023), maps (Nedkov et al., 2018; Papaioannou et al., 2020), geoinformation (Bartha & Kocsis, 2011; Bart-zokas-Tsiompras, 2022), economic (Doukissas et al., 2020; Mikhaylova, 2018), social (Mei & Liempt, 2022; Roșu et al., 2015), political (Kevicky, 2023; Tsitsaraki & Petracou, 2023) and cultural (Gusman & Otero-Varela, 2023) geography, geopolitics (Morgado, 2023) as well as environmental (Burić et al., 2023; Prodanova & Varadzhakova, 2022), urban (Chondrogianni & Stephanedes, 2021; Lagarias et al., 2022) and transport (Garrido, 2013; Kellerman, 2023; Koktavá & Horák, 2023) geography/planning (González, 2017). Each article, a testament to the diversity and depth of knowledge within our community, has played a crucial role in energising discourse in our academic environment. Several EJG articles addressed current global crises and challenges such as climate change, COVID-19, wars and economic recession. They show how important geography is when it comes to finding solutions and new insights to the many problems that threaten our world. This interconnected approach underlines the journal's commitment to engaging with both the specialised academic discourse and the broader global challenges of our time. Authors, editors, board members, reviewers and readers are the lifeblood of this academic platform, and we recognise and appreciate your invaluable role in the success of the European Journal of Geography. Your commitment has fuelled our growth and you are an essential part of our legacy. We take our fifteenth anniversary as an opportunity to invite and encourage you to contribute to the continued success of the journal by submitting new and original geographical research articles. Here's to another year of scholarly work, meaningful collaborations and the continued advancement of geographical knowledge. We would also like to take a moment to recognise the incredible efforts of 95 professors and researchers who served as reviewers for the European Journal of Geography in 2023. Their expertise and dedication have been invaluable in maintaining the quality of our publications. In addition, the journal features 18 distinguished editorial board members from 12 countries, including renowned experts (60% men, 40% women) from various geographical research fields (This year we welcome 10 esteemed new members to our Editorial Board). In particular, we would like to express our sincere thanks to the following editorial board members for their help and support: 1. Alvanides Seraphim, Northumbria University, UK 2. ‪Bednarz W. Sarah, Texas A&M University, USA‬‬ 3. Capello Roberta, Politecnico di Milano, Italy 4. Cretan Remus, West University of Timisoara, Romania 5. De Miguel Gonzalez Rafael, University of Zaragoza, Spain 6. Eeva-Kaisa Prokkola, University of Oulu, Finland 7. Jerry T. Mitchell, University of South Carolina, USA 8. Kavroudakis Dimitris, University of the Aegean, Greece 9. Kiss Éva, CSFK Geographical Institute, Hungary 10. Knecht Petr, Masaryk University, Czech Republic 11. Kounadi Ourania, University of Vienna, Austria 12. Kolvoord Bob, James Madison University, USA 13. Leininger-Frezal Caroline, Université de Paris, France 14. Margaritis Efstathios, University of Southampton, UK 15. Specht Doug, University of Westminster, UK 16. Strobl Josef, University of Salzburg, Austria 17. Theobald Rebecca, University of Colorado Colorado Springs, USA 18. Yilmaz Ari, Bandirma Onyedi Eylul University, Turkey In 2023, we received a total of 116 submissions. Of these, 24 outstanding papers were published online (acceptance rate 21% - 2023), while 92, although commendable, did not make it to publication. Remarkably, these submissions included the contributions of 63 authors from 20 countries. The average review speed of the articles is about 7-9 weeks for the first round and about 4-6 weeks for the second round. The reviewers came from 31 countries, which shows a global co-operation: UK, USA, Austria, Belgium, France, Germany, Greece, Norway, Poland, Portugal, Ireland, Spain, Netherlands, Japan, Hungary, Iceland, Croatia, Czech Republic, Finland, Slovakia, Slovenia, Turkey, Romania and others. Thank you for your continued support and your contributions to this journal. Look forward to an exciting journey of discovery and innova-tion in the pages of the European Journal of Geography. Join us as we continue to shape the ever-evolving canvas of geographical exploration and knowledge. List of Reviewers 2023: 1. Alessandro Del Ponte, University of Alabama, USA 2. Ali Enes Dingil, Czech Technical University in Prague, Czech Repuplic 3. Alvanides Seraphim, Northumbria University, UK 4. András J. Molnár, Christian-Albrecht University of Kiel, Germany 5. Anja du Plessis, University of South Africa, Johannesburg, South Africa 6. Anqi Huang, Nanjing University of Information Science and Technology, China 7. Apostolia Galani, National and Kapodistrian University of Athens, Greece 8. Ari Yilmaz, Bandirma Onyedi Eylül Üniversitesi, Turkey 9. Audur Palsdottir , University of Iceland, Iceland 10. Barbara Szejgiec-Kolenda, Polish Academy of Sciences, Poland 11. Beth Schlemper, The University of Toledo, USA 12. Blaž Repe, University of Ljubljana, Slovenia 13. Bob Kolvoord, James Madison University, USA 14. Carina Peter, Philipps-University Marburg, Germany 15. Carlos Lopez Escolano, University of Zaragoza, Spain 16. Caroline Leininger, Université de Paris, France 17. Charalampos Tsavdaroglou, University of Amsterdam, The Netherlands 18. Christian Weismayer, Modul University Vienna GmbH, Austria 19. Darra Athanasia, National Technical University of Athens, Greece 20. Denise Blanchard, Texas State University, USA 21. Dimitris Kavroudakis, University of the Aegea, Greece 22. Don MacKeen, City of Glasgow College, UK 23. Doug Specht, University of Westminster, UK 24. Dragan Burić, University of Montenegro, Montenegro 25. Eeva-Kaisa Prokkola , University of Oulu, Finland 26. Efstathios Margaritis, University of Southampton, UK 27. Emmanuel Eze, University of Nigeria, Nigeria 28. Eva Psatha, University of Thessaly, Greece 29. Evangelos Rasvanis, University of Thessaly, Greece 30. Femke van Esch, Utrecht University, The Netherlands 31. František Petrovič, Constantine the Philosopher University, Slovakia 32. George Revill, The Open University, UK 33. Géza Tóth, University of Miskolc, Hungary 34. Grayson R. Morgan, University of South Carolina, USA 35. Hristina Prodanova, National Institute of Geophysics, Geodesy and Geography - Bulgarian Academy of Sciences, Bulgaria 36. Huda Jamal Jumaah, Northern Technical University, Iraq 37. İlkay Südas, Ege University, Turkey 38. Ilse van liempt, Utrecht University, The Netherlands 39. Isabel María Gómez-Trigueros, University of Alicante, Spain 40. Italo Sousa de Sena, University College Dublin, Ireland 41. Iva Miranda Pires, NOVA University Lisbon, Portugal 42. Iwona Anna Jażdżewska, University of Lodz, Poland 43. Jaime Diaz Pacheco, Universidad de La Laguna, Spain 44. Jan Christoph Schubert, Friedrich-Alexander-University Erlangen-Nuremberg, Germany 45. Jens Dangschat , TU Wien, Austria 46. Jernej Zupančič, University of Ljubljana, Slovenia 47. Jerry T. Mitchell, University of South Carolina, USA 48. Joan Rossello, Universitat de les Illes Balears, Spain 49. Joseph J. Kerski, ESRI, USA 50. Karina Standal, CICERO Center for International Climate Research, Oslo, Norway 51. Karl Donert, EUROGEO, Belgium 52. Koshiro Suzuki , University of Toyama, Japan 53. Kristine Juul, University of Roskilde , Denmark 54. Lauren Hammond, University College London, UK 55. Mahmood Shoorcheh, University of Isfahan, Iran 56. Maria Angeles Rodriguez-Domenech, Universidad Castilla La Mancha, Spain 57. María Lois , Universidad Complutense de Madrid, Spain 58. María-Luisa de Lázaro-Torres , Universidad Nacional de Educación a Distancia, Spain 59. Marko Krevs, University of Ljubljana, Slovenia 60. Marta Gallardo, Universidad Nacional de Educación a Distancia, Spain 61. Md Galal Uddin, University of Galway, Ireland 62. Md. Kausar Alam, Brac University, Bangladesh 63. Michaela Spurná, Masaryk University, Czech Repuplic 64. Miha Pavšek, Research Centre of the Slovenian Academy of Sciences and Arts, Slovenia 65. Muhammad Haroon Stanikzai , Kandahar University, Afghanistan 66. Neli Heidari, University of Hamburg, Germany 67. Nicholas Wise, Arizona State University, USA 68. Nikola Šimunić, Institute of Social Sciences Ivo Pilar, Croatia 69. Nikolaos Karachalis , University of the Aegean, Greece 70. Nuno Morgado, Corvinus University of Budapest, Hungary 71. Pablo Fraile-Jurado, Universidad de Sevilla, Spain 72. Panagiotis G. Tzouras, National Technical University of Athens, Greece 73. Peter T. Dunn, University of Washington, USA 74. Petr Knecht, Masaryk University, Czech Repuplic 75. Polyxeni Kechagia, University of Thessaly, Greece 76. Qi Zhou, China University of Geosciences, China 77. Rafael de Miguel González, University of Zaragoza, Spain 78. Rebecca Theobald, University of Colorado, USA 79. Remus Cretan, West University of Timisoara, Romania 80. Roberto Falanga, University of Lisbon, Institute of Social Sciences, Portugal 81. Saheed Adekunle Raji, University of Lagos, Nigeria 82. Sandra Sprenger, University of Hamburg, Germany 83. Sarah Bednarz, Texas A&M University, USA 84. Sebastien Bourdin, EM Normandie Bussiness School, France 85. Serafin Pazos-Vidal , European Association for Innovation in Local Development, Belgium 86. Susannah Cramer-Greenbaum, University of Warwick, UK, UK 87. Teemu Makkonen, University of Eastern Finland, Finland 88. Teresa Sadoń-Osowiecka, University of Gdansk, Poland 89. Theano S. Terkenli , University of the Aegean, Greece 90. Theodore Metaxas , University of Thessaly, Greece 91. Uwe Krause, Fontys School of the Arts, The Netherlands 92. Valériane Mistiaen , Université libre de Bruxelles, Belgium 93. Vesna Skrbinjek, International School for Social and Business Studies, Slovenia 94. Vincent Nzabarinda, Institute of Ecology and Geography, Chinese Academy of Sciences, China 95. Zsolt Tibor Kosztyán, University of Pannonia, Hungary
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Saidi, Habib. "Tourisme." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.039.

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Abstract:
Bien qu’il soit souvent admis que le tourisme trouve ses origines dans les voyages culturels effectués en Europe aux XVIIIème et XIXème siècles sous le nom de Grand tour, il n’en demeure pas moins que d’autres formes et pratiques que l’on peut assimiler à ce phénomène ont vu le jour dans d’autres régions du monde et à d’autres époques plus anciennes. La mobilité motivée par le désir de découverte, d’exploration ou de repos, a constitué au fil du temps un fait social plus ou moins commun à toutes les sociétés, et a dessiné le contour d’un Homo Touristicus en quête perpétuelle d’un paradis perdu. Il en est de même des activités de loisir et des structures de divertissement qui ont marqué à des degrés divers les grandes civilisations. En sont témoins les hauts lieux cultuels et culturels de l’Antiquité tels les sanctuaires, les routes et cités de pèlerinage, les édifices de spectacle de toutes sortes comme les cirques, les théâtres et les arénas. En Égypte, des graffitis vieux de plus de 3500 ans inscrits sur les pyramides font état de la présence d’activités touristiques chez les Pharaons. Des vestiges d’hôtels dont les origines remontent à 1500 av. J.-C. ont également été retrouvés en Crète. La Mésopotamie connait la présence de constructions semblables depuis 2500 av. J.-C. (O’Gorman 2010). À son tour, l’époque romaine voit naître une culture de loisir connue sous le nom d’otium. Elle est marquée, entre autres, par l’aménagement de lieux réservés à la détente et à la distraction comme les stations thermales ou les villas urbanas, sorte de résidences secondaires consacrées à la villégiature et au retrait. Dans la même optique, les habitants des cités côtières du Golfe persique fuyaient l’humidité et la canicule de l’été en effectuant de longs voyages estivaux sous forme de caravanes en destination de lieux de vacances et de repos appelés Al-Makhidh. Ce sont des tentes et des maisons situées dans des oasis et des régions montagneuses plus fraiches localisées à des centaines de kilomètres du littoral. Ces caravanes dont les origines remontent à l’époque antéislamique, favorisaient le développement des traditions d’hospitalité et des structures d’accueil de visiteurs saisonniers autour des routes qu’elles traversaient et dans les lieux qu’elles fréquentaient durant quelques mois
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Farias, Edson. "CARNAVAL CARIOCA, A MATRIZ DO NEGÓCIO DO ÓCIO BRASILEIRO." Caderno CRH 16, no. 38 (August 31, 2006). http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v16i38.18620.

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Abstract:
O viés analítico adotado neste artigo persegue o modo como repercutiu de maneira decisiva a confluência histórica entre Estado nacional, mercado capitalista e o desenvolvimento da sistemática do entretenimentoturismo no país para o enlace nação e cultura popular. Para isto, acompanha alguns dos episódios que favoreceram o lugar destacado que o carnaval do Rio de Janeiro ocupa entre os ícones de brasilidade. Nesse sentido, sublinham-se os dilemas que atravessam a implantação de uma estrutura social urbano-industrial e de serviços no país, nas décadas iniciais da República, quando são travados debates em torno do tema do povo-nação. Desde aí, o enfoque toma a importância detida pelas redes de produtores de bens e prestadores de serviços referidos ao zoneamento espaço-temporal do lazer no tipo de modulação de tradições lúdico-artísticas populares ocorrida na folia carioca, à medida que esta se define, a um só tempo, emblema do Brasil e produto turístico e de diversão. PALAVRAS-CHAVE: Carnaval carioca, ócio, negócio, modernização cultural e sociedade-nação. CARNIVAL FROM RIO, THE BUSINESS MATRIX OF THE BRAZILIAN LAZINESS Edson Farias The analytical bias of this paper pursues the decisive repercussion of the historical confluence amongst national State, capitalist market and the development of the systematics of leisure-tourism in the country, thus entwining the nation and popular culture. With this purpose, it accompanies some of the episodes that favored the outstanding position that Carnival from Rio occupies amongst the Brazilianity icons. In this sense, the dilemmas that trespass the implantation of an urbanindustrial social structure and the services in the country are stressed in the initial decades of the Republic, when the debates on the topic people-nation took place. From this point on, it focus on the importance given to it by the network of producers of goods and service regarding time and space zoning for leisure and the artistic and playful popular traditions present in the carnival from Rio, while characterized as an emblem for Brazil and a product for leisure and tourism. KEY-WORDS: Carnival from Rio de Janeiro, laziness, business, cultural modernization and society-nation. CARNAVAL CARIOCA, LA MATRICE DE L’AFFAIRE DU LOISIR BRÉSILIEN Edson Farias Cet article adopte une perspective analytique qui poursuit la façon par laquelle a répercuté de manière décisive la confluence historique entre l’Etat national, le marché capitaliste et le développement de la systématique du loisir-tourisme dans le pays pour la liaison de la nation et de la culture populaire. Pour cela, il suit certains épisodes qui ont favorisé la place privilégiée que le carnaval du Rio de Janeiro occupe entre les icônes de “brasilité”. Dans ce sens, sont mis en évidence les dilèmes qui traversent l’implantation d’une structure sociale urbaine-industrielle et de services au pays, dans les décennies initiales de la République, quand des débats ont eu lieu sur le thème du peuple-nation. Dès lors, la mise en évidence prend l’importance retenue par les réseaux de producteurs de biens et par les prestataires de services concernant la zone spatio-temporelle du loisir dans la modulation des traditions ludiques-artistiques populaires, ayant lieu à la fête carioca, à mesure que celle-ci se définit, à la fois, comme un emblème du Brésil et comme un produit touristique et de divertissement. MOTS-CLÉS: Carnaval carioca, loisir, affaire, modernisation culturelle et société-nation. Publicação Online do Caderno CRH: http://www.cadernocrh.ufba.br
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Zaiane-Ghalia, Selma. "Le Musée universitaire (MAUM): Lieu de Formation Académique et Humaine via une Approche Écosystémique Expérientielle." Collected Essays on Learning and Teaching 14 (June 6, 2023). http://dx.doi.org/10.22329/celt.v14i1.7126.

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Abstract:
Le Musée acadien de l’Université de Moncton (MAUM) est gratuit pour toute personne étudiante, pourtant il reste sous-visité par cette population. J’ai décidé d’y amener les personnes inscrites au cours ‘Loisir et culture’. Les données recueillies ont permis, via notre musée universitaire, d’évaluer le processus pédagogique mis en place qui comporte un travail approfondi sur les musées. Je présente ici comment le musée est valorisé dans le cadre des activités pédagogiques mettant l’accent sur les bénéfices retirés par les personnes étudiantes. Je souligne l’impact identitaire sur certaines jeunes personnes acadiennes et leur nouveau regard sur la richesse de leur patrimoine culturel, à travers les exercices et leurs commentaires. Le Musée acadien offre une grande variété de situations d’apprentissage autour desquelles des activités pédagogiques peuvent être organisées, comme : la muséographie, les œuvres exposées, la gestion des collections, les réserves, la communication, la promotion ainsi que des collaborations externes. Une approche transversale et écosystémique permet de joindre l’intérêt de chaque personne quel que soit sa formation de base. Elle invite les jeunes à la découverte du monde culturel et à l’ouverture vers l’autre, amenant ainsi à une meilleure compréhension de l’importance de l’inclusion et du vivre ensemble.
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Ailane, Sofiane. "Hip-hop." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.014.

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Abstract:
Le hip-hop englobe quatre expressions artistiques qui sont constitutives de la culture hip-hop : le dj’ing, le rap, le breakdance et le graffiti. Le rap est une forme de « parler-chanter » exécuté sur des rythmes de bases produits par le Disc Jockey (DJ). Le breakdance est l’expression corporelle du hip-hop, c’est une danse à dimension athlétique, dont l’esthétique se base sur la rupture du flux dans des mouvements amples et fluides. Le graffiti correspond à l’art graphique du hip-hop, ces peintures se donnent à voir généralement sur le mobilier urbain au travers de fresques colorées, mais bien souvent le graffiti reprend sous une forme quasi hiéroglyphique le pseudonyme de l’auteur. Il se distingue du tag par l’usage des techniques de spray, la superposition des couleurs ainsi que par des effets d’ombrage (Bazin 1998). Étymologiquement, « hip-hop », serait la composante de deux termes en anglais hip, qui est issu de l'argot de la rue, le jive talk, qui signifie « être dans le vent, être branché » et to hop qui se traduit littéralement par le verbe danser. Il existe aussi la possibilité que le terme hip-hop soit repris des onomatopées dans la langue anglaise et qui sont présentes dans le langage rap, ainsi on retrouve « hip » qui consiste à encourager et « hop » qui est l'onomatopée qui désigne l'action de sauter. Ces termes étaient utilisés et scandés par les DJ’s habitués à prendre le microphone afin d’encourager les danseurs et haranguer la foule lors des block parties (Toop 1984). D’un point de vue historique et compte tenu de l’hétérogénéité des éléments constitutifs de la culture hip-hop, il est complexe d’indiquer avec précision le moment fondateur de cette expression culturelle même si les années 1970 font consensus dans la communauté des chercheurs. Cependant, d’un point de vue géographique, le ghetto du Bronx apparaît comme le lieu de naissance de la culture hip-hop, d’ailleurs la Smithsonian Institution et le National Museum of American History ont reconnu le « 1520 Sedgwick Avenue » dans le Bronx comme « lieu d’invention » de la culture hip-hop. En effet, les différents éléments de la culture hip-hop se donnaient à voir de façon simultanée dans les block parties du Bronx. Ces fêtes improvisées prenaient place dans les écoles, les centres communautaires, les maisons abandonnées ou bien encore dans les jardins publics. Elles constituaient le moment de loisir privilégié d’une jeunesse délaissée voulant s’épanouir dans un New York en pleine mutation et qui n’offrait alors que peu d’opportunité, de joie et de plaisir (Chang 2005). Pour la jeunesse afro-américaine et caribéenne, habitant le ghetto et victimes collatérales des coupes budgétaires et de la rénovation urbaine, le hip-hop et notamment ces block parties constituaient un moyen d’exprimer une autre façon de vivre le ghetto par la création d’un exutoire salvateur qui leur permist d’appréhender de façon plus ludique les problèmes quotidiens auxquels ils étaient confrontés. Véritable remix urbain des cultures vernaculaires afro-américaines et caribéennes, le hip-hop se nourrit autant de son hybridité que des objets que pouvait lui fournir l’environnement urbain en matières de décors et de lieux d'inspiration, mais également en matières de technologie (spray, sonorisation, hifi) (Gilroy 2003 ; Rose 1994). De plus, l’influence au niveau musical, plastique et rhétorique ne se limite pas à l’Amérique du Nord et la Caraïbe, les civilisations asiatiques, par exemple font également figure de ressources dans lesquels puisent les hip-hoppers. Aujourd’hui en tant qu’objet culturel transnational, on constate la capacité du hip-hop à s’adapter au contexte culturel et social dans chaque partie du globe où il s’exprime (Mitchell 2001). Ces transformations et ces aspects hybrides reflètent l’ « état d’esprit » du hip-hop qui se veut être un espace expérimental non exclusif où les problèmes contemporains et les forces ancestrales fonctionnent ensemble, simultanément, devenant dès lors une figure du métissage (Laplantine et Nous 2001) Néanmoins, malgré l’extraordinaire pluralité des acteurs et des expressions que mobilise la culture hip-hop, il est intéressant d’observer que les hip-hoppers représentent bien souvent des secteurs marginalisés dans leur propre société et qu’ils sont au centre de revendications sociales et égalitaires (Osumare 2007). Bien souvent, le hip-hop constitue la bande sonore d’activistes et il accompagne et/ou porte des pédagogies alternatives en direction des jeunesses de rue (Ailane 2011). Il n’existe pas a priori un cadre d’analyse spécifique de la culture hip-hop en sciences humaines et sociales. Il est un objet d’étude complexe et plurivoque, sans cesse en train de se reformuler, il intègre de nouvelles modalités autant au niveau musical, corporel que dansé. Les causes de cette dynamique seraient à comprendre par sa distribution géographique qui le diversifie d’autant plus. Mais encore, en y regardant de plus près, le hip-hop occupe une place relative dans la vie de ses adeptes, certains le considèrent comme un simple loisir (écouter de la musique par exemple) voire l’identifient à un sport (pour certains pratiquants de breakdance), ou bien l’embrassent tel un mode de vie (les activistes du mouvement hip-hop). Selon les acteurs, le lieu d’expression et le contexte, le hip-hop se donne donc à voir de manière non-monolithique ; il présente inévitablement des variations qui rendent difficile son étude de façon trop généraliste. Il est, compte-tenu de cette hétérogénéité dans la pratique, difficile de se saisir du hip-hop, a fortiori, lorsqu’il s’agit de le mobiliser dans une recherche en sciences sociales. L’approche ethnographique et l’immersion dans l’univers micro-cosmique des hip-hoppers est ainsi souvent privilégiée (Condry 2006 ; Forman 2002 ; Pardue 2008 ; Perullo 2011). Toutefois, l’anthropologie et la sociologie urbaine sont souvent mobilisées pour aborder le hip-hop car en tant que culture urbaine, il permet d’accéder à une lecture de l’univers urbain par le récit que font les hip-hoppers de leur quotidien et l’usage qu’ils font des espaces publics. Le hip-hop peut être considéré comme une ressource fertile pour les chercheurs s’intéressant aux « marges urbaines ». Cette approche n’est pas dénuée de biais car bien souvent, le logiciel utilisé pour analyser les pratiques hip-hop est associé aux problématiques liées aux « pathologies urbaines », violence, trafic, délinquance, exclusion/inclusion, stigmatisation, marginalisation, mettant dès lors de côté, ou du moins minimisant, l’innovation culturelle et sociale dont font preuve les groupes juvéniles. Par ailleurs, les théoriciens des « cultures juvéniles » ont trouvé dans le hip-hop un terrain fertile pour mettre en mouvement leurs pensées. Dans la lignée des cultural studies, les chercheurs ont privilégié les approches qui analysent les rapports entre le hip-hop, considéré sous sa dimension de « subculture résistante » et la culture dite dominante. Cette perspective se concentre notamment autour de problématiques liées à l’authenticité. Bennet (1999) les oppose selon deux points de vue. Le premier consiste à penser l’authenticité dans le hip-hop à travers la préservation de ses origines en tant que culture de rue afro-américaine. Le second point de vue se développe sur une autre conception du hip-hop, considéré comme la construction d’un « lien » qui permettrait le « dialogue » entre les populations afro-diasporiques liées par l’expérience de l’esclavage. Ces deux tendances bien qu’opposées, ont toutefois le large défaut de considérer le hip-hop comme une expression essentiellement afro-centrée et elles évacuent un pan important de hip-hoppers qui ne sont pas noirs et/ou qui ne se revendiquent pas d’une communauté afro-diasporique. L’enjeu des recherches actuelles sur le hip-hop serait donc d’interroger également la dynamique culturelle provoquée par la relocalisation de ces musiques noires dans un contexte global, marqué par le capitalisme occidental et la circulation rapide d’images culturelles dans des lieux dans lesquels elles ont trouvé un nouvel écho

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