Academic literature on the topic 'Thérapie néoadjuvante'

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Journal articles on the topic "Thérapie néoadjuvante"

1

Mansuet-Lupo, Audrey, Ludovic Fournel, Marie Wislez, Marco Alifano, and Diane Damotte. "Évaluation de la réponse pathologique après thérapie néoadjuvante dans les cancers pulmonaires." Revue Francophone des Laboratoires 2021, no. 528 (January 2021): 43–48. http://dx.doi.org/10.1016/s1773-035x(20)30393-2.

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Sow, O., NS Fetche, C. Vermare, B. Annabel, A. Anusca, and L. Perrot. "C34: Résultat de la prise en charge des tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) : A propos de 6 cas au centre hospitalier de Vichy (France)." African Journal of Oncology 2, no. 1 Supplement (March 1, 2022): S15. http://dx.doi.org/10.54266/ajo.2.1s.c34.myrhvjbqpy.

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Abstract:
INTRODUCTION : Les tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) sont des sarcomes digestifs les plus fréquents et constituent 18 à 20% de l’ensemble des sarcomes des tissus mous. Ce sont des tumeurs mésenchymateuses du tractus gastro-intestinal avec un risque élevé de transformation maligne. Leur diagnostic repose sur l’histologie et la mise en évidence de l’expression de C-KIT par immunohistochimie ou d’une mutation de KIT ou PDGFRA par biologie moléculaire. Elles peuvent se développer sur l’ensemble des segments du tube digestif allant de l’œsophage jusqu’à l’anus. Elles sont souvent asymptomatiques. Le diagnostic est fortuit dans la majorité des cas. Le traitement curatif reste la résection chirurgicale, associé à un inhibiteur sélectif des récepteurs de la tyrosine kinase (Imatinib) en adjuvant ou en néo-adjuvant pour améliorer la morbi-mortalité associée aux GIST. L’objectif de cette étude était d’analyser les résultats de la prise en charge des GIST au Centre Hospitalier de Vichy. MATERIELS ET METHODES : Entre 2010 et 2020, les données de six patients opérés au centre hospitalier de Vichy pour GIST ont été analysées. Les paramètres étudiés étaient : l’âge, le sexe, les antécédents, les circonstances de découvertes, le bilan morphologique, le geste opératoire, les données anatomopathologiques, le suivi et la morbi-mortalité. RESULTATS : Il s’agissait de cinq hommes et une femme avec âge moyen de 72,16 ans (58 – 80 ans). Le délai moyen d’évolution était de huit mois (zéro à 14 mois). Le diagnostic était fortuit dans deux cas. La douleur abdominale atypique était le maitre symptôme dans trois cas. Un cas a été reçu dans un tableau de syndrome d’irritation péritonéale. L’écho-endoscopie avec l’examen histologique de la pièce de biopsie a permis de poser le diagnostic dans cinq cas. L´histologie de la pièce opératoire a confirmé le diagnostic dans un cas. Le type fusiforme était la forme histologique prédominante. L’estomac était la localisation la plus fréquente. La taille moyenne des GIST était de 7,3x4 cm avec un C-KIT positif chez tous les patients. Une chimiothérapie néoadjuvante a été faite chez un patient. La chirurgie était curative et par voie laparoscopique chez quatre patients. Une chimiothérapie adjuvante à base d´imatinib à raison de 400 mg/j chez trois patients a été instauré. Un patient avait présenté une fistule de l’anastomose œso-jéjunale à J6 post-opératoire jugulée par un drainage et une antibiothérapie. La mortalité était nulle. CONCLUSION : Les GIST sont des tumeurs mésenchymateuses les plus fréquentes du tractus digestif avec une localisation préférentielle gastrique. La chirurgie par approche laparoscopique, avec les progrès de la biologie moléculaire et l’introduction de la thérapie ciblée ont amélioré la prise en charge de ces tumeurs en termes de morbi-mortalité.
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Keita, M., A. Toure, I. Camara, A. Barry, M. Koulibaly, and B. Traore. "C98: Impact de la chirurgie associée à la radiothérapie sur le pronostic du cancer du sein en Guinée : Etude cohorte des cancers du sein de Guinée." African Journal of Oncology 2, no. 1 Supplement (March 1, 2022): S41—S42. http://dx.doi.org/10.54266/ajo.2.1s.c98.jdql5963.

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Abstract:
INTRODUCTION : Dans un pays où la radiothérapie n'est pas disponible, un plaidoyer basé sur la pertinence de la chirurgie + la radiothérapie adjuvante sur le contrôle locorégional et la survie des patients est nécessaire. Notre objectif était d’évaluer l'impact de la chirurgie et la radiothérapie sur le contrôle local et la survie par rapport à la chirurgie seule dans le cancer du sein. MATERIELS ET METHODES : Entre 2007 et 2016, 210 patients atteints de cancer du sein ont été revus rétrospectivement, dont 90 patients étaient traités par chirurgie et radiothérapie (groupe 1) et 120 patients par la chirurgie seule (groupe 2). Les facteurs pronostiques associés à la survie globale et au contrôle local ont été déterminés. RESULTATS : Il y avait plusieurs combinaisons de traitement, y compris la chirurgie associée à une chimiothérapie néoadjuvante, radiothérapie et la chimiothérapie adjuvante. Les résultats ont montré 88 (41,9%) cas de rechute, dont 31 (34,4 %) (groupe 1) et 57 (47,5%) (groupe 2) (p=0,046). La récidive était survenue après un délai moyen de 1,5 an dans le groupe 1 contre 0,66 an dans le groupe 2 (p=0,006). Les survies globales à cinq ans et spécifiques du cancer du sein étaient de 49,5% et 62,5%, respectivement. La survie à cinq ans était de 60,0% (groupe 1) et 40,0% (groupe 2) (p<0,05). Dans une analyse multivariée par modèle de Cox, nous avons constaté que le risque de décès était 1,90 (IC95% [1,1709-3,0701]) plus élevé dans le groupe 2 (p=0,009022), 1,69 (IC95% [1,00087-23,86157]) chez les patients obèses et a diminué de 0,21 (IC95% [0,129-0,368]) chez les patients qui n'ont pas rechuté (p<0,001). CONCLUSION : Dans cette étude avec plusieurs thérapies combinées, nous ne pouvons pas confirmer que la radiothérapie améliore principalement le pronostic des cancers localement avancés quel que soit le traitement systémique. Cependant, nous avons constaté que le risque de décès était en corrélation avec l'absence de radiothérapie, le surpoids et le risque de récidive. La prise en compte de combinaisons de thérapies locorégionales et systémiques, des données clinico-pathologiques et biologiques pourrait améliorer la pertinence de ces résultats avec un échantillon de grande taille.
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Jouanneau, E., F. Calvanese, R. Manet, A. Vasiljevic, H. Paris-Refahi, F. Ducray, and G. Raverot. "La thérapie ciblée avec inhibiteurs de BRAF et MEK comme traitement néoadjuvant pour les craniopharyngiomes papillaires des adultes : un nouveau paradigme." Annales d'Endocrinologie 83, no. 5 (October 2022): 314. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2022.07.101.

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Dissertations / Theses on the topic "Thérapie néoadjuvante"

1

Malhaire, Caroline. "Optimization of the Prediction of Complete Response to Neoadjuvant Chemotherapy in Breast Cancer by Breast MRI : Contributions of Semantic Descriptors, Radiomics, and Segmentation Methods." Electronic Thesis or Diss., université Paris-Saclay, 2025. http://www.theses.fr/2025UPAST006.

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Abstract:
La chimiothérapie néoadjuvante (CNA) est une stratégie thérapeutique devenue centrale pour les cancers du sein agressifs et localement avancés. L'obtention d'une réponse pathologique complète (pCR), définie comme une réponse tumorale complète au niveau du sein et de l'aisselle est associée à une amélioration de la survie, notamment dans les cancers du sein de type triple négatif et HER2-positif. Cette stratégie permet d’adapter la prise en charge à la réponse tumorale, les traitements d’escalade permettant une amélioration de la survie des patientes en réponse incomplète. La dissection axillaire ciblée et l'optimisation de la biopsie du ganglion sentinelle sont des alternatives au curage axillaire pour les patientes en réponse ganglionnaire en fin de CNA. Les recommandations européennes limitent actuellement la désescalade de la chirurgie axillaire aux stades précoces avant traitement, soulignant la nécessité de modèles prédictifs fiables pour guider la stratégie chirurgicale. L’IRM joue un rôle majeur dans le bilan initial pour la sélection des patientes éligibles à la CNA et l’évaluation de la réponse tumorale. L’objectif de ce travail de thèse a été de rechercher des prédicteurs IRM de la réponse tumorale, utilisables en pratique clinique de manière robuste et reproductible. D’autre part, l’extraction de données quantitatives en IRM nécessite une segmentation précise des tumeurs mammaires, ce qui est laborieux et sujet à une variabilité entre radiologues. Les progrès récents en apprentissage profond, en particulier des réseaux neuronaux convolutifs, ont permis d’envisager une segmentation automatisée des tumeurs en 3D. A partir d’une base de données de patientes traitées par CNA et évaluées par IRM, nous avons évalué les paramètres associés à la réponse pathologique complète et ganglionnaire, à partir de critères sémantiques évalués sur l’IRM initiale, au moyen de forêts d’arbres aléatoires. Nous avons montré que les contours non-spiculés et la multifocalité sont des prédicteurs indépendants de la réponse tumorale, après ajustement sur la classe histomoléculaire, l'expression des TILs (Tumor-Infiltrating Lymphocytes) et le stade T du TNM. D’autre part, pour les patientes avec une atteinte ganglionnaire initiale, nous avons développé un modèle multivarié de prédiction de la réponse ganglionnaire complète à partir du sous-type tumoral, de l’expression du KI-67, de la profondeur de l’atteinte tumorale dans le sein, du signal T2 intratumoral et de l’atteinte ganglionnaire initiale à l’échographie. Les patientes atteintes de cancer du sein présentant des tumeurs antérieures, sans hypersignal intra tumoral sur les séquences T2 et un épaississement cortical des ganglions lymphatiques supérieur à 7 mm à l’échographie initiale ont un risque accru de maladie axillaire résiduelle après CNA. Dans les ensembles d'entraînement et de test, le modèle, disponible en ligne, a obtenu des aires sous courbes ROC de 0,860 (IC 95% : 0,783-0,936) et 0,843 (IC 95% : 0,714-0,971), respectivement. Nous avons par ailleurs développé une chaine de traitement pour harmoniser les indices radiomiques issus de trois configurations d’acquisition des images IRM par la méthode ComBat. Finalement, nous avons développé une méthode de segmentation tumorale automatique par apprentissage profond utilisant la fusion d’images pondérées en T1 après contraste et d’images de soustraction, dans l’objectif de réduire la charge de travail des radiologues. Nous avons montré l’intérêt d’ajouter des données d’IRM acquises en cours de traitement pour améliorer les performances de l’algorithme. L’utilisation de réseaux de neurones "no-new-Net" (nnU-Net) a par ailleurs permis de simplifier le prétraitement en supprimant la phase de recadrage des images
Neoadjuvant chemotherapy (NAC) has become a cornerstone therapeutic strategy for aggressive and locally advanced breast cancers. Achieving a pathologic complete response (pCR), defined as the absence of residual tumour in both breast and axilla, is associated with improved survival, particularly in triple-negative and HER2-positive breast cancers. This approach allows treatment adjustment according to the tumour response, with escalation therapies shown to enhance survival in patients with incomplete response. Targeted axillary dissection and sentinel lymph node biopsy have emerged as alternatives to axillary lymph node dissection for patients achieving nodal response at the end of NAC. European guidelines currently restrict axillary surgical de-escalation to early-stage, pre-treatment nodal involvement, emphasizing the need for reliable predictive models to guide surgical strategies. MRI plays a critical role in initial assessment for selecting candidates for NAC and evaluating tumour response. This thesis aimed to identify robust and reproducible MRI-based predictors of tumour response that are applicable in clinical practice. Moreover, extracting quantitative MRI data requires precise segmentation of breast tumours, which is labour-intensive and subject to inter-radiologist variability, highlighting the need for automated solutions. Recent advances in deep learning, particularly convolutional neural networks (CNNs), have spurred interest in automated 3D tumour segmentation.Using a database of NAC-treated patients evaluated by MRI, we investigated parameters associated with both pCR and nodal response based on semantic criteria assessed on initial MRI, employing random forest algorithms.We demonstrated that non-spiculated margins and multifocality are independent predictors of tumour response, after adjusting for histomolecular subtype, TILs expression, and T stage of the TNM classification.For patients with initial nodal involvement, we developed a multivariable model to predict complete nodal response, using tumour subtype, KI-67 expression, tumour depth in the breast, intratumoral T2 signal, and initial nodal thickness on ultrasound. Breast cancer patients presenting with anterior tumours, no intratumoral high signal intensity on T2-weighted sequences, and initial nodal cortical thickening greater than 7 mm exhibited a higher risk of residual axillary disease post-NAC. In the training and test sets, the model, available online, achieved AUCs under ROC curves of 0.860 (95% CI: 0.783-0.936) and 0.843 (95% CI: 0.714-0.971), respectively.To identify reproducible MRI radiomic parameters, we developed a processing pipeline to harmonize radiomic indices across three MRI acquisition protocols using the ComBat method.Subsequently, we implemented a deep learning-based automated tumour segmentation method combining T1-weighted contrast-enhanced and subtraction images, to reduce radiologists' workload and improve robustness. We further evaluated the impact of additional MRI data acquired mid-treatment on the algorithm's performance. Using "no-new-Net" (nnU-Net) neural networks, we simplified pre-processing by eliminating the need for image cropping
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Doyon, Caroline. "Thérapie prolongée au mesylate d'imatinib avant la chirurgie pour les tumeurs stromales gastrointestinales avancées : résultats d'une étude prospective de phase II." Thèse, 2010. http://hdl.handle.net/1866/6995.

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Abstract:
Les tumeurs stromales gastrointestinales (GIST) sont les néoplasies mésenchymateuses les plus complexes du système gastrointestinal. Le traitement curatif standard de cette pathologie est la chirurgie avec l'obtention de marges microscopiques négatives. Les résultats impressionnants obtenus sur la prolongation de la survie avec l'administration d'imatinib (IM) chez les patients atteints de maladie métastatique et non-réséquable ont suggéré aux cliniciens que ce même médicament pourrait aussi collaborer à l'obtention de marges négatives plus aisément lors de cancer avancé. Jusqu'à présent, aucune étude prospective n'a caractérisée l'effet d'une thérapie néoadjuvante prolongée à l'IM sur la qualité de la résection chirurgicale subséquente. L'objectif de ce projet de maîtrise était d'évaluer l'efficacité de l'imatinib utilisé avant la chirurgie (néoadjuvant) jusqu'à l'obtention d'une réponse maximale, en vue d'augmenter le taux de résection microscopique complète (R0) dans le traitement chirurgical des GIST à haut risque de résection microscopique incomplète (R1) ou impossible (R2). Pour ce faire, une étude prospective multicentrique de phase II a été réalisée. Le traitement néoadjuvant à l'IM a été instauré chez des patients porteurs d'une GIST localement avancée ou métastatique. Au total, quatorze patients ont reçu une dose de 400-600 mg/d d'IM pour une durée de 6-12 mois avant la chirurgie. Quatorze patients ont été inclus dans l'étude. Onze ont eu une chirurgie à visée curative, un patient a démontré une maladie non-réséquable suite à une laparotomie exploratrice et deux patients ont refusé la chirurgie. Après un suivi moyen de 48 mois, tous les patients opérés étaient vivants et sept sans évidence de récidive. L'utilisation prolongée (12 mois) d'IM dans un contexte néoadjuvant est faisable, sécuritaire, efficace et comporte peu de toxicité. De plus, cette approche est associée à des hauts taux de résection complète (R0), tout en permettant une chirurgie moins extensive. Des études de phase III actuellement en cours sont nécessaires afin de confirmer nos résultats.
Gastrointestinal stromal tumor (GIST) is the most common mesenchymal malignancy of the GI tract. The current standard of care for GIST is surgical complete resection with negative margins. The agent response rate as well as survival advantages obtained with imatinib mesylate in patients with metastatic and/or non-resectable GIST has lead clinicians to evaluate this therapy as neoadjuvant treatment in patients with locally advanced or metastatic but potentially resectable GIST. This study was designed to evaluate the efficacy of neoadjuvant use of imatinib mesylate until maximal clinical response in potentially resectable GIST patients (locally advanced or metastatic), in order to provide preliminary data regarding the efficacy of this approach in the surgical treatment of GIST at high-risk of incomplete microscopic (R1) or macroscopic (R2) margins. A prospective multicenter phase II trial was designed. Fourteen consecutive patients diagnosed with advanced GIST received imatinib at dose of 400 mg/d to 600 mg/d, given from 6 to 12 months prior to surgery. Amoung the 14 patients included, 11 underwent surgery and had a complete microscopic resection (R0). After a median follow-up of 48 months, all operated patients were alive and 7 without evidence of recurrence. The prolonged use (12 months) of neoadjuvant imatinib is feasible, safe, eficient ans associated with low toxicity. Furthermore, it is associated with a high rate of microscopic resection (R0) and a less extensive surgical approach. Phase III study with higher cohorts are necessary to confirm our primary results.
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