Journal articles on the topic 'Théorie de la connaissance (Hindouisme)'

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1

Demange, Dominique. "Théorie métaphysique et théorie transcendantale de la connaissance." Le Philosophoire 9, no. 3 (1999): 89. http://dx.doi.org/10.3917/phoir.009.0089.

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2

HOULE, Gilles. "L’idéologie : un mode de connaissance." Sociologie et sociétés 11, no. 1 (December 14, 2010): 123–45. http://dx.doi.org/10.7202/001352ar.

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Abstract:
Abordé du point de vue d’une sociologie de la connaissance, le développementculturel renvoie au problème d’une théorie des idéologies, définie non plus commeune théorie du discours ou des idéologies politiques, mais comme théorie de laconnaissance. Dissociant l’idéologique du politique et posant l’idéologie comme modede connaissance, analogue à la connaissance scientifique, dont les fondements sontceux du travail scientifique, comme de la pensée de sens commun (comme niveauxspécifiques d’abstraction), l’analyse d’une histoire de vie tente de vérifier cettedistinction théorique. Dans la perspective d’une sémantique structurale, l’analysede contenu qui est faite, tente moins de décrire et d’expliquer la « mécanique » dutexte, que de démontrer qu’on peut y trouver un objet construit, la sociétéquébécoise, définissant un modèle concret de connaissance analogue au modèleabstrait que construit le scientifique. Ce modèle concret, expression et outild’explication de cette réalité, est relatif à l’état de développement de cettesociété. Il permet aussi de jeter un regard nouveau sur l’histoire du Québec dupoint de vue de la genèse des rapports sociaux constitutifs de cette société et dela connaissance qu’il est possible d’en avoir : définissant ainsi l’objet même d’unesociologie de la connaissance.
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3

Dumouchel, Paul. "Une théorie darwinienne de la connaissance." Horizons philosophiques 2, no. 2 (1992): 131. http://dx.doi.org/10.7202/800899ar.

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4

Meeker, Kevin. "Is Hume's Epistemology Internalist or Externalist?" Dialogue 40, no. 1 (2001): 125–46. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300049088.

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Abstract:
RésuméLes philosophes distinguent souvent entre les théories internalistes et externalistes de la connaissance. Après avoir expliqué cette distinction, je défends l'idée que la théorie de la connaissance de Hume doit préférablement être vue comme étant de type internaliste. En outre, je soutiens que la version humienne de l'internalisme consolide une interprétation sceptique de Hume plutôt qu'une interprétation naturaliste. Mon objectif n'est pas seulement d'adresser un nouveau défi aux interprétations naturalistes de Hume, mais aussi d'inviter à une étude plus approfondie de plusieurs questions qui méritent l'attention si nous devons développer une compréhension adéquate de la théorie de la connaissance de cet auteur.
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5

Seager, William. "Introspection and the Elementary Acts of Mind." Dialogue 39, no. 1 (2000): 53–76. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300006399.

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Abstract:
RésuméFred Dretske a développé, à titre de composante de sa théorie de la conscience, une théorie de I'introspection. Celle-ciprésente une plausibilityé indépendante, elle résiste à des objections qui affectent nombre d'autres théories et elle suggère des liens très féconds dans plusieurs domaines de la science cognitive. La version qu'en donne Dretske est restreinte à la connaissance introspective des états perceptuels. Mon objectif ici est d'étendre la théorie à tous les états mentaux. Le mécanisme qui est fondamental dans cette approche est celui de la «conscience déplacée», c'est-à-dire le fait d'en venir à connaître quelque chose via l'expérience consciente que nous avons de quelque chose d'autre. Nous atteignons la connaissance introspective par l'application à notre propre expérience consciente du monde (et de nos corps) de la connaissance que nous avons de ce qui est de l'ordre du mental.
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6

PERRON, Paul-André. "Éros et la pensée." Sociologie et sociétés 29, no. 1 (September 30, 2002): 31–45. http://dx.doi.org/10.7202/001551ar.

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Abstract:
Résumé Par sa position d'énonciation postmoderne, la théorie queer se propose de rompre avec la tradition de connaissance rationnelle qui apparaît avec Platon. Or la philosophie platonicienne propose une théorie du sujet qui, au nom de l'homoérotisme, revendique le monopole de la connaissance légitime. Avec le rétablissement postmoderne de l'ancienne connexion entre éros et le discours, le sujet quitte le domaine de la philosophie pour faire sien celui de la rhétorique. À travers une comparaison du platonisme et de la théorie queer, il s'agit ici d'examiner la reconfiguration des enjeux intellectuels provoquée par l'abandon des paramètres élémentaires de la pensée rationnelle.
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7

Crocco, Gabriella. "Intuition, construction et convention dans la théorie de la connaissance de Poincaré." Articles 31, no. 1 (September 8, 2004): 151–77. http://dx.doi.org/10.7202/008938ar.

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Abstract:
Résumé La conception des mathématiques chez Poincaré est une pièce maîtresse de sa théorie de la connaissance. Les mathématiques y jouent un rôle constitutif et médiateur, très proche de celui que Kant leur avait assigné dans sa Critique. Afin d’éclaircir les rapports complexes entre les notions d’intuition, de construction et de convention chez Poincaré, nous nous appuyons sur les analogies et les contrastes avec la source kantienne. La continuité et la cohérence de la théorie de la connaissance de Poincaré en sortent renforcées.
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8

Lecourt, Dominique. "Le «parallélisme» des attributs." Hors-collection des Cahiers de Fontenay 10, no. 1 (1992): 43–52. http://dx.doi.org/10.3406/cafon.1992.936.

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Abstract:
La célèbre proposition 7 du Livre II de l'Ethique («L'ordre et la connexion des idées sont les mêmes que l'ordre et la connexion des choses») ne tient pas lieu de «théorie spinoziste de la connaissance». Considérée dans le mouvement de la pensée qui s'amorce dans le scolie de la proposition 17 du Livre I, elle résume au contraire le système des refus que Spinoza oppose à toute «théorie de la connaissance». La pointe de l'argumentation est dirigée contre Descartes pour des raisons de conjoncture philosophique, mais c'est l'idée même qu'il existerait un «problème de la connaissance» que s'attache à dissoudre le début du Livre II. La voie est ouverte pour penser le «jeu» (non dialectique) qui permet de passer du monde de l'imagination au troisième genre de connaissance. Au moment où le matérialisme, maintenant dépouillé de ses oripeaux dialectiques, renaît sous des formes substantialistes (biologistes), la leçon mérite d'être méditée.
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9

Couturier, Yves, and François Huot. "Discours sur la pratique et rapports au théorique en intervention sociale : explorations conceptuelles et épistémologiques." Nouvelles pratiques sociales 16, no. 2 (January 18, 2005): 106–24. http://dx.doi.org/10.7202/009846ar.

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Abstract:
Les activités de recherche menées auprès de travailleurs sociaux et de travailleuses sociales révèlent souvent la difficulté de dire la pratique sociale. Cette difficulté se manifeste lorsque l’on tente de théoriser cette pratique. En postulant le caractère théorique des discours des intervenants sur leur pratique, cet article explore les activités de catégorisation des praticiens, les définit comme théorie en actes, examine les conséquences épistémologiques sur les rapports entre la connaissance pratique et la connaissance théorique, et propose différentes pistes pour la poursuite de l’étude de la pragmatique de la théorie dans le domaine de l’intervention.
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10

Farmer, Yanick. "Topologie et modélisation chez René Thom : l’exemple d’un conflit de valeurs en éthique." Articles 37, no. 2 (January 11, 2011): 369–86. http://dx.doi.org/10.7202/045188ar.

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Abstract:
Pour l’épistémologue, mais aussi pour le théoricien de l’éthique, la théorie thomienne des modèles présente un intérêt particulier. Elle établit que la connaissance, ainsi que toutes les catégorisations abstraites qui en résultent, sont façonnées en première instance par les morphologies d’événements qui s’offrent à nos sens. L’intérêt de cette approche épistémologique pour l’éthique est de répondre au problème de son universalisation. Alors que l’éthique traditionnelle fonde la justification sur des principes qui, linguistiquement ancrés, peinent à s’imposer au-delà des cultures particulières, la théorie thomienne des modèles ouvre la voie à un nouveau type d’aide à la décision qui est fondé sur un mode de connaissance universel : la topologie. Cet article expose les fondements épistémologiques de la théorie thomienne, pour ensuite en proposer une application originale aux conflits éthiques.
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Chervet, Bernard. "Contribution à une théorie psychanalytique de la connaissance." Revue française de psychosomatique 32, no. 2 (2007): 145. http://dx.doi.org/10.3917/rfps.032.0145.

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12

ZIMMERMANN, Clara. "Entre plaisir et connaissance : la portée intuitive des Idées esthétiques dans la troisième Critique de Kant." Année 2023-2024 18 (2024): 49–69. http://dx.doi.org/10.4000/11rzb.

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Abstract:
Dans l’« Analytique du beau » de la troisième Critique, Kant explicite la distinction entre les jugements esthétiques et les jugements logiques. Alors que les seconds procurent une connaissance, les premiers ne renvoient la représentation qu’au sentiment du sujet (Gefühl). Or c’est dans le cadre de la théorie du génie que nous trouvons de nouveaux éléments qui nous permettront de mettre en question cette affirmation. Kant définit le génie comme celui qui possède le « principe vivifiant en l’esprit » qui, en mettant les facultés de connaissance en mouvement, parvient à exhiber (Ausdruck) certaines représentations intuitives appelées « Idées esthétiques ». Ces dernières sont des intuitions de l’imagination qui donnent beaucoup à penser, mais par rapport auxquelles aucune pensée particulière ne semble adéquate. Ainsi, après une analyse des quatre moments du jugement de goût pur, nous développerons la notion d’« Idée esthétique » dans le cadre de la théorie kantienne du génie, en nous appuyant sur les interprétations les plus récentes à propos de ce sujet. Enfin, nous tenterons de montrer que, bien que les jugements de goût ne soient pas des jugements de connaissance, la troisième Critique présente de nouveaux éléments pour affirmer que l’esthétique contribue, quoiqu’indirectement, à la connaissance.
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ZIMMERMANN, Clara. "Entre plaisir et connaissance : la portée intuitive des Idées esthétiques dans la troisième Critique de Kant." Année 2023-2024 18 (2024): 49–69. http://dx.doi.org/10.4000/11qzu.

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Abstract:
Dans l’« Analytique du beau » de la troisième Critique, Kant explicite la distinction entre les jugements esthétiques et les jugements logiques. Alors que les seconds procurent une connaissance, les premiers ne renvoient la représentation qu’au sentiment du sujet (Gefühl). Or c’est dans le cadre de la théorie du génie que nous trouvons de nouveaux éléments qui nous permettront de mettre en question cette affirmation. Kant définit le génie comme celui qui possède le « principe vivifiant en l’esprit » qui, en mettant les facultés de connaissance en mouvement, parvient à exhiber (Ausdruck) certaines représentations intuitives appelées « Idées esthétiques ». Ces dernières sont des intuitions de l’imagination qui donnent beaucoup à penser, mais par rapport auxquelles aucune pensée particulière ne semble adéquate. Ainsi, après une analyse des quatre moments du jugement de goût pur, nous développerons la notion d’« Idée esthétique » dans le cadre de la théorie kantienne du génie, en nous appuyant sur les interprétations les plus récentes à propos de ce sujet. Enfin, nous tenterons de montrer que, bien que les jugements de goût ne soient pas des jugements de connaissance, la troisième Critique présente de nouveaux éléments pour affirmer que l’esthétique contribue, quoiqu’indirectement, à la connaissance.
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Harrisson, Denis. "Quatre propositions pour une analyse sociologique de l’innovation sociale." Cahiers de recherche sociologique, no. 53 (February 27, 2014): 195–214. http://dx.doi.org/10.7202/1023196ar.

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Abstract:
Il est étonnant de constater que la sociologie, en tant que champ disciplinaire, s’est peu intéressée à l’innovation sociale. L’innovation sociale conduit à une transformation sociale par des actions intentionnelles. Deux grands concepts sociologiques permettent de traiter de cette question : une conception du changement social et une conception de la motivation de l’action sociale. Quatre théories sociologiques seront utilisées afin de clarifier la place qu’occupe l’innovation sociale dans leur conception respective du changement social et de l’action sociale soit la théorie du choix rationnel, le constructivisme social, l’institutionnalisme et la théorie des mouvements sociaux. L’innovation sociale ne fait pas partie du langage conceptuel d’aucune de ces théories, il faut voir comment le concept peut être intégré. Chaque théorie a ainsi une façon particulière de décrire les phénomènes en jetant un regard singulier sur le sens et les propriétés générales du phénomène et permet d’appréhender le savoir et la connaissance du phénomène par sa portée scientifique, sa signification ainsi que par le procédé de production de la connaissance.
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Muchlinski, Elke. "Épistémologie et probabilité chez Keynes." Articles 79, no. 1-2 (December 15, 2004): 57–70. http://dx.doi.org/10.7202/009674ar.

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Abstract:
Résumé Cet article propose une analyse épistémologique de la théorie des probabilités de Keynes. Il concerne plus particulièrement le lien entre la conception keynésienne des probabilités et la théorie économique élaborée par Keynes. Nous montrerons que Keynes s’oppose à l’esthétisme formel, aux lois rigides et à la théorie orthodoxe en raison de sa prétendue universalité spatio-temporelle. Nous verrons que Keynes substitue aux catégories traditionnelles, entre autres celles de rigueur et de connaissance complète, de nouvelles catégories comme celles d’incertitude, d’ignorance et d’anticipation. Étant donné que Keynes rejette d’entrée de jeu les calculs du type ce ceux que l’on retrouve dans les approches inspirées de Bentham, nous ferons voir que sa théorie économique prend en compte la fragilité et la précarité de la connaissance. Nous insisterons enfin pour dire que Keynes nous paraît également dépasser le constructivisme, car il rejette ouvertement le recours aux concepts vides, à savoir ceux qui ne sont pour lui qu’un squelette sans chair. Enfin, nous mettrons en évidence que, poussé par le besoin de se fonder sur des principes valides a priori, Keynes abandonne l’empirisme classique à son sort.
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Garrouste, Pierre, and Philippe Dulbecco. "Structure de la production et structure de la connaissance. Eléments pour une théorie autrichienne de la firme." Revue économique 51, no. 1 (January 1, 2000): 75–101. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p2000.51n1.0075.

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Abstract:
Résumé L'objet de cette contribution est de fondre dans un même cadre analytique les apports autrichiens dans le domaine de l'étude de la structure de la production et dans le domaine de la dynamique de la connaissance que les individus en ont ; et ce, dans la perspective de produire une théorie renouvelée de la firme et plus généralement de l'analyse de la coordination des activités entre les firmes. Dans le débat relatif au développement des nouvelles théories de la firme, il s'agit pour nous de souligner tout l'intérêt qu'il y a de considérer de très près ce que nous sommes convenus d'appeler une théorie autrichienne de l'entreprise qui, en réconciliant la dimension processuelle de la production et de la connaissance, propose une analyse minutieuse de la coordination dans le temps des plans des entreprises.
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Alves, Pedro M. S. "Kant en tant que Philosophe de la Science de la Nature." Revista de Filosofia Moderna e Contemporânea 8, no. 2 (December 31, 2020): 15–33. http://dx.doi.org/10.26512/rfmc.v8i2.35850.

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Abstract:
Nous commençons par souligner les trois innovations kantiennes qui mettent la philosophie théorique sur une nouvelle voie. Premièrement, une nouvelle forme de la Philosophie théorique, présentée non plus comme une théorie directe de la nature, mais comme une enquête réflexive de la science mathématique de la Nature comme un fait primitif. Deuxièmement, la méthode transcendantale, comme détermination réflexive-régressive des conditions subjectives de possibilité de la connaissance des objets en général. Troisièmement, le rôle central joué par la science newtonienne de la nature. Après cela, je discute de la réévaluation logico-positiviste du récit de Kant à la lumière de la relativité générale d'Einstein et de la réplique de Cassirer, soulignant avec ce dernier la nécessité d'une révision des thèses de Kant sur l'espace, sans toutefois abandonner la posture transcendantale kantienne et sa théorie de la constitution de quelque chose comme objet de connaissance. Enfin, nous concluons par quelques remarques qui visent à une esthétique transcendantale renouvelée qui serait capable d’absorber la théorie de l’espace-temps que la physique d’Einstein a mise en avant.
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Athanassopoulos, Evangelos. "L’art comme production de connaissance : entre théorie et pratique." Marges, no. 22 (April 22, 2016): 75–86. http://dx.doi.org/10.4000/marges.1106.

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정현석. "Thomas d’Aquin et la théorie platonicienne de la connaissance." Sogang Journal of Philosophy 27, no. ll (November 2011): 141–77. http://dx.doi.org/10.17325/sgjp.2011.27..141.

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Theissen, Gerd. "Vers une théorie de l’histoire sociale du christianisme primitif." Études théologiques et religieuses 63, no. 2 (1988): 199–225. http://dx.doi.org/10.3406/ether.1988.3000.

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Abstract:
La sociologie ne prétend pas fournir une interprétation globale et complète du christianisme primitif. Toutefois, elle permet de découvrir certains de ses aspects qui resteraient autrement inaperçus. L’article de Gerd Theissen en fait la démonstration en utilisant trois démarches : celle d’une sociologie phénoménologique des religions, celle d’une théorie de l’intégration, celle d’une théorie des conflits, qui, chacune pour sa part, contribuent à notre connaissance et à notre compréhension du christianisme primitif.
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Deslauriers, Jean-Pierre, and Yves Hurtubise. "La connaissance pratique : un enjeu." Nouvelles pratiques sociales 10, no. 2 (January 28, 2008): 145–58. http://dx.doi.org/10.7202/301410ar.

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Abstract:
Résumé Les recherches portant sur la pratique professionnelle ont démontré un écart constant entre l'action des praticiens et la théorie qu'ils utilisent pour justifier leur pratique. À ce sujet, les auteurs de cet article prétendent que l'épistémologie des chercheurs les empêchent habituellement de saisir l'originalité des connaissances produites par les praticiens. Cependant, ceux qui essaient d'identifier les éléments de cette connaissance pratique ignorent souvent les rapports sociaux qui influencent la pratique professionnelle contemporaine. Dans l'optique de la démocratisation des milieux de travail, les auteurs estiment que la mise à nu de cette connaissance pratique peut contribuer à l'amélioration de l'efficacité professionnelle mais qu'elle peut aussi être détournée au profit de la gestion de l'organisation.
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Cohendet, Patrick, and Jean-Luc Gaffard. "Coordination, incitation et création de connaissance." Management international 16 (September 20, 2012): 11–19. http://dx.doi.org/10.7202/1012389ar.

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Abstract:
La théorie comme la pratique des affaires ont semblé obéir à deux croyances : les marchés devraient être flexibles et les entreprises devaient chercher à optimiser la performance individuelle de leurs employés. Ces croyances reposent sur l’idée que, pour faire face à une information qui est inégalement distribuée, peut être cachée ou manipulée, il suffit de concevoir des incitations individuelles appropriées. La création de connaissance requiert au contraire la mise en oeuvre de réseaux sociaux, entre entreprises comme dans l’entreprise, dédiés à coordonner les investissements concurrents comme complémentaires dans un monde caractérisé par l’irréversibilité et l’incertitude.
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BANDINI, AUDE. "Le mythe fondateur de l’empirisme : le donné épistémologique." Dialogue 51, no. 3 (September 2012): 341–71. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217312000789.

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Abstract:
La critique sellarsienne du «mythe du donné» touche en son cœur le projet empiriste fondationnaliste, dont elle entend néanmoins sauvegarder les intuitions épistémologiques et ontologiques saines. Pour ce faire, les difficultés dirimantes soulevées par l’usage de la notion de donné doivent être d’abord clairement identifiées, puis désamorcées. Ceci aboutit à la fois à une redéfinition précautionneuse du donné comme un concept non épistémologique, et à une révision de la conception traditionnelle du rapport entre observation et théorie, connaissance directe et connaissance inférentielle.
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Pool, Michael. "How Liberating Is Van Fraassen's Voluntarism?" Dialogue 39, no. 3 (2000): 475–90. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300007514.

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Abstract:
RésuméBas van Fraassen soutient que le «Principe de Réflexion» constitue une contrainte sur la rationalité et il rattache ce principe à une sorte de volontarisme épistémologique, c'est-à-dire la doctrine selon laquelle la croyance est affaire de volonté. Je soutiens que la version du volontarisme qui est compatible à la fois avec le Principe de Réflexion et avec l'idée de van Fraassen que les jugements épistemiques constituent une forme d'engagement, est tout à fait différente du volontarisme qu'envisageaient William James ou Blaise Pascal. En fait, la prévention de van Fraassen d'avoir établi une théorie libératrice et pragmatique de la connaissance est mise en question par sa propre thèse selon laquelle le Principe de Réflexion sert d'appui à son volontarisme. Van Fraassen ne peut sauver le Principe de Réflexion que dans le cadre d'une théorie de la connaissance plus restrictive que celle qu'il envisage.
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Dokic, Jérôme. "Introspection, déploiement et simulation." Articles 32, no. 2 (December 15, 2005): 383–97. http://dx.doi.org/10.7202/011874ar.

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Abstract:
RésuméSelon une théorie cognitiviste de l’auto-attribution, je peux parvenir à la connaissance directe, non-inférentielle de mes propres croyances. Cette théorie a été traditionnellement associée à la notion d’introspection conçue comme source de connaissance interne. On sait (au moins depuis Wittgenstein) que le recours à cette notion compromet l’application à soi-même d’un concept unifié de croyance, valable également pour autrui. Dans cet essai, j’explore une autre méthode d’auto-attribution, également envisagée par Wittgenstein (et plus tard par Gareth Evans), que j’appelle « méthode de déploiement ». Selon cette méthode, je parviens à la connaissance de mes croyances en portant mon attention, non pas à l’intérieur de moi-même, mais directement sur le monde extérieur tel que je l’ai trouvé. Certains arguments wittgensteiniens suggèrent que la méthode de déploiement conduit inexorablement au solipsisme. Je m’oppose à ces arguments, en m’inspirant de travaux récents sur la théorie de la simulation mentale. Je parviens à deux conclusions générales. Premièrement, la méthode de déploiement n’est pas réservée à l’auto-attribution ; elle fonde également l’attribution de croyances à autrui. En second lieu, on peut faire ressortir la spécificité de l’attribution égologique par le « matériau ontologique » auquel cette méthode s’applique. Par exemple, je suis fondé à croire que je crois qu’il pleut parce que c’est lefaitqu’il pleut, et non une simple possibilité, qui se présente à moi lorsque je me tourne vers le monde. La méthode de déploiement peut échapper au solipsisme si on l’associe à une distinction ontologique naïve entre des faits et de simples possibilités.
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Biard, Joël. "Présence et représentation chez Pierre d'Ailly. Quelques problèmes de théorie de la connaissance au XIVe siècle." Dialogue 31, no. 3 (1992): 459–74. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300012099.

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Abstract:
Face aux difficultés soulevées par le rapport de l'intellect à la chose intelligée — question qui suscite de nombreux débats aux confins des XIIIe et XIVe siècles —, Guillaume d'Ockham adopte une solution radicale: elle consiste à supprimer tout intermédiate entre l'acte d'intellection et la chose réelle, donnée dans sa présence singulière, ultime cause efficiente du procès d'émergence et d'élaboration de la connaissance. De ce fait, Guillaume d'Ockham rejette tout corrélat de la connaissance qui serait distinct de la chose même. Cela revient à invalider aussi bien l'idée d'intentio in concreto que celle d'esse obiectivum. Sans faire l'unanimité, loin de là, la solution ockhamiste trouve des echos aussi bien chez des anglais tels que Gauthier Chatton ou Robert Holkot, que dans la pensée parisienne à partir de Jean Buridan. L'essentiel, de ce point de vue, est l'exigence de présence de la chose même dans le renvoi sémantique et dans le rapport de connaissance, par conséquent la détermination de l'objet — entendu comme ce qui fait face à l'intellect — à partir de la présence et de l'être donné, l'instauration d'une relation de causalité efficiente (au moins à titre de cause partielle) entre la chose et la connaissance.
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Molinero, Laurence. "La "théorie" de la connaissance acquise en droit administratif français." Revue juridique de l'Ouest 3, no. 3 (1990): 303–57. http://dx.doi.org/10.3406/juro.1990.1832.

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Viot, Catherine, Agnès Lancini, Caroline Bayart, and Charlotte Lécuyer. "Introducing gadget love and subjective knowledge into the theory of planned behavior to understand intention to adopt smart-connected products." Question(s) de management 45, no. 4 (July 26, 2023): 93–106. http://dx.doi.org/10.3917/qdm.225.0093.

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Abstract:
L’adoption rapide de nouveaux produits technologiques est un facteur clé de la performance des entreprises. La présente étude porte sur les déterminants de l’intention d’adopter un objet connecté permettant d’enregistrer des données personnelles que nous appellerons traceurs individuels. L’objectif de cette recherche est de montrer si leur adoption est motivée uniquement par des facteurs rationnels issus du cadre de la théorie du comportement planifié ou par une combinaison de facteurs rationnels, cognitifs (connaissance subjective) et émotionnels (passion des gadgets). Les résultats d’une étude en ligne (N=360), dont les données ont été analysées à l’aide d’équations structurelles, confirment que la passion des gadgets, la connaissance subjective et la norme subjective influencent positivement l’intention d’adopter l’objet connecté retenu pour l’étude, mais contrairement aux attentes, l’effet de la connaissance subjective est direct.
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Goldstick, Daniel. "Lecture d’Althusser." Articles 12, no. 2 (January 10, 2007): 363–91. http://dx.doi.org/10.7202/203291ar.

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Abstract:
Résumé La cohérence du marxisme de Louis Althusser est ici assaillie à partir de la théorie de la connaissance engelsienne. On prétend dévoiler certains « concepts »-clés de l'althusserisme comme étant des métaphores non susceptibles de toute interprétation qui se tienne. Son adhésion foudroyante à l'objectivisme réaliste se manifeste comme fausse (quand même sincère). Cinq problématiques althusseriennes sont examinées et critiquées successivement. Il s'agit de sa désapprobation du concept engelsien de vérité relative et objective, sa distinction entre l'objet de connaissance et l'objet réel, sa conception de « l'idéologie », sa conception de « l'empirisme », et sa conception de la philosophie.
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Hubert, Jean-Paul. "Sur les prétentions scientifiques et la légitimité philosophique d’une théorie des formes de l’établissement humain." Cahiers de géographie du Québec 36, no. 98 (April 12, 2005): 275–98. http://dx.doi.org/10.7202/022269ar.

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Abstract:
Les sciences sociales se servent de découpages géographiques pour constituer les phénomènes sur lesquels porte leur savoir. Aussi, une théorie expliquant comment apparaissent ces cloisonnements du monde, en les considérant en tant qu'objets autonomes, pourrait apporter une connaissance cruciale, voire fondatrice, pour ces sciences. La théorie de la forme urbaine porte précisément sur de tels objets, mais peut-elle justifier épistémologiquement son droit à occuper cette place fondamentale? Cette question conduit à engager sur cette théorie une réflexion critique. Nous nous en rapportons à l'oeuvre de Kant afin de comprendre à quelles conditions a priori un lieu de l'oecoumène peut être déterminé par une position géographique. L'analyse des fondements transcendantaux des objets géographiques structuraux atteste une cohérence remarquable de la théorie de la forme urbaine avec l'architectonique des trois Critiques kantiennes et légitime ses prétentions scientifiques.
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Montminy, Martin. "Les conditions de l'interprétation." Dialogue 35, no. 3 (1996): 505–28. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300008842.

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Abstract:
Donald Davidson considère qu'une théorie de l'interprétation doit être radicale, c'est-à-dire qu'elle ne doit présupposer aucune connaissance de la langue à interpréter. Cette exigence repose sur l'idée suivante: si une théorie de l'interprétation pour une langue L présuppose une certaine compréhension de L, alors elle perd son pouvoir explicatif et échoue à rendre compte de ce qui permet la compréhension de L. L'interpr'tation radicale a l'avantage de nous forcer à rendre explicite ce qui est à l'œuvre dans le processus d'interprétation du comportement verbal d'autrui. Elle nous permet aussi de nous concentrer sur la nature des données empiriques qui rendent possible la communication. Il importe de noter que Davidson ne veut aucunement suggérer qu'un interprète compétent de L connaϊt ou possède une théorie de l'interprétation pour L: la théorie set plutôt à donner une description de sa compétence.
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Bondarenko, Maria. "Reflet vs réfraction chez les philosophes marxistes du langage des années 1920-30 en Russie : V. Vološinov lu à travers V. Abaev." Cahiers du Centre de Linguistique et des Sciences du Langage, no. 24 (April 9, 2022): 113–48. http://dx.doi.org/10.26034/la.cdclsl.2008.1409.

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Abstract:
Le discours scientifique des années 20 se caractérise par l’influence particulière que le discours marxiste exerce sur ce premier. Sans prendre en considération ce facteur, certains concepts de la philosophie du langage des années 20-30 seraient difficiles à interpréter de manière adéquate. En premier lieu, cela concerne l’opposition des métaphores spéculaires reflet vs réfraction largement employés par V. Vološinov (1895-1936) dans Marxisme et philosophie du langage (1929). Cette opposition possède un caractère sémiotique en touchant la théorie de la signification de Vološinov dans la mesure où reflet et réfraction constituent des fonctions du signe. D’autre part, ces termes renvoient à la pensée marxiste où ils prennent leur valeur par leur rapport à l’idéologie, aussi bien qu’à la conception de la connaissance. Pour saisir la valeur de ces termes de Vološinov, on propose de les étudier à travers la philosophie marxiste du langage de Vasilij Abaev (1900-2001), linguiste peu connu en Europe occidentale, issu du milieu marriste. A titre d’étude complémentaire, on évoque également la tentative de Mikhail Reisner (1868-1928) d’appliquer les concepts sémiotiques à la théorie de l’idéologie. Dans notre approche, nous partons de la conviction (qui est le résultat d’une étude de l’utilisation des concepts idéologie, reflet et réfraction dans les discours marxistes des années 20) qu’au moment de la rédaction de l’ouvrage de Vološinov, il n’existe aucun modèle stable de la pensée marxiste à l’aide duquel on peut évaluer la terminologie «marxiste» de Vološinov. En revanche, en suivant les acceptions les plus courantes des termes marxistes, ce dernier leur donne une nouvelle dimension sémiotique en contribuant considérablement au développement de la théorie de l’idéologie. Deux interprétations de l’opposition reflet vs réfraction, que permet la théorie de Vološinov, reflètent la singularité paradoxale de la pensée marxiste qui alloue, à son tour, deux modes de la théorie de la connaissance coexistant dans les années 20-30.
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Rogé, Ossian. "Quelle signification pour quelle connaissance en économie ?" A contrario 35, no. 2 (December 12, 2023): 141–60. http://dx.doi.org/10.3917/aco.232.0141.

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Abstract:
Hilary Putnam a été l’un des philosophes les plus actifs sur les questions posées par la validité des modèles économiques et les théorèmes issus de la théorie du choix rationnel utilisés en économie. Sa critique de la dichotomie Fait/Valeur a mis en lumière l’héritage problématique du positivisme logique dans les théories économiques au XX e siècle. Or la richesse de cette critique tient non seulement à la pertinence de ses arguments mathématiques mais aussi à la philosophie du langage inspirée de Wittgenstein qui la soutient. Le propos de cet article est de montrer comment Putnam utilise la philosophie du langage pour expliquer l’évolution des théories économiques qui reconnaissent, comme lui, l’enchevêtrement des notions éthiques et économiques.
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Bellemare, Denis. "Le territoire de la critique." Cinémas 6, no. 2-3 (February 28, 2011): 101–12. http://dx.doi.org/10.7202/1000974ar.

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Abstract:
La critique, c’est aussi de la théorie. Le dualisme que la pratique impose à la critique et à la théorie ne doit pas leur faire oublier leurs exigences communes de connaissance et de jugement. Dans un tel contexte d’écriture, quelles figures la critique du cinéma québécois tente-t-elle d’imprimer au territoire filmique? L’auteur cherche à bien définir une posture de critique d’imitation et d’identification. La critique et le film ne trouvent pas la distance nécessaire à leur propre symbolisation. Toutefois, la fin des années 80 laisse poindre un imaginaire nouveau du cinéma québécois obligeant lentement la critique à se repositionner.
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Villeneuve, Paul Y. "Géographie de la perception et méthode dialectique." Cahiers de géographie du Québec 29, no. 77 (April 12, 2005): 241–60. http://dx.doi.org/10.7202/021721ar.

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Abstract:
Il est d'abord suggéré que la dialectique matérialiste, comme théorie de la connaissance mais aussi comme méthode de pensée, a été contrainte à évoluer au contact du développement des sciences. En particulier, la théorie des jeux et celle des catastrophes permettent l'étude de certains processus conflictuels sans qu'il soit nécessaire de recourir à la notion de « dialectique ». À l'inverse, la géographie de la perception tente de se dégager d'un certain behaviorisme. Ceci apparaît possible à condition de reformuler les rapports entre l'objet perçu et le sujet pensant. C'est ici que la méthode dialectique acquiert toute sa pertinence.
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Leite Cruz de Matos Pacheco, José António. "Kant, Weil: Duas Leituras do Mal Radical." Philosophica: International Journal for the History of Philosophy 4, no. 7 (1996): 39–45. http://dx.doi.org/10.5840/philosophica1996472.

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Abstract:
Le mal radical figure, selon Die Religion innerhalb der Grenzen der blossen Vernunft, de Kant, la possibilité d'une mauvaise-foi de la raison envers soi-même, mais jamais celle d ’une décision diaboliquement prise «en connaissance de cause». Le but de cette étude a été celui de montrer comment Eric Weil reprend la théorie, médiatisée par des catégories post-critiques (nottament celles apportées par Hegel), dévoilant, au fond de la thèse de Kant, le fil caché que Kant, lui-même, ne pourrait pas accepter, et qui finalement identifie le mal avec le choix diabolique de rompre, en connaissance de cause, avec la recherche de l'universalité et la construction du sens.
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Gaussot, Ludovic. "Position sociale, point de vue et connaissance sociologique : rapports sociaux de sexe et connaissance de ces rapports." Sociologie et sociétés 40, no. 2 (March 10, 2009): 181–98. http://dx.doi.org/10.7202/000653ar.

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Abstract:
Résumé Cet article porte sur la genèse des problématiques de sexe dans les sciences sociales et propose une contribution à l’élucidation des rapports entre connaissance, point de vue et position de l’observateur. Le problème est envisagé dans sa généralité, mais il s’agit aussi de le poser dans le champ d’études des rapports de sexe : comment la position au sein du système hiérarchique du sexe/genre peut-elle avoir une incidence sur l’interprétation de ce système ? Le problème est envisagé sous différents angles : historique, épistémologique, théorique. Un exemple est sollicité : la controverse autour de l’explication de la reproduction de la domination et du « consentement à la domination », opposant la théorie de Godelier à la critique de Mathieu. La conclusion milite pour une plus grande prise au sérieux de la question de la position de l’observateur, dans un contexte de querelle rationalisme/relativisme apaisée.
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Herbulot, Florence. "La Théorie interprétative ou Théorie du sens : point de vue d’une praticienne*." Meta 49, no. 2 (October 27, 2004): 307–15. http://dx.doi.org/10.7202/009353ar.

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Abstract:
Résumé La Théorie interprétative, ou Théorie du sens, que l’on appelle aussi parfois Théorie de l’École de Paris, repose sur un principe essentiel : la traduction n’est pas un travail sur la langue, sur les mots, c’est un travail sur le message, sur le sens. Qu’il s’agisse de traduction orale ou écrite, littéraire ou technique, l’opération traduisante comporte toujours deux volets : COMPRENDRE et DIRE. Il s’agit de déverbaliser, après avoir compris, puis de reformuler ou ré-exprimer, et le grand mérite de Danica Seleskovitch et de Marianne Lederer, qui ont établi et défendu ardemment cette théorie, est d’avoir démontré à quel point ce processus est, non seulement important, mais également naturel. Ces deux phases nécessitent évidemment, pour le traducteur, la possession d’un certain savoir : la connaissance de la langue du texte, la compréhension du sujet, la maîtrise de la langue de rédaction, mais aussi une méthode, des réflexes bien éduqués, qui vont lui permettre d’adopter à l’égard du texte l’attitude qui aboutira au meilleur résultat par la recherche d’équivalences, sans se laisser enfermer dans les simples correspondances. L’auteur s’appuie sur de nombreux exemples, techniques aussi bien que littéraires, tirés de sa pratique professionnelle pour montrer à quel point l’opération traduisante implique un travail de recherche du sens, suivi d’une reformulation par l’établissement d’équivalences.
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Blanc, C. J. "L'Activité psychique. De la psychiatrie à une théorie de la connaissance." Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 162, no. 4 (May 2004): 320–23. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2004.03.004.

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Schmid-Kitsikis, E. "La psychanalyse, une théorie de la connaissance ? Singularité et complexité épistémologiques." In Analysis 1, no. 2 (June 2017): 97–102. http://dx.doi.org/10.1016/j.inan.2017.05.002.

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Dufossé, Colette. "Théories et vocabulaire de la vision dans les mondes grec et latin du ive au XIIe siècle." Archivum Latinitatis Medii Aevi 74, no. 1 (2016): 21–36. http://dx.doi.org/10.3406/alma.2016.1194.

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Abstract:
Dans l’Antiquité tardive, les théories de la vision sont fondées sur la théorie de Platon. L’approche néoplatonicienne de celle-ci par les commentateurs grecs d’Aristote est transmise à l’Occident latin, plus marqué cependant par le Timée de Platon, seul accessible en traduction. Pour expliquer la formation de l’image dans l’âme de l’observateur, l’Occident centre sa réflexion sur l’intériorité du sujet : la théorie augustinienne des trois visions élargit la théorie visuelle jusqu’à en faire une théorie de la pensée. Elle est ensuite redéfinie au XIIe siècle sous l’influence de la classification boécienne des puissances de l’âme. À partir de la métaphore du Dieu-lumière, les Pères grecs développent un discours métaphysique marqué par la physique aristotélicienne que Jean Scot Érigène transmet au monde latin. Au XIIe siècle, l’étude du Timée permet de transformer cette métaphysique en une optique physique originale. Un lexique latin spécialisé semble alors se constituer, puis est repris dans les traductions du XIIe siècle qui renouvellent la connaissance de cette discipline en Occident.
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Franke, William. "Psychoanalysis as a Hermeneutics of the Subject: Freud, Ricoeur, Lacan." Dialogue 37, no. 1 (1998): 65–82. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300047594.

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Abstract:
RésuméLa connaissance herméneutique est généralement définie comme un savoir engagé, par opposition au savoir détaché que produit la méthode scientifique. La tension entre ces deux modèles dans la théorie psychanalytique de Freud est ici mise en évidence avec l'aide de Ricœur: cette théorie interprète des intentions conscientes, mais explique en même temps la vie psychique d'une façon mécaniste en termes depulsions somatiques. On montre ensuite comment le développement lacanien de la psychanalyse rend l'être habituellement caché de la subjectivité—l'inconscient—accessible comme langage. Structuré comme un langage, l'inconscient est articulé et interprétable; et son interprétation est accès au langage du «réel», par-delà les limites de l'objectivité scientifique.
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Vallée, Richard. "Le problème de l’esprit d’autrui. Discussion de quelques solutions récentes." Articles 15, no. 2 (July 26, 2007): 421–51. http://dx.doi.org/10.7202/027054ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les quatre thèses suivantes ont pour résultat qu'il devient impossible de justifier sa croyance en l'existence d'états mentaux hors les siens propres : (1) on a un accès direct à ses propres états mentaux ; (2) on n'a qu'un accès indirect aux états mentaux d'autrui ; (3) le matérialisme est indéfendable et (4) toute prétention à la connaissance doit respecter des contraintes empiristes. L'argument par analogie, une tactique classique pour justifier cette croyance, est insoutenable, en particulier lorsqu'il se base sur le comportement linguistique. Un autre argument de Putnam nous engage sur un terrain où, à la limite, il n'est plus nécessaire de parler des états mentaux d'autrui. Il faut donc rethématiser certains problèmes en théorie de la connaissance.
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Plourde, Jimmy. "De l’impossibilité du savoir intuitif conçu comme état purement mental et d’une difficulté que cela soulève pour l’évidentialisme1." Dossier 44, no. 1 (June 27, 2017): 85–101. http://dx.doi.org/10.7202/1040329ar.

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Abstract:
Dans cet article, je défends la thèse qu’il ne peut pas y avoir de savoir intuitif sous la forme d’un état purement mental, car, contrairement aux états purement mentaux de connaissance, les intuitions rationnelles n’excluent pas la possibilité de la coexistence de connaissances aux contenus contradictoires. Je soutiens que cela trouve une double justification dans la non-factivité et la non-véridictivité des intuitions, et une explication dans l’idée que les intuitions sont des expériences d’« intellectual seemings ». Enfin, je soutiens que ces caractéristiques des intuitions pourraient constituer une difficulté pour la thèse évidentialiste et, par conséquent, pour la conception du savoir intutitif dans le cadre d’une théorie classique réformée de la connaissance.
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Berne, Vincent. "Sens et sensibilité chez Whitehead." Archives de Philosophie Tome 86, no. 4 (September 20, 2023): 77–93. http://dx.doi.org/10.3917/aphi.864.0077.

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Abstract:
Résumé Avec la cosmologie de la philosophie de l’organisme, Whitehead poursuit son enquête sur les principes de la connaissance naturelle, dans l’idée de faire se correspondre les données phénoménologiques directes et la physique de son temps. En prenant pour modèle le corps percevant, cette métaphysique fait des individus durables les centres d’où s’élabore la connaissance objective. Nous y gagnons sécurité et cohérence dans un monde en perpétuel devenir où les lois de la nature sont elles-mêmes contingentes. Mais le parcours génératif du sens qu’étudie la partie III de Process and Reality interroge : en amont de toute ontologie, l’espace tensif dans lequel la théorie des préhensions inscrit la discussion ne relève-t-il pas plutôt de l’existence sémiotique ?
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Gérard-Varet, Louis-André. "Pouvoirs de marché et informations privées en équilibre général: la théorie peut-elle avoir un pouvoir prédictif?" Recherches économiques de Louvain 55, no. 4 (1989): 313–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800029699.

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Abstract:
RésuméLa théorie de l’équilibre général walrasien possède un pouvoir prédictif, du moins tant que l’on veut bien s’en tenir à des environnements en information complète, en l’absence de pouvoirs de marché et où il est connaissance commune que les marchés doivent s’équilibrer. On examine ici les difficultés qui surviennent dès que sont pris en considération des pouvoirs de marché ou des informations privées.
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Beividas, Waldir. "La nature du sens : Neuroception, perception ou sémioception ?" Semiotica 2020, no. 234 (October 25, 2020): 45–58. http://dx.doi.org/10.1515/sem-2018-0125.

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Abstract:
Résumé La théorie sémiotique s’est développée comme une théorie de la production du sens et de sa manifestation dans les diverses pratiques humaines. Dernièrement, elle est demandée à rendre compte de l’émergence du sens, de sa nature. Pour la philosophie merleaupontienne ce point d’origine est donné dans la perception, comme le premier sol où le sens se fait. La perception détient la primauté de la construction du monde signifiant pour l’homme. Dans les sciences naturelles, les neurosciences pointent vers le cerveau, en particulier l’équipement neuronal que nous avons en tant qu’hommes, comme le siège de la construction du sens. Notre connaissance du monde vient d’une « neuroception », un néologisme inévitable pour lui donner un air de famille avec celui de la « per-ception ». Devant ces deux positions théoriques, nous pouvons en sémiologie et linguistique offrir et défendre l’hypothèse que notre connaissance du monde est péremptoirement générée dans les mailles des langages. Une opération de sémioception, basée sur l’acte sémiologique arbitraire des langages, commande la perception humaine elle-même, avec antécédence. Ce n’est pas le cerveau qui « fait de l’esprit », c’est plutôt le langage qui « fait le cerveau » humain.
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Cusson, Maurice. "Dissuasion, justice et communication pénale." Revue française de criminologie et de droit pénal N° 2, no. 1 (April 1, 2014): 3–37. http://dx.doi.org/10.3917/rfcdp.002.0003.

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Abstract:
Cet article propose de confronter la théorie classique de la dissuasion aux résultats des recherches empiriques des quarante dernières années. Il en ressort une confirmation du postulat selon lequel les sanctions pénales produisent bien un effet intimidant. Cette confirmation ne vaut toutefois que lorsque la certitude des peines est bien connue des délinquants potentiels. En revanche, l’effet dissuasif est beaucoup moins prégnant dans les autres hypothèses. Pour mieux rendre compte des connaissances actuelles, l’auteur revisite la théorie classique de la dissuasion au travers de nouvelles variables : la connaissance de la sanction, la communication pénale et la justice. Il propose ainsi une théorie moderne de la sanction pénale selon laquelle la peine ne produit pas seulement un effet intimidant, mais constitue également un message visant à persuader les citoyens de respecter la loi et les règles fondamentales de la justice dans les rapports humains.
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Sévigny, Robert. "Théorie psychologique et sociologie implicite*." Santé mentale au Québec 8, no. 1 (June 12, 2006): 7–20. http://dx.doi.org/10.7202/030159ar.

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Abstract:
Résumé Ce texte part de l'hypothèse générale que toute théorie de psychologie de la personnalité doit inévitablement, d'une façon ou de l'autre, faire référence à une sociologie, c'est-à-dire à un ensemble de connaissances se rapportant aux divers milieux sociaux dans leur relation avec les individus. Cette sociologie, selon cette hypothèse de travail, demeure implicite. Ce texte discute ensuite un ensemble d'approches théoriques pour vérifier cette hypothèse. Cette démarche permet de dégager diverses formes ou diverses expressions de cette sociologie implicite. Dans ce contexte sont explorés rapidement plusieurs courants : psychanalyse, behaviorisme, gestaltisme, la théorie classique des besoins. L'auteur commente aussi l'approche qui consiste à utiliser la notion de mythe pour approfondir la connaissance de soi, celle qui s'inspire des philosophies ou des techniques orientales. Enfin, dans la même perspective, il commente plus longuement l'oeuvre de Carl Rogers pour en faire ressortir les diverses formes de sociologie implicite. À part Carl Rogers, ce texte fait référence à Freud, Jung, Adler, Reich, Perls, Goodman, Skinner, ainsi qu'à Ginette Paris et à divers commentateurs du taoïsme. En conclusion l'auteur indique la signification de son analyse du double point de vue de la théorie et de la pratique psychologiques.
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Leclercq, Gilles. "Lire l'agir pédagogique: une lecture épistémologique." Articles 26, no. 2 (October 7, 2002): 243–62. http://dx.doi.org/10.7202/000122ar.

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Abstract:
Résumé Cet article propose une lecture à visée épistémologique de l'agir pédagogique. Après avoir précisé ce qu'il entend par agir et lire, l'auteur identifie trois modalités d'action: expliquer quelque chose à quelqu'un, placer quelqu'un en situation de s'expliquer quelque chose à lui-même, expliquer quelque chose avec quelqu'un. À chacune de ces formules, il associe une théorie de la connaissance et une théorie de la formation. Ce travail de lecture permet de clarifier le débat pédagogique en l'adossant à trois conceptions différentes de la scientificité et du rapport au monde. Pourtant, dans un autre registre, celui de l'activité journalière des formateurs, les trois modalités d'agir identifiées sont autant d'impératifs sociaux qu'il n'est pas raisonnable d'opposer.
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