Academic literature on the topic 'Taxe de rendement des capitaux'

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Journal articles on the topic "Taxe de rendement des capitaux"

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RAFAQAT, Simon, Sana RAFAQAT, Sahil RAFAQAT, Saoul RAFAQAT, and Dawood RAFAQAT. "Facteurs fondamentaux affectant le cours de l'action des sociétés de services de traitement électronique des données (EDP)." Journal of Academic Finance 14, no. 1 (June 30, 2023): 16–28. http://dx.doi.org/10.59051/joaf.v14i1.606.

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Abstract:
Objectif - Cet article vise à analyser l'impact des facteurs fondamentaux sur le cours de l'action des sociétés de services informatiques (EDP) de taille moyenne cotées à la bourse NASDAQ au cours de la période allant de 2016 à 2020. Conception/méthodologie/approche - Les auteurs utilisent des outils statistiques tels que les corrélations de Pearson, le test de multicolinéarité, le test d'autocorrélation, l'ANOVA, l'analyse de régression multiple, la normalité, l'hétéroscédasticité. En outre, en utilisant l'analyse des ratios, les ratios financiers/facteurs fondamentaux, y compris la taille de l'entreprise, le rendement des capitaux propres, le taux de rotation des actifs, le ratio actuel, la marge bénéficiaire nette, le ratio d'endettement, le rendement des actifs, le bénéfice par action et la trésorerie d'exploitation rapport de débit, ont été sélectionnés pour l'étude. Résultats - Les résultats de l'analyse de régression multiple indiquent que le taux de rotation des actifs et la taille de l'entreprise ont un impact significatif négatif tandis que le bénéfice par action a un impact significatif positif. De plus, le ratio d'endettement a un impact positif non significatif alors que le ratio actuel, la marge bénéficiaire nette, le rendement des actifs, le rendement des capitaux propres et le ratio de flux de trésorerie d'exploitation ont un impact négatif non significatif sur le cours de l'action des sociétés expérimentées. En outre, la valeur R au carré montre que le cours de l'action est influencé à 59 % par les facteurs fondamentaux sélectionnés et l'ANOVA illustre que ces facteurs ont un impact significatif combiné sur le cours de l'action. Originalité/valeur - L'étude est l'une des rares à analyser l'influence des facteurs fondamentaux internes sur le cours de l'action des sociétés de services informatiques (EDP) cotées au NASDAQ sur la période 2016-2020.
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Rönnbäck, Klas, and Oskar Broberg. "Institutions coloniales, exploitation impériale et rendement des capitaux investis : comparaison des histoires de la Malaisie et de l’Afrique du Sud." Revue d'économie financière N° 147, no. 3 (December 1, 2022): 257–61. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.147.0257.

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Winter, Jennifer, Brett Dolter, and G. Kent Fellows. "Carbon Pricing Costs for Households and the Progressivity of Revenue Recycling Options in Canada." Canadian Public Policy, March 15, 2023. http://dx.doi.org/10.3138/cpp.2022-036.

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Abstract:
La politique fédérale canadienne exige que toutes les provinces et tous les territoires adoptent un prix plancher sur les émissions de gaz à effet de serre ou se dotent d’un instrument équivalent de mesure quantitative. Les provinces qui mettent en place un système conforme au modèle fédéral conservent le contrôle de leurs revenus. Les provinces qui n’établissent pas de tarif pour la pollution par le carbone sont assujetties à un système de tarification administré par le gouvernement fédéral, qui redistribue les revenus aux ménages au moyen de rabais forfaitaires. À partir d’un riche ensemble de microdonnées synthétiques sur les ménages, nous quantifions pour chaque province le fardeau fiscal direct et indirect des ménages et les revenus provenant de la tarification du carbone. Nous calculons également pour chacune la part du revenu disponible provenant de la tarification du carbone. À l’aide de ces données, nous mesurons le cout net pour les ménages et la progressivité globale de la tarification du carbone, selon quatre scénarios de recyclage des recettes : (a) une augmentation du crédit pour la taxe de vente en fonction du critère de revenus, (b) un dividende forfaitaire, (c) une diminution du taux de la taxe de vente, et (d) une augmentation de l’exemption de base de l’impôt sur le revenu des particuliers. Nous constatons que la taxe sur le carbone est généralement progressive, même sans recyclage des recettes ; que le crédit pour la taxe de vente et le remboursement forfaitaire sont progressifs ; que la diminution du taux de la taxe de vente est généralement régressive, et que la modification de l’impôt sur le revenu est régressive. Nous montrons également que le système de tarification canadien pour les grands émetteurs, fondé sur le rendement, aide à atténuer les couts indirects de la tarification du carbone, ce qui réduit de façon marquée les couts pour les ménages.
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Vrins, Frédéric. "Focus 30 - mars 2023." Regards économiques, March 30, 2023. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2023.03.30.01.

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Abstract:
Le 17 mars 2023, Silicon Valley Bank (SVB), 16ème banque aux Etats-Unis par sa taille, déposait le bilan. Le jour même, l’action de Crédit Suisse, 17ème plus grande banque d’Europe, chutait de plus de 60% et sera rachetée deux jours plus tard par son principal concurrent, UBS, sous la pression du gouvernement helvète. Autour du 15 mars, les principales valeurs bancaires européennes perdaient plus de 10%, lâchant près de 20% en un mois. On peut donc légitimement se demander si nous ne sommes pas sur le point de revivre le scénario d’une crise bancaire mondiale avec les effets que l’on connait. La question se pose : faut-il avoir peur de nos banques ? La régulation est-elle assez stricte ? Les institutions qui dépendent du régulateur bancaire européen n’ont jamais été aussi solides, mais les réactions des investisseurs, y compris des épargnants, peuvent créer de grosses turbulences. En 2008, la crise financière trouvait son origine dans les subprimes. Via la titrisation, ces crédits hypothécaires toxiques se sont retrouvés sur le bilan d’un grand nombre de banques (voir le numéro 64 de Regards économiques). Ne connaissant pas précisément l’exposition des autres institutions financières à ces produits, la méfiance contamina l’ensemble du secteur et le robinet des liquidités interbancaires fut coupé. La crise de 2008 révéla au grand jour le risque de liquidité des banques (à savoir le risque de ne pas pouvoir se refinancer), y compris de celles présentant un risque systémique. Elle mena à des réformes importantes dans la régulation bancaire, notamment via l’introduction des ratios de liquidités de Bâle III (Leverage Coverage Ratio, LCR et Net Stable Funding Ratio, NSFR) destinés à mesurer les risques associés (voir le numéro 96 de Regards économiques). Les problèmes de SVB et de Crédit Suisse ont des origines différentes, mais engendrent le même climat de méfiance et de panique dans le secteur. Le cas de SVB La faillite de SVB est malheureusement un exemple tout à fait classique d’une gestion catastrophique : un bilan de 212 milliards de dollars composé notamment, côté passif, d’environ 173 milliards de dépôts (essentiellement d’entreprises) et, du côté actif, de 112 milliards de titres à revenu fixe, principalement des créances garanties par des institutions bénéficiant du support du gouvernement américain (MBS) ainsi que des bons du Trésor de maturité supérieure à 10 ans. Malgré l’excellente qualité de ces titres, le bilan de la banque californienne était fort déséquilibré, car très exposé au risque de taux d’intérêt : l’augmentation des taux à 10 ans de 1,5% à 4% au cours de l’année 2022 [1] aura entrainé une perte de valeur sur ces titres de près de 15 milliards de dollars, ce qui correspond à la quasi-totalité des 16 milliards de dollars que comptaient les fonds propres de haute qualité (Core Equity Tier 1, CET1) de la banque [2]. Le plus surprenant dans cette histoire est que SVB était tout à fait consciente de sa large exposition au risque de taux, comme l’attestent des rapports de risque datant de 2021. Il est probable qu’elle n’y ait pas suffisamment porté attention, ayant l’intention de détenir ces actifs jusqu’à leur maturité (l’autre explication proviendrait d’une absence de gestion de risque, le poste de directeur financier (CRO) étant resté vacant pendant la quasi-totalité de 2022 [3]). Le faible rendement des titres détenus (qu’on estime à environ 2%) ne permettait pas à SVB de répercuter sur ses dépôts l’augmentation brutale des taux décidée par la FED. Le doute quant à la solidité de la banque s’était immiscé, et la chute fut précipitée par le retrait massif des dépôts issus d’entreprises (très réactives aux taux offerts), et dont la plupart excédaient le seuil de protection garantie de 250.000 dollars. On estime qu’environ 97% des 173 milliards dépôts de SVB provenaient d’entreprises, une situation très inhabituelle dans la mesure où les dépôts dans les banques de détail proviennent en général majoritairement des particuliers (moins réactifs à une variation de taux et avec des montants se situant souvent sous la garantie de l’Etat). Le cas de Crédit Suisse S’agissant de la 45ème banque la plus importante du monde en 2022 et d’une des plus grandes d’Europe, Crédit Suisse est un mastodonte. Néanmoins, cette institution accumule les problèmes depuis de nombreuses années. Il y a quelques mois à peine, en octobre 2022, elle accepta de verser une compensation de plus d’un demi-milliard de dollars lors d’une transaction financière avec les autorités judiciaires américaines dans le cadre de la résolution d’un conflit lié à la crise de 2008. A cette époque, son cours était d’environ 80 francs suisses (CHF). Dix ans plus tard, en mars 2018, il n’était plus que de 15 CHF pour terminer à environ 2 CHF avant son rachat par UBS (au prix de 76 centimes par action). De manière assez paradoxale, c’est l’un des plus gros actionnaires de l’institution suisse, la Banque nationale saoudienne, qui a allumé la mèche en indiquant ne pas être en mesure d’injecter de nouveaux capitaux dans la banque helvète en raison d’une part actuelle de 9,9%, un niveau proche de la limite maximale autorisée dans leur mandat (10%) [4]. Apporter la précision qu’une augmentation de capital de Crédit Suisse n’était, selon elle, pas nécessaire n’y changera rien : à la mi-mars, les retraits s’enchainèrent à concurrence d’environ 10 milliards CHF par jour. Au suivant ? Comme souvent dans le secteur bancaire, les séismes se propagent très rapidement, la plupart des actions financières ayant lâché près de 20% depuis leur niveau enregistré au début du mois de mars. Dès lors, faut-il redouter une contagion à l’ensemble du secteur ? D’un côté, nous l’avons vu, les situations de ces deux institutions sont très particulières : SVB est une banque ayant un bilan très atypique, déséquilibré et essentiellement financé par des dépôts volatils d’entreprises très spécifiques (sociétés technologiques et investisseurs de capital à risque). De plus, son bilan étant inférieur à 250 milliards de dollars, elle n’était pas considérée comme une banque systémique par le régulateur américain, ce qui implique qu’elle n’était pas tenue de respecter des ratios de liquidités évoqués plus haut. Crédit Suisse, quant à elle, accumulait les problèmes depuis des années, et n’a pas pu bénéficier du soutien de son plus gros actionnaire pour des raisons de limite d’exposition atteinte. Il est donc très hasardeux de vouloir généraliser ces problèmes à l’ensemble du secteur. La situation des banques européennes reste très bonne. La régulation y est une des plus strictes au monde. La Belgique, en particulier, se situe parmi les meilleurs élèves de la classe en termes de capitalisation. Avec 19,7% de CET1 et beaucoup de cash, les banques belges sont très bien capitalisées (top 6 en Europe) [5,6]. Initialement fixé à 60% en 2015, le seuil minimum requis pour le ratio LCR a été poussé à 100% sous les normes de Bâle III, en 2018. L’autorité bancaire européenne (EBA) rapporte que la moyenne de ces ratios sur plus de 300 banques se situe actuellement bien au-delà, autour de 170% [7]1. Un point cependant nécessite une attention particulière : les ratios réglementaires de SVB et de Crédit Suisse étaient au vert. Ces banques étaient bien capitalisées (ratios CET1 et Tier One Leverage de 12,05% et de 8,11% pour SVB, et de 14,1% et 7,7% pour Crédit Suisse), plus du double des minimas requis. Bien que SVB n’était pas tenue de rapporter ses ratios de liquidité, plusieurs analystes s’accordent pour dire qu’ils auraient probablement été satisfaisants. C’était d’ailleurs le cas pour Crédit Suisse, dont les ratios de liquidité étaient de 144% (LCR) et 117% (NSFR), nettement supérieurs au seuil de 100% requis [8]. Du côté du régulateur, donc, ces banques étaient jugées suffisamment solides. Faut-il en conclure que la régulation doit être renforcée ? Indéniablement, la règlementation est déjà très stricte, et pèse lourdement sur la rentabilité des banques, particulièrement en Europe. De plus, il faut prendre conscience que la régulation est un jeu d’équilibriste avec des effets potentiellement pervers. En effet, des contraintes excessives limiteront les profits des institutions financières, et pousseront donc les banques dans des situations plus précaires encore. D’un autre côté, force est de constater qu’une banque, même saine (dans le sens où elle remplit toutes les conditions requises par le régulateur) reste très vulnérable à un bank run, c’est-à-dire un retrait massif des dépôts. De manière intéressante, la modélisation de la panique bancaire et les crises économiques qui en résultent sont au centre des recherches de D. Diamond et Ph. Dybvig, lauréats du prix de la Banque de Suède en sciences économiques (connu sous l’appellation de prix Nobel en économie) 2022 avec l’ancien président de la FED, Ben Bernanke [9]. La période actuelle démontre qu’au-delà des risques financiers réels mesurés par une pléthore d’indicateurs sophistiqués, le talon d’Achille du secteur bancaire réside essentiellement dans les réactions émotionnelles des investisseurs et épargnants [10]. Elles sont le symptôme d’une perte de confiance dans le secteur mais aussi, ce qui est plus inquiétant, dans la capacité des autorités régulatoires à pouvoir évaluer correctement la solidité des banques, et à garantir la stabilité de l’écosystème financier. Les banques restent fortement exposées au retrait massif de dépôts, source principale de leur financement. La résistance au bank run est difficile à évaluer, mais la régulation bancaire gagnerait probablement à renforcer ses analyses sur ce type de scénarios. 1 Lorsque l’on analyse la solvabilité ou la prise de risque d’une institution financière, les montants absolus (tel que, par exemple, le montant des fonds propres) ne donnent pas une image complète concernant sa solidité; il faut analyser ces chiffres au regard des risques encourus. C’est la raison pour laquelle la régulation bancaire s’appuie sur des ratios où, en général, le numérateur correspond à des «rentrées» et le dénominateur à un «risque». Ainsi, par exemple, le taux de capitalisation CET1 correspond au rapport entre le montant de fonds propres de haute qualité et l’ensemble des actifs pondérés par les risques associés (risk-weighted assets, RWA, qui augmentent avec la prise de risque). Les banques belges ont, en moyenne, 19,7% de leurs RWA sous la forme de fonds propres de haute qualité. Le seuil minimum pour ce ratio, tel que déterminé dans les normes de Bâle III, est de 4,5%. D’autres ratios s’appliquent. Par exemple, les ratios LCR et NSFR mesurent la capacité qu’a l’institution financière de pouvoir faire face à des flux financiers sortants, pour lesquels les minimas requis sont actuellement de 100%. En Europe, ces ratios s’appliquent à toutes les banques (qu’elles soient systémiques ou non) et sont destinés à compenser le risque associé à la tendance naturelle qu’ont les banques à «jouer sur la courbe de taux», c’est-à-dire, à financer des besoins long-terme via des financements à court-terme. Cette approche permet à la banque de capter le différentiel de taux résultant de la différence de maturités entre actif et passif mais, comme l’illustre parfaitement le cas de SVB, elle entraine un risque de taux sur le bilan.
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Dissertations / Theses on the topic "Taxe de rendement des capitaux"

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Cai, Jiatu. "Méthodes asymptotiques en contrôle stochastique et applications à la finance." Sorbonne Paris Cité, 2016. http://www.theses.fr/2016USPCC338.

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Abstract:
Dans cette thèse, nous étudions plusieurs problèmes de mathématiques financières liés à la présence d’imperfections sur les marchés. Notre approche principale pour leur résolution est l’utilisation d’un cadre asymptotique pertinent dans lequel nous parvenons à obtenir des solutions approchées explicites pour les problèmes de contrôle associés. Dans la première partie de cette thèse, nous nous intéressons à l’évaluation et la couverture des options européennes. Nous considérons tout d’abord la problématique de l’optimisation des dates de rebalancement d’une couverture à temps discret en présence d’une tendance dans la dynamique du sous-jacent. Nous montrons que dans cette situation, il est possible de générer un rendement positif tout en couvrant l’option et nous décrivons une stratégie de rebalancement asymptotiquement optimale pour un critère de type moyenne-variance. Ensuite, nous proposons un cadre asymptotique pour la gestion des options européennes en présence de coûts de transaction proportionnels. En s’inspirant des travaux de Leland, nous développons une méthode alternative de construction de portefeuilles de réplication permettant de minimiser les erreurs de couverture. La seconde partie de ce manuscrit est dédiée à la question du suivi d’une cible stochastique. L’objectif de l’agent est de rester proche de cette cible tout en minimisant le coût de suivi. Dans une asymptotique de coûts petits, nous démontrons l’existence d’une borne inférieure pour la fonction valeur associée à ce problème d’optimisation. Cette borne est interprétée en terme du contrôle ergodique du mouvement brownien. Nous fournissons également de nombreux exemples pour lesquels la borne inférieure est explicite et atteinte par une stratégie que nous décrivons. Dans la dernière partie de cette thèse, nous considérons le problème de consommation et investissement en présence de taxes sur le rendement des capitaux. Nous obtenons tout d’abord un développement asymptotique de la fonction valeur associée que nous interprétons de manière probabiliste. Puis, dans le cas d’un marché avec changements de régime et pour un investisseur dont l’utilité est du type Epstein-Zin, nous résolvons explicitement le problème en décrivant une stratégie de consommation-investissement optimale. Enfin, nous étudions l’impact joint de coûts de transaction et de taxes sur le rendement des capitaux. Nous établissons dans ce cadre un système d’équations avec termes correcteurs permettant d’unifier les résultats de [ST13] et[CD13]
In this thesis, we study several mathematical finance problems related to the presence of market imperfections. Our main approach for solving them is to establish a relevant asymptotic framework in which explicit approximate solutions can be obtained for the associated control problems. In the first part of this thesis, we are interested in the pricing and hedging of European options. We first consider the question of determining the optimal rebalancing dates for a replicating portfolio in the presence of a drift in the underlying dynamics. We show that in this situation, it is possible to generate positive returns while hedging the option and describe a rebalancing strategy which is asymptotically optimal for a mean-variance type criterion. Then we propose an asymptotic framework for options risk management under proportional transaction costs. Inspired by Leland’s approach, we develop an alternative way to build hedging portfolios enabling us to minimize hedging errors. The second part of this manuscript is devoted to the issue of tracking a stochastic target. The agent aims at staying close to the target while minimizing tracking efforts. In a small costs asymptotics, we establish a lower bound for the value function associated to this optimization problem. This bound is interpreted in term of ergodic control of Brownian motion. We also provide numerous examples for which the lower bound is explicit and attained by a strategy that we describe. In the last part of this thesis, we focus on the problem of consumption-investment with capital gains taxes. We first obtain an asymptotic expansion for the associated value function that we interpret in a probabilistic way. Then, in the case of a market with regime-switching and for an investor with recursive utility of Epstein-Zin type, we solve the problem explicitly by providing a closed-form consumption-investment strategy. Finally, we study the joint impact of transaction costs and capital gains taxes. We provide a system of corrector equations which enables us to unify the results in [ST13] and [CD13]
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Balima, Weneyam Hippolyte. "Essays on economic policies and economy of financial markets in developing and emerging countries." Thesis, Université Clermont Auvergne‎ (2017-2020), 2017. http://www.theses.fr/2017CLFAD024/document.

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Abstract:
Cette thèse s'intéresse aux questions d'accès aux marchés financiers dans les économies émergentes et en développement. La première partie donne un aperçu général des conséquences macroéconomiques de l'un des régimes de politique monétaire le plus favorable au marché - le ciblage d'inflation - en utilisant le cadre d'analyse de la méta-analyse. La deuxième partie analyse le risque et la stabilité des marchés obligataires des États. La troisième et dernière partie examine les effets disciplinaires résultant de la participation aux marchés obligataires souverains. Plusieurs résultats émergent. Au chapitre 1, les résultats indiquent que la littérature sur les effets macroéconomiques du ciblage d'inflation est sujette à des biais de publication. Après avoir purgé ces biais, le véritable effet du ciblage d'inflation reste statistiquement et économiquement significatif à la fois sur le niveau de l'inflation et la volatilité de la croissance économique, mais ne l’est pas sur la volatilité de l'inflation ou le taux de croissance économique réel. Aussi, les caractéristiques des études déterminent l’hétérogénéité des résultats de l'impact du ciblage d’inflation dans les études primaires. Le chapitre 2 montre que l'adoption d'un régime de ciblage d'inflation réduit le risque souverain dans les pays émergents. Cependant, cet effet varie systématiquement en fonction du cycle économique, de la politique budgétaire suivie, du niveau de développement et de la durée dans le ciblage. Le chapitre 3 montre que les envois de fonds des migrants, contrairement aux flux d'aide au développement, permettent de réduire le risque souverain. Cette réduction est plus marquée dans un pays avec un système financier moins développé, un degré d'ouverture commerciale élevé, un espace budgétaire faible et sans effet dans les pays dépendants des envois de fonds. Le chapitre 4 montre que les pays ayant des contrats d’échange sur risque de crédit sur leurs dettes sont plus sujets à des crises de dette. Il constate également que cet effet reste sensible aux caractéristiques structurelles des pays. Le chapitre 5 montre que la participation aux marchés obligataires de long terme (domestiques et internationaux) encourage les gouvernements des pays en développement à accroître leurs recettes fiscales intérieures. Il révèle également que l'effet favorable dépend du niveau des recettes de seigneuriage, d’endettement, du régime de change, du niveau de développement économique, du degré d’ouverture financière, et du développement financier. Le chapitre 6 montre que la présence de marchés obligataires domestiques, de long terme et liquides réduit considérablement le degré de dollarisation financière dans les pays en développement. Cet effet est plus important dans les pays avec un régime monétaire de ciblage d’inflation ou de change flottant, et à règles budgétaires. Enfin, il constate que la présence de marchés obligataires domestiques réduit la dollarisation financière à travers la baisse du niveau et de la variabilité de l'inflation, de la variabilité du taux de change nominal, et des revenus de seigneuriage
This thesis focuses on some critical issues of the access to international financial markets in developing and emerging market economies. The first part provides a general overview of the macroeconomic consequences of one of the most market-friendly monetary policy regime—inflation targeting—using a meta-regression analysis framework. The second part analyses government bond market risk and stability. The last part investigates the disciplining effects of government bond market participation—bond vigilantes. In Chapter 1, the results indicate that the literature of the macroeconomic effects of inflation targeting adoption is subject to publication bias. After purging the publication bias, the true effect of inflation targeting appears to be statistically and economically meaningful both on the level of inflation and the volatility of economic growth, but not statistically significant on inflation volatility or real GDP growth. Third, differences in the impact of inflation targeting found in primary studies can be explained by differences in studies characteristics including the sample characteristics, the empirical identification strategies, the choice of the control variables, inflation targeting implementation parameters, as well as the study period and some parameters related to the publication process. Chapter 2 shows that the adoption of inflation targeting regime reduces sovereign debt risk in emerging countries. However, this relative advantage of inflation targeting—compared to money or exchange rate targeting—varies systematically depending on the business cycle, the fiscal policy stance, the level of development, and the duration of countries’ experience with inflation targeting. Chapter 3 shows that remittances inflows significantly reduce bond spreads, whereas development aid does not. It also highlights that the effect of remittances on spreads arises in a regimes of lower developed financial system, higher degree of trade openness, lower fiscal space, and exclusively in non-remittances dependent regimes. Chapter 4 indicates that countries with credit default swaps contracts on their debts have a higher probability of experiencing a debt crisis, compared to countries without credit default swaps contracts. It also finds that the impact of credit default swaps initiation is sensitive to several structural characteristics including the level of economic development, the country creditworthiness at the timing of credit default swaps introduction, the public sector transparency, the central bank independence; and to the duration of countries’ experiences with credit default swaps transactions. Chapter 5 shows that bond markets participation encourages government in developing countries to increase their domestic tax revenue mobilization. Finally, it finds that bond markets participation improves the mobilization of internal taxes, compared to tax on international trade, and reduces their instability. Chapter 6 shows that the presence of domestic bond markets significantly reduces financial dollarization in domestic bond markets countries. This effect is larger for inflation targeting countries compared to non-inflation targeting countries, is apparent exclusively in a non-pegged exchange rate regime, and is larger when there is a fiscal rule that constrains the conduct of fiscal policy. Finally, it finds that the induced drop in inflation rate and its variability, nominal exchange rate variability, and seigniorage revenue are potential transmission mechanisms through which the presence of domestic bond markets reduces financial dollarization in domestic bond markets countries
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Wang, Tingwei. "Three Essays on Sovereign Credit Risk." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2016. http://www.theses.fr/2016PSLED010.

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Abstract:
Cette thèse étudie le risque de crédit souverain et son impact sur les banques et les entreprises. Le premier essai montre que le risque de crédit bancaire est lié au risque de crédit souverain via l’exposition commune au risque systémique au lieu du sauvetage implicite ou de l’exposition excessive aux obligations émises par le pays d’origine. Dans le deuxième essai, je construis un modèle de structure du capital qui prédit une corrélation négative entre le niveau d’endettement des grands entreprises et le risque de crédit souverain à cause du sauvetage implicite. Cette prédiction est confirmée en suite par des preuves empiriques des entreprises dans la zone euro. Le troisième essai donne un modèle joint de CDS et d’obligation pour identifier les composantes de défaut et de liquidité dans les spreads de CDS et les rendements obligataires. Je trouve une composante de liquidité importante dans les spreads de CDS des pays périphériques de la zone euros et conclus que le fait de ne pas prendre en compte de l’illiquidité des CDS conduit à surestimer la composante de défaut dans le rendement obligataire
This thesis studies sovereign credit risk and its impact on banks and industrial firms. The first essay shows that bank credit risk is linked to sovereign credit risk through common exposure to systemic risk instead of implicit bailout or excessive holding of home country bonds. In the second essay, I build a trade-off model of capital structure which predicts negative correlation between optimal leverage of big firms and sovereign credit risk due to implicit bailout. The model prediction is confirmed by empirical evidence from firms in the euro area. The third essay provides a joint pricing model of CDS and bond to disentangle the default and liquidity component in CDS spread and bond yield spread. I find a remarkable liquidity component in the CDS spreads of peripheral euro area countries and conclude that ignoring CDS illiquidity leads to overestimation of default component in bond yield
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Gnimpieba, Tonnang Edouard. "DROIT MATERIEL ET INTEGRATION SOUS REGIONALE EN AFRIQUE CENTRALE : CONTRIBUTION A L'ETUDE DU DROIT COMMUNAUTAIRE DE LA COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L'AFRIQUE CENTRALE (CEMAC)." Phd thesis, Université de Nice Sophia-Antipolis, 2004. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00441405.

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Abstract:
L'échec de l'UDEAC et des politiques communes destinées à réaliser l'union douanière entre les Etats de l'Afrique centrale a poussé ces derniers à remettre en question toutes les politiques d'intégration économique engagées depuis leur accession à la souveraineté internationale. L'analyse des causes de cet échec les a ainsi conduit non à abandonner l'idéal communautaire, mais à relancer ce dernier sur de nouvelles bases, dans l'objectif de mettre en place, à moyen terme, un marché commun au sein duquel la libre circulation des facteurs de production ainsi qu'une saine et loyale concurrence entre acteurs économiques étaient garanties. Cet objectif ambitieux d'unification, loin de construire ses fondations sur des instruments purement économiques – lesquels ont montré toutes leurs limites avec l'UDEAC – a décidé de faire du droit l'instrument principal devant garantir son succès. Cette nouvelle approche s'inscrit en fait dans la droite ligne du nouveau régionalisme juridique ayant cours au niveau planétaire depuis quelques années. Ainsi, en quelques années, parallèlement aux règles institutionnelles, un droit matériel a été mis en place, dans l'objectif de faciliter la mise en œuvre des objectifs poursuivis par les pays membres de la CEMAC. Les règles destinées à décloisonner les marchés nationaux et devant aboutir à la mise en place d'un marché intérieur de dimension plus importante et la garantie d'une saine et loyale concurrence entre les acteurs de ce marché, grâce aux techniques juridiques d'harmonisation et de coordination législatives, sont logiquement apparues comme urgentes dans l'ambition de sécurisation sous-régionale des affaires engagée dans le cadre de l'uniformisation du droit économique sous-régional portée depuis 1993 par l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA). L'adoption des règles régissant le fonctionnement de ce marché intérieur, notamment celles garantissant la libre circulation des biens, des personnes, des services et des capitaux ainsi que la consécration d'un droit communautaire de la concurrence apparaissent donc comme les prémisses du renouveau d'un régionalisme porteur de développement et de bien-être en Afrique centrale. La juridictionnalisation amorcée de cette entreprise commune apparaît également comme annonciatrice d'une nouvelle ère dans la sous-région.
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Books on the topic "Taxe de rendement des capitaux"

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The cost of capital. Basingstoke: Palgrave Macmillan, 2011.

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Schleifer, Lydia L. F. 1955- and Plewa Franklin James 1949-, eds. Essentials of corporate performance measurement. New York: Wiley, 2002.

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Mitch, Ellison, ed. Capital budgeting and long-term financing decisions. 3rd ed. Chicago: Dryden Press, 1999.

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Porras, Eva R. The Cost of Capital. Palgrave MacMillan, 2011.

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Porras, Eva R. Cost of Capital. Palgrave Macmillan, 2010.

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Ellison, Mitch, and Neil Seitz. Capital Budgeting and Long-Term Financing Decisions (The Dryden Press Series in Finance). 3rd ed. Harcourt Brace College Publishers, 1998.

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