Journal articles on the topic 'Synthèse des acides gras'

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Raab, Sadia, and Tony Lefebvre. "L’acide gras synthase, une enzyme « multi-FASette »." médecine/sciences 38, no. 5 (May 2022): 445–52. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2022062.

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Abstract:
Chez les mammifères, les acides gras sont fournis par l’alimentation ou sont synthétisés de novo par l’acide gras synthase (FASN pour fatty acid synthase). Au-delà de son rôle clé dans le stockage de l’énergie, FASN est impliquée dans de nombreux processus biologiques. Elle participe activement à la synthèse des composants membranaires nécessaires à la division cellulaire, à la modification des protéines, à la signalisation et à la prolifération cellulaires. Dans cette revue, nous discutons des diverses fonctions physiologiques de FASN ainsi que de son implication dans les cancers, l’expression de cette enzyme lipogénique étant particulièrement élevée dans cette maladie.
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Spielmann, Danièle, and François Mendy. "Nomenclature, synthèse et métabolisme des acides gras insaturés." Nutrition Clinique et Métabolisme 7, no. 1 (January 1993): 3–18. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(05)80053-6.

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Buu-Hoï, N. G. Ph, and Paul Cagniant. "Synthèse de Nouveaux Acides Gras α, α-Disubstitués." Recueil des Travaux Chimiques des Pays-Bas 65, no. 4 (September 3, 2010): 246–50. http://dx.doi.org/10.1002/recl.19460650402.

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4

CHILLIARD, Y., and A. OLLIER. "Alimentation lipidique et métabolisme du tissu adipeux chez les ruminants. Comparaison avec le porc et les rongeurs." INRAE Productions Animales 7, no. 4 (September 27, 1994): 293–308. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.4.4176.

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Abstract:
Les effets de la supplémentation en lipides des rations pour vaches laitières sont récapitulés, en particulier pour ce qui concerne l’efficacité énergétique, la production laitière, le bilan énergétique et les variations de poids vif et d’état corporel. La supplémentation lipidique ne modifie pas le gain de poids vif ou d’état corporel après le pic de lactation mais tend à accroître la perte de poids vif en début de lactation, malgré l’accroissement du bilan énergétique calculé. La supplémentation lipidique tend à accroître le dépôt des lipides corporels chez le ruminant en croissance. Elle diminue la synthèse de novo d’acides gras dans les tissus adipeux, sans changer l’activité de la lipoprotéine lipase ni la capacité d’estérification totale des acides gras in vitro. La libération basale d’acides gras libres par le tissu adipeux in vitro, et les réponses lipolytiques beta- adrénergiques, sont accrues par les acides gras polyinsaturés protégés. La supplémentation en lipides accroît le dépôt des lipides corporels chez le porc en croissance lorsqu’il est dans un environnement chaud ou à la neutralité thermique. Chez la truie en lactation, elle accroît l’ingestion d’énergie et la sécrétion des lipides du lait, tout en diminuant la perte de poids vif. La supplémentation lipidique diminue la synthèse de novo d’acides gras et la libération basale de glycérol par le tissu adipeux de porc, et tend à accroître les réponses lipolytiques beta-adrénergiques simultanément à un accroissement de la fluidité membranaire et à une diminution de l’activité de la phosphodiestérase. Les lipides corporels sont accrus chez les rongeurs qui reçoivent des régimes enrichis en lipides, mais de façon moins marquée avec les lipides riches en acides gras polyinsaturés. L’activité de la lipoprotéine lipase du tissu adipeux est diminuée. La synthèse d’acides gras dans le foie est fortement diminuée par les acides gras polyinsaturés, et de façon moindre dans les tissus adipeux. La réponse beta-adrénergique de la lipolyse des tissus adipeux est diminuée, l’estérification est augmentée, et une résistance à l’insuline apparaît, en particulier avec les acides gras saturés. Il existe d’importantes interactions entre la supplémentation des rations en lipides, l’espèce animale et l’état physiologique. Les acides gras ingérés sont orientés prioritairement vers la mamelle pendant la lactation, ce qui explique la faible réponse des tissus adipeux, en particulier chez les ruminants où la supplémentation en lipides n’augmente que faiblement l’ingestion d’énergie.
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GONDRET, F. "La lipogenèse chez le lapin. Importance pour le contrôle de la teneur en lipides de la viande." INRAE Productions Animales 12, no. 4 (September 1, 1999): 301–9. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3891.

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Abstract:
La teneur en lipides d’un tissu est la résultante de plusieurs flux métaboliques (dépôt, synthèse, utilisation). Cet article présente les principales caractéristiques de la synthèse des lipides chez le lapin, dans le muscle comparativement aux tissus adipeux visibles et au foie. Le potentiel de synthèse de novo exprimé par le muscle augmente avec l’âge de l’animal, en parallèle à l’accumulation des triglycérides dans les adipocytes intramusculaires. L’activité des enzymes qui fournissent le NADPH nécessaire à la synthèse des acides gras est réduite si l’animal est soumis à une restriction alimentaire en fin d’engraissement, et ceci en parallèle avec une baisse de la teneur en lipides des muscles. A valeur énergétique égale, la nature des acides gras présents dans le régime alimentaire est sans incidence sur l’activité des enzymes de la lipogenèse, mais peut moduler la quantité et la nature des lipides intramusculaires. Des études ultérieures devront être conduites pour évaluer l’importance respective des différentes voies métaboliques dans la détermination de la teneur finale en lipides des muscles.
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Vaysse, Carole, Noémie Simon, Jessica Tressou, Stéphane Pasteau, Benjamin Buaud, Philippe Guesnet, Leslie Couedelo, and Claude Billeaud. "Niveau de consommation en acides gras polyinsaturés de la femme allaitante en France : étude de consommation INCA2 et évolution du contenu en acides gras essentiels du lait maternel de 1997 à 2014." OCL 25, no. 3 (May 2018): D304. http://dx.doi.org/10.1051/ocl/2018028.

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Abstract:
Les données de consommation en acides gras polyinsaturés (AGPI) de la femme allaitante sont rares bien qu’essentielles pour évaluer le niveau d’apport en acides gras du nourrisson et éventuellement orienter la mère vers une alimentation adaptée voire vers une supplémentation en acides gras essentiels. Les données INCA 2 concernant les femmes allaitantes ont été combinées aux données de composition nutritionnelle des aliments de la base de données Ciqual 2013 pour évaluer leurs apports en acides gras. Bien qu’il s’agisse d’un échantillon limité d’individus enquêtés il y a 12 ans, ces données restent malgré tout intéressantes à analyser et à comparer aux recommandations actuelles de l’Anses. Elles montrent que la consommation en AGPI n-3 n’est pas suffisante au regard des recommandations. Par ailleurs, il a été démontré que la composition en acides gras du lait maternel est un marqueur reconnu de la consommation des lipides alimentaires et un bon reflet du niveau de consommation des AGPI n-6 et n-3. Or, les données épidémiologiques relatives à la quantité et à la qualité des lipides consommés en France sont rares. Dans le cadre de différentes études cliniques conduites sur le lait maternel, l’ITERG a pu ainsi estimer l’évolution des habitudes alimentaires des Français depuis près de 17 ans. Un travail de synthèse a repris l’ensemble des données acquises au cours de 4 études cliniques menées entre 1997 et 2014. Cette synthèse a mis en évidence une évolution positive des proportions en AGPI n-3 en 17 ans (1997–2014). Toutefois, les proportions d’acide alpha-linolénique (ALA) et d’acide docosahexaénoïque (DHA) dans le lait maternel restent en deçà des recommandations nutritionnelles pour le nouveau-né.
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SCHMIDELY, P., and D. SAUVANT. "Taux butyreux et composition de la matière grasse du lait chez les petits ruminants : effets de l’apport de matières grasses ou d’aliment concentré." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 337–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3760.

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Abstract:
Une base de données sur les effets de l’apport d’aliment concentré ou de matières grasses a été constituée pour quantifier la réponse du taux butyreux et de la composition en acides gras du lait chez les petits ruminants. L’apport d’aliment concentré réduit le taux butyreux, de façon plus marquée en ration complète qu’en ration fourrage - concentré séparés. Dans ce dernier type de ration, la réponse de la matière grasse du lait est curvilinéaire, un ratio fourrage concentré 1:1 maximisant la matière grasse produite. Dans ces conditions, les proportions des AG courts et moyens du lait sont peu ou pas modifiées, celles des AG longs saturés et mono-insaturés de type cis sont fortement réduites au profit des formes mono-insaturées trans et de l’acide linoléique. L’apport de matières grasses non protégées augmente généralement le taux butyreux et la matière grasse produite, de façon comparable pour les matières grasses animales ou végétales. Avec des huiles végétales ou animales, ces réponses sont très variables en fonction de l’intensité des effets dépresseurs de ces matières grasses sur la synthèse des acides gras courts et moyens, et de l’accroissement des acides gras longs. Les teneurs en acide linoléique, linolénique et CLA du lait sont accrues par les graines ou l’huile de colza, mais de façon modeste. Les huiles de poisson non protégées n’accroissent que faiblement les teneurs en acides gras poly-insaturés du lait. L’utilisation de savons de calcium (huile de palme principalement) accroît le taux butyreux de façon plus marquée chez les brebis que chez les chèvres, alors que l’accroissement de la matière grasse est comparable entre les deux espèces pour des apports jusqu’à 150 g/j. Ils réduisent la teneur du lait en AG moyens, mais pas celle des acides gras courts, ni celle de l’acide palmitique ; inversement ils induisent une forte augmentation de la teneur en acide stéarique et surtout oléique. La protection de graines ou d’huile de poisson par encapsulation permet de limiter l’effet dépresseur observé sur les acides gras courts et moyens, avec une réduction de l’acide stéarique et oléique au profit des formes trans de cet acide. Dans ces conditions, le transfert des acides linoléique et linolénique est accru en fonction de la richesse des graines pour ces acides gras. Cette forme de protection constitue un moyen modérément efficace de transférer vers le lait les acides gras polyinsaturés des huiles de poisson, ou des CLA alimentaires. L’ensemble de ces résultats fait apparaître un manque de données expérimentales chez les petits ruminants sur les facteurs alimentaires permettant de maîtriser la composition de la MG du lait, en particulier en ce qui concerne les acides gras jouant un rôle potentiel sur la santé humaine.
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MORAND-FEHR, P., and G. TRAN. "La fraction lipidique des aliments et les corps gras utilisés en alimentation animale." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 285–302. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3753.

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Abstract:
La fraction lipidique des fourrages et des aliments concentrés est généralement moins bien connue que leurs fractions glucidiques, protéiques et minérales. La teneur lipidique de ces aliments se mesure par le dosage de l’extrait éthéré selon deux procédés suivant qu’une hydrolyse à chaud est nécessaire ou non pour obtenir l’extraction la plus complète possible des lipides de l’aliment. Les fourrages ont une teneur en extrait éthéré de 2 à 12 % et un taux d’acide linolénique le plus souvent supérieur à 50 % des acides gras totaux. A mesure que la plante fourragère passe du stade jeune pousse au stade de maturité, les proportions des acides palmitique, stéarique et oléique augmentent alors que celle de l’acide linolénique diminue. L’article présente la composition en acides gras d’une vingtaine d’aliments concentrés parmi les plus utilisés en alimentation animale. Ces valeurs sont issues de quatre bases de données (AFZ, CVB, MAFF et Souci) et d’une synthèse bibliographique récente de Givens pour les huiles végétales. Les céréales et les graines protéagineuses ont des teneurs en extrait éthéré souvent assez faibles (1,2 à 2,2 %) sauf le maïs et les co-produits de meunerie, une proportion très élevée d’acide linoléique (plus de 50 % des acides gras totaux) et des proportions faibles d’acides gras saturés, dominé par l’acide palmitique. La composition en acides gras des graines oléagineuses est variable selon l’espèce. Les huiles et farines de poisson sont caractérisées par une proportion importante d’acides gras polyinsaturés contenant plus de 18 atomes de carbone. Les compositions lipidiques des graisses et farines issues d’animaux terrestres sont remarquables par leur richesse en acides saturés et leur très faible proportion d’acides polyinsaturés. Il existe une bonne concordance entre les valeurs des banques AFZ et CVB pour les céréales et les graines oléagineuses, et entre les valeurs AFZ, SOUCI et celles de Givens pour les huiles et les graisses animales. En revanche, la table MAFF présente quelques divergences avec les tables AFZ et CVB. Même si l’apparition des bases de données a permis d’accéder à une connaissance plus objective dans ce domaine, des progrès restent à faire sur les facteurs de variation des teneurs en extrait éthéré et de la composition en acides gras des aliments, ainsi que sur les proportions des acides gras mineurs et isomères des familles n-6 et n-3.
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Buu-Hoï, N. G. Ph. "Une méthode générale de synthèse des acides gras supérieurs linéaires ou ramifiés." Recueil des Travaux Chimiques des Pays-Bas 72, no. 1 (September 2, 2010): 84–87. http://dx.doi.org/10.1002/recl.19530720110.

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DOREAU, M., and Y. CHILLIARD. "Influence d’une supplémentation de la ration en lipides sur la qualité du lait chez la vache." INRAE Productions Animales 5, no. 2 (February 28, 1992): 103–11. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.2.4224.

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Abstract:
L’enrichissement en matières grasses des rations est couramment pratiqué pour les vaches laitières fortes productrices. L’une des conséquences les plus fréquentes est la diminution de la teneur en protéines, et plus particulièrement en caséines du lait. Les causes en sont encore mal connues. Une partie de cet effet est liée à la dilution des protéines dans un volume accru de lait, car la sécrétion totale de protéines n’est que peu affectée. La diminution du taux protéique est beaucoup plus modérée au début de la lactation, où l’effet positif sur la production laitière est moins net, qu’après le pic de production. L’incorporation de matières grasses dans les rations a un effet très variable sur le taux butyreux, qui dépend du bilan entre l’augmentation des acides gras longs d’origine alimentaire et la réduction de la synthèse mammaire des acides gras à chaîne courte ou moyenne. La teneur en acides gras polyinsaturés dans le lait n’est presque jamais fortement modifiée, en raison de l’hydrogénation des lipides alimentaires dans le rumen. Seule la technique d’encapsulation des lipides dans une coque de protéines tannées protège les lipides alimentaires de l’hydrogénation ruminale. Certains types de suppléments lipidiques entraînent une détérioration de la valeur organoleptique des produits laitiers, en particulier par oxydation et rancissement.
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HERMIER, D., M. R. SALICHON, G. GUY, R. PERESSON, J. MOUROT, and S. LAGARRIGUE. "La stéatose hépatique des palmipèdes gavés : bases métaboliques et sensibilité génétique." INRAE Productions Animales 12, no. 4 (September 1, 1999): 265–71. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3887.

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Abstract:
Chez les Palmipèdes, l’induction contrôlée d’une stéatose hépatique par gavage permet la production de foie gras. Or, la réponse métabolique au gavage est très variable et dépend, entre autres facteurs, de l’espèce ou de la race, ce qui laisse supposer un déterminisme génétique. Après une revue prenant en compte les éléments les plus récents disponibles sur la stéatose de gavage et son mécanisme, cet article décrit les études menées sur les oies Landaises (très sensibles à la stéatose hépatique) et sur les oies Polonaises (partiellement résistantes). Avant gavage, il existe très peu de différence dans le métabolisme lipidique entre les deux races. En revanche, durant un gavage à ingéré égal d’aliment, les oies Polonaises réagissent par une exportation plus efficace, sous forme de lipoprotéines, de leurs triglycérides hépatiques, mais aussi des phospholipides et des acides gras polyinsaturés qui leurs sont associés. Ainsi, comparées aux oies Landaises, elles montrent un engraissement périphérique plus important. Les oies Landaises associent une lipogenèse hépatique plus intense à une meilleure rétention des triglycérides et, probablement, de la phosphatidylcholine et des acides gras polyinsaturés, ce qui permet l’hypertrophie cellulaire par synthèse membranaire, et donc se traduit par une stéatose hépatique plus importante.
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HERPIN, P. "Bases métaboliques et physiologiques de l’acclimation du porcelet au froid." INRAE Productions Animales 2, no. 4 (October 10, 1989): 255–65. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.4.4419.

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Abstract:
Les manifestations métaboliques d’une exposition au froid et leurs conséquences sur la croissance du porcelet sont présentées et analysées en termes de mécanismes mis en jeu dans la régulation de la thermogénèse. Les approches zootechniques, biochimiques, endocrinologiques et bioénergétiques sont successivement abordées. L’acclimatation du porcelet à une température basse s’accompagne d’une augmentation de la dépense énergétique (production de chaleur) et nécessite un accroissement de la prise alimentaire ; en alimentation rationnée, l’exposition au froid s’accompagne d’une réduction des performances. Les effets du froid sur la composition corporelle varient en fonction des conditions d’alimentation. Le rôle clé des lipides et du tissu adipeux blanc (captation, synthèse, stockage et mobilisation des acides gras), déjà suggéré par les résultats zootechniques, est démontré par l’étude des enzymes de leur métabolisme (lipoprotéine lipase, lipogénèse, lipolyse), suggérant une augmentation du débit de renouvellement des acides gras au froid. Le rôle énergétique des glucides est aussi important. Au plan endocrinologique, les catécholamines et les hormones thyroïdiennes apparaissent comme les effecteurs essentiels de la thermogénèse au froid. En l’absence de quantités notables de tissu adipeux brun, le muscle semble un site privilégié d’utilisation et d’oxydation des acides gras libérés par le tissu adipeux. Il s’y développe en effet, outre le frisson, des mécanismes spécifiques de dissipation de chaleur (découplage partiel des mitochondries du muscle rhomboïde, stimulation de la pompe Na+ /K+-ATPase du muscle intercostal) qui contribuent efficacement au maintien de la température corporelle.
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MÉDALE, F., R. LE BOUCHER, M. DUPONT-NIVET, E. QUILLET, J. AUBIN, and S. PANSERAT. "Des aliments à base de végétaux pour les poissons d’élevage." INRAE Productions Animales 26, no. 4 (August 18, 2013): 303–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3159.

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L'aquaculture mondiale se développe (+ 8% par an) pour répondre à une demande croissante des consommateurs que les captures de pêche ne peuvent plus couvrir. Les besoins en aliments piscicoles et donc en matières premières s’accroissent, alors que les volumes de farines et huiles de poisson, ingrédients traditionnels des aliments aquacoles, ne peuvent augmenter. Selon les espèces, 80 à 95% de la farine de poisson peut être substituée par un mélange de sources protéiques végétales apportant les acides aminés indispensables en quantité suffisante pour couvrir les besoins des poissons. Au-delà de ce taux de remplacement, on observe une baisse de la consommation d'aliment, de l'efficience alimentaire et de la croissance, bien que les aliments contiennent les nutriments nécessaires aux poissons. Quant à l'huile de poisson, elle peut être remplacée jusqu’à 80 ou 100% par des huiles végétales sans effet délétère sur la croissanceet la santé des poissons, à condition que le régime apporte en quantité suffisante les acides gras essentiels à la couverture des besoins, qui diffèrent selon l'espèce : contrairement aux poissons marins, les salmonidés disposent en effet d’une relative capacité de synthèse d’acides gras longs polyinsaturés omega 3 à partir de l’acide linoléique. La conséquence majeure est une baisse de la teneur de ces acides gras dans la chair. Les recherches doivent se poursuivre pour affranchir encore davantage l'aquaculture des produits de la pêche, en choisissant des matières premières alternatives qui garantissent une production piscicole efficace, des produits de haute qualité et des impacts environnementaux limités.
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MOUROT, J. "Mise en place des tissus adipeux sous-cutanés et intramusculaires et facteurs de variation quantitatifs et qualitatifs chez le porc." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 353–63. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3761.

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Abstract:
Le choix de la matière première lipidique dans l’alimentation du porc est particulièrement important. Il est bien connu qu’il existe une relation entre la nature des acides gras ingérés et ceux qui vont se déposer dans le tissu adipeux et à un degré moindre dans le muscle. Ce choix va donc conditionner la qualité de la viande. Des études récentes laissent aussi apparaître un rôle important du taux et de la nature des acides gras alimentaires sur la mise en place et le développement des tissus adipeux chez le fœtus lors de la gestation. Chez la truie, l’accroissement du taux de lipides alimentaires augmente l’adiposité de la carcasse du porcelet à la naissance et favorise la prolifération des précurseurs adipocytaires qui, par la suite, donneront les adipocytes. Un taux excessif de lipides alimentaires durant la gestation peut donc à terme induire une adiposité plus élevée chez le porc charcutier. L’origine des acides gras intervient également sur ces mêmes paramètres. L’huile de coprah, comparée à celle de tournesol et au saindoux semble stimuler la prolifération adipocytaire avec toutes les conséquences que ceci peut avoir sur l’obésité future du porc. Toutefois un mode d’alimentation restreint chez le porc en croissance semble minimiser ces conséquences. Chez le porc en croissance, l’accroissement du taux de lipides dans l’alimentation semble favoriser les dépôts de lipides dans les tissus adipeux. Une source de matière grasse insaturée, particulièrement riche en acide linoléique, favorise le potentiel de synthèse des lipides et peut donc accroître l’adiposité de la carcasse. Ces matières grasses insaturées ayant aussi des conséquences sur la qualité technologique des tissus adipeux, on ne peut qu’en recommander une utilisation raisonnable au cours de la croissance et si possible éviter de les incorporer aux aliments des porcs au-delà de 70 kg de poids vif pour un abattage à 105-110 kg.
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TESSERAUD, S., and S. TEMIM. "Modifications métaboliques chez le poulet de chair en climat chaud : conséquences nutritionnelles." INRAE Productions Animales 12, no. 5 (December 1, 1999): 353–63. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.5.3894.

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Abstract:
Chez le poulet de chair, l’exposition chronique à la chaleur réduit significativement le métabolisme basal, mais accroît l’extrachaleur rapportée à l’énergie métabolisable ingérée. La proportion d’énergie retenue sous forme de lipides est plus élevée et celle retenue sous forme de protéines moindre à 32°C comparés à 22°C. Ceci pourrait provenir de modifications de l’utilisation du glucose, en relation avec une altération de la sécrétion d’insuline et de la sensibilité des tissus à cette hormone. La chaleur accroît l’engraissement, particulièrement au niveau sous-cutané. La proportion d’acides gras saturés dans les tissus adipeux est alors plus élevée. Le fort engraissement au chaud ne paraît pas s’expliquer par une lipogenèse hépatique accrue. Les flux de sécrétion de lipoprotéines de type VLDL ou de triglycérides totaux, qui représentent les capacités d’exportation des lipides du foie vers les autres tissus, ne sont pas non plus augmentés. Enfin, la captation périphérique des triglycérides circulants par la lipoprotéine lipase dans les tissus adipeux apparaît même réduite. En revanche, l’utilisation des acides gras déposés serait plus faible. La réduction du dépôt protéique au chaud provient essentiellement d’une baisse de la synthèse des protéines musculaires. Il est possible que la chaleur modifie les besoins en acides aminés, certains d’entre eux deviendraient alors limitants pour la synthèse protéique. La protéosynthèse pourrait aussi être limitée par un apport énergétique insuffisant au muscle ou en raison de modifications du contexte hormonal.En ambiance chaude, si une supplémentation lipidique n’a que peu d’effet, augmenter le taux protéique de l’aliment améliore les performances et la rétention protéique des animaux. Cet effet, bien que bénéfique, reste pourtant relativement modéré.
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AHOLOU, Raoul B., Ulbad P. TOUGAN, Paul F. TCHOBO, Akpovi P. AKOUEGNINOU, Edna G. H. HENNOU, Christian HANZEN, and Benoît G. KOUTINHOUIN. "Cuniculture et sécurité alimentaire en Afrique Subsaharienne : Importance, performances zootechniques des lapins et qualité de leur viande." Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 10, no. 2 (December 31, 2020): 3–16. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v10i2.32.

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Abstract:
Cet article présente une synthèse bibliographique sur la cuniculture en Afrique subsaharienne et les valeurs nutritionnelles de la viande de lapin. La cuniculture constitue l’une des alternatives exploitées par les pays de l’Afrique subsaharienne pour réduire l’insécurité alimentaire grandissante. La viande maigre de lapin possède un taux élevé de acides gras insaturés et faible en cholestérol, une richesse en protéines de haute valeur biologique, en potassium, phosphore et magnésium. Pour des lapins aux âges et poids commerciaux d’abattage, les teneurs en protéines, eau et minéraux totaux sont respectivement de 21 %, 72,5 et 1,2 % de viande fraîche. La viande de lapin est pauvre en sodium, mais riche en phosphore. La viande de lapin montre un profil global en vitamines proche de celui du poulet. Par ailleurs, cette viande présente un ratio en acides gras oméga 6 / oméga 3 avantageux de 5,9. Du point de vue sensoriel, la viande de lapin appartient aux viandes "blanches". Elle est parmi les plus tendre mais sa jutosité est parfois limitée. Sur le plan zootechnique, le poids moyen d’un lapereau à 28 jours d’âge est de 396±132 g. Le poids moyen par lapereau sevré varie entre 483 g et 650g à 35 jours d’âge type. Le gain moyen quotidien varie de 17,95 g à 28,5 g/j. Le poids moyen des lapins en engraissement pour une durée de 56 jours varie de 1,92 kg à 2 kg. Les lapins de race commune élevés au Bénin ont une moyenne de 5 à 6 portées par an. Le taux de fertilité varie entre 50% et 95%. La taille de la portée à la mise-bas varie de 5,7 à 6,6 lapereaux nés totaux. Au sevrage, la taille moyenne varie de 4,8 à 5,7 lapereaux par portée née.
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KALOPISSIS, Athina-Despina, and X. LE LIEPVRE. "Effets des lipoprotéines très légères sur la synthèse des acides gras et la sécrétion des VLDL par les hépatocytes isolés." Reproduction Nutrition Développement 25, no. 1B (1985): 227–34. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19850212.

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CHILLIARD, Y. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 12, no. 4 (September 1, 1999): 247. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3884.

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Abstract:
La synthèse des lipides est une composante importante de l’efficacité et de la qualité des productions animales : - des produits de qualité (viande, lait, oeufs, foie gras, ...) doivent être adaptés aux demandes - parfois contradictoires - des transformateurs et des consommateurs, tant pour leur teneur en lipides que pour la composition de ceux-ci (classes de lipides - cholestérol notamment - et leur composition en acides gras - saturés, polyinsaturés, trans...) qui peuvent modifier leurs caractéristiques technologiques, organoleptiques et diététiques ; - une production efficace suppose d’assurer une production minimale de lipides, en raison de leurs effets positifs sur la qualité, tout en évitant une production excessive qui peut nuire à la qualité et se traduire par un gaspillage énergétique du fait du dépôt ou de la sécrétion de lipides animaux peu valorisables ; - l’adaptation des animaux à des périodes de sous-nutrition physiologique (fin de gestation, début de lactation ...) ou économique (économie d’aliments coûteux) suppose que les réserves lipidiques corporelles mobilisées soient ensuite reconstituées efficacement. Compte tenu de ces enjeux importants pour les différentes filières de production et de la diversité des problématiques de recherche rencontrés pour les différentes espèces domestiques élevées en France, un programme a été mis en place à l’INRA, de 1994 à 1998, à l’initiative de F. Grosclaude et de la Direction Scientifique des Productions Animales. Outre les avancées significatives des méthodes d’étude (notamment utilisation des outils moléculaires), et des connaissances mécanistiques et pratiques qui émergent de cet ensemble de travaux, il faut souligner la dynamique induite par ce programme, avec un développement important de collaborations entre équipes travaillant dans des sites géographiques différents et sur des espèces, des situations physiologiques et des types de produits très variés. Ces travaux ont fait l’objet d’un symposium satellite "Lipogenèse chez les animaux domestiques" dans le cadre des 3èmes journées franco-britanniques de Nutrition (AFN-NS-SNDLF) qui ont eu lieu à Nancy du 30 septembre au 2 octobre 1998. Le présent ouvrage regroupe sept articles d’équipes de l’INRA, qui replacent leurs résultats récents dans le cadre des connaissances disponibles sur la lipogenèse chez huit espèces domestiques (poissons, oiseaux, mammifères monogastriques et ruminants) et onze types de production (viande, oeufs, foie gras, races spécialisées ...). En outre, un texte prospectif de synthèse préparé par R.G. Vernon et al (Hannah Research Institute, Ecosse) compare les animaux domestiques, les rongeurs et l’Homme, et présente les récentes évolutions des recherches sur les mécanismes régulant les voies lipogéniques de différents tissus (muscle, foie, tissu adipeux et glande mammaire).
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MOULOUNGUI, Z., E. LACROUX, C. VACA-GARCIA, and J. PEYDECASTAING. "Destruction des farines animales : valorisation des fractions lipidiques en biolubrifiants et additifs biocarburants, et du résidu protéique (ou de l’ensemble)." INRAE Productions Animales 17, HS (December 20, 2004): 117–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3637.

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Abstract:
L’objectif des travaux est d’étudier la faisabilité de nouvelles voies d’élimination et de valorisation des farines animales. Nous abordons ici l’étude de deux voies de valorisation complémentaires et indépendantes: d’une part, la valorisation de la fraction lipidique en «biocarburant» et «biolubrifiant» et, d’autre part, celle du résidu délipidé ou de l’ensemble de la matrice dans la fabrication de matériaux polymères. Dans un premier temps, les études développées se proposent de mettre en oeuvre un suivi qualité selon les recommandations de la Direction Générale de l’Alimentation. Ensuite, l’étude de la mise en oeuvre d’outils d’extraction à haut débit et de méthodes rapides de caractérisation des constituants majeurs et mineurs a pour but de caractériser la matrice «farines animales». La connaissance de la composition de la matrice a gouverné l’orientation de la stratégie de transformation de la fraction lipidique axée sur les études de transfert d’acyles. Elle permet d’obtenir des acides gras à partir des lipides extraits, puis de les utiliser pour synthétiser des esters gras simples. En perspective, nous proposons d’associer cette méthodologie à des technologies spécifiques qui permettront d’envisager la décontamination des farines animales lors de leur transformation. La deuxième partie des travaux consiste à utiliser les farines animales ainsi que les farines obtenues après extraction des lipides comme matières premières dans le cadre d’une étude de faisabilité concernant de nouveaux matériaux polymères. Il s’agit de procéder à la déstructuration thermochimique des macromolécules animales (susceptible de dégrader l’agent pathogène) dans le but de les réduire à l’état de monomères destinés à participer à la synthèse d’un nouveau polymère. Les essais de liquéfaction de cette matrice en présence de phénol ont donné des résultats encourageants. La fabrication de matériaux polymères constituerait une voie de valorisation permettant d’écouler de grandes quantités de farines animales.
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NOZIÈRE, Pierre, Solveig MENDOWSKI, Anne FERLAY, Corinne PEYRONNET, Francis ENJALBERT, Guillaume CHESNEAU, Antoine GERMAIN, and Patrick CHAPOUTOT. "Améliorer l’utilisation des graines oléo-protéagineuses par l’extrusion : un enjeu technologique pour contribuer à l’autonomie protéique des élevages bovins laitiers." INRAE Productions Animales 35, no. 2 (August 26, 2022): 121–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2022.35.2.7069.

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Abstract:
Dans le but d’assurer une meilleure autonomie protéique pour alimenter les animaux d’élevage, différents leviers, dont le développement de filières de protéagineux à graines, sont envisageables. Le projet Proleval s’inscrivait dans cette perspective. Les effets de traitements technologiques sur la valorisation des graines oléo-protéagineuses par les vaches laitières ont été évalués dans le cadre de ce projet. Une synthèse de la littérature a permis de quantifier l’effet bénéfique quasi-systématique des traitements thermiques ou thermomécaniques des graines sur l’utilisation de l’azote : diminution de la dégradabilité ruminale, augmentation de la digestibilité intestinale, de la fourniture d’acides aminés indispensables, et de la sécrétion de protéines dans le lait. Les effets observés sont toutefois quantitativement variables en fonction des traitements. Les essais expérimentaux conduits dans le cadre du projet ont permis de préciser les effets de certaines modalités d’extrusion des graines de féverole et de lupin : la température d’extrusion et la maturation par des procédés innovants intégrant des sucres réducteurs ou un cocktail enzymatique. Les résultats obtenus par différentes approches (mesures de dégradabilité et de digestibilité in situ, mesures in vivo du bilan azoté chez les vaches laitières) montrent que la température d’extrusion doit être limitée pour éviter une surprotection des protéines et que les prétraitements de maturation testés ne sont pas systématiquement efficaces. Les rares résultats publiés sur la fraction lipidique du lait rapportent une diminution du taux butyreux avec les graines traitées par rapport à la même graine crue. Peu d’études présentent des profils en acides gras du lait, mais les données du projet Proleval indiquent que les graines extrudées favorisent la production d’acides gras trans au niveau du rumen et du lait. La maîtrise des conditions d’extrusion permettant d’aboutir de façon répétable à un produit aux caractéristiques nutritionnelles optimales, qui semble passer par la maîtrise du développement des composés de Maillard, reste un enjeu.
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HOCQUETTE, J. F., H. BOUDRA, I. CASSAR-MALEK, C. LEROUX, I. PICARD, I. SAVARY-AUZELOUX, L. BERNARD, et al. "Perspectives offertes par les approches en « omique » pour l’amélioration de la durabilité de l’élevage des herbivores." INRAE Productions Animales 22, no. 5 (December 9, 2009): 385–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.5.3363.

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Abstract:
Les mécanismes moléculaires à l’origine des processus biologiques sont gouvernés par les produits de l’expression d’une multitude de gènes dont les stratégies d’étude ont bénéficié d’avances technologiques considérables ces dernières années. En effet, alors que la biologie moléculaire était ciblée sur quelques gènes choisis selon leur fonction biologique dans les processus étudiés, les approches en «omique» permettent aujourd’hui d’étudier simultanément un grand nombre de gènes, protéines ou métabolites sans a priori sur leur fonction biologique. Ces nouvelles technologies peuvent contribuer à une meilleure connaissance de la biologie des herbivores dans une perspective d’élevage durable. Dans les exemples présentés dans cette courte synthèse, il apparaît en effet que ces approches à haut débit peuvent contribuer à améliorer l’efficacité économique des productions notamment par la détection de marqueurs de l’exposition aux mycotoxines et par une meilleure efficacité métabolique et physiologique des herbivores (partage des nutriments entre tissus et organes, différenciation du muscle pour la production de viande, régulation de l’expression des gènes par les nutriments). Les approches en «omique» peuvent aussi contribuer aux autres piliers du développement durable : bien-être animal (par la mise en évidence de marqueurs de stress), protection de l’environnement (par la maîtrise des rejets azotés par les animaux), qualité des produits (par une maîtrise de la composition en acides gras et de la qualité sensorielle des produits laitiers et carnés, et par la recherche biologique de prédicteurs de la tendreté de la viande).
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LEBRET, B., S. PRACHE, C. BERRI, F. LEFÈVRE, D. BAUCHART, B. PICARD, G. CORRAZE, F. MÉDALE, J. FAURE, and H. ALAMI-DURANTE. "Qualités des viandes : influences des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d'élevage." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 13, 2020): 151–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3022.

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Abstract:
Cette synthèse présente l’influence des caractéristiques des animaux et de leurs conditions d’élevage sur les qualités des viandes et des chairs des principales espèces animales d’élevage (porc, bovins, ovins, poulets, poissons). Les dimensions intrinsèques (composition des carcasses, qualités sensorielle, nutritionnelle et technologique) et extrinsèques (interactions entre productions animales et environnement, bien-être des animaux, origine des produits, authenticité des pratiques de production…) de la qualité des produits sont considérées. Dans toutes les espèces, le type génétique et la conduite alimentaire sont les principaux déterminants de la composition des carcasses. La nature de l’alimentation des animaux constitue le principal levier pour moduler la qualité nutritionnelle, toutefois le niveau d’enrichissement des viandes et chairs en acides gras, minéraux ou vitamines favorables à la santé humaine varie selon les espèces. Pour une espèce donnée, les caractéristiques des animaux, leurs conditions d’élevage et d’abattage interagissent pour déterminer les propriétés (teneurs en lipides, glycogène, myoglobine…) et le métabolisme péri et post-mortem des muscles, et consécutivement la qualité sensorielle des viandes ou chairs et de leurs produits. A l’inverse, la qualité technologique, composante importante dans les filières porc, poulet et poisson résulte essentiellement du type génétique et des conditions d’abattage des animaux et de transformation des viandes. Dans les différentes filières animales, les qualités extrinsèques des produits font partie intégrante de certaines démarches collectives ou privées et sont garanties aux consommateurs au travers des signes officiels de qualité. Elles visent à améliorer les interactions favorables entre les productions animales et l’environnement et/ou le bien-être des animaux, garantir l’origine des produits et/ou valoriser l’authenticité des méthodes de production et de transformation. Différents exemples sont développés pour illustrer la prise en compte par les acteurs des filières de cette demande croissante des consommateurs et plus largement des citoyens envers leur alimentation.
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Narce, M., M. Rialland, M. Minville-Walz, S. Bellenger, and J. Bellenger. "Les acides gras trans : des acides gras bien singuliers." Médecine des Maladies Métaboliques 5, no. 3 (June 2011): 247–51. http://dx.doi.org/10.1016/s1957-2557(11)70235-8.

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BROCHARD, M., K. DUHEN, and D. BOICHARD. "Dossier "PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait"." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 21, 2014): 251–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3071.

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Abstract:
Dossier "PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait Avant-propos Le lait est un produit animal complexe à l’origine de multiples valorisations en alimentation humaine : laits de consommation incluant les laits infantiles, fromages, beurres, crèmes, yaourts, desserts et boissons lactées, ingrédient dans une grande diversité de pâtisseries et de plats cuisinés, etc. Il s’agit donc d’un pilier de l’alimentation humaine y compris à l’âge adulte et ce depuis des milliers d’années. Toutefois, les demandes des consommateurs et de la société ont évolué rapidement ces dernières années et les exigences en matière de qualité des produits se sont complexifiées (Le Bihan-Duval et al 2014). Tout d’abord du point de vue du consommateur, en particulier occidental, l’alimentation doit désormais répondre à une diversité d’attentes. A la demande en « quantité » d’après-guerre, se sont en particulier ajoutées des exigences sanitaires, des exigences organoleptiques, de traçabilité du produit, des exigences nutritionnelles, et après une période « nutrition - santé » (Cniel 2011), une exigence croissante de « naturalité ». De plus, du point de vue du citoyen, la qualité intègre l’environnement, le bien-être animal, les conditions de production. Une partie des consommateurs a d’ailleurs évolué vers une stratégie d’achat « responsable » (Cniel 2011). Simultanément, le lait, bien que bénéficiant d’une image traditionnellement et majoritairement favorable à plusieurs titres, est confronté ces dernières années à des remises en causes parfois virulentes (allergies, intolérances, rejet des matières grasses saturées et trans…) qui s’installent probablement durablement dans les rapports des consommateurs avec le lait (Cniel 2011). Malgré ce contexte exigeant et changeant, jusqu’à aujourd’hui, au-delà des quantités totales en matières grasses et protéiques, peu de dispositifs sont disponibles et mis en œuvre pour suivre, qualifier, voire piloter la composition fine du lait « en sortie de ferme ». Le lait a suivi, avec le développement du secteur laitier, un processus de standardisation conformément au principe du « lait apte à toute transformation », devenant une matière première à laquelle l’application de procédés de fabrication variés donne de la valeur. Ce constat est à moduler pour les filières AOP fromagères. La composition fine du lait, en particulier la variabilité des profils en acides gras et en protéines, n’est pas ou peu valorisée, ni au niveau de la production, ni au niveau de la transformation. Dans le contexte actuel, traiter le lait de manière indifférenciée peut être contre-productif, en particulier si l’on reconsidère la richesse intrinsèque de la matière première « lait » et le fait que la composition du produit final reflète largement la composition du lait d’origine (Lucas et al 2006). Le lait « en sortie de ferme » se situe à la charnière entre l’amont et l’aval des filières laitières et, à ce titre, est idéalement placé pour être une source importante de compétitivité et d’adaptabilité des filières laitières dans leur globalité. Le sujet de la composition fine du lait a bien entendu fait l’objet de travaux bien avant que le programme PhénoFinlait ne soit imaginé et mis en œuvre. Ainsi, les liens entre alimentation et profil en acides gras (Chilliard et al 2007, Couvreur et al 2007, Hurtaud et al 2007) ou encore les variants génétiques des lactoprotéines majeures (Grosclaude et al 1987, Grosclaude 1988) ont été étudiés généralement à partir de dispositifs expérimentaux. Ces connaissances ont servi de point de départ et d’assurance sur la faisabilité et l’intérêt d’engager un programme à grande échelle. L’ambition de PhénoFinlait était alors de transposer ces connaissances et hypothèses en élevages privés avec une grande diversité de systèmes d’alimentation et de coupler cela à une analyse conjointe du déterminisme génétique afin d’apporter aux éleveurs et à leurs filières des outils et des réponses globales. De nombreuses nouvelles références étaient bien évidemment à établir, mais l’un des enjeux majeurs portait et porte toujours sur les possibilités de transfert aux filières. Les développements à la fois de la spectrométrie dans l’infra-rouge et de la sélection génomique ont ouvert de nouvelles portes en matière d’accès à la composition fine du lait à coûts réduits et d’analyses de ses déterminants génétiques.Les travaux pionniers de la Faculté Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux (Soyeurt et al 2006) ont ainsi ouvert la voie à l’estimation de nombreux composants fins du lait à partir d’une exploitation plus fine des données d’absorbance de la lumière dans le Moyen Infra-Rouge (MIR) principalement. Le principe est simple : la spectrométrie MIR, utilisée pour estimer les taux de matière grasse et protéique en routine dans les laboratoires d’analyse du lait, peut aussi être utilisée pour quantifier individuellement certains composants fins. Des modèles de prédiction sont développés à partir d’un jeu d’échantillons caractérisés à la fois à l’aide d’une méthode d’ancrage et par un spectre MIR. Ces modèles sont ensuite appliqués aux données spectrales telles que celles produites dans le cadre des analyses laitières habituelles de paiement du lait à la qualité et de contrôle laitier. Plusieurs dizaines d’acides gras et protéines peuvent ainsi être estimés avec une précision satisfaisante et à un coût additionnel modeste par rapport aux analyses déjà réalisées en routine. Parallèlement, les avancées dans le domaine de la génomique permettent d’analyser et d’exploiter plus rapidement et plus finement le déterminisme génétique des caractères. Là encore, le principe est relativement simple : deséquations d’estimation du potentiel génétique des animaux pour les différents caractères sont établies à partir d’une population de référence (animaux génotypés et caractérisés d’un point de vue phénotypique). Cette population peut être de taille beaucoup plus restreinte que celle nécessaire pour mettre en œuvre une évaluation génétique « classique ». Par ailleurs, les équations produites permettent de déterminer le potentiel génétique d’un animal sans pour autant qu’il dispose lui-même (ou ses descendants) de phénotype mesuré (Robert-Granié et al 2011). L’un des enjeux en sélection est alors de concevoir et de mettre en œuvre des programmes de caractérisation phénotypique de populations de référence, ce que l’on a appelé des programmes de « phénotypage » à plus ou moins grande échelle. Le programme PhénoFinlait est l’un des premiers grands programmes de phénotypage à haut débit (Hocquette et al 2011) avec ses caractéristiques : phénotypage fin sur la composition du lait, dans des systèmes d’élevage caractérisés, en particulier, par l’alimentation, préalable à un génotypage à haut débit des animaux suivis. Face à ces enjeux pour la filière laitière et ces nouvelles potentialités techniques et scientifiques, les filières laitières bovine, caprine et ovine, les acteurs de l’élevage (conseil en élevage et laboratoires d’analyse du lait) et de la génétique (entreprises de sélection et de mise en place d’insémination), les instituts de recherche et de développement (Inra, Institut de l’Elevage, Actalia) et APIS-GENE ont décidé de se constituer en consortium afin d’unifier leurs efforts et de partager leurs compétences et réseaux. Le consortium, avec le soutien financier d’APIS-GENE, de l’ANR, du Cniel, du Ministère de l’Agriculture (fond dédié CASDAR et Action Innovante), de France AgriMer, de France Génétique Elevage, du fond IBiSA et de l’Union Européenne, a initié début 2008 un programme pour :- analyser la composition fine du lait en acides gras et en protéines par des méthodes de routine et des méthodes d’ancrage ultra-résolutives (protéines) ;- appliquer ces méthodes à grande échelle sur une diversité de systèmes et de races représentatives de la diversité de la ferme France afin d’identifier des facteurs influençant la composition fine du lait ;- optimiser la valorisation des ressources alimentaires et génétiques par le conseil en élevage ;- initier une sélection génomique. Au-delà de ces objectifs, le programme PhénoFinlait a été envisagé comme un investissement majeur et collectif pour les filières laitières françaises afin de leur permettre de conserver ou de développer des avantages compétitifs par la possibilité de mieux valoriser la composition fine et demain ultrafine (grâce à des méthodes plus fines encore que la spectrométrie MIR) du lait. Les bases de données et d’échantillons ont ainsi vocation à être exploitées et ré-exploitées pendant plusieurs années au fur et à mesure des demandes des filières et de l’avancée des connaissances et des technologies d’analyse du lait. D’autres pays se mobilisent également sur cette problématique : Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Danemark et Suède, Italie, Belgique, etc. Ce dossier de la revue Inra Productions Animales fait état des principales productions issues à ce jour du programme PhénoFinlait. Il n’a pas vocation à couvrir exhaustivement les résultats produits. En particulier, nous ne présenterons pas systématiquement l’ensemble des résultats pour l’ensemble des espèces, races et composants. Néanmoins, nous nous sommes attachés à présenter à travers trois articles de synthèse et un article conclusif les principales avancées permises par ce programme à partir d’exemples pris dans les différentes filières. Gelé et al, débutent ce dossier par une présentation du programme dans ses différents volets, depuis la détermination des élevages et animaux à suivre jusqu’à la collecte et la conservation d’échantillons (de lait et de sang), en passant par l’enregistrement en routine des spectres MIR, des conditions d’alimentation, le prélèvement d’échantillons de sang puis, plus tard, le génotypage sur des puces pangénomiques. Cet article développe plus particulièrement la méthodologie mise en place pour déterminer la composition du lait en acides gras etprotéines à partir de spectres MIR. Enfin, il dresse un bilan des données collectées, permettant d’actualiser les références sur la caractérisation des troupeaux, des femelles laitières, des régimes alimentaires, et du profil des laits produits dans les trois filières laitières françaises. Legarto et al, présentent ensuite les résultats relatifs à l’influence des facteurs physiologiques (stade de lactation...), alimentaires (à travers des typologies de systèmes d’alimentation), raciaux et saisonniers, sur les profilsen acides gras. Ces résultats mettent en évidence de nombreuses sources de variation de la composition du lait qui pourront être exploitées à différentes échelles : animal, troupeau et bassin de collecte. Enfin, Boichard et al, présentent une synthèse de l’analyse du déterminisme génétique des acides gras d’une part et des protéines d’autre part. Cette synthèse aborde les estimations de paramètres génétiques tels que l’héritabilité et les corrélations génétiques entre caractères de composition fine entre eux, et avec les caractères de production. Ces résultats permettent en particulier de définir les potentialités de sélection ainsi que les liaisons génétiques à considérer. Ces analyses ont aussi permis de mesurer l’importance du choix de l’unité d’expression des teneurs (en pourcentage de la matière grasse ou protéique, ou en pourcentage dans le lait). Dans une dernière partie, cet article présente les analyses de détection de QTL avec une analyse des co-localisations entre races, entre composants et avec des gènes majeurs connus. RéférencesBoichard D., Govignon-Gion A., Larroque H., Maroteau C., Palhière I., Tosser-Klopp G., Rupp R., Sanchez M.P., Brochard M., 2014. Déterminisme génétique de la composition en acides gras et protéines du lait des ruminants. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 283-298. Chilliard Y., Glasser F., Ferlay A., Bernard L., Rouel J., Doreau M., 2007. Diet, rumen biohydrogenation, cow and goat milk fat nutritional quality: a review. Eur. J. Lipid Sci. Technol., 109, 828-855. Cniel, 2011. Lait, produits laitiers et société : France 2025 – Prospective collective. Note de synthèse sur les évolutions probables, juillet 2011. Couvreur S., Hurtaud C., Marnet P.G., Faverdin P., Peyraud J.L., 2007. Composition of milk fat from cows selected for milk fat globule size and offered either fresh pasture or a corn silage-based diet. J. Dairy Sci., 90, 392-403. Gelé M., Minery S., Astruc J.M., Brunschwig P., Ferrand M., Lagriffoul G., Larroque H., Legarto J., Martin P., Miranda G., Palhière I., Trossat P., Brochard M., 2014. Phénotypage et génotypage à grande échelle de la composition fine des laits dans les filières bovine, ovine et caprine. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 255-268. Grosclaude F., Mahé M.F., Brignon G., Di Stasio L., Jeunet R., 1987. A Mendelian polymorphism underlying quantitative variations of goat αS1-casein. Génét. Sel. Evol., 19, 399-412. Grosclaude F., 1988. Le polymorphisme génétique des principales lactoprotéines bovines. Relations avec la quantité, la composition et les aptitudes fromagères du lait. INRA Prod. Anim., 1, 5-17. Hocquette J.F., Capel C., David V., Guemene D., Bidanel J., Barbezant M., Gastinel P.L., Le Bail P.Y., Monget P., Mormede P., Peyraud J.L., Ponsart C., Guillou F., 2011. Les objectifs et les applications d’un réseau organisé de phénotypage pour les animaux d’élevage. Renc. Rech. Rum., 18, 327-334. Hurtaud C., Peyraud J.L., 2007. Effects of feeding camelina (seeds or meal) on milk fatty acid composition and butter spreadability. J. Dairy Sci., 90, 5134-5145. Le Bihan-Duval E., Talon R., Brochard M., Gautron J., Lefevre F., Larzul C., Baeza E., Hocquette J.F., 2014. Le phénotypage de la qualité des produits : enjeux de société, scientifiques et techniques. In : Phénotypage des animaux d’élevage. Phocas F. (Ed). Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 223-234. Legarto L., Gelé M., Ferlay A., Hurtaud C., Lagriffoul G., Palhière I., Peyraud J.L., Rouillé B., Brunschwig P., 2014. Effets des conduites d’élevage sur la composition en acides gras du lait de vache, chèvre et brebis évaluéepar spectrométrie au moyen infrarouge. In : PhénoFinlait : Phénotypage et génotypage pour la compréhension et la maîtrise de la composition fine du lait. Brochard M., Boichard D., Brunschwig P., Peyraud J.L. (Eds).Dossier, INRA Prod. Anim., 27, 269-282. Lucas A., Rock E., Chamba J.F., Verdier-Metz I., Brachet P., Coulon J.B., 2006. Respective effects of milk composition and the cheese-making process on cheese compositional variability in components of nutritionalinterest. Lait, 86, 21-41. Robert-Granié C., Legarra A., Ducrocq V., 2011. Principes de base de la sélection génomique. In : Numéro spécial, Amélioration génétique. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M. (Eds). INRA Prod. Anim., 24, 331-340. Soyeurt H., Dardenne P., Dehareng F., Lognay G., Veselko G., Marlier M., Bertozzi C., Mayeres P., Gengler N., 2006. Estimating fatty acid content in cow milk using mid-infrared spectrometry. J. Dairy Sci., 89, 3690-3695.
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Lecerf, Jean-Michel. "Acides gras essentiels." EMC - Endocrinologie - Nutrition 1, no. 1 (January 2004): 1–9. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1941(04)74291-2.

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Lecerf, J. M. "Acides gras essentiels." EMC - Endocrinologie - Nutrition 10, no. 2 (April 2013): 1–11. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1941(13)57973-x.

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BAUCHART, D., D. DURAND, D. GRUFFAT-MOUTY, C. PIOT, B. GRAULET, Y. CHILLIARD, and J. F. HOCQUETTE. "Transport sanguin et métabolisme tissulaire des lipides chez le veau de boucherie. Effets du remplacement du suif par de l’huile de coprah dans l’aliment d’allaitement." INRAE Productions Animales 12, no. 4 (September 1, 1999): 273–85. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3888.

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Abstract:
Cet article décrit le transport sanguin et le métabolisme tissulaire des lipides chez le veau de boucherie recevant un aliment d’allaitement à base d’huile de coprah (riche en acides gras à chaîne moyenne) ou de suif (riche en acides gras longs saturés et insaturés). L’huile de coprah élève fortement la lipémie, notamment les teneurs en cholestérol et en phospholipides. Ses acides gras de type C12:0 et C14:0 sont transportés sélectivement dans les lipoprotéines riches en triglycérides (38 %) ou en cholestérol (44 %).Dans le foie, le captage des acides gras de l’huile de coprah entraîne une stéatose hépatique marquée, due à une teneur accrue en triglycérides (×18). Ceci s’expliquerait à la fois par une élongation des produits de l’oxydation des acides gras à chaîne moyenne (C12:0), par une oxydation plus faible et une estérification en triglycérides accrue des acides gras longs (C18:1n-9) et par une capacité de sécrétion des triglycérides faible et peu modulée. Le potentiel d’oxydation des acides gras dans les tissus musculaires et le potentiel lipogénique du tissu adipeux périrénal ne sont pas influencés par les acides gras alimentaires. En revanche, la composition en acides gras des tissus musculaires et adipeux est fortement marquée avec le régime coprah par l’accumulation du C12:0 et surtout du C14:0 (au détriment du C18:1 n-9) conduisant à élever le degré de saturation des acides gras des lipides de dépôt. En conclusion, l’emploi de l’huile de coprah comme seule source de matières grasses alimentaires n’est pas recommandée chez le veau de boucherie en raison de l’altération du métabolisme du foie (stéatose), de l’absence d’amélioration des performances de croissance et de la dépréciation de la qualité diététique de la viande pour le consommateur par le dépôt accru d’acides gras saturés à propriétés athérogènes.
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Porta, Natacha, and Stéphane Auvin. "Acides gras poly-insaturés." médecine/sciences 25, no. 1 (January 2009): 51–56. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/200925151.

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Vassault, Anne. "Acides gras non estérifiés." EMC - Biologie Médicale 1, no. 1 (January 2006): 1–4. http://dx.doi.org/10.1016/s2211-9698(06)76007-1.

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Kouakou, N’Goran David Vincent, Kouadio Frédéric Koffi, Cho Euphrasie Monique Angbo-Kouakou, Gningnini Alain Koné, Gouha Firmin Kouassi, Kouakou Ernest Amoikon, and Maryline Kouba. "Enrichissement en acides gras polyinsaturés oméga-3 du jaune d’œuf de cailles (Coturnix coturnix japonica) par les graines d’euphorbe (Euphorbia heterophylla)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, no. 3 (March 15, 2018): 99. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31523.

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Abstract:
L’alimentation des cailles (Coturnix coturnix japonica) dans les fermes ivoiriennes est basée principalement sur les aliments commerciaux de poules pondeuses. Cependant, cette pratique pourrait nuire à la qualité nutritionnelle des œufs. L’objectif de cette étude était de déterminer l’impact de cet aliment (régime témoin) ou de sa supplémentation avec 5 % de graines d’euphorbe (Euphorbia heterophylla) (régime R5) sur le profil en acides gras des jaunes d’œufs de 30 cailles de 172 ± 2 g durant 15 jours. Les résultats ont montré que le régime R5 ne modifiait pas les teneurs en acides gras saturés, en acides gras mono-insaturés et en acides gras polyinsaturés oméga-6 (AGPI n-6) (p > 0,05). Cependant, il a induit une amélioration de la teneur en acides gras polyinsaturés oméga-3 (AGPI n-3) (p < 0,05) qui était cinq fois plus élevée que celle du régime témoin. Les proportions des acides gras C18:3 n-3, C20:5 n-3 et C22:6 n-3 des jaunes d’œufs issus de R5 ont été multipliées respectivement par 17, 11 et 3. Par ailleurs, le rapport AGPI n-6 / AGPI n-3 était inférieur à 4. Ainsi, l’incorporation de 5 % de graines d’euphorbe dans l’aliment commercial de poules pondeuses a permis d’améliorer la qualité nutritionnelle des œufs de cailles.
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Lecerf, Jean-Michel. "Acides gras et risque cardiovasculaire. Première partie : apport lipidique total, acides gras saturés." Médecine et Nutrition 44, no. 4 (2008): 149–60. http://dx.doi.org/10.1051/mnut/2008444149.

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Azzoug, Saïd, and Djamila MESKINE. "Trans-fatty acids." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 6, no. 1 (July 1, 2019): 15–17. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsra.2019.6105.

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Abstract:
Les études ont montré que la consommation des acides gras trans provenant de l’hydrogénation industrielle partielle des huiles végétales était néfaste pour la santé en augmentant notamment le risque cardiométabolique ; leur consommation devrait donc être limitée voir interdite comme le suggèrent certaines recommandations. Mais d’un autre côté, certains acides gras trans naturels issus des ruminants pourraient être bénéfiques pour la santé et leur consommation ne devrait de ce fait pas être restreinte. L’effet des acides gras trans devrait donc être nuancé en fonction de leur origine naturelle ou industrielle.
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Lecerf, J.-M. "Acides gras et maladies cardiovasculaires." Sciences des Aliments 28, no. 1-2 (April 28, 2008): 53–67. http://dx.doi.org/10.3166/sda.28.53-67.

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Bourre, Jean-Marie. "Acides gras, deux règnes indispensables." Pratiques en nutrition 13, no. 51 (July 2017): 11–16. http://dx.doi.org/10.1016/j.pranut.2017.06.004.

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Lecerf, J. M., and Isabelle Cristiani. "Acides gras trans et cancer." Cahiers de Nutrition et de Diététique 39, no. 1 (February 2004): 41–47. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(04)94341-6.

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Gottrand, F. "Acides gras polyinsaturés et immunité." Archives de Pédiatrie 14 (November 2007): 5–7. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(07)78704-3.

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Le Guennec, Jean-Yves. "Acides gras alimentaires et arythmies." Archives des Maladies du Coeur et des Vaisseaux - Pratique 2005, no. 137 (March 2005): 13–15. http://dx.doi.org/10.1016/s1261-694x(05)88055-1.

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Delarue, Jacques. "Acides gras polyinsaturés et inflammation." Nutrition Clinique et Métabolisme 15, no. 3 (2001): 172–76. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(01)00074-7.

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Lecerf, Jean-Michel. "Acides gras et risque cardiovasculaire. Deuxième partie : Acides gras monoinsaturés et polyinsaturés oméga 6." Médecine et Nutrition 44, no. 4 (2008): 161–72. http://dx.doi.org/10.1051/mnut/2008444161.

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Cherrad, Monique, and J. J. Lavaud. "Les acides gras des pépins dans le genre Vitis (Tournefort) L." OENO One 27, no. 2 (June 30, 1993): 123. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1993.27.2.1172.

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Abstract:
<p style="text-align: justify;">La teneur en acides gras des pépins n'est pas la même pour les 4 groupes de vignes étudiées. Les pépins les plus riches sont ceux des vignes américaines, puis ceux des lambrusques et des vignes asiatiques et enfin ceux des variétés cultivées de<em> Vitis vinifera</em>. En revanche, les proportions des 4 principaux acides gras, palmitique, stéarique, oléique et linoléique, sont très comparables dans la plupart des cas étudiés. L'acide linoléique, largement prédominant, représente environ 73,5 p.cent de l'ensemble des acides gras. L'acide linolénique est toujours à l'état de traces.</p>
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Nasser, B., R. L. Wolff, and M. S. El Kebbaj. "Composition en phospholipides et en acides gras de mitochondries de foie de chamelon." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no. 2 (February 1, 2000): 122. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9734.

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Abstract:
La composition en acides gras et phospholipides mitochondriaux hépatiques a été étudiée chez le charnelon, sous différentes conditions physiologiques et nutritionnelles. Les résultats obtenus ont montré que les phosphatidylcholines et les phosphatidyléthanolamines sont les phospholipides majoritaires avec plus de 63 p. 100 des phospholipides totaux ; elles ont un taux plus élevé que chez d'autres espèces. Les phosphatidylinositols représentent le plus faible taux avec 5 p. 100 environ, alors que les sphingmyélines, qui semblent être à l'état de trace chez le rat, représentent plus 14 p. 100 chez le chamelon. Au niveau mitochondrial, les acides palmatique, linoléique, stéarique et oléique constituent la majorité des acides gras mitochondriaux. Contrairement à d'autres espèces, l'effet du sexe, de la masse corporelle et du régime alimentaire de l'animal n'influencent pas la composition en acides gras, notamment les longueurs de chaînes et insaturations.
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HERMIER, D. "Modifications du cholestérol et des acides gras de l’oeuf : bases physiologiques et nutritionnelles." INRAE Productions Animales 7, no. 4 (September 27, 1994): 245–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.4.4172.

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Abstract:
Malgré sa valeur nutritionnelle élevée, l’oeuf de consommation souffre d’une image négative liée en particulier à sa forte teneur en cholestérol (250 mg/jaune), facteur de risque primaire de l’athérosclérose. Le cholestérol est indispensable au développement de l’embryon de poulet, et il est donc très difficile de diminuer la quantité présente dans l’oeuf, que ce soit par des moyens génétiques, nutritionnels ou phamacologiques : la réduction maximale observée ne dépasse pas 30%, ce qui ne suffit pas à faire de l’oeuf un aliment "inoffensif" aux yeux des médecins et des consommateurs. A l’inverse, la majorité des lipides de l’oeuf se compose d’esters d’acides gras, parmi lesquels les acides gras polyinsaturés jouent un rôle structural et métabolique indispensable à nombre de fonctions physiologiques : intégrité des membranes cellulaires (en particulier cérébrales), processus de coagulation et d’inflammation, prévention de l’athérosclérose. Certains de ces acides gras ne peuvent être synthétisés par l’organisme et doivent être fournis par l’alimentation. En intervenant sur le régime des poules, il est très facile d’enrichir leurs oeufs en acides gras polyinsaturés et même de moduler, à la demande, les proportions de ces différents acides gras (n-6/n-3), afin d’en faire un aliment de choix pour certaines catégories de sujets à risque tels que les nouveau-nés, ou les patients hypercholestérolémiques.
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FERLAY, A., B. GRAULET, and Y. CHILLIARD. "Maîtrise par l’alimentation des teneurs en acides gras et en composés vitaminiques du lait de vache." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (March 17, 2020): 177–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3146.

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Abstract:
Après un rappel de l’origine digestive et métabolique des acides gras et des composés vitaminiques du lait, cet article relate l’effet des principaux facteurs alimentaires sur leur concentration. L’herbe pâturée, par rapport à des rations hivernales, diminue les teneurs du lait en acides gras saturés au profit des acides gras trans et polyinsaturés dont le C18:3n-3 et le CLA-c9t11. Les supplémentations des rations des vaches laitières en lin ou en colza augmentent les teneurs du lait en acides gras trans et légèrement en CLA-c9t11, à court terme et aussi à long terme. Le lin produit des laits plus riches en C18:3n-3 et plus pauvres en C18:1-c9 que le colza. Des réponses différentes existent en fonction de l’interaction entre la nature des fourrages, la teneur de la ration en amidon et le type d’oléagineux. Les tannins ou les huiles essentielles ont peu d’influence sur la composition en acides gras du lait. Hormis la vitamine B12 ,l’ensemble des vitamines dans le lait peut provenir des fourrages ou du concentré et/ou du complément minéral contenant les vitamines A, E et D3. Le ruminant peut également synthétiser les vitamines A, C, B3, et D à partir de précurseurs apportés dans la ration. Les vitamines B et K sont synthétisées par les bactéries ruminales. Les facteurs nutritionnels influençant les concentrations en vitamines dans le lait sont peu documentés, à l’exception de la vitamine A. L’alimentation est néanmoins un levier important permettant d’augmenter la qualité nutritionnelle du lait.
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Ducrocq, Fabien, and Pierre Trifilieff. "Déficits motivationnels et acides gras polyinsaturés." médecine/sciences 37, no. 1 (January 2021): 15–18. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020250.

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Legrand, P. "Intérêt nutritionnel des acides gras saturés." Sciences des Aliments 29, no. 3-4 (August 28, 2010): 115–22. http://dx.doi.org/10.3166/sda.29.115-122.

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Sebedio, Jean-Louis, and Jean-Michel Chardigny. "Acides gras polyinsaturés trans : aspects métaboliques." Oléagineux, Corps gras, Lipides 7, no. 1 (January 2000): 40–43. http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2000.0040.

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Guy-Grand, Bernard. "Acides gras oméga 3 : aspects métaboliques." Oléagineux, Corps gras, Lipides 11, no. 1 (January 2004): 29. http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2004.0029.

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A., F. "Acides gras trans et risque cardiovasculaire." Médecine des Maladies Métaboliques 2, no. 3 (May 2008): 297. http://dx.doi.org/10.1016/s1957-2557(08)71685-7.

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Schlienger, J. L. "Acides gras alimentaires : les lignes bougent !" Médecine des Maladies Métaboliques 4, no. 4 (September 2010): 473–74. http://dx.doi.org/10.1016/s1957-2557(10)70094-8.

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Legrand, Philippe. "ANC acides gras : une réévaluation nécessaire ?" Cahiers de Nutrition et de Diététique 42, no. 5 (November 2007): 229. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(07)73930-5.

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