Academic literature on the topic 'Symptômes dépressifs et anxieux'

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Journal articles on the topic "Symptômes dépressifs et anxieux":

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Boulenger, JP, and P. Boyer. "Trouble anxieux et dépressif mixte : problèmes cliniques." European Psychiatry 9, S2 (1994): 15–20. http://dx.doi.org/10.1017/s0924933800004260.

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Abstract:
RésuméLe trouble anxieux et dépressif mixte (ADM) représente une nouvelle catégorie diagnostique regroupant essentiellement des patients vus dans le cadre des soins primaires. Ces patients se définissent comme des sujets présentant des symptômes d’anxiété et de dépression d’intensité limitée et comparable, s’accompagnant au moins de quelques signes neurovégétatifs. En outre, ces patients sont censés ne pas répondre aux critères diagnostiques spécifiques de troubles anxieux ou dépressifs. Cependant, les cas de dépression anxieuse ne sont pas limités aux patients entrant dans cette nouvelle catégorie « sous-syndromale ». De nombreux patients qui répondent aux critères soit de troubles dépressifs soit de troubles anxieux peuvent également présenter des symptomes, un syndrome ou répondre à un diagnostic d’anxiété ou de dépression. On ne sait pas encore si les symptômes d’anxiété et de dépression sont deux expressions différentes d’un même processus psychopathologique sous-jacent. La description récente d’un « syndrome névrotique généralisé » (Tyrer, 1990) représente une tentative de réunification de syndromes séparés dans nos classifications actuelles. Avec cette approche globale, les états d’anxiété,de dépression ou d’ADM sont associés, à un moment ou à un autre, à des traits de personnalité spécifiques et on considère qu’ils expriment différents niveaux d’hyperréactivité à diverses situations stressantes. Cette hypothèse expliquerait le rapport étroit entre ces deux catégories de symptômes, et I’efficacité dont témoignent certains agents psychopharmacologiques à la fois sur les troubles anxieux et dépressifs.
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Corruble, E. "Les troubles de l’humeur selon le DSM-5 : quelles conséquences prévisibles ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 34. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.083.

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Abstract:
Les modifications intervenues dans le DSM-5 pour les troubles de l’humeur ont pour objectif de mieux décrire les entités cliniques pertinentes de façon d’améliorer le recours aux soins. D’abord, les diagnostics syndromiques sont modifiés. La définition de l’épisode dépressif caractérisé est simplifiée avec la suppression du critère d’exclusion lié au deuil. Ce choix, qui a pour but de mieux prendre en charge les dépressions post-deuil, a fait l’objet de nombreuses discussions et controverses. La définition de l’épisode maniaque ou hypomaniaque est également modifiée avec l’adjonction du symptôme modification de l’activité et de l’énergie [1]. Et les épisodes mixtes sont supprimés des diagnostics syndromiques et ré-intégrés comme caractéristiques spécifiques des troubles dépressifs ou bipolaires. Ce choix est secondaire aux excès antérieurs de diagnostics d’épisodes mixtes. Pour les chapitres troubles dépressifs [1] et troubles bipolaires [1], de nouvelles caractéristiques spécifiques apparaissent : les caractéristiques mixtes [1] (définies pour les épisodes dépressifs majeurs par la présence de 3 symptômes maniaques), les symptômes anxieux [1], et les caractéristiques spécifiques de risque suicidaire. Par ailleurs, de nouvelles entités sont introduites dans le chapitre troubles dépressifs [1]. Il s’agit du trouble dysphorique pré-menstruel, qui figurait auparavant dans l’appendice, et d’un nouveau trouble de l’enfant, le disruptive mood dysregulation disorder[1]. Enfin, dans le chapitre entités nécessitant de nouvelles études [1], apparaissent Ies épisodes dépressifs avec hypomanie de courte durée, le deuil pathologique complexe et persistant et les comportements suicidaires pathologiques. Ces différentes modifications devraient permettre, via leur remboursement, une meilleure prise en charge, aux États-Unis, du deuil pathologique, du risque suicidaire et du syndrome pré-menstruel pathologique.
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Malouin, Émilie, Ophélia Fraczek, Mégane Lacombe-Thibault, Kathleen Cairns, and Marie-Christine Ouellet. "Symptômes anxiodépressifs et cognitifs post-traumatisme craniocérébral léger : comparaison entre les aînés et les adultes plus jeunes." Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 12, no. 2 (January 25, 2023): 15–17. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v12i2.51860.

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Abstract:
Peu d’études comparent les adultes plus jeunes aux aînés quant aux séquelles cognitives et affectives après un traumatisme craniocérébral léger (TCCl). Celles qui l’ont fait présentent des résultats très variables concernant les symptômes anxio-dépressifs et les études sur le fonctionnement cognitif sont rares chez les aînés. Cette étude compare les symptômes dépressifs, anxieux et cognitifs perçus 12 mois après un TCCl chez des aînés et des adultes plus jeunes. 113 adultes de 18 à 64 ans et 57 personnes âgées de 65 ans et plus ont été évalués avec le Medical Outcomes Study Cognitive Functioning Scale (MOS-Cog) et le Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS). Les résultats suggèrent que les adultes plus jeunes ont davantage de symptômes anxieux (t(146,658) = 4,591, p < 0,001, d = 0,071) et des difficultés cognitives perçues plus importantes (t(168) = -2,491, p = 0,014, d = 0,445), mais aucune différence significative n’a été trouvée concernant les symptômes dépressifs (t(168) = 1,631, p = 0,105, d = 0,028). Les pressions plus grandes chez l’adulte plus jeune liées aux responsabilités familiales et occupationnelles pourraient expliquer partiellement ces symptômes. Ces résultats permettent de mieux cibler les particularités et les interventions spécifiques pour chaque groupe d’âge post-TCCl.
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Lemogne, C. "Une prise en charge psychologique peut-elle infléchir le risque cardiovasculaire ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 39. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.098.

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Abstract:
Après ajustement sur les facteurs de risque cardiovasculaires « classiques » (tabagisme, hypertension, hypercholestérolémie, sédentarité, diabète, etc.), la dépression est associée à un risque quasiment doublé de survenue d’un premier événement coronarien ainsi qu’à un risque augmenté de 25 à 50 % de survenue d’un accident vasculaire cérébral. Il en est de même pour les symptômes anxieux. De plus, après un premier événement coronarien, la présence de symptômes dépressifs est associée à un risque augmenté de 15 à 60 % de récidive voire de mortalité cardiovasculaire. Ce constat a conduit à la mise en place de plusieurs essais contrôlés randomisés de prévention secondaire visant à démontrer l’intérêt d’une intervention pharmacologique, psychologique ou mixte sur les symptômes dépressifs dans la prévention des récidives et de la mortalité chez les patients coronariens. Globalement, les résultats obtenus jusqu’à présent ont été plutôt décevants, en particulier en ce qui concerne les études de forte puissance statistique (SADHARD, ENRICHD, CREATE, MIND-IT). Parmi ces quatre essais, trois ont montré l’intérêt d’un traitement par inhibiteur sélectif de recapture de la sérotonine ou thérapie cognitive et comportementale sur la symptomatologie dépressive, mais sans effet préventif sur la récidive des événements coronariens et la mortalité cardiovasculaire. Ce résultat paradoxal pourrait résulter de facteurs confondants, par exemple génétiques, expliquant l’association entre dépression et risque cardiovasculaire sans lien causal direct. Toutefois, certaines pistes restent encourageantes, en particulier lorsque l’intervention cible des facteurs plus généraux que la dépression tels que la gestion du stress (p.ex. essai SUPPRIM) ou au contraire repose sur une prise en charge personnalisée de la dépression (p.ex. essai COPES).
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Rabot, Sylvie. "Le microbiote intestinal, facteur de vulnérabilité aux troubles anxieux et de l’humeur." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France 176, no. 1 (2023): 189–96. http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2023.18276.

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Abstract:
De nombreuses études sur modèles animaux montrent que le microbiote intestinal affecte les réponses émotionnelles au stress. Dans ce contexte, nous avons étudié les effets d’un métabolite produit par le microbiote intestinal à partir du tryptophane, l’indole. Chez des modèles animaux dont nous avons manipulé le microbiote pour qu’il produise ou non de l’indole, nous avons montré que cette molécule intensifie les comportements de type anxieux et dépressif. Son action s’exercerait par une activation du nerf vague et l’imprégnation du cerveau par des dérivés secondaires de l’indole, produits par le foie. Dans une cohorte humaine destinée à étudier les relations nutrition-santé, nous avons montré une association positive entre symptômes dépressifs et production d’indole par le microbiote. Ces travaux illustrent l’importance de prendre en compte les activités métaboliques du microbiote intestinal dans la physiopathologie des troubles anxieux et de l’humeur.
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Marcotte, Diane, Simon Lapierre, Cynthia Lamarre, and Marie-Laurence Paré. "Le programme Zenétudes : pour diminuer le risque d’émergence de la dépression et de l’anxiété lors du passage à l’âge adulte." Perspectives Psy 59, no. 2 (April 2020): 121–26. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/202059121.

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Abstract:
Cet article présente le programme de prévention de l’anxiété et de la dépression Zenétudes : vivre sainement la transition au collège (Marcotte, Viel, Paré et Lamarre, 2016). L’article présente d’abord l’état actuel de la santé mentale des étudiants aux études postsecondaires, et soulève la pertinence de la mise en place d’interventions préventives auprès de cette population. Par la suite, le programme Zenétudes, dont la structure est multiniveaux, est décrit. Les volets visent à répondre aux différents besoins des individus, en lien avec les symptômes anxieux et dépressifs, et visent à faciliter leur transition vers les études postsecondaires. Le premier volet est un atelier de prévention universelle qui présente des stratégies plus générales qui peuvent bénéficier à l’ensemble des individus. Cet atelier permet également de dépister les individus à risque. Le second volet comporte deux ateliers, un sur l’anxiété, et un sur la dépression, et qui présentent des stratégies plus spécifiques sur ces deux problématiques. Finalement, le troisième volet comporte dix rencontres de groupes animés par des professionnels, et cible les individus présentant un niveau sous-clinique de symptômes. L’article se conclut en présentant les études d’efficacité menées sur l’implantation du programme à ce jour.
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Fansi, Alvine, Cedric Jehanno, Micheline Lapalme, Martin Drapeau, and Sylvie Bouchard. "Efficacité de la psychothérapie comparativement à la pharmacothérapie dans le traitement des troubles anxieux et dépressifs chez l’adulte : une revue de la littérature." Santé mentale au Québec 40, no. 4 (April 5, 2016): 141–73. http://dx.doi.org/10.7202/1036098ar.

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Abstract:
Dans l’optique de l’amélioration d’une couverture de la psychothérapie au Québec, le ministère de la Santé et des Services sociaux a confié à l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux le mandat d’évaluer l’efficacité de la psychothérapie comparée à la pharmacothérapie dans le traitement des adultes souffrant de troubles anxieux et dépressifs. Une mise à jour d’une revue de la littérature récente et de bonne qualité a été effectuée grâce à une revue des revues systématiques traitant de la psychothérapie comparée à la pharmacothérapie dans le traitement des adultes anxieux et dépressifs avec un horizon temporel compris entre 2009 et 2013. Le niveau de l’ensemble de la preuve scientifique permet de dire que de manière générale, il n’y a pas de différence significative entre la psychothérapie et la pharmacothérapie sur le plan de la réduction des symptômes des patients souffrant de troubles anxieux ou dépressifs modérés, ce qui indique une efficacité comparable de ces deux modes de traitement. Cependant, les avantages de la psychothérapie sont maintenus plus longtemps après la fin du traitement que ceux des médicaments. La psychothérapie offre donc une meilleure protection contre la rechute. Par ailleurs, la combinaison de la psychothérapie et de la pharmacothérapie présente une efficacité supérieure à celle de la psychothérapie seule dans les cas chroniques ou graves.
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Bonnet, A., V. Bréjard, A. Pasquier, and J. L. Pedinielli. "Affectivité et alexithymie : deux dimensions explicatives des relations entre symptômes dépressifs et anxieux." L'Encéphale 38, no. 3 (June 2012): 187–93. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2011.03.006.

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Hardy, P., J. P. Lepine, and A. Feline. "Etude de la symptomatologie anxieuse aiguё et chronique dans une population de 78 patients hospitalisés en psychiatrie." Psychiatry and Psychobiology 3, no. 2 (1988): 99–114. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00001875.

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Abstract:
RésuméLes troubles anxieux aigus (anxiété paroxystique) et chroniques (anxiété durable ou permanente) observés dans le mois précédant leur admission ont été évalués chez 78 patients hospitalisés en psychiatrie à l'aide d’une liste de 74 items descriptifs de l’anxiété ou LIDA (annexe 1).Cette LIDA a servi de standard permettant de comparer la symptomatologie des états anxieux à la fois dans leurs dimensions aiguë et chronique, et dans leurs dimensions subjective (symptômes spontanément évoqués) et clinique (symptômes retrouvés après enquête).La comparaison a consisté en premier lieu à sélectionner les items de la LIDA caractéristiques de ces 4 dimensions anxieuses. Ont été retenus comme caractéristiques les items communs à 2 listes: celle des 20 symptômes les plus fréquemment retrouvés chez les sujets anxieux et celle des 20 symptômes les mieux corrélés à l’intensité de ce trouble. Cette intensité était mesurée à l’aide d’échelles visuelles analogiques destinées au patient (dont le score était corrélé aux symptômes spontanément évoqués) et au clinicien (dont le score était corrélé aux hétéro-évaluations des symptômes).Quarante-sept sujets (60,3% de la population) appartenant à toutes les catégories diagnostiques ont déclaré avoir présenté un ou plusieurs épisodes d'anxiété aiguë dans le mois précédant leur hospitalisation. Soixante-deux sujets (79,5% de la population) ont, de leur côté, signalé l’existence d'une anxiété chronique.Notre méthode de sélection a permis de retenir 16 items caractéristiques de l'anxiété aiguë subjective et 17 items caractéristiques de sa dimension clinique (Tableau I). Les représentations subjectives et cliniques de l'anxiété aiguë se superposent largement, puisque 10 items sont communs à ces deux séries. Par ailleurs, la notion clinique d'anxiété aiguë (notion transnosographique) paraît d'un point de vue symptomatique très voisine de celle d'attaque de panique (DMS III) puisque 11 items sont communs à ces 2 états (Tableau II). Pour la définition des états anxieux aigus, il semblerait néanmoins important d'inclure comme critères diagnostiques, aux côtés de ceux du DSM III, des symptômes témoignant de l'instabilité émotionnelle des patients («labilité émotionnelle», «hyperémotivité») et de la sidération de leurs fonctions cognitives («incapacité d'agir», «difficultès de concentration») et motrice («inhibition motrice»).Seuls 10 items sont apparus caractéristiques de l'anxiété chronique subjective et 7 de sa dimension clinique Tableau III). Ces chiffres témoignent de la discordance entre la fréquence d’apparition des symptômes et leur corélation à l’intensité de l’anxiété chronique. Une seconde discordance se manifeste entre les représentations subjectives et cliniques de l'anxiété chronique: seuls 3 symptômes appartiennent en effet conjointement aux listes d'items caractéristiques de ces deux dimensions. Le fait que le DSM III exprime chaque critère pour le diagnostic du trouble: anxiété généralisée sous une forme plurisymptomatique n’a pas permis la comparaison entre ces critères et les tems caractèristiques de l’anxiété chronique clinique.Le concept d'anxiété aiguë apparaît homogène et facilement opérationnalisable. Les 16 symptômes caractéristilites de cct état diffèrent peu des critères du DSM III pour l’attaque de panique, ce qui rend possible l’utilisation le ces derniers dans l’évaluation transnosographique des états anxieux aigus. Vingt-trois patients (29,5% de la topulation) ont ainsi satisfait aux critères symptomatiques et de fréquence des crises requis par le DSM III poure diagnostic de trouble panique. Ce syndrome est plus fréquemment retrouvé dans le cadre des états dépressifs que lans celui des autres pathologies (P<0.05).Les difficultés rencontrées dans la recherche d’une définition opérationnelle de l’anxiété chronique ne doivent pas conduire à l’abandon de son étude, à laquelle ne peut se substituer celle des états anxieux aigus. Les futures recherches sur ce concept psychopathologique hétérogène, pourraient consister à approfondir sa dimension cognitive et, plus particulièrement, le phénomène de l’attente anxieuse.
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Schreiner, A., P. Bergmans, P. Cherubin, and L. Hargarter. "Effets du palmitate de palipéridone sur les symptômes négatifs, la dépression/anxiété, le fonctionnement et les symptômes extrapyramidaux chez des patients souffrant d’une schizophrénie non-aiguë, en échec du traitement par aripiprazole oral." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S151. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.303.

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Abstract:
ObjectifÉvaluer l’effet du palmitate de palipéridone (PP) à doses flexibles sur les symptômes négatifs, la dépression/anxiété, le fonctionnement et les symptômes extrapyramidaux chez des patients adultes souffrant de schizophrénie non-aiguë, en échec à un traitement par aripiprazole oral.MéthodesÉtude internationale, prospective, en ouvert de 6 mois.ÉvaluationsVariations entre début d’étude (baseline) et dernière observation rapportée sur la PANSS (Positive and Negative Syndrome Scale), la sous-échelle négative de la PANSS, les facteurs de Marder de la PANSS « symptômes négatifs » et « anxiété/dépression », les échelles de fonctionnement PSP (Personal and Social Performance) et Mini-ICF (Mini International Classification of Functioning) et l’échelle ESRS (Extrapyramidal Symptom Rating Scale).RésultatsQuarante-six patients analysés (73,9 % hommes, âge moyen 34,4 ± 9,4 ans, 78,3 % schizophrénie paranoïde). Parmi les patients, 67,4 % ont terminé l’étude. Avant l’inclusion, la dose moyenne d’aripiprazole oral était de 22,7 ± 10,7 mg/jour. Le score de la sous-échelle négative de PANSS s’est significativement amélioré de 20,3 ± 5,0 (baseline) à 17,3 ± 6,1 (fin d’étude) (variation moyenne = −3,0 ± 5,0 ; IC 95 % = −4,4 ; −1,5 ; p < 0,0001), ainsi que les scores des facteurs de Marder « symptômes négatifs » (de 19,5 ± 5,8 à 16,6 ± 5,9 ; IC95 % = −4,5 ; −1,3, p < 0,0001) et « anxiété/dépression » (de 10,3 ± 3,6 à,5 ± 2,9 ; IC95 % = −3,0 ; −0,6, p = 0,0031). Le score ESRS s’est aussi amélioré de manière significative (de −0,6 ± 3,4 ; IC 95 % = −1,6 ; 0,4, p = 0,0456). Le fonctionnement du patient s’est amélioré de manière significative sur les échelles PSP (de 58,9 ± 13,4 à 62,9 ± 15,2, p = 0,041) et Mini-ICF (de 19,0 ± 7,78 à 16,1 ± 9,84 ; IC 95 % −5,1, −0,7 ; p = 0,0079). Le seul événement indésirable sous traitement rapporté chez ≥ 5 patients a été l’anxiété (n = 6).ConclusionsLa transition d’un échec au traitement par aripiprazole oral à un traitement par PP à doses flexibles chez des patients souffrant de schizophrénie non-aiguë a été bien tolérée et s’est traduit par une amélioration significative des symptômes négatifs, dépressifs, anxieux et des symptômes extrapyramidaux, ainsi que du fonctionnement du patient.Traduction de l’abstract résumé présenté au congrès EPA 2015 (European Congress of Psychiatry, Vienna, Austria, 28–31 March 2015)

Dissertations / Theses on the topic "Symptômes dépressifs et anxieux":

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Tanguay-Garneau, Laurence. "Association entre les symptômes anxieux et les symptômes dépressifs à l'enfance : structure factorielle et étiologie génétique et environnementale." Doctoral thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/30369.

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Abstract:
La question de la spécificité et de l’association entre l’anxiété et la dépression est un enjeu tant au plan empirique et théorique que clinique. L’objectif principal de la thèse était de décrire le cours du développement de l’association entre les symptômes anxieux (SA) et les symptômes dépressifs (SD) durant l’âge scolaire, d’abord en documentant le changement ou la continuité dans leur association et leur spécificité dans un premier article, puis en documentant les contributions longitudinales entre les SA et les SD et les fondements étiologiques de ces contributions dans un deuxième article. Les données concernant les SA et les SD ont été rapportées par questionnaire par les enseignants de 1112 enfants à cinq temps de mesure de la maternelle à la 6e année (6 à 12 ans). Dans un premier temps, la stabilité des SA et des SD et de leur association a été évaluée en comparant les moyennes d’échelles, les variances et les corrélations inter-échelles entre les temps de mesure. Différentes structures factorielles ont été comparées. Les analyses ont révélé que les SA et les SD étaient au mieux modérément stables du début à la fin de l’école primaire et qu’une conceptualisation bidimensionnelle selon laquelle les SA et les SD forment deux construits distincts étaient appuyée, malgré qu’ils soient fortement associés durant cette période du développement. Dans un deuxième temps, un modèle de corrélations croisées génétiquement informatif a permis d’examiner les contributions génétiques et environnementales aux associations transversales, aux associations croisées et à la stabilité des SA et de SD de la maternelle à la 6e année. Les résultats suggèrent que les SA et les SD sont associés au cours du primaire et sont relativement stables, dû à des influences génétiques et environnementales communes. Les SD précoces apparaissent plus stables et centrales tant pour le développement des SD que pour celui des SA durant l’âge scolaire, alors que les SA contribuent marginalement au développement des SD. Les résultats novateurs de la thèse soulignent l’importance de certaines hypothèses explicatives de l’association entre l’anxiété et la dépression, informent quant à la spécificité des deux ensembles de symptômes et permettent de générer des hypothèses supplémentaires sur les mécanismes impliqués dans leur association.
The matter of the distinctiveness and the association between anxiety and depression in childhood is an empiric, theoretical, and clinical issue. The principal objective of the present thesis was to describe the development of the association between AS and DS during the school-age period, first by documenting changes and continuity in their association in a first article, and then by documenting the longitudinal contributions between AS and DS and their etiological underpinnings in a second article. Teachers assessed AS and DS in 1112 twins at 5 time points from Kindergarten to Grade 6 (6 to 12 years of age). First, scale means, variances and inter-scale correlations were compared through time to assess the stability of AS and DS and of their association. Different factorial structures were compared. Analyses revealed that AS and DS were modestly stable at best from the beginning to the end of elementary school and that a bidimensional conceptualization, i.e. AS and DS as two distinct constructs, was supported by the data even though they remain highly correlated within this developmental period. Second, a genetic cross-lagged model was used to examine the genetic and environmental contributions to cross-sectional associations, cross-age and cross-lag effects of AS and DS from Kindergarten to Grade 6. Results suggested that AS and DS were associated throughout the elementary school-years and relatively stable due to common genetic and unique environmental influences. In the early school-years, DS are more stable than AS, and more central to the development of both subsequent AS and DS; AS only marginally contributed to subsequent DS in this sample. The innovative results of the thesis underline the importance of certain explanatory hypotheses of the association between anxiety and depression, inform about the distinctiveness of the two sets of symptoms and allow to generate additional hypotheses concerning the mechanisms implicated in the association.
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Brochu, Roxane. "Les conséquences sur le sommeil et les symptômes anxieux et dépressifs chez une population de collégiens qui ont vécu une expérience sexuelle non désirée : une étude exploratoire." Doctoral thesis, Université Laval, 2021. http://hdl.handle.net/20.500.11794/69904.

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Abstract:
Les étudiants collégiens forment une population hautement à risque de vivre une agression sexuelle. Ce type d’expérience peut entraîner un lot de conséquences comme des difficultés de sommeil et des symptômes anxieux et dépressifs. Le terme agression sexuelle est large et comporte plusieurs définitions. À cet égard, des écrits scientifiques ont conceptualisé ce terme selon deux dimensions : 1) l’aspect non désiré d’une expérience sexuelle et 2) le consentement ou non. Cette étude exploratoire a été menée au Cégep Lévis Lauzon et ciblait tous les étudiants âgés de plus de 18 ans. Des questionnaires étaient à compléter sur une plateforme en ligne qui comprenait des questions sur les expériences sexuelles non désirées (ESND) consentante ou non consentante, sur le sommeil (insomnie, cauchemars, détresse associée aux cauchemars et sécurité face à la chambre à coucher, d’autres difficultés de sommeil mesurées à l’aide de l’agenda du sommeil) et sur les symptômes dépressifs et anxieux. Deux objectifs sont à l’étude : 1) explorer les conséquences sur le sommeil et les symptômes anxieux et dépressifs chez les étudiants qui ont vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) et 2) explorer les conséquences sur le sommeil à l’aide de l’agenda du sommeil chez les étudiants qui ont vécu une ESND(consentante, non consentante ou les deux). À l’objectif 1, l’échantillon total comprend 56participants, dont 80.6% de femmes avec un âge moyen de 19.46 (ET 2.49) ans. Aux résultats, les étudiants ayant vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) rapportent davantage de symptômes d’anxiété et de détresse reliée aux cauchemars. D’un point de vue clinique, les symptômes d’anxiété et la détresse reliée aux cauchemars demeurent tout de même à un niveau de sévérité peu élevé. À l’objectif 2, 10 participants ont complété l’agenda du sommeil comprenant 7 femmes avec un âge moyen de 19.7 (ET 1.94) ans. Aux résultats, les étudiants ayant vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) ne se démarquent pas de façon prépondérante du groupe qui ne rapporte aucune ESND selon l’agenda du sommeil, sauf pour une latence d’endormissement plus longue frôlant le seuil clinique de 30 minutes et une somnolence diurne modérément sévère. En somme, ce mémoire de visée exploratoire informe que tant les étudiants qui ont vécu une ESND (consentante, non consentante ou les deux) rapportent vivre des conséquences négatives, mais le portrait n’est pas si sombre de ce à quoi il aurait été possible de s’attendre. De futures recherches sur le sujet demeurent pertinentes.
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Guez, Hava. "Psychopathologie et attachement dans la transition à la maternité." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2022. http://www.theses.fr/2022PA080042.

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Abstract:
La santé mentale périnatale est un sujet de préoccupation sociétale majeure ; le suicide étant devenu la deuxième cause de mortalité maternelle après les maladies cardiovasculaires, soit 13,4% des morts maternelles durant la période périnatale. L’objectif cette thèse était d’étudier la psychopathologie des mères durant la transition vers la maternité en lien avec des variables contextuelles, relationnelles et des représentations d’attachement. Une première étude visait à étudier les trajectoires de dépression et d’anxiété durant la transition à la maternité. Notre échantillon était composé de 148 femmes canadiennes (âge moyen : 21,66). Elles ont répondu à un questionnaire d’informations socioéconomiques, à un inventaire de symptômes psychologiques (Symptom Check-List, SCL-90), à une mesure du stress psychologique (PSM), à une échelle d’ajustement dyadique (The Dyadic Adjustment Scale, DAS) et à un questionnaire de soutien social (SSQ). Dans une seconde étude, nous avons examiné les liens entre burn-out et symptomatologie anxiodépressive. Notre échantillon était composé de 70 femmes françaises (âge moyen : 31,19) qui ont répondu à l’échelle de dépression postnatale d’Edimbourg (EPSD), à un inventaire d’anxiété (STAI Trait/Etat) et à un questionnaire de burn-out parental (Parental Burnout Assessment, BPA). Dans une troisième étude, nous avons examiné les liens entre attachement, symptomatologie anxiodépressive et burn-out, trente-cinq femmes (âge moyen : 31,32) ont répondu à l’EPSD, la STAI Trait/Etat et au PBA. L’Attachment Multiple Model Interview a également été administré pour évaluer l'attachement à chacun des parents et au conjoint. Enfin, pour illustrer les résultats de notre dernière étude, nous avons utilisé le même échantillon avec une approche qualitative.Les résultats ont montré : (1) chez des mères à haut risque sur le plan social, l’existence de trois trajectoires distinctes de dépression et d’anxiété, l’une d’elles avec des niveaux élevés de symptômes qui continuent d’augmenter tout au long de la transition ; (2) que l’environnement familial et personnel de la mère peut être rattachées à un ensemble de facteurs (revenu familial, stress psychologique, satisfaction conjugale, perception du soutien social) qui prédisent les trajectoires de santé mentale tout au long la transition à la maternité ; (3) que des représentations d’attachement désorganisées à la mère sont liées à une symptomatologie composite : symptômes dépressifs et anxiété trait dans le post-partum ; (4) qu’une stratégie d’attachement d’inhibition au conjoint est associée au fait d’avoir un état anxieux dans le post-partum ; (5) que l’anxiété trait médiatise le lien entre représentations d’attachement et burn-out maternel durant le post-partum.Nos résultats soulignent l’importance :- de privilégier les études de trajectoires dans la transition à la maternité. Ces dernières permettent de considérer les différences interindividuelles de profils maternels dans le vécu de l’adaptation, témoignant de la nécessité d’accorder une vigilance particulière pour les mères à risque.- de prendre en compte le contexte personnel et familial dans lequel la grossesse se déroule pour anticiper les trajectoires de dépression et d’anxiété durant le transition à la maternité.- d’une évaluation prénatal permettant un dépistage précoce systématique- d’un dépistage systématique de l’anxiété lors de l’examen prénatal pour prévenir du burn-out.- d’apporter une attention particulière aux modèles et stratégies d’attachement dans le post-partum afin d’intervenir précocement par des psychothérapies efficaces
Perinatal mental health is a major societal concern; suicide has become the second cause of maternal mortality after cardiovascular disease, representing 13.4% of maternal deaths. The objective of this research was to study psychopathology among mothers during the transition to motherhood, in relation to contextual and relational variables as well as attachment representations.A first study was aimed at identifying trajectories of depression and anxiety during the transition to motherhood. Our sample consisted of 148 Canadian women (mean age: 21,66 years). They filled in a socio-demographic questionnaire, an inventory of psychological symptoms (Symptom Check-List, SCL-90), a measure of psychological stress (PSM), a dyadic adjustment scale (The Dyadic Adjustment Scale, DAS) and a social support questionnaire (SSQ). In a second study, we examined the links between burnout and anxious-depressive symptomatology. Our sample consisted of 70 French women (mean age: 31,19 years) who completed the Edinburgh Postnatal Depression Scale (EPSD), an Anxiety Inventory (STAI Trait/Etat), and the Parental Burnout Assessment (BPA). In a third study, we examined the links between attachment, anxious-depressive symptoms, and burnout. Thirty-five women (mean age: 31.32 years) filled in the EPSD, the STAI Trait/Etat and the PBA. The Attachment Multiple Model Interview was also administered to assess attachment to each parent and partner. Finally, to illustrate the results of our final study, we used the same sample with a qualitative approach.The results showed: (1) the existence of three distinct trajectories of depression and anxiety, one of them with a high level of symptoms that continued to increase during the transition to motherhood ; (2) that mothers’ family and personal environments can be linked to a set of correlated factors (family income, psychological stress, marital satisfaction, perception of social support) that predict mental health trajectories throughout the transition to motherhood ; (3) that disorganized attachment in the relationship with one’s own mother is linked to a composite measure of depressive and trait anxiety symptoms in the postpartum period ; (4) that deactivating attachment strategies with the partner are associated with having an anxious state in the postpartum period ; (5) that trait anxiety mediates the link between maternal attachment and parental burnout.Our results highlight the importance of:- prioritizing trajectory studies in the transition to motherhood. They make it possible to consider inter-individual differences in maternal profiles of adaptation, highlighting the need to pay particular attention to mothers at risk.- taking into account the personal and family context in which pregnancy takes place to anticipate the trajectories of depression and anxiety during the transition to motherhood.- a prenatal assessment allowing systematic early detection of mothers at risk.- systematic screening for anxiety during the prenatal examination to prevent burnout.- pay specific attention to attachment models and strategies in the postpartum period in order to intervene early through effective psychotherapies
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Pez, Ondine. "Nouvelle modalité d'analyse des études épidémiologiques des troubles anxieux et dépressifs." Grenoble 2, 2008. http://www.theses.fr/2008GRE29004.

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Abstract:
Cette thèse propose un nouveau mode d'analyse des études épidémiologiques des troubles anxieux et/ou dépressifs, qui consisterait à insister sur les ressources psychologiques susceptibles de protéger de la survenue ou de l'aggravation et donc de réintroduire dans la conception de ces études une approche alternative de prévention. A partir d'une méthodologie rigoureuse sur un échantillon de 500 participants européens nous avons, dans un premier temps, différentié les facteurs de risques des facteurs de protection des troubles anxieux et/ou dépressifs. Contrairement aux résultats présentés dans la littérature, un faible nombre de nos variables sociodémographiques est lié à la présence de ces troubles. Nous avons, dans un second temps, confirmé les répercussions des troubles dépressifs et anxieux, tout en soulignant l'impact important des troubles dépressifs et de la comorbidité sur la santé mentale des individus. Cet impact se traduit par une intense détresse psychologique. Les échelles génériques (MHI-5 et GHQ-12) de la détresse psychologique sont susceptibles d'être utilisées comme détecteur primaire de la présence d'un trouble dépressif et/ou anxieux. Le MHI-5 reste l'instrument le plus performant dans la détection primaire des troubles dépressifs et/ou anxieux. Dans l'éventualité où ces mesures détectent une détresse psychologique, l'utilisation secondaire d'instrument tel que le CIDI-SF est nécessaire afin de diagnostiquer le type de trouble. Finalement, nos résultats confirment l'association entre le sentiment de maîtrise et la présence des troubles dépressifs et/ou anxieux. Il devient possible de considérer le sentiment de maîtrise comme ressource inhérente à la protection des troubles dépressifs et anxieux
The study aim is to propose a complementary lecture of an epidemiological study which insists on psychological resource suitable for protecting the development or the aggravation of depressive and/or anxiety disorders. From rigorous methodology, 500 participants from 4 European countries have been interviewed during their consultation or visit at a primary care service. Firstly, differentiation of depressive and/or anxiety disorders prevalence (SCID-I/NP) risk factors from protective factors have been underlined. Contrary to literature, our study has emphasized a low number of factors linked with these disorders. Secondly, the presence of depressive and/or anxiety disorders is associated with intense psychological distress, assessed by psychological distress scales (GHQ-12 and MHI-5), particularly with comorbidity and depressive disorders. Thirdly, the study assesses the screening utility of both psychological distress scales and both diagnosis instruments, CIDI-SF and CIS-R, for diagnosable depression and anxiety disorders in a general population sample. Both scales and the CIDI-SF perform in detection of these disorders. Because the psychological distress scales are unable to produce precise diagnosis, we recommend the use of these scales and particularly the MHI-5 as a screening instrument which could be linked with the CIDI-SF in order to produce diagnosis. Finally, our study points out the sense of mastery such as a psychological resource susceptible for coping with depressive and/or anxiety disorders
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Leroy, Jean-Pierre. "Évaluation transnosographique des troubles anxieux et dépressifs : étude clinique des échelles d'évaluation." Rouen, 1989. http://www.theses.fr/1989ROUE044M.

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Philippe, Jessica. "Influence de la comorbidité dans le traitement des troubles anxieux et dépressifs." Doctoral thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/66985.

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Abstract:
Cette étude s’intéresse à l’influence de la comorbidité dans le traitement des troubles anxieux, dépressifs et apparentés à l’aide de la thérapie cognitive-comportementale (TCC). L’échantillon est constitué de 293 personnes qui ont suivi une TCC adaptée en fonction de leurs besoins au Service de Consultation de l’École de Psychologie (SCEP) de l’Université Laval on doientre 2007 et 2018. Les participants devaient présenter un trouble anxieux, dépressif ou un trouble apparenté et étaient exclus s’ils présentaient des symptômes psychotiques ou maniaques non contrôlés ou un trouble lié à l’utilisation d’une substance au premier plan. Les principaux objectifs de ce mémoire sont de comparer les participants qui ont des troubles anxieux et dépressifs comorbides aux participants qui n’en ont pas sur l’efficacité d’une TCC pour traiter le trouble prédominant et de vérifier si cette dernière permet de traiter les troubles comorbides par le fait même. L’efficacité repose sur une comparaison de plusieurs mesures avant et après le suivi thérapeutique, dont la sévérité des diagnostics, mesurée par une entrevue clinique (MINI International Neuropsychiatric Interview 5.0), les symptômes dépressifs et anxieux, mesurés par le Beck Depression Inventory II (BDI-II) et le Beck Anxiety Inventory (BAI), et la qualité de vie, mesurée par le World Health Organization Quality of Life (WHOQOL). Des tests t et des ANOVAS à mesures répétées ont été utilisés. Avant la thérapie, les résultats révèlent des symptômes significativement plus sévères chez les participants ayant au moins un diagnostic comorbide comparés aux participants qui n’en ont pas. Toutefois, après la thérapie, les deux groupes ont obtenu une diminution significative de la sévérité du diagnostic principal et ont atteint un changement cliniquement significatif dans une proportion équivalente. De plus, chez les participants ayant au moins un diagnostic comorbide, le nombre et la sévérité des diagnostics comorbides ont diminué significativement au post-test. En conclusion, il semble que la comorbidité n’affecte pas l’efficacité de la TCC et que celle-ci soit efficace pour diminuer la sévérité des diagnostics comorbides.
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Loyal, Déborah. "Déterminants Psychosociaux et Culturels du Burnout Maternel et des Symptômes Dépressifs Périnataux." Thesis, Bordeaux, 2017. http://www.theses.fr/2017BORD0821/document.

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Abstract:
Alors qu’une maternité heureuse est une aspiration collective, il est établi que de nombreuses femmes souffrent de détresse psychologique dans la période périnatale. Or, la santé psychologique des femmes ne peut être considérée indépendamment de leurs rôles au sein de la société et des normes qui y sont attachées. Ce travail de recherche vise à tester un modèle psychosocial et culturel de compréhension des troubles de l'adaptation à la maternité, (symptômes dépressifs postpartum et burnout). Dans une première étude, différentes étapes auprès de plusieurs populations (N = 250, 22, 474, 249 et 231) ont mené à la validation en langue française d’une échelle de mesure des croyances associées au rôle maternel. Dans un second temps, un suivi longitudinal a été mis en place auprès de femmes rencontrées en fin de grossesse puis à 2 et 4 mois postpartum (N = 129). Ces travaux ont permis d’établir la validité convergente, prédictive et de construit du concept de burnout maternel. Par ailleurs, le poids des caractéristiques psychosociales et normatives du rôle maternel dans le développement de symptômes dépressifs et de burnout a été exploré. Pour finir, des analyses en cluster ont permis de dégager des profils d’articulation, plus ou moins adaptatifs, entre investissement dans la maternité et dans la vie professionnelle. Ces travaux ouvrent des perspectives de recherche concernant le concept de burnout maternel dans la période postpartum et la prise en compte des aspects socio-normatifs du rôle maternel dans la prévention et la prise en charge de ces troubles
Whereas a happy motherhood is a collective aspiration, it is known that many women are reporting psychological distress during the perinatal period. Yet, women’s psychological health can not be considered regardless of their roles in society and norms associated. This research work aims to test a psychosocial and cultural model to understand adjustment disorder regarding motherhood (postpartum depressive symptoms and burnout). In a first study, various steps with different populations (N = 250, 22, 474, 249 and 231) have led to the validation in French of a scale assessing beliefs associated with the maternal role. Then, a longitudinal follow up was settled with women who were seen during late pregnancy and at 2 and 4 months postpartum (N = 129). This work has served to demonstrate the convergent, predictive and construct validity of maternal burnout. Furthermore, the impact of motherhood psychosocial and normative characteristics in the development of depressive and burnout symptoms have been explored. Finally, cluster analyses were conducted to identify more or less adaptive patterns regarding articulation of investment in motherhood and working life. This research work has opened research avenues regarding maternal burnout in the postpartum period and considerations of socio-normative aspects of the mothering role regarding prevention and care of those troubles
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Carrier, Cathy. "Consommation de substances psychoactives et symptômes dépressifs chez les adolescentes et adolescents." Thèse, Université du Québec à Trois-Rivières, 2004. http://depot-e.uqtr.ca/1272/1/000121643.pdf.

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Pouliot, Joannie, and Joannie Pouliot. "Autodétermination, ajustement et symptômes dépressifs maternels suivant la naissance d'un premier enfant." Doctoral thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28062.

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Abstract:
Pour les femmes, le choix de devenir parent a beaucoup évolué dans les dernières décennies, puisqu'elles ont désormais une plus grande liberté de choix. Toutefois, la transition à la maternité peut amener les femmes à vivre beaucoup de pression liée aux recommandations des experts de la santé, aux médias, aux attentes de l'entourage ou encore à leurs propres perceptions quant à l'atteinte du standard de « bonne mère ». Cette étude a pour objectif d'examiner la transition à la maternité afin de mieux comprendre les différents facteurs pouvant être liés au développement de symptômes dépressifs postnataux et à l'ajustement au nouveau rôle de mère. Au total, 252 femmes ont rempli des questionnaires en période prénatale et postnatale. Les résultats confirment que les événements de vie stressants durant la grossesse, l'estime de soi, la perception du tempérament de l'enfant et la qualité de la relation conjugale suite à la naissance de l'enfant sont liés significativement au développement de symptômes dépressifs postnataux et à l'ajustement maternel. Un nouveau facteur de risque au développement de symptômes anxieux postnataux et des difficultés d'ajustement maternel a également été identifié : la motivation envers les tâches parentales. Les mères qui font les tâches par sentiment d'obligation pour correspondre aux standards de « bonne mère » ou pour répondre aux attentes de leur entourage auront davantage de symptômes anxieux et un moins bon ajustement maternel. En ce qui concerne la motivation à avoir un enfant, celle-ci n'aurait pas de contribution significative pour expliquer l'ajustement au rôle de mère. Finalement, les résultats de cette étude relèvent un biais de désirabilité sociale chez certaines femmes puisqu'elles peuvent avoir tendance à minimiser l'ampleur de leurs problèmes et de leurs insatisfactions. Cette tendance à l'autoduperie pourrait avoir un impact sur leur bien-être psychologique en entravant d'éventuelles demandes d'aide.
Pour les femmes, le choix de devenir parent a beaucoup évolué dans les dernières décennies, puisqu'elles ont désormais une plus grande liberté de choix. Toutefois, la transition à la maternité peut amener les femmes à vivre beaucoup de pression liée aux recommandations des experts de la santé, aux médias, aux attentes de l'entourage ou encore à leurs propres perceptions quant à l'atteinte du standard de « bonne mère ». Cette étude a pour objectif d'examiner la transition à la maternité afin de mieux comprendre les différents facteurs pouvant être liés au développement de symptômes dépressifs postnataux et à l'ajustement au nouveau rôle de mère. Au total, 252 femmes ont rempli des questionnaires en période prénatale et postnatale. Les résultats confirment que les événements de vie stressants durant la grossesse, l'estime de soi, la perception du tempérament de l'enfant et la qualité de la relation conjugale suite à la naissance de l'enfant sont liés significativement au développement de symptômes dépressifs postnataux et à l'ajustement maternel. Un nouveau facteur de risque au développement de symptômes anxieux postnataux et des difficultés d'ajustement maternel a également été identifié : la motivation envers les tâches parentales. Les mères qui font les tâches par sentiment d'obligation pour correspondre aux standards de « bonne mère » ou pour répondre aux attentes de leur entourage auront davantage de symptômes anxieux et un moins bon ajustement maternel. En ce qui concerne la motivation à avoir un enfant, celle-ci n'aurait pas de contribution significative pour expliquer l'ajustement au rôle de mère. Finalement, les résultats de cette étude relèvent un biais de désirabilité sociale chez certaines femmes puisqu'elles peuvent avoir tendance à minimiser l'ampleur de leurs problèmes et de leurs insatisfactions. Cette tendance à l'autoduperie pourrait avoir un impact sur leur bien-être psychologique en entravant d'éventuelles demandes d'aide.
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Breton, Julie. "La participation à des activités parascolaires et les sympômes dépressifs chez les élèves du secondaire." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2012. http://hdl.handle.net/11143/5596.

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Abstract:
Cette étude examine de manière longitudinale le lien entre la participation à des activités parascolaires et les symptômes dépressifs chez les adolescents en vérifiant 1) selon le sexe, le profil de participation des élèves qui atteignent ou non le seuil clinique de dépression, 2) si les trois dimensions de la participation à des activités parascolaires (durée, intensité et diversité) peuvent prédire une diminution du nombre de symptômes dépressifs chez les adolescents et si chacune des dimensions a une contribution unique et 3) si le sexe des élèves et la présence ou non du seuil clinique agissent à titre de modérateurs sur le lien de prédiction entre la participation et le nombre de symptômes dépressifs. Pour cette étude, 1617 adolescents (55% de filles) ont été suivis pendant trois ans. Chaque année, les adolescents ont complété un questionnaire sur les activités parascolaires afin de mesurer leur participation à ces activités, ainsi que la traduction française du Center for Epidemiological Studies Depression Scale for Children (CES-DC, Radloff, 1977) pour évaluer leurs symptômes dépressifs. Les autres variables considérées pour cette étude sont le sexe et le niveau scolaire des élèves, ainsi que le niveau de défavorisation des écoles, qui sert ici d'indice du statut socioéconomique. De manière générale, les résultats suggèrent 1) que les élèves auraient tendance à moins participer en ce qui concerne la durée et l'intensité lorsqu'ils atteignent le seuil clinique, sans différence au niveau de la diversité, et que les filles se situant au-dessus du seuil clinique présenteraient moins de participation, en ce qui concerne la durée et la diversité, que les filles qui se situent sous le seuil clinique, sans différence chez les garçons, 2) que l'intensité de la participation ne permet pas de prédire une diminution des symptômes dépressifs lorsque les variables de contrôle sont prises en considération (seule cette dimension a été considérée dans les analyses étant donné le patron de corrélations) et 3) qu'il n' y a pas d'effet modérateur du sexe sur le lien de prédiction entre l'intensité de participation à des activités parascolaires et le nombre de symptômes dépressifs, mais qu'il y a un effet modérateur du seuil clinique, suggérant que plus l'intensité de la participation est élevée, plus elle prédit une diminution des symptômes dépressifs et ce, seulement chez les élèves se situant au dessus du seuil clinique.

Book chapters on the topic "Symptômes dépressifs et anxieux":

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BAUDRY, Anne-Sophie, and Véronique CHRISTOPHE. "Les compétences émotionnelles au cœur de l’ajustement face au cancer." In Le patient et son entourage, 9–24. Editions des archives contemporaines, 2023. http://dx.doi.org/10.17184/eac.7284.

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Abstract:
Les compétences émotionnelles (CE) (i.e., identifier, comprendre, exprimer et écouter de manière adaptée, réguler et utiliser ses propres émotions et celles des autres) utilisées au quotidien ont des effets importants dans le domaine de la santé, en particulier sur la détresse émotionnelle et l’ajustement face à la maladie somatique comme le cancer. Ainsi, nous avons proposé un modèle, stipulant un effet indirect des CE sur des issues d’ajustement via les symptômes anxieux et dépressifs dans différents contextes oncologiques : les besoins en soins de support des patients (Étude 1), la qualité de vie post-chirurgicale face au cancer œsogastrique (Étude 2) et post-chimiothérapie des femmes jeunes atteintes d’un cancer du sein (Étude 3) et le vécu subjectif post-chimiothérapie et post-radiothérapie des conjoints face au cancer du sein (Étude 4). Les résultats confirment l’importance des processus émotionnels dans l’ajustement des patients et des proches-aidants face au cancer selon les parcours de soins, et des interventions individuelles ou de groupes visant la mobilisation des CE et la gestion des symptômes anxieux et dépressifs.
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Article collectif. "La sclérose en plaques." In Pratiques et interventions en psychologie de la santé, 165–81. Editions des archives contemporaines, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.3194.

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Abstract:
La sclérose en plaques (SEP) touche environ 60 000 personnes en France. Elle est diagnostiquée généralement entre 20 et 35 ans, avec un ratio de 2,4 femmes pour 1,5 homme. Après le traumatisme physique, elle constitue la principale cause de handicap chez le jeune adulte. C'est une maladie auto-immune chronique qui se caractérise par son action démyélinisante, à savoir la destruction de la gaine de myéline (gaine entourant les nerfs et facilitant la transmission de l'influx nerveux) provocant un ralentissement, voire un blocage de la conduction nerveuse. Les symptômes sont hétérogènes et différents selon les zones de démyélinisation. Ils comprennent des déficiences physiques (expériences de faiblesse musculaire, difficultés d'équilibre et de coordination, handicaps au niveau de la marche), cognitives (difficultés de concentration, d'attention, de mémoire) et neurologiques, avec une évolution démentielle possible. Dans la mesure où la SEP est diagnostiquée jeune, que son évolution est variable et imprévisible, elle va avoir un fort retentissement à tous les niveaux de la vie de la personne concernée, dans sa vie privée, professionnelle et socio-relationnelle. Symptôme invisible, la fatigue est l'un des symptômes les plus fréquemment rapportés dans la SEP, et ce dès le début de la maladie: jusqu'à 86% des personnes atteintes de SEP éprouvent de la fatigue à un moment donné de leur parcours et 65% la considèrent comme l'un des trois symptômes les plus invalidants, devant les troubles de la marche et de l'équilibre et les troubles génito-sphinctériens. La fatigue est souvent la cause d'un arrêt précoce de l'activité professionnelle. Le poids des symptômes, visibles et invisibles, l'incertitude, l'imprévisibilité des poussées et le risque de séquelles, sont autant de sources d'anxiété et font le creuset des troubles psychiques, en particulier de la dépression. Sur le plan psychologique, plus de la moitié des patients a fait au moins un épisode dépressif et les troubles anxieux touchent entre un tiers et la moitié de la population. Dans ce chapitre, nous présenterons deux programmes d'intervention en cours d'étude: un programme de gestion de la fatigue et un programme d'activité physique plus polyvalent dans ses objectifs. Nous nous intéresserons également au problème complexe de la dépression et des difficultés diagnostiques dans cette pathologie.
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Marcelli, Daniel. "Troubles Anxieux, Symptômes et Organisation D'apparence Névrotique." In Enfance et psychopathologie, 354–95. Elsevier, 2009. http://dx.doi.org/10.1016/b978-2-294-70703-2.50015-2.

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Marcelli, Daniel, and David Cohen. "Troubles anxieux, symptômes et organisation d’apparence névrotique." In Enfance et Psychopathologie, 353–89. Elsevier, 2012. http://dx.doi.org/10.1016/b978-2-294-10368-1.00015-2.

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Quaderi, André. "Méthodologie des ateliers thérapeutiques auprès des patients atteints de la maladie d'Alzheimer et maladies apparentées." In Méthodologie des ateliers thérapeutiques auprès des patients atteints de la maladie d'Alzheimer et maladies apparentées, 89–95. In Press, 2016. http://dx.doi.org/10.3917/pres.engas.2016.01.0090.

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Le choix de cette fiche porte sur la médiation thérapeutique par les aliments, auprès des patients souffrant de maladie d’Alzheimer et troubles apparentés (MAA), et présentant des symptômes variés, notamment anxieux. Le protocole de cet atelier est simple, dans la mesure où il intègre l’ensemble des habitudes liées à la confection d’un repas, et surtout, fait appel aux capacités procédurales la plupart du temps conservées dans ce type de pathologie.
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Rossignol, Mandy. "Chapitre 6. Expressions faciales émotionnelles et biais émotionnels dans les troubles dépressifs et anxieux." In Psychopathologie et neurosciences, 149. De Boeck Supérieur, 2008. http://dx.doi.org/10.3917/dbu.campa.2008.01.0149.

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DELANNOY, Pauline, and Justine GAUGUE. "« Est-ce qu’il pourra guérir un jour ? »." In Le patient et son entourage, 145–64. Editions des archives contemporaines, 2023. http://dx.doi.org/10.17184/eac.7286.

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Abstract:
L’annonce d’un diabète de type 1 (DT1) chez un enfant bouleverse durablement l’ensemble du système familial, où chaque membre de la famille peut être confronté à des difficultés émotionnelles. Parmi l’entourage proche, les frères et sœurs sont également concernés par cette réorganisation soudaine à laquelle ils doivent s’ajuster. Dès lors, ce chapitre a pour objectif d’évaluer l’anxiété et la dépression chez ces fratries à travers un double regard : en autoévaluation et en hétéro-évaluation par l’un des deux parents. De plus, nous avons tenté de comprendre leurs difficultés liées à la maladie de leur frère ou sœur DT1. Les résultats montrent que les frères et sœurs présentent globalement un état anxieux et dépressif dans la normale. En revanche, les parents tendent à percevoir davantage de signes anxieux et dépressifs chez les frères et sœurs d’enfants ayant un DT1 que les frères et sœurs eux-mêmes. Bien que, d’un point de vue psychopathologique, les frères et sœurs aillent bien, ils témoignent de préoccupations majeures au sujet du DT1 de leur frère ou sœur et semblent impliqués dans la gestion de la maladie de celui-ci. Cela nous amène donc à réfléchir à la prise en charge des frères et sœurs d’enfants DT1.
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LABRELL, Florence, Hugo CÂMARA-COSTA, and Marine ERBA. "Stress maternel en cas de tumeurs cérébrales pédiatriques." In Le patient et son entourage, 103–14. Editions des archives contemporaines, 2023. http://dx.doi.org/10.17184/eac.7255.

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Abstract:
La maladie grave de l’enfant, comme le cancer, génère un stress intense chez les parents, pouvant entraîner des troubles anxieux et dépressifs. Ce chapitre propose de questionner la problématique du stress maternel dans le cas spécifique des tumeurs cérébrales pédiatriques (TCP) à partir d’une recherche française réalisée en 2019, grâce à une validation française du « Pediatric Inventory for Parents » (PIP). Les résultats ayant notamment mis en évidence les inquiétudes maternelles pour le devenir scolaire de l’enfant, l’expérience scolaire de celui-ci, et plus généralement la re-scolarisation en cas de TCP seront investiguées au travers d’une synthèse d’articles sur les dispositifs et les parties prenantes de la réinsertion scolaire. La synthèse met en exergue l’importance de facteurs essentiels à la re-scolarisation de ces enfants cérébrolésés, comme l’implication des enseignants face au handicap visible et la collaboration entre les parents et les enseignants.
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Lemaitre, Véronique. "1.Little Big Man : symptômes dépressifs en pré- et post-partum, dystocie obstétricale et processus de parentalisation." In La grossesse, l'enfant virtuel et la parentalité, 559. Presses Universitaires de France, 2004. http://dx.doi.org/10.3917/puf.misso.2004.01.0559.

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BRABANT, Marie-Ève, Martine HÉBERT, and François CHAGNON. "SYMPTÔMES DÉPRESSIFS, IDÉATIONS SUICIDAIRES ET TENTATIVES DE SUICIDE CHEZ DES ADOLESCENTS AYANT VÉCU UNE AGRESSION SEXUELLE." In L'agression sexuelle envers les enfants - Tome 2, 55–90. Presses de l'Université du Québec, 2012. http://dx.doi.org/10.2307/j.ctv18ph433.5.

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