Academic literature on the topic 'Spécificité d’Association'

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Journal articles on the topic "Spécificité d’Association"

1

Coiquaud, Urwana. "La représentation collective des travailleurs précaires : évolution et défis contemporains." Articles 66, no. 4 (January 17, 2012): 631–54. http://dx.doi.org/10.7202/1007637ar.

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Abstract:
En 2001, 2007 et 2011, les juges de la Cour suprême du Canada ont reconnu par une série d’arrêts le droit à la négociation collective comme un droit dérivé de la liberté d’association, liberté constitutionnelle prévue à la Charte canadienne des droits et libertés. Ces arrêts sont venus souffler un vent d’espoir pour les travailleurs précaires souvent tenus à l’écart des mécanismes de représentation et de négociation collective de leurs conditions de travail par un syndicat. Cet article analyse comment la législation et même l’action collective, jadis pilier du développement de la représentation collective, ont pu constituer des obstacles au développement de la représentation collective des travailleurs précaires. Ensuite, il examine comment aujourd’hui la Cour suprême favorise l’accès à la représentation collective de certains travailleurs « précaires » en reconnaissant la spécificité du travailleur, du travailleur précaire et en accordant une plus vaste portée à la garantie constitutionnelle de la liberté d’association. Puis, l’article analyse les retombées de ces développements sur la scène judiciaire québécoise à l’égard des responsables d’un service de garde et des travailleurs migrants agricoles, avant de discuter de la place du pouvoir judiciaire dans cette évolution. Nos travaux démontrent qu’aujourd’hui les tribunaux semblent avoir pris le relais du législateur et fournissent un terreau fertile pour l’épanouissement de la représentation collective des précaires.
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2

Duboeuf, S., F. Flourié, R. Courbil, E. Rigal, F. Cognasse, and O. Garraud. "Allo-anticorps érythrocytaires : spécificités et études d’associations en région Auvergne-Loire." Transfusion Clinique et Biologique 17, no. 5-6 (December 2010): 418. http://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2010.09.091.

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3

de Maillard, Jacques, and Mike Rowe. "Les contrôles policiers en Europe." Futuribles N° 459, no. 2 (February 16, 2024): 63–77. http://dx.doi.org/10.3917/futur.459.0063.

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Abstract:
La question des violences policières, très prégnante dans le débat public aux États-Unis depuis très longtemps, s’est aussi installée dans les débats français et prend une place croissante, sous l’effet de la médiatisation d’incidents majeurs et de l’intervention d’associations ou citoyens pour porter ces problématiques. Parmi les sujets jugés préoccupants en la matière, les contrôles de police — qui sont parfois à l’origine de telles violences — figurent en bonne place ; ils constituent l’objet principal de cet article. S’appuyant sur un projet de recherche européen, Jacques de Maillard et Mike Rowe proposent une analyse des contrôles policiers en Europe, et de la façon dont le débat public et les décideurs politiques s’en emparent. Après un rappel des facteurs ayant conduit à porter la question des contrôles de police sur la place publique, ils examinent l’impact de cette présence accrue dans les débats sur la manière dont ces contrôles sont perçus, et plus ou moins encadrés, dans différents pays (Allemagne, Écosse, Espagne, Autriche, Finlande…) comparativement à la France, notamment en fonction du niveau de confiance prévalant entre la police et la société. Ils montrent ainsi les différentes évolutions qui ont pu se produire dans la pratique des contrôles et les politiques afférentes, en réponse aux questions soulevées dans les débats : modifications « incrémentales », un peu plus poussées voire significatives, versus inertie. Ils soulignent enfin la spécificité de la France où les réformes sont particulièrement difficiles à mettre en place et esquissent trois scénarios d’évolution possible pour le pays. S.D.
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Letranchant, A., O. Cazas, P. Hardy, A. L. Sutter-Dallay, B. Falissard, and F. Gressier. "Dépression du post-partum après aide médicale à la conception : revue de la littérature et méta-analyse." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S126. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.244.

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Abstract:
IntroductionLa dépression du post-partum (DPP) est une pathologie multifactorielle survenant chez 13 à 15 % des femmes dans l’année suivant l’accouchement . Les évènements de vie stressants ont été identifiés comme facteur de risque. Parallèlement, le recours aux traitements pour infertilité ne cesse de croître . Actuellement en France, 1 naissance sur 40 est issue de la procréation médicalement assistée (PMA). Lors de la procédure, le parcours peut être une source de stress chez la femme . Nous avons émis l’hypothèse que le risque de symptômes dépressifs et/ou DPP après aide médicale à la conception pourrait être majoré.MéthodesNous avons réalisé une revue de la littérature des études comparant la survenue de symptômes dépressifs dans le post-partum et/ou DPP entre traitement pour infertilité et grossesse spontanée à partir des bases de données Pubmed, ISI Web of Knowledge et PsycINFO jusqu’en décembre 2014. Nous avons ensuite effectué une méta-analyse des données disponibles sur DPP et aide à la conception, et une méta-analyse secondaire se focalisant sur la PMA (logiciel RevMan5).RésultatsNotre revue de la littérature, prenant en compte 18 études, ne met pas en évidence de risque majoré de symptômes dépressifs et/ou de DPP après traitement pour infertilité. Notre méta-analyse sur la DPP, prenant en compte 8 études (n = 2451), ne montre pas de différence significative entre aide médicale à la conception et grossesse spontanée (OR = 0,93 [0,67–1,31], z = 0,40, p = 0,69), sans hétérogénéité entre les études. La méta-analyse secondaire concernant les PMA, sur 6 études (n = 1773), ne retrouve également pas d’association (OR = 1,04 [0,71–1,52], z = 0,18, p = 0,86).DiscussionNotre étude ne montre pas de risque majoré de DPP après aide médicale à la conception. D’autres études sont nécessaires afin de mieux connaître les spécificités des DPP après traitement pour infertilité (selon la technique utilisée, l’origine ou la nature de l’infertilité).
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Keough, Matthew T., Roisin M. O’Connor, Jennifer Swansburg, Sean P. Barrett, David C. Hodgins, and Sherry H. Stewart. "Joint Effects of Impulsive and Self-Regulatory Process on Gambling Frequency." Journal of Gambling Issues, no. 38 (May 28, 2018). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2018.38.8.

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Abstract:
Dual process models propose that behaviour is influenced by the interactive effect of impulsive (i.e., automatic or implicit) and self-regulatory (i.e., controlled or explicit) processes. Recently, evidence from the alcohol literature demonstrates that the impulse to engage in risky behaviour is mitigated by a high capacity to self-regulate. The current study aimed to extend this model to behavioural addictions, namely frequent gambling behaviour. It was hypothesized that impulsive processes favouring gambling (positive implicit gambling cognition) would predict frequent gambling, but only if the capacity to self-regulate was low. A treatment-seeking sample of 57 adults with problem gambling (Mage = 45.20 years, 54% men) completed two Single Category Implicit Association Tests, one reflecting tension-reduction, and the other enhancement, implicit gambling cognition. Participants also completed self-report measures of past week gambling frequency and the Gambling Abstinence Self-Efficacy Scale, which provided a measure of the self-regulatory capacity to abstain from gambling when emotionally aroused. Controlling for age and gender, consistent with hypotheses, implicit tension reduction gambling cognition positively predicted gambling frequency at low (p = .046) but not at high (p =.191) self-efficacy for gambling abstinence when feeling emotionally bad. However, self-efficacy for gambling abstinence when feeling emotionally good was not supported as a moderator of the effect of implicit enhancement gambling cognition on gambling frequency. Results suggest that the cognitions inherent in the impulsive process leading to frequent gambling are tension reduction or escape-related. Furthermore, emotionally relevant nuances to the ability to self-regulate gambling do exist; these nuances may contribute to both risk model specificity and interventions.RésuméLes modèles à doubles processus indiquent que le comportement est influencé par l’effet interactif de processus impulsifs (c’est-à-dire, automatiques ou implicites) et autorégulateurs (c’est-à-dire contrôlés ou explicites). Récemment, des preuves tirées de la littérature sur l’alcool démontrent que l’impulsion à s’engager dans des comportements à risque est contrebalancée par une forte capacité d’autorégulation. La présente étude visait à étendre ce modèle aux dépendances comportementales, à savoir le comportement de jeu fréquent. On a émis l’hypothèse que des processus impulsifs favorisant le jeu (cognition de jeu implicite positive) pourraient laisser présager un jeu fréquent, mais seulement si la capacité d’autorégulation était faible. Un échantillon de 57 adultes aux prises avec problème de jeu compulsif (moyenne = 45,20 ans, 54 % d’hommes) a effectué deux tests d’association implicites à catégorie unique, l’un reflétant la réduction de tension et l’autre, la cognition de jeu implicite. Les participants ont également rempli des une auto-évaluation de la fréquence de jeu de la semaine qui précédait et l’échelle d’auto-évaluation de l’abstinence (Gambling Abstinence Self-Efficacy Scale), qui mesure la capacité de s’abstenir de jouer lorsque l’émotion est forte. En contrôlant l’âge et le sexe, et à la lumière des hypothèses, la cognition de jeu implicite prédit positivement une faible auto-efficacité liée à la fréquence de jeu (p = 0,046) et non pas une haute auto-efficacité (p = 0,191) pour ce qui est de l’abstinence au jeu en situation d’émotion négative. Cependant, l’auto-régulation pour s’abstenir de jouer lorsqu’on se sent émotionnellement bien n’était pas considérée comme un modérateur de l’effet de la cognition de jeu implicite sur la fréquence de jeu. Les résultats suggèrent que les cognitions inhérentes au processus impulsif conduisant à un jeu fréquent sont la réduction de tension ou l’évasion. De plus, il existe des nuances pertinentes sur le plan émotionnel à la capacité d’auto-réglementer le jeu; celles-ci peuvent contribuer à la fois à la spécificité du modèle de risque et aux interventions.
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Candau, Joel. "Altricialité." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.087.

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Abstract:
Deux faits signent la nature profonde de l’être humain : (i) un cerveau d’une grande plasticité et (ii) la puissance impérieuse de la culture qui se manifeste non seulement par la diversité et l’intensité de son expression, mais aussi par la forte influence qu’elle exerce rétroactivement sur le développement de notre architecture cérébrale – qui l’a rendue possible. Cette plasticité développementale, résumée dans l’idée que « nous héritons notre cerveau ; nous acquérons notre esprit » (we inherit our brains ; we acquire our minds)(Goldschmidt 2000), relève d’un processus plus général appelé « altricialité » par les éthologues. Le terme est dérivé de l’anglais altricial, mot qui vient lui-même du latin altrix : « celle qui nourrit », « nourrice » (Gaffiot 1934). Dans son acception première, l’altricialité signifie qu’une espèce n’est pas immédiatement compétente à la naissance, contrairement aux espèces dites précoces. C’est le cas, par exemple, de la plupart des passereaux qui naissent les yeux fermés et dont la survie dépend entièrement de l’aide apportée par leur entourage. Il en va de même pour notre espèce. Dans le cas des nouveau-nés humains, toutefois, s’ajoute à l’altricialité primaire une altricialité secondaire. On désigne ainsi le fait que notre cerveau n’est pleinement compétent (sur les plans cognitif, émotionnel, sensoriel et moteur) que tardivement. La force et la durée de la croissance cérébrale post-natale caractérisent cette altricialité secondaire. Du point de vue de la force, le chimpanzé Pan troglodytes, espèce animale qui nous est phylogénétiquement la plus proche, a un coefficient de croissance cérébrale de 2,5 entre la naissance et l’âge adulte, contre 3,3 chez les humains (DeSilva et Lesnik 2008). Du point de vue de la durée, on a longtemps cru que la maturité du cerveau humain coïncidait avec la puberté, mais on sait aujourd’hui que la période de surproduction et d’élimination des épines dendritiques sur les neurones pyramidaux du cortex préfrontal court jusqu’à la trentaine (Petanjeket al. 2011). Outre des contraintes obstétriques, cette maturation prolongée est probablement due aux coûts métaboliques élevés du développement cérébral (Goyal et al. 2014), un processus de co-évolution ayant favorisé l’étalement dans le temps de la dépense énergétique (Kuzawa et al. 2014). Cette forte altricialité cérébrale est propre aux êtres humains, le contrôle génétique qui s’exerce sur l’organisation somatopique de notre cortex, sur la connectique cérébrale et sur les aires d’association étant plus faible que chez le chimpanzé commun. Par exemple, deux frères chimpanzés auront des sillons cérébraux davantage similaires que deux frères humains, parce que le cerveau des premiers est moins réceptif aux influences environnementales que celui des membres de notre espèce (Gómez-Robles et al. 2015). Cette spécificité du cerveau humain est tout aussi importante que son quotient d’encéphalisation (6,9 fois plus élevé que celui d’un autre mammifère du même poids, et 2,6 fois supérieur à celui d’un chimpanzé), le nombre élevé de ses neurones (86 milliards contre 28 milliards chez le chimpanzé), la complexité de sa connectique (environ 1014 synapses), les changements néoténiques lors de l’expression des gènes (Somel et al. 2009) et son architecture complexe. Chez le nouveau-né humain, la neurogenèse est achevée, excepté dans la zone sous-ventriculaire – connectée aux bulbes olfactifs – et la zone sous-granulaire, qui part du gyrus denté de l’hippocampe (Eriksson et al. 1998). Toutefois, si tous les neurones sont déjà présents, le cerveau néonatal représente moins de 30% de sa taille adulte. Immédiatement après la naissance, sa croissance se poursuit au même taux qu’au stade fœtal pour atteindre 50% de la taille adulte vers 1 an et 95% vers 10 ans. Cette croissance concerne essentiellement les connexions des neurones entre eux (synaptogenèse, mais aussi élagage de cette interconnectivité ou synaptose) et la myélinisation néocorticale. À chaque minute de la vie du bébé, rappelle Jean-Pierre Changeux (2002), « plus de deux millions de synapses se mettent en place ! » Au total, 50% de ces connexions se font après la naissance (Changeux 2003). Cette spécificité d’Homo sapiens a une portée anthropologique capitale. Elle expose si fortement les êtres humains aux influences de leur environnement qu’ils deviennent naturellement des êtres hyper-sociaux et hyper-culturels, ce qu’avait pressenti Malinowski (1922 : 79-80) quand il soutenait que nos « états mentaux sont façonnés d’une certaine manière » par les « institutions au sein desquelles ils se développent ». Le développement du cerveau dans la longue durée permet une « imprégnation » progressive du tissu cérébral par l’environnement physique et social (Changeux 1983), en particulier lors des phases de socialisation primaire et secondaire. L’être humain a ainsi des «dispositions épigénétiques à l’empreinte culturelle » (Changeux 2002). Les effets sociaux et les incidences évolutionnaires (Kuzawa et Bragg 2012) d’une telle aptitude sont immenses. L’entourage doit non seulement aider les nouveau-nés, mais aussi accompagner les enfants jusqu’à leur développement complet, l’immaturité du cerveau des adolescents étant à l’origine de leur caractère souvent impulsif. Cet accompagnement de l’enfant se traduit par des changements dans la structure sociale, au sein de la famille et de la société tout entière, notamment sous la forme d’institutions d’apprentissage social et culturel. Les êtres humains sont ainsi contraints de coopérer, d’abord à l’intérieur de leur groupe familial et d’appartenance, puis sous des formes plus ouvertes (voir Coopération). Née de processus évolutifs anciens d’au moins 200 000 ans (Neubaueret al. 2018), l’altricialité secondaire nous donne un avantage adaptatif : contrairement à d’autres espèces, nos comportements ne sont pas « mis sur des rails » à la naissance, ce qui les rend flexibles face à des environnements changeants, favorisant ainsi la diversité phénotypique et culturelle. Cette plasticité cérébrale peut produire le meilleur. Par exemple, 15 mois seulement d’éducation musicale avant l’âge de 7 ans peuvent renforcer les connexions entre les deux hémisphères cérébraux (Schlaug et al. 1995) et induire d’autres changements structuraux dans les régions assurant des fonctions motrices, auditives et visuo-spatiales (Hyde et al. 2009). Une formation musicale précoce prévient aussi la perte d’audition (White-Schwoch et al. 2013) et améliore la perception de la parole (Du et Zatorre 2017). Cependant, comme cela est souvent le cas en évolution, il y a un prix à payer pour cet avantage considérable qu’est l’altricialité secondaire. Il a pour contrepartie un appétit vorace en énergie de notre cerveau (Pontzer et al. 2016). Il nous rend plus vulnérables, non seulement jusqu’à l’adolescence mais tout au long de la vie où, suppose-t-on, des anomalies des reconfigurations neuronales contribuent au développement de certaines pathologies neurologiques (Greenhill et al. 2015). Enfin, un risque associé au « recyclage culturel des cartes corticales » (Dehaene et Cohen 2007) est rarement noté : si ce recyclage peut produire le meilleur, il peut aussi produire le pire, selon la nature de la matrice culturelle dans laquelle les individus sont pris (Candau 2017). Par exemple, le choix social et culturel consistant à développer des industries polluantes peut provoquer des maladies neurodégénératives et divers désordres mentaux (Underwood 2017), notamment chez les enfants (Bennett et al. 2016), phénomène qui est accentué quand il est associé à l’adversité sociale précoce (Stein et al. 2016). Toujours dans le registre économique, la mise en œuvre de politiques qui appauvrissent des populations peut affecter le développement intellectuel des enfants (Luby et al. 2013), un message clé du World Development Report 2015 étant que la pauvreté est une « taxe cognitive ». Un dernier exemple : Voigtländer et Voth (2015) ont montré que les Allemands nés dans les années 1920 et 1930 manifestent un degré d’antisémitisme deux à trois fois plus élevé que leurs compatriotes nés avant ou après cette période. Bien plus souvent que d’autres Allemands, ils se représentent les Juifs comme « une population qui a trop d’influence dans le monde » ou « qui est responsable de sa propre persécution ». Ceci est la conséquence de l’endoctrinement nazi qu’ils ont subi durant toute leur enfance, notamment à l’école, en pleine période d’altricialité secondaire. En résumé, l’altricialité secondaire est au fondement (i) de l’aptitude naturelle de notre cerveau à devenir une représentation du monde et (ii) d’une focalisation culturelle de cette représentation, sous l’influence de la diversité des matrices culturelles, cela pour le meilleur comme pour le pire. Cette hyperplasticité du cerveau pendant la période altricielle laisse la place à une plasticité plus modérée à l’âge adulte puis décroît à l’approche du grand âge, mais elle ne disparaît jamais complètement. Par conséquent, loin de voir dans les données neurobiologiques des contraintes qui auraient pour seule caractéristique de déterminer les limites de la variabilité culturelle – limitation qui est incontestable – il faut les considérer également comme la possibilité de cette variabilité.
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Dissertations / Theses on the topic "Spécificité d’Association"

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Melkonian, Rémy. "Etude de la spécificité d’association béta-rhizobia-Mimosa : approches par l'écologie microbienne et la génomique fonctionnelle." Thesis, Montpellier 2, 2012. http://www.theses.fr/2012MON20195/document.

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Abstract:
Les béta-rhizobia sont des symbiotes de légumineuses retrouvées principalement associés au genre Mimosa. Les études des symbiotes de Mimosa pudica révèlent différents profils de diversité au sein des alpha (Rhizobium spp) et béta-rhizobia (Burkholderia, Cupriavidus) le long de la ceinture tropicale, les béta-rhizobia étaient toujours majoritaires dans les nodosités de cette plante hôte. Dans ce travail de thèse, nous avons étudié cette spécificité d'association béta-rhizobia/Mimosa pudica, par une approche couplant l'étude des traits symbiotiques bactériens à l'analyse des profils d'expression de leurs génomes dans les premières étapes de la symbiose, et en comparaison avec les alpha-rhizobia. Nous avons analysé les traits symbiotiques (compétitivité pour la nodulation, efficience symbiotique) au niveau intra et interspécifique de 4 espèces de béta-rhizobia et 4 d'alpha-rhizobia. Si l'efficience symbiotique est similaire parmi toutes les souches testées, différents niveaux de compétitivité ont été trouvés selon l'espèce, B. phymatum et B. tuberum étant les plus compétitives. Les tests effectués sur différentes variétés de M. pudica montrent un effet variétal sur la compétitivité de C. taiwanensis. Les traits symbiotiques mesurés expliquent en partie les profils de diversité des symbiotes de M. pudica dans les zones d'origine (Amérique du Sud) ou en zone introduite (Taiwan). Les transcriptomes de trois bactéries ayant des traits symbiotiques différents (B. phymatum STM815, C. taiwanensis LMG19424 et R. mesoamericanum STM3625) ont été comparés (par RNAseq), pour relier les différentes réponses induites par les exsudats racinaires aux traits symbiotiques de chaque rhizobium. Chaque bactérie développe une stratégie spécifique liée à ses traits symbiotiques et à l'origine de la symbiose dans son groupe bactérien
Beta-rhizobia are legume symbionts mainly found associated to the Mimosa genus. Diversity studies of Mimosa pudica symbionts in native and introduced areas reveal different diversity patterns of alpha (Rhizobium spp) and beta-rhizobia (Burkholderia, Cupriavidus), with beta-rhizobia being always the main symbionts in the nodules of this legumes species. In this thesis we have studied the symbiotic specificity between beta-rhizobia and M. pudica (and the comparison with alpha-rhizobia) by a dual approach combining the study of bacterial symbiotic traits and the analysis of their transcriptomes in the first steps of symbiosis. We analysed symbiotic traits (nodulation competitiveness, symbiotic efficiency) at intra and interspecific levels on four species of beta-rhizobia and four of alpha-rhizobia. If symbiotic efficiency is similar among all strains, different levels of competitiveness were measured with a strong strain effect largely explained by the species affiliation, B. phymatum and B. tuberum being the most competitive species. Tests on different M. pudica varieties showed an impact on the competitiveness of C. taiwanensis. Symbiotic traits explained in part the symbiont patterns observed in diversity studies in French Guiana (M. pudica native area) and Taiwan (introduced). Root-exudates induced transcriptomes of three bacteria (two beta--rhizobia: B. phymatum STM815, C. taiwanensis LMG19424 and one alpha, R. mesoamericanum STM3625) with contrasted symbiotic traits were compared (by RNAseq). Each bacterium develops a specific strategy linked to its symbiotic traits and the origin of symbiosis in its bacterial group
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Maia, Luis. "L'accord d'association Union Européenne - Chili et la spécificité chilienne dans le contexte latino-américain." Paris 3, 2008. http://www.theses.fr/2008PA030102.

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Abstract:
Le Chili et l’UE ont signé en 2002 un Accord d'association (AA) ambitieux et innovateur basé sur trois piliers: politique, commercial et de coopération. Pourquoi l’UE a-t-elle signé un tel accord avec un pays de 15 millions d’habitants comme le Chili? Cet accord n’est-il pas en contradiction avec la politique de l’UE d’appui à l’intégration régionale? La « spécificité chilienne », liée à de bonnes performances économiques, à une compétitivité externe élevée et à des niveaux de corruption bas, a conforté la décision prise par l’UE de signer l’AA avec le Chili. Par ailleurs, pendant les années 1990 un contexte favorable s’est développé au sein de l’UE et au Chili qui a favorisé leur rapprochement. L’UE était aussi convaincue que le Chili deviendrait membre à part entière du Mercosur et pour cette raison décida d’entamer des négociations pour la réalisation des AA avec le Chili et le Mercosur en parallèle. Avec cette stratégie elle voulait renforcer ses relations avec le Chili en vue d’une possible association et promouvoir l’intégration régionale en créant des liens entre les deux processus en vue d’une intégration du Chili dans le Mercosur. Quand en juin 2000 le Chili a informé la partie européenne qu’il ne deviendrait pas membre à part entière du Mercosur, la nouvelle équipe dirigeante des négociateurs de la Commission européenne a accepté cette position. Les négociations avec le Mercosur étant de fait bloquées et l’adhésion pleine du Chili au Mercosur n’étant plus à l’ordre du jour, l’UE a essayé par cet accord de renforcer sa présence politique et commerciale dans un pays qu’elle percevait comme un facteur de stabilité régionale et comme «modèle»
In 2002, Chile and the European Union signed an ambitious and innovative Association Agreement (AA) based on three pillars: political, trade and cooperation. Why did the EU sign such an accord with a country of 15 million people like Chile? Was this agreement not in contradiction with the EU’s policy of supporting regional integration? In fact, the “Chilean specificity” - characterized by the country’s good economic performance, strong competitive position internationally, and low levels of corruption - reinforced the EU’s decision to sign the AA with Chile. In addition, developments during the 1990s within both the EU and Chile favoured their rapprochement. The EU was also convinced that Chile would become a full member of Mercosur and as a result decided to begin AA negotiations with Chile and Mercosur in parallel. With this strategy, the EU aimed to both reinforce its ties with Chile ahead of a possible association agreement and promote regional integration by creating a link between the two processes, in view of Chile’s integration into Mercosur. When Chile informed the Europeans in June 2000 that it would not become a full member of Mercosur, the new team of European Commission negotiators accepted this position. With their talks with Mercosur at a standstill and Chile’s membership in that bloc off the table, the focus shifted to using the AA with Chile to reinforce the EU’s political and trade presence in a country it viewed as a “model” and a factor that contributed to regional stability
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