Journal articles on the topic 'Souris de laboratoire – Embryons'

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1

HOUDEBINE, L. M. "Les manipulations génétiques : comment améliorer la croissance." INRAE Productions Animales 3, no. 3 (July 4, 1990): 207–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.3.4377.

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Abstract:
Les récents développements de la génétique moléculaire offrent désormais la possibilité d’isoler virtuellement n’importe quel gène, de le muter in vitro, de modifier ses éléments régulateurs, de le réintroduire dans des cellules ou des organismes entiers (transgénèse) et donc, de moduler à volonté une fonction physiologique donnée. Ces possibilités ont été et sont encore appliquées à la fonction de croissance. Ainsi, les gènes du GRF (Growth Releasing Factor), de la GH (Growth Hormone) et de l’IGF1 (Insulin-like Growth Factor) ont été introduits dans des embryons de divers animaux. Ces transgènes se sont exprimés et ont conduit à une accélération de la croissance et à une augmentation de la taille des animaux accompagnée d’un assez profond changement de leur métabolisme. L’incapacité de moduler finement l’expression des transgènes chez les animaux transgéniques se traduit par une sécrétion exacerbée des hormones qui, elle-même, induit une série de désordres physiologiques rendant les animaux transgéniques peu performants. La transgénèse, si elle est devenue une routine chez la souris dans un certain nombre de laboratoires, reste difficilement réalisable à grande échelle chez la plupart des animaux domestiques. Des études approfondies sur les mécanismes de contrôle de l’expression des transgènes et sur les méthodes de transgénèse doivent donc être menées à bien pour que les manipulations génétiques deviennent une réalité dans les techniques d’élevage.
2

Rowe-Pirra, William. "Pseudo-embryons en laboratoire." Pour la Science N° 514 - août, no. 8 (May 4, 2020): 13b. http://dx.doi.org/10.3917/pls.514.0013b.

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3

Diaite, Amadou, A. Gueye, Yaya Thiongane, Moustapha Lo, T. N. Dieye, and Georges Vassiliades. "Observation dans les Niayes du Sénégal d'une souche de Trypanosoma (Duttonella) vivax transmissible d'un bovin à des souris par la seringue." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 51, no. 2 (February 1, 1998): 127–29. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9638.

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Abstract:
Une souche de Trypanosoma (Duttonella) vivax isolée dans la région des Niayes du Sénégal a pu être transmise à des souris de laboratoire (Balb/c). La parasitémie a été suivie après son apparition pendant plus de 100 jours chez l'une des souris. Cette observation confirme que T. vivax peut être spontanément transmissible aux rongeurs.(Résumé d'auteur)
4

Byrom, B., Suman M. Mahan, and Anthony F. Barbet. "Le développement d’anticorps contre Cowdria ruminantium chez la souris et leur rôle dans la cowdriose." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no. 1-2 (January 1, 1993): 197–201. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9361.

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Abstract:
Les réponses immunitaires contre Cowdria ruminantium ont été étudiées en utilisant des souris DBA/2 et Balb/c comme modèle. Les deux souches de souris ont été inoculées avec 1, 10 ou 100 DL50 de C. ruminantium (stock Crystal Springs). Des anticorps contre C. ruminantium ont commencé à se développer dans la deuxième semaine après l'inoculation et le titre d'anticorps dépendait de la dose de C. ruminantium inoculée. Le rôle possible des anticorps sur la maladie a été recherché au moyen des tests de neutralisation in vitro, utilisant des sérums de souris et de bovins. Les résultats ont montré que les sérums hyperimmuns des souris DBA/2 et Balb/c étaient capables de neutraliser l'infection in vitro, celui des souris DBA/2 montrant l'effet neutralisant le plus fort. Deux sérums de bovins, l'un d'un animal infecté au laboratoire et l'autre provenant d'un mélange de sérums de deux animaux infectés naturellement, ont également montré un effet neutralisant.
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GOCKO, X., and C. PLOTTON. "Controverses et origine de Sars-CoV-2." EXERCER 32, no. 175 (September 1, 2021): 316–19. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2021.175.316.

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Abstract:
Les origines du Sars-CoV-2 sont l’objet de discussion depuis son origine dans le monde entier et dans les consultations de médecine générale. Cette synthèse présente les principales controverses en rapport avec la question et des arguments en faveur des différentes hypothèses : l’émergence du virus, le rôle des chauves-souris, d’un hôte intermédiaire et l’éventualité d’un accident de laboratoire.
6

Maurin-Blanchet, H. "A propos d’un cas de toxico-pathologie chez des souris de laboratoire." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, no. 4 (1986): 443. http://dx.doi.org/10.4267/2042/64810.

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7

Guerin, B., J. P. Builly, P. Humblot, M. Nibart, and M. Thibier. "Effets de la contamination expérimentale in vitro des embryons de souris et de brebis par Campylobacter fetus." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, no. 1 (1988): 63. http://dx.doi.org/10.4267/2042/64519.

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8

Gama, Andrea, Linamary Perea, Catalina Yepes, Jhon J. Betancur, Jorge Vargas, Jerôme Amiaud, Sylvie Babajko, Frédéric Lezot, and Beatriz Castaneda. "Effets de l’inhibition post-natale de RANKL sur l’éruption et la formation radiculaire des molaires de souris C57BL/6." L'Orthodontie Française 90, no. 1 (March 2019): 55–63. http://dx.doi.org/10.1051/orthodfr/2019008.

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Abstract:
Introduction : Des observations récentes effectuées dans le service d’ODF de la Pitié-Salpêtrière à Paris montrent une augmentation des altérations de l’éruption des molaires permanentes non-familiales. Nos travaux récents au laboratoire montrent l’implication des ostéoclastes (OC) dans les processus d’éruption et de rétention dentaires avec implication de la voie de signalisation RANKL/RANK/OPG. Ces faits nous ont amenés à émettre l’hypothèse d’une étiologie environnementale à l’origine de ces défauts d’éruption qui correspondrait à la perturbation des voies de signalisation cellulaires autocrines/paracrines telles que la voie RANKL/RANK/OPG. Matériels et méthodes : Des souris C57BL/6 ont subi des injections d’anticorps anti- RANKL à intervalles réguliers au cours des neuf premiers jours après la naissance. Une comparaison phénotypique avec les souris transgéniques RANK a permis la caractérisation fonctionnelle de la voie RANK/RANKL. Le complexe dento-alvéolaire a été analysé par micro-CT pour la densité osseuse, et la coloration au trichrome de Masson pour les examens histologiques. Résultats : L’invalidation transitoire de RANKL a conduit à un arrêt du développement radiculaire des molaires et l’inhibition de l’éruption dentaire contrairement au phénotype des souris surexprimant RANK. Le recrutement et l’activité des ostéoclastes ont été fortement altérés. Discussion : Ces recherches présentent un intérêt clinique tant direct concernant la compréhension des pathologies de l’éruption qu’indirect pour l’établissement des protocoles de traitements orthodontiques pour les cas particuliers.
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Milon, G. "Listeria monocytogenes : interaction avec le système immunitaire d'un hôte expérimental, la souris de laboratoire." Médecine et Maladies Infectieuses 25 (February 1995): 219–24. http://dx.doi.org/10.1016/s0399-077x(05)81059-5.

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de Mestre, Amanda M. "Causes génétiques d’avortement chez la jument." Le Nouveau Praticien Vétérinaire équine 17, no. 58 (2023): 40–47. http://dx.doi.org/10.1051/npvequi/2023033.

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Abstract:
L’avortement survient le plus souvent au cours des deux premiers mois après la fécondation pendant la période d’organogenèse et de développement rapide du fœtus. Pour les vétérinaires, les avortements non-infectieux représentent depuis longtemps un véritable défi, car leurs causes sous-jacentes restent méconnues. Les progrès réalisés ces dernières années ont mis en lumière le rôle également important que jouent les troubles génétiques dans la détermination du sort des embryons. Chez la jument, trois troubles génétiques responsables d’avortement ont été décrits. Le plus courant est l’aneuploïdie, qui représente la perte ou le gain d’un chromosome entier. Elle a été identifiée dans les ovocytes des juments ainsi que dans le tissu des avortons et peut être diagnostiquée rétrospectivement à l’aide de tests génétiques réalisés sur les tissus des avortons. Les polymorphismes mononucléotidiques (SNP) sont plus rares et concernent deux gènes, PLOD1 et B3GALNT2. Ils ont été associés à des avortement survenant après 70 jours de gestation. L’accouplement d’un étalon porteur à une jument porteuse peut être à l’origine du syndrome du poulain fragile et de l’hydrocéphalie congénitale. La meilleure approche pour éviter de tels cas est de ne pas accoupler deux animaux porteurs. Les tests génétiques préimplantatoires commencent à se développer et pourraient représenter une approche alternative applicable aux embryons générés in vitro afin de ne pas transférer ceux renfermant des cellules aneuploïdes ou homozygotes pour les SNP. Enfin, les translocations structurelles du génome de la jument sont associées à des avortements répétés, et peuvent être diagnostiquées en envoyant un échantillon du sang de la jument à un laboratoire de génétique.
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B, Mikolo, Etou Ossibi A.W, Miamb L.R., and Abena A.A. "Evaluation des toxicités aigue et subaiguë de l’extrait aqueux des feuilles de Tetracera potatoria Ex. G. Don chez les rongeurs de laboratoire." Journal of Animal and Plant Sciences 45, no. 3 (September 30, 2020): 7980–91. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v45-3.3.

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Abstract:
1 RESUME Tetracera potatoria est une plante médicinale utilisée traditionnellement en Afrique contre quelques maladies infectieuses. La consommation exagérée des produits de cette plante, tout comme pour ceux des autres plantes, peut présenter des risques d’intoxication pour les consommateurs. Le but de ce travail a donc été d’explorer les activités toxicologiques aiguë et subaiguë de l’extrait aqueux de cette plante chez les souris et les rats en vue de garantir la sécurité des consommateurs de cette plante. L’extrait aqueux des feuilles de T. potatoria récoltées dans le département de la Bouenza a été administré aux souris et rats tests et de l’eau distillée aux témoins. Les effets de cet extrait sur le comportement, l’état général, la mortalité des souris ont été observés et les paramètres biochimiques et hématologiques analysés selon les méthodes classiques. Concernant la toxicité aiguë, l’administration d’une dose unique de 5 000 mg/Kg aux souris n’a pas eu d’effets significatifs sur le comportement, la prise de poids et la prise alimentaire ainsi que sur les paramètres biochimiques et hématologiques. Concernant la toxicité subaiguë, par contre, l’administration quotidienne d’une dose de 2000 mg/kg pendant 28 jours aux rats a entrainé des modifications du poids corporel et de certains paramètres biochimiques et hématopoïétiques. Au terme de ce travail, il ressort que l’administration unique de la dose de 5000 mg/kg ne provoque pas des signes de toxicité chez la souris. En traitement subaiguë, cet extrait à 2000 mg/kg provoque une modification significative de quelques paramètres biochimiques et hématologiques chez le rat, sans avoir d’effets significatifs sur les organes nobles. SUMMARY Tetracera potatoria is a medicinal plant used traditionally in Africa against some infectious diseases. The excessive consumption of the products of this plant, as for those of other plants, can present risks of intoxication for the consumers. The aim of this work was therefore to explore the acute and subacute toxicological activities of the aqueous extract of mice and rats in order to guarantee the safety of users of this plant. An aqueous extract of the leaves of T. potatoria, harvested in the department of Bouenza, was administered to the test mice and rats 7980 Mikolo et al., 2020 Journal of Animal & Plant Sciences (J.Anim.Plant Sci. ISSN 2071-7024) Vol.45 (3): 7980-7991 https://doi.org/10.35759/JAnmPlSci.v45-3.3 and distilled water to the controls. The effects of this extract have been analyzed. Regarding acute toxicity, the administration of a single dose of 5000 mg/Kg to mice had no significant effects on behaviour, weight gain and food intake as well as on biochemical parameters and hematopoietic. Regarding sub-acute toxicity, on the other hand, the daily administration of a dose of 2000 mg/kg for 28 days to rats resulted in changes in body weight and certain biochemical and hematopoietic parameters. This work indicates that the single administration of the 5000 mg/kg dose does not cause signs toxicity in mice. In sub-acute treatment, this extract at 2000 mg/kg causes a significant modification of some biochemical and hematological parameters in rats, without having significant effects on noble organs.
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COUROT, M., and P. VOLLAND-NAIL. "Conduite de la reproduction des mammifères domestiques : présent et futur." INRAE Productions Animales 4, no. 1 (February 5, 1991): 21–29. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.1.4314.

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Abstract:
Les techniques modernes de reproduction appliquées aux mammifères domestiques ont pour but d’accroître l’efficacité de la production de jeunes dans les conditions choisies par les éleveurs. Cette revue présente les différentes techniques disponibles pour atteindre un tel objectif. Pour les mâles, en plus de l’utilisation de semence par insémination artificielle désormais possible chez toutes les espèces domestiques, l’accent est mis sur deux stratégies : d’une part, distribuer par insémination intra-utérine un petit nombre de spermatozoïdes des meilleurs reproducteurs (sur un plan génétique) à un maximum de femelles avec les plus grandes chances de fécondation, d’autre part, maintenir en permanence les mâles d’espèces saisonnées au maximum de leurs capacités de production spermatique par un régime photopériodique approprié. Pour les femelles, des techniques efficaces de contrôle de l’oestrus et de l’ovulation étant maintenant disponibles pour toutes les espèces domestiques, la reproduction peut être conduite au moment choisi par l’éleveur. Des techniques de reproduction plus complexes ont été développées avec la manipulation des embryons dans le but de diffuser plus largement le haut potentiel génétique des meilleurs reproducteurs. Si le transfert d’embryons est parvenu à un stade de développement commercial, la fécondation in vitro et les techniques de sexage ou de clonage des embryons sont encore au stade des études de laboratoire. Ces techniques sont néanmoins présentées car elles modifieront certainement la pratique de l’élevage dans l’avenir. En vue d’objectifs peut-être plus lointains, la transgenèse est aussi abordée chez les animaux domestiques. Enfin, une brève réflexion prospective évoque plusieurs aspects qui font déjà l’objet de recherches afin de mieux maîtriser ou rendre plus efficace la reproduction animale.
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Alhaj Hussen, Kutaiba, Emna Chabaane, and Bruno Canque. "Organisation bipartite de la lymphopoïèse humaine." médecine/sciences 34, no. 8-9 (August 2018): 665–70. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183408012.

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Abstract:
L’étude de l’hématopoïèse humaine a longtemps été limitée par l’accès aux prélèvements primaires de moelle osseuse. Afin de s’affranchir de cette contrainte, une approche originale de modélisation chez la souris immunodéficiente a été développée dans notre laboratoire. L’analyse de l’ensemble des populations cellulaires humaines générées dans la moelle osseuse des animaux greffés a permis d’établir une nouvelle cartographie de l’hématopoïèse humaine. Nous montrons que, contrairement aux prédictions du modèle canonique de l’hématopoïèse, la lymphopoïèse humaine présente une organisation bipartite, articulée autour de l’existence de deux familles de progéniteurs lymphoïdes identifiées par l’expression différentielle du récepteur de l’interleukine 7 (CD127). Outre leurs différences phénotypiques, les progéniteurs lymphoïdes CD127- et CD127+ se distinguent par leurs capacités de différenciation, leur dépendance vis-à-vis de facteurs de croissance, leurs modalités de restriction de potentiel, ainsi que par leurs signatures transcriptionnelles.
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ELSEN, J. M., F. BARILLET, J. VU TIEN KHANG, F. SCHELCHER, Y. AMIGUES, J. L. LAPLANCHE, J. P. POIVEY, and F. EYCHENNE. "Génétique de la sensibilité à la tremblante ovine : recherches en cours et perspectives." INRAE Productions Animales 10, no. 2 (April 7, 1997): 133–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.2.3989.

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Abstract:
Dans plusieurs espèces (homme, souris, mouton), la sensibilité aux encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) est largement contrôlée par le génotype de l’hôte. Une part majeure de la variabilité génétique observée vient d’un gène, dont plusieurs arguments permettent de penser qu’il s’agit du gène Prn-pcodant pour la protéine prion PrP, qui pourrait, selon certains auteurs, être l’agent causal de ces pathologies ou être associé à ce dernier. L’analyse moléculaire de la structure du gène Prn-p chez le mouton montre la ségrégation d’allèles différant les uns des autres par une mutation ponctuelle. Une sélection pour la résistance à la tremblante, basée sur des analyses en laboratoire du gène Prn-p, est donc envisageable dans cette espèce. La mise en place d’une telle sélection pose cependant plusieurs problèmes théoriques et pratiques : les animaux résistants pourraient-ils constituer un réservoir d’infection ? Les animaux résistants à une souche de tremblante pourraient-ils se révéler sensibles à une autre ? Le coût de cette sélection est-il acceptable ? Comment l’organiser au mieux ?
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Montagutelli, Xavier. "Les populations génétiques de référence de souris de laboratoire : une nouvelle génération de modèles animaux pour les maladies humaines." Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France, no. 4 (2015): 320. http://dx.doi.org/10.4267/2042/58195.

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Estavoyer, Benjamin, and Saidi Soudja. "Le microbiote intestinal de souris, un enjeu majeur dans la reproductibilité des résultats des modèles in vivo." médecine/sciences 34, no. 6-7 (June 2018): 609–11. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183406027.

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Abstract:
Dans le cadre d’un partenariat avec médecine/sciences, et pour la seconde année, des étudiants du module d’immunologie virologie et cancer du Master de cancérologie de Lyon présentent une analyse d’articles scientifiques récents faisant état d’observations innovantes et importantes. Ce travail a été encadré par des chercheurs confirmés du département d’immunologie, virologie et inflammation du CRCL. Le master de cancérologie de Lyon (Lyon1-VetAgroSup) accueille chaque année 30 à 40 étudiants en M1 et en M2. Ce master dit « d’excellence » assure aux étudiants de M1 une formation à la cancérologie reposant sur un socle de base commun (biologie cellulaire, moléculaire, immunologie, bio-statistique…) En M2, les étudiants peuvent choisir l’une des trois spécialités suivantes : le Master recherche « Recherche en cancérologie », le Master recherche et professionnel « Technologie haut débit en cancérologie » et enfin le Master recherche et professionnel « Innovations thérapeutiques en cancérologie ». Le Master de cancérologie de Lyon repose sur une forte implication des chercheurs et enseignants-chercheurs du laboratoire d’excellence en développement et cancérologie (LabEx DEVweCAN), ainsi que sur un partenariat solide avec plusieurs instituts dont le MIT (Massachusetts Institute of Technology, Cambridge, États-Unis), l’université d’Harvard (Boston, États-Unis), l’université Johns Hopkins (Baltimore, États-Unis), l’Imperial College of London (Royaume-Uni), les universités de Jiao Tong (République Populaire de Chine) et de Tokyo (Japon), entre autres. Pour plus d’information : http://devwecan.universite-lyon.fr/formation/
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Joshua, R. A. "Résistance médicamenteuse d'isolats récents de <em>Trypanosoma brucei</em> et <em>Trypanosoma congolense</em>." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 41, no. 4 (April 1, 1988): 359–64. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8646.

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Abstract:
Des études ont été menées sur des souris pour déterminer la sensibilité aux médicaments d’isolats récents de Trypanosoma brucei et Trypanosoma congolense. Chacune des onze souches de T. congolense et des cinq souches de T. brucei, toutes isolées sur des bovins, ont été testées pour sa sensibilité à la dose normale thérapeutique de chlorure d’isometamidium, d’acéturate de diminazène et de chlorure d’homidium. Simultanément des examens de contrôle ont été effectués sur des souches de laboratoire caractérisées de T. brucei et T. congolense. Six souches de T. congolense étaient résistantes à l’acéturate de diminazène à la dose de 3,5 mg/kg ; une seule souche s’est révélée résistante à 7 mg/kg. Dix isolats du groupe de T. congolense étaient résistants au chlorure d’homidium à 1 mg/kg. Tous les isolats de T. congolense étaient sensibles au chlorure d’isometamidium à 0,5 mg/kg. Du groupe de T. brucei, deux étaient résistants à l’acéturate de diminazène à 7 mg/kg alors que tous étaient résistants au chlorure d’homidium, même à 3 mg/kg. Tous les isolats de T. brucei étaient sensibles au choride d’isometamidium à 0,5 mg/kg. Les trypanosomes témoins étaient immédiatement sensibles aux trois médicaments aux doses thérapeutiques normales.
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KOURILSKY, Philippe. "De la souris à l’homme et de la paillasse (du laboratoire) au lit du maladeFrom mice to men and bench to bed." La lettre du Collège de France, no. 34 (July 1, 2012): 9. http://dx.doi.org/10.4000/lettre-cdf.2458.

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Francuz, B., C. Ponvert, and D. Choudat. "Allergie professionnelle aux petits rongeurs chez les personnels de laboratoire : à propos d'un cas d'asthme aux allergènes de rat et de souris." Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique 44, no. 5 (September 2004): 476–82. http://dx.doi.org/10.1016/j.allerg.2004.07.006.

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C. GLITHO, Sonya, Yves-Nathan T. TIAN-BI, Nana Rose DIAKITÉ, Cyrille Koffi KONAN, and Eliézer Kouakou N’GORAN. "Caractérisation biologique de Schistosoma haematobium, S. bovis et leurs hybrides chez l’homme et chez les mollusques Bulinus truncatus naturellement infestés, au Centre et Nord de la Côte d’Ivoire." Journal of Applied Biosciences 158 (February 28, 2021): 16340–50. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.158.8.

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Abstract:
Objectif : Identifier les espèces Schistosoma haematobium, S. bovis et leurs hybrides et, évaluer la compatibilité des schistosomes avec les mollusques hôtes intermédiaires et la souris blanche (Mus musculus albinos), hôte définitif, en infestation expérimentale. Méthodologie et résultats : Des schistosomes ont été obtenus à partir de bulins infestés naturellement ou expérimentalement avec des miracidiums provenant des urines de l’homme. Ils ont permis d’étudier la compatibilité de quatre populations de Bulinus truncatus avec deux souches du groupe S. haematobium. La chronobiologie cercarienne a été étudiée à partir de quatre tranches horaires : 6-10h, 10-12h, 12-15h et 15- 18h. Des souris blanches infestées expérimentalement, ont été perfusées pour dénombrer les vers adultes. Une meilleure compatibilité schistosome-mollusque a été observée au niveau des infestations sympatriques. Le pic d’émergence cercarienne pour les mollusques naturellement infestés a été observé entre 6-10h, 10h15h et à 15-18h, tandis que celui des bulins infestés expérimentalement a été majoritairement observé entre 10-15h. En termes de nombre de vers collectés, les souris blanches ont été plus permissives aux schistosomes provenant des mollusques naturellement infestés. Conclusion et application des résultats : Les pics d’émergence cercarienne précoce (6-10h) et tardif (15-18h) pourraient être liés à S. bovis, tandis que celui de 10-15h correspondrait à S. haematobium. De même, en raison de la très faible compatibilité connue entre Mus musculus albinos et S. haematobium, les schistosomes auxquels les souris blanches ont été plus permissives sont fort probablement des S. bovis et/ou hybrides S. bovis x S. haematobium. Ainsi, les espèces anthropophiles et celles zoophiles du groupe Schistosoma haematobium peuvent être distinguées de manière routinière par deux approches. La première, en disséquant des souris de laboratoire (Mus musculus albinos) 4 mois après leur mise au contact de l’eau contenant des cercaires obtenues après exposition à la lumière de mollusques infestés prélevés sur le terrain ; la seconde en comparant les profils obtenus après dénombrement des cercaires émises au cours de quatre tranches horaires bien choisies. Mots clés : Bulinus truncatus, Schistosoma haematobium, Schistosoma bovis, Caractérisation, Chronobiologie. Glitho et al., J. Appl. Biosci. 2021 Caractérisation biologique de Schistosoma haematobium, S. bovis et leurs hybrides chez l’homme et chez les mollusques Bulinus truncatus naturellement infestés, au Centre et Nord de la Côte d’Ivoire. 16341 ABSTRACT Objective: Identify the species Schistosoma haematobium, S. bovis and their hybrids; to evaluate the compatibility of schistosomes with intermediate host snails and the white mouse (Mus musculus albinos), the definitive host for experimental infestation. Methodology and results: Schistosomes have been obtained from naturally or experimentally infested snails with miracidiums from human urine. The compatibility of four populations of Bulinus truncatus with two strains of the S. haematobium group was studied. The chronobiology of cercariae was studied in four time slots: 6- 10h, 10-12h, 12-15h and 15-18h. Experimentally infested white mice were perfused and adult worms were collected. A better schistosome-snail compatibility was observed in sympatric infestations. The peak of cercarial emergence for naturally infested snails was at 6-10h, 10h-15h and 15-18h, while that of the snails experimentally infested was mostly observed at 10-15h. In terms of number of worms collected, white mice were more permissive to schistosomes from naturally infested snails. Conclusion and application of results: Early (6-10h) and late (15-18h) cercarial emergence peaks can be related to S. bovis, while the 10-15h peak correspond to S. haematobium. Due to the reported low compatibility between the white mice Mus musculus albinos and S. haematobium, the observed schistosomes permissive to the white mice are most likely S. bovis and/or hybrids S. bovis x S. haematobium. Therefore, anthropophilic and zoophilic species of the Schistosoma haematobium group can be routinely distinguished by two approaches. The first, dissecting laboratory mice (Mus musculus albinos) 4 months after their contact with water containing cercariae obtained after exposure to light from infested snails collected in the field; the second by comparing the profiles obtained after enumeration of cercariae emitted during four well-chosen time slots. Keywords: Bulinus truncatus, Schistosoma haematobium, Schistosoma bovis, hybrid, Characterization, Chronobiology.
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Haras Nationaux, INRA. "Dossier : Actualités en reproduction équine." INRAE Productions Animales 12, no. 5 (July 1, 1999): 331–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.5.3901.

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Abstract:
La production par une jument d’un poulain par an (et pourquoi pas de plusieurs) avec de la semence d’étalon conservée fraîche ou congelée est l’objectif appliqué actuel de toutes les équipes de recherche. Un point très détaillé en français dans les domaines couverts par notre équipe avait été fait en 1992 dans le Recueil de Médecine vétérinaire (volume 168, numéro 11-12). Depuis, de nouvelles connaissances ou de nouvelles technologies ont vu le jour et il était important de les mettre à disposition d’un large public. Le phénomène d’inactivité ovarienne en début de saison de monte limite le nombre de cycles disponibles pour une fécondation. Des études ont permis d’affiner les conditions des traitements lumineux. Des traitements longs à la mélatonine pourraient permettre de décaler le rythme annuel de reproduction de la jument. Le développement des follicules ovariens est sous le contrôle des hormones hypophysaires FSH et LH, et de facteurs intra-ovariens dont l’inhibine. La maîtrise du nombre d’ovulations permettrait (lors de transfert embryonnaire) de pouvoir produire plusieurs embryons par cycle. Des essais de superovulation sont en cours qui utilisent la FSH exogène ou l’effet anti-inhibine. La maîtrise du moment de l’ovulation peut se faire classiquement par injection d’hCG mais aussi par l’administration de GnRH sous forme d’implant. La croissance et la maturation du follicule dominant, ainsi que l’atrésie des follicules dominés, se caractérisent par l’évolution intrafolliculaire de nombreux paramètres biochimiques dont certains ont été étudiés dans l’espèce équine. Sous échographie transvaginale, le rythme de collecte d’ovocytes le plus rentable est de deux ponctions au cours du même cycle (l’une en fin de croissance folliculaire, l’autre en phase lutéale) : on obtient alors 9 ovocytes en moyenne. La maturation de l’ovocyte provient des maturations respectives du cumulus, du cytoplasme et du noyau. La fécondation in vitro (FIV) n’ayant donné que des résultats moyens, d’autres techniques de reproduction assistée sont utilisées actuellement avec plus de succès au laboratoire : 1) la mise en place de l’ovocyte d’une donneuse soit dans l’oviducte (GIFT), soit dans le follicule (TOIF) d’une receveuse, avec fécondation de la receveuse et 2) l’introduction d’un spermatozoïde directement dans le cytoplasme de l’ovocyte (ICSI). Le transfert d’embryon est utilisé sur le terrain en France principalement pour des juments de haute valeur génétique. Le transport d’embryons frais, mais surtout l’utilisation de la congélation des embryons, simplifieront la gestion entre donneuse et receveuse. La baisse de fertilité observée sur les étalons de plus de 15 ans est fréquemment associée à un profil hormonal caractéristique (niveau basal de FSH et de LH élevé, d’oestrogène diminué, niveau de testostérone non modifié après induction à l’hCG). Ceci pourrait être la conséquence d’une dégénérescence testiculaire primaire. L’évolution des travaux sur la conservation de la semence a abouti à la mise au point de deux grands types de techniques d’insémination : en semence fraîche et en semence congelée. Les résultats obtenus dans les Haras Nationaux montrent que la fertilité par cycle est proche pour les deux types de technique. L’effort doit porter en partie sur des améliorations techniques qui permettront d’avoir accès à toutes les techniques de conservation et d’insémination artificielle pour la grande majorité des étalons. Les critères d’évaluation de la qualité de la semence utilisés en routine (examen de la mobilité essentiellement) ne donnent pas entièrement satisfaction puisqu’ils ne permettent pas de "détecter" certains étalons dont la fertilité se révèle réduite. La plupart des fonctions cellulaires des spermatozoïdes peuvent être explorées : intégrité des membranes, de l’acrosome, stabilité de la chromatine, activité des mitochondries... Cependant les relations de ces fonctions entre elles et, surtout, les relations entre ces fonctions et la fertilité ne sont pas encore très claires.
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Oyedum, U. M., F. A. Kuta, S. A. Garba, and S. O. Enejiyon. "Comparative analysis of the phytochemical and antibacterial activity of the root extracts of Euphorbia heterophylla and Vitellaria paradoxa." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, no. 4 (September 27, 2021): 504–14. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i4.11.

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Abstract:
Background: Over time, herbal plants and their various components have been major sources of therapeutic medicine for man. A comparative study was carried out to determine the phytochemical components and antibacterial activities of the different crude extracts of Euphorbia heterophylla and Vitellaria paradoxa roots on four enteric bacteria; Salmonella typhi, Shigella flexneri, Escherichia coli and Proteus vulgaris.Methodology: Root samples of E. heterophylla and V. paradoxa were collected, washed, air dried and processed to fine powder in the microbiology laboratory of Federal University of Technology, Minna, Nigeria. Crude extract of the root samples was done by the cold maceration technique using four solvents (chloroform, methanol, petroleum ether and water). Phytochemical analysis of the extracts was done using previously described technique, and in vitro antibacterial activities of different concentrations of the extracts (50-200 mg/ml) and a standard antibiotic (ciprofloxacin) were tested on four enteric bacteria (S. typhi, S. flexneri, E. coli, P. vulgaris) by the agar diffusion test. In vivo antibacterial activities of the two plants were also tested by daily oral administration of 2000 mg/kg bodyweight (for 7 days) of each extract on inbred mice infected through intraperitoneal inoculation of an infective dose of each of the four enteric bacteria. Data were computed as mean ± standard error and analysed by the Statistical Analysis System (SAS) version 9.4. Associations between variables were determined using analysis of variance (ANOVA), with p < 0.05 considered as significant value.Results: Phytochemical analysis of the crude extracts of both plants revealed the presence of cardiac glycosides, saponins, alkaloids, flavonoids, and tannins but V. paradoxa contain more carbohydrates and starch, and less phlobatannins, compared to E. heterophylla. In vitro assay showed dose-dependent antibacterial activity of the methanol, aqueous and chloroform (but not petroleum ether) extracts of the two plant roots. The in vitro antibacterial activities of the different extracts of V. paradoxica extracts were significantly higher (higher mean diameters of inhibition zones) than those of E. heterophylla (p<0.05), and methanol extracts gave the highest antibacterial effects. However, the root extract of E. heterophylla gave a higher antibacterial activity with the in vivo assay on inbred mice than V. paradoxa, and methanol extracts of the two plant extracts gave the highest in vivo activity, followed by aqueous extract and least activity was obtained with the chloroform extract.Conclusion: Crude extracts of E. heterophylla and V. paradoxa roots produce antibacterial activity against enteric Gram-negative bacteria pathogens involved in diarrhoea illnesses. Further researches should be directed towards isolation and characterization of the active compounds in the crude extracts. French title: Analyse comparative de l'activité phytochimique et antibactérienne des extraits de racines d'Euphorbia heterophylla et de Vitellaria paradoxa Contexte: Au fil du temps, les plantes médicinales et leurs divers composants ont été une source majeure de médecine thérapeutique pour l'homme. Une étude comparative a été réalisée pour déterminer les composants phytochimiques et les activités antibactériennes des différents extraits bruts de racines d'Euphorbia heterophylla et de Vitellaria paradoxa sur quatre bactéries entériques; Salmonella typhi, Shigella flexneri, Escherichia coli et Proteus vulgaris. Méthodologie: Des échantillons de racines d'E. heterophylla et de V. paradoxa ont été collectés, lavés, séchés à l'air et transformés en poudre fine dans le laboratoire de microbiologie de l'Université fédérale de technologie, Minna, Nigéria. L'extraction brute des échantillons de racines a été réalisée par la technique de macération à froid en utilisant quatre solvants (chloroforme, méthanol, éther de pétrole et eau). L'analyse phytochimique des extraits a été effectuée en utilisant la technique décrite précédemment, et les activités antibactériennes in vitro de différentes concentrations des extraits (50-200 mg/ml) et d'un antibiotique standard (ciprofloxacine) ont été testées sur quatre bactéries entériques (S. typhi, S. flexneri, E. coli, P. vulgaris) par le test de diffusion sur gélose. Les activités antibactériennes in vivo des deux plantes ont également été testées par administration orale quotidienne de 2000 mg/kg de poids corporel (pendant 7 jours) de chaque extrait sur des souris consanguines infectées par inoculation intrapéritonéale d'une dose infectieuse de chacune des quatre bactéries entériques. Les données ont été calculées en tant que moyenne ± erreur standard et analysées par le système d'analyse statistique (SAS) version 9.4. Les associations entre les variables ont été déterminées à l'aide d'une analyse de variance (ANOVA), avec p < 0,05 considéré comme une valeur significative. Résultats: L'analyse phytochimique des extraits bruts des deux plantes a révélé la présence de glycosides cardiaques, de saponines, d'alcaloïdes, de flavonoïdes et de tanins mais V. paradoxa contient plus de glucides et d'amidon, et moins de phlobatannins, par rapport à E. heterophylla. Un essai in vitro a montré une activité antibactérienne dose-dépendante des extraits au méthanol, aqueux et au chloroforme (mais pas à l'éther de pétrole) des deux racines des plantes. Les activités antibactériennes in vitro des différents extraits d'extraits de V. paradoxica étaient significativement plus élevées (diamètres moyens des zones d'inhibition plus élevés) que celles d'E. heterophylla (p<0,05), et les extraits au méthanol ont donné les effets antibactériens les plus élevés. Cependant, l'extrait de racine d'E. heterophylla a donné une activité antibactérienne plus élevée avec le test in vivo sur des souris consanguines que V. paradoxa, et les extraits au méthanol des deux extraits de plantes ont donné l'activité in vivo la plus élevée, suivie par l'extrait aqueux et l'activité la plus faible a été obtenu avec l'extrait chloroformique. Conclusion: Des extraits bruts de racines d'E. heterophylla et de V. paradoxa produisent une activité antibactérienne contre les bactéries pathogènes entériques à Gram négatif impliquées dans les maladies diarrhéiques. D'autres recherches devraient être dirigées vers l'isolement et la caractérisation des composés actifs dans les extraits bruts.
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ELSEN, J. M., and J. M. AYNAUD. "Introduction au numéro hors série Encéphalopathies spongiformes transmissibles animales." INRAE Productions Animales 17, HS (December 19, 2004): 5–6. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3613.

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Abstract:
Les agents des encéphalopathies spongiformes transmissibles (ESST) sont responsables de maladies neurodégénératives fatales chez l’homme (maladie de Creutzfeldt-Jakob, insomnie fatale familiale, syndrome de Gerstmann-Straussler-Scheinker, Kuru) et chez les animaux (tremblante ovine et caprine, encéphalopathie spongiforme bovine, encéphalopathie spongiforme féline, encéphalopathie transmissible du vison, dépérissement chronique des cervidés. L’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) est une maladie nouvelle apparue en 1985 au Royaume-Uni, puis s’est propagée ensuite dans les autres pays européens et en particulier en France (premier cas identifié en 1990). La tremblante des ovins est en revanche connue depuis plus de deux siècles en Europe. Elle se distingue de l’ESB par sa contagiosité et la distribution de la protéine prion pathologique PrPsc dans les tissus périphériques. L’agent de l’ESB est transmissible des bovins à l’homme chez lequel il provoque une forme particulière (variant) de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. En revanche, l’agent de la tremblante ovine semble sans danger pour l’homme. Jusqu’en 1992, date du premier rapport réalisé à la demande du ministre de la recherche, Hubert Curien, par une commission de 9 chercheurs présidée par Dominique Dormont, les recherches poursuivies en France sur les ESST étaient le fait d’un petit réseau informel qui a été à l’origine d’un premier programme de recherches piloté par l’INSERM. L’annonce faite le 20 mars 1996 par les autorités du Royaume-Uni que 10 britanniques venaient de succomber à une variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob liée à l’ESB, entraîne une crise de confiance sans précédent des consommateurs. Interpellée, la communauté scientifique incluant l’INRA est alors brutalement placée devant un ensemble de questions nouvelles qui l’oblige à recentrer sa stratégie en termes d’expertise collective. La mise en place à cette occasion, du comité interministériel d’experts sur les ESST animé par Dominique Dormont (et auquel 8 chercheurs INRA participaient) a été un facteur très important dans la mobilisation de la communauté scientifique française et en particulier de l’INRA (voir à ce sujet l’analyse critique du fonctionnement de ce comité interministériel faite par Jacqueline Estades et Elisabeth Rémy dans l’ouvrage « l’expertise en pratique : les risques liés à la vache folle et aux rayonnements ionisants », 249 pages, L’Harmattan éditeur, Novembre 2003). Depuis 1993, les chercheurs INRA du département de génétique animale réfléchissaient aux conditions de développement de projets de recherche nouveaux sur les maladies à prions et en particulier sur la tremblante ovine qui sévissait de façon spectaculaire dans un troupeau ovin expérimental (domaine INRA de Langlade). Les chercheurs concernés de ce département ont eu un rôle moteur dans la mobilisation ultérieure des autres départements. En effet, à partir de l’automne 1996, des chercheurs INRA appartenant à 6 départements de recherche différents (génétique animale, santé animale, physiologie animale, transformation des produits animaux, hydrobiologie et faune sauvage, économie et sociologie rurale) ont décidé de s’engager dans des projets de recherche centrés sur les maladies à prions. Cet intense effort de mobilisation s’est accompli essentiellement par mobilité thématique (et non pas à la faveur de recrutements nouveaux), ce qui a représenté pour chacun des chercheurs engagés un effort personnel de remise en cause l’obligeant à repartir de zéro dans un domaine totalement nouveau, en abandonnant des recherches où chacun avait acquis un positionnement national et international. Cette mobilisation collective importante a été favorisée par trois facteurs différents : - l’exceptionnelle demande sociétale résultant d’une crise de confiance sans précédent touchant à la fois le consommateur et le citoyen, - l’ensemble des nombreuses questions nouvelles posées par la problématique « prions » qui a profondément excité la curiosité et l’intérêt des chercheurs de disciplines différentes, - et, enfin, la mise en place rapide de nouveaux moyens financiers, à la faveur d’une série d’appels d’offres successifs (INRA en interne, interministériels, GIS Prions, Union Européenne) qui ont exercé un effet incitatif puissant. Dans ce contexte nouveau, les objectifs prioritaires de l‘INRA ont été les suivants : - tout d’abord, créer les conditions optimales pour la mise au point des différents outils indispensables au développement des recherches sur les ESST : . les souris transgéniques pour les infections expérimentales,. les lignées de cultures cellulaires pour la propagation in vitro du prion,. les anticorps monoclonaux anti protéine prion (PrP),. les techniques immunocytohistochimiques pour identifier la protéine prion pathogène PrPsc dans les tissus infectés,. les méthodes de génotypage à grande échelle du gène PrP chez les ovins,. les approches épidémiologiques adaptées,. et surtout toute la logistique appropriée pour la manipulation des prions en toute sécurité au laboratoire et dans les animaleries (souris et gros animaux). - parallèlement, organiser des instances nouvelles pour la coordination (comité d’action incitative programmée, bureau permanent des recherches ESST) et l’animation scientifique interdisciplinaire (séminaires réguliers) de façon à assurer les meilleures conditions pour favoriser les échanges entre les équipes et la cohérence des projets entre eux. - et, enfin, mettre en place des moyens nouveaux en termes de ressources humaines (redéploiements, recrutements). Plus d’une vingtaine d’équipes INRA se sont engagées depuis 1996. A partir des nouveaux outils mis à disposition des différentes équipes, les recherches se développent et les résultats obtenus ont été présentés et discutés lors des séminaires organisés en 1998, 2000 et 2003. Ces résultats ont été valorisés par un nombre important de publications et ont été concrétisés au niveau des applications par la mise au point de tests rapides de diagnostic des ESST (contribution au test Biorad pour l’ESB, convention avec l’Institut Pourquier pour la tremblante ovine) ainsi que par un plan ambitieux de contrôle génétique et d’éradication de la tremblante dans les troupeaux ovins français. Dans le domaine de la biosécurité du retraitement des farines animales, un brevet a été pris en mars 2004. A l’issue du dernier séminaire, la direction scientifique Animal et Produits Animaux a décidé de valoriser l’ensemble des résultats obtenus et des connaissances en découlant, par la réalisation de ce numéro hors-série. L’objectif était de présenter au plus grand nombre l’ensemble des avancées scientifiques et des axes de recherche actuels sur les prions, menés dans les différentes disciplines. Ce numéro hors-série de la revue « Productions Animales » comprend 7 chapitres structurés autour des questions nouvelles que les chercheurs se sont attachés à résoudre : les animaux modèles, la caractérisation des souches et la nature de l’agent, la protéine prion cellulaire, la pathogénie des ESST, la variabilité de la résistance aux ESST et enfin l’épidémiologie et la lutte contre les ESST. En outre à la fin du numéro, figurent des annexes présentant successivement : la liste des publications scientifiques réalisées à partir des résultats obtenus, la liste des séminaires scientifiques organisés en interne, et enfin la liste des 18 projets scientifiques européens dans le domaine des ESST, impliquant des équipes INRA comme coordinateur ou comme partenaire, illustrant ainsi leur positionnement international.
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Johnson, Mary. "souris de laboratoire." Materials and Methods fr1 (January 1, 2011). http://dx.doi.org/10.13070/mm.fr.1.22.

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Johnson, Mary. "Souris et Rats de Laboratoire." Materials and Methods fr2 (January 1, 2012). http://dx.doi.org/10.13070/mm.fr.2.113.

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Mell, Eva. "La fin de la souris de laboratoire." Bulletin des Médecins Suisses, January 25, 2022. http://dx.doi.org/10.4414/bms.2022.20492.

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Suciu, Radu. "Bouffons, grillons et chauves-souris." Phantasia, 2019. http://dx.doi.org/10.25518/0774-7136.1059.

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Abstract:
En 1596 la famille de Bry, connue pour ses livres de voyages maritimes, publie les Emblemata sæcularia, une collection de gravures faisant partie du genre des emblèmes moraux. L’emblème 44 représente un laboratoire où deux patients subissent des traitements extravagants : un robinet a été introduit dans le ventre du premier, tandis que l’autre est coiffé d’un instrument alchimique qui l’aide à éliminer ses idées folles. À travers cette scène le graveur se moque de croyances ou de coutumes médicales et alchimiques propres au traitement de la folie et plus spécifiquement de la mélancolie. Cet article discute et met en lumière quelques-uns des choix iconographiques de la gravure, en plaçant ceux-ci dans le contexte plus large de la médecine, la science ou la culture populaire à la Renaissance.
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DUCROT, C., J. CHARLEY-POULAIN, and J. M. AYNAUD. "Numéro hors série 2004 : Encéphalopathies spongiformes transmissibles animales -Sommaire et avant-propos." INRAE Productions Animales 17, HS (December 18, 2004). http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3612.

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Abstract:
Ce numéro hors-série est consacré aux travaux sur les maladies à prions des animaux de ferme, menés à l’Inra en collaboration avec de nombreux organismes nationaux et internationaux. Il aborde de nombreuses facettes de la recherche sur ces agents et les maladies qu’ils occasionnent, tant sur le modèle tremblante que sur l’Encéphalopathie Spongiforme Bovine (ESB) : biologie de l’agent pathogène et notion de souche de prion, pathogénie de la maladie et résistance génétique, voies de transmission et évolution dans les populations animales, lutte contre les EST. Le premier article présente l’ensemble des outils mis au point à l’Inra pour étudier les EST (laboratoire de génotypage à grande échelle) ainsi que les dispositifs expérimentaux qui y sont dédiés (domaine expérimental atteint de tremblante naturelle et différentes animaleries protégées). Ensuite, la notion de souche de prion est introduite, discutée, et les divers travaux en cours pour différencier les souches de prions sur une base biologique et biochimique sont présentés, de même que les études menées pour comprendre le déterminisme de cette diversité. Ces travaux ont aussi pour objectif l’amélioration des méthodes actuelles de typage en termes de rapidité et de fiabilité, notamment à travers le développement de souris transgéniques. Deux articles traitent des mécanismes par lesquels la protéine prion pathogène est introduite dans l’organisme, puis la façon dont elle diffuse dans les différents tissus et organes et exerce son pouvoir pathogène. L’un concerne la pathogénie de la tremblante, à partir des travaux entrepris sur le mouton : dans quels tissus diffuse la protéine prion pathogène, dans quels types de cellules et à quelle vitesse, et comment intervient le génotype de l’individu dans ce processus. L’autre porte sur les modèles cellulaires mis au point récemment, qui permettent la multiplication du prion ovin et servent à étudier les interactions entre la protéine prion pathogène et différents types de cellules de l’organisme, les gènes activés en cas d’infection, le rôle du polymorphisme de la protéine prion ovine dans la réplication du prion pathogène et l’identification de molécules ayant une activité antiprion. Les propriétés et le rôle physiologique de la protéine prion normale, ainsi que les raisons pour lesquelles la protéine prion normale est transformée en protéine prion pathogène, sont ensuite abordés à travers plusieurs études : approche physicochimique et structurale de la structure de la protéine prion, pour analyser les domaines de la protéine prion qui pourraient avoir un rôle clé dans la transconformation de la protéine normale en protéine pathogène, et pour comprendre la relation entre le polymorphisme génétique de cette protéine et l’état de résistance ou de sensibilité à la tremblante ; approche immunochimique grâce à des anticorps monoclonaux ayant des affinités particulières pour certaines régions de la protéine prion PrP, qui permettent l’étude de la capacité de la protéine normale à être convertie en protéine pathogène et le typage moléculaire des souches de prions ; analyse des voies de sécrétion et du rôle physiologique de la protéine prion cellulaire. L’influence du polymorphisme au locus Prnp sur la sensibilité des animaux aux EST est documentée, ainsi que les travaux en cours pour mettre en évidence d’autres gènes influençant la sensibilité des animaux aux EST, à partir de la cartographie du génome. Concernant l’épidémiologie des EST, un article présente les travaux sur les sources d’infection, les voies de transmission et la dynamique de la maladie dans les populations animales, en matière de tremblante et d’ESB. Les résultats relèvent d’expérimentations, d’études de terrain et de modélisation mathématique. Enfin, plusieurs articles sont consacrés à la lutte contre les EST, abordant plusieurs volets : développement de tests pour le diagnostic avant la mort et la distinction entre souches d’EST, travaux conduits depuis dix ans pour maîtriser voire éradiquer la tremblante dans la population ovine en jouant sur la résistance génétique des ovins aux EST, étude clinique conduite sur une molécule à visée thérapeutique et discussion sur la méthode de choix des molécules à expérimenter, pistes pour la destruction des farines animales à risque, grâce à l’utilisation de microorganismes ou la fabrication de biolubrifiants, additifs biocarburants et matériaux polymères.

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