Journal articles on the topic 'Soldats français'

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Autric, Raphaëlle. "La rivalité franco-américaine : l’instruction des soldats américains en France (1917-1918)." Revue Historique des Armées 246, no. 1 (January 1, 2007): 22–31. http://dx.doi.org/10.3917/rha.246.0022.

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Abstract:
En mai 1917, les bases de la coopération franco-américaine sont établies par la signature de l'accord Joffre-Baker. Les Américains refusent l'amalgame de leurs troupes avec les troupes françaises. Tout au long de la préparation de l'armée américaine sur le sol français, Pershing et son état-major vont tenter de se libérer de la tutelle que les Français entendent imposer en matière d'instruction. Le système de jumelage des troupes sera ainsi remplacé progressivement par un système d'écoles dans lesquelles la présence française sera méticuleusement canalisée par les Américains. Pendant et après la guerre, la mission militaire française auprès de l'armée américaine le reconnaîtra difficilement.
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Delarue, Georges. "Les « chants du soldat » dans le folklore français." Chroniques allemandes 10, no. 1 (2003): 11–24. http://dx.doi.org/10.3406/chral.2003.1862.

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Abstract:
Les chants de tradition orale constituant le folklore militaire proprement dit sont soit des chants à caractère bachique, soit des paillardes. Pourtant plusieurs folkloristes ont, dans l’ordonnancement de leur collecte, un chapitre intitulé « Chants de soldats» (ou avec un titre analogue). En réalité, les chants qu’ils y rangent se rapportent plutôt à la vie militaire vue par des civils. Si l’on cherche à analyser cet ensemble, à la manière dont je l’ai déjà fait pour présenter ce que l’on appelle couramment « les chants de métiers », on peut distinguer : - les chants accompagnant les activités : paroles mises sur des sonneries de clairon ; chants rythmant la marche (les paillardes évoquées plus haut) ; - les chants emblématiques (chantés par des civils à la veillée ou au cabaret ; ou bien braillés dans les rues par de futurs militaires) ; les « chants de parade » composés spécialement à la gloire de tel ou tel régiment n'appartiennent pas au folklore ; chants de conscrits (parmi lesquels les paillardes font fonction de « rite de passage » de l’adolescence à l’âge adulte) ; récits de combats ou de victoires (rarement de défaites) ; - les chants contre-emblématiques (auto-dérision, moquerie venant des autres ou refus de la vie militaire) : soldats riboteurs ; soldats niais ; soldats en révolte ; les adieux du soldat ; déserteurs, retour au pays ; - un genre particulier : « les filles-soldats », développe une thématique que l’on peut rattacher tantôt à l’une, tantôt à l’autre des deux catégories précédentes ; - les chants de l’oubli (chantés lors des moments de repos ; leur thématique est le plus souvent sans rapport avec la vie militaire). Un exemple nivernais : chant de mariniers. Universalité : extrait d’un reportage du Monde sur la guerre en Irak.
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Poulot, Brice. "L’enseignement du français aux troupes coloniales en Afrique." Revue Historique des Armées 265, no. 4 (December 1, 2011): 14–23. http://dx.doi.org/10.3917/rha.265.0014.

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Abstract:
L'enseignement du français a fait partie intégrante de la vie quotidienne des soldats indigènes. En effet, dès la fin des années 1920, le français tend à s’imposer comme langue unique de communication pour répondre à la fois à des besoins opérationnels mais aussi économiques. Ainsi l’armée a largement contribué au développement du français en Afrique au détriment des langues locales. Le travail entrepris alors par les militaires pour enraciner le français comme langue principale de communication pose les jalons de l'enseignement du français de spécialité à un public d’apprenants adultes. Force est de constater que, sans l’aide d’enseignants, de traducteurs ou de linguistes, ces officiers ont su à s’adapter et se faire le relais d’une politique linguistique des armées dont les décisions étaient prises loin de la réalité du terrain. Les quelques manuels créés à l’époque sont les derniers témoins de cette épopée didactique qui a grandement participé au rayonnement de la langue française en terre africaine.
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Maniakis, Héléna. "Construction du savoir langagier en français à la Légion étrangère : la double hybridation linguistique dans l’interlangue des légionnaires russes et polonais." Voix Plurielles 11, no. 2 (December 3, 2014): 133–45. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v11i2.1108.

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Abstract:
Cet article s’intéresse à l’acquisition du français par les locuteurs russes et polonais servant à la Légion étrangère. Le contexte d’acquisition du français est tout à fait particulier dans ce corps d’armée : plurilinguisme et communication exolingue produisent un input singulier, transformant la langue française en un hybride linguistique à définir, produit de jargon militaire, légionnaire, de mots empruntés aux langues fortement représentées à la Légion et de tournures stéréotypées dont les soldats ne connaissent pas la signification mot à mot. L’étude en cours tend à prouver l’existence d’un véritable légiolecte, permettant l’intercompréhension au sein des régiments, mais confrontant les recrues à de grandes difficultés de communication avec le monde civil. Dans l’étude d’énoncés de légionnaires, nous distinguerons les marques transcodiques de la langue maternelle des recrues des formes hybrides caractérisant le langage de la Légion.
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Doughty, Robert. "Témoignage : « Mon père était avec Leclerc »." Revue Historique des Armées 246, no. 1 (January 1, 2007): 56–64. http://dx.doi.org/10.3917/rha.246.0056.

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Abstract:
Le 250 e bataillon d’artillerie de l’armée américaine a été entraîné à Paris, au Texas, et a débarqué à la fin juillet 1944 sur la plage de Utah. Au début août, le bataillon devait constituer le support d’artillerie de la 2e division blindée française dans la bataille de Falaise puis couvrir son avancée en direction du Mans et de Strasbourg. Le bataillon fut récompensé par les Français : les soldats reçurent 20 Croix de guerre et furent autorisés à porter la fourragère aux couleurs de la Croix de guerre. Après la guerre, les vétérans des deux unités restèrent longtemps en contact.
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d’Andurain, Julie. "Le général Gouraud, chef du corps expéditionnaire des Dardanelles en 1915." Revue Historique des Armées 258, no. 1 (January 1, 2010): 46–56. http://dx.doi.org/10.3917/rha.258.0046.

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Abstract:
Au début de l’année 1915, alors que les soldats s’enferment dans les tranchées sur le front occidental, les alliés décident de recourir à une stratégie périphérique pour contrer l’Allemagne. Ils se proposent de déstabiliser les puissances centrales en attaquant l’Empire ottoman par le détroit des Dardanelles. De toute urgence, Français et Britanniques doivent former chacun un corps expéditionnaire et trouver les moyens de s’entendre sur un nouveau théâtre d’opérations. Côté français, après le rappel du premier chef du corps expéditionnaire d’Orient, le général d’Amade, qui n’a pas réussi à s’entendre avec les Britanniques, le général Gouraud est envoyé prendre la tête du corps expéditionnaire d’Orient (ou CEO) en avril 1915. Resté peu de temps aux Dardanelles, en raison de sa blessure du 30 juin, son passage à la tête du corps expéditionnaire témoigne pourtant bien d’une certaine continuité de la politique française en Méditerranée.
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Bălă, Laurențiu. "Le Poilu en traduction roumaine. Étude de cas : Le Feu d’Henri Barbusse." Linguistica 58, no. 1 (March 14, 2019): 77–87. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.58.1.77-87.

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Abstract:
Quatre ans après qu’on a fêté le centenaire du commencement de la Première Guerre mondiale, en 2014, notre contribution se veut un modeste hommage aux braves soldats français (les « poilus ») qui ont perdu leur vie dans une conflagration ayant duré quatre ans. Le corpus de notre étude sera constitué par les deux versions roumaines d’un même roman, Le Feu, dont l’auteur, Henri Barbusse a pris part en tant que combattant en première ligne à ce conflit sanglant, décrivant les horreurs de la guerre avec indignation et douceur, mais non sans humour. Paru en 1916 et remportant le prestigieux Prix Goncourt la même année, Le Feu (Journal d’une escouade) a connu sa première version roumaine en 1918, la seconde étant publiée 37 ans plus tard, en 1955. Notre but sera de voir comment les deux traducteurs ont réussi à rendre en roumain l’argot spécial des soldats français (appelé « poilu » d’après leur propre surnom, mot qui signifie dans l’argot français « brave, courageux »), et cela dans des périodes où ce phénomène linguistique n’était pas très connu en Roumanie (l’entre-deux-guerres) ou bien on ne lui reconnaissait presque même pas l’existence (après l’installation du communisme, survenue en 1947) !
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Frangou-Kikilia, Ritsa. "Ο Άγγελος Σικελιανός και η προαιώνια ορφική φωνή." Σύγκριση 11 (January 31, 2017): 100. http://dx.doi.org/10.12681/comparison.10772.

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Abstract:
Texte inédit du grand poète grec Angélos Sikelianos. Le texte a dû être écrit A entre le 28 octobre 1940 et le 9 avril 1941. Sikelianos, influencé par les théories orphiques, veut encourager les soldats grecs qui combattent à la frontière contre les Italiens ou les Allemands, pendant la deuxième guerre mondiale. Il les compare aux anciens Doriens, guerriers initiés à lOrphisme, à l'Orthodoxie Dorienne, comme il l'écrit à la manière de l'ésotériste français. Saint-Yves d'Alveydre. Pour lui, les soldats grecs de 1940-1941 poursuivent l'ancienne tradition qui veut que les Grecs luttent pour la Justice et la Pureté
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Ageron, Charles-Robert. "Le « drame des Harkis » : mémoire ou histoire ?" Vingtième Siècle. Revue d'histoire 68, no. 4 (October 1, 2000): 3–16. http://dx.doi.org/10.3917/ving.p2000.68n1.0003.

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Abstract:
Résumé Reprenant le dossier des dernières années de la question harkie pendant la guerre d'Algérie et dans l'immédiat après-guerre, C.-R. Ageron tente de démêler les positions des différents acteurs du « drame » : pouvoir politique et militaire français, autorités et populations algériennes ainsi que les harkis eux-mêmes et l'ANP. Il met en avant les violences dont ces anciens supplétifs de l'armée française furent victimes entre 1962 et 1963 et l'indifférence, voire la complaisance, des autorités algériennes à l'égard des responsables de ces représailles. L'attitude des hommes politiques français, âpre-ment critiquée par certaines fractions de l'opinion à l'époque, ne fut pas exempte d'ambiguïtés. Tandis que la controverse sur le nombre de harkis exécutés commençait à enfler, le sort des anciens supplétifs devint un sujet de discussions entre la France et l'Algérie et, à partir de l'été 1962, le gouvernement français tenta d'obtenir des assurances. En vain. L'armée encore présente sur le territoire algérien s'efforça alors de protéger ses anciens soldats et leurs familles sans toujours parvenir à les rapatrier. C'est en 1970 seulement que la question diplomatique fut réglée laissant ouverte une guerre des mémoires que l'historien a voulu, ici, apaiser.
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Marzona, Alain. "Les incidents franco-italiens de Fiume ou l’expression des frustrations italiennes (novembre 1918-juillet 1919)." Revue Historique des Armées 254, no. 1 (January 1, 2009): 29–38. http://dx.doi.org/10.3917/rha.254.0029.

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Abstract:
Entrée en guerre en 1915, l’Italie fait partie du camp des vainqueurs en 1918.Toutefois, malgré d’importants gains territoriaux, le pays s’estime lésé car ses revendications sur une partie de l’Istrie et de la Dalmatie rencontrent l’hostilité des alliés et de l’État yougoslave naissant. La ville de Fiume cristallise alors pendant plusieurs mois les frustrations transalpines et devient le lieu de nombreux affrontements entre population italienne et soldats français. La tension s’accentue au fur et à mesure que la question de Fiume devient de plus en plus inextricable, notamment lors de la conférence de la Paix de janvier à juin 1919. Le ressentiment italien s’exprime plus particulièrement contre les Français, accusés en outre de favoriser les Yougoslaves. En juillet 1919, la tension atteint son paroxysme lorsqu’un incident mineur dégénère en tuerie où plusieurs soldats français trouvent la mort. Pour la France, cet événement symbolise alors la dégradation des relations avec l’Italie depuis la fin de la guerre et son ambivalence entre intérêts italiens et yougoslaves. Du côté italien, ceci témoigne de l’incapacité des gouvernants à faire face à la situation chaotique de leur pays, comme le démontre la prise de la ville par d’Annunzio et ses « légionnaires » en septembre 1919.
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Laroche, Colonel Serge. "Les Français et les soldats canadiens en France, 1944." Bulletin d'histoire politique 3, no. 3-4 (1995): 73. http://dx.doi.org/10.7202/1063474ar.

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Michelin, Jean. "La 317e Section, un mythe pour les soldats français." Inflexions N° 42, no. 3 (2019): 37. http://dx.doi.org/10.3917/infle.042.0037.

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Bantigny, Ludivine. "Jeunes et soldats. Le contingent français en guerre d'Algérie." Vingtième Siècle. Revue d'histoire 83, no. 1 (2004): 97–108. http://dx.doi.org/10.3406/xxs.2004.4716.

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Doizelet, Benjamin. "L’intégration des soldats noirs américains de la 93 e division d’infanterie dans l’armée française en 1918." Revue Historique des Armées 265, no. 4 (December 1, 2011): 3–13. http://dx.doi.org/10.3917/rha.265.0003.

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Abstract:
L’entrée en guerre des États-Unis en avril 1917 permet aux alliés d’espérer un rapide et victorieux dénouement à la guerre. Mais le corps expéditionnaire américain est lent à s’organiser. Devant l’insistance du général Pétain auprès du général Pershing, ce dernier lui transfère la 93 e division d’infanterie américaine composée de troupes noires. Ce n’est que le début des difficultés entre les Français qui veulent rendre cette unité opérationnelle rapidement et les Américains qui s’inquiètent des prétentions nouvelles que ces hommes pourraient avoir au contact de l’armée française qui ne connait pas la ségrégation raciale. Malgré les difficultés, les soldats noirs américains des quatre régiments de la 93e division vont prouver leur valeur au combat avant de retomber dans l’oubli d’un pays qui les ignore.
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Bidegain, Eneko. "L’enracinement de l’identité française au Pays basque pendant la Première Guerre mondiale." Emulations - Revue de sciences sociales, no. 16 (April 7, 2016): 33–42. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.016.003.

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Abstract:
Eskualduna était un hebdomadaire en langue basque du Pays basque continental, vendu à plus de 7.000 exemplaires durant la Première Guerre mondiale. Une analyse de contenu a permis de constater que le message de ce journal consistait à soutenir sans arrêt la France tout en exprimant la grande confiance envers son armée. Le Pays basque était présenté comme faisant partie de la France ; les soldats basques morts dans la guerre étaient glorifiés en tant que héros nationaux et présentés comme des Basques exemplaires et des bons Français. En conclusion, ce journal basque a été un promoteur du sentiment national français chez les Basques.
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Baratta, Alexandre. "Immersion en unité pour malades difficiles." Revue française de criminologie et de droit pénal N° 11, no. 2 (October 1, 2018): 53–60. http://dx.doi.org/10.3917/rfcdp.011.0053.

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Abstract:
Il existe une absence de concordance des profils français de terroristes médiatisés avec les études internationales. La littérature internationale sur la radicalisation islamiste, notamment Al-Quaïda, décrit des sujets stables, parfaitement insérés socialement, exempts de troubles mentaux. Parmi les individus ayant commis en France des attaques terroristes médiatisées depuis l’affaire Merah, on trouve beaucoup de sujets ayant des antécédents judiciaires, peu ou mal insérés, et souffrant de troubles mentaux et/ou de troubles de la personnalité. Cela laisse penser qu’il existe des têtes pensantes dans les milieux islamistes qui recrutent à faibles frais des profils très vulnérables pour en faire des soldats du djihad sur le sol français .
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Benoît, Christian. "Les corps disparus des soldats français de la Grande Guerre." Corps N° 12, no. 1 (2014): 109. http://dx.doi.org/10.3917/corp1.012.0109.

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Dodman, Thomas. "Un pays pour la colonie: Mourir de nostalgie en Algérie française, 1830-1880." Annales. Histoire, Sciences Sociales 66, no. 3 (September 2011): 741–84. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900011100.

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Abstract:
RésuméBien avant l’époque de la «nostalgérie», les ambitions coloniales de la France en Algérie se heurtaient déjà à une «nostalgie africaine». Comme le découvrirent les premiers soldats et colons qui traversèrent la MÉd.terranée en 1830, cette nostalgie du sol natal était une maladie dangereuse, un mal du pays aux conséquences souvent fatales. Or, à peine quelques décennies plus tard, il ne restait plus de cette pathologie que le nom : diagnostic devenu désuet, la nostalgie laissa la place à une forme bénigne «d’amour du pays» qui, par un retournement original, offrait désormais aux Français d’Algérie la possibilité de se ressourcer dans un cadre de vie familier – dans un pays implanté dans la colonie. Cet article retrace la trajectoire surprenante de cette maladie dont la disparition fut l’occasion paradoxale de relancer une colonisation jusque là chancelante, et de donner corps à l’idée d’une «Algérie française».
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Brahim Hadj Slimane. "Quand les indigènes brisent l’écran A propos du film Indigènes de Rachid Bouchareb." Africa Review of Books 4, no. 2 (July 30, 2008): 18–19. http://dx.doi.org/10.57054/arb.v4i2.4741.

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Abstract:
Indigènes est, à la fois, film de guerre, film à message et film d’auteur. Pour y évoquer ces contingents de Maghrébins qui contribuèrent, dans une grande proportion, à libérer la France, Rachid Bouchareb a trouvé le ton juste, s’appuyant sur quatre comédiens crédibles, puisque issus de l’émigration et symbole de cette élite (modèle) qui a réussi à percer dans la société française. Personne, auparavant, ne s’était encore attaché à restituer le sort de dizaines de milliers d’Africains qui, enrôlés dans l’armée française, ont participé à la libération d’un pays lui-même colonisateur et qu’ils considéraient, encore massivement, comme leur patrie. Rachid Bouchareb vient de le faire en réalisant un des plus grands succès du cinéma français de ces dernières années.Rappelons le contexte historique : Juin 1940, la France a signé un armistice avec l’Allemagne consacrant sa défaite et son occupation. 1 400 000 soldats français sont emprisonnés. Le général De Gaulle, chef de la résistance en exil, entreprend de reconquérir sa patrie. Ce projet a besoin d’énormément d’hommes en armes: les tirailleurs sénégalais (environ soixante dix mille hommes), et maghrébins (trois cent soixante mille hommes), vont constituer le gros des troupes. Grâce à cette armée, la France sera libérée, après cinq ans de combats et d’immenses pertes humaines et matérielles, et une ultime bataille dans les Vosges, sous des tempêtes de neiges et un thermomètre descendant jusqu’à -30°. C’est un succès qui permet à l’armée française de pénétrer dans la plaine d’Alsace et d’atteindre les rives du Rhin. Le 8 mai 1945, les armées hitlériennes vaincues signent à Berlin leur acte de reddition : la guerre est terminée. Au prix de 14 000 morts, les « indigènes » ont ainsi pris une part essentielle à la libération de la France ; mais à la fin de la guerre, tous les éloges et les privilèges iront aux forces françaises de l’intérieur, tandis que ces Algériens, Marocains, Tunisiens seront les oubliés de l’histoire...
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Drolet, Gilbert. "À la mémoire des soldats canadiens-français de Dieppe et d'Italie." Bulletin d'histoire politique 3, no. 3-4 (1995): 56. http://dx.doi.org/10.7202/1063471ar.

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Horne, John. "Entre expérience et mémoire : les soldats français de la Grande Guerre." Annales. Histoire, Sciences Sociales 60, no. 5 (October 2005): 903–19. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900019302.

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Abstract:
RésuméL’expérience, qui s’inscrit dans la temporalité et se communique par la narration, représente un cadre d’analyse important pour comprendre les combattants de la Grande Guerre. Les soldats français étaient pris entre un avenir défini par la nécessité d’expulser les envahisseurs allemands et un présent réfractaire à cet impératif en raison de la prédominance de la guerre défensive. Les narrations qui confrontent cette dichotomie tournent autour de la notion du sacrifice. L’érosion de ce langage provoque les mutineries de 1917. Néanmoins, un discours narratif fonctionnel se réinstalle pendant la dernière année du conflit. La mémoire plus distanciée, qui se réalise chez les vétérans après la guerre, est, sans être moins « vraie », différente, par sa nature, de l’expérience vécue.
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Thiéblemont, André. "Afghanistan . La guerre inconnue des soldats français , Nicolas Mingasson . Acropole, 2012." Inflexions N° 22, no. 1 (January 2, 2013): V. http://dx.doi.org/10.3917/infle.022.0209e.

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Loez, André. "Militaires, combattants, citoyens, civils : les identités des soldats français en 1914-1918." Pôle Sud 36, no. 1 (2012): 67. http://dx.doi.org/10.3917/psud.036.0067.

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Morton, Desmond. "Entente cordiale? La section montréalaise du fonds patriotique canadien, 1914-1923 le bénévolat de guerre à Montréal." Revue d'histoire de l'Amérique française 53, no. 2 (October 2, 2002): 207–46. http://dx.doi.org/10.7202/005553ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'histoire de la guerre se concentre sur les soldats. Mais qu'arrive-t-il à ceux et celles qu'ils laissent derrière ? Dès le début de la guerre, en 1914, les Montréalais ont reconnu le fardeau des familles des réservistes faiblement rémunérés, français, belges et britanniques et, par la suite, celui des familles de leurs propres soldats canadiens. Le Fonds patriotique montréalais a hérité d'une vieille tradition charitable. Ses leaders, tels Herbert Ames, Helen Reid et Raoul Dandurand, en ont fait à la fois la principale source de financement et un modèle pour les organisations similaires à travers le Canada. L'organisation interne de la section montréalaise du Fonds patriotique a aussi reflété les relations changeantes entre les élites anglophones et francophones de la ville, le développement du professionnalisme dans le travail social et les limites du volontarisme pour absorber les coûts de la guerre. Les trois campagnes de souscription de la section montréalaise fournissent un instantané surprenant des relations entre francophones et anglophones à trois différents moments de la guerre.
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Nicolas, Aude. "Les rapports franco-britanniques à travers la peinture militaire représentant la guerre de Crimée." Revue Historique des Armées 264, no. 3 (August 1, 2011): 19–31. http://dx.doi.org/10.3917/rha.264.0019.

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Abstract:
Cet article a pour objet d’analyser, par le biais de la peinture militaire, la variété des rapports entretenus entre Français et Britanniques lors de la campagne de Crimée (1854-1856). Une sélection d’œuvres signifiantes permet d’étudier et de montrer de part et d’autre, grâce aux artistes des deux nations, l’évolution de ces relations complexes suite à un rapprochement voulu par l’empereur Napoléon III et la reine Victoria, tous deux alliés aux côtés de l’Empire ottoman menacé par les vues expansionnistes du tsar Nicolas Ier. La majorité des peintres sont Français, les Britanniques ayant très peu représentés ce conflit en dehors du fait héroïque le plus marquant de leur armée : la charge de la brigade légère. Enfin, l’analyse de ces tableaux permet d’étudier le changement de mentalité progressif des officiers et des soldats des deux nations, ennemies pendant si longtemps et subitement rapprochées par la volonté de leurs souverains respectifs.
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Delattre, Bastien. "Hubert Caldecott (1913-1941) : un pharmacien et résistant nantais fusillé au Mont-Valérien." Revue d'histoire de la pharmacie 108, no. 409 (2021): 7–18. http://dx.doi.org/10.3406/pharm.2021.24199.

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Abstract:
Né d’un père britannique et d’une mère française, Hubert Caldecott (1913-1941) vécut ses jeunes années à Saint-Nazaire puis étudia la pharmacie à Nantes. Issu d’une famille plutôt aisée et sans histoire, il fit partie de ces Français qui s’opposèrent à l’occupation allemande à la suite de l’armistice signé avec l’Allemagne nazie. Dès juin 1940, il fréquenta les premiers réseaux de résistance de la région nantaise et participa à certaines actions, comme à l’évasion de soldats anglais qu’il fallait renvoyer en zone libre. Comme la plupart de ses camarades, il fut dénoncé par un collaborateur qui s’était infiltré dans ces premiers réseaux, et arrêté à Paris en avril 1941. Malgré le manque de preuves, il fut maintenu en détention en raison de la politique des otages menée par le régime nazi. Lorsque survint l’assassinat du Feldkommandant Karl Hotz, le 20 octobre 1941, Hubert Caldecott fut fusillé comme 47 autres personnes en représailles : c’est l’épisode des 50 otages. Cet article retrace la vie d’Hubert Caldecott, depuis son enfance nazairienne jusqu’aux poteaux d’exécution du Mont-Valérien.
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Thura, Marie-Augustin. "Le petit mobilier funéraire des soldats d’août 1914." Revue d'archéologie contemporaine N° 2, no. 1 (October 23, 2023): 85–112. http://dx.doi.org/10.3917/raco.002.0085.

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Abstract:
La Grande Guerre est un conflit révolutionnaire sur la globalité des aspects militaires, sociaux, économiques ou politiques habituellement affectés par les affrontements humains. La violence des combats qui s’y déroulent entraîne la disparition de millions d’individus. Aujourd’hui encore, on estime à 600 000 le nombre de disparus présents sur le sol français, ce qui provoque, chaque année, la découverte de certains d’entre eux par les acteurs de l’archéologie préventive et de l’aménagement du territoire. Si originellement, ces premières découvertes sont imprégnées par le devoir de mémoire et une démarche d’identifications des corps, les fouilles de ces vingt dernières années ont permis l’établissement de problématiques scientifiques autour des défunts et des structures funéraires. En totale interdisciplinarité avec la richesse des sources historiques, la fouille des espaces sépulcraux de la Grande Guerre participe à la documentation des pratiques et gestes funéraires caractérisant la gestion de la mort de masse. L’intérêt envers le petit mobilier funéraire ne fait pas exception à ce courant de recherche, le renouvellement de son approche, initié par les travaux de Guy Flucher (Flucher 2017 : 151-156), ayant permis son intégration aux études d’ instrumentum au sein des rapports finaux d’opérations (Mondy 2018). Cependant, cet intérêt demeure attaché autour de certaines spécificités thématiques ou matérielles, un état de la recherche qui se doit d’être dépassé.
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Gainot, Bernard, and Jean-Charles Gendre. "Michel Roucaud et François Houdecek (Ed.), Du Niémen à la Bérézina, Lettres et témoignages de soldats français su." Annales historiques de la Révolution française, no. 372 (June 1, 2013): 196–98. http://dx.doi.org/10.4000/ahrf.12829.

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Aan De Wiel, Jérôme. "Le deuxième bureau et les républicains irlandais, 1900-1904 : contacts, invasion et déception." Revue Historique des Armées 253, no. 4 (December 1, 2008): 74–85. http://dx.doi.org/10.3917/rha.253.0074.

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Abstract:
Un livre britannique, paru en 2001, traitant de l’impact international qu’eut la guerre des Boers sur les grandes puissances de l’époque, ne mentionne pas une seule fois, selon l’index, le nom de l’Irlande ce qui est bien surprenant dans la mesure où les nationalistes et séparatistes irlandais soutenaient ouvertement les Boers contre les Britanniques. Dans le chapitre consacré à la France, on lit que Théophile Delcassé, ministre des Affaires étrangères, estimait que cette guerre devait cesser. Mais, était-ce bien le cas ? Ou bien est-ce que Delcassé représentait les vues de tous les membres du gouvernement français ? C’est ainsi que les archives du Service historique de la Défense au château de Vincennes révèlent que le deuxième bureau, le service de renseignement militaire français, avait eu des contacts avec des républicains irlandais dans le but, semblerait-il, d’envahir ou de libérer l’Irlande afin d’encercler la Grande-Bretagne dont les soldats se trouvaient dans la lointaine Afrique du Sud.
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Boniface, Xavier. "Entre l’Église, l’État et l’armée : aumôniers militaires et prêtres-soldats français (1914-1918)." Annali di Scienze Religiose 8 (January 2015): 145–64. http://dx.doi.org/10.1484/j.asr.5.110639.

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Guérin, Vincent. "L’usage d’un « éveillant » par les soldats français durant la guerre du Golfe (1991)." Guerres mondiales et conflits contemporains N° 290, no. 2 (May 31, 2023): 129–40. http://dx.doi.org/10.3917/gmcc.290.0129.

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Bes Hoghton, Isabelle. "Les compagnes de guerre de l’armée napoléonienne en Espagne (1808-1814) dans la littérature de guerre : la bravoure des vieux grenadiers." Thélème. Revista Complutense de Estudios Franceses 38, no. 1 (May 29, 2023): 1–8. http://dx.doi.org/10.5209/thel.83734.

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Abstract:
En ce début de XXIe siècle, l’intérêt porté au rôle des femmes dans les conflits armés est grandissant. Bien analysé pour les affrontements du XXe siècle, il est plus rare en ce qui concerne le XIXe et les guerres napoléoniennes. Si récemment des études se sont penchées sur ce thème (Mihaely, Cardoza), il reste encore du travail à faire. Dans cet article, nous nous proposons d’examiner la fonction et le sort des cantinières pendant la guerre d’indépendance espagnole (1808-1814), lors des batailles et dans les prisons ennemies (pontons de Cadix, camp de prisonniers de Cabrera), à partir de l’image qu’en renvoient les mémoires des soldats et des officiers français publiés tout au long du XIXe siècle.
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Balvay, Arnaud. "Les relations entre soldats français et Amérindiens : la question de la traite (1683-1763)." Recherches amérindiennes au Québec 35, no. 2 (2005): 17. http://dx.doi.org/10.7202/1082143ar.

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Quemeneur, Tramor. "Refuser l'autorité ? Étude des désobéissances de soldats français pendant la guerre d'Algérie (1954-1962)." Outre-mers 98, no. 370 (2011): 57–66. http://dx.doi.org/10.3406/outre.2011.4533.

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Pénicaut, Emmanuel. "L’armée française en Sarre, 1918-1930." Revue Historique des Armées 254, no. 1 (January 1, 2009): 20–28. http://dx.doi.org/10.3917/rha.254.0020.

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Abstract:
En vertu des dispositions du traité de Versailles, le territoire de la Sarre fut, de 1920 à 1935, séparé de l’Allemagne et placé sous la tutelle de la Société des Nations, la France disposant de la propriété de ses houillères en compensation des destructions de son propre bassin minier pendant la guerre. Pour garantir ses intérêts et assurer la sécurité des voies ferrées, qui traversaient le territoire en direction des pays rhénans occupés, le gouvernement français entretint en Sarre une importante garnison militaire, dont la présence provoqua de multiples difficultés diplomatiques avec l’Allemagne, les pays alliés et la Société des Nations. Le présent article brosse l’histoire de ces troupes, depuis l’occupation militaire de novembre 1918 jusqu’à l’évacuation des derniers soldats, à la suite de l’évacuation de la Rhénanie.
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Haynes, Christine. "Face à l’occupation étrangère de 1815-1818 : les sorties de guerre des Alsaciens." L’individu dans les conflits, no. 4 (October 20, 2022): 37–50. http://dx.doi.org/10.57086/sources.395.

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Abstract:
Face à l’occupation étrangère de 1815-1818. Les sorties de guerre des Alsaciens – Partant du constat du manque d’étude historique des civils ordinaires ainsi que des soldats durant les guerres napoléoniennes, cet article, en s’appuyant sur des archives locales et des sources publiées, entend commencer à reconstruire les expériences individuelles à la « fin » de ces dernières, pendant les trois années d’occupation de la France par les puissances alliées entre 1815 et 1818. Concentré sur l’Alsace, il propose d’étudier cinq parcours individuels dans ce contexte de fin de conflit : le maire d’un petit village luttant pour affirmer son autorité face aux troupes d’occupation ; un soldat du Wurtemberg tué par un groupe de douaniers français ; un entrepreneur juif ayant bénéficié de contrats de réquisition en faveur des troupes d’occupation ; un jeune Parisien éduqué envoyé enseigner au collège jésuite à Colmar, par ailleurs siège des autorités militaires autrichiennes ; et enfin une veuve qui, dix ans après la fin de l’occupation, cherche encore à obtenir une indemnisation pour le logement d’un officier du Wurtemberg. S’il n’y a pas d’histoire-type de la position des individus dans ce conflit, ensemble, ils illustrent la gamme des expériences de l’occupation, entre violence et fraternisation, laquelle varie en fonction du genre, de l’âge, de la classe mais aussi de la langue de l’occupant et de l’occupé.
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Sheldon, Kathleen. "“No More Cookies or Cake Now, 'C'est la guerre' ”: An American Nurse in Turkey, 1919 to 1920." Social Sciences and Missions 23, no. 1 (2010): 94–123. http://dx.doi.org/10.1163/187489410x488530.

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Abstract:
AbstractSylvia Thankful Eddy was a nurse with the Near East Relief in Turkey, based at an American mission hospital at Aintab. She kept a diary during 1919-1920, when she witnessed a conflict between Turkish and French forces and Turkish persecution of Armenians. Her story counters the expectations of a missionary perspective, as she rarely mentions anything religious but frequently reports on sharing social activities with French soldiers. She was awarded the French Croix de Guerre for her actions in saving patients when the hospital was bombarded. Her story illustrates the complicated alliances of an American woman working at the intersection of various conflicting national, ethnic, and religious communities, and demonstrates one woman's route to missionary work. Sylvia Thankful Eddy, infirmière, travailla pour le Near East Relief en Turquie où elle fut basée à Aintab dans un hôpital missionnaire américain. Elle rédigea un journal entre 1919 et 1920 alors qu'elle était témoin du conflit entre les forces turques et françaises et de la persécution des Arméniens par les Turcs. Son histoire ne correspond pas à ce que l'on peut attendre d'une perspective missionnaire dans la mesure où elle ne parle presque pas de religion et qu'elle mentionne au contraire fréquemment les activités sociales qu'elle partage avec des soldats français. Elle reçut la médaille française de la Croix de Guerre pour ce qu'elle entreprit afin de sauver des patients lorsque l'hôpital où elle était fut bombardé. Son histoire illustre les alliances compliquées d'une femme américaine travaillant à l'intersection de diverses communautés nationales, ethniques et religieuses, et elle démontre le parcours singulier d'une femme vers le travail missionnaire.
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Gueissaz, Mireille. "La Grande Guerre et l’impossible inhumation individuelle des soldats français : les ratés d’une tradition nationale consensuelle." Lien social et Politiques, no. 59 (September 15, 2008): 75–89. http://dx.doi.org/10.7202/018815ar.

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Abstract:
Résumé Partant d’une recherche sur les pratiques mémorielles européennes nées de la Grande Guerre et de l’analyse d’un corpus de travaux historiques et du roman de R. Dorgelès (Le réveil des morts), l’auteure analyse comment les rites de commémoration français de la guerre sont devenus une « tradition » nationale (Hobsbawm) consensuelle et abstraite, dans laquelle la notion de « culte éternel » a été dissociée de l’inhumation individuelle des corps promise à chaque soldat. Plus consensuelle que la tradition laïque, refusée par certains groupes, la nouvelle tradition républicaine n’a guère été favorable à la transmission d’une mémoire et de normes communes.
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Carpentier, Vincent, and Jean-Marc Richard. "Les graffitis du fort Fleur d’Épée (Le Gosier, Guadeloupe)." Revue d'archéologie contemporaine N° 1, no. 1 (December 1, 2021): 11–30. http://dx.doi.org/10.3917/raco.001.0011.

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Abstract:
Le fort Fleur d’Épée est un fort français de la Guadeloupe, construit en 1759 sur la commune du Gosier, au sommet d’un morne qui domine la baie du Petit Cul-de-Sac Marin et l’accès au port de Pointe-à-Pitre. Un projet de mise en valeur de sa galerie souterraine, piloté par le conseil général de Guadeloupe, s’est accompagné du relevé exhaustif d’une série de graffitis tracés par les occupants, soldats français et antillais, principalement dans la première moitié du XIX e siècle. Soixante-quatorze panneaux scéniques ont été individualisés. L’analyse a porté sur les critères techniques, l’agencement spatial, la thématique et la chronologie des graffitis. Ces derniers, au nombre desquels une remarquable série de grands navires de guerre des années 1840, peuvent être comparés à d’autres séries d’inscriptions relevées en Métropole ou en Caraïbe, sur des sites militaires ou carcéraux. Les navires de la marine de guerre des années 1840, les noms et les dates, les scènes à caractère sexuel ou plus banales, illustrent certains aspects de la vie quotidienne dans cette galerie qui fut vraisemblablement commuée en prison après le grand séisme du 8 février 1843, auquel elle avait survécu, jusqu’à son abandon officiel en 1854.
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Audoin-Rouzeau, Stéphane. "Les soldats français et la Nation de 1914 à 1918 d'après les journaux de tranchées." Revue d’histoire moderne et contemporaine 34, no. 1 (1987): 66–86. http://dx.doi.org/10.3406/rhmc.1987.1391.

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Audoin-Rouzeau, Stéphane. "Les soldats français et la Nation de 1914 à 1918 d'après les journaux de tranchées." Revue d’histoire moderne & contemporaine 34-1, no. 1 (February 1, 1987): 66–153. http://dx.doi.org/10.3917/rhmc.g1987.34n1.0066.

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Goudaillier, Jean-Pierre. "1914-1918 : les boissons des Poilus." Acta Universitatis Lodziensis. Folia Litteraria Romanica, no. 14 (December 30, 2019): 21–31. http://dx.doi.org/10.18778/1505-9065.14.03.

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Abstract:
Pendant la Grande Guerre (1914-1918) les soldats ont été meurtris dans leur chair et leur esprit lors de combats sanglants (Goudaillier, 2016). Les désignations des aliments des Poilus ont été présentées dans une publication antérieure et il importe désormais d’étudier ce que ceux-ci buvaient, lorsqu’ils étaient au front, essentiellement lorsqu’ils se trouvaient en première ligne. En analysant des données issues d’écrits linguistiques (enquêtes linguistiques, dictionnaires) (cf., entre autres, Dauzat, 1918), d’écrits personnels de poilus (courrier [lettres, cartes postales] et carnets de guerre), de la presse du front et d’écrits littéraires (journaux de tranchées, romans, mémoires) (cf. Goudaillier, 2014), il est possible de mettre en valeur les termes et expressions populaires et / ou argotiques qu’utilisaient les combattants dans les tranchées côté français pour désigner les boissons (eau, café, vin et autres boissons alcoolisées) et les moyens pour les faire parvenir au front.
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Giraud, Nelly Y. A., Clément Dubost, Pierre Pasquier, Stéphane Merat, and Thierry Villevieille. "Profil lésionnel des soldats français blessés graves pendant la mission SERVAL de janvier à novembre 2013." Anesthésie & Réanimation 1 (September 2015): A256—A257. http://dx.doi.org/10.1016/j.anrea.2015.07.392.

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Fauveau, Alain. "Le dernier combat : Vrigne-Meuse, 10 et 11 novembre 1918." Revue Historique des Armées 251, no. 2 (April 1, 2008): 18–34. http://dx.doi.org/10.3917/rha.251.0018.

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Abstract:
Alors que les pourparlers d’armistice se déroulaient à Rethondes entre le maréchal Foch et les plénipotentiaires allemands, la 163 e division commandée par le général Boichut reçut l’ordre de franchir la Meuse « coûte que coûte » le soir du 9 novembre 1918 dans la région de Dom-le-Mesnil et de Vrigne-Meuse. Cette ultime offensive menée dans la précipitation et l’improvisation, destinée à obtenir la capitulation de l’armée allemande, s’acheva le 11 novembre 1918 à 11 heures du matin. Comment s’est déroulée cette opération de Vrigne-Meuse qui coûta la vie à une centaine de soldats français supplémentaires dont la grande majorité appartenait au 415 e régiment d’Infanterie commandée alors par le chef de bataillon Charles de Menditte ? L’opération était-elle justifiée ? Pourquoi, cette opération dont fait état le dernier communiqué officiel de la Grande Guerre, est-elle restée confidentielle pendant 20 ans, et largement méconnue jusqu’à ce jour ?
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Williams, Glenn. "March to Victory." Revue Historique des Armées 246, no. 1 (January 1, 2007): 10–21. http://dx.doi.org/10.3917/rha.246.0010.

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Abstract:
En octobre 1781, la victoire de Yorktown allait assurer l’indépendance des États-Unis ; or cette victoire n’aurait pas été possible sans l’intervention de la France. Les deux pays ont pris conscience que la victoire de la flotte de l’amiral de Grasse à La Chesapeake a rendu possible le succès des armées alliées sur terre. Les relations entre le commandant chef américain, le général George Washington, et son homologue français, le comte de Rochambeau, étaient un modèle de coopération. La bravoure des soldats français et américains, organisant le siège, manœuvrant les armes, et prenant d’assaut les fortifications, ainsi que les efforts que firent les deux armées en Virginie à des moments critiques furent indiscutables. En août 1781, les alliés franco-américains étaient prêts à affronter les troupes britanniques à New York. En réalisant l’opportunité que constituerait un coup bien asséné en Virginie, les décisions des commandants alliés furent décisives. En quelques jours, les forces alliées se retirèrent du front et se repositionnèrent 400 miles plus loin, à un endroit où les ennemis étaient plus vulnérables. L’arrivée des forces coalisées provoqua alors la fin du conflit. À l’instar de la bataille, le plan logistique et l’exécution de la marche à la victoire à Yorktown constituent aussi un exemple de l’amitié franco-américaine et de l’alliance militaire qui a longtemps perduré.
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Richard, Béatrice. "La participation des soldats canadiens-français à la Deuxième Guerre mondiale: une histoire de trous de mémoire." Bulletin d'histoire politique 3, no. 3-4 (1995): 383. http://dx.doi.org/10.7202/1063501ar.

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Nouailhatn, Yves-Henri. "Soldats américains et civils français dans la région de la Basse-Loire pendant la Première Guerre mondiale." Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, no. 109-4 (December 20, 2002): 177–90. http://dx.doi.org/10.4000/abpo.1527.

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Greenhalgh, Elizabeth, and Frédéric Guelton. "Soldats australiens de l’ANZAC vus à travers la correspondance du chef d’escadrons de Bertier, mars-décembre 1915." Revue Historique des Armées 264, no. 3 (August 1, 2011): 41–47. http://dx.doi.org/10.3917/rha.264.0041.

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Abstract:
Le 26 mars 1915, un officier supérieur français, le commandant de Bertier, reçoit l’ordre de rejoindre « l’armée britannique opérant dans les Dardanelles » afin d’y occuper, auprès de son chef, sir Ian Hamilton, la fonction d’officier de liaison. Entre cette date et la fin du mois de décembre1915, il va adresser à Paris, au colonel Hamelin, chef de la section Afrique à l’état-major de l’armée, 29lettres personnelles. Le travail effectué vise à mettre en évidence, à partir des lettres de Bertier, les informations concernant les Australiens. Ces informations sont organisées autour de deux thèmes. Le premier présente, tout au long de la campagne, les Australiens tels que Bertier les découvre, les décrit ou les mentionne, y compris quand il les compare aux autres troupes britanniques. Le second place les Australiens aux périphéries du propos. Ils deviennent les acteurs malheureux d’une stratégie britannique qui échoue alors que, selon Bertier, le sort de la campagne n’était pas écrit a priori, bien au contraire.
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Cadeau, Ivan. "Les unités du génie de l’armée nationale vietnamienne (1951-1954) : renfort appréciable ou affaiblissement du génie du corps expéditionnaire ?" Revue Historique des Armées 265, no. 4 (December 1, 2011): 56–68. http://dx.doi.org/10.3917/rha.265.0056.

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Abstract:
Entre 1945 et 1954, le corps expéditionnaire français qui combat en Indochine est marquée par un mal endémique, celui de l’insuffisance de ses effectifs. Pour pallier ce problème, le commandement local fait très tôt appel aux soldats autochtones qui viennent renforcer les bataillons métropolitains, affectés par les pertes dues aux opérations, comme aux maladies. À partir de 1949, la création des trois États associés (Viêt-nam, Laos et Cambodge) donne naissance aux armées nationales. Si l’accent est mis en premier lieu sur le développement des bataillons d’infanterie, il est également créé des formations d’appui, de soutien, mais également des unités de service. L’apparition du génie militaire vietnamien, à la fin de l’année 1951, apparaît comme susceptible d’apporter une solution à la faiblesse du génie du corps expéditionnaire, et d’offrir au commandement un appréciable renfort en sapeurs. Toutefois, l’absence de cadres qualifiés au sein de la jeune armée vietnamienne oblige le génie d’Extrême-Orient à se défaire d’un nombre importants d’officiers et de sous-officiers pour encadrer et instruire les compagnies du génie vietnamien.
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Prost, Antoine. "Bruno Cabanes, La victoire endeuillée. La sortie de guerre des soldats français (1918-1920), Paris, Seuil, 2004,555 p., 27€." Revue d’histoire moderne et contemporaine 53-3, no. 3 (2006): 204. http://dx.doi.org/10.3917/rhmc.533.0204.

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