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Journal articles on the topic 'Soit manquant'

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1

Birnbaum, Antonia. "Désordres dans la dialectique." Essaim 52, no. 1 (March 28, 2024): 103–15. http://dx.doi.org/10.3917/ess.052.0103.

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Abstract:
Comment se fait-il que chez Hegel, dans la section « Domination et servitude » de la Phénoménologie de l’esprit , le courage soit absent ? La servitude peut-elle vraiment se limiter à être l’autre de la domination, travailler à regagner sa maîtrise perdue, sans jamais entrer en contradiction avec sa propre détermination servile, sans jamais rencontrer l’inconsistance de sa nécessité ? Dans le frayage de ce courage manquant entrepris ici Lacan vaut comme daïmon : le propos n’est nullement d’interroger la manière dont Lacan s’est d’abord saisi du Hegel kojévien pour s’en défaire ensuite, mais d’expérimenter ce que l’élaboration lacanienne de la répétition, de la pulsion de mort, du symptôme, de l’objet a , fait à Hegel.
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Bakehe, Novice Patrick. "Rationalisation de la consommation d’énergie : un avantage concurrentiel ?" Revue d'économie industrielle 186 (2024): 153–74. http://dx.doi.org/10.4000/12lpk.

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Abstract:
L’hypothèse de Porter a suscité près de trois décennies de débat sur la question de savoir si les innovations environnementales telles que la réglementation énergétique peuvent augmenter la productivité des entreprises. Cependant, un élément manquant dans ce long flux de littérature est la non prise en compte de la fréquence de contrôle de la consommation d’énergie. Nous comblons cette lacune en examinant l’impact du ciblage et de la fréquence de contrôle de la consommation d’énergie sur la performance des entreprises en Egypte. En utilisant les données d’enquête au niveau de l’entreprise, nos résultats montrent que la politique de ciblage de consommation d’énergie n’a pas d’influence sur la performance des entreprises. En revanche, la politique de contrôle régulier de la consommation d’énergie a un impact positif et significatif sur la performance des entreprises. Par conséquent, les pouvoirs publics devraient adopter une politique permettant de mieux renseigner les entreprises sur les opportunités offertes par le contrôle régulier de la consommation d’énergie afin que celui-ci soit perçu comme une opportunité et non seulement comme une charge supplémentaire.Classification JEL : Q55, L25.
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Bakehe, Novice Patrick. "Rationalisation de la consommation d’energie : un avantage concurrentiel ?" Revue d'économie industrielle 186, no. 2 (November 27, 2024): 153–74. https://doi.org/10.3917/rei.186.0153.

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Abstract:
L’hypothèse de Porter a suscité près de trois décennies de débat sur la question de savoir si les innovations environnementales telles que la réglementation énergétique peuvent augmenter la productivité des entreprises. Cependant, un élément manquant dans ce long flux de littérature est la non prise en compte de la fréquence de contrôle de la consommation d’énergie. Nous comblons cette lacune en examinant l’impact du ciblage et de la fréquence de contrôle de la consommation d’énergie sur la performance des entreprises en Egypte. En utilisant les données d’enquête au niveau de l’entreprise, nos résultats montrent que la politique de ciblage de consommation d’énergie n’a pas d’influence sur la performance des entreprises. En revanche, la politique de contrôle régulier de la consommation d’énergie a un impact positif et significatif sur la performance des entreprises. Par conséquent, les pouvoirs publics devraient adopter une politique permettant de mieux renseigner les entreprises sur les opportunités offertes par le contrôle régulier de la consommation d’énergie afin que celui-ci soit perçu comme une opportunité et non seulement comme une charge supplémentaire.
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4

Boshier, Roger. "True North Strong and Free: Three Wise Men and The Founding of CASAE/ACÉÉA." Canadian Journal for the Study of Adult Education 23, no. 2 (July 19, 2024): 11–26. http://dx.doi.org/10.56105/cjsae.v23i2.951.

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Abstract:
Education/l’Association canadienne pour l’Étude de l’Éducation des Adultes (CASAE/ACÉÉA) on May 6, 1980, occurred against a backdrop of unease about the influence of U.S. academics in Canadian university departments of adult education. In particular, CASAE advocates in Vancouver had to navigate around Coolie Verner, who felt adult education (as a discipline and field) was stalled by lack of consensus concerning fundamental concepts. He would be reluctant to endorse anything lacking rigour. Verner was not opposed to Canadians having their own organization, but, even so, his 1979 death created space for the founding of CASAE in 1980. This paper analyzes events leading to the less-than-dramatic CASAE birthing process involving three wise men. Despite early years on life support, by 1982 CASAE was where it should be—in a Vancouver Chinese restaurant toying with noodles. Thirty-one years after the founding, university adult education is in big trouble. But CASAE is still here and members are grateful to those who sustained it. Résumé Le congrès fondateur de l’Association canadienne pour l’Étude de l’Éducation des Adultes (ACÉÉA) eut lieu le 6 mai 1980, dans un contexte de malaise latent concernant l’influence et la proximité des universitaires américains dans les départements d’éducation des adultes au sein des universités canadiennes. En particulier, les partisans de l’ACÉÉA à Vancouver, ont dû composer avec Coolie Verner qui considérait que l’éducation des adultes (comme discipline et comme domaine) était bloqué par un manque de consensus concernant les concepts fondamentaux. Or il était réticent à approuver quoique ce soit manquant de rigueur. Verner n’était pas opposé à ce que les Canadiens aient leur propre organisation, mais quand même, sa mort en 1979, créa l’espace qui permit la fondation de l’ACÉÉA en1980. Cet article analyse les événements conduisant au congrès fondateur et au moins que dramatique processus de création de l’ACÉÉA qui fut dominé par trois sages. Malgré ses premières années de survie, dès 1982, l’ACÉÉA était où elle devait être - dans un restaurant chinois de Vancouver, jouant avec des nouilles et essayant d’identifier le mot français pour sauce soja. Trente-un ans après sa fondation, l’ACÉÉA continue d’exister et les membres sont reconnaissants envers ceux qui l’ont toujours soutenu.
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Lemieux, Raymond. "Quand les mots manquent…" Articles 20, no. 2 (July 9, 2008): 10–15. http://dx.doi.org/10.7202/018327ar.

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Abstract:
Résumé Les enjeux du travail de deuil concernent un sujet en devenir. Or la ritualité, dans l’expérience humaine, consiste précisément à explorer les limites de ce qui fonde l’entente entre les humains, les territoires de l’Autre (quelle que soit la représentation qu’on s’en fait), pour amorcer une régénération de la vie capable d’assumer l’expérience de la perte. Dans cette expérience, la musique non seulement joue un rôle d’accompagnement et de soutien, mais tient une place fondamentale. Non liée à des significations instituées comme le sont les langues naturelles dans lesquelles se déroule la parole, elle peut librement donner voix à l’indicible, exprimant l’émotion en deçà et au-delà de la parole. Elle porte ainsi le sujet à expérimenter le sublime, à faire l’expérience d’une traversée des limites qui contribue à sa survie.
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6

Crain, Jennifer, Steven McFaull, Deepa Rao, Minh Do, and Wendy Thompson. "Aperçu - Surveillance des brûlures thermiques et des échaudures dans les services d’urgence, d'après la base de données électronique du Système canadien hospitalier d’information et de recherche en prévention des traumatismes, 2013." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 37, no. 1 (January 2017): 33–35. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.37.1.03f.

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Abstract:
Introduction Bien que les taux de mortalité et d’hospitalisation associés à des brûlures au Canada aient diminué avec le temps1,2 des cas moins graves se présentent encore couramment aux services d’urgence. Methods Le Système canadien hospitalier d’information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT), un système de surveillance des blessures et des empoisonnements administré par l’Agence de la santé publique du Canada, est en place dans les services d’urgence de 17 hôpitaux3. Nous avons fait des recherches dans la base de données électronique du SCHIRPT (eSCHIRPT) afin de connaître le nombre de personnes de tous âges s’étant présentées aux urgences après avoir subi des brûlures thermiques ou des échaudures en 2013. Les brûlures causées par la friction, par des agents chimiques ou caustiques ou par un contact direct avec la foudre ont été exclues parce qu’il s’agit de circonstances exceptionnelles. Results Au total, 1 682 cas ont été recensés, soit 1,2 % (1 682 sur 137 245; 1 226 pour 100 000 cas dans l’eSCHIRPT) des blessures déclarées en 2013. La moitié étaient des échaudures (52,3 %; 879 sur 1 682) et 29,9 % (503 sur 1 682) résultaient d’un contact avec un objet brûlant. Les deux principales causes d’échaudures étaient es boissons chaudes et l’eau chaude (excluant celle du robinet), avec respectivement 34,1 % (292 sur 856; information manquante dans 23 cas) et 28,9 % (247 sur 856; information manquante dans 23 cas) des cas. Les deux principales causes directes de brûlures par contact étaient les cuisinières et fours (22,0 %; 109 sur 495; information manquante dans 8 cas) et les foyers et leurs accessoires (19,6 %; 97 sur 495; information manquante dans 8 cas). Dans l’ensemble, 13,0 % des cas (218 sur 1 682) étaient assez graves pour nécessiter une hospitalisation, et la plus forte proportion d’hospitalisations a été enregistrée parmi les personnes exposées à un incendie, à des flammes ou à de la fumée, soit 38,9 % (72 sur 185). Si la proportion globale de brûlures était plus élevée chez les femmes, la proportion de brûlures autres que par échaudures était plus élevée chez les hommes.
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Béguinot, Jean. "Extrapolation des inventaires de biodiversité incomplets : comment estimer au mieux le nombre d’espèces manquantes et prévoir l’effort additionnel d’échantillonnage requis pour réduire ce nombre." Bulletin de la société linnéenne de Lyon 85, no. 7 (2016): 246–58. http://dx.doi.org/10.3406/linly.2016.17799.

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Abstract:
Approcher l’exhaustivité reste l’objectif idéal de tout inventaire ; cependant la difficulté de réaliser des échantillonnages d’espèces sub-complets est appelée à s’accroître à mesure que se présentent des groupes taxonomiques plus difficiles à traiter (par exemple la plupart des groupes de micro-invertébrés) et que, par ailleurs, de multiples priorités d’investigations viennent entrer en concurrence. Pour autant, exploités de manière appropriée, les échantillonnages incomplets peuvent en dire plus qu’il ne semblerait au premier abord, et il apparaît possible d’en tirer un meilleur parti sous réserve de pouvoir réaliser des extrapolations numériques fiables. D’ailleurs, les outils adaptés à l’exploitation dans ce sens des échantillonnages incomplets ne manquent pas et pêchent même plutôt par la diversité des solutions proposées et, corrélativement, par la disparité des résultats auxquels elles conduisent. Heureusement, la mise en évidence récente de contraintes mathématiques restreignant les formulations acceptables de la Courbe d’Accumulation des Espèces au fil de l’accroissement de taille de l’échantillon permet désormais de faire une sélection efficace parmi les différentes solutions proposées, en faveur de l’extrapolation la plus fiable. Il devient ainsi possible (i) d’estimer avec une assez bonne exactitude le nombre d’espèces manquantes ayant échappé à l’échantillonnage et, partant, le niveau de richesse spécifique totale de l’ensemble inventorié ; (ii) d’extrapoler utilement la cinétique (progressivement ralentie) avec laquelle de nouvelles espèces viendraient s’ajouter à la liste déjà acquise par l’échantillonnage en cours, si celui-ci devait être poursuivi. Ceci permettant, du coup, de jauger objectivement le gain à attendre en termes de nouvelles espèces inventoriées, en fonction de l’effort d’échantillonnage supplémentaire à consentir. Toutes informations essentielles pour décider rationnellement de l’opportunité, soit de poursuivre, soit d’interrompre un échantillonnage en cours, compte tenu (i) du ratio gain attendu/ effort additionnel requis, (ii) du degré d’incomplétude de l’échantillon en cours (vis-à-vis de la richesse spécifique totale estimée), (iii) de la concomitance possible (et même courante) de priorités d’inventaires concurrentes, soit en d’autres sites, soit en faveur d’autres groupes taxonomiques. On illustre ici la mise en oeuvre de la procédure proposée d’extrapolation de la courbe d’accumulation des espèces permettant de «prolonger » numériquement l’échantillonnage déjà réalisé en considérant un récent inventaire de la faune cécidogène au sein du Parc National des Écrins. Cet inventaire rassemble les échantillonnages, inévitablement plus ou moins partiels, consacrés à chacun des quatre principaux ordres d’arthropodes cécidogènes : Acariens Trombidiformes, Hémiptères, Diptères, Hyménoptères.
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Manea, Ioana. "1 Robert Damien, « Naudé, Gabriel », dans Luc Foisneau, dir., Dictionnaire des philosophes français du XVIIe siècle, vol. I-II. Acteurs et réseaux de savoir, Paris, Classiques Garnier, 2021 : 1251-1256, p. 1253. 2 Lorenzo Bianchi, « L’Avis pour dresser une bibliothèque de Gabriel Naudé : prolégomènes pour une bibliothèque libertine ? », Littératures classiques, LXVI, 2 (2008) : 133-142, p. 139. 3 Voir, par exemple, Robert Damien, « Naudé, Gabriel », p. 1251-1252. Gabriel Naudé : plume prolifique nourrie par la critique et la quête encyclopédique." Oeuvres et Critiques XLVIII, no. 1 (August 14, 2023): 65–79. http://dx.doi.org/10.24053/oec-2023-0005.

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Abstract:
La carrière littéraire abondante de Gabriel Naudé s’est étendue sur à peu près trois décennies, de 1620 jusqu’aux alentours de 1650. Un thème récurrent de ses ouvrages est représenté par le « rationalisme critique1 » qui, dans plusieurs de ses écrits, l’incite à s’opposer aux idées qui participent soit de l’occultisme, soit de la contestation politique. Toujours est-il que, malgré son opposition aux idées qui animent la multitude, il plaide pour une « bibliothèque universelle2 », qui n’exclut pas les ouvrages comme ceux mentionnés auparavant. L’objectif de notre article consistera à comprendre si l’argumentation de Naudé en faveur d’une bibliothèque encyclopédique peut être réconciliée avec sa réflexion critique, qui met en question la valeur des ouvrages qui ne manquent pas d’adeptes.
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Brasset, Marie-Pierre. "Perspectives de chefs : points de vue de trois chefs d’orchestre québécois sur la notation musicale aujourd’hui." Circuit 25, no. 1 (April 16, 2015): 67–74. http://dx.doi.org/10.7202/1029477ar.

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Abstract:
La présente enquête porte sur la notation et offre la retranscription d’entretiens réalisés par la compositrice Marie-Pierre Brasset avec trois chefs d’orchestre de la scène de la création musicale contemporaine montréalaise, soit Lorraine Vaillancourt, Véronique Lacroix et Walter Boudreau. Dans ces entrevues menées individuellement, les chefs dévoilent la nature particulière de leur lien avec la notation et partagent diverses réflexions nourries de leur vaste expérience. Au fil des entretiens, les chefs ne manquent pas de souligner les écueils souvent rencontrés dans leur métier, mais expriment aussi leur admiration devant le haut degré de sophistication du système notationnel d’aujourd’hui.
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Jeggli, Steiner, Joller, and Hotz. "Hepatitis E und Abwasserkontakt." Praxis 92, no. 10 (March 1, 2003): 433–35. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.92.10.433.

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Abstract:
Le virus de l'hépatite E se rencontre dans les eaux usées. Toutefois, le risque pour les égoutiers est inconnu. Cette étude visait donc à estimer la prévalence de l'hépatite E chez les égoutiers du canton de Zurich. 594 personnes furent examinées (288 sujets exposés aux eaux usées et 306 contrôles). 22 personnes avaient des anticorps pour l'hépatite E, soit une prévalence de 3,7%. Chez deux personnes, le facteur de risque le plus fréquent, un voyage en zone d'endémie, manquait. Ces deux personnes étaient professionnellement en contact avec les eaux usées. Des recommandations pour la vaccination des égoutiers ne peuvent être faites actuellement. Il faut attendre le résultat du suivi qui permettra de calculer l'incidence de l'infection.
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Bistagne, Florence. "souverains plurilingues pour un royaume multilingue: d’Alphonse d’Aragon à Ferdinand de Naples (1442-1503)." Pedralbes. Revista d'Història Moderna 43, no. 1 (December 23, 2023): 135–55. http://dx.doi.org/10.1344/pedralbes2023.43-1.5.

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Abstract:
Le Royaume de Naples sous la Monarchie aragonaise (1442-1503) a dû négocier entre ladomination ibérique et l’identité «italienne» de la Renaissance. Les nouveaux dirigeants ontdûgagnerleur légitimité et l’italianité qui leur manquait en utilisant une politique linguistique etculturelle particulière, basée sur l’hybridation. En effet, si du point de vue littéraire, le latín jouait le rôle de langue prestigieuse, pour les autres niveaux de langage,la création d’un langue«mixte»compréhensible, de plus en plus italianisée au fil du temps, a permis de s’adresser àtous les cercles sociaux de tous les territoires. Il n’est pas surprenant qu’un des premiers auteursà écrire en italien toscan vulgaire normalisé à l’époque de la «questione della lingua», au debutdu XVIè siècle, soit le napolitain Jacopo Sannazzaro.
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Kouandongui Bangue Songrou, F., E. Bidan Tapiade, M. Ouimon, and T. Mobima. "Connaissances en matière de radioprotection des manipulateurs de radiologie de Bangui et de Bimbo (Centrafrique)." Radioprotection 54, no. 1 (January 2019): 41–45. http://dx.doi.org/10.1051/radiopro/2018046.

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Abstract:
Les rayons X, principales sources d’exposition aux rayonnements ionisants (RI) d’origine humaine ont un rôle nocif dans la genèse des affections malignes et cancéreuses. L’application des principes de radioprotection par l’ensemble du personnel utilisant les rayons X est une obligation réglementaire. L’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) recommande que ce personnel soit formé, avec des aptitudes et compétences vérifiées avant d’effectuer les tâches spécifiques. Une enquête a été menée auprès du personnel travaillant sous RI dans les établissements de radiodiagnostic de Bangui et de Bimbo pour évaluer leurs niveaux de connaissances en radioprotection. Parmi les enquêtes, 36,8 % étaient titulaires d’un diplôme de technicien supérieur en radiologie et imagerie médicale, formés à la radioprotection et sans renouvellement de leurs connaissances. Le niveau de connaissance de l’ensemble du personnel, quel que soit le profil et l’établissement est très modeste. L’application du principe de justification des examens n’est pas effective dans tous les établissements. Aucun contrôle qualité n’a jamais eu lieu dans les établissements, ceux-ci manquent de personnel référent en radioprotection et de matériel de protection contre les rayons X. Le gouvernement et l’ANR doivent poursuivre leurs efforts pour la formation continue en radioprotection du personnel et pour le contrôle qualité des installations. La diffusion de la culture de radioprotection entre praticiens est aussi à encourager.
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Tremblay, Daniel, and Isabelle Lemay. "La profession comptable devrait-elle s’associer à la divulgation d’informations financières liées à la durabilité?" Revue Organisations & territoires 33, no. 3 (January 31, 2025): 174–206. https://doi.org/10.1522/revueot.v33n3.1872.

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Abstract:
Le public et plus particulièrement les investisseurs réclament davantage de reddition de comptes de la part des entités, et ce, spécifiquement en regard de l’impact que celles-ci peuvent avoir sur les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance. En publiant leurs deux premières normes en lien avec la durabilité, les organismes de normalisation comptable aspirent vraisemblablement à devenir les chefs de file dans ce créneau en émergence, à tout le moins pour ce qui concerne le volet financier qui y est rattaché. Quoique l’adoption de ces nouvelles normes représente une avancée prometteuse, il reste encore fort à faire et l’implication de la profession comptable devra se faire en prenant soin de bien mesurer le risque d’atteinte à sa réputation. Les informations publiées s’appuient en grande partie sur des données hautement spécialisées, plusieurs d’entre elles manquent d’objectivité, restent relativement vagues et certaines peuvent même être teintées d’un fort degré de spéculation.
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Paquet, Marie-France, and Denis Bolduc. "Le problème des données longitudinales incomplètes : une nouvelle approche." Articles 80, no. 2-3 (October 24, 2005): 341–61. http://dx.doi.org/10.7202/011390ar.

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Abstract:
Résumé Dans ce travail, nous suggérons l’utilisation de l’échantillonnage de Gibbs combiné à l’augmentation des données pour estimer des modèles à données longitudinales incomplètes, qui dans le cas extrême où l’échantillon est composé de coupes transversales indépendantes, correspond au cas de modèle de type pseudo-panel. Cette idée peut être appliquée dans plusieurs contextes : modèles statiques ou dynamiques de type linéaires, non linéaires, de choix discrets, avec régresseurs endogènes, etc. Pour présenter la méthode proposée, nous l’appliquons dans le cas d’un modèle linéaire à variable dépendante continue. Comme point de comparaison, nous utilisons les estimations par l’approche conventionnelle dite de pseudo-panel basée sur des moyennes calculées sur des cohortes. La technique proposée dans ce travail donne des résultats supérieurs, en terme d’efficacité, à la technique conventionnelle. Cette conclusion demeure valide quelle que soit la proportion des observations manquantes.
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Morrison, Caitlin J., and Joseph M. Stamm. "Mes tatouages ont causé ma sécheresse oculaire?" Canadian Journal of Optometry 78, no. 2 (May 13, 2016): 11. http://dx.doi.org/10.15353/cjo.78.467.

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Abstract:
But. Le présent rapport de cas décrit les répercussions potentielles d’un tatouage de contour des yeux sur la structure et le fonctionnement des paupières, soit des symptômes accrus de sécheresse oculaire et d’autres anomalies. Rapport de cas. Une femme de 59 ans d’origine hispanique, aux prises depuis longtemps avec des symptômes de sécheresse oculaire peu soulagés par des larmes artificielles, a consulté pour une évaluation. Les examens d’imagerie ont révélé une perte de glandes de Meibomius, probablement causée par le tatouage de contour des yeux. L’application de compresses chaudes, le massage palpébral et l’utilisation de larmes artificielles à base de lipides ont permis d’atténuer les symptômes et d’améliorer les mesures objectives. Conclusions. Un contour des yeux tatoué de façon permanente peut accroître la sécheresse oculaire par deux mécanismes principaux : perturbation de l’architecture des paupières et inflammation chronique due aux granules de pigments dans l’encre de tatouage. Reconnaître ces possibles effets chez les patientes ayant le contour des yeux tatoué peut aider à offrir un traitement adapté à l’étiologie de la sécheresse oculaire : stimuler les glandes de Meibomius restantes par des compresses chaudes et un massage palpébral, et utiliser des larmes artificielles à base de lipides pour pallier l’absence de sécrétion de lipides par les glandes de Meibomius qui manquent.
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Rozanova, Julia, Norah Keating, and Jacquie Eales. "Unequal Social Engagement for Older Adults: Constraints on Choice." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 31, no. 1 (February 29, 2012): 25–36. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980811000675.

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Abstract:
RÉSUMÉBien que les associations positives entre l’engagement et le bien-être social dans la vie ultérieure ont été confirmées par certaines études, cette étude visait à comprendre pourquoi certaines personnes ainées ne peuvent pas être impliquées. Les auteurs ont analysé des expériences vécues de 89 ainés demeurant dans trois communautés rurales au Canada, raconté dans les entrevues demi-structuré, utilisant la méthode de comparaison constante. Cinq facteurs font des choix pour l’engagement social dans la vie ultérieure inégale parmi les personnes ainées qui diffèrent par le sexe, la classe, l’âge, et le statut de santé. L’engagement profond dans le travail de soin, l’altruisme obligatoire, les ressources personnelles, les occasions d’implication perçues objectivement et subjectivement disponibles, et les barrières ageistes autour des activités désirées comme le travail contraignent des choix pour les aînés qui manquent le privilège dans l’économie du marché, notamment pour les vieilles femmes à faibles revenus. Pour éviter nuire et stigmatiser les plus vieilles personnes vulnérables, les barrières sociales aux activités significatives doivent être abordées – par exemple, par la provision de sécurité de revenu ou renversant la discrimination en raison de l’âge dans l’accès au marché du travail.
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Boyard-Micheau, Joseph, and Pierre Camberlin. "Reconstitution de séries de pluies quotidiennes en Afrique de l’est : application aux caractéristiques des saisons des pluies." Climatologie 12 (2015): 83–105. http://dx.doi.org/10.4267/climatologie.1142.

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Abstract:
La reconstitution de données de pluies manquantes au pas de temps quotidien et à l’échelle stationnelle est parfois nécessaire pour l’étude de changements climatiques ou des travaux de climatologie appliquée. C’est le cas, en domaine tropical, de l’analyse des variations des caractéristiques des saisons des pluies (dates de démarrage et de fin, durée, etc.). A partir d’une approche méthodologique classique fondée sur une régression linéaire multiple pas à pas, mais appliquée pour tirer le meilleur parti possible des données disponibles et incluant une correction des biais, les performances de la reconstitution des pluies obtenues sont évaluées en considérant différents descripteurs de la structure temporelle des saisons des pluies est-africaines. L’Afrique de l’Est, par sa topographie contrastée et ses deux saisons des pluies forcées par des mécanismes d’échelles spatiales différentes, constitue une zone pertinente pour tester la méthodologie de reconstitution. Les résultats montrent que l’occurrence des jours de pluies ainsi que les quantités précipitées sont reproduites correctement dans les espaces où les précipitations sont les plus abondantes et où le nombre de pluviomètres est plus important. Si au pas de temps journalier, les performances des reconstitutions restent parfois modestes, elles sont bien plus satisfaisantes lorsqu’on les évalue à partir des caractéristiques saisonnières ou intra-saisonnières comme le cumul saisonnier, le nombre de jours de pluie, ou les dates de début et de fin des saisons des pluies. L’impact du comblement des lacunes est directement associé à la proportion de lacunes dans les séries temporelles de pluie, sans qu’il soit possible d’identifier un pourcentage de lacunes au-delà duquel les performances de la méthode de reconstitution se détériorent significativement. La distribution temporelle des valeurs manquantes a également un impact non négligeable sur la qualité de la reconstitution de la saison des pluies : ainsi, lorsque l’absence de données de pluie concerne de longues périodes continues, les caractéristiques de la saison des pluies sont mal reproduites.
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Créquy, Aude. "Ittoqqortoormiit et le développement touristique dans le Scoresby Sund (Groenland)." Études/Inuit/Studies 36, no. 2 (May 31, 2013): 147–63. http://dx.doi.org/10.7202/1015982ar.

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Ittoqqortoormiit est une petite ville située sur la côte nord-est du Groenland, à l’entrée du fjord de Scoresby Sund. Basée sur une économie cynégétique, la communauté était prospère jusqu’à la chute du marché des peaux mais, aujourd’hui, les possibilités d’embauche sont faibles et les habitants partent à la recherche d’un emploi dans le sud. Face à ces difficultés, la municipalité tente de redynamiser son économie et le tourisme paraît être une alternative intéressante. En effet, le tourisme polaire prend de l’ampleur dans l’ensemble de l’Arctique et le Scoresby Sund correspond, en termes de faune et de paysages, à la demande touristique. La région symbolise à elle seule le «véritable Arctique» que les visiteurs souhaitent vivre mais deux problèmes majeurs freinent le développement touristique à Ittoqqortoormiit. Le premier est le revers de la médaille de ce «véritable Arctique», sa difficulté d’accès. Les infrastructures manquent pour accueillir, en tout temps, le visiteur. Le deuxième problème empêchant Ittoqqortoormiit de bénéficier des revenus générés se trouve dans la forme même du tourisme d’aujourd’hui. Que ce soit le tourisme de croisière ou celui d’aventure, l’argent circule de mains occidentales en mains occidentales. Très peu d’argent est dépensé sur le territoire d’accueil et il ne bénéficie pas aux populations locales. Consciente de ces difficultés, l’agence de tourisme locale, Nanu Travel, s’emploie à rendre visible Ittoqqortoormiit au niveau international en offrant de nouvelles perspectives touristiques impliquant les Inuit.
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Joly, C., O. Coté, and L. M. Joly. "Fin de vie, limitation des thérapeutiques, éthique et législation : un retour sur 50 ans d’évolution en France." Annales françaises de médecine d’urgence 10, no. 2 (March 2020): 94–102. http://dx.doi.org/10.3166/afmu-2020-0223.

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Abstract:
Les urgentistes sont fréquemment confrontés à des décisions de limitation ou arrêt des thérapeutiques (LAT) en fin de vie. Il revient à l’urgentiste à la fois de décider la LAT et d’organiser les conditions de la fin de vie. Appliqué à des situations toujours singulières, parfois dramatiques, et dans lesquelles manquent souvent des informations à la phase initiale, l’exercice peut se révéler difficile. Sur le plan social et médiatique, la question de la fin de vie est récurrente. En seulement 20 ans, trois lois sont venues encadrer les décisions de LAT. Si la majorité de ces affaires ne concernaient pas directement les urgences, elles finissent par les impacter, car le problème de la fin de vie est universel. De plus, les urgentistes sont obligés d’appliquer les lois concernant la fin de vie, quand bien même celles-ci ne reconnaissent aucune spécificité à la mise en oeuvre des LAT en urgence. Que ce soit dans l’espace médiatique, professionnel ou privé, la parole d’un médecin urgentiste sur ce sujet sensible doit reposer sur une bonne connaissance des faits. Il en va de la crédibilité de la discipline en particulier et de la médecine en général. Il nous paraît donc intéressant de présenter une rétrospective de l’évolution législative ou réglementaire au sujet de la fin de vie en France depuis les années 1970, en montrant comment cette évolution a été intriquée avec les grandes affaires médiatisées survenues à la même époque.
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Samin, Richard. "Les paysages du Karoo dans la littérature sud-africaine : une esthétique de l’indicible." Études littéraires africaines, no. 39 (September 23, 2015): 39–50. http://dx.doi.org/10.7202/1033130ar.

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Abstract:
Dans l’introduction à son recueil d’essais sur la littérature sud-africaine blanche White Writing (1988), J.M. Coetzee soutient que les premiers colons européens en Afrique australe, devant l’aspect étrange et impénétrable des nouveaux paysages qui s’offraient à eux, ont éprouvé le besoin de se les approprier culturellement, de les humaniser en y projetant des modèles esthétiques qui leur étaient plus familiers, comme le paysage pastoral. J.M. Coetzee prolonge sa réflexion en affirmant que ce qui manquait à ces premiers colons, c’était une langue avec laquelle ils puissent s’adresser à l’Afrique, plus précisément une « langue adaptée à l’Afrique, une langue qui soit authentiquement africaine ». Le but de cette communication est de montrer que le Karoo, cette région semi-aride et géologiquement tourmentée du sud-est de l’Afrique du Sud, qui sert de cadre emblématique à de nombreux récits fictifs chez des romanciers sud-africains blancs (J.M. Coetzee, André Brink, Etienne Van Heerden, etc.), constitue un défi constant, sinon obsédant, auquel ils se confrontent. Il s’agira d’analyser en particulier, à la lumière des remarques de J.M. Coetzee, comment ces écrivains interrogent obstinément ces paysages en recherchant des formes linguistiques et narratives susceptibles de réduire leur caractère aliénant et mystérieux qui met à l’épreuve leur identité. Il s’agira aussi d’analyser comment leurs représentations du Karoo se muent en un lieu mythique et métaphorique où se réinscrivent, et parfois se rejouent, les enjeux historiques de la colonisation et où s’engendrent les interrogations, voire les incertitudes, sur la présence européenne en Afrique.
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BAUMONT, R., P. CHAMPCIAUX, J. AGABRIEL, J. ANDRIEU, J. AUFRÈRE, B. MICHALET-DOREAU, and C. DEMARQUILLY. "Une démarche intégrée pour prévoir la valeur des aliments pour les ruminants : PrévAlim pour INRAtion." INRAE Productions Animales 12, no. 3 (June 1, 1999): 183–94. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.3.3878.

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Abstract:
Cet article présente les principes retenus pour élaborer le module de prévision de la valeur d’un aliment à partir des résultats de son analyse. Le module PrévAlim, proposé avec la nouvelle version d’INRAtion, permet de calculer à la fois la valeur nutritive (UF, PDI) et pour les fourrages la valeur d’encombrement (UE) à partir de la nature de l’aliment et de la mesure de certaines de ces caractéristiques. Pour la valeur nutritive, une démarche séquentielle a été adoptée, centrée sur l’estimation de la dMO et de la dégradabilité de l’azote (DT) ; le calcul des valeurs UF et PDI utilise ensuite la séquence des équations des systèmes INRA 1988. L’estimation de la dMO se fait soit préférentiellement à partir de la méthode de digestibilité enzymatique pepsine-cellulase (dCs ou dCo), soit à partir de la composition chimique ou de l’âge de la plante. L’estimation de la DT et de la valeur PDI des concentrés est basée sur la méthode enzymatique avec une protéase (DE1). La valeur d’encombrement des fourrages est calculée à partir de l’ingestibilité estimée directement à partir de la composition chimique ou de la dMO ; les équations par grandes classes d’aliments ont été déterminées sur la base des Tables INRA 1988. Ce module rassemble, coordonne et met à jour des outils déjà disponibles (Tables de prévision de 1981 et équations publiées depuis) et des outils créés spécialement (estimation des UE). Les valeurs calculées (UF, PDI et UE) sont cohérentes entre elles ainsi qu’avec celles des Tables. L’approche hiérarchisée adoptée permet de calculer les valeurs même avec des informations manquantes et de retenir la méthode d’évaluation la plus pertinente en cas d’informations redondantes.
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Miandrisoa, RM, B. Ramilitiana, RR Rakotonoel, W. Rasamoelina, H. Ravaoavy, SA Ralamboson, N. Rabearivony, and S. Rakotoarimanana. "CONNAISSANCES DE L’HYPERTENSION ARTERIELLE ET DE SES COMPLICATIONS AU CENTRE HOSPITALIER DE SOAVINANDRIANA." Journal of Current Medical Research and Opinion 3, no. 01 (January 24, 2020): 415–21. http://dx.doi.org/10.15520/jcmro.v3i01.253.

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Abstract:
Introduction : A Madagascar, on assiste actuellement à une nette augmentation de la prévalence de l'hypertension artérielle (HTA)et de ses complications. Le but de cette étudeétait d’évaluer le niveau de connaissances des patients hypertendus en matière d’HTA,de connaitre le terme HTA et ses complications ainsi que la valeur tensionnelle cible sous traitement avant l’éducation thérapeutique. Méthodes : Nous avons mené une étude transversale et descriptive des patients hypertendus vus au centre hospitalier de Soavinandriana(CENHOSOA) du mois d’août 2015 à août 2016, soit 13 mois. Résultats : Au final, 346 patients ont été sélectionnés avec un âge moyen de 57,19 11,47 ans. Parmi eux, 61,56 % étaient des femmes; 33,8 % étaient scolarisés; 61,16 % étaient pris en charge et 75,36 % étaient mariés. Dans notre série, 78,32 % des patients ont déclaré connaître le terme d’HTA, pourtant 32,47 % seulement ont répondu exactement aux valeurs de la définition de l’HTA. Sur les 87,54 % des patients informés par leur médecin sur l'HTA, seuls 33,5 % connaissaient la définition exacte. Les 66,76 % des patients surveillaient régulièrement leur HTA, et 53,8 % consultaient leur médecin en cas d’élévation de la pression artérielle.Conclusion : Notre étude montre qu'il existe de nombreuses informations manquantes sur l'HTA chez les patients hypertendus et que bon nombre d'entre eux ne suivaient pas les recommandations en matière de gestion de l’HTA.
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Peretti, Pascale. "Ritualisations et processus identitaires chez les usagers et ex-usagers d’héroïne." Drogues, santé et société 10, no. 1 (February 21, 2012): 13–50. http://dx.doi.org/10.7202/1007847ar.

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L’introduction, ou la réintroduction, de la notion d’addiction dans le champ psychopathologique marque une certaine évolution des conceptions relatives aux pratiques toxicomaniaques. Moins centrées sur les effets psychopharmacologiques des produits, ou sur la mise en cause d’une « structure de personnalité » déviante, supposément commune à l’ensemble des sujets concernés, les approches contemporaines considèrent désormais le phénomène du point de vue de la dynamique psychologique qu’il met en jeu. Et dans cette perspective, l’addiction apparaît généralement comme un mécanisme de défense spécifique, transnosographique – c’est-à-dire dépassant le cadre des entités psychopathologiques traditionnellement identifiées comme telles –, un moyen de survie psychique ou de « sauvegarde identitaire » destiné à « compenser » une certaine fragilité narcissique. Ce que confirme la lecture anthropo-analytique du modèle d’expérience toxicomaniaque, fondée sur l’analyse thématique, puis structurale, d’un certain nombre de récits de vie d’usagers, ou d’ex-usagers, d’héroïne. Il ressort en effet de cette étude, qui combine quelques réflexions anthropologiques à la lecture psychanalytique des données, que la conduite d’intoxication pourrait participer de fonctions ritualisantes, comme le soulignent nombre d’auteurs, en mettant l’accent sur le retournement vers des modes archaïques du fonctionnement psychique, la valeur traumatolytique, l’effet anxiolytique ou encore la « fonction contenante » engagés par le recours au produit. Toutefois, ces approches se focalisent le plus souvent sur les effets protecteurs ou surprotecteurs de l’intoxication, négligeant les épreuves de pertes et de déconstruction que ne manquent pas d’occasionner de tels parcours. C’est pourtant en s’intéressant à ces « expériences négatives » qu’il devient possible de cerner le véritable sens rituel de ce modèle d’expérience, pour autant que ce soit bien de son sens à la fois symbolisant et socialisant que se fonde toute définition exhaustive du rite. Dès lors, c’est dans une certaine forme d’« initiation à la négativité » que pourrait poindre, pour ces sujets, la possibilité d’interroger les fondements de leur identité symbolique.
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CABARET, J., and C. NICOURT. "Les problèmes sanitaires en élevage biologique : réalités, conceptions et pratiques." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 235–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3350.

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Abstract:
Les problèmes sanitaires en élevage biologique (AB) ne doivent pas être étudiés de la même façon que dans les élevages conventionnels. En AB, la maladie est un indicateur de dysfonctionnement et c’est l’ensemble des maladies qui doit être considéré. Les maladies ne sont pas rares en AB et elles varient selon les espèces de rente en cause. Il semble que les maladies infectieuses et parasitaires ne soient pas différentes en AB et en conventionnel, bien que des différences soient notées pour les maladies métaboliques. L’évaluation de l’importance des maladies en AB repose pour beaucoup sur les déclarations (informations qualitatives) des éleveurs et des techniciens de l’élevage. Toutefois des informations objectives et quantitatives sont disponibles. Ainsi les mammites chez les bovins et les parasites internes chez les ovins sont des affections prédominantes, quelle que soit la source d’information. La planification de la santé du troupeau est un des buts de l’agriculture biologique, et reste incomplètement mise en oeuvre, même dans les pays d’Europe du Nord. La planification sanitaire n’est pas seulement technique, il faut aussi inclure la bonne volonté et l’adhésion des éleveurs à ses propositions techniques. Nous manquons d’informations sur les conceptions des éleveurs qui président à la construction de leurs plans de prévention sanitaire. Nous présentons un exemple d’élevages ovins allaitants, qui montre que les valeurs culturelles peuvent prendre une part importante dans les conduites de gestion de la santé. Deux attitudes ont été recensées, l’une fondée sur la construction d’un troupeau de croisière tandis que l’autre, plus orientée sur l’essai thérapeutique, s’appuie sur les ressources médicamenteuses du règne végétal en particulier. L’appréciation des choix culturels des éleveurs apparaît dès lors un préliminaire indispensable à toute construction d’une gestion de la santé en AB.
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Chabot, Jacques. "Industrie néolithique de longues lames en obsidienne, l’exemple d’Aknashen-Khatunarkh (Arménie, début du VIe millénaire) : sur la piste des premiers débitages par pression." Journal of Lithic Studies 4, no. 2 (September 15, 2017): 163–79. http://dx.doi.org/10.2218/jls.v4i2.2542.

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Abstract:
Aknashen (autrefois appelé Khatunakh) est un petit village néolithique de la vallée de l’Ararat localisé à 25 km de Erevan (capitale de l’Arménie) et à 5 km au sud-ouest d’Echmiadzin (Vagharshapat). Aknashen est également situé à seulement six kilomètres d’un autre village néolithique qui lui est contemporain : Aratashen, site pour lequel nous avons récemment publié une étude tehnologique du matériel lithique en obsidienne. Des fouilles ont eu lieu chaque année à Aknashen depuis 2004. En ce qui concerne le matériel lithique, ces travaux ont permis de mettre au jour deux chaînes opératoires principales de matériel en obsidienne (matière très abondante dans cette région) : l’une est peu élaborée sur éclats (expedient tools) et l’autre concerne la confection de longues lames régulières selon plusieurs techniques de débitage. Le présent article portera sur l’industrie laminaire de longues lames régulières obtenues par différentes techniques : pression debout à la béquille, pression au levier et percussion indirecte. La ou les chaînes opératoires qui concernent ces artefacts ne peuvent être reconstituées en entier puisque des éléments manquent et nous ne pouvons pas savoir de façon absolue si par exemple les fines lames débitées par pression à la béquille ont été obtenues après le débitage et la réduction progressive de nucléus d’abord taillés par percussion indirecte, puis par pression au levier. Mais même si divers facteurs nous échappent, dont aussi notamment les lieux exacts où s’est déroulé le débitage, même si la présence d’une panoplie de produits de débitage laisse présumer que le tout se soit déployé en tout ou en partie sur le site, une étude attentive de ce matériel a permis de diagnostiquer les techniques utilisées, mais aussi d’observer le grand niveau de savoir-faire des spécialistes qui ont effectués ce travail de pointe. De façon générale, la pression à la béquille, ainsi que la percussion indirecte, sont les deux techniques d’obtention de longues lames les mieux connues, alors que la pression au levier, même si identifiées dans plusieurs cultures du Néolithique à l’Âge du bronze a fait l’objet de peu d’études de ce genre jusqu’ici. Non seulement ce savoir-faire de haut niveau gagne-t-il à être connu d’un point de vue technologique, mais la reconnaissance du débitage par pression au levier, peut justement constituer un marqueur culturel précieux pour en arriver à caractériser des cultures, des échanges et éventuellement des mouvements ou contacts entre populations. Dans le cadre de cet article, les principaux spécimens liés à l’identification de chaque technique seront présentés, décrits et commentés et ce matériel sera replacé dans une perspective plus large pour la compréhension de cette culture et de ses origines, autant d’un point de vue de l’histoire des techniques et des savoir-faire que pour la connaissance des origines de ce Néolithique encore mal connu. Comme ces recherches sont encore relativement jeunes, bien des aspects sont encore à confirmer et ceci fait partie de travaux qui se poursuivront dans les années à venir.
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LEBEAU, J.-P. "META-COVID." EXERCER 31, no. 166 (October 1, 2020): 339. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.166.339.

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Abstract:
Au-delà de la maladie et de la situation épidémiologique, la Covid-19 donne déjà lieu à nombre d’études et de réflexions sociologiques. Il faut dire que rarement la sociologie a été en terrain aussi fertile. La cacophonie politique est habituelle, certes, mais il est rare que les uns et les autres fassent preuve d’aussi peu d’assurance dans des déclarations où leur désarroi face à des réalités scientifiques complexes et rapidement évolutives semble avoir remplacé leurs habituelles certitudes socio-économiques. Reflets de ces deux aspects, la cacophonie médiatique atteint quant à elle des niveaux insoupçonnables. Pour ce qui nous concerne plus spécifiquement, et de manière cette fois très inhabituelle, la cacophonie scientifique n’a guère à envier, par son ampleur, à la précédente. Des experts de rencontre n’ont pas hésité à mélanger les genres et, tout en parlant au nom de leur discipline, voire de la médecine tout entière, à quitter la posture scientifique pour adopter celle habituellement réservée aux journalistes de l’audiovisuel et aux polémistes. Sans doute ont-ils mal mesuré les conséquences d’une exposition médiatique inhabituelle et de l’amplification démesurée de propos qui manquaient déjà cruellement de mesure. Quoi qu’il en soit, cet abandon des règles du débat scientifique au profit de la déesse aux mille bouches a fait dans les rangs de la science une victime de taille : la rigueur. Entre méthodes manifestement inadaptées, protocoles allègrement violés, résultats contradictoires et discussions surréalistes, entre auteurs pseudo-scientifiques, relecteurs virtuels et éditeurs complices, on n’aura pu que constater avec consternation l’extrême fragilité de la frontière qui sépare la littérature scientifique de la presse populaire1. Après avoir tenté dans de précédents numéros d’apporter au débat sur la situation sanitaire une analyse rigoureuse des données disponibles à l’usage des soins premiers, des praticiens et du système de soins, nous vous proposons aujourd’hui un numéro sans Covid, mais qui ne transige pas sur la rigueur. Rigueur impeccable dans la méthode, la description et l’analyse des résultats de recherche qualitative des articles de Guineberteau et al. et Hamedi et al. et dans les résultats de revue de littérature de Gimenez et al. Rigueur dans la relecture critique de la recherche quantitative de l’essai « Bacloville » par Boussageon et al. Rigueur dans la conduite des entretiens qualitatifs analysée par Lamort-Bouché et al., ou dans la critérisation de l’agrément de terrains de stage hospitaliers proposée par Jedat et al. Il ne s’agit pas, bien sûr, pas de donner l’exemple, et encore moins de donner des leçons. Juste de poursuivre notre tâche.
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Aichatou, Ibrahim, Dan Lamso Nomao, and Sido Yacouba Amir. "Fertilisation du riz sur les périmètres irrigués de la région de Tillabéry." Journal of Applied Biosciences 182 (February 28, 2023): 19050–59. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.182.6.

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Objectif : Le riz est l’une des principales cultures des périmètres irrigués de la vallée du fleuve Niger. Pour le fertiliser, les riziculteurs utilisent l’urée et le NPK. Une étude a été conduite sur les périmètres irrigués de Daikaina, N’Dounga3 et Liboré dans la région de Tillabéry. Donc l’objectif est de contribuer à l’amélioration des connaissances sur la fertilité des sols, de la qualité des fertilisants, et des pratiques de leur utilisation. Méthodologie et résultats : Elle s’est basée sur des Questionnaires et échantillonnage des producteurs qui ont été surtout focalisées sur : l’utilisation des fertilisants organiques et minéraux, l’effet de la fertilisation sur la production du riz et la gestion de la fertilité de leur exploitation par les paysans. L’analyse des données a été effectuée en utilisant le logiciel Excel. Les résultats obtenus ont montrés : une répartition des exploitants selon le sexe ; le mode d’acquisition de terre par les exploitants ; les variétés cultivées et leur provenance ; Caractéristiques agro-pédologiques ; Fertilisation et effet de la fertilisation sur les rendements du riz et l’effet de la fertilisation sur le rendement. Cette étude a aussi montré que 78,7% des paysans de Liboré sont bien conscients de la baisse de la fertilité des sols, mais par négligence ou faiblesse des moyens, ils ont préféré les méthodes de gestion de fertilité par l’apport excessive d’engrais chimique au lieu de combiner les deux. En effet, les apports organiques manquent sur les parcelles d’une part à cause d’un manque de moyen financiers et matériel des producteurs pour acheminer le fumier sur le périmètre, d’autre part parce que les résidus de récolte sont surtout utilisés à des fins alimentaire pour le bétail. Mots Clés : Périmètre rizicole, Riz, Normes techniques, Fertilisation, Daikaina, Liboré, N’Dounga3 Tillabéry, Niamey ABSTRACT Objective: Rice is one of the main crops grown in the irrigated areas of the Niger River valley. Rice farmers use urea and NPK to fertilize the crop. A study was conducted on the irrigated areas of Daikaina, N'Dounga and Liboré in the Tillabéry region. The objective is to contribute to the improvement of knowledge on soil fertility, fertilizer quality, and fertilizer use practices. Methodology and results: It was based on questionnaires and sampling of producers, which focused mainly on - use of organic and mineral fertilizers, effect of fertilization on rice production and Farmers' management of their farm's fertility. Data analysis was carried out using Excel software. The results obtained showed: a distribution of farmers according to gender; the mode of land acquisition by farmers; the varieties grown and their origin; agro-pedological characteristics; 19050 Aichatou et al., J. Appl. Biosci . Vol : 182, 2023 Fertilisation du riz sur les périmètres irrigués de la région de Tillabéry fertilization and the effect of fertilization on rice yields. This study also showed that 78.7% of farmers in Liboré are well aware of the decline in soil fertility, but due to negligence or lack of resources, they have preferred fertility management methods based on excessive chemical fertilizer inputs instead of combining the two. In fact, organic inputs are lacking on the plots due to a lack of financial and material resources on the part of producers to transport manure to the perimeter, and also because crop residues are mainly used for livestock feed. Keywords: Rice perimeter, Rice, Technical standards, Fertilization, Daikaina, Liboré, Tillabéry, Niamey
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Craig, Elaine. "Converging Feminist and Queer Legal Theories: Family Feuds and Family Ties." Windsor Yearbook of Access to Justice 28, no. 1 (February 1, 2010): 209. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v28i1.4495.

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Abstract:
The notion that queer theory and feminism are inevitably in tension with one another has been well developed both by queer and feminist theorists. Queer theorists have critiqued feminist theories for being anti-sex, overly moralistic, essentialist, and statist. Feminist theorists have rejected queer theory as being uncritically pro-sex and dangerously protective of the private sphere. Unfortunately these reductionist accounts of what constitutes a plethora of diverse, eclectic and overlapping theoretical approaches to issues of sex, gender, and sexuality, often fail to account for the circumstances where these methodological approaches converge on legal projects aimed at advancing the complex justice interests of women and sexual minorities. A recent decision from the Ontario Court of Justice addressing a three-parent family law dispute involving gay and lesbian litigants demonstrates why recognition of the convergences between feminist and queer legal theories can advance both queer and feminist justice projects. The objective of this article is to demonstrate, through different and converging interpretations of this case that draw on some of the theoretical insights offered in a new anthology called Feminist and Queer Legal Theory, one rather straight-forward claim. The claim advanced here is that activists, advocates, litigants and judges are all well served by approaching complex legal problems involving sex, sexuality and gender with as many “methods” for pursuing and achieving justice as possible.La notion que la théorie homosexuelle et le féminisme sont inévitablement en conflit l’un avec l’autre a été bien développée à la fois par les théoriciens et théoriciennes homosexuels et féministes. Les théoriciens et théoriciennes homosexuels ont critiqué les théories féministes les qualifiant d’être anti-sexe, trop moralistes, essentialistes et étatistes. Les théoriciens et théoriciennes féministes ont rejeté la théorie homosexuelle la qualifiant d’être pro-sexe sans esprit critique et dangereusement protectrice du domaine privé. Malheureusement, ces descriptions réductionnistes de ce qui constitue une pléthore d’approches théoriques aux questions de sexe, de genre et de sexualité qui sont diverses, éclectiques et qui se chevauchent manquent fréquemment de tenir compte de circonstances où ces approches méthodologiques convergent sur des projets légaux visant à faire avancer les intérêts juridiques complexes des femmes et des minorités sexuelles. Une décision récente de la Cour de justice de l’Ontario portant sur un litige en droit de la famille entre trois parents et impliquant des parties homosexuelles et lesbiennes démontre pourquoi la reconnaissance des convergences entre les théories juridiques féministes et homosexuelles peut faire avancer à la fois les projets légaux homosexuels et féministes. Le but de cet article n’est pas de suggérer qu’une seule «théorie juridique féministe homosexuelle» convergente soit possible, ou même désirable. Plutôt, le but est de démontrer, par le biais d’interprétations différentes et convergentes de ce cas qui s’inspirent de certaines intuitions théoriques présentées dans une nouvelle anthologie intitulée Feminist and Queer Legal Theory, une proposition assez simple. La proposition avancée ici est que les activistes, les avocats, les parties à un litige et les juges sont tous bien servis en abordant des problèmes légaux complexes au sujet de sexe, de sexualité et de genre avec autant de «méthodes» que possible pour considérer la justice dans tous ses détails.
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CADWALLADER, J.-S. "Théorie versus réalité." EXERCER 31, no. 159 (January 1, 2020): 3. http://dx.doi.org/10.56746/exercer.2020.159.3.

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Abstract:
Théorie (vous, en train de lire rapidement le rapport de l’Organisation mondiale de la santé sur la santé des adolescents) : « De nombreux comportements à risque pour la santé, comme la consommation de substances psychoactives ou les comportements sexuels à risque, commencent à l’adolescence. Les comportements à risque peuvent à la fois constituer une stratégie inefficace pour faire face à des problèmes de santé mentale et avoir de graves conséquences sur le bienêtre mental et physique d’un adolescent. »1 Mémo rédigé par vous : « C’est facile : l’interrogatoire sur les pratiques sexuelles est donc indispensable lors de toute rencontre avec l’adolescent ou l’adolescente, et il faut insister sur la contraception. À retenir. » Réalité (vous en consultation avec une jeune femme de 16 ans que vous connaissez depuis plusieurs années, accompagnée de sa meilleure amie) : « Oh docteur, je me suis pas protégée, il est plus âgé, vous savez, et j’ai confiance, il a pas de maladies. Ma copine elle peut vous dire, moi je lui dis tout, mes parents comprennent rien. » Euh… Théorie (vous, en groupe d’échange de pratique, en train d’écouter avant le repas du soir un collègue qui aime beaucoup les théories de psychiatrie et fait un retour) : « La gratification, telle que décrite par Katz en 19732, est au coeur de la structure psychique des jeunes personnes. Il existe neuf critères repris par l’American Psychiatric Association pour parler de jeu pathologique dont la définition est "l’utilisation persistante et répétée d’Internet pour pratiquer des jeux, souvent avec d’autres joueurs, conduisant à une altération du fonctionnement ou une détresse cliniquement significative comme en témoignent au moins cinq des neuf manifestations sur une période de douze mois"3. Ces critères sont entre autres, et je ne rentre pas les détails car c’est évident et qu’il est bientôt l’heure de manger, les symptômes de sevrage quand l’accès aux jeux sur Internet est supprimé, le besoin de consacrer des périodes de temps croissantes aux jeux sur Internet ». Mémo rédigé par vous : « Truc compliqué, pas le temps de lire tout ça ; et ça me concerne pas vraiment en tant que médecin généraliste ? ». Réalité (vous en consultation avec un jeune homme de 20 ans inquiet pour son frère de 14 ans qui s’isole de plus en plus de sa famille) : « Docteur, vous comprenez, depuis que le mode Battle Royale de Fortnite© existe, il est en permanence en ligne, il kiffe le gameplay et pour le moment il a rien acheté heureusement, mais je sens que ça va pas tarder ». Ah ouais… Vous aussi, vous sentez parfois le décalage entre les théories extrêmement plaisantes et fluides exposées sur les bancs de la faculté ou dans les recommandations officielles et votre pratique quotidienne de médecine générale quelquefois déconcertante ? Comment répondre aux demandes de la nouvelle génération en particulier de comprendre son langage, ses codes, ses rituels ? Les travaux présentés dans ce numéro, issus de la pratique des soins premiers, sont d’excellents exemples d’apport de connaissances et de réflexions utiles aux lecteurs praticiens sur des situations autour des adolescents ou jeunes adultes4,5. exercer est ainsi le chaînon manquant entre la théorie et la pratique, l’interface entre ces deux univers. Accueillir des internes ou des externes dans son lieu de travail est aussi un excellent moyen de faire ce lien6. Bref : lisez exercer et dites-le autour de vous.
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Cialdella, P., F. Munoz, and N. Mamelle. "Les limites de validité des scores dimensionnels de la Hopkins Symptom Checklist : à propos d’une analyse en composantes principales sur 457 femmes." Psychiatry and Psychobiology 4, no. 4 (1989): 211–20. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002777.

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RésuméLa Hopkins Symptom Checklist-58 ou HSCL-58 (Derogatis et al., 1974) est un autoquestionnaire de 58 items largement employé au cours des essais de psychotropes et en épidémiologie psychiatrique pour l’évaluation des troubles névrotiques et affectifs. Cet instrument permet des scores sur 5 dimensions définies sur des bases théoriques et empiriques (analyses factorielles), dont la validité repose sur la stabilité de la structure factorielle au sein de différents échantillons. Or, la plupart des analyses factorielles de la HSCL-58 ont concerné des groupes de patients recrutés dans des centres de soin (groupes cliniques). Il importait donc de vérifier la stabilité factorielle sur des sujets névrotiques provenant d’une population tout-venant (groupes subcliniques).Au cours d’une enquête épidémiologique sur les facteurs de risque de prématurité (Mamelle et al., 1987), menée dans 4 maternités de Lyon, 1 643 femmes enceintes de 6 mois avaient rempli un questionnaire psychopathologique comprenant 45 items extraits de la HSCL (la plupart des items manquants par rapport à la HSCL-58 n’appartenaient à aucune des 5 dimensions). Les évaluations d’avant-grossesse ont été utilisées pour définir un groupe ≪subclinique≫, en sélectionnant les femmes qui avaient obtenu les scores totaux à la HSCL (45 items) les plus élevés, ce score procurant une estimation de gravité névrotique. Le seuil de gravité ne pouvant être qu’arbitraire, nous avons décidé de retenir un ratio nombre de sujets/nombre de variables égal à 10. Au total, 457 femmes (27,8% de l’échantillon initial) ont été considérées dans l’analyse. Pour nous assurer de la proximité de ce groupe ≪subclinique≫ d’avec les groupes ≪cliniques≫, nous avons comparé les notes moyennes des items d’anxiété et de dépression de notre échantillon avant et après sélection, avec celles de 3 groupes décrits par Derogatis et al. (1974) : 2 groupes cliniques, un de patients névrotiques anxieux, un autre de déprimés névrotiques, et un troisième groupe de sujets normaux, représentatif de la population d’Oackland. Une analyse en composantes principales avec rotation varimax assortie d’une méthode de choix du nombre de facteurs décrite par Comrey (1978) a été utilisée. Les notes moyennes des items d’anxiété et de dépression de notre groupe ≪subclinique≫ de 457 femmes se sont révélées proches de celles des névrotiques anxieux de Derogatis, mais plus faibles que celles des déprimés névrotiques, et plus élevées que celles des sujets normaux (Tableau I). Une solution à 4 facteurs est apparue la meilleure: ≪vulnérabilité≫, ≪somatisation≫, ≪tension≫, et ≪troubles cognitifs≫ (Tableau II). Deux facteurs (somatisation et troubles cognitifs) reproduisent de près la structure attendue, le facteur vulnérabilité étant proche d’un facteur dépression, mais les items de sensitivité et d’anxiété n’ont pas formé les facteurs espérés.Nos résultats confirment donc les données de la littérature concernant la stabilité relative des dimensions somatisation et obsession (ou plutôt troubles cognitifs), et l’instabilité des dimensions anxiété et sensitivité, le cas de la dépression étant intermédiaire. Il semble, en conclusion, que les scores dimensionnels de la HSCL-58 ne présentent pas une validité suffisante pour être employés dans les groupes subcliniques.
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Guillopé, Thierry. "L’échelon manquant ? Les archives municipales en Algérie : histoire de fonds et possibilités historiographiques." L'Année du Maghreb 32 (2024). https://doi.org/10.4000/13616.

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Abstract:
Après d’autres, cet article articule pour l’Algérie l’histoire de dépôts municipaux, la présentation des archives qu’ils recèlent et des pistes de recherche qu’ils autorisent. Il s’inscrit plus généralement dans le sillage de travaux de plus en plus nombreux qui croisent, de façon étroite, réflexions archivistiques et historiques. D’une part, penser ensemble les archives et les dynamiques coloniales et impériales a fait l’objet de recherches particulièrement stimulantes, qu’elles soient transversales ou relatives à des terrains plus spécifiques. D’autre part, les « archives urbaines » forment un objet de recherche en tant que tel. Les recherches sur l’histoire de l’Algérie des XIXe et XXe siècles sont de leur côté en plein renouvellement. Les documents sur lesquels elles se fondent ont été produits par des individus et des institutions très variés. Ils sont actuellement éparpillés, pour l’essentiel, entre l’Algérie et la France. Toutefois, les papiers produits par les municipalités manquent toujours à l’appel. C’est pourquoi leur repérage, leur description et leur analyse sont indissociables d’une histoire de leur archivage (Bloch, 1932). L’enjeu n’est pas seulement d’explorer ces fonds ; il est aussi d’en comprendre les logiques de conservation, de destruction et de classement, pour mieux en circonscrire l’intérêt historiographique.Une histoire sommaire de la culture archivistique en Algérie, de 1830 à nos jours, constitue un premier temps de ces réflexions. Les individus s’occupant des papiers municipaux, encore tous inconnus de l’historiographie, sont ici mis en avant. L’importance de leurs réseaux et de leurs formations sur leurs pratiques archivistiques est notamment interrogée. Il en va de même des lieux d’entreposage et des déménagements successifs qui forment le cadre matériel de la conservation. Ces individus, ces lieux et ces pratiques sont saisis à partir d’une myriade de traces éparpillées entre l’Algérie et la France. Les archives des services responsables de la préservation des fonds forment l’une des sources essentielles de ce travail. Elles consistent en rapports annuels des conservateurs, en rapports d’inspection de leur tutelle ou encore en bordereaux de versement. Tous ces documents sont d’une grande richesse pour comprendre la « mise en archive » (Chabin, 2021). Bulletins municipaux, annuaires et rapports administratifs permettent également de comprendre les lieux, les acteurs et les institutions à l’œuvre. De plus, la presse est mobilisée pour éclairer divers événements et trajectoires essentiels à la compréhension de cette histoire. Les archives des communes de la wilaya d’Alger font l’objet, dans un deuxième temps, d’un examen plus détaillé. Il met en évidence la réglementation renouvelée qui les encadre, leurs conditions d’accès, l’état des fonds et leur inscription dans une histoire plus longue. L’article rend également compte des résultats d’un important travail d’archivistique réalisé sur ces fonds par Aïcha Mati (2013), en arabe comme c’est très majoritairement le cas depuis les années 2000. Son autrice a ainsi multiplié les stages, les entretiens et les questionnaires auprès d’une cinquantaine de services d’archives ou de secrétaires généraux d’Assemblées populaires communales (APC). Il ressort de cette enquête une très grande hétérogénéité des situations : différence des volumes conservés, inégalité des amplitudes chronologiques couvertes, disparité de l’état matériel des archives et des dépôts, forts contrastes dans l’avancement des classements.La présentation de fonds d’archives qui en sont issus vient clore, en un troisième temps, cette étude. Permettre de combler certains angles morts de l’historiographie n’est pas, en effet, le moindre de leur intérêt. Ils autoriseraient une histoire de la propriété urbaine et des sociabilités de quartier, des pratiques agricoles, de la justice, etc. Les fonds conservés par les municipalités permettent surtout de se tenir au plus près de la vie quotidienne. Ils constituent en cela une focale d’observation complémentaire à celle permise par d’autres sources mieux connues ou davantage employées (archives issues de l’administration préfectorale ou gubernatoriale, écrits de notables…).Ainsi, d’Oran à Annaba en passant par Alger, comme dans de plus petites localités, cet article est une invitation à se plonger dans les archives des municipalités. Passées au crible de questionnements anciens ou renouvelés, et si tant est que leur accès soit permis aux chercheurs, elles seraient bien de nature à dynamiser l’écriture de l’histoire de l’Algérie.
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Bougonna, Yanis, Thomas Ritzenthaler, and Carole Bodonian. "Gestion paramédicale de l’échange plasmatique." Médecine Intensive Réanimation, November 11, 2020. http://dx.doi.org/10.37051/mir-00039.

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Abstract:
L’échange plasmatique est une technique d’aphérèse thérapeutique qui permet soit d’éliminer une substance pathogène du sang, soit d’apporter une substance manquante, soit d’obtenir des effets immunomodulateurs, par séparation du plasma des autres composés du sang, grâce à un circuit de circulation extracorporelle. Le branchement, la surveillance et le débranchement d’un circuit d’échanges plasmatiques correspondent à un acte infirmier réalisé sur prescription médicale, dépendant de l’article R4311-7 du code de la santé publique. L’objectif de cet article est de revoir les indications de l’échange plasmatique en réanimation, les différentes techniques utilisées, ainsi que la surveillance des complications et leur prévention.
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Jami, Sylvie, Tao-Yan Jen, Dominique Laurent, Georges Loizou, and Oumar Sy. "Extraction of Association Rules for the Prediction of Missing Values." Revue Africaine de la Recherche en Informatique et Mathématiques Appliquées Volume 3, Special Issue... (November 27, 2005). http://dx.doi.org/10.46298/arima.1834.

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Abstract:
International audience Missing values in databases have motivated many researches in the field of KDD, specially concerning prediction. However, to the best of our knowledge, few appraoches based on association rules have been proposed so far. In this paper, we show how to adapt the levelwise algorithm for the mining of association rules in order to mine frequent rules with a confidence equal to 1 from a relational table. In our approach, the consequents of extracted rules are either an interval or a set of values, according to whether the domain of the predicted attribute is continuous or discrete. La présence de valeurs manquantes ou valeurs nulles dans les bases de donnnées a suscité de nombreuses recherches dans le domaine de la découverte des connaissances, notamment en ce qui concerne la prédiction. Cependant, à notre connaissance, peu de telles approches utilisent les règles d'association pour la prédiction des valeurs manquantes. Dans cet article, il est montré comment adapter les différents concepts et algorithmes par niveau liés aux règles d'association, afin d'obtenir des règles fréquentes et de confiance 1, permettant la prédiction de valeurs manquantes dans une table relationnelle. La particularité des règles extraites dans notre approche est que leurs conséquents se présentent sous la forme d'intervalles ou d'ensembles de valeurs, selon que le domaine de l'attribut sur lequel les valeurs sont prédites est soit continu soit discret.
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Dionne, Liliane, Christine Couture, and Lorraine Savoie-Zajc. "Le Tableau ST: un site web pour diffuser des pratiques gagnantes en sciences et technologies." Actes du Symposium JEAN-PAUL DIONNE Symposium Proceedings 1 (March 1, 2018). http://dx.doi.org/10.18192/jpds-sjpd.v1i0.2175.

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Abstract:
Certains constats soulignent le fait que les enseignants au palier élémentaire manquent souvent de formation pour enseigner adéquatement les sciences et les technologies (ST). De nos jours, les élèves doivent développer leurs compétences scientifiques et environnementales pour faire face aux défis du 21e siècle. Un travail de longue haleine nous a permis de développer un site web : le Tableau ST, pour fournir un appui aux enseignants afin de promouvoir l’enseignement des ST en classe, grâce à des pratiques gagnantes rendues accessibles. Les pratiques gagnantes sont définies comme celles qui accompagnent les élèves dans leurs apprentissages et rejoignent des critères définis à la fois par les praticiens, les programmes ministériels et les recherches en didactique. Ce texte présente tout d’abord la problématique, puis le cadre conceptuel qui a animé un travail de trois ans visant à caractériser des pratiques gagnantes en ST d’enseignants de 4e à 6e année dans le but de les diffuser dans un site web. Puis, sont exposés notre méthodologie et enfin les résultats soit les retombées en termes des caractéristiques qui distinguent ces exemples choisies, l’organisation du site web et finalement l’inventaire des pratiques gagnantes obtenues.
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Gerard, François, and Jean Hindriks. "Numéro 35 - octobre 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15923.

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Abstract:
Quelles sont les communes les mieux gérées de Wallonie ? C’est la question à laquelle nous avons essayé de répondre, loin de toute polémique, dans ce numéro de Regards économiques en livrant un "Palmarès des villes et communes en Wallonie : une approche en termes d’efficacité". C’est la première évaluation de la bonne gouvernance dans le sud du pays. Pour ce faire, nous avons collecté des infor­mations pertinentes sur la bonne exécution des compétences communales, regroupées en cinq familles (services administratifs, voiries et transports, enseignement, services sociaux et médicaux, environne­ment et propreté). Nous avons ensuite mis les performances de chaque commune, en regard avec les recettes ordinaires par habitant dont elle dispose. Nous avons ensuite comparé les communes entre elles, en appliquant la méthode de dominance qui consiste à identifier les communes qui "font mieux avec moins de moyens". Résultat ? Celui-ci est illustré en page 3 de Regards économiques (cf. document pdf joint) à travers une cartographie en couleurs des villes et communes wallonnes. Les communes les plus performantes qui caracolent en tête de classement se trouvent en jaune clair. Plus la teinte des entités est foncée, moins la commune est performante. Un certain nombre de communes, surtout dans la région liégeoise (en gris sur la carte), ne sont pas classées, la Direction générale des pouvoirs locaux de la Région wallonne n’ayant fourni aucun budget à leur sujet. Des communes se démarquent nettement des autres en faisant mieux sur les cinq familles d’indicateurs, avec moins de recettes, que beaucoup d’autres communes. Ainsi Flobecq fait mieux que 36 autres communes et Ottignies-Louvain-la-Neuve supplante 26 entités. Il importe de signaler qu’il ne s’agit pas d’un palmarès du bien-être. Il n’y a en effet pas de corrélation entre les revenus moyens d’une commune et sa place dans le classement. Il n’existe pas davantage de rapport entre le nombre d’habitants ou la densité de population et la place d’une commune dans notre classement. Le verdict est-il sans appel pour les entités les plus mal administrées ? Disons plutôt que ce palmarès signale aux édiles communaux que, sur un certain nombre de compétences, certes les principales, beau­coup d’autres villes et communes font mieux avec moins de moyens. Cela devrait les encourager à se pencher sur les défaillances et à traquer les dysfonctionnements. Mais il ne faut pas faire dire à ce pal­marès ce qu’il ne mesure pas. Il ne délivre pas un bon ou mauvais bulletin au bourgmestre, car toutes les composantes du travail communal n’ont pu être évaluées. Si une "première", comme l’est ce palmarès, a toujours le mérite d’exister et de faire avancer la réflexion, elle a aussi ses limites. Certaines données manquent cruellement en Wallonie. Outre l’absence de recettes ordinaires pour 14 communes, surtout dans la région liégeoise, les compétences sportives et culturelles des communes n’ont pas pu être prises en considération faute de données fiables sur la qualité de l’infrastructure et la variété de la programmation des salles de sports, des bibliothèques ou autres centres culturels. La Communauté française n’a pas non plus accepté de livrer des informa­tions utiles relatives aux taux d’échecs ou d’absentéisme des élèves. Quoi qu’il en soit, un outil comme ce palmarès, même enrichi au fil du temps, comme nous l’espérons, par de nouvelles données, devra toujours être complété par d’autres démarches de type qualitatif.
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Gerard, François, and Jean Hindriks. "Numéro 35 - octobre 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.10.02.

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Abstract:
Quelles sont les communes les mieux gérées de Wallonie ? C’est la question à laquelle nous avons essayé de répondre, loin de toute polémique, dans ce numéro de Regards économiques en livrant un "Palmarès des villes et communes en Wallonie : une approche en termes d’efficacité". C’est la première évaluation de la bonne gouvernance dans le sud du pays. Pour ce faire, nous avons collecté des infor­mations pertinentes sur la bonne exécution des compétences communales, regroupées en cinq familles (services administratifs, voiries et transports, enseignement, services sociaux et médicaux, environne­ment et propreté). Nous avons ensuite mis les performances de chaque commune, en regard avec les recettes ordinaires par habitant dont elle dispose. Nous avons ensuite comparé les communes entre elles, en appliquant la méthode de dominance qui consiste à identifier les communes qui "font mieux avec moins de moyens". Résultat ? Celui-ci est illustré en page 3 de Regards économiques (cf. document pdf joint) à travers une cartographie en couleurs des villes et communes wallonnes. Les communes les plus performantes qui caracolent en tête de classement se trouvent en jaune clair. Plus la teinte des entités est foncée, moins la commune est performante. Un certain nombre de communes, surtout dans la région liégeoise (en gris sur la carte), ne sont pas classées, la Direction générale des pouvoirs locaux de la Région wallonne n’ayant fourni aucun budget à leur sujet. Des communes se démarquent nettement des autres en faisant mieux sur les cinq familles d’indicateurs, avec moins de recettes, que beaucoup d’autres communes. Ainsi Flobecq fait mieux que 36 autres communes et Ottignies-Louvain-la-Neuve supplante 26 entités. Il importe de signaler qu’il ne s’agit pas d’un palmarès du bien-être. Il n’y a en effet pas de corrélation entre les revenus moyens d’une commune et sa place dans le classement. Il n’existe pas davantage de rapport entre le nombre d’habitants ou la densité de population et la place d’une commune dans notre classement. Le verdict est-il sans appel pour les entités les plus mal administrées ? Disons plutôt que ce palmarès signale aux édiles communaux que, sur un certain nombre de compétences, certes les principales, beau­coup d’autres villes et communes font mieux avec moins de moyens. Cela devrait les encourager à se pencher sur les défaillances et à traquer les dysfonctionnements. Mais il ne faut pas faire dire à ce pal­marès ce qu’il ne mesure pas. Il ne délivre pas un bon ou mauvais bulletin au bourgmestre, car toutes les composantes du travail communal n’ont pu être évaluées. Si une "première", comme l’est ce palmarès, a toujours le mérite d’exister et de faire avancer la réflexion, elle a aussi ses limites. Certaines données manquent cruellement en Wallonie. Outre l’absence de recettes ordinaires pour 14 communes, surtout dans la région liégeoise, les compétences sportives et culturelles des communes n’ont pas pu être prises en considération faute de données fiables sur la qualité de l’infrastructure et la variété de la programmation des salles de sports, des bibliothèques ou autres centres culturels. La Communauté française n’a pas non plus accepté de livrer des informa­tions utiles relatives aux taux d’échecs ou d’absentéisme des élèves. Quoi qu’il en soit, un outil comme ce palmarès, même enrichi au fil du temps, comme nous l’espérons, par de nouvelles données, devra toujours être complété par d’autres démarches de type qualitatif.
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Martin, Ashley, Jaime McDonald, and Joanna Holland. "Completeness of Medication Reconciliation by Pediatric Residents at Hospital Admission for Asthma." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 74, no. 1 (January 15, 2021). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v74i1.3038.

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Abstract:
Background: Medication errors at hospital admission, though preventable, continue to be common. The process of medication reconciliation has been identified as an important tool in reducing medication errors. The first step in medication reconciliation involves documenting a patient’s best possible medication history (BPMH); at the authors’ tertiary pediatric hospital, this step is completed at time of admission by resident physicians. Objectives: To describe and quantify the completeness of admission BPMH by resident physicians for pediatric inpatients with asthma. Methods: This single-centre, retrospective chart review evaluated documentation of admission medication reconciliation for pediatric inpatients with asthma who were admitted between January 2016 and December 2017. Medication reconciliation forms were deemed incomplete if records for asthma medications were missing drug name, inhaler strength or oral drug dose, directions for use, or evidence of reconciliation. Results: A total of 241 charts were evaluated, of which 97 (40%) had incomplete documentation for at least 1 medication; in particular, 48 (37%) of the 130 inhaled corticosteroid orders were missing inhaler strength. For most of the charts with incomplete medication history (68% [66/97]), no reason was documented; however, review of the medication reconciliation forms and physician notes revealed that families might have been unsure of a patient’s home medications or physicians might have left it to the pharmacy to clarify medication doses. Conclusions: Documentation of inhaler medications on admission medication reconciliation forms completed by resident physicians for pediatric patients with asthma was often incomplete. Future quality improvement interventions, including resident and patient education, are required at the study institution. Collaboration with pharmacy services is also likely to improve completeness of the medication reconciliation process. RÉSUMÉ Contexte : Bien qu’elles soient évitables, les erreurs de médication au moment de l’admission à l’hôpital sont encore répandues. Le processus du bilan comparatif des médicaments a été reconnu comme étant un outil important pour réduire ces erreurs. La première étape du bilan comparatif des médicaments vise à décrire le meilleur schéma thérapeutique possible (MSTP) du patient; dans l’hôpital pédiatrique tertiaire des auteurs, les médecins résidents se chargent de cette étape au moment de l’admission. Objectifs : Décrire et quantifier le degré d’exhaustivité du MSTP réalisé par les médecins résidents pour les patients en pédiatrie souffrant d’asthme. Méthodes : Cet examen rétrospectif unicentrique des dossiers a permis d’évaluer l’élaboration du bilan comparatif des médicaments à l’admission en pédiatrie des patients souffrant d’asthme entre janvier 2016 et décembre 2017. Les formulaires de bilan comparatif des médicaments étaient jugés incomplets si les dossiers relatifs aux médicaments contre l’asthme n’indiquaient pas le nom du médicament, la force de l’inhalateur ou la dose orale du médicament, le mode d’emploi ou les preuves de conciliation médicamenteuse. Résultats : L’évaluation portait sur 241 tableaux; au moins 1 médicament manquait dans la description de 97 d’entre eux (40 %); en particulier la force de l’inhalateur ne figurait pas dans 48 (37 %) des 130 ordonnances relatives aux corticostéroïdes administrés par inhalation. La plupart des tableaux dont l’histoire pharmacothérapeutique était incomplète (68 % [66/97]) n’en indiquaient pas la raison; cependant, l’examen des formulaires du bilan comparatif des médicaments et les notes des médecins ont révélé que les familles n’étaient peut-être pas certaines des médicaments que le patient prenait à domicile ou que les médecins auraient pu laisser aux pharmaciens le soin de clarifier les doses. Conclusions : La description des médicaments administrés au moyen d’inhalateurs au moment de l’admission, figurant sur les formulaires du bilan comparatif des médicaments remplis par les médecins résidents pour les patients en pédiatrie souffrant d’asthme, était souvent incomplète. De futures interventions sur l’amélioration de la qualité, y compris les instructions données au patient et au résident, sont nécessaires dans l’institution où s’est déroulée l’étude. Il est probable que la collaboration avec les services de pharmacie améliorerait l’exhaustivité du processus du bilan comparatif des médicaments.
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Devolder, Pierre. "Numéro 166 - octobre 2021." Regards économiques, December 23, 2021. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2021.10.01.01.

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Abstract:
Diverses études macroéconomiques ont été publiées ces derniers mois, relatives au deuxième pilier de pension en Belgique (pilier des pensions complémentaires formé des assurances de groupe et des fonds de pension), notamment de la part de la Cour des Comptes et du Bureau Fédéral du Plan. Un des objectifs de ces analyses a été de tenter d’évaluer le coût pour l’Etat des avantages fiscaux et parafiscaux accordés aux affiliés de ce deuxième pilier. En effet, le deuxième pilier jouit d’un traitement fiscal et parafiscal particulier visant notamment à encourager, dans le contexte du vieillissement bien connu, l’épargne retraite à long terme. Ces études ont aussi porté sur le caractère plus ou moins inégalitaire de ce deuxième pilier dans sa configuration actuelle. S’il faut saluer ces analyses qui manquaient jusqu’à présent, et qui enrichissent le débat sur les pensions, il n’est pas inutile par ailleurs d’en examiner la méthodologie et d’en discuter les principes. Ces études sont ainsi caractérisées par une approche budgétaire qui vise à comparer, une année donnée, les avantages accordés (principalement des cotisations sociales à taux réduit et la déductibilité des contributions versées) et les taxes prélevées (principalement la taxation des prestations obtenues à la retraite). Cette approche peut se comprendre dans une vision purement comptable mais elle ne prend pas en compte la dynamique de long terme intrinsèque à la constitution de pension : les contributions d’aujourd’hui payées pendant la durée d’activité sont le pendant des prestations de demain à la retraite, pas des prestations payées aujourd’hui ! Ce phénomène est d’autant plus marqué que le deuxième pilier belge est en pleine mutation depuis la loi de 2003 sur les pensions complémentaires. Un deuxième point d’attention est que ces évaluations ont été faites sur le seul deuxième pilier, sans prise en compte d’interactions avec le premier pilier. Notre étude vise à pallier à ces critiques; nous mesurons les avantages fiscaux et parafiscaux du deuxième pilier pour travailleurs salariés, d’une part tout au long du cycle de vie d’un individu et d’autre part en intégrant les liens avec le premier pilier. En particulier, nous avons voulu mettre en parallèle aux avantages accordés aux affiliés du deuxième pilier, la taxe implicite résultant du mode de financement particulier à la Belgique de nos pensions légales de premier pilier pour salariés. En effet, si, comme dans la plupart des pays, un plafond de rémunération existe pour la détermination de la pension légale (actuellement de l’ordre de 61.000 €), ce plafond ne joue pas en Belgique, contrairement aux autres pays, pour le calcul des cotisations sociales. Les salariés se voient ainsi prélever sur la partie de leur salaire au-dessus du plafond des cotisations sans aucune ouverture de droit. On pourrait ainsi dire, en regardant l’ensemble des pensions d’un salarié, que l’Etat donne d’une main par les avantages au deuxième pilier ce qu’il reprend de l’autre par cette taxe de premier pilier. L’étude chiffre ces effets sur la base de différentes hypothèses portant notamment sur le profil d ‘un affilié type et d’un plan de pension de référence; des études de sensibilité sont ensuite présentées. Ainsi, pour le profil individuel de référence choisi, le coût brut annuel moyen du seul deuxième pilier s’élève à 47 % des contributions de ce deuxième pilier. L’étude du Bureau du plan mettait en évidence un coût annuel du deuxième pilier des salariés de 2,1 milliards sur 3,988 milliards de contributions (soit 53 %). Si on tient compte des effets sur le premier pilier, principalement la taxe implicite mentionnée ci avant, le coût est diminué de plus de moitié, passant à 21 % des contributions. L’étude met également en évidence les effets de solidarité et illustre que si les avantages de deuxième pilier analysé isolément croissent avec le salaire, notre système global de pension premier et deuxième pilier reste bien largement solidaire du fait principalement de la présence de cette taxe implicite. télécharger l'annexe technique
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Beltran-Lopez, Helena. "Numéro 4 - août 2002." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16253.

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Abstract:
Au cours des derniers 26 mois, les marchés boursiers se sont inscrits en forte baisse des deux côtes de l'Atlantique. L'indice Standard and Poor's 500 est ainsi retombé en dessous des 1000 points, totalisant une perte réelle de plus de 40 % par rapport à janvier 2000. Le climat boursier morose a de plus été accentué par les récents scandales financiers comme Worldcom et Enron renforçant davantage la méfiance des investisseurs à l'égard des placements en actions. Dans ce contexte, de nombreux obser­vateurs craignent que la crise boursière ne pèse sur la croissance de l’économie réelle, en dépit de quelques signes de reprise. Plus particulièrement, certains affirment que la consommation des ménages américains a été soutenue par l’envolée des cours boursiers à la fin des années 90. Ils craignent donc que, de la même façon, la chute des cours n’incite les ménages à restreindre fortement leurs dépenses, ce qui repousserait la reprise tant attendue. Mais qu'en est-il vraiment ? Aux Etats-Unis, une diminution de 1 dollar américain de la richesse bour­sière ne se répercuterait sur la consommation qu'à concurrence de 4 cents. Ainsi, l’envolée des cours boursiers entre 1997 et 1999 n’aurait soutenu la croissance de la consommation qu’à hauteur de 0,2 à 0,3 point de croissance chaque année, ce qui n’est pas négligeable, mais reste faible par rapport aux 5 % de croissance annuelle de la consommation américaine enregistrés pendant cette période. Certes, diront certains, que l’effet soit faible n’est pas surprenant, car la majorité du patrimoine boursier est détenu par seulement 10 % des ménages américains. D'un autre côté, on pourrait arguer que, du fait de la plus forte pénétration du marché boursier tant dans la vie quotidienne que dans le patrimoine des ménages, le moral des ménages (mesuré par les indicateurs de confiance des consommateurs) risque d’être sensible aux fluctuations des marchés boursiers. Une étude menée à l’IRES et publiée dans Regards Économiques confirme qu’effectivement les cours boursiers ont un impact sur le moral des ménages américains, et ce depuis le début des années 90 seulement. Mais les principaux déterminants du moral des ménages restent de loin les conditions sur le marché du travail et le revenu. En Belgique, les ménages continuent d’investir, «en bon père de famille», dans des placements peu risqués, bien que la part des actions dans leur patrimoine augmente régulièrement depuis le début des années 90. Les ménages belges sont donc probablement encore moins sensibles aux fluctuations bour­sières que leurs homologues américains. D’ailleurs, plusieurs études montrent que l’impact de la richesse boursière sur la consommation devrait être faible, et que seules les conditions sur le marché du travail semblent influencer leur moral. Doit-on en conclure que la consommation est à l’abri des crises boursières, tant en Belgique qu’aux Etats-Unis ? Cela nous semble hâtif. En effet, dans les deux pays, de plus en plus de ménages détien­nent des actions, et cette meilleure répartition pourrait expliquer que l’impact de la bourse sur la consommation puisse être plus important dans le futur. Malheureusement, ces changements profonds dans la structure du patrimoine étant récents, nous manquons de recul pour pouvoir mesurer correc­tement leur impact sur le comportement des consommateurs. Par ailleurs, un autre élément, plus ponctuel, pourrait intervenir dans les prochains mois aux Etats-Unis. En effet, depuis quelques années, le moral des ménages américains (et donc leur consommation) est resté élevé, alors que leur situation financière n’a cessé de se dégrader suite à un endettement record. On peut donc craindre que, compte tenu des incertitudes quant à la reprise américaine, la durée ainsi que l'ampleur de la crise boursière actuelle n’amènent les ménages à réévaluer leur situation et à restreindre durablement leurs dépenses. La forte baisse de l'indicateur de confiance aux Etats-Unis en juillet dernier, alors que ses principaux déterminants macroéconomiques étaient relativement stables, est de ce point de vue inquiétant. Si ce scénario se confirmait, l’ensemble des ménages serait touché, et non plus uniquement les ménages ayant investi en bourse. L’impact sur la consommation serait alors non négligeable et probablement durable; quant à la reprise économique, elle interviendrait plus tard et de manière moins vigoureuse qu’attendue. En Belgique, aucun élément empirique n’indique que les ménages belges soient influencés par les fluctuations boursières. Bien sûr, la possibilité d'un «choc psychologique» similaire à celui suggéré pour les Etats-Unis ne peut être totalement écartée, mais cela semble peu probable, notamment au regard de la faible pénétration des actions dans le patrimoine des ménages belges. D'ailleurs, malgré le climat d'incertitudes actuel quant à la reprise économique, l'indicateur de confiance de la Banque Nationale de Belgique est resté remarquablement stable depuis le début de l'année. Le principal risque pour l’économie belge, par rapport à la crise boursière actuelle, résiderait alors dans l'importation de la récession américaine via le commerce extérieur.
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Beltran-Lopez, Helena. "Numéro 4 - août 2002." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2002.08.01.

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Au cours des derniers 26 mois, les marchés boursiers se sont inscrits en forte baisse des deux côtes de l'Atlantique. L'indice Standard and Poor's 500 est ainsi retombé en dessous des 1000 points, totalisant une perte réelle de plus de 40 % par rapport à janvier 2000. Le climat boursier morose a de plus été accentué par les récents scandales financiers comme Worldcom et Enron renforçant davantage la méfiance des investisseurs à l'égard des placements en actions. Dans ce contexte, de nombreux obser­vateurs craignent que la crise boursière ne pèse sur la croissance de l’économie réelle, en dépit de quelques signes de reprise. Plus particulièrement, certains affirment que la consommation des ménages américains a été soutenue par l’envolée des cours boursiers à la fin des années 90. Ils craignent donc que, de la même façon, la chute des cours n’incite les ménages à restreindre fortement leurs dépenses, ce qui repousserait la reprise tant attendue. Mais qu'en est-il vraiment ? Aux Etats-Unis, une diminution de 1 dollar américain de la richesse bour­sière ne se répercuterait sur la consommation qu'à concurrence de 4 cents. Ainsi, l’envolée des cours boursiers entre 1997 et 1999 n’aurait soutenu la croissance de la consommation qu’à hauteur de 0,2 à 0,3 point de croissance chaque année, ce qui n’est pas négligeable, mais reste faible par rapport aux 5 % de croissance annuelle de la consommation américaine enregistrés pendant cette période. Certes, diront certains, que l’effet soit faible n’est pas surprenant, car la majorité du patrimoine boursier est détenu par seulement 10 % des ménages américains. D'un autre côté, on pourrait arguer que, du fait de la plus forte pénétration du marché boursier tant dans la vie quotidienne que dans le patrimoine des ménages, le moral des ménages (mesuré par les indicateurs de confiance des consommateurs) risque d’être sensible aux fluctuations des marchés boursiers. Une étude menée à l’IRES et publiée dans Regards Économiques confirme qu’effectivement les cours boursiers ont un impact sur le moral des ménages américains, et ce depuis le début des années 90 seulement. Mais les principaux déterminants du moral des ménages restent de loin les conditions sur le marché du travail et le revenu. En Belgique, les ménages continuent d’investir, «en bon père de famille», dans des placements peu risqués, bien que la part des actions dans leur patrimoine augmente régulièrement depuis le début des années 90. Les ménages belges sont donc probablement encore moins sensibles aux fluctuations bour­sières que leurs homologues américains. D’ailleurs, plusieurs études montrent que l’impact de la richesse boursière sur la consommation devrait être faible, et que seules les conditions sur le marché du travail semblent influencer leur moral. Doit-on en conclure que la consommation est à l’abri des crises boursières, tant en Belgique qu’aux Etats-Unis ? Cela nous semble hâtif. En effet, dans les deux pays, de plus en plus de ménages détien­nent des actions, et cette meilleure répartition pourrait expliquer que l’impact de la bourse sur la consommation puisse être plus important dans le futur. Malheureusement, ces changements profonds dans la structure du patrimoine étant récents, nous manquons de recul pour pouvoir mesurer correc­tement leur impact sur le comportement des consommateurs. Par ailleurs, un autre élément, plus ponctuel, pourrait intervenir dans les prochains mois aux Etats-Unis. En effet, depuis quelques années, le moral des ménages américains (et donc leur consommation) est resté élevé, alors que leur situation financière n’a cessé de se dégrader suite à un endettement record. On peut donc craindre que, compte tenu des incertitudes quant à la reprise américaine, la durée ainsi que l'ampleur de la crise boursière actuelle n’amènent les ménages à réévaluer leur situation et à restreindre durablement leurs dépenses. La forte baisse de l'indicateur de confiance aux Etats-Unis en juillet dernier, alors que ses principaux déterminants macroéconomiques étaient relativement stables, est de ce point de vue inquiétant. Si ce scénario se confirmait, l’ensemble des ménages serait touché, et non plus uniquement les ménages ayant investi en bourse. L’impact sur la consommation serait alors non négligeable et probablement durable; quant à la reprise économique, elle interviendrait plus tard et de manière moins vigoureuse qu’attendue. En Belgique, aucun élément empirique n’indique que les ménages belges soient influencés par les fluctuations boursières. Bien sûr, la possibilité d'un «choc psychologique» similaire à celui suggéré pour les Etats-Unis ne peut être totalement écartée, mais cela semble peu probable, notamment au regard de la faible pénétration des actions dans le patrimoine des ménages belges. D'ailleurs, malgré le climat d'incertitudes actuel quant à la reprise économique, l'indicateur de confiance de la Banque Nationale de Belgique est resté remarquablement stable depuis le début de l'année. Le principal risque pour l’économie belge, par rapport à la crise boursière actuelle, résiderait alors dans l'importation de la récession américaine via le commerce extérieur.
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Rinaldini, Jean-Louis. "Le Trompe-l’œil." Oxymoron 0. Numéro inaugural (April 28, 2010). http://dx.doi.org/10.61953/oxy.3069.

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Soumission à Epi-revel Les phénomènes d’exclusion et donc de jouissance ne se réduisent pas à de simples mécanismes ou modèles explicatifs mais obéissent aux lois de l’inconscient et notamment nos démêlés avec l’Origine.Malaise dans la Civilisation ? D'évidence et non par hasard l'intitulé de ce colloque reprend le titre de Freud tout en le déplaçant vers l'interrogation. On se rappelle que pour lui, le malaise en question concernait la "répression" dont étaient victimes les sujets de son époque et qui était avant tout de l'ordre du sexuel. Au fond, ce point d'interrogation pourrait non pas marquer un écart, mais signifier que l'écart de ces deux entités socio-temporelles, celle de l'époque de Freud et celle d'aujourd'hui, est frappé aux coins d'une certaine continuité, qui n'est malheureusement pas celle du bon sens. Surtout si l'on veut bien envisager le sexuel dans ce qu'il entretient de rapport à l'impossible.On ressent toujours quelque crainte à se sentir coupable dans les mobilisations pour la cause juste. Peut-être que l'agitation nécessaire dont témoignent tous ceux qui se mobilisent aujourd'hui autour du problème des exclusions vise-t-elle avant tout à cela, de dire que du possible peut être malgré tout au rendez-vous, par éclair, par instant, et que, cette petite perspective, qui elle, ne nous tromperait pas, mérite que bien des épreuves soient traversées, dites, symbolisées. Que l'on s'y risque et tout pourra arriver, y compris peu de choses...À prendre cette question sous son angle inter-subjectif, inter-individuel (ma petite famille ou ce qui en tient lieu), ou inter-groupal (nations, ethnies, groupes d'intérêt économique ou culturel, associations ou...), ce sont bien les mêmes mécanismes qui sont à l'œuvre. Accompagnés le plus souvent, d'un magnifique pied de nez du réel à ce qui sourd de force dénégatrice dans le langage. Bien des recherches savantes par exemple, ne manquent pas de s'agripper, chacune dans leur camp, à leur modèle explicatif du phénomène de l'exclusion, tout en faisant fond commun d'une charité bienveillante et moralisatrice qui se suffirait à dire qu'exclure c'est mal, parfois avec une joie non feinte d'exclusion des idées du voisin - ce qui n'est pas le moindre des paradoxes, mais il faut bien défendre son beefsteak ! Les mêmes mécanismes donc, toujours, partout et encore déjà. En trompe-l'œil.Encore déjà, c'est l'enseignement des lois de l'inconscient. Parce que s'il ne s'agissait que d'un mécanisme, la partie serait gagnée d'avance. Un mécanisme ça se démonte, ça peut s'éclater, et se remonter. Si possible dans l'ordre. Ça se laisse appréhender sagement. Mais la "chose ignoble" est infiniment plus complexe à force d'être simple. Et si on en connaît les ressorts, notamment dans nos démêlés avec l'Origine, pour ce qui est de lui faire un sort...Alors serions-nous des impuissants en puissance ? Nous aussi. Condamnés à la plainte ? Au cri, ce fétiche sonore comme le nommait R. Barthes, ce seul trait de langage qui reste encore aux victimes face au travail de bourreau qu'accomplissent tous les stakhanovistes de la cause identitaire.Cette idée d'impuissance n'est peut-être pas si éloignée qu'il y paraît du sujet qui nous habite, que nous mettons en demeure de rendre grâce. Exclure et jouir. Une question de Langue, donc de sexe. Observons. Le sujet paranoïaque de tous les temps qui se profile à l'horizon et se joue sur la scène du monde comme expression directe de cette impuissance du symbolique à faire tenir, à faire qu'il y ait du tenable entre les êtres. Ces positions de "pouvoir" ou qui se prennent comme telles, qui visent avant tout, à rendre les choses impossibles, alors que le Pouvoir devrait être ce Tiers qui ouvre des emplacements où puisse se transmettre du Possible. Observons ces clôtures de la parole qui n'autorisent plus d'ouverture au "Dire". D'un côté, il y a désormais ceux qui prétendent incarner "LA" parole, qui deviennent dépositaires du "tout dire", ceux à qui l'on prête cette "vertu" de dire enfin tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Allons voir celui qui dit le Tout et nous protégera de l'Autre. Ce qui intime l'ordre de ne plus rien avoir à dire. Air connu à accent pervers joué sur un registre sadien : tant que tout n'aura pas été dit, tant que l'objet de la jouissance n'aura pas été nommé, toi, la victime, tu devras survivre pour rester offerte aux coups du bourreau. Un tout dire comme une sentence, qui ne laisserait aucun reste, qui engloberait ce qui, par définition, se pose en excès au dire, la jouissance elle-même. Observons à l'opposé, les discours qui se déploient, ces discours du "on", ceux de la rumeur, dont les plus fidèles adeptes deviennent accrocs. Quelle meilleure façon de tuer le "je"? Des fois qu'un peu de risque et de ratage, donc une expérience du désir, s'en serait mêlé et qu' on se sente responsable, c'est à dire prêt à partager ! Observons tous ces pères qui se prennent pour des Pères et qui ne sont que des papas, taraudés par cette lancinante question de ce qui fait père, question posée comme un trou béant dans le symbolique qu'il vaut mieux combler au plus vite en effectuant une identification à la Femme. Observons. Cette "loi" des petits pères incastrables qui interdit tout en commandant de jouir. D'eux si possible, sur le mode "clean", façon de rester en famille. C'est plus propre. Et ça ne demande même pas de se frotter à la castration. Observons...Serions-nous encore si proches d'un tel degré d'inculture, qu'à la manière du maître sadien, nous demeurions les fils de la Mère-Nature qui veut jouir sans restriction et exige de nous, comme un devoir, que l'on soit les serviteurs de sa volonté criminelle ? Si la fraternité peut trouver un sens c'est dans les effets d'une texture symbolique qu'il faut la chercher, seule façon de pardonner au monde son insuffisance ou d'aimer pour cette insuffisance à travers elle.
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Doell, Alanna, Ashley Walus, Jaclyn To, and Allison Bell. "Quantifying Candidacy for Deprescribing of Proton Pump Inhibitors among Long-Term Care Residents." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 71, no. 5 (November 1, 2018). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v71i5.2839.

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Abstract:
<p><strong>ABSTRACT</strong></p><p><strong></strong><strong>Background</strong>: Proton pump inhibitors (PPIs) are a commonly prescribed drug class used to inhibit gastric acid secretion. They are prescribed for both treatment and prophylaxis of several gastrointestinal conditions. Although PPIs can be used safely in the short term, several serious adverse effects have been reported following long-term use, including increased risk of falls and fragility fractures. Long-term care home (LTCH) residents represent a population in which the long-term adverse effects of PPIs can be significant and PPI deprescribing should be considered when appropriate. <br /><strong></strong></p><p><strong>Objectives:</strong> To determine the proportion of LTCH residents with PPI prescriptions who were eligible for PPI deprescribing, and to examine vitamin B12 deficiencies and fall risk in the study population. <br /><strong></strong></p><p><strong>Methods:</strong> This cross-sectional, multisite chart review involved LTCH residents who had an active PPI prescription during October 2016. A convenience sample of 150 charts was randomly selected, and the appropriateness of PPI deprescribing was determined using Canadian guidelines. Descriptive statistics were used to examine demographic characteristics, PPI dosing and indication, vitamin B12 supplementation, fall history, and fall risk.<br /><strong></strong></p><p><strong>Results:</strong> Three of the selected charts were excluded because of missing information. Of the 147 residents included in the chart review, 93 (63%) were candidates for deprescribing. PPI use for gastroesophageal reflux disease for more than 8 weeks without a deprescribing attempt in the past year was the most frequently observed opportunity for deprescribing (49/93 [53%]). Twenty-nine residents (20%) had no documented indication for PPI use. Thirteen residents (9%) had had a fall within the past 30 days, and 53 (36%) had a prescription for vitamin B12 supplements and/or had low serum vitamin B12 levels.<br /><strong></strong></p><p><strong>Conclusions:</strong> A majority of the residents whose charts were reviewed were candidates for PPI deprescribing. This finding suggests an opportunity for clinicians who care for LTCH residents to increase their deprescribing efforts.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte :</strong> Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont des médicaments couramment prescrits pour inhiber la sécrétion d’acide gastrique. Ils sont prescrits comme traitement et comme prophylaxie pour plusieurs troubles gastro-intestinaux. Bien que les IPP puissent être utilisés de façon sécuritaire à court terme, plusieurs effets indésirables graves ont été signalés à la suite d’une utilisation à long terme, notamment une augmentation des risques de chutes et de fractures de fragilité. Les résidents de centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD) représentent une population chez qui les effets indésirables d’un traitement à long terme par IPP peuvent être significatifs et la déprescription des IPP doit être envisagée lorsque cela est approprié. </p><p><strong>Objectifs :</strong> Déterminer la proportion de résidents de CHSLD ayant une ordonnance d’IPP qui satisfaisaient aux conditions requises pour une déprescription des IPP. De plus, examiner au sein de la population à l’étude les carences en vitamine B12 et les risques de chutes. </p><p><strong>Méthodes :</strong> La présente étude transversale menée dans plusieurs centres comportait une analyse des dossiers médicaux de résidents de CHSLD qui avaient une ordonnance active d’IPP en octobre 2016. Un échantillon de commodité de 150 dossiers médicaux a été choisi au hasard et la pertinence d’une déprescription des IPP a été déterminée à l’aide des lignes directrices canadiennes. Des statistiques descriptives ont été employées pour analyser les caractéristiques démographiques, les posologies et les indications des IPP, la prise de suppléments de vitamine B12, les antécédents de chute et les risques de chute. </p><p><strong>Résultats :</strong> Trois des dossiers sélectionnés ont été exclus parce qu’il y manquait des renseignements. Des 147 résidents dont les dossiers ont été analysés, 93 (63 %) satisfaisaient aux conditions requises pour une déprescription. L’emploi d’IPP pour traiter le reflux gastro-œsophagien pendant plus de huit semaines sans qu’il y ait eu de tentative de déprescription dans la dernière année représentait l’occasion la plus fréquemment observée pour procéder à une déprescription (49/93 ou 53 %). Vingt-neuf résidents (20 %) utilisaient des IPP sans qu’une indication apparaisse aux dossiers. Treize résidents (9 %) avaient subi une chute au cours des 30 derniers jours et 53 (36 %) avaient une prescription pour des suppléments de vitamine B12 ou affichaient des taux sériques faibles de vitamine B12.</p><p><strong>Conclusions :</strong> La majorité des résidents dont les dossiers ont été examinés remplissaient les conditions requises pour une déprescription des IPP. Ce résultat suggère qu’il y a là une occasion pour les cliniciens qui prennent soin de résidents de CHSLD d’accroître leur travail de déprescription. </p>
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Stoczkowski, Wiktor. "Race." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.042.

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La notion de race est ancienne, et ses significations n’ont jamais cessé de se transformer. Dès le XVIe siècle, le mot race désignait les membres d’un lignage. Par conséquent, l’espèce humaine devenait une race puisque la Bible lui donnait pour ancêtres communs Adam et Ève. Un peuple se réclamant d’un ancêtre mythique pouvait également être qualifié de race : on disait par exemple que les Juifs étaient de la race d’Abraham. Le terme a parfois été synonyme de dynastie royale, elle aussi dotée d’un ancêtre commun. L’Encyclopédie utilise le terme principalement dans ces trois acceptions, parlant aussi bien de race humaine que de race d’Abraham ou de race des Capétiens (L’Encyclopédie 1777 et 1778). Parallèlement, le XVIIIe siècle voit se répandre l’usage zoologique de la notion de race, employée pour désigner les variétés infra-spécifiques d’animaux, surtout des animaux domestiques, tels les chiens, les chevaux ou les bovins (Buffon 1749a et 1755). En même temps, les naturalistes étendent son application aux variétés de l’espèce humaine. On considère alors que les différences biologiques entre groupes humains géographiquement séparés sont solidaires de leurs différences culturelles, les unes et les autres engendrées par l’influence conjointe du sol, du climat et de la nourriture (Buffon 1749b). En accord avec la théorie humorale alors en vogue, on pense que le sol, le climat et la nourriture influencent les quatre humeurs physiologiques (bile jaune, sang, bile noire, pituite), dont l’interaction détermine le degré d’un tempérament (mélancolique, flegmatique, bileux, sanguin), lequel décide à son tour à la fois de l’anatomie des hommes et de leur caractère, mentalité, mœurs et organisation sociale (Greenwood 1984). Aucun consensus n’existait en revanche quant au nombre de races d’hommes, tantôt porté à plusieurs dizaines, tantôt réduit à trois et dont chacune était assimilée à la descendance d’un des trois fils de Noé. Les races humaines étaient disposées sur les échelons supérieurs de la Grande Échelle des Êtres, qui menait des formes animales les plus simples jusqu’à l’homme le plus perfectionné, identifié invariablement au Blanc. Le Noir, et plus particulièrement le Hottentot, occupait la limite inférieure de l’humanité, où il côtoyait l’Orang-outang placé au sommet du monde animal (Dictionnaire des sciences médicales, 1819, Sebastani 2013). Si la plupart des Européens du XVIIIe siècle croyaient à la supériorité des Blancs, tous n’en déduisaient pas les mêmes conclusions. Certains estimaient que les autres races pouvaient éventuellement acquérir la civilisation et devenir, avec le temps, à la fois égales aux Blancs et blanches de peau, blanchies sous l’effet de la civilisation. D’autres restaient convaincus que la supériorité des Blancs était un immuable fait de nature, ce qui condamnait les autres races, surtout les Noirs, à une éternelle soumission, faisant d’eux ce que Aristote avait appelé les esclaves par nature. Les débats raciologiques du XIXe siècle consacrèrent l’opposition plus ancienne entre le monogénisme et le polygénisme (Blanckaert 1981). Les monogénistes clamaient qu’il n’y a qu’une seule espèce humaine, différenciée à partir d’un type originel ; les polygénistes soutenaient qu’il existe depuis toujours plusieurs espèces humaines invariables, pourvues de propriétés spécifiques, aussi bien biologiques que mentales. La théorie darwinienne (1859) n’a modifié que modestement les grandes lignes de ce débat : les degrés de l’Échelle des Êtres seront désormais considérés comme les étapes consécutives de l’évolution, tandis que les races inférieures se verront identifiées aux races moins évoluées. Les polygénistes darwiniens pouvaient renoncer à l’axiome de l’invariabilité des races dans la très longue durée préhistorique, mais ils s’accordaient avec les monogénistes darwiniens à établir une hiérarchie linéaire des races selon leurs formes anatomiques, auxquelles on croyait pouvoir associer une gradation de facultés morales, intellectuelles et civilisatrices, tenues pour héréditaires et difficilement modifiables dans la courte durée historique. Dès la fin du XVIIIe siècle, des mesures anthropométriques variées ont commencé à être proposées, dans l’espoir de quantifier le degré d’avancement moral et mental des races à partir d’indices anatomiques : ce fut l’un des fondements de l’anthropologie physique du XIXe siècle. La théorie darwinienne de la sélection naturelle a contribué à légitimer la vieille idée de la lutte des races pour la survie. On s’est mis à redouter que les races inférieures, réputées plus fertiles, n’en viennent à bout des races supérieures. Le XIXe siècle fut particulièrement marqué par la hantise du mélange racial, censé conduire à la contamination de la « substance germinative » des races supérieures et à leur dégénérescence consécutive. Dans la première moitié du XXe siècle, l’idéologie nazie offrit l’un des aboutissements extrêmes de cette conception. On y trouve une combinaison de nombreuses composantes des théories raciologiques antérieures : une classification raciale rigide, la hiérarchisation des races en supérieures et inférieures, la conviction que les différences anatomiques correspondent aux différences culturelles, l’idée d’une inégalité morale, intellectuelle et civilisatrice des races, la crainte d’une dégénérescence raciale par le métissage qui altère le « sang » de la race supérieure, la croyance qu’une menace pèse sur la race supérieure du fait de la fertilité plus grande des races inférieures, la doctrine de la lutte entre les races comme force motrice du progrès. L’idéologie nazie fut une sinistre synthèse d’au moins deux siècles de développement de la pensée raciale. Lorsque la Deuxième Guerre prit fin, l’Occident tenta de faire le procès à son héritage intellectuel. L’UNESCO exprima une conviction alors inédite en inscrivant dans sa constitution l’idée selon laquelle les atrocités de la récente guerre avaient été rendues possibles par la croyance à l’inégalité des races. Pour rendre impossibles de nouveaux Auschwitz, on décida alors de faire disparaître la notion de races humaines, source présumée de l’horreur suprême. Dans leur déclaration de 1950, les experts de l’UNESCO affirmèrent l’unité fondamentale de l’espèce humaine et reléguèrent la diversité biologique des hommes à un second plan, en tant qu’épiphénomène de divers mécanismes évolutifs de différentiation. La Déclaration de l’UNESCO portait les marques de la toute récente théorie synthétique de l’évolution, dont les principes ramenaient la « race » à un résultat éphémère de la circulation des gènes entre les populations, seules entités réellement observables (UNESCO 1950, Stoczkowski 2008). La conjonction du contexte politique et de l’émergence de la génétique des populations conduisit, à partir des années 1950, à l’abandon progressif de la notion de race, surtout en sciences sociales. Les humanités multiples des théories raciologiques se muèrent en l’Homme universel de l’UNESCO. Pourtant, la génétique des populations n’a pas tenu les promesses dont on l’avait initialement investie en espérant que la recherche allait démontrer l’inexistence des races humaines, ce qui devait invalider toute possibilité de rabattre les différences de culture sur les différences de nature, selon le subterfuge séculaire qui avait maintes fois servi à justifier les inégalités, les discriminations et les oppressions. N’étaient pas moindres les attentes suscitées ensuite par l’exploration du génome humain : elle devait porter le coup de grâce au concept de race et aux préjugés que ce concept implique. En juin 2000, lors des célébrations qui marquèrent la publication de la première esquisse de la carte du génome humain, J. Craig Venter, directeur de l’entreprise de recherche génétique Celera, répéta que « la notion de race n’a aucun fondement génétique ni scientifique » (Marantz Henig 2004). Aujourd’hui, les résultats de la recherche sur le génome humain semblent moins univoques (Stoczkowski 2006). Il est certes réconfortant de savoir qu’aucun doute ne subsiste sur l’unité génétique de l’espèce humaine. Pourtant, après une première période consacrée à la description des similitudes génétiques, les travaux actuels s’orientent de plus en plus vers l’exploration de la diversité de notre espèce. Plusieurs études publiées récemment tendent à démontrer que des données génétiques permettent bel et bien de faire la distinction entre les individus originaires d’Europe, d’Afrique et d’Extrême-Orient, c’est-à-dire entre les populations traditionnellement réparties par la pensée ordinaire entre les trois grandes « races » : blanche, noire et jaune (Bamshad et al. 2003, Rosenberg et al.,2002, Watkins et al. 2003). Ces travaux dérangent et inquiètent. Ils dérangent car on s’attendait à ce que la génétique rende définitivement illégitime toute classification biologique des humains. C’est le contraire qui semble advenir sous nos yeux. Au lieu de prouver que l’ordre du phénotype, privilégié par la pensée ordinaire, s’écarte de l’ordre du génotype étudié par la science, les travaux récents suggèrent que certaines classifications « raciales » – pour autant qu’elles soient fondées non sur la seule morphologie, mais plutôt sur l’origine géographique – peuvent refléter approximativement une partie de la diversité humaine établie par la génétique moderne (Bamshad et al. 2003; Rosenberg et al. 2002; Watkins et al. 2003). Ces travaux inquiètent aussi, car nul n’ignore que l’étude des différences entre les hommes peut fournir des arguments à ceux qui veulent diviser l’humanité, porter les distinctions à l’absolu, les juger scandaleuses et insupportables. Les généticiens ne manquent pas de souligner que les groupements formés à partir de leurs modèles diffèrent des anciennes catégories raciales, puisque les écarts entre les classes génétiques sont statistiques, relatifs, mouvants, soumis aux vicissitudes de l’histoire faite non seulement de séparations, mais aussi de migrations et de croisements. Il n’en demeure pas moins que le risque existe que les résultats de ces travaux nourrissent à nouveau le phantasme de divergences insurmontables inscrites dans le corps des humains. Les controverses sur la classification infra-spécifique des humains sont loin d’être closes. Quelles que soient les conclusions qui remporteront finalement le consensus de la communauté scientifique, il est probable que la pensée antiraciste soit confrontée dans un avenir proche à une nouvelle légitimité scientifique des classements des humains à partir de critères biologiques, cette fois dans un contexte social où l’aspiration à l’égalité ne passe plus par l’effacement des différences biologiques mais, au contraire, par leur revendication de la part des dominés. Après l’expérience du nazisme, dont l’intérêt exacerbé pour les différences biologiques déboucha sur l’abomination de la Shoah, on était enclin à considérer que toute théorie de la différence biologique devait nécessairement conduire au racisme. On en est moins sûr de nos jours, en observant que les minorités auparavant opprimées cherchent à adosser leur combat contre les inégalités à une théorie de la différence biologique (Oak Ridge National Laboratory). Hier, désireux d’expier le péché de racisme, l’homme blanc fit appel à la science pour rendre insignifiantes les différences biologiques entre les humains ; aujourd’hui, réclamant le droit à l’égalité, l’homme de couleur emploie la science pour donner aux différences biologiques une signification nouvelle. Cette résurgence de l’intérêt de la recherche pour la diversité de l’espèce humaine, en dépit du danger bien réel d’un détournement idéologique de ses résultats, encore très provisoires, peut devenir un antidote contre les spéculations naïves sur la race, qui ne manqueront pas de foisonner dans la culture populaire tant que les chercheurs seront incapables d’expliquer pourquoi les hommes, appartenant tous à la même espèce biologique, n’ont pas pour autant tous la même apparence.
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Dunoyer, Christiane. "Alpes." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

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Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?
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