Journal articles on the topic 'Sociologie et philosophie des sciences'

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1

Busino, Giovanni. "Histoire, philosophie et sociologie des sciences." Revue européenne des sciences sociales, no. XL-124 (August 1, 2002): 309–17. http://dx.doi.org/10.4000/ress.596.

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2

Soulié, Charles. "Apprentis philosophes et apprentis sociologues." Sociétés contemporaines 21, no. 1 (July 1, 1995): 89–101. http://dx.doi.org/10.3917/soco.p1995.21n1.0089.

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Abstract:
Résumé Les disciplines de lettres et sciences humaines ont un recrutement étudiant très différencié. Nous avons approfondi ici le cas de la sociologie et de la philosophie, deux disciplines situées aux antipodes de cet espace, en soulignant notamment l’importance du recrutement «latéral» (classes préparatoires pour la philosophie et autres disciplines universitaires pour la sociologie). L’article s’achève par une étude comparée des pratiques de recherche des étudiants, que nous relions notamment aux caractéristiques du public ainsi qu’aux mécanismes de reproduction du corps enseignant.
3

Jodoin, Laurent. "L’héritage intellectuel de Mario Bunge : entre science et philosophie1." Articles 37, no. 2 (January 11, 2011): 439–55. http://dx.doi.org/10.7202/045191ar.

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Abstract:
Mario Bunge vient tout juste de prendre sa retraite universitaire à l’âge vénérable de 90 ans. Après plus de soixante ans d’enseignement de la physique et de la philosophie, il laisse une oeuvre foisonnante et riche. Son style unique allie des arguments incisifs à la clarté du propos. Sa méthode puise dans le vaste arsenal des sciences, de la physique à la sociologie. Bunge suit en cela l’héritage des Lumières, qui prônait la foi en la raison ainsi qu’un certain réalisme et un matérialisme qu’il reprend et retravaille à la lumière des avancées théoriques contemporaines. Peu de philosophes depuis Leibniz ou Russell ont su faire preuve d’autant d’érudition scientifique. Nul doute qu’il mérite une place de choix dans les débats entourant la philosophie des sciences contemporaines.
4

Pierron, Jean-Philippe. "Le sol pour « se » comprendre et les terrains pour expliquer." A contrario 35, no. 2 (December 12, 2023): 93–114. http://dx.doi.org/10.3917/aco.232.0093.

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Abstract:
Existe-t-il des philosophies qui ne puissent être subsumées sous la catégorie de la « philosophie de terrain »? N’est-ce pas un anachronisme que d’installer dans l’ordre de la « philosophie de terrain » une entreprise qui ne s’est jamais conçue de cette manière ? Cet article fait l’hypothèse que l’herméneutique critique de Paul Ricœur pourrait soutenir la proposition d’être pensée comme une « philosophie de terrain », mais en en précisant les contours. En effet, Paul Ricœur conçoit la tâche de philosopher comme un dialogue avec les questions du temps, le philosophe « allant sur le terrain ». D’autre part, sa philosophie travaille à expliciter les conditions ontologiques, phénoménologiques et épistémologiques grâce auxquelles la philosophie travaille avec les sciences humaines et leurs « terrains » sans s’y dissoudre. Dans la dialectique entre « sol » (Grund) et terrain, cette herméneutique critique invite à ne pas confondre la question ontologique du sol de l’existence avec les questions méthodologiques liées à la constitution d’un terrain de recherche.
5

Nadeau, Robert. "La philosophie des sciences après Kuhn." Articles 21, no. 1 (August 7, 2007): 159–89. http://dx.doi.org/10.7202/027255ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ En 1962, Thomas Kuhn fait paraître l'ouvrage qui allait le rendre célèbre, à savoir La Structure des révolutions scientifiques. Il visait à produire en philosophie des sciences ce quil appela une « gestalt switch ». Il entendait, en effet, mettre en cause le « paradigme épistémologique cartésien » et proposer que l'analyse logico-méthodologique cède définitivement la place à une approche historique et psychologique des sciences . Mon propos est de faire voir que, bien que les premiers critiques de Kuhn se soient le plus souvent fourvoyés, en proposant ce virage radical, Kuhn a amplifié sinon induit une crise profonde dans la philosophie des sciences post-positiviste. Car, ni l'histoire, ni la sociologie des sciences ne sont adéquatement outillées pour répondre aux questions spécifiquement logico-méthodologiques que la connaissance scientifique suscite.
6

Collard, Victor. "La conversion de Pierre Bourdieu aux sciences sociales : un homo academicus en situation d’autodidaxie ?" Les Études Sociales 176, no. 2 (March 21, 2023): 117–46. http://dx.doi.org/10.3917/etsoc.176.0117.

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Abstract:
Présenter Pierre Bourdieu comme un autodidacte apparaît au premier abord étonnant. Son parcours d’excellence semble le situer à l’inverse des autodidactes analysés le plus souvent dans la littérature scientifique, qui ont pour caractéristique d’avoir entretenu une certaine distance avec l’institution scolaire. La trajectoire de Bourdieu est pourtant marquée par une rupture lorsque le jeune philosophe, promis à un brillant avenir académique, s’engage vers la sociologie au cours de son service militaire en Algérie. Cette transition, qui n’a rien d’un simple rattachement disciplinaire d’ordre administratif, le conduit à se former sur le tas à une discipline qu’il connaît à peine et que sa formation en philosophie l’avait au mieux conduit à mépriser. Par des rencontres avec des personnages décisifs, la découverte d’une littérature nouvelle et une réflexion originale pour mener des enquêtes empiriques dans un contexte particulièrement précaire et dangereux de guerre décoloniale, Bourdieu est devenu le sociologue que l’on connaît. Cet article propose ainsi de comprendre, au moyen de nombreuses archives désormais accessibles, dont le fonds Bourdieu, comment s’est opérée concrètement cette transition originale qui illustre, autant qu’elle pourrait enrichir, le registre des pratiques autodidaxiques.
7

Spranzi-Zuber, Marta. "« Science(s), histoire, philosophie et sociologie : quel mariage possible ? »." Rue Descartes 41, no. 3 (2003): 108. http://dx.doi.org/10.3917/rdes.041.0108.

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8

Marion, Normand. "L'éthique sociale et le discours sur les droits." Canadian journal of law and society 7, no. 1 (1992): 1–8. http://dx.doi.org/10.1017/s082932010000209x.

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Les études présentées sous le présent thème, à l'exception des contributions de Kai Nielsen et de Katia Boustany, sont l'oeuvre de membres de l'Équipe de Recherche en Éthique Sociale (ERES), rattachée au département de philosophie de l'UQAM. L'ERES est une équipe multidisciplinaire (philosophie, droit, sociologie…) qui aborde les aspects éthiques des problèmes contemporains dans une approche où l'éthique est perçue comme issue des pratiques sociales et où le savoir des sciences sociales est mis à contribution.En cette période de remise en question de l'État Providence, les travaux de l'ERES ont d'abord porté sur les théories contemporaines de justice distributive et ce, particulièrement en regard des oeuvres de John Rawls et de Robert Nozick. Cette incursion dans la philosophie politique et morale contemporaine, qui a déjà fait l'objet de publications, nous a conduit à l'élaboration d'un programme de recherche dont l'objectif était d'évaluer la pertinence du discours sur les droits.
9

Vatin, François. "De la philosophie sociale à la sociologie : science, normativité et politique." L'Année sociologique 68, no. 2 (2017): 295. http://dx.doi.org/10.3917/anso.172.0295.

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Dhombres, Jean. "Comptes rendus de Émile Biémont : «L’arc-en-ciel : mythes, art, science et histoire» et Dominique Raynaud : «Sociologie des controverses scientifiques»." Revue des questions scientifiques 189, no. 3 (June 1, 2018): 343–46. http://dx.doi.org/10.14428/qs.v189i3.69003.

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Abstract:
Biémont (Émile), L’arc-en-ciel : mythes, art, science et histoire / préface d’Hervé Hasquin. – Bruxelles : Académie royale de Belgique, 2017. – 164 p. – (Mémoire de la Classe des sciences ; collection in-8°, 4e série, tome 8, n°2115). – 1 vol. broché de 17 × 24 cm. – 15,00. – isbn 978-2-8031-0575-5. Raynaud (Dominique), Sociologie des controverses scientifiques. – Nouvelle édition revue et augmentée / préface de Mario Bunge. – Paris : Éditions Matériologiques, 2018. – 426 p. – (Sciences & philosophie). – 1 vol. broché de 24 × 16,5 cm. – 27,00 €. – isbn 978-2-37361-135-9.
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Valade, Bernard. "Le « sujet » de l’interdisciplinarité." Sociologie et sociétés 31, no. 1 (October 2, 2002): 11–21. http://dx.doi.org/10.7202/001814ar.

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Résumé L’intelligence interdisciplinaire issue, comme le souhaitait G. Gusdorf, d’une épistémologie de la complémentarité opposant unefin de non-recevoir à toutes les épistémologies de la dissociation s’est donc, en définitive, exercée avec des fortunes variées. Uneréférence ultime a cependant été perdue de vue, la plupart du temps, au fil de ses opérations : « le foyer idéal de cette nouvellerecherche » qui devait être pour Gusdorf « la forme humaine en tant que noeud de significations ». Cette perte est sans doute àrapporter au mouvement général et continu de « désubjectivation » qui, en France, a traversé les sciences sociales, et singulièrementla sociologie, tout au long de ce siècle. Et elle prend sens au regard des rapports conflictuels qu’ont entretenus, à partir dela fin du XIXe siècle, la philosophie, la psychologie et la sociologie et sur lesquels les sociologues sont souvent revenus.
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Cervera-Marzal, Manuel. "Sociologie et philosophie politique : nouvelle(s) articulation(s)." Raisons politiques 62, no. 2 (2016): 143. http://dx.doi.org/10.3917/rai.062.0143.

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Bert, Jean-François. "Réserve, juxtaposition et adhésion : la place de Michel Foucault dans la sociologie française." Sociologie et sociétés 38, no. 2 (September 10, 2007): 189–208. http://dx.doi.org/10.7202/016380ar.

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Résumé En un quart de siècle, l’oeuvre de Michel Foucault ne s’est pas introduite sans difficulté dans les sciences humaines et en sociologie en particulier. Ce qui était auparavant objet d’indifférence ou de mépris pour les sociologues acquiert désormais le statut de l’intéressant. Si Foucault est aujourd’hui utilisé dans les sciences sociales, alors qu’il vient de si loin, si l’on peut dire, c’est qu’il offre certains avantages dans la pratique de la connaissance sociologique et certains de ses concepts — sans échapper aux effets de lecture —, sont littéralement « entrés » dans le quotidien de la discipline pour être utilisés comme de véritables mots d’ordre au point de devenir des lieux communs de la discipline. L’objectif de cet article est d’aborder et d’analyser comment la « philosophie » singulière de Foucault a pu se faire entendre et intégrer finalement la pensée sociologique française, et ce malgré le constat d’une réception limitée et quelquefois hostile de cette discipline — au contraire, par exemple, de l’histoire ou de l’anthropologie.
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MIGUELEZ, Roberto. "La Philosophie des Religions et la Sociologie des Religions." Social Compass 49, no. 2 (June 2002): 153–65. http://dx.doi.org/10.1177/0037768602049002002.

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Létourneau, Alain. "Quelques contributions de Peirce à l’épistémologie des sciences sociales." I- Esthétique de la communication, no. 62 (May 16, 2018): 21–44. http://dx.doi.org/10.7202/1045613ar.

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Abstract:
Le but de l’article est surtout de montrer que si nous réfléchissons aux liens entre deux notions de base de la philosophie de Peirce, soit le traité de la sémiosis et le traité des catégories (soit la priméité, la secondéité et la tiercéité), nous pouvons y découvrir les bases d’une épistémologie des sciences interprétatives, et notamment les sciences sociales qui se réclament d’une telle perspective. Si tout l’interactionnisme repose sur une notion interactive du signe, c’est que déjà chez Peirce l’interprétation des signes est sociale. De plus, s’il est bien exact que les sciences sociales ont souvent voulu thématiser l’action humaine, et ce notamment au 20e siècle, il est clair qu’une troisième idée de Peirce, soit la notion de science normative de l’action appelée « practics », a quelque chose d’inaugural au plan conceptuel, tant pour la sociologie que pour une éthique qui ne voudrait pas s’identifier à la morale mais thématiser sa réflexion pratique.
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Falardeau, Jean-Charles. "Antécédents, débuts et croissance de la sociologie au Québec." Articles 15, no. 2-3 (April 12, 2005): 135–65. http://dx.doi.org/10.7202/055652ar.

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Abstract:
Lecture empirique de la société, la sociologie n'a pu apparaître, comme les autres sciences de l'homme, qu'au stade où le mode de connaissance scientifique avait déjà prouvé sa validité dans ses explorations de l'univers physique. Les sciences de la culture ont suivi les sciences de la nature. Quelle que soit la justesse de la loi des trois états de Comte, force est de reconnaître que ces sciences de la culture, au moment où elles se manifestent, entrent en conflit avec les théologies et les philosophies auxquelles elles cherchent à se substituer. Plus qu'aucune autre des sciences de l'homme toutefois la sociologie n'a cessé de poursuivre une sorte de quête pirandellienne d'elle-même, de s'interroger sur sa nature et sur le degré d'extension de son objet, le social. Auto-interrogation et auto-justification semblent irrévocablement associées à la trame de sa réflexion. Science des phénomènes sociaux, la sociologie est aussi conscience de la société. Elle est réponse à des questions, à des défis posés par la société. Dans la mesure où elle est apparue, au début du XIXe siècle, après" que les sociétés occidentales eurent acquis un certain développement technique et des structures capitalistes, elle a été une prise de conscience de la modernisation de la société2. Prise de conscience aussi des décalages entre les idéaux professés et les conditions concrètes de l'existence collective. Aussi bien, la sociologie n'a pu manquer de manifester des caractéristiques spécifiques selon les sociétés particulières où elle a été pratiquée. Entremêlées à l'ambition de créer une science générale de la société, se sont élaborées des sociologies « nationales » : française, allemande, anglaise, américaine, russe, etc., — c'est-à-dire, des orientations de l'inquisition sociologique correspondant aux questions proposées par l'évolution de chaque société particulière, correspondant aussi aux caractères dominants de la pensée scientifique et aux modes selon lesquels chacune de ces sociétés la transmettait par son système d'enseignement. sont là des truismes. Ils devraient cependant jalonner l'ambition de quiconque entreprendrait de mettre en complète lumière la naissance et 'évolution de la sociologie au Québec : rappeler les traits marquants des états de notre société qui ont précédé et accompagné cette naissance, conditionné cette évolution ; évoquer l'histoire des idées et des mentalités ; dégager les circonstances dans lesquelles se sont manifestées les recherches scientifiques et, en particulier, celles des sciences sociales; reconstituer les transformations de l'enseignement supérieur qu'elles ont entraînées ou qui les ont rendues possibles ; retracer enfin les influences internes ou externes, directes ou indirectes qui ont joué sur les premières manifestations de la sociologie. Un volume entier suffirait à peine à réaliser un tel programme. Notre dessein est plus restreint et, tout en ne perdant pas de vue ces questions essentielles, nous tenterons plus simplement de cerner quelques-uns des facteurs qui semblent avoir été décisifs dans les étapes qu'a franchies la sociologie au Québec et de noter sa physionomie particulière à chacune de ces étapes. Précisons, si besoin en est, que nous nouslimiterons au Québec de langue française.
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Consolim, Marcia. "Georges Dumas et Marcel Mauss." Durkheimian Studies 24, no. 1 (December 1, 2020): 144–74. http://dx.doi.org/10.3167/ds.2020.24011.

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Abstract:
*Full article is in FrenchEnglish abstract: This article discusses the relationships between sociology and psychology through the dialogue between Georges Dumas and Marcel Mauss about the expression of emotions during the 1920s. Firstly, the aim is to show the affinities of their engagements concerning the disputes between human sciences and philosophy. Secondly, from an analysis of their trajectories, the aim is to show that the positions taken in the debates are associated with the positions psychologists and sociologists took inside the academic field from 1900 to 1930. Finally, the article aims to show that the dialogue between Mauss and Dumas reveals a process of sociologization of psychology rather than a psychologization of sociology, which has produced criticism from psychologists aiming to regain their lost position and from sociologists from the new generation aiming to overcome Durkheimian sociology.French abstract: Il s’agit de discuter les rapports entre la sociologie et la psychologie à travers le dialogue entre Georges Dumas et Marcel Mauss au long des années 1920 sur l’expression des émotions et des sentiments. Le but est d’abord de montrer les affinités entre leurs engagements concernant les combats des sciences de l’homme contre la philosophie. Ensuite, à partir d’une analyse de leurs trajectoires, d’argumenter que leurs prises de position dans ce débat sont associées aux positions que les psychologues et les sociologues ont occupées dans le champ académique entre les années 1900 et 1930. Finalement, il s’agira de montrer que le dialogue entre Mauss et Dumas révèle la sociologisation de la psychologie plutôt que la psychologisation de la sociologie, et que les critiques faites à ce dialogue par les psychologues visent à regagner de l’espace perdu, alors que celles des sociologues de la nouvelle génération visent plutôt à dépasser la sociologie durkheimienne qui inspire ce dialogue.
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Froidevaux, Solène, and Claire Nicolas. "Penser les corps sportifs en féministes." Nouvelles Questions Féministes Vol. 43, no. 1 (May 14, 2024): 12–25. http://dx.doi.org/10.3917/nqf.431.0012.

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Abstract:
Cet article démontre que le sport est un espace essentiel de revendication pour la pensée et l’activisme féministes, en prenant comme objet d’étude particulier les corps sportifs. En s’appuyant sur la littérature existante, les autrices exposent ce que signifie une démarche féministe appliquée au sport – notamment depuis l’histoire, la sociologie et la philosophie. Puis, elles se penchent sur les différentes personnes impliquées dans ce qu’elles définissent comme un espace de la cause des sportives, tout en identifiant des démarches et des dynamiques conservatrices présentes dans le sport. Enfin, elles proposent des pistes permettant une meilleure prise en compte de la diversité des corps sportifs, grâce aux apports de l’interdisciplinarité et de collaborations avec les sciences biomédicales, l’art et le champ sportif lui-même.
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Verdet, Paule. "Une française à l'école de Hughes." Sociétés contemporaines 27, no. 3 (September 1, 1997): 59–66. http://dx.doi.org/10.3917/soco.p1997.27n1.0059.

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Abstract:
Résumé L’article décrit une expérience d’apprentissage de la sociologie et du travail de terrain sous la direction de Hughes. L’auteur, une étudiante passée par l’enseignement français de la philosophie, la Résistance et le militantisme à la JEC, montre notamment comment cet enseignement développait un sens de la complexité de la réalité sociale et une approche critique à l’égard des statistiques officielles et des enquêtes d’opinion.
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Brumberg-Chaumont, Julie. "L’éducation logique et les savoirs au Moyen Âge : philosophie, sociologie et anthropologie de la logique." École pratique des hautes études. Section des sciences religieuses, no. 130 (October 1, 2023): 443–46. http://dx.doi.org/10.4000/asr.4532.

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Béchard, Jean-Pierre. "Fondements épistémologiques des auteurs clés de la pédagogie de l’enseignement supérieur : une analyse de trois revues 1976-2003." Revue des sciences de l'éducation 34, no. 3 (March 23, 2009): 537–68. http://dx.doi.org/10.7202/029508ar.

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Abstract:
Résumé À la suite du constat que la pédagogie de l’enseignement supérieur, comme domaine de recherche, est un espace intellectuel en émergence, dynamique certes, mais dispersé dans toutes les disciplines, comment faire pour s’y retrouver ? À partir d’une critique du concept de paradigme, nous élaborons quatre propositions de recherche qui prennent appui sur la philosophie, l’histoire et la sociologie des sciences. L’examen attentif des contributions clés de la pédagogie de l’enseignement supérieur, extraites de trois revues de recherche couvrant la période 1976-2003, a permis la mise au jour d’une carte épistémologique déclinée en trois programmes de recherche. Une discussion centrée à la fois sur des questions théoriques et pratiques est proposée en fin de parcours.
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Dhombres, Jean. "Constitution des connaissances scientifiques et didactiques." Revue des questions scientifiques 190, no. 1-2 (January 1, 2019): 197–202. http://dx.doi.org/10.14428/qs.v190i1-2.69513.

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Abstract:
Analyse critique de : Épistémologie & didactique : synthèses et études de cas en mathématiques et en sciences expérimentales / coordonné par Manuel Bächtold, Viviane Durand-Guerrier, Valérie Munier. – Besançon : Presses universitaires de Franche-Comté, 2017. – 268 p. – (Didactiques). – 1 vol. broché de 16 × 22 cm. – 26.00 €. – isbn 978-2-84867-603-6. Hoang (Lê Nguyên), La formule du savoir : une philosophie unifiée du savoir fondée sur le théorème de Bayes /préface de Gilles Dowek. – Les Ulis : EDP sciences, 2018. – 402 p. – 1 vol. broché de 16 × 24 cm. – 49.00 €. – isbn 978-2-7598-2260-7. Sesiano (Jacques), L’arithmétique de Pamiers : traité mathématique en langue d’oc du XVe siècle. – Lausanne : Presses polytechniques et universitaires romandes, 2018. – 380 p. – 1 vol. broché de 16 × 24 cm. – 49,50 CHF. – isbn 978-2-88915-242-1. Élias (Norbert), La dynamique sociale de la conscience : sociologie de la connaissance et des sciences / traduit de l’anglais par Marc Joly, Delphine Moraldo et Marianne Woollven et de l’allemand par Hélène Leclerc ; édition, supervision scientifique et présentation par Marc Joly ; préface de Bernard Lahire. – Paris : La Découverte, 2016. – 332 p. – (Laboratoire des sciences sociales). – 1 vol. broché de 15,5 × 24 cm. – 24,00 €. – isbn 978-2-7071-7632-5.
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Maris, Virginie, and Margaux Le Donné. "Politiser nos dépendances à la nature." Raisons politiques N° 90, no. 2 (July 25, 2023): 61–72. http://dx.doi.org/10.3917/rai.090.0061.

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Virginie Maris, philosophe de l’environnement, revient dans cet entretien sur sa rencontre, pendant son doctorat, avec un texte majeur de l’écoféminisme et explique la façon dont cette lecture a transformé son travail depuis lors. Partant de la philosophie analytique pour venir à la technicité de la notion de biodiversité et aux enjeux politiques des sciences de la conservation, son parcours de recherche s’inscrit dans les débats vifs autour de la notion d’anthropocène. Cette conversation retrace notamment l’importance de la théorisation par Val Plumwood de la logique du dualisme et du « modèle du maître » dans la lutte contre la destruction du monde vivant. Virginie Maris souligne la portée philosophique de la distinction entre dualisme et différenciation et la façon dont cela a joué un rôle dans l’élaboration de son ouvrage défendant « la part sauvage du monde » comme altérité radicale du milieu naturel.
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Mori, Monica. "Dan P. McAdams and Ed de St. Aubin. Generativity and Adult Development: How and Why We Care for the Next Generation. Washington, DC: American Psychological Association, 1998." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 19, no. 1 (2000): 127–31. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800016627.

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RésuméErickson a défini le souci de pérennité comme un défi psychosocial de milieu de la vie et concernant la survie de la génération suivante. Depuis les quinze dernières années, on s'est de nouveau intéressé à ce concept et son examen a retenu l'attention de plusieurs disciplines. McAdams et de St. Aubin regroupent des chercheurs imminents, des théoriciens et des praticiens en psychologie, en counselling, en sociologie, en histoire, en philosophie et en arts qui viennent élargir notre compréhension du souci de pérennité. Les auteurs de ce livre présentent des idées créatrices et des recherches innovatrices sur les aspects théoriques et appliqués du contexte social et historique dans lequel se développe la question. Ce livre intéressera les chercheurs, les théoriciens et les étudiants qui s'intéressent au développement de la durée de vie, à la psychologie de la personnalité, à la psychologie sociale, à la sociologie et à l'anthropologie. Il intéressera également les praticiens, notamment les psychologues cliniques, les conseillers en pastorale, les travailleurs sociaux et les éducateurs.
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Nachi, Mohamed. "Pour un comparatisme heuristique : Répertoires d’évaluation, identité morale et dignité de la personne." Tocqueville Review 23, no. 1 (January 2002): 105–23. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.23.1.105.

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La justice est enjeu de débats contemporains. La théorie de la justice de J. Rawls y occupe une place centrale. Mais au-delà des questions de philosophie morale et politique, dont on ne peut faire l’économie, se profilent les significations sociales que partagent en commun les acteurs concernant ce qui est juste et injuste. La sociologie post-critique initiée par L. Boltanski et L. Thévenot nous offre l’opportunité et les outils méthodologiques d’investir ces significations et de scruter les régimes pragmatiques de l’action qui sont en œuvre dans la vie ordinaire.1
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Galey, Jean-Claude. "Les angles de l'Inde." Annales. Histoire, Sciences Sociales 41, no. 5 (October 1986): 969–98. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1986.283327.

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Abstract:
S'il est vrai que l'identité des civilisations reste liée dans une large mesure à une problématique des origines, les perspectives d'analyse que mobilisent à son propos les disciplines dominantes des sciences de l'Homme et de la Société sont encore loin du bel unisson rêvé par leurs protagonistes. D'Alembert, dans son discours préliminaire à la Grande Encyclopédie, marquait déjà la discordance, classant les premières dans la philosophie et les secondes dans l'histoire. La distinction de deux domaines au sein d'un même intitulé continue aujourd'hui d'en porter témoignage. A la paléontologie et à la préhistoire s'opposerait alors la sociologie. Celle-ci, partie de la multiplicité et de l'observation les découperait pour constituer des typologies et remonter ensuite jusqu'à des formes élémentaires. Celles-là, guidées par des échantillons directeurs exhumeraient de leurs chantiers de fouilles les traces interrompues du passé, reconstruisant les itinéraires et les empreintes d'une humanité initiale pour laisser à l'archéologie et à l'histoire le soin d'établir les liens avec des périodes moins reculées dont les trajets recoupent rarement ceux qu'elles avaient relevés.
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Michel, Johann. "L'anthropologie fondamentale de Paul Ricoeur dans le miroir des sciences sociales." Social Science Information 47, no. 1 (March 2008): 31–54. http://dx.doi.org/10.1177/0539018407085748.

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Abstract:
Les recherches menées en sciences sociales présupposent le plus souvent, implicitement ou explicitement, une anthropologie fondamentale, c'est-à-dire une réflexion sur l'homme en tant qu'homme, sur les traits structurants de la condition humaine. Cet article se focalise sur l'anthropologie philosophique de Paul Ricoeur. La thèse défendue par l'auteur consiste à montrer que cette anthropologie, en raison de son équivocité et de ses remaniements, peut se refléter dans deux paradigmes tenus pour antagonistes en sciences sociales. D'une part, un paradigme d'inspiration structuraliste que l'on rencontre par exemple dans la sociologie critique de Pierre Bourdieu. D'autre part, un paradigme d'inspiration phénoménologique que l'on rencontre par exemple dans la sociologie de la société critique de Luc Boltanski.
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Aron, Raymond. "Tocqueville retrouvé." Tocqueville Review 26, no. 1 (January 2005): 25–46. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.26.1.25.

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Abstract:
Nous ne lisions guère De la Démocratie en Amérique ou L’Ancien Régime et la Révolution, à l’École normale supérieure ou à la section de philosophie de la Sorbonne. Personnellement, j’ai découvert Alexis de Tocqueville au fur et à mesure que paraissaient, les uns après les autres, les tomes des Œuvres complètes. J’ai étudié pour la première fois sa pensée alors que j’occupais une chaire de sociologie, à la fin des années 1950. Je ne lui dois donc pas ma formation bien que j’aie pris plaisir à le citer, voire à me réclamer de lui.
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Brusadin, Leandro Benedini. "L´hospitalité aux immigrants et les frontières urbaines : du régime des échanges conditionnels de Mauss à l’hospitalité inconditionnelle de Derrida." Revista Territórios e Fronteiras 13, no. 2 (April 1, 2021): 256–74. http://dx.doi.org/10.22228/rtf.v13i2.1026.

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Abstract:
La sociologie et la philosophie sont comprises dans cette étude comme des prémisses fondamentales pour la recherche en hospitalité sous les attributs et les pensées de l’École française. À contre-sens du processus d’accueil social, la modernité se caractérise par une société d’individus qui extrait d’elle-même les actions collectives et les obligations envers l’autre. La méthodologie part d’une discussion épistémologique qui cherche à connecter les études classiques axées sur la théorie du don de Marcel Mauss aux écrits d’hospitalité de Jacques Derrida par l’entremise de penseurs français contemporains comme Anne Gotman. L’aspiration inconditionnelle aux immigrants dans la ville et les échanges de dons asymétriques entre membres et non-membres forment notre concept humain d’hospitalité.
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Cauli, Marie, Dominique Pestiaux, Jean-François Denef, and Bernard Millette. "La responsabilité sociale en santé : évolution d’un concept. De l’implication individuelle aux enjeux de développement durable." Pédagogie Médicale 22, no. 1 (2021): 33–42. http://dx.doi.org/10.1051/pmed/2021003.

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Abstract:
Contexte et problématique : Le concept de responsabilité sociale en santé (RSS) prend une importance majeure au moment où les systèmes de santé, comme la société en général, vivent un bouleversement inédit sous l’effet d’une pandémie qui remet au centre de nos préoccupations un nécessaire changement de paradigme. Objectif : Cet article offre une courte rétrospective de ce concept en repartant de l’origine et de l’évolution du concept de RS dans l’entreprise, et réinterroge sous l’éclairage des sciences humaines (philosophie, anthropologie, sociologie) la notion de la responsabilité en tant que telle, mais aussi au sein de l’exercice professionnel en santé. Exégèse : Comment intégrer les préoccupations sociales et environnementales dans la pratique médicale au quotidien sans accabler le professionnel de santé du poids d’une responsabilité déjà prégnante ? Plusieurs hypothèses conditionnent ce processus, parmi lesquelles l’instauration d’une pensée systémique, qui rend seule possible une action transformative, un engagement porté sur les valeurs, une co-gestion de l’ensemble des acteurs de santé avec les parties prenantes. Ces hypothèses dessinent les contours d’une définition élargie de la RSS.
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Bouvier, Alban, and Ruwen Ogien. "Les causes et les raisons. Philosophie analytique et sciences humaines." Revue Française de Sociologie 38, no. 1 (January 1997): 150. http://dx.doi.org/10.2307/3322378.

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Raftis, J. A. "Mater et Magistra: a Challenge to the Catholicity of the Church." Relations industrielles 18, no. 1 (January 24, 2014): 17–34. http://dx.doi.org/10.7202/1021452ar.

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Abstract:
Sommaire L'histoire de la dernière encyclique, MATER ET MAGISTRA, illustre d'une façon dramatique, dans notre société contemporaine, la division du travail entre les relations publiques et le domaine académique. Dans le monde anglo-saxon au moins cette encyclique est celle qui a connu la plus large diffusion et qui a été la mieux reçue de toutes les encycliques sociales. Par ailleurs, il semble évident que moins qu'à toutes les autres on a apporté un intérêt soutenu. On a pas à chercher bien loin pour trouver la raison de cette indifférence générale. MATER ET MAGISTRA n'est pas seulement un document à l'occasion d'une crise ou, d'un problème. Elle est l'aboutissement de tout un siècle de développements académiques. D'une part, la doctrine sociale est seulement un segment d'une demi-douzaine de champs théologiques revitalisés. D'autre part, le fossé entre les sciences sociales et les champs de pensée plus traditionnels s'est graduellement rétréci. RERUM NOVARUM (1891) a ouvert la théologie à la science politique, QUADRAGESIMO ANNO (1931) a évidemment utilisé les principes économiques modernes et maintenant MATER ET MAGISTRA (1961) utilise la sociologie. Les experts en sciences sociales sont bien conscients de l'intérêt croissant chez leurs collègues depuis plusieurs générations au sujet du bien-être, des valeurs, des lois naturelles, des insuffisances du pragmatisme. Lorsque les dimensions proprement académiques de cette encyclique sont reconnues, il s'en suit immédiatement que cette doctrine nécessite pour son exposition un statut académique approprié. En premier lieu, il ressort de la structure de MATER ET MAGISTRA que l'étudiant de la théologie sociale doit nécessairement s'appuyer sur le spécialiste en sciences sociales. En second lieu, l'étudiant de la théologie sociale doit reconnaître que l'homme moderne désire une philosophie sociale adéquate. C'est une exigence beaucoup plus englobante que celle des encycliques précédentes. Il ne suffit plus maintenant de condamner l'individualisme et le scientisme du XIXe siècle, ou d'encourager davantage l'association — une union par-ici, une coopérative par là. Comme le préconise avec insistence le Pape Jean, une option morale positive de l'organisation ou de la socialisation est nécessaire à tout homme dans la société moderne. Alors qu'il est évident pour celui qui analyse ces questions que tout le pouvoir moral de la religion sera nécessaire afin de dissiper l'ensemble des accréditations religieuses et de la loi naturelle acceptées par l'individualisme de notre société industrielle ou le socialisme des autres traditions, la question présente de nouveaux aspects. Il y a déjà une évidence abondante que les professeurs des matières philosophiques et théologiques traditionnelles ne réaliseront pas la nécessité actuelle d'une philosophie sociale articulée s'ils n'empruntent pas aux spécialistes des sciences sociales la signification et l'importance de la socialisation aujourd'hui. De plus, c'est seulement de l'esprit en sciences sociales que le philosophe social apprendra l'apport réaliste de la remarque du Pape Jean à l'effet que dans le milieu social moderne un certain déterminisme ne cause pas de préjudice à la liberté. La récente étude de Robert A. Brady sur la place des standards dans la civilisation en est un excellent exemple (Organization, Automation, and Society, ch. IV). L'importance croissante de l'étudiant des sciences sociales est aussi un autre indice du rôle croissant de l'apostolat laïc pour l'avenir de la doctrine sociale.
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Zafirovski, Milan. "Convergent origins, divergent destinations: sociology's contributions and connections to economics in a historical and interdisciplinary framework." Social Science Information 46, no. 2 (June 2007): 305–54. http://dx.doi.org/10.1177/0539018407076651.

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Abstract:
English This article explores selected significant instances of sociology's contributions and connections to economics. These contributions are framed and analyzed within a historical and interdisciplinary setting of the originally common or convergent roots (Enlightenment philosophical rationalism and liberalism) and early co-developments, and yet the subsequently (especially since the 1930s) divergent trajectories and destinations of sociology and economics. These contributions are divided into two general categories: theoretical-substantive and methodological-epistemological. Sociological analyses of market phenomena, societal development and institutions are adduced as examples of sociology's theoretical contribution to economics. Ideal-types, Verstehen, and sociology of knowledge exemplify its methodological contributions and connections to economics. The article aims to help bridge a gap in the current literature in which such contributions and connections of sociology to economics are rarely recognized and considered in favor of those in the opposite (“rational-choice”) direction. French L'article explore certains apports importants de la sociologie à l'économie et les interrelations entre les deux disciplines. Ces apports sont analysés dans une perspective historique et interdisciplinaire, des racines originellement communes ou convergentes des deux disciplines (le rationalisme philosophique des Lumières et le libéralisme) et de leur développement initial commun à leurs trajectoires et destinations par la suite - en particulier depuis les années trente - divergentes. Ces apports se répartissent en deux grandes catégories: théoriques-formels et méthodologiques-épistémologiques. Les analyses sociologiques des phénomènes de marché, du développement de la société et des institutions sont donnés en exemples de contributions théoriques de la sociologie à l'économie. Les types-idéaux, Verstehen, et la sociologie de la connaissance témoignent de son apport méthodologique à l'économie et de ses liens avec celle-ci. L'article a pour ambition de combler un vide dans la littérature qui n'atteste que rarement l'existence de tels apports de la sociologie à l'économie, en privilégiant plutôt à l'inverse les apports de l'économie à la sociologie ("choix rationnel").
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Fournier, Marcel. "La sociologie québécoise contemporaine." Articles 15, no. 2-3 (April 12, 2005): 167–99. http://dx.doi.org/10.7202/055653ar.

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Abstract:
Il est une idée communément admise non seulement par les historiens et les philosophes des sciences mais aussi par les scientifiques eux-mêmes, à savoir que la science a « une vie propre, une histoire immanente » et qu'elle se développe sur la base des connaissances antérieurement accumulées et selon une séquence logique. Il n'est donc guère étonnant que les premiers sociologues qui se sont intéressés à l'étude du développement de disciplines scientifiques aient tenté de démontrer que celui-ci est cumulatif et qu'il suit, comme le développement de la plupart des phénomènes naturels, la forme d'une courbe logistique. La publication en 1962 du livre de Thomas Kuhn, La structure des révolutions scientifiques, incite les sociologues d'une part à multiplier les recherches empiriques en sociologie de la science et, d'autre part, à découper le développement de disciplines scientifiques en périodes ou étapes. D'abord descriptives, ces études, qui sont le plus souvent effectuées par des chercheurs américains, s'inspirent habituellement d'une problématique soit « interactioniste » soit « institutionnaliste » : les transformations d'une discipline scientifique sont en effet principalement déterminées, pour les uns, par des modifications dans la structure des relations ou interactions entre les scientifiques et, pour les autres, par des modifications dans les organisations ou institutions scientifiques. Et, si ce n'est d'établir une vague relation entre l'apparition de nouvelles occupations intellectuelles et le changement de certaines « valeurs sociales », on tend à reconnaître l'autonomie du champ scientifique, évitant ainsi de déduire directement la structure, son fonctionnement et sa fonction de l'état des rapports de force entre groupes ou classes sociales. Il est évidemment difficile de nier qu'un champ scientifique dispose, en raison même de sa fonction propre de production de connaissances, une relative autonomie par rapport aux demandes externes qui sont toujours retraduites conformément à la logique propre du champ5. Cependant, il serait quelque peu idéaliste de croire que la structure et le fonctionnement d'un champ scientifique ne dépendent en aucune façon des fonctions différentes et parfois contradictoires que les divers groupes ou classes sociales objectivement intéressés à son fonctionnement lui confèrent en fonction même de leur position dans la structure sociale: le développement d'une discipline scientifique a en effet d'autant plus de chances d'être rapide et important que les praticiens de cette discipline obtiennent l'appui de groupes sociaux qui s'intéressent (au double sens du terme) à la recherche scientifique et qui la subventionnent directement ou exercent des pressions auprès de l'État pour que celui-ci en assume la responsabilité. La constitution d'une « communauté » scientifique, l'acquisition par ses membres d'une légitimité culturelle qui se matérialise dans l'obtention de postes universitaires n'apparaissent donc pas totalement indépendantes de la contribution que ces membres apportent au développement des forces productives, à la rationalisation de la gestion publique ou à l'élaboration d'idéologies. Il suit de cette proposition qu'il faut, dans une étude du développement de la sociologie au Québec, non pas réduire cette discipline à l'idéologie ou l'analyser comme une idéologie, mais rendre compte de l'utilisation que des groupes ou classes sociales ont faite de ce savoir et des intérêts qu'ils ont eus à l'utiliser: non seulement description des transformations de la structure et du fonctionnement d'un sous-champ scientifique, cette étude devient aussi l'analyse des transformations de la structure des rapports entre, d'une part, le sous-champ scientifique et, d'autre part, les champs politique, religieux et économique.
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Sabourin, Paul. "Une éthique de la connaissance sociologique?" La question de l’éthique en sociologie et en sciences sociales, no. 48 (May 19, 2010): 65–91. http://dx.doi.org/10.7202/039766ar.

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Abstract:
Résumé À partir d’une réflexion générale sur la résurgence du discours éthique en sociologie et en sciences sociales, l’article vise à circonscrire une problématique de l’éthique qui caractériserait le rapport de connaissance sociologique. Pour ce faire, il est envisagé dans un premier temps, les modalités d’une traduction du modèle philosophique de l’éthique de Paul Ricoeur en fonction de l’objet de la sociologie. Dans un deuxième temps, à partir de l’analyse méthodologique de la démarche exemplaire d’Oscar Lewis dans Les enfants de Sanchez, chercheur partagé entre une pluralité d’engagements éthiques, est mise en évidence cette nécessité de recentrer l’engagement éthique du chercheur sur une éthique de la connaissance.
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Skinner, Quentin, Justine Brisson, and Arnaud Miranda. "L’histoire, la philosophie politique et l’École de Cambridge." Raisons politiques N° 93, no. 1 (March 21, 2024): 15–30. http://dx.doi.org/10.3917/rai.093.0015.

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Abstract:
Cet article, issu de la traduction du chapitre « Political Philosophy and the Uses of History » (paru dans Richard Bourke et Quentin Skinner (dir.), History in the Humanities and Social Sciences , Cambridge, Cambridge University Press, 2022) retrace d’abord l’émergence de l’approche « historiciste » pour étudier les textes de philosophie politique. À travers l’exemple de la philosophie de Thomas Hobbes, ce texte montre ce qui fait la spécificité de la méthode historiciste. L’article s’intéresse ensuite à deux objections fréquemment adressées à cette approche. La première lui reproche d’avoir déconnecté la philosophie politique et juridique de sa dimension normative, c’est-à-dire d’avoir cédé à une forme de « tyrannie de l’histoire ». La seconde affirme que les historicistes sont incapables de saisir ce qui, dans les phénomènes politiques, est transhistorique et universel. Après avoir étudié puis réfuté chacune de ces critiques, l’article se penche sur une objection plus récente : l’histoire de la philosophie politique serait encore une chapelle, qu’il faudrait déparoissialiser grâce à une approche plus globale. L’article se termine par une évaluation de ce qui se présente comme le « tournant global » de l’histoire de la philosophie politique.
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Querido, Fabio Mascaro. "DE SÃO PAULO A PARIS: o jovem Michael Löwy entre socialismo e sociologia." Caderno CRH 31, no. 83 (January 24, 2019): 263–75. http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v31i83.25230.

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Abstract:
Mais conhecido por sua afortunada trajetória internacional, em especial por aquela que se inicia a partir do final dos anos 1960 na França, Michael Löwy deu os primeiros passos de seu itinerário intelectual em São Paulo, na segunda metade da década de 1950, época em que cursou a graduação em Ciências Sociais na Faculdade de Filosofia da USP, então localizada na Rua Maria Antônia. O objetivo deste artigo é exatamente analisar a importância desse processo de formação intelectual de Löwy, entre o final da década de 1950 e meados da de 1970. Busca-se analisar algumas das linhas de força desse momento da trajetória intelectual do autor, das suas primeiras pesquisas sobre o movimento operário no âmbito da sociologia paulista até seus trabalhos mais teóricos – realizados na França – sobre as obras de Marx, Lukács e outros “intelectuais revolucionários”.FROM SÃO PAULO TO PARIS: the young Michael Löwy between socialism and sociology Although to be better known for his international trajectory, especially that which began in the late 1960s in France, it was in São Paulo that Michael Löwy began his intellectual itinerary in the second half of the 1950s. The purpose of this article is to analyze the importance of this process of intellectual formation of Löwy, between the late 1950s and the mid - 1970s. The aim is to analyze some of the leading threads of the intellectual trajectory of the author, from his first researches on the labor movement within the sociology of São Paulo until his more theoretical work in France, on the works of Marx, Lukács and other “revolutionary intellectuals”. Keywords: Intellectuals. Sociology. Socialism. Cosmopolitism. Engagement.DE SÃO PAULO À PARIS: le jeune Michael Löwy entre socialisme et sociologie Bien que plus connu par sa trajectoire internationale brillant, notamment celle qui a commencé à la fin des années 1960 en France, Michael Löwy a fait les premiers pas de son parcours intellectuel à São Paulo dans la seconde moitié des années 1950, lorsqu’il a suivi le cours de Sciences Sociales à la Faculté de Philosophie de l’USP, alors située à la rue Maria Antônia. Le but de cet article est d’analyser l’importance de cette période pour la formation intellectuelle de Löwy, entre la fin des années 1950 et le milieu des années 1970. On cherche à analyser certains des fils conducteurs de cette période de la trajectoire intellectuelle de l’auteur, dès ses premières recherches sur le mouvement ouvrier au sein de la sociologie de São Paulo jusqu’à son travail plus théorique en France sur les œuvres de Marx, Lukacs et d’autres «intellectuels révolutionnaires». Mots-clés: Intellectuels. Sociologie. Socialisme. Cosmopolitisme. Engagement.
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Granjon, Émilie. "Le symbole : une notion complexe." Protée 36, no. 1 (September 15, 2008): 17–28. http://dx.doi.org/10.7202/018802ar.

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Abstract:
Nombre d’auteurs ont utilisé le mot « symbole » de manière bien souvent disparate et parfois même erronée. Faire une synthèse de tout ce qui a été dit sur le symbole dans le cadre des sciences humaines serait impossible. Selon les traditions théoriques, les disciplines que sont la sémiotique, la philosophique, la sociologie, l’anthropologie, la psychanalyse et la sémiotique utilisent des aspects définitionnels variés opérant une divergence herméneutique fondamentale, divergence observée parfois même au sein d’une discipline et opérant un imbroglio sémantique déstabilisant. L’auteure convoque plusieurs réflexions théoriques sur le symbole pour effectuer un état des lieux actuel sur la question.
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Livet, Pierre. "Philosophie économique et complexité." Revue de philosophie économique Vol. 22, no. 2 (December 9, 2022): 177–201. http://dx.doi.org/10.3917/rpec.222.0177.

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Tancelin, Maurice. "La modernité du droit vue à travers l'anthropologie dogmatique et la sociologie des sciences." Les Cahiers de droit 41, no. 3 (April 12, 2005): 567–90. http://dx.doi.org/10.7202/043615ar.

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Abstract:
Le droit n'échappe pas à la mode des études sur la modernité, à l'occasion du changement de millésime. Deux ouvrages d'anthropologie parviennent par des voies différentes à un diagnostic étonnamment proche sur les expectatives en matière juridique et politique. Selon le juriste Pierre Legendre, le droit n'est pas seulement le phénomène social auquel la société tend à le réduire aujourd'hui. L'animal politique d'Aristote est un animal parlant. Le langage, qui émane de la Raison, transmet au droit le caractère structural de ces deux facultés eminentes. Celui-ci n'est donc pas une simple commodité de la vie sociale (commodity, utility), sujette à des manipulations au gré des sondages d'opinion. Le philosophe Bruno Latour, pour sa part, cherche à comprendre les liens entre sciences de la nature et les sciences sociales. Les premières ont la bride sur le cou depuis les Lumières. Cependant, la nécessité de les reconsidérer s'applique tout autant aux secondes. La science politique notamment a besoin de grilles d'analyse renouvelées pour répondre aux exigences de notre époque. Les deux ouvrages s'accordent sur le fait que dans les contrées occidentales le roi est nu. Pour P. Legendre, il faudrait le convaincre d'apprendre à vivre en paix avec lui-même et avec son prochain avant de lui remettre ses vêtements d'apparat. D'après B. Latour, le roi a davantage besoin d'une chirurgie corrective que d'une psychanalyse avant d'appeler le tailleur.
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Bloy, Géraldine, and Laurent Rigal. "Des gradients sociaux dans la dispensation des soins, et après ?" Revue française d'éthique appliquée N° 14, no. 1 (November 30, 2023): 63–77. http://dx.doi.org/10.3917/rfeap.014.0063.

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Abstract:
L’article propose une réflexion sur les usages cliniques et éthiques possibles de la floraison de travaux de sciences sociales sur les inégalités sociales de santé en France, qui soulignent de plus en plus la contribution des soins à ces dernières. Un bilan des enquêtes récentes révèle que les façons de dispenser les soins et d’interagir avec les patients peuvent être la fois marquées par une méconnaissance du social et chargées de stéréotypes. Nos propres travaux ont contribué à mettre en évidence une tendance à un profilage social des pratiques préventives, en médecine générale en l’occurrence. Nous revenons sur les formes d’interpellation éthico-politique des professionnels portées par la sociologie de la santé française et engageons une réflexion en termes d’injonction contradictoire inhérente au soin. La démonstration d’une production endogène d’inégalités sociales de santé complexifie, par une sorte d’injonction sociale, la tension éthique classique entre universalisme et personnalisation des soins. Une juste adaptation des pratiques soignantes consisterait-elle alors à prendre en compte les rapports sociaux inégaux tout en essayant d’en désamorcer la portée ? Quelle est et quelle pourrait être la contribution des travaux de sociologie de la santé à ce programme ? Nous proposons quelques repères pour une éthique socialement informée, mobilisant les sciences sociales tout en prenant appui sur la réflexivité des cliniciens, pour tenter de rendre moins dommageable le paradoxe du soin égalitaire dans une société inégalitaire.
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Hanafi, Sari, and Philippe Chanial. "Renouer les fils rompus entre la sociologie et la philosophie morale dans un cadre post-séculier." Revue du MAUSS 56, no. 2 (2020): 289. http://dx.doi.org/10.3917/rdm.056.0289.

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Dejean, Frédéric, Bertrand Lavoie, and David Koussens. "Détournement des espaces et gestion asymétrique du religieux dans les établissements d’enseignement supérieur québécois." Studies in Religion/Sciences Religieuses 49, no. 3 (May 29, 2020): 328–46. http://dx.doi.org/10.1177/0008429820922489.

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Abstract:
On a tendance à réduire les enjeux de laïcité aux seuls débats théoriques, mettant régulièrement la focale sur les systèmes normatifs et institutionnels à partir de travaux qui mobilisent les apports de la philosophie, du droit, des sciences politiques et de la sociologie. De fait, peu d’enquêtes, et cela tout particulièrement au Québec, ont tenté de documenter où et comment se vit, concrètement et au quotidien, la laïcité, alors même que les « grands » enjeux de laïcité naissent la plupart du temps dans de « petites » causes, dans de simples interactions individuelles, et se caractérisent souvent par leur dimension locale, voire même infra-locale. Inscrit dans le sillage de travaux relatifs aux conditions d’expression individuelle et collective des convictions religieuses dans les établissements d’éducation, cet article s’en distingue parce qu’il propose de les analyser à partir d’une « approche spatiale ». Il présente certains des résultats d’une recherche qualitative conduite dans 17 établissements d’enseignement supérieur (cégeps et universités) répartis sur l’ensemble du territoire québécois et ayant donné lieu à près d’une centaine d’entrevues semi-directives (95). L’article met en évidence des tensions entre une approche inclusive, soucieuse d’assurer à l’ensemble des personnes fréquentant les établissements publics des espaces accueillants et exempts de contraintes relativement à l’expression des manifestations religieuses, et une approche plus encline à un encadrement soutenu de ces mêmes manifestations, cherchant un cadre de référence et une certaine planification quant à la reconnaissance de la diversité religieuse. Cette ambivalence se traduit sur le terrain par une grande diversité des espaces religieux qui, bien souvent, se caractérisent par une forme de « bricolage » dans des interstices, des « angles morts » des établissements.
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Marcadé, Jean-Claude. "La Représentation dans les Arts Plastiques Image ou imagerie ? (note critique)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 52, no. 6 (December 1997): 1367–78. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1997.279639.

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Abstract:
Ce livre représente un moment important dans l'histoire des idées, dans l'histoire tout court. Il est rare en effet que les historiens fassent entrer dans le cercle de leur réflexion, autrement qu'accessoirement, les arts plastiques dans toutes leurs manifestations et surtout les philosophies de l'art, voire ce que l'on appelle depuis le 18e siècle l'esthétique. Le plus souvent, l'historien part d'une sociologie de la création artistique pour conforter son idée que les mutations de la société « retentissent sur les circonstances et sur les intentions de l'acte créateur».
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Gabaret, Jim, and Céline Marty. "Redéfinir le travail ." Le Philosophoire 61, no. 1 (April 23, 2024): 173–97. http://dx.doi.org/10.3917/phoir.61.0173.

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Abstract:
Depuis plusieurs décennies, la philosophie politique, les sciences sociales et le militantisme débattent de l’extension du concept de « travail » aux activités domestiques, sociales ou digitales. Pour la sociologue Marie-Anne Dujarier, c’est le signe d’un « trouble » du concept, qu’il faudrait abandonner. À partir des terrains sociologiques des communautés utopiques de Michel Lallement et des plateformes digitales d’Antonio Casilli, nous proposons une redéfinition qui en conserve l’unité, tout en permettant son extension à d’autres activités : le travail est une relation de commanditaire à commandité qui oriente de façon non-spontanée le second vers les besoins du premier, qu’il accepte de satisfaire contre compensation. Le concept est alors opératoire pour l’analyse comme les luttes sociales de reconnaissance.
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De Ligio, Giulio, and Adrien Louis. "Entretien avec Pierre Manent." Le Philosophoire 61, no. 1 (April 23, 2024): 149–71. http://dx.doi.org/10.3917/phoir.61.0149.

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Abstract:
Depuis plusieurs décennies, la philosophie politique, les sciences sociales et le militantisme débattent de l’extension du concept de « travail » aux activités domestiques, sociales ou digitales. Pour la sociologue Marie-Anne Dujarier, c’est le signe d’un « trouble » du concept, qu’il faudrait abandonner. À partir des terrains sociologiques des communautés utopiques de Michel Lallement et des plateformes digitales d’Antonio Casilli, nous proposons une redéfinition qui en conserve l’unité, tout en permettant son extension à d’autres activités : le travail est une relation de commanditaire à commandité qui oriente de façon non-spontanée le second vers les besoins du premier, qu’il accepte de satisfaire contre compensation. Le concept est alors opératoire pour l’analyse comme les luttes sociales de reconnaissance.
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Linhart, Danièle. "Un temps libre marqué au fer rouge du travail." Mouvements 114, no. 2 (July 5, 2023): 44–54. http://dx.doi.org/10.3917/mouv.114.0044.

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Abstract:
Dans cet article, la sociologue Danièle Linhart rappelle que le temps libre n’échappe pas au travail : c’est bien le temps contraint du travail marchand qui donne sens au temps libre, le « sanctifie » et le façonne. La qualité du temps libre dépend largement de la qualité du travail, en termes d’organisation, de contenu et de conditions d’exercice. La philosophie du temps libre inspire les entreprises dans leurs propres pratiques, afin de tenter de contrôler ce temps (théoriquement) libéré. On assiste à une véritable contamination du temps libre des salarié·es par l’esprit managérial.
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Merllie, Dominique. "La sociologie de la morale est-elle soluble dans la philosophie? La reception de La morale et la science des moeurs." Revue Française de Sociologie 45, no. 3 (July 2004): 415. http://dx.doi.org/10.2307/3323083.

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Marcel, Jean-Christophe. "Joly (Marc) – Après la philosophie. Histoire et épistémologie de la sociologie européenne . – Paris, CNRS Éditions, 2020 (Interdépendances). 568 p. Bibliogr." Revue française de science politique Vol. 72, no. 3 (December 19, 2022): XVI. http://dx.doi.org/10.3917/rfsp.723.0381p.

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Pérus, Marcos Cuevas, Jacques Wunenburguer, and Marcos Cuevas Perus. "La raison contradictoire. Siences et philosophie modernes: la pensée du complexe." Revista Mexicana de Sociología 52, no. 4 (October 1990): 442. http://dx.doi.org/10.2307/3540618.

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