Academic literature on the topic 'Société numérique – Aspect environnemental'

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Journal articles on the topic "Société numérique – Aspect environnemental"

1

Mzoughi, Chaker. "De la fictivité en Droit Qatarien des Sociétés Commerciales." International Review of Law 11, no. 1 (2022): 271–87. http://dx.doi.org/10.29117/irl.2022.0213.

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Abstract:
Objectifs : Il s’agit dans le cadre de cette étude de déterminer la place réservée par le législateur qatarien aux situations fictives. Les études antérieures ont traité un seul aspect de la question, celui de la société fictive qui, d’ailleurs, a été considéré dénué d’intérêt avec la société unipersonnelle et c’est ce que cette étude a par ailleurs, essayé de nuancer. Dans ce nouveau monde numérique, le risque de la fictivité est bien réel. Cette recherche a essayé de déterminer comment le droit qatarien des sociétés commerciales appréhende la fictivité ? la réponse s’est faite selon une approche globale de la vie de la société: son existence, et sa situation économique. Méthodologie : Analytique, critique et comparative. Ce qui nous a permis d’analyser la règlementation qatarienne et l’évaluer par rapport au droit comparé. Résultats : Cette recherche a permis de déterminer la place réservée par le droit qatarien au critère de la fictivité pour déterminer le régime juridique des sociétés commerciales. Originalité : Il s’agit d’une étude pionnière en Droit qatarien qui propose une nouvelle piste de recherche sur la moralisation du droit des affaires en général.
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2

BAUMONT, R., and C. HUYGHE. "Editorial." INRA Productions Animales 30, no. 5 (June 29, 2018): 425–26. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.5.2272.

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Abstract:
En 2018, la revue Inra Productions Animales devient entièrement numérique et en accès libre ! Chers abonnés, chers lecteurs, En 2018, la revue INRA Productions Animales entre dans sa 31ème année ! En 30 ans, la revue a publié un peu plus de 1200 articles contribuant ainsi fortement à la synthèse et au ransfert des résultats obtenus par l’INRA, ses collaborateurs et ses partenaires dans le domaine des sciences animales et de l’élevage. La revue INRA Productions Animales s’adresse à un large public de professionnels des filières animales, d’agents du développement et des pouvoirs publics, d’étudiants, d’enseignants et de chercheurs, ainsi qu’à la société en général. La spécificité de nos articles est de combiner la volonté de toucher ce large public avec l’exigence de rigueur de l’écriture scientifique d’une revue à comité de lecture indexée dans le « Web of Science ». Au moment où les filières animales doivent construire leur avenir dans un contexte économique incertain et face à des demandes sociétales de plus en plus exigeantes sur les conditions d’élevage des animaux, sur la qualité de leurs produits et sur l’impact environnemental des modes de production, nous sommes convaincus qu’une revue de synthèse scientifique dans le domaine des sciences animales et de l’élevage est indispensable. Inra Productions Animales continuera à publier des articles de synthèse sur des résultats de recherche et leurs applications concernant toutes les espèces d’intérêt zootechnique tout en apportant aussi un éclairage scientifique, dépassionné et objectivé sur les questions sociétales relatives à l’élevage. Le dernier numéro spécial de la revue – « L’élevage en Europe : une diversité de services et d’impacts » – en est l’illustration. Nous poursuivrons dans ce sens en cherchant à ouvrir plus largement encore nos pages aux sciences humaines et sociales. La revue cherchera aussi à élargir son positionnement dans la francophonie et son rayonnement international en suscitant des articles de nos collègues étrangers. Enfin, nous renforcerons notre partenariat avec les journées scientifiques et techniques des différentes filières animales. Ce sera le cas dès cette année avec les « Rencontres Recherches Ruminants – 3R » dont nous publierons les articles de synthèse. Pour atteindre ces objectifs et mieux répondre aux besoins de nos lecteurs, nous avons entrepris une réflexion sur notre modèle technique et économique qui nous conduit à mettre en œuvre des changements importants à partir de 2018. La presse scientifique, comme l’ensemble de la presse, doit faire face à des changements profonds des habitudes de lecture avec la montée en puissance rapide du web et des supports numériques. Par ailleurs, l’INRA s’engage résolument dans une politique de libre accès à l’information scientifique avec l’archive ouverte des productions de l’INRA (« ProdInra ») par exemple. La revue INRA Productions Animales a été pionnière en la matière en ouvrant dès 1996 un site web et en offrant un large accès au téléchargement de ses articles tout en maintenant une édition papier de la revue. Pour poursuivre et faciliter l’accès à la connaissance scientifique diffusée par notre revue, nous supprimerons les abonnements à la revue et le tirage papier et publierons tous les articles de la revue à partir du volume 31 de 2018 en libre accès sur le portail de revues scientifiques de l’université de Bordeaux (http://open.u-bordeaux.fr/journals/). D’ici quelques semaines, vous trouverez sur ce portail un site dédié à la revue INRA Productions Animales où les articles seront publiés intégralement en format « web » ainsi qu’en format « pdf » téléchargeable. Les numéros spéciaux de la revue et certains dossiers continueront à être aussi publiés en tant qu’ouvrages chez Quae (www.quae.com). Vous trouverez toutes les informations pour accéder au nouveau site de la revue sur son site web actuel (https://www6.inra.fr/productions-animales). En vous remerciant de votre fidélité et en souhaitant vous retrouver encore plus nombreux pour la nouvelle formule d’INRA Productions Animales.
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3

AGABRIEL, J., and R. BAUMONT. "Avant-propos." INRA Productions Animales 30, no. 2 (June 19, 2018): 91–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2235.

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Abstract:
Il faut remonter loin dans les archives de l’INRA, et plus précisément au numéro spécial du « Bulletin du CRZV de Theix » datant de l’année 1974 pour trouver un ouvrage entièrement dédié aux « vaches allaitantes »1. Quarante-trois ans plus tard, c’est avec plaisir que nous présentons ce nouveau dossier dans la revue INRA Productions Animales qui leur est entièrement consacré. Un tel regroupement d’articles sur cet animal et ce système d’élevage est donc assez rare et nous remercions chaleureusement les animateurs de la revue de l’avoir initié. Le numéro de 1974 constatait le développement soutenu des troupeaux allaitants en France qui accompagnait la tendance à la spécialisation des systèmes de production tant vers le lait que vers la viande. Les travaux de recherches engagés mettaient en avant les spécificités de ce système peu étudié jusque-là : la productivité de la femelle, biologiquement limitée à un veau par an, impose une stratégie générale de réduction des charges et des coûts de production et par là une maximisation de l’utilisation de l’herbe dans le système fourrager. Ils se démarquaient alors des travaux réalisés sur les vaches laitières. Et pour produire efficacement de la viande, disposer d’animaux tardifs de grands formats est un atout important par la capacité qu’ils ont à déposer efficacement de la masse musculaire. Les objectifs de sélection proposés alors ont ciblé le potentiel de croissance des veaux tout en améliorant les facilités de vêlage des vaches et le format des carcasses des vaches de réforme. Ces connaissances, développées par des chercheurs de renommée2, ont porté leurs fruits et accompagné la transformation constante du cheptel Français : le nombre de vaches allaitantes a presque été multiplié par deux (4,2 millions actuellement en France). Il est supérieur à celui des vaches laitières depuis l’année 2005 et la production de viande qui en est issue avoisine désormais 65% de la production nationale. Les vaches ont grandi et grossi (+ 5kg /an en moyenne), mais les troupeaux également. La productivité par travailleur a plus que doublé (Veysset et al 20153) sans que la productivité numérique des vaches n’en pâtisse trop. Mais cette réussite quantitative flagrante marque le pas, et ne suffit plus pour aborder sereinement l’avenir de la production. Au niveau des exploitations de nombreux signaux défavorables se sont allumés. Les revenus des éleveurs stagnent et restent parmi les plus bas des professions agricoles. L’image de l’élevage se dégrade dans notre société urbanisée. Les bovins en général sont aussi interrogés sur leur bilan environnemental qui est sujet à controverses, et désormais c’est la finalité première de production de viande de ces troupeaux allaitants qui est en débat. Ces constats sont maintenant bien connus, et rappelés brièvement dans les introductions des articles de M. Lherm et al, et d’A. Cerles et al. Ils provoquent des inquiétudes grandissantes à tous les niveaux de la filière. Que peuvent apporter aux débats en cours les recherches récentes ciblées vers les vaches allaitantes ? C’estce qui a motivé la réalisation de ce dossier qui vise à rassembler et synthétiser les connaissances récentes acquises, d’une part, à l’échelle de l’animal, et, d’autre part à celle du système de production.Pour introduire ce dossier, l’article de M. Lherm et al met en perspective les évolutions des « élevages allaitants » dans les quatre principaux pays européens producteurs : France, Royaume-Uni, Irlande et Espagne. L’analyse des trajectoires technico-économiques des élevages allaitants au cours des dernières décennies dans ces quatre pays montre que les choix d’investissements, de mécanisation, et d’agrandissement des structures n’ont pas été partout semblables. Ensuite, ce dossier fait le point des avancées dans les disciplines et dans les onnaissances zootechniques de base pour la conduite des élevages bovins allaitants : l’amélioration génétique, la physiologie de lareproduction, les facteurs de variation de la production de lait des mères, la quantification de leurs besoins nutritionnels et de leur efficience alimentaire. L’article de L. Griffon et al discute de ce que l’on peut attendre des nouveaux outils génétique comme la génomique, et comment ils vont s’intégrer dans les nouveaux schémas d’amélioration. Les nouvelles connaissances physiologiques pour la maîtrise de la reproduction, pour la prévision de la courbe de lactation et pour la maîtrise de l’alimentation des vaches allaitantes sont détaillées successivement dans les articles de B. Grimard et al, de B. Sepchat et al et d’A. De La Torre et J. Agabriel. Ils fournissent de nouveaux indicateurs sur les aptitudes des animaux dont l’élevage du futur a besoin : robustesse, autonomie, efficience. Autant de propositions pour de nouvelles mesures de routine qui participeront à la détermination des nouveaux phénotypes. L’article de M. Doreau et al éclaire le débat sur l’empreinte environnementale de l’élevage allaitant en synthétisant les connaissances actuelles permettant d’établir le bilan de ses impacts positifs et négatifs. Les controverses sur le besoin en eau, les rejets de gaz à effet de serre ou d’azote pour produire un kg de boeuf par exemple, sont encore très fortes et nécessitent des apports scientifiques de fond pour les apaiser. Même s’il est acquis qu’élevage allaitant et prairie sont liés, et que ce lien conforterait une image favorable auprès des citoyens comme auprès des consommateurs, les interrogations sociétales demandent des réponses. Les travaux en cours permettent de les affiner. Enfin, l’article d’A. Cerles et al qui clôt ce dossier pose les fondements des futurs possibles pour l’élevage bovin allaitant à partir d’un travail de prospective pour les filières viandes réalisé sur le territoire du Massif central qui analyse les conséquences de cinq scénarios contrastés prenant en compte de puissants déterminants comme le changement climatique, l’évolution de la consommation de viande, les politiques agricoles et environnementales4. La bonne utilisation des surfaces herbagères, la maîtrise complète de la qualité des viandes sont de points incontournables à travailler dans les années à venir, et les acteurs devront faire émerger ensemble les opportunités de projets qui les aideront à avancer. Nous sommes persuadés que ces divers sujets par la manière exhaustive et synthétique dont ils ont été traités dans ce dossier, aideront les lecteurs dans leurs recherches personnelles et à se forger leur propre expertise. Nous remercions encore tous les auteurs, les relecteurs et le secrétariat de la revue pour leurs investissements qui ont permis de mener ce travail à son terme. J. Agabriel, R. BaumontInra, UMR Herbivores------------1 L’exploitation des troupeaux de vaches allaitantes. 6ème journées du Grenier de Theix. Supplément du Bulletin Technique du CRZV Theix. Numéro spécial 1974 : 398pp.2 On peut ainsi citer Claude Béranger, Michel Petit, Gilbert Liénard, François Ménissier et toutes leurs équipes d’alors.3 Veysset P., Lherm M., Roulenc M., Troquier C., Bebin D., 2015. Productivity and technical efficiency of suckler beef production systems: trends for the period 1990 to 2012. Animal 9, 2050-2059.4 Cerles A., Poux X., Lherm M., Agabriel J., 2016. Étude prospective des filières viandes de ruminants du Massif central, horizon 2050. INRA Centre Auvergne-Rhône-Alpes. http://www.ara.inra.fr/Le-centre-Les-recherches/projets-et-actualites/ProspectiveViande
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4

Yaméogo, Lassané. "Genre et technologie dans le journalisme." Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 10, no. 1 (June 12, 2021): 128. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v10.n1.2021.442.

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Abstract:
FR. S’appuyant sur une enquête qualitative menée dans les médias à capitaux publics au Burkina Faso en 2019, cet article analyse les interrelations entre genre et technologie, et conforte le postulat que les métiers techniques sont construits ou représentés autour d’une organisation sociale sexuée. D’une part, les rapports entre les journalistes et les techniciens des deux sexes sont disputés et construits autour des notions de « centre » représenté par les journalistes, vus comme l’instance la plus importante et de « périphérie » incarnée par les techniciens, considérés comme des ouvriers ou des agents de soutien des journalistes. Ces rivalités de reconnaissance sociale et professionnelle entre les deux groupes professionnels s’accentuent davantage quand les journalistes s’autoproclament techniciens, affirmant être désormais capables d’exercer les métiers techniques grâce aux facilités que leur offre le numérique. D’autre part, des stéréotypes liés au sexe caractérisent les relations professionnelles, participant à une sous-représentation des femmes techniciennes ou à une masculinisation du métier. La recherche montre, en outre, que le travail de la technicienne est sous-valorisé au sein du microcosme professionnel ou du champ médiatique et hyper valorisé par la société extra-journalistique. Dans l’imaginaire du monde intra-médiatique qui est aussi celui des techniciens, la capacité de la femme à exercer des métiers techniques est relativisée ou réfutée. Mais, lorsque les femmes s’illustrent par le travail, la combattivité, l’affirmation de soi, elles sont représentées par les hommes comme des « hommes » donnant à voir une forme d’égalisation des rapports professionnels entre les techniciens et les techniciennes. L’article révèle, par ailleurs, des formes de résistances, de la part des femmes techniciennes, à cette dévalorisation professionnelle. A contrario, les encouragements et les félicitations qu’elles reçoivent du monde non-journalistique représentent pour elles des sources d’inspiration, d’affirmation de soi et d’engagement plus prononcé dans le métier. Enfin, l’article montre que, dans les métiers techniques, le progrès technologique est source de rupture générationnelle féminine. *** EN. This paper analyzes the interrelationships between gender and technology (based on qualitative research of public-funded media in Burkina Faso in 2019) and confirms that the constitution and representation of technical professions are rooted in a gender-based social organization. On the one hand, the relationship between journalists and technicians of both sexes are defined and built around the notions of a “center” represented by journalists (considered the most important aspect of the media structure), and a “periphery” incarnated by technicians (considered supporting agents of journalists). The rivalry for social and professional recognition between the two groups escalates when journalists proclaim themselves technicians, claiming to be able to exercise technical professions thanks to the ease offered by digital technology. On the other hand, gender stereotypes characterize professional relationships, contributing to an under-representation of women technicians and to a masculinization of the profession. The research shows, moreover, that the work of the female technician is undervalued within the professional microcosm and in the media field and overvalued by extra-journalistic society. In the imaginary of the realm of intra-media, which is also that of technicians, women's ability to exercise technical professions is relativized or denied. But, when women distinguish themselves through work, combativeness or assertiveness, they are represented by men as “men” as a way of equalizing professional relationships between male technicians and female technicians. This paper also reveals forms of resistance on the part of female technicians to this professional devaluation. On the other hand, the encouragement and congratulations they receive from the non-journalistic world represent sources of inspiration, self-assertion and a clearer commitment to the profession. Finally, the article shows that, in the technical professions, technological progress is a source of female generational rupture. *** PT. Com base em uma pesquisa qualitativa realizada na mídia pública em Burkina Faso em 2019, este artigo analisa as inter-relações entre gênero e tecnologia e apóia o postulado de que as profissões técnicas são construídas ou representadas em torno de uma organização social de gênero. Por um lado, as relações entre jornalistas e técnicos de ambos os sexos são disputadas e construídas em torno das noções de “centro” representadas pelos jornalistas, vistos como a instância mais importante, e de “periferia” encarnadas pelos técnicos, considerados agentes de apoio de jornalistas. Essas rivalidades por reconhecimento social e profissional entre os dois grupos profissionais se acentuam ainda mais quando jornalistas se proclamam técnicos, afirmando poder exercer profissões técnicas graças às facilidades oferecidas pela tecnologia digital. Por outro lado, os estereótipos de gênero caracterizam as relações profissionais, contribuindo para uma sub-representação das técnicas mulheres ou para uma masculinização da profissão. A pesquisa mostra, além disso, que o trabalho da mulher técnica é subvalorizado dentro do microcosmo profissional ou do campo da mídia e hipervalorizado pela sociedade extrajornalística. No imaginário do mundo intra-midiático, que é também o dos técnicos, a capacidade das mulheres de exercer profissões técnicas é relativizada ou refutada. Mas, quando as mulheres se distinguem por meio do trabalho, da combatividade, da assertividade, são representadas pelos homens como "homens", mostrando uma forma de equalização das relações profissionais entre técnicos e técnicas. O artigo também revela formas de resistência, por parte das técnicas, a essa desvalorização profissional. Por outro lado, o incentivo e as felicitações que recebem do mundo não jornalístico representam para elas fontes de inspiração, autoafirmação e compromisso mais nítido com a profissão. Por fim, o artigo mostra que, nas profissões técnicas, o progresso tecnológico é uma fonte de ruptura geracional feminina. ***
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Yaméogo, Lassané. "Genre et technologie dans le journalisme." Sur le journalisme, About journalism, Sobre jornalismo 10, no. 1 (June 15, 2021): 128–43. http://dx.doi.org/10.25200/slj.v10.n1.2021.459.

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Abstract:
FR. S’appuyant sur une enquête qualitative menée dans les médias à capitaux publics au Burkina Faso en 2019, cet article analyse les interrelations entre genre et technologie, et conforte le postulat que les métiers techniques sont construits ou représentés autour d’une organisation sociale sexuée. D’une part, les rapports entre les journalistes et les techniciens des deux sexes sont disputés et construits autour des notions de « centre » représenté par les journalistes, vus comme l’instance la plus importante et de « périphérie » incarnée par les techniciens, considérés comme des ouvriers ou des agents de soutien des journalistes. Ces rivalités de reconnaissance sociale et professionnelle entre les deux groupes professionnels s’accentuent davantage quand les journalistes s’autoproclament techniciens, affirmant être désormais capables d’exercer les métiers techniques grâce aux facilités que leur offre le numérique. D’autre part, des stéréotypes liés au sexe caractérisent les relations professionnelles, participant à une sous-représentation des femmes techniciennes ou à une masculinisation du métier. La recherche montre, en outre, que le travail de la technicienne est sous-valorisé au sein du microcosme professionnel ou du champ médiatique et hyper valorisé par la société extra-journalistique. Dans l’imaginaire du monde intra-médiatique qui est aussi celui des techniciens, la capacité de la femme à exercer des métiers techniques est relativisée ou réfutée. Mais, lorsque les femmes s’illustrent par le travail, la combattivité, l’affirmation de soi, elles sont représentées par les hommes comme des « hommes » donnant à voir une forme d’égalisation des rapports professionnels entre les techniciens et les techniciennes. L’article révèle, par ailleurs, des formes de résistances, de la part des femmes techniciennes, à cette dévalorisation professionnelle. A contrario, les encouragements et les félicitations qu’elles reçoivent du monde non-journalistique représentent pour elles des sources d’inspiration, d’affirmation de soi et d’engagement plus prononcé dans le métier. Enfin, l’article montre que, dans les métiers techniques, le progrès technologique est source de rupture générationnelle féminine. *** EN. This paper analyzes the interrelationships between gender and technology (based on qualitative research of public-funded media in Burkina Faso in 2019) and confirms that the constitution and representation of technical professions are rooted in a gender-based social organization. On the one hand, the relationship between journalists and technicians of both sexes are defined and built around the notions of a “center” represented by journalists (considered the most important aspect of the media structure), and a “periphery” incarnated by technicians (considered supporting agents of journalists). The rivalry for social and professional recognition between the two groups escalates when journalists proclaim themselves technicians, claiming to be able to exercise technical professions thanks to the ease offered by digital technology. On the other hand, gender stereotypes characterize professional relationships, contributing to an under-representation of women technicians and to a masculinization of the profession. The research shows, moreover, that the work of the female technician is undervalued within the professional microcosm and in the media field and overvalued by extra-journalistic society. In the imaginary of the realm of intra-media, which is also that of technicians, women's ability to exercise technical professions is relativized or denied. But, when women distinguish themselves through work, combativeness or assertiveness, they are represented by men as “men” as a way of equalizing professional relationships between male technicians and female technicians. This paper also reveals forms of resistance on the part of female technicians to this professional devaluation. On the other hand, the encouragement and congratulations they receive from the non-journalistic world represent sources of inspiration, self-assertion and a clearer commitment to the profession. Finally, the article shows that, in the technical professions, technological progress is a source of female generational rupture. *** PT. Com base em uma pesquisa qualitativa realizada na mídia pública em Burkina Faso em 2019, este artigo analisa as inter-relações entre gênero e tecnologia e apóia o postulado de que as profissões técnicas são construídas ou representadas em torno de uma organização social de gênero. Por um lado, as relações entre jornalistas e técnicos de ambos os sexos são disputadas e construídas em torno das noções de “centro” representadas pelos jornalistas, vistos como a instância mais importante, e de “periferia” encarnadas pelos técnicos, considerados agentes de apoio de jornalistas. Essas rivalidades por reconhecimento social e profissional entre os dois grupos profissionais se acentuam ainda mais quando jornalistas se proclamam técnicos, afirmando poder exercer profissões técnicas graças às facilidades oferecidas pela tecnologia digital. Por outro lado, os estereótipos de gênero caracterizam as relações profissionais, contribuindo para uma sub-representação das técnicas mulheres ou para uma masculinização da profissão. A pesquisa mostra, além disso, que o trabalho da mulher técnica é subvalorizado dentro do microcosmo profissional ou do campo da mídia e hipervalorizado pela sociedade extrajornalística. No imaginário do mundo intra-midiático, que é também o dos técnicos, a capacidade das mulheres de exercer profissões técnicas é relativizada ou refutada. Mas, quando as mulheres se distinguem por meio do trabalho, da combatividade, da assertividade, são representadas pelos homens como "homens", mostrando uma forma de equalização das relações profissionais entre técnicos e técnicas. O artigo também revela formas de resistência, por parte das técnicas, a essa desvalorização profissional. Por outro lado, o incentivo e as felicitações que recebem do mundo não jornalístico representam para elas fontes de inspiração, autoafirmação e compromisso mais nítido com a profissão. Por fim, o artigo mostra que, nas profissões técnicas, o progresso tecnológico é uma fonte de ruptura geracional feminina. ***
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Ashworth, Lucian M. "A Forgotten Environmental International Relations: Derwent Whittlesey's International Thought." Global Studies Quarterly 1, no. 2 (June 2021). http://dx.doi.org/10.1093/isagsq/ksab006.

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Abstract:
ABSTRACT International relations (IR) has been criticized for its poor response to the challenges of the Anthropocene. Since the 1950s, IR, especially in its US form, was driven by immediate Cold War concerns of security and relations between great powers. Yet, this IR of the later twentieth century superseded a more materialist IR that had flourished in the first half of the century. Derwent Whittlesey's political geography, which was one aspect of this material international thought, had directly explored the relationship between global politics and the environment. This article explores Derwent Whittlesey's international environmental thought, showing how it emerged from a more environmentally determinist tradition, but came to understand the relationship between human society and the environment as fungible and complex. Prioritizing time and profound changes linked to the machine age, Whittlesey warned about the damage that human society inflicted on its habitat. Yet, despite his contacts with early IR scholars at Yale, Whittlesey and his work would come to be forgotten in IR. Consequently, his work represents a path not taken, and his marginalization helps to explain why IR was so ill-equipped to understand the new global politics of the Anthropocene. Las Relaciones Internacionales (international relations, IR) han sido criticadas por su pobre respuesta ante los desafíos del Antropoceno. Desde la década de 1950, las IR, especialmente en su forma estadounidense, fueron impulsadas por inquietudes inmediatas de la Guerra Fría en cuanto a la seguridad y las relaciones entre las grandes potencias. Sin embargo, estas IR de finales del siglo XX reemplazaron a las IR más materialistas que habían prosperado en la primera mitad del siglo. La geografía política de Derwent Whittlesey, que era un aspecto de este pensamiento internacional pertinente, había explorado de manera directa la relación entre la política global y el medioambiente. Este artículo explora el pensamiento ambiental internacional de Derwent Whittlesey y explica cómo surgió de una tradición más determinista a nivel ambiental, pero llegó a comprender la relación entre la sociedad humana y el medioambiente como fungible y compleja. Al priorizar el tiempo y los cambios profundos vinculados a la era de las máquinas, Whittlesey advirtió sobre el daño que la sociedad humana infligió a su hábitat. Sin embargo, a pesar de sus contactos con los primeros académicos en IR en Yale, Whittlesey y su trabajo serían olvidados en el campo de las IR. En consecuencia, su trabajo representa un camino aún no recorrido y su marginación ayuda a explicar por qué las IR estaban tan mal preparadas para comprender la nueva política global del Antropoceno. Les relations internationales (RI) ont été critiquées pour leur mauvaise réponse à l'anthropocène. Depuis les années 50, les RI, tout particulièrement dans leur forme américaine, ont été déterminées par les préoccupations immédiates de la guerre froide en matière de sécurités et de relations entre grandes puissances. Ces RI de la fin du vingtième siècle ont toutefois supplanté des RI plus matérialistes qui s’étaient développées durant la première moitié du siècle. La géographie politique de Derwent Whittlesey, qui constituait l'un des aspects de cette pensée internationale matérielle, avait directement exploré la relation entre politique mondiale et environnement. Cet article étudie la pensée environnementale internationale de Derwent Whittlesey en montrant comment elle a émergé d'une tradition plus déterministe sur le plan environnemental mais en est venue à comprendre la relation entre société humaine et environnement comme étant fongible et complexe. Priorisant le temps et les profonds changements liés à l’ère de la mécanisation, Whittlesey avait mis en garde contre les dommages que la société humaine infligeait à son habitat. Pourtant, malgré ses contacts avec les premiers chercheurs en RI à Yale, Whittlesey et son travail ont fini par être oubliés en RI. Par conséquent, son travail représente une voie qui n'est pas empruntée et sa marginalisation contribue à expliquer pourquoi les RI sont si mal équipées pour comprendre la nouvelle politique mondiale de l'anthropocène.
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Hervé, Caroline. "Communs." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.086.

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Abstract:
Les communs (commons en anglais) peuvent être définis comme un ensemble de ressources physiques, matérielles ou immatérielles que les êtres humains cherchent à exploiter, à gérer ou à protéger pour assurer leur survie biologique, économique, sociale ou encore culturelle. Très à la mode depuis une quarantaine d’années en anthropologie, sociologie, histoire, économie ou encore en philosophie, ce concept a vu son champ d’application s’élargir, ses propositions théoriques s’étoffer et ses analyses se complexifier, tout en perdant progressivement son sens historique. Sortis du champ académique et instrumentalisés par les mouvements de résistance au néolibéralisme, les communs sont désormais au cœur de débats de société. La façon dont cette notion interroge les interactions entre les êtres humains et leur environnement, son intérêt pour éclairer la fabrication du social et sa réutilisation dans le débat public en fait un objet de recherche riche pour l’anthropologie. La définition du concept de communs est une entreprise difficile tant il renvoie à des usages divers. Si certains chercheurs tendent à privilégier, en français, l’usage du pluriel afin de marquer la grande variété des ressources regroupées sous la terminologie de communs, que l’on parle de ressources naturelles, mais également sociales ou intellectuelles, d’autres auteurs insistent sur l’importance d’utiliser le terme au singulier afin de souligner son potentiel théorique et pratique (Hardt et Negri 2012 ; Dardot et Laval 2014). L’origine étymologique du terme commun, construit sur les locutions latines cum et munus, renvoie à une idée centrale, celle de la mise commun ou de la gestion commune de biens, mettant l’accent sur le fait que le commun « implique donc toujours une certaine obligation de réciprocité liée à l’exercice de responsabilités publiques » (Dardot et Laval 2014 : 23). Ces deux aspects, celui de réciprocité et de responsabilité publique, sont au cœur de la définition historique des communs. Les origines du concept renvoient à une pratique de gestion des terres qui était courante dans différentes régions d’Europe avant la fin du Moyen-Âge et qui consistait en la gestion commune de certaines terres par un groupe de personnes ou d’unités familiales pendant une période de temps limitée. Dans certaines circonstances, tout le monde pouvait avoir accès à ces terres, selon des règles d’usage particulières ; dans d’autres cas, leur usage était restreint et contrôlé. Ce fonctionnement communal a progressivement été mis en cause par les autorités publiques et les cercles politiques à partir du milieu du XVIIIe siècle. En l’espace d’un siècle, la plupart des communs en Europe de l’ouest devinrent ainsi des propriétés privées ou publiques (De Moor 2011 : 425). Ceci correspond au phénomène connu des enclosures qui s’est particulièrement développé en Angleterre dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à travers lequel de larges étendues de champs ouverts, connus sous le nom de terrains communaux ou commons, ont progressivement été parcellisés et enclos (Hemmungs Wirtén 2013 : 2), dans un contexte marqué par l’augmentation démographique et l’industrialisation. Ce retour dans l’histoire est important pour comprendre les confusions qui sont apparues lorsque les chercheurs des différentes disciplines ont commencé à s’intéresser plus largement à la question des communs à partir du milieu du XXe siècle. L’une des confusions les plus importantes a été introduite par le biais du travail de Garrett Hardin dans son célèbre article « The Tragedy of the Commons », publié en 1968, dans lequel il explique que les communs sont susceptibles de surexploitation et donc de disparition. Sa thèse principale repose sur l’idée biaisée que les communs historiques étaient accessibles à tous et en tout temps. À la suite de la parution de cet article, les chercheurs ont ainsi commencé à utiliser le terme de communs pour faire référence à toutes formes de ressources utilisées par tous et sans contrôle, ce qui ne correspond pourtant pas à sa définition historique (De Moor 2011 : 425). L’article de Hardin a ouvert de nombreuses recherches portant sur les solutions à mettre en œuvre pour contrer la dégradation des communs. Mais ces travaux sont souvent restés coincés entre deux options : la prise en charge des communs par l’État ou par le marché. C’est dans ce contexte que le travail de la politologue Elinor Ostrom (1990), en proposant une troisième voie, a eu un retentissement important dans le monde académique, et même au-delà. La publication de son livre Governing the Commons constitue une étape essentielle dans les recherches sur la gestion des communs. Non seulement, elle montre que l’exploitation des communs ne mène pas inéluctablement vers leur fin, mais elle explore la diversité des arrangements institutionnels permettant la gestion de ceux-ci, sans pour autant avoir recours à l’État ou à la privatisation. Sa contribution est consacrée en 2009 lorsqu’elle reçoit, en même temps qu’Oliver Williamson, le prix Nobel d’économie pour son analyse de la gouvernance économique et celle des communs. La création de l’International Association for the Study of the Commons en 1989 ou encore la création de l’International Journal of the Commons en 2007, révélateurs d’un engouement scientifique pour la question des communs, permettent la diffusion des théories et des méthodes dans les différentes disciplines et dans la société civile, à tel point que l’étude même des communs comporte aujourd’hui des enjeux politiques, sociaux et même éthiques (Peugeot et Piron 2015). Les travaux d’Elinor Ostrom s’inscrivent dans une démarche résolument interdisciplinaire puisqu’elle utilise des études de cas, des concepts, des modèles et des méthodes issus de différentes sciences sociales, et tout particulièrement de l’anthropologie. Loin de développer une perspective purement institutionnelle, Ostrom s’intéresse en effet avant tout aux stratégies développées par les acteurs sociaux pour gérer des ressources en commun. Elle s’appuie pour cela sur de nombreuses études de cas développées par des anthropologues pour comprendre par exemple les systèmes d’irrigation au Népal, dans les Philippines ou à Los Angeles, la gestion des forêts en Inde, en Asie, en Afrique et en Amérique latine ou encore la pêche côtière en Inde ou au Canada (Acheson 2011 : 320). Même si son usage de l’anthropologie est qualifié de fragmentaire, puisque sortant ces études de cas de leurs contextes politiques ou culturels, ses travaux sont néanmoins reconnus comme une contribution majeure à la discipline anthropologique (Rabinowitz 2010). Outre celle des interactions entre les hommes et leur environnement, les travaux d’Ostrom rejoignent bien d’autres questions intéressant les anthropologues. Ils interrogent directement la gestion des ressources collectives, la nature des liens de coopération et la fabrique des communautés (Rabinowitz 2010 : 104), la production des normes et des règles sociales, ainsi que de la propriété, privée ou publique (Acheson 2011 : 320). Enfin, en montrant le rôle important de la réciprocité dans la plupart des cas de gestion alternative des ressources, les anthropologues ont mis en évidence, à partir de leurs différents terrains, le fait que l’homme n’était pas uniquement animé par une logique économique, mais que le symbolisme était central dans les pratiques d’échange, renvoyant ainsi aux théories sur le don, concept dont les anthropologues ont étudié les multiples formes dans les sociétés humaines. Dans la foulée des propositions théoriques de Hardin et de Ostrom, un véritable engouement s’est manifesté autour de la question de ces communs naturels, en anthropologie et dans les autres disciplines des sciences sociales. Ces travaux ont fourni des modèles inspirant pour d’autres types d’objets de recherche et plus récemment les chercheurs ont commencé à identifier de nouveaux communs (new commons), comme des biens communs sociaux (social commons) qui constituent des ressources sociales ou des services destinés à des groupes sociaux spécifiques, des communs de nature intellectuelle ou encore culturelle incluant des ressources aussi variées que la musique, l’artisanat, les technologies numériques, etc. (Nonini 2006 : 166-167). Certains anthropologues ont même avancé l’idée que les communs peuvent englober des dimensions plus invisibles de la vie sociale relevant du domaine cognitif, corporel ou affectif, comme par exemple chez les Urarina, peuple indigène du Pérou, pour lesquels la notion même de tranquillité doit être l’objet d’un partage ou d’une réciprocité (Walker 2015). L’extension du concept de communs à des domaines aussi divers de la vie sociale explique aujourd’hui la difficulté à en donner une définition uniforme et certaines ambivalences quant à ses usages et ses analyses. De façon plus générale, la naturalisation du discours sur les biens communs a nécessité de s’engager dans une réflexion critique sur cet objet, ce que l’anthropologie a pu prendre en charge à travers sa capacité à mettre en perspective la production du social. Le succès du terme ne s’est en effet pas limité au milieu académique. Dans le contexte des dernières décennies, alors que des corporations, des gouvernements et d’autres types d’institutions politiques, privées ou non-gouvernementales, ont dépossédé certains groupes humains de leurs ressources dans la mouvance de la globalisation néolibérale, des stratégies de résistance et de lutte pour conserver ou retrouver le contrôle sur ces biens se sont développées (Nonini 2006 : 165). Dans le même temps, les propositions théoriques sur les communs ont mis en valeur des alternatives séduisantes face à la mainmise du marché ou de l’État sur ces ressources. Les anthropologues ont ainsi montré que ces luttes ne concernent pas seulement le contrôle des ressources matérielles mais également le contrôle des significations culturelles associées aux communs et aux processus qui les préservent ou les détruisent (Nonini 2006 : 165). Les stratégies et les perspectives antagonistes des différents groupes se disputant les communs sont ainsi devenues des objets de recherche riches pour l’anthropologie. Dans le contexte sud-américain où la surexploitation des ressources naturelles s’impose comme un nouveau paradigme économique, le constat que chacune des deux parties réutilise le concept de biens communs et de communs pour légitimer, d’un côté l’exploitation des ressources naturelles, et de l’autre la lutte contre cette exploitation, rappelle la nécessité de repenser les fondements ontologiques de chacune de ces deux façons de concevoir la relation entre les humains et le monde naturel. Dans ce cadre, les peuples autochtones nous invitent plutôt à penser ces confrontations ontologiques à travers le concept d’« incommuns » ; celui-ci révèlerait plutôt l’existence et la persistance d’une certaine incompatibilité entre différentes façons d’être au monde. En effet, alors que les entreprises extractrices font reposer leurs justifications sur la distinction entre nature et culture, et plus précisément sur le contrôle de la nature par les êtres humains, les peuples autochtones de leur côté se perçoivent en continuité avec le monde naturel, engagé dans une relation réciproque avec lui et dans l’obligation de le protéger (Blaser et De La Cadena 2017 : 186-187).
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Dissertations / Theses on the topic "Société numérique – Aspect environnemental"

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Bourgeois, Guillaume. "Analyse et modélisation de l’impact environnemental du système d’information." Electronic Thesis or Diss., La Rochelle, 2023. http://www.theses.fr/2023LAROS023.

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Abstract:
Le numérique est devenu une partie intégrante de notre vie quotidienne, mais il a un impact environnemental important, notamment en termes de consommation d’énergie, de production de gaz à effet de serre, de déchets électroniques, de pollution de l’eau et de l’air, de déforestation, et de diminution de la biodiversité. Les organisations prennent conscience de leur responsabilité environnementale et cherchent à réduire leur empreinte carbone liée au SI (système d’information). Pour aider les organisations à piloter leur empreinte carbone SI, cette thèse propose un cadre d’aide à la décision basé sur une modélisation fine de l’impact environnemental du système d’information. Ce cadre permet d’identifier les actions les plus efficaces pour réduire l’impact environnemental du SI en prenant en compte les contraintes opérationnelles et financières des organisations. Les outils WeNR sont présentés comme des applications concrètes de ce cadre d’aide à la décision, qui permettent de mesurer l’impact environnemental du SI au sein des organisations et de proposer des mesures concrètes pour le réduire. Enfin, l’auteur présente les perspectives d’un outil SaaS d’aide à la décision dans le numérique responsable qui permettrait de collecter automatiquement les données relatives à l’empreinte carbone numérique de l’organisation, de les analyser et de proposer des actions spécifiques pour la réduire, ainsi que de fournir des indicateurs clés de performance environnementale
Digital technology has become an integral part of our daily lives, but it has a significant environmental impact, particularly in terms of energy consumption, greenhouse gas production, electronic waste, water and air pollution, deforestation, and biodiversity loss. Organizations are becoming aware of their environmental responsibility and are seeking to reduce their carbon footprint related to information systems. To help organizations manage their IS carbon footprint, this thesis proposes a decision support framework based on a detailed modeling of the environmental impact of the information system. This framework identifies the most effective actions to reduce the environmental impact of the IS, taking into account the operational and financial constraints of the organizations. The WeNR tools are presented as concrete applications of this decision support framework, which allow measuring the environmental impact of the IS within organizations and proposing concrete measures to reduce it. Finally, the author presents the prospects of a responsible digital SaaS decision support tool that would automatically collect data on the organization’s digital carbon footprint, analyze it, propose specific actions to reduce it, and provide key environmental performance indicators
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Fiocca, Louis-Emmanuel. "L' analyse économique du droit d'auteur dans la société de l'information." Aix-Marseille 3, 2002. http://www.theses.fr/2002AIX32059.

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Codur, Anne-Marie. "La relation société-environnement dans une approche systémique : contribution à la définition du concept de développement durable." Paris, Institut d'études politiques, 1996. http://www.theses.fr/1996IEPP0019.

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Abstract:
La nécessité d'appréhender le concept de développement durable dans une perspective globalisante, multidisciplinaire maintes fois rappelée depuis la conférence de Rio en 1992 - constitue le fil conducteur de cette étude. Nous y proposons un cadre théorique systémique permettant de rendre compte de l'organisation de l'interface société-environnement, dans une conception interactive, au travers de ce que nous appelons système socio-écologique (SSE), idéal-type méthodologique que nous caractérisons selon diverses dimensions qualitatives, organisationnelles. L'organisation institutionnelle de l'interface société-environnement peut s'appréhender en termes de contraintes réponse dans une conception dynamique co-évolutive des SSE. Pour des SSE relativement fermes, ou l'essentiel des ressources nécessaires à l'activité sociale est retiré de l'environnement naturel immédiat, ce qui est encore le cas de nombreuses communautés rurales des PVDs, nous présentons une typologie des réponses institutionnelles (modes de régulation de l'accès aux ressources) aux contraintes écologiques (variabilité, alea, indivisibilité, non-visibilité d'une ressource, etc. . . ) en l'illustrant par des exemples pris dans le monde rural du Maghreb. Des solutions institutionnelles ayant permis une gestion durable à long terme de ressources naturelles renouvelables (sols, eau, ressources sylvo-pastorales), sont menacées par divers facteurs perturbateurs, au travers de l'ouverture de ces SSE à des logiques systémiques marchandes et/ou étatiques relevant d'autres échelles systémiques (nationale et internationale), conduisant à des dysfonctionnements porteurs de dégradations environnementales
This thesis proposes a theoretical framework for studying the society-environment relationship in a systemic perspective especially in the context of social systems that are closely dependant on their local environment, as is still the case for most rural communities in developing countries. Traditional analytical, quantitative approaches (using linear causalities) generally fail to explain the complexity of the relation between a society and its environment. This dissertation employs a dynamic interactive socio-ecological system (SES) model which represents the organization of the interface that links any society to its natural environment. Focusing on the institutional aspect of this interface, i argue that the relation between institutional design and ecosystemic properties is critical for sustainability. Sustainable institutional structures must be sensitive to physical factors which impose constraints on the exploitation of natural renewable resources (e. G. Variability and uncertainty in the availability of a resource in space, time and quantity, conditions of access, visibility, divisibility,. . ) I develop a typology of diverse ideal-types of SESs according to institutional responses to ecological constraints (especially in terms of appropriate institutional scales or regulation of access to resources). I illustrate this typology by examples of historically sustainable SESs in rural communities of Morocco and Tunisia. These communities are experiencing exogenous and endogenous changes or shocks (population pressure, institutional failures, openess to the market, conflicts between different institutional scales of regulation,. . . ) That are modifying the patterns of the socio-environment interface and can lead to ecological degradations if the necessary institutional adaptations fail to occur
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Wanjohi, Kibicho. "Tourisme et parcs nationaux au Kenya : la ville contre la société rurale locale ?" Lyon 2, 2005. http://www.theses.fr/2005LYO20077.

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Abstract:
Le tourisme joue au Kenya un rôle important en tant que source de revenus et générateur d'emplois. A travers l’étude de la région d’Amboseli, ce travail situera les relations communauté locale-tourisme-environnement. Comment et à quelle échelle l'évolution touristique influe-t-elle sur la vie de la communauté maasaï? Par qui et pourquoi le tourisme a-t-il été introduit dans cette région? Comment, peu à peu, est-il devenu, aux yeux de quelques membres de ladite communauté, le seul moyen de développement économique? Devant le développement vigoureux du tourisme dans cette région, une question pertinente est posée avec insistance par plusieurs auteurs: est-il initié pour les intérêts des citadins ou des ruraux ? Est-il un développement par, avec ou pour des habitants locaux ? Ceci nous a aidé à formuler la question globale de ce travail – « Tourisme et parcs nationaux au Kenya : la ville contre la société rurale locale? » A partir d’une enquête, destinée au trois types de répondants (communauté locale, administrateurs du PNA et touristes) dans la région d'Amboseli, deux groupes d’acteurs touristiques sont identifiés. Un groupe écocentrique semble préférer des actions gestionnaires qui exigent la modification de l’environnement pour les besoins des touristes. L’autre groupe d’acteurs, les anthropocentriques, semble favoriser l’utilisation de l’environnement et des ressources naturelles pour les besoins de la communauté locale. En se basant sur ces résultats et la littérature existant, on conclut que la création du PNA, comme celle des autres parcs nationaux dans le monde, a été le résultat d’une réaction aux excès de la civilisation industrielle et urbaine. Or ils furent crées dans l’intérêt de citadins plutôt que dans celui des ruraux
Tourism in Kenya plays a significant role as a source of income as well as a creator of employment opportunities. Using the case studies of Amboseli area, this study analyses the relationship between the tourist-host community, tourism and the environment. How and to what extent tourism development has influenced the Maasai community’s way of life. Why was the tourism industry introduced to the region? With unsurpassed level of tourism growth in the area, a pertinent question remains unanswered: was it initiated for the benefit of the urbanites or the hosts? Is it a development by, with or for the local/host community? In relation to these questions, the overall research question and indeed the theme for this study is: “Wildlife-based Tourism in Kenya: A Form of Domination of the Local Communities?” Based on a survey carried-out on three key tourism interested parties (local community, Kenya Wildlife Service staff and tourists), two groups of stakeholders are identified. The first group, ecocentric, prefers management actions which take care of the tourist interests as a priority. The other group of stakeholders, anthropocentric, favours the utilization of the environment for the local development. Based on the results of the current study and the existent literature, this work concludes that, wildlife-based tourism in Kenya serves the interest of the urban dwellers at the expense of the tourist-host community
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Nica, Dan. "Société de l'information et e-gouvernance : cas d'un pays en transition : la Roumanie." Bordeaux 3, 2005. http://www.theses.fr/2005BOR30002.

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Sauget, Nicole. "Agro-écosystème et société : la diversité des façons de produire des agriculteurs dans les coteaux de Gascogne." Paris 10, 1996. http://www.theses.fr/1996PA100005.

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Le, Normant Catherine. "Modélisation numérique tridimensionnelle des processus de transport des sédiments cohésifs en environnement estuarien." Toulouse, INPT, 1995. http://www.theses.fr/1995INPT014H.

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Abstract:
Cette these porte sur la modelisation numerique tridimensionnelle du transport en suspension des sediments cohesifs en estuaire. Dans un premier temps, le modele numerique telemac-3d, qui simule les ecoulements tridimensionnels en riviere et en mer, a fait l'objet de nouveaux developpements afin de representer les processus propres aux sediments fins (phenomene de floculation, mouvements de la creme de vase, consolidation du fond vaseux). L'etude d'un estuaire schematique a montre les capacites du code a simuler les phenomenes caracteristiques des environnements estuariens: propagation de la maree, intrusion saline et formation du bouchon vaseux. Le modele a alors ete applique a un cas reel: l'estuaire de la loire. Le bouchon vaseux reproduit par le modele presente des caracteristiques (position dans l'estuaire, deplacements au cours de la maree) similaires a celles observees en nature. Le modele de creme de vase a aussi ete teste et il s'est avere utile pour une bonne representation de la dynamique sedimentaire estuarienne
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Auray, Nicolas. "Politique de l'informatique et de l'information : les pionniers de la nouvelle frontière électronique." Paris, EHESS, 2000. http://www.theses.fr/2000EHES0129.

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Gerber, François-Pierre. "Le durcissement de l'idéologie sécuritaire en France : effet du projet utopique de société de l'information ?" Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2008. http://www.theses.fr/2008STR20017.

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Abstract:
Les politiques sécuritaires en France se durcissent de façon régulière à chaque législation en matière de sécurité intérieure. Dans le même temps se précise la mise en oeuvre du projet planétaire de société de l'information qui se veut inclusive, égalitaire et démocratique. Quel lien entre l'utopie d'un monde meilleur portée par la société de l'information et la figure sécuritaire que prennent les démocrties libérales ? Nous postulons que le durcissement sécuritaire auquel nous assistons constitue l'envers, la face cachée de la société de l'information. Le caractère libéral et libertaire de la société de l'information implique une modification du rôle de l'Etat dont la dépolitisation et la perte de légitimité engendre la généralisation de l'insécurité sociale, à laquelle l'Etat rationnel et technique, réduit à ses fonctions régaliennes de maintien de l'ordre, répond de façon répressive avec le développement des technologies de contrôle et la pénalisation de l'insécurité sociale
In France the security politics regularly harden at every legislation as regards interior security. At the same time, takes shape the use of a worldwide project of information society, which claims it as inclusive, egalitarian and democratic. Is there a link between the utopia of a better world carried by the information society and the security face that the liberal democracies adopt ?. .
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Cardona, Aurélie. "L'agriculture à l'épreuve de l'écologisation : éléments pour une sociologie des transitions." Paris, EHESS, 2012. http://www.theses.fr/2012EHES0132.

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Abstract:
Malgré la mise en œuvre de dispositifs visant à diminuer leur impact sur l'environnement, les pratiques agricoles n'évoluent qu'à la marge, et les critiques à leur égard se renforcent. La mission environnementale attribuée à l'agriculture est complexe, car sujette à de multiples interprétations. Cette thèse s'est donnée pour objectif, d'une part de comprendre de quelle manière des acteurs différents (agricole et non-agricoles) s'engagent en pratique dans des processus de transition vers une agriculture plus écologique, d'autre part de saisir l'effet de leurs interventions sur les pratiques des agriculteurs. Pour cela nous avons choisi une approche pragmatique permettant de mettre en évidence les « frictions » au cœur de ces processus, ainsi que les « prises » élaborées par les acteurs et surtout de restituer au plus près leurs interprétations et leurs expériences. À partir d'une analyse socio-historique et de trois terrains franciliens, nous avons mis en évidence les conditions d'émergence des mobilisations en faveur des changements de pratiques agricoles, les processus d'enrôlement à travers lesquels la question des transitions prend du sens pour tous et enfin, les changements qui ont lieu et qui concernent tant les pratiques agricoles que les modes de gouvernance du changement en agriculture. Les processus de transition sont donc le résultat d'ajustements entre différents groupes d'acteurs ancrés dans des milieux différents. Cette analyse suggère l'émergence d'un modèle de changement en agriculture « contributif territorialisé » au sens où, dans les territoires, les différents acteurs peuvent contribuer par leurs activités aux processus d'écologisation de l'agriculture
In spite of measures aiming to reduce the environmental impact of agriculture, changes in farming practices remain modest while societal concerns continue to rise. The environmental mission assigned to agriculture is complex and subject to interpretation. The growing number of diverse stakeholders turning their attention to farming increases the demands placed on agriculture. In this context, the goal of this thesis is first, to understand how a diversity of agricultural and non-agricultural stakeholders involve themselves in transition processes towards more environmentally-soundagriculture and second, to understand the effect of their involvement on farmers practices. To achieve this, I relied on a pragmatic approach wich highlights "frictions", as well as "holdfasts" used by stakeholders and makes it possible to give a faithful account of their interpretations and experience of transition processes. Based on a socio-historical analysis and three case-studies from the Paris region, I characterized, first, the conditions of the emergence of movements promoting change in agriculture practices, second, the enrollment processes throught wich the issue of transition makes sense and, third, the changes in terms of both agricultural practices and forms of governance of those changes as well. The study shows that transition processes emerge as the result of adjustements between diverse stakeholders embedded in different communities. This analysis suggests the emergence of a "territoire-based contribution" model of change, where a diversity of stakeholders contributes by their discourse and actions to the ecologization of agriculture in their territoire
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Books on the topic "Société numérique – Aspect environnemental"

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Le dirigeant et l'accélération numérique. [Neuilly-sur-Seine]: Éditions Débats publics, 2015.

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Agriculture et société: pistes pour la recherche (1993 : Paris), ed. Agricultures et société: Pistes pour la recherche. Paris: Association Descartes, 1993.

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Regards critiques sur la consommation: Pour une conversion écologique. Montréal: Novalis, 2012.

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Ariane, Conrad, ed. Planète jetable: Produire, consommer, jeter, détruire. Montréal: Éditions Écosociété, 2010.

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Digital virtual consumption. New York: Routledge, 2012.

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Ian, Angus. Une planète trop peuplée?: Le mythe populationniste, l'immigration et la crise écologique. Montréal: Les Éditions Écosociété, 2014.

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Beuscart, Jean-Samuel. Sociologie d'internet. Malakoff: Armand Colin, 2016.

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Morozov, Evgeny. The net delusion: The dark side of internet freedom. New York: Public Affairs, 2011.

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Numériques: Essai. Paris: B. Grasset, 2014.

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10

1954-, Day Peter, Schuler Douglas, and DIAC (Conference) (7th : 2000 : Seattle, Wash.), eds. Community practice in the network society: Local action, global interaction. London: Routledge, 2004.

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Book chapters on the topic "Société numérique – Aspect environnemental"

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BAILLARGEAT, Dominique. "Intelligence Artificielle et villes intelligentes." In Algorithmes et Société, 37–46. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.4544.

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Abstract:
Les technologies du numérique et de l'Intelligence Artificielle (IA) sont amenées à jouer un rôle essentiel dans tous les domaines de la société de demain pour améliorer le fonctionnement de la ville et la qualité de vie de ses habitants, tout en diminuant l'impact environnemental et la facture énergétique globale. Pour atteindre ses objectifs, il est nécessaire de penser les modes de complémentarité entre l'Humain et les systèmes intelligents. En effet, l'IA contribuera à rendre les villes intelligentes et sera vue comme un facteur d'amélioration de la qualité de vie, qui si elle est comprise et acceptée par les citoyens. Ce futur environnement urbain numérique ne peut alors se résumer à un réseau interconnecté de boîtes noires, mais doit tendre vers un réseau intelligent explicable, éthique et centré sur l'Humain. Ce chapitre se place dans ce contexte et propose des pistes de réflexion sur les enjeux numériques et sociétaux de la future ville intelligente.
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