Journal articles on the topic 'Singularités génériques'

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1

Colin de Verdière, Yves. "Sur les singularités de van Hove génériques." Mémoires de la Société mathématique de France 1 (1991): 99–109. http://dx.doi.org/10.24033/msmf.356.

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2

Cortez, Aurélie. "Singularités génériques des variétés de Schubert covexillaires." Annales de l’institut Fourier 51, no. 2 (2001): 375–93. http://dx.doi.org/10.5802/aif.1826.

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3

Pelletier, Fernand. "Singularités génériques des distributions de codimension 2 et des structures bihamiltonniennes." Bulletin des Sciences Mathématiques 125, no. 3 (April 2001): 197–234. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-4497(00)01071-x.

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4

Cortez, Aurélie. "Singularités génériques et quasi-résolutions des variétés de Schubert pour le groupe linéaire." Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series I - Mathematics 333, no. 6 (September 2001): 561–66. http://dx.doi.org/10.1016/s0764-4442(01)02101-2.

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5

Cortez, Aurélie. "Singularités génériques et quasi-résolutions des variétés de Schubert pour le groupe linéaire." Advances in Mathematics 178, no. 2 (September 2003): 396–445. http://dx.doi.org/10.1016/s0001-8708(02)00081-6.

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6

Dion, Robert, and Frances Fortier. "Péculat biographique et enchevêtrement générique." Protée 31, no. 1 (June 10, 2004): 51–64. http://dx.doi.org/10.7202/008501ar.

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Résumé Cette étude examine les divers phénomènes de transposition qui se trouvent au principe de l’ouvrage de Thomas De Quincey intitulé Les Derniers Jours d’Emmanuel Kant (1827). La première partie révèle la singularité essentielle de ce texte qui a longtemps été attribué à De Quincey lui-même alors qu’il n’était, de fait, que la reprise intégrale, en traduction, d’Immanuel Kant in seinen letzten Lebensjahren (1804), œuvre du secrétaire de Kant, Wasianski. Ce matériau biographique se voit transposé par l’ajout d’un appareil de notes qui vient gauchir le statut proprement factuel du texte et lui donner une tonalité ironique ; les diverses traductions françaises du texte de De Quincey viendront d’ailleurs encore épaissir le palimpseste. La seconde partie de l’étude met en lumière, à partir de traits textuels majeurs (brouillage énonciatif, télescopage des temps, etc.), toute une série de transpositions proprement génériques qui interfèrent avec les genres mineurs, en vogue à l’époque, du recueil d’anecdotes, des mémoires et du tombeau. En fin de compte, Les Derniers Jours d’Emmanuel Kant apparaissent comme le détournement délibéré, sur les plans diégétique, discursif et axiologique, des traits prototypiques de la biographie.
7

Scurtu, Gabriela. "Traduire le vocabulaire juridique français en roumain." Meta 53, no. 4 (January 16, 2009): 884–98. http://dx.doi.org/10.7202/019653ar.

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Abstract:
Résumé Le discours juridique est un type de communication spécialisée singularisé par un ensemble de traits qui tiennent autant à l’existence d’un vocabulaire spécialisé qu’aux particularités de sa structure discursive. Dans le cas pris en considération, celui des textes normatifs, nous nous sommes proposée de mettre en évidence un faisceau de traits pertinents pour leur structuration linguistique, portant sur ce que les auteurs en jurilinguistique considèrent comme le premier obstacle à la communication juridique – le lexique. Nous y relevons des problèmes spécifiques à la traduction juridique, plus précisément les problèmes soulevés par les différentes catégories de termes établies à l’intérieur de ce qu’on peut appeler de façon générique « vocabulaire juridique » : les mots d’appartenance juridique principale, les mots à double appartenance, le vocabulaire de soutien et les collocations.
8

Fonvielle, Stéphanie. "Linéaments d’écriture. Les ratures dans la correspondance de peu-lettrés durant la Grande Guerre." SHS Web of Conferences 78 (2020): 06004. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207806004.

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Abstract:
Cet article se propose d’analyser les ratures dans des correspondances peu-lettrées de la Grande Guerre. L’objectif est de voir comment ces dernières peuvent refléter les conditions de production des lettres et cartes échangées entre les soldats et leur famille. Nous présentons dans un premier temps la singularité du contexte générique dans lequel apparaissent ces ratures, précisons leur mode de repérage au moyen d’un logiciel textométrique et explorons, à l’aide des critères proposés par la génétique des écrits, la valeur indicielle de certaines ratures. Une seconde partie sera l’occasion pour nous d’entrer plus avant dans les bifurcations des écrits de peu-lettrés, en interrogeant notamment les degrés de contrainte et de liberté qui guident l’instance raturante, en évoquant la part des ratures liées à l’orthographe, et enfin, en sillonnant quelques réécritures proposées par les épistoliers peu-lettrés, qui nous conduisent du côté du lapsus.
9

Kane, Dame. "Essai de classification de trois romans policiers négro-africain à la lumière de la typologie todorovienne." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 3, no. 4 (February 15, 2024): 44–52. http://dx.doi.org/10.29173/af29502.

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Le roman policier africain d’expression française, au-delà des aspects fondamentaux qui le définissent et qu’il partage avec le modèle occidental, se singularise par une approche dictée par les influences culturelles de l’Afrique subsaharienne et par une thématique ancrée dans les réalités qui prévalent dans cet espace. C’est une écriture qui a su marquer sa singularité et s’enrichir avec les apports multiples de la tradition et du monde moderne. Cependant, elle ne semble pas échapper aux modèles génériques occidentaux que Todorov range dans trois catégories : le roman noir, le roman à énigme et le roman à suspense. Congo à gogo de Bruce Josette (1983), L’Archer bassari de Modibo Sounkalo Keita (1984), La Vie en spirale d’Abass Ndione (1984), Kouty, mémoire de sang d’Aida Mady Diallo (1998), L’Empreinte du renard de Moussa Konaté (2006) ou Sorcellerie à bout portant d’Achille Ngoye (1998) ont des différences qui résident autant dans le déroulement de l’intrigue que dans le traitement des invariants du polar dans son sens le plus large. Le crime, le mobile, le mode opératoire, les personnages du coupable, de la victime ainsi que du suspect ne sont pas présentés de la même manière. L’étude de l’univers narratif de ce genre romanesque nous permettra de mettre quelques romans africains de l’espace francophone, à l’épreuve de la vision todorovienne du polar.
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Le Scanff, Yvon. "Senancour, une écopoétique du naturel." RELIEF - Revue électronique de littérature française 16, no. 1 (July 8, 2022): 47–56. http://dx.doi.org/10.51777/relief12341.

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Chez Senancour l’écopoétique du naturel peut se déployer dans deux directions : dans une perspective plus poéticienne et générique (en quoi Oberman est un roman naturel par exemple) et dans une optique plus stylisticienne qui sera davantage privilégiée dans cette étude. Le style naturel est une gageure et quasiment une contradiction en ses termes. Toutefois, à l’époque de Senancour, deux sens semblent se faire concurrence : d’une part l’idée que le naturel serait lié à une logique de la sensation spontanée, de l’autre qu’il aurait trait à la manifestation d’un ordre indifférencié de la raison : singularité ou universalité. Senancour semble opter pour un universel singulier, un naturel du milieu qui rende à la fois l’ordre indifférencié de la nature et la spontanéité singulière de la sensation naturelle. L’interpellation du sentir et l’appréhension par le jugement composent ainsi les évocations descriptives comme harmonies des contraires. Mieux encore, Senancour fait jouer cette harmonie au sein même de la sensation : si la vue porte cette part d’ordre logique du tableau comme une forme d’évidence intellectuelle objective et presque anesthésiée, l’ouïe vient spontanément manifester l’irruption de ce qui est senti comme une pure sensation naturelle.
11

Burrin, Philippe. "Politique et société : les structures du pouvoir dans l'Italie fasciste et l'Allemagne nazie." Annales. Histoire, Sciences Sociales 43, no. 3 (June 1988): 615–37. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1988.283510.

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L'historiographie des regimes fasciste et nazi montre combien l'histoire comparée demeure une recommandation d'école. En vain chercherait-on parmi les innombrables études publiées dans les trente dernières années un ouvrage abordant de façon comparative l'histoire de ces regimes, ou explorant l'un ou l'autre de leurs aspects, à l'exemple du remarquable travail que Jùrgen Kocka consacra aux cols blancs allemands et américains. Emprise du cadre national sur les études historiques, sans aucun doute, mais aussi peut-être réticence des historiens envers une démarche accaparée dans les années 1960 et 1970 par des politologues à qui seul importait de fixer la formule d'un fascisme générique. Attaché au respect des singularités, l'historien ne pouvait que voir dans des interprétations faisant des regimes allemand et italien l'expression politique d'un stade du capitalisme ou d'une étape de la modernisation, des généralités peu éclairantes, grevées au surplus d'omissions ou de méconnaissances considérables. Ainsi pour ce qui est de l'extermination des juifs, un événement où culminent et se condensent les différences de tous ordres que l'on peut constater entre les deux regimes et que le carcan d'un modèle explicatif global amène presque immanquablement à ignorer ou à aplatir. Même si leur gravité a été longtemps méconnue, les actes de barbarie commis par l'Italie fasciste en Ethiopie sont bien éloignés d'une entreprise de génocide dont la spécificité est d'avoir été idéologiquement motivée, administrativement planifiée et industriellement accomplie.
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DUCROT, C., B. BED’HOM, V. BERINGUE, J. B. COULON, C. FOURICHON, J. L. GUERIN, S. KREBS, et al. "Enjeux et spécificités de la recherche en santé animale." INRAE Productions Animales 23, no. 4 (November 14, 2010): 359–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.4.3314.

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Dans le contexte très évolutif de la recherche en santé animale, une réflexion sur ses enjeux, ses spécificités et ses synergies avec la recherche biomédicale, a été conduite à l’initiative de l’INRA. Affirmés au premier chef par l’OMS, la FAO et l’OIE, les enjeux en santé animale, hors des maladies transmissibles à l’Homme, sont énormes et touchent à la sécurité alimentaire, l’économie de l’agriculture et l’ensemble des activités économiques qui en découlent. S’y ajoutent les enjeux de santé publique (zoonoses, xénobiotiques, antibiorésistance), environnementaux et de bien-être animal. La recherche en santé animale présente des spécificités d’ordre méthodologique et scientifique, liées notamment aux particularités biologiques des espèces domestiques et aux pratiques d’élevage. Elle n’a pas les mêmes questionnements scientifiques qu’en biologie humaine même lorsqu’elle traite des mêmes agents pathogènes et, connectée aux autres sciences animales (génétique, physiologie, zootechnie), elle s’enracine dans une réalité agricole et économique très spécifique. Des synergies génériques et méthodologiques existent néanmoins avec la recherche biomédicale, en particulier autour des outils et des modèles biologiques. Certaines espèces domestiques (tel le porc) présentent en outre des similitudes fonctionnelles avec l’Homme, plus que le rongeur de laboratoire. Ainsi la singularité de la recherche en santé animale par rapport à la recherche en biologie humaine devrait être prise en compte dans son organisation, son évaluation et son financement, via une politique de reconnaissance des enjeux spécifiques. Simultanément, l’approche one health devrait faciliter une collaboration approfondie entre recherche en biologie humaine et recherche en santé animale, à l’échelle des équipes ou des programmes.
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Sternberg, Véronique. "Espaces et comédie au XVIIe siècle." Études littéraires 34, no. 1-2 (February 23, 2004): 201–15. http://dx.doi.org/10.7202/007563ar.

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Résumé La renaissance du genre comique au XVIIe siècle est liée à la définition d’un espace. Ne possédant ni l’autorité d’une présence continue dans l’histoire, ni le prestige d’une dignité littéraire, la comédie doit définir son espace générique, se positionner par rapport aux esthétiques voisines ou concurrentes. Recherche d’un ton, d’un champ de représentation et d’un discours sur le monde : l’histoire de la comédie au XVIIe siècle est celle de la quête d’un tracé, susceptible d’asseoir l’identité du genre sans l’enfermer dans des limites étroites. Ce travail s’est fait par la conjugaison et l’alternance subtile de deux mouvements contradictoires : l’un expansif ; l’autre restrictif et réflexif, incitant les auteurs à définir la singularité du genre. Le mouvement d’expansion commence par une transgression des limites de l’espace comique hérité de la tradition antique : celui du « bas » — corporel, social, moral. La comédie se fonde ainsi moins sur la définition d’un espace que sur son traitement : elle cultivera la vérité de la peinture, qu’elle opposera à la stylisation des grands genres. Se comprenant comme un espace distinct de celui du salon ou de la cour, elle construit aussi progressivement son propre discours esthétique et moral sur la galanterie, la raison, l’honnêteté, les plaisirs et la vertu. Elle adopte désormais un point de vue singulier, et son ancrage dans l’espace se confondra désormais avec la singularité de ce regard. Et c’est à partir de cette relation critique singulière à l’espace du monde que la comédie peut à nouveau songer à la variété, à la fantaisie, à la transgression des bornes qu’elle s’est assignée. La comédie-ballet peut ainsi être interprétée comme un jeu virtuose sur les espaces : le lieu de la comédie est celui de la norme et de la critique du ridicule ; celui du ballet, l’espace de la fantaisie poétique du fou, de la variété esthétique et du monde renversé. Entre définition normée des espaces à l’aune de la raison et transgression jubilatoire de ces mêmes limites, la comédie entretient donc, avant tout, une relation ludique à l’espace.
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Bizek-Tatara, Renata. "Difficulté de se dire. Sur l’écriture autobiographique de Françoise Mallet-Joris." Anales de Filología Francesa 27, no. 1 (November 15, 2019): 7–22. http://dx.doi.org/10.6018/analesff.381351.

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El presente artículo trata sobre cuatro textos autobiográficos de la escritora belga Françoise Mallet-Joris (1930-2017): Lettre à moi-même (1963), La Maison de papier (1970), J’aurais voulu jouer de l’accordéon (1975) y La Double confidence (2000). Estos textos, a pesar de estar inspirados en las experiencias vitales de la escritora, se alejan considerablemente del modelo autobiográfico de Philippe Lejeune porque su autora, en vez de hablar de sí misma, cuenta sobre los demás. Las dificultades de hablar de su propia vida influyen en el carácter un tanto inusual de esos textos: son géneros ambigüos que se sitúan entre autobiografía, memorias, diario íntimo, ensayo, biografía y crónica. En los análisis me centro en la temática (obra literaria, vida de los demás, biografía de Marcelina Debordes-Valmore) y en la forma (géneros híbridos, estructura de masaico, fragmentarismo) que elige la autora y que hacen su “escritura sobre sí misma” tan original. Asimismo trato de averigüar por qué la autora se ve incapaz de escribir sobre sí misma y cómo aquello influye en la forma de sus textos autobiográficos. This article deals with four autobiographical texts by the Belgian writer Françoise Mallet-Joris (1930-2017): Lettre à moi-même (1963), La Maison de papier (1970), J'aurais voulu jouer de l'accordéon (1975) and La double confidence (2000). These texts, despite being inspired by the writer’s life experiences, are far from Philippe Lejeune's autobiographical model because the author, instead of talking about herself, narrates about others. The difficulties of speaking about her own life determines the somewhat unusual character of these texts: they are ambiguous genres that are placed between autobiography, memories, intimate diary, essay, biography and chronicle. In the analysis, I focus the author’s choice of theme (literary work, life of others, biography of Marcelina Debordes-Valmore) and form (hybrid genres, mosaic structure, fragmentarism) which makes this unique "writing about oneself "so original. I also try to find out why the author is unable to write about herself and how that influences the shape of her autobiographical texts. Le présent article est consacré aux textes autobiographiques de l’écrivain belge Françoise Mallet-Joris (1930-2017): Lettre à moi-même (1963), La Maison de papier (1970), J’aurais voulu jouer de l’accordéon (1975) et La Double confidence (2000). Bien qu’inspirés de la vie de l’auteure, ils s’inscrivent que partiellement dans la définition de l’autobiographie, proposée par Philippe Lejeune, car au lieu d’y parler d’elle-même, la romancière parle des autres. La place qu'elle accorde à autrui et sa réserve observée à l’égard de la confidence intime bafouent des lois fondamentales de l’autobiographie et engendrent des formes inhabituelles et difficilement classables: ses quatre récits de soi amalgament des ingrédients de l’autobiographie, des mémoires, de la confession, de l’essai, de la biographie, de la chronique et, dans La double confidence, du récit de filiation et du récit de deuil. Dans notre propos, nous réfléchirons sur les choix thématiques (écriture, vie des autres, biographie de marceline Debordes-Valmor) et formels (syncrétisme générique, fragmentaire, structure mosaïquée) de l’auteure qui contribuent à la singularité de ses écritures du moi, ainsi que sur les origines de cette difficulté de se dire et l’impact de celle-ci sur sa production littéraire.
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Camus, Audrey. "Les contrées étranges de l’insignifiant." 45, no. 1 (May 1, 2009): 89–107. http://dx.doi.org/10.7202/029841ar.

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Résumé Quoique la critique ait unanimement enregistré une évolution essentielle du genre fantastique au xxe siècle, elle peine à s’entendre sur la nature de cette évolution plurielle. Postulant que le fantastique moderne tel qu’il a été circonscrit par Sartre puis Todorov constitue bien un nouvel avatar du genre, l’article se propose de revenir sur leurs analyses pour interroger tout à la fois la singularité positive de cet avatar et le rapport de dépendance et de continuité qu’il entretient malgré tout avec la tradition. Caractérisé par l’absence d’action et l’absence de réaction du protagoniste dans un monde devenu « tout entier bizarre », ce fantastique multiplie les signes précurseurs et les indicateurs génériques déceptifs, déjouant les attentes du lecteur. Devenu seul témoin de l’étrange, ce dernier est ainsi conduit à réduire ces incohérences par l’interprétation, cependant que le texte, par l’activité symbolique déficiente qu’il déploie, tend à lui refuser le statut d’interprète pour rendre l’étrange à sa littéralité singulière. Le fantastique moderne, qui livre son lecteur à l’indéterminé à travers la mise en déroute successive de ses compétences pragmatique, générique et herméneutique, apparaît finalement le moyen pour le texte de synthétiser l’insignifiant dans sa banalité.
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Simon, Lionel, Lucienne Strivay, Bernard Charlier, and Séverine Lagneaux. "Animaux." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.054.

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« Qu'est-ce que l'animal ? Voilà une de ces questions dont on est d'autant plus embarrassé, qu'on a plus de philosophie et plus de connoissance de l'histoire naturelle. (…) Une définition de l’animal sera trop générale, ou ne sera pas assez étendue, embrassera des êtres qu'il faudroit peut-être exclure, et en exclura d'autres qu'elle devroit embrasser. Plus on examine la nature, plus on se convainc que pour s'exprimer exactement, il faudroit presqu'autant de dénominations différentes qu'il y a d'individus, et que c'est le besoin seul qui a inventé les noms généraux » (Diderot 1751). La diversité des formes physiologiques, des comportements individuels ou collectifs et des modalités des relations hommes-animaux montre qu’il n’y a pas d’animal type mais plutôt une tension entre un pullulement de signifiés et un signifiant trop générique. Le pluriel s’impose dès lors que l’on maintient la catégorie. Non seulement elle ne dispose pas partout d’une traduction mais surtout, quand elle existe, les référents auxquels elle renvoie selon les contextes ethnographiques sont susceptibles de variations considérables et significatives. Dans la plupart des dictionnaires ethnologiques et anthropologiques, on trouve rarement une entrée « animal/animaux ». Les informations relatives aux animaux sont dispersées dans des articles traitant des catégories matérielles et/ou idéelles. Il est pourtant indéniable que la nature comme les animaux ont toujours fait partie du champ de l’anthropologie. L. H. Morgan, par exemple, a écrit son livre sur la parenté et les structures politiques parmi les Iroquois en même temps que son étude The American Beaver and his Works (1868). Aucune communauté humaine ne s’est développée indépendamment des échanges avec les animaux. C’est pourquoi, depuis la fin du XXe siècle, l’exploration des relations entre les hommes et les animaux s’est instituée en disciplines et en domaines de recherche spécialisés. Les animaux forment un point de bouillonnement actuel de l’anthropologie : avec ses frontières poreuses, le concept constitue un révélateur, un lieu de croisement des savoirs et de déplacement intéressant des perspectives. L’étude des relations hommes-animaux soulève des questions à la fois éthiques, épistémologiques et politiques ainsi qu’en témoignent les travaux de Haraway (2006, 2007, 2010). Elles étaient ainsi clairement perceptibles dans l’anthropologie physique. Dès son origine au XVIIIe siècle, l’étude de la parenté entre les vivants s’est conjuguée à une hiérarchisation des espèces et des races. Tout l’enjeu, aujourd’hui encore, vise à interroger l’exception humaine pour envisager plutôt les hommes parmi les vivants et ce sans amalgame. Ce qui importe serait davantage le respect de la prolifération des singularités respectives et des formes complexes d’hybridation sociale et de coévolution. Les animaux investissent de nombreuses sphères de la vie publique et privée. Ces contacts sont historiques, formulés contextuellement dans le temps et dans l’espace. Ainsi, que l’a souligné Ingold (2000), les hommes et les animaux partagent un passé phylogénétique et des modalités de mémoire qui émanent de ces histoires communes. Le développement contigu des recherches éthologiques sur les communications animales et les usages d’outils, les formes de transmission, les stratégies sociales bousculent la construction des frontières du langage et de la culture au point d’engager la réflexion vers une ethno-éthologie. Ce tournant qualifié d’animaliste ne peut être séparé ni des questions traitées par les sciences studies ni du déploiement de l’anthropologie de la nature (voir, par exemple, Descola, 2005). Par ailleurs, ce déplacement s’opère tout autant dans les formes du vivre ensemble pratiquées au cœur des sociétés dites « modernes ». En témoignent, notamment, les controverses suscitées par l’entrée de certains non humains dans des domaines de compétence – juridiques, éthiques, politiques… – réservés, jusqu’à récemment, à la seule sphère d’activité des humains (par exemple, les débats autour du bien-être des animaux ou des politiques de réintégration d’espèces sauvages dans des lieux d’où elles avaient disparus). Les binômes fondateurs sujet/objet et nature/culture, dont sont dénoncés respectivement la force de réification et l’ethnocentrisme font place à l’examen des modalités fluctuantes de leurs enchevêtrements et se voient, souvent, substituer l’analyse des interactions entre humains et non-humains. Les animaux (mais aussi les plantes, les pierres, les météores, les esprits, les artefacts …) se trouvent donc au départ d’un décentrement fondamental du champ ethno-anthropologique. Classiquement, l’ethnologie a étudié les usages humains des animaux à travers la chasse, la pêche, la domestication, le pastoralisme, les rituels, le symbolisme, etc. Tout fait ressource. Rien ne se perd, tout se transforme depuis les excréments jusqu’aux ongles, la chair, la graisse, le sang, les tendons, les os, les dents, le cuir, la fourrure, la laine, les plumes, les élytres, les écailles, la force, la présence, l’agilité, les sens, les humeurs, les sons, etc. Mais les formes du traitement technique, ainsi que le suggèrent A-G. Haudricourt (1962) pour les plantes et les animaux et P. Lemonnier (2012) pour les Mundane Objects permettent d’interroger, par homologie, les formes du traitement d’autrui. Aujourd’hui, les approches interspécifiques et interactionnistes se déploient, rendant visibles des relations multiformes co-construites éminemment plastiques telles qu’elles se manifestent, par exemple, au travers des attachements entre les éleveurs et leur bétail (Despret, Porcher, 2007; Stepanoff, 2012). Tandis que, à titre d’exemple parmi tant d’autres possibles, les modes utilitaristes de réification, de marchandisation, de spécialisation des fabrications du vivant (sélection des races, création d’OGM, etc.) s’intensifient dans les sociétés hyper techniciennes, les controverses éthiques et juridiques peinent à établir un consensus autour du statut de « l’animal ». Or c’est précisément la considération simultanée des différences et des ressemblances, celle des interstices, des distances et proximités critiques, des tensions et tiraillements qui rendent les questions animales si riches aux yeux des ethnologues (Brunois, 2007; Mougenot, Strivay, 2011). Car en effet, en dépit de et avec ces écarts, les hommes et les animaux continuent d’interagir dans des mondes partagés.

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