Journal articles on the topic 'Sémantique de motif'

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Rouanne, Laurence. "Nuances épistémiques autour de ce n’est pas sûr et ce n’est pas dit." Dire et ses marqueurs 46, no. 2 (December 31, 2023): 265–78. http://dx.doi.org/10.1075/li.00094.rou.

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Abstract:
Résumé Dans le cadre général de la sémantique intégrée, cet article aborde les valeurs de deux séquences sémantiquement très proches, ce n’est pas dit (précédemment abordé dans Rouanne 2023) et ce n’est pas sûr. Les deux séquences sont porteuses, dans certains de leurs emplois du moins, d’une modalité épistémique. Si, pour la première, cette modalité fixe un jalon sur une échelle virtuelle du plus ou moins probable, la seconde n’est pas scalaire. De plus, il semble que soit nécessaire la présence d’une justification, dans la structure profonde de l’énoncé en ce n’est pas dit. C’est là ce qui le différencie de ce n’est pas sûr, pour l’emploi duquel ledit motif est loisible, mais non obligatoire.
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WANG, Julia. "Typologie, analogie et construction d’identités funéraires sur les sarcophages romains mythologiques (IIe -IVe s. ap. J.-C.)." Archimède. Archéologie et histoire ancienne Archimède n° 9 (December 2022): 219–31. http://dx.doi.org/10.47245/archimede.0009.ds2.04.

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Abstract:
Résumé Les sarcophages utilisés dans l’Empire romain à partir du IIe siècle ap. J.-C. constituent de précieux supports pour l’expression des identités. La flexibilité sémantique qui caractérise en particulier les bas-reliefs à thèmes mythologiques permet une interprétation à des niveaux multiples, le message véhiculé s’adaptant aux volontés du défunt et de ses proches. L’approche analogique consiste à examiner les rapports de rapprochement ou d’assimilation qui s’établissent entre modèles mythologiques et identités réelles, par le biais de pratiques comme celle des portraits d’époque. L’approche typologique procède du constat de la récurrence de certains motifs visuels, comme celui du dormeur, qui réunissent des figures et des récits initialement distincts. La combinaison de l’analogie et de la typologie permet de comprendre les stratégies iconographiques qui aboutissent à la construction d’une identité funéraire. Abstract Title: Typology, analogy and the construction of funerary identities on Roman mythological sarcophagi (2nd-4th century AD) The sarcophagi that were in use in the Roman Empire from the 2nd century AD onwards were valuable means of expressing identities. The semantic flexibility characterising in particular the mythological scenes sculpted on those sarcophagi allows for multiple interpretations, as the message conveyed was adapted to the wishes of the deceased and their relatives. The analogical approach consists in studying the connections and assimilations that came to exist between mythological models and real identities, through practices such as that of portrait heads. The typological approach proceeds from the fact that certain visual patterns, such as the “sleeper” motif, combining initially distinct characters or narratives, are found repeatedly in the corpus. Combining analogy and typology makes it possible to understand the iconographic strategies that led to constructing funerary identities.
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Yaya, Traoré, Talibouya Diop Cheik, Kamara-Sangare Fatou, Malo Sadouanouan, Lo Moussa, and Ouaro Stanislas. "Motifs fréquents pour améliorer la catégorisation dans un wiki sémantique." Ingénierie des systèmes d'information 21, no. 5-6 (December 28, 2016): 83–106. http://dx.doi.org/10.3166/isi.21.5-6.83-106.

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Gonon, Laetitia, Vannina Goossens, Olivier Kraif, Iva Novakova, and Julie Sorba. "Motifs textuels spécifiques au genre policier et à la littérature « blanche »." SHS Web of Conferences 46 (2018): 06007. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184606007.

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Abstract:
L’étude propose d’analyser des motifs textuels spécifiques du roman policier et du roman de la littérature dite « blanche » de langue française. Ces motifs sont choisis selon des critères morphosyntaxiques, sémantiques, de spécificité et de dispersion : on se penchera précisément sur les motifs autour du nom de la porte pour le roman policier, et sur les motifs autour du verbe écrire pour le roman de littérature « blanche ». Il s’agit de présenter leurs différentes réalisations, c’est-à-dire leur version minimale et leurs extensions syntagmatiques aussi bien que leurs variations paradigmatiques. Par la description de ces motifs, on contribue sur le plan linguistique à la réflexion sur les phénomènes de phraséologie spécifiques. Sur le plan stylistique, en s’interrogeant sur leur fonction discursive, on tente d’apporter de nouveaux éléments d’une part pour la définition des sous-genres de la paralittérature romanesque, et, d’autre part, pour la caractérisation de la langue littéraire.
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Cadiot, Pierre. "Schémas et motifs en sémantique prépositionnelle : vers une description renouvelée des prépositions dites « spatiales »." Travaux de linguistique 44, no. 1 (2002): 9. http://dx.doi.org/10.3917/tl.044.0009.

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Gonon, Laetitia, and Julie Sorba. "Phraséologismes spécifiques dans les romans historiques et les romans de littérature blanche." Journal of French Language Studies 30, no. 1 (August 19, 2019): 1–20. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269519000140.

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Abstract:
RESUMEDans l’objectif de contraster deux sous-genres du roman contemporain, l’article analyse les réalisations lexicales, syntaxiques, sémantiques et discursives de 8 constructions lexico-syntaxiques (CLS) dans un corpus français constitué de romans historiques (HIST) et de romans de littérature blanche (GEN) postérieurs à 1950. Ces unités phraséologiques récurrentes ont été repérées grâce à la technique des ALR développée dans le Lexicoscope, un outil de linguistique de corpus créé pour fouiller des textes. Les 8 CLS retenues pour cette étude interviennent dans (ou initient) une interaction verbale. Notre propos est de démontrer que ces CLS représentent bien des motifs qui occupent des fonctions discursives (FD) précises dans chaque genre sous-romanesque qu’elles permettent de mieux définir. Nous verrons ainsi que ces motifs de l’interaction verbale peuvent occuper des FD narrative, descriptive et pragmatique dans HIST et GEN mais que seule la FD cognitive est représentée dans GEN.
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Manitt, Russ. "Exploration morphologique et sémantique des leitmotive communs à Tristan und Isolde et aux Wesendonck-Lieder de Richard Wagner." Articles 27, no. 1 (September 13, 2012): 16–53. http://dx.doi.org/10.7202/1013159ar.

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Abstract:
L’article tente de démontrer les relations souvent citées, mais rarement explicitées, entre Tristan und Isolde et les Wesendonck-Lieder de Wagner. Faisant appel au modèle sémiologique de Molino et Nattiez, l’auteur illustre la correspondance entre les œuvres en s’appuyant (1) sur une étude des origines de leur composition, (2) sur l’analyse littéraire des textes mis en musique, ainsi que (3) sur une analyse d’inspiration paradigmatique des motifs communs aux deux œuvres. Les liens entre les textes de Wagner et Mathilde Wesendonck, la musique du compositeur et la philosophie de Schopenhauer sont notamment explorés dans cet exercice de sémiotique appliquée.
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Rouanne, Laurence. "Qui dit mieux ? Et même et pour ne pas dire en contraste." Archivum 73 (December 13, 2023): 137–57. http://dx.doi.org/10.17811/arc.73.1.2023.137-157.

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Abstract:
Dans cet article sont étudiées, dans une optique contrastive, les valeurs sémantico-pragmatiques de deux opérateurs, et même et pour ne pas dire, en mettant en exergue les différences et les convergences de leurs emplois dans l’objectif, en fin de compte, de comprendre ce qu’apporte à la description sémantique le dire de l’opérateur et/ou la prétérition qui lui est concomitante. Dans le cadre général d’un enchérissement argumentatif – en effet, ces items s’inscrivent tous deux dans une structure de type P(x) opérateurs (y) dans laquelle y est vêtu d’une force argumentative supérieure à celle de x –, les deux opérateurs en question commutent facilement dans la plupart des énoncés du corpus. Approfondir les motifs pour lesquels la permutation se voit parfois bloquée permet d’affiner l’analyse de leurs divergences. On verra ainsi que des différences dans l’agencement des points de vue de la structure polyphonique de ces deux items, leur éventuelle capacité à mettre en place une échelle argumentative qui ne soit pas prototypique ou encore le requis d’un dire autrement, sont certaines des caractéristiques qui les distinguent.
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Kovač, Senka. "Claude Lévi-Strauss: le masque et le mythe." Issues in Ethnology and Anthropology 4, no. 2 (February 28, 2016): 121–35. http://dx.doi.org/10.21301/eap.v4i2.7.

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Abstract:
Le travail étudie le rapport du masque et du mythe en s’interrogeant dans quelle mesure l’analyse correspondante de Claude Lévi-Strauss peut nous éclairer sur le champ sémantique complexe des masques dans une partie de l’Amérique du Nord. Claude Lévi-Strauss a mis en relief dans ses travaux la structure complexe du mythe. La complexité peut être suivie aussi bien sur le plan de l’expression que sur celui du contenu et de la signification des masques Salish, Kwakiutl et d’autres masques uniques de cette partie de l’Amérique du Nord. Claude Lévi-Strauss a analysé les mythes en s’efforçant d’expliquer la voie des masques chez des peuples proches par leur langue, ou des peuples avoisinants. La mythologie Tsimshian, Tlingit et Haïda contient certains motifs qui renvoient à des groupes voisins (Salish). En dépit des différences concernant la signification des masques, il existe un "patrimoine mythologique" commun aux peuples de la côte Nord du Pacifique. Claude Lévi-Strauss a une fois de plus démontré que l’étude des mythes ne représente pas le véritable point de départ de l’analyse, et que l’on ne peut par la décomposition des problèmes percevoir une quelconque unité cachée. "Comme la pensée mythique ne tient pas à fixer clairement son point de départ ni son point d’arrivée, elle ne parcourt jamais toute sa trajectoire: il lui reste toujours quelque chose à accomplir. Comme les rites, les mythes sont interminables". Il semble que l’explication de La Voie des masques faite par Lévi-Strauss va également dans ce sens-là.
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Pfister, Laurent. "Domaine, propriété, droit de propriété. Notes sur l'évolution du vocabulaire du droit français des biens." Revue générale de droit 38, no. 2 (October 20, 2014): 303–38. http://dx.doi.org/10.7202/1027039ar.

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Abstract:
Alors qu’étymologiquement, le mot domaine (dominium) signifie la puissance de la personne sur les choses et le mot propriété (proprietas), l’objet soumis au domaine, c’est pourtant le second qui a été retenu par les artisans de la codification du droit privé français pour désigner le « droit de jouir et de disposer des choses de la manière la plus absolue ». La variation de sens entre les étymons et le vocabulaire législatif français invite à se pencher sur révolution sémantique de domaine et de propriété depuis leur apparition dans la langue française et à s’interroger notamment sur les motifs qui ont dicté le choix terminologique de l’article 544 du Code civil. Le premier constat est la polysémie acquise par le terme propriété, inscrite dans le Code civil et aujourd’hui encore de mise. En effet, s’il conserve un sens objectif si la propriété continue de désigner la chose appartenant en propre à quelqu’un, le mot s’enrichit aussi sous l’ancien droit d’une acception subjective, voire d’une dimension potestative. Résultat en partie de l’élaboration du concept de droit subjectif, le fait que la propriété exprime l’appropriation sous l’angle actif du sujet propriétaire ne suffit pas à expliquer la consécration du mot dans l’article 544. Les principales significations acquises avant la Révolution par le mot domaine y sont aussi pour beaucoup. En effet, son sens premier de héritage, fonds, son sens absolu de biens publics, son pouvoir d’évocation de la féodalité témoignent de son incompatibilité avec l’idée d’un droit du particulier de disposer de ses choses.
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De la Fuente Díaz, Daniel. "Représentations du Japon dans Madame Chrysanthème : le motif du petit dans les structures du récit." Anales de Filología Francesa 31 (December 11, 2023). http://dx.doi.org/10.6018/analesff.571121.

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Abstract:
En su novela Madame Chrysanthème (1888), basada en su experiencia real en Japón, Pierre Loti describe su percepción de lo japonés recurriendo constantemente al campo semántico de lo mínimo. Paralelamente a sus impresiones sobre este espacio insular percibido como un lugar donde lo pequeño es omnipresente, observamos que los actos narrativos también se acortan y carecen de intriga, lo que contrasta con las características de la narración novelesca. Considerando la existencia de una interacción entre el efecto que Japón produjo en el escritor y el estilo de escritura que se propuso adoptar, abordaremos en este artículo el tema de la pequeñez en relación tanto con el japonismo de finales del siglo XIX, así como con el mito de la insularidad en la literatura occidental. Dans son roman Madame Chrysanthème (1888), basé sur son expérience réelle au Japon, Pierre Loti décrit sa perception des Japonais en ayant constamment recours au champ sémantique du minime. Parallèlement à ses impressions sur cet espace insulaire perçu comme un lieu où le petit est omniprésent, on observe que les actes narratifs sont également raccourcis et manquent d'intrigue, ce qui contraste avec les caractéristiques du récit romanesque. Considérant l'existence d'une interaction entre l'effet du Japon sur l'écrivain et le style d'écriture qu'il s'est fixé, nous aborderons dans cet article le thème de la petitesse en relation à la fois avec le japonisme de la fin du XIXe siècle et le mythe de l'insularité dans la littérature occidentale.
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Roudot, Carole. "Comment sous-titrer le sémantisme suggéré d’une œuvre audiovisuelle ?" Motifs, no. 4 (January 1, 2021). http://dx.doi.org/10.56078/motifs.542.

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Dans une œuvre audiovisuelle, les grammaires linguistique et filmique s’allient pour construire la fiction et lui donner son sens. Traduire le texte d’un métrage d’une langue vers une autre signifie adapter linguistiquement et contextuellement la fiction source à son nouveau public. Pour ce faire, les personnes en charge de la traduction-adaptation d’une œuvre audiovisuelle doivent tenir compte de cette alliance entre langage verbal et langage cinématographique.D’autre part, traduire le contenu sémantique d’une fiction ne consiste pas seulement en la traduction des dialogues sur le plan linguistique. Tout ce qui construit la fiction, toutes les composantes visuelles, sonores et verbales, créent la diégèse d’une œuvre, c’est-à-dire, tout ce qui est possible à l’intérieur de la fiction. Ces potentialités existent à l’écran, dans le champ visuel et auditif des spectateurs, mais également hors-champ. Il n’en reste pas moins que ce qui existe dans la diégèse participe à l’élaboration du contenu sémantique du métrage.C’est pourquoi les traducteurs-adaptateurs auteurs de sous-titres ont besoin de considérer les éléments hors-champ et non-dits qui composent la fiction, afin de tendre vers une traduction du contenu sémantique de l’œuvre la plus cohérente et la plus complète possible.
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BERTRAND, Denis. "La générativité est-elle soluble dans le sensible ? Réflexions topologiques et énonciatives « au cœur » du parcours génératif." 130, no. 130 (January 23, 2024). http://dx.doi.org/10.25965/as.8295.

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Chaque période de la sémiotique, à travers l’un et l’autre de ses courants majeurs, a connu son modèle spatial emblématique, véritable signature épistémique de la mise en forme théorique : carré, hexagone, cercle, strates feuilletées, ellipse, aile de papillon, courbes entre abscisse et ordonnée, spirales, bulles, sphères, etc. On s’intéresse ici à l’une des représentations les plus largement répandues : celle des niveaux entre surface et profondeur. Si la linguistique générative et la sémiotique greimassienne à sa suite, mais dans une autre perspective, ont popularisé le schéma des structures profondes opposables aux structures de surface, elles n’ont fait que prolonger un dispositif spatial qui était transversal à bien d’autres disciplines : sens immanent et sens transcendant ; sens explicite et sens caché ; contenu manifeste et contenu latent ; saillance et prégnance. En recherchant les raisons d’un motif formel aussi récurrent, notre exploration de cette modélisation spatiale interroge l’hypothèse localiste, qui postule la spatialisation comme une isotopie sémantique première et modélisante, se présentant comme un signifiant disponible pour la formation des contenus non spatiaux. Le « catachrésisme » spatial régirait la formation du langage. On revient alors sur le parcours génératif de la signification pour tenter de comprendre les raisons de son succès pédagogique et de son relatif insuccès scientifique. Les procédures de conversion qui assurent le passage d’un niveau à l’autre transforment le statisme des niveaux en dynamisme des échanges. Les strates opèrent comme des filtres à mailles progressives : les très grosses mailles des structures profondes s’affinant peu à peu pour ne plus laisser passer, en surface que les sèmes à mailles fines. Une nouvelle figure spatiale refait alors son apparition, la densité sémique, et la syntagmatique du parcours l’emporte sur la paradigmatique des niveaux. C’est donc pour finir ce mot « parcours » qui nous arrête, avec la mouvance indéterminée et sans bord qui lui est inhérente. Cela implique une instance mobile qui prend en charge ce parcours, un randonneur énonciatif du faire scientifique. On place alors l’énonciation comme centre opérateur du parcours, muni de ses composantes liées : sensible, par l’ancrage somatique de toute énonciation possible (cf. la phusis), et cognitive, par une projection des formants dont la générativité peut donner l’image. Soumis au primat de la perspective, ce sont les différents régimes sémiotiques de sélection des formes d’expression et des formes de contenu qui modélisent, in fine, le, ou plutôt les, parcours.
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Wagner-Lapierre, Sarahlou, and Alexandre Zarié. "Architecture de la salle de classe québécoise : analyse historique et morphologique." Historical Studies in Education / Revue d'histoire de l'éducation, November 5, 2021. http://dx.doi.org/10.32316/hse-rhe.v33i2.4905.

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Abstract:
Le but de cet article est de documenter les facteurs qui ont influencé l’évolution particulière des salles de classe au sein des écoles primaires. Dans cette optique, un ensemble de documents d’archives retraçant l’histoire du parc immobilier scolaire québécois depuis la fin du XIXe siècle a été recueilli. Les données amassées ont été analysées à partir d’une classification thématique des unités sémantiques identifiées dans ces textes. Cela a permis de faire émerger, à partir des discours d’un ensemble d’acteurs ayant contribué au processus de définition des espaces scolaires (ex. : architectes, acteurs politiques, administrateurs, etc.), les raisons principales évoquées pour expliquer leurs choix conceptuels selon les époques de construction. Ces motifs ont par la suite été associés aux configurations types de salles de classe identifiées au sein d’un échantillon représentatif de bâtiments d’écoles primaires du Québec.
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Chivallon, Christine. "Diaspora." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.064.

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Abstract:
Définir la « diaspora » ne peut se faire sans signaler immédiatement que deux grands courants théoriques assignent à ce terme des acceptions assez différentes qui, si elles semblent se succéder, donnent lieu à des usages bien typés où se reconnaissent encore aujourd’hui les deux composantes majeures des ″diasporas studies″. Il existe ainsi un paradigme que l’on peut qualifier de ″classique″ qui cohabite de manière plus ou moins sereine avec un autre paradigme plutôt ″post-structuraliste″ lequel a largement dominé le champ consacré à l’objet ″diaspora″ depuis les années 1990. Pour entrer dans le domaine des études du fait diasporique, il nous faut ainsi partir d’une définition ″traditionnelle″ pour mieux comprendre la déconstruction dont la notion a fait l’objet. Dans cette perspective, le terme ″diaspora″ désigne les populations dispersées depuis une terre natale (homeland) qui ont conservé des liens durables entre les membres issus de cette dissémination, la longévité du sentiment d’appartenance collective se construisant en rapport avec la mémoire du territoire d’origine. L’étymologie du mot remonte à la Bible des Septante, traduction grecque des textes bibliques connus en hébreu et en araméen effectuée par des religieux juifs hellénophones. Le mot ″diaspora″ est formé à partir du verbe grec speiren (semer) et plus exactement du verbe composé diaspirein (disséminer). Selon les sources, il concerne soit l’exil de Babylone et la dispersion des Juifs après la destruction du second temple de Jérusalem (Bruneau 2004 : 8), soit la menace de dispersion comme châtiment divin envers les Juifs qui ne respecteraient pas la Loi de Dieu (Dufoix 2011 : 64). Historiquement, le nom ″diaspora″ appliqué à d’autres populations que le peuple juif s’accomplit dans une sphère judéo-chrétienne où Chrétiens, Grecs Orthodoxes, puis Protestants et Arméniens accèdent à cette dénomination selon le même schéma d’identification qui articulent les motifs de l’exil et de la persécution au sein d’un complexe mû par la religion. La dispersion volontaire au sein de diasporas dites ″marchandes″ s’affirme de son côté comme une sorte d’appendice de ce modèle religieux. La ″sortie″ d’une caractérisation par le religieux s’opère en même temps que la notion pénètre les milieux académiques. Les usages y sont d’abord sporadiques tout au long du XXème siècle, puis se resserrent autour d’une définition applicable à bien d’autres populations que celles du foyer biblique originel. Le premier des textes le plus remarquable est celui de John Armstrong (1976) qui pose le cas juif comme archétypal pour décliner à partir de lui une typologie où se distinguent des « diasporas mobilisées », plutôt « avantagées » à des « diasporas prolétaires » « appauvries » et « discriminées » au sein des « sociétés modernisées ». C’est avec l’ouvrage du politologue Gabriel Sheffer (1986) qu’est véritablement entamée la construction du champ des diasporas studies et que se trouve désignée une compétence migratoire particulière, à savoir celle de minorités qui dans les pays d’accueil, sont en mesure de ″préserver leur identité ethnique ou ethnico religieuse″ en lien avec ″un intérêt continu (...) dans les échanges avec leur terre d’origine″ (Sheffer 1986 : 9). Le modèle dit ″classique″ se consolide à partir de textes qui ont acquis le statut de références incontournables. Parmi eux figure l’article de William Safran (1991) publié dans le premier numéro de la revue phare fondée par Khachig Tölölyan en 1991 – Diaspora : A Journal of Transnational Studies – ainsi que l’ouvrage de Robin Cohen (1997). Ces deux écrits sont représentatifs de la perspective adoptée sur la base du modèle juif, même si c’est pour le ″transcender″ comme le dira Cohen (1997 : 21). La définition de critères sert à sélectionner parmi les populations migrantes celles qui correspondent à une formation diasporique. Plus ou moins nombreux, ces critères placent au premier plan la dispersion, le maintien durable d’une forte conscience communautaire, l’idéalisation de la patrie d’origine (Safran 1991 : 83-84 ; Cohen 1997 : 26). Sur cette base, des typologies sont proposées comme celle de Cohen (1997) où se côtoient des ″diasporas victimes″ issues de traumatismes (Africains, Arméniens), des ″diasporas de travail″ (Indiens), des ″diasporas impériales″ (Britanniques), des ″diasporas de commerce″ (Chinois, Libanais), enfin des diasporas dites ″culturelles″ (Antillais). Ces dernières, dont il faut noter qu’elles ne sont plus définies en rapport avec la cause de la dispersion, mais plutôt en lien avec la culture et l’identité, signalent en fait, comme nous le verrons plus loin, la nouvelle conception qui a émergé en adéquation avec les perspectives postmodernes. D’emblée, le concept de diaspora se présente comme transdisciplinaire. Politistes, historiens, sociologues, géographes anthropologues sont engagés dans les études des phénomènes diasporiques. On ne peut donc pas déceler une approche spécifiquement anthropologique tant les références sont facilement exportées d’une discipline à l’autre, et c’est sans doute ce qui fait la spécificité des diasporas studies. Le grand bouleversement du champ s’opère quand deux contributions majeures s’emparent de la notion et la font basculer dans un univers de significations réévaluées à l’aune de la posture anti-essentialiste. La diaspora classique, de par son insistance sur le caractère continu et quasi pérenne de la communauté par-delà la dispersion, véhicule les présupposés d’une nature sociale immuable. Avec les écrits de Stuart Hall (1990) et de Paul Gilroy (1993), la perspective est renversée. Plutôt que d’être réfutée, la diaspora devient au contraire emblématique d’une tout autre dispersion, celle qui concerne l’identité elle-même et touche aux fondements toujours incertains, contingents et labiles des façons d’être au monde. Le concept, de par sa charge sémantique évoquant la mobilité, la multi-territorialité, le voyage, l’exil, l’entre-deux, se trouve en concordance parfaite avec les exigences théoriques de la déconstruction post-structuraliste qui appelle la transgression des limites des grands récits. D’origine caribéenne, Hall et Gilroy élèvent au rang paradigmatique la diaspora noire issue de la traite transatlantique, cette formation culturelle leur paraissant être l’antithèse des cultures ethno-nationales transportées dans la dispersion par les anciennes diasporas. La Black Atlantic de Gilroy (1993 : 19) se définit ainsi ″à travers le désir de transcender à la fois les structures de la nation et les contraintes de l'ethnicité″. Avec Stuart Hall (1990 : 235), la notion d’hybridité est consubstantielle à la diaspora : ″L'expérience diasporique comme je l'entends est définie, non par essence ou par pureté, mais par la reconnaissance d'une nécessaire hétérogénéité et diversité, (…) par hybridité″. Autant chez Hall que chez Gilroy, ces modèles ne sont rendus intelligibles qu’au travers du rejet d’autres identités diasporiques, puisque ″la diaspora ne fait pas référence pour nous à ces tribus dispersées dont l'identité ne peut être confortée qu'en relation à une terre d’origine sacrée où elles veulent à tout prix retourner (…). Ceci est la vieille forme de ‘l’ethnicité’, impérialiste et hégémonique″ (Hall 1990 : 235). Cette contradiction théorique qui rend le postulat anti-essentialiste fortement dépendant de l’existence supposée réelle d’identités ″non-hybrides″ a donné lieu à des approches critiques (Anthias 1998 ; Chivallon 2002) sans pour autant miner les perspectives qu’elles ont ouvertes. En dissonance avec les premiers usages classiques du terme ″diaspora″ appliqué déjà anciennement au monde noir des Amériques (Chivallon 2004 : 149), elles ont permis de mettre au premier plan les multiples enseignements de l’expérience (post)esclavagiste des Amériques dans son rapport avec la modernité occidentale, bien au-delà des cercles spécialisés sur la diaspora noire. L’amplification des textes de Hall et Gilroy a été étonnamment rapide et a produit un véritable déferlement dont le texte de James Clifford (1994) s’est fait l’un des plus remarquables échos trouvant matière à alimenter sa perspective sur les travelling cultures auprès d’une diaspora devenue l’antithèse du modèle ″centré″ de Safran. La myriade des études diasporiques développées tout au long des années 1990 en est devenue insaisissable, amenant à parler de ″fétichisation″ du terme (Mitchell 1997) au sein d’un vaste ensemble discursif où se fabrique la coalition entre les épistémologies post-modernes, post-structuralistes, post-coloniales et l’objet providentiel de la ″diaspora″ pour les substantialiser. Cette ferveur académique s’est sans doute essoufflée au cours de la dernière décennie. Une fois l’engouement passé et qui aurait pu faire croire à l’abandon définitif de la perspective traditionnelle, les dichotomies demeurent. De ce point de vue, la conférence donnée par Khachig Tölölyan à l’Université d’Oxford en 2011, peut faire office de dernier bilan. Il y est question d’une cohabitation toujours effective entre les conceptions classiques et ″post″, non sans que son auteur évoque une opposition qui fait encore débat, préférant pour sa part réserver à la notion de ″diaspora″ les tonalités de la définition classique, et réclamant en définitive le mot ″dispersion″ pour englober (réconcilier ?) les binarités qui ont structuré le champ des diasporas studies. Dans tous les cas, à l’écart de la révolution conceptuelle à laquelle a pu faire penser la diaspora, la routinisation semble bel et bien aujourd’hui installée.

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