Journal articles on the topic 'Secteur Forêt Bois'

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Lenglet, Jonathan, and Véronique Peyrache-Gadeau. "Valuation de la ressource territoriale et formes de circularité : la labellisation dans la filière forêt-bois française (Alpes, Jura, Vosges)." Revue forestière française 72, no. 4 (August 31, 2020): 339–60. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5333.

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Abstract:
La multiplication des labels territoriaux dans le secteur forêt-bois semble s’inscrire en réponse aux pressions croissantes et combinées d’une économie mondialisée et aux exigences sociales et environnementales, conditions d’un développement durable. Partant des développements récents en économie territoriale, nous élargissons la question de la spécification de la ressource bois par l’analyse des modalités de sa valuation. À travers l’étude des démarches de labellisation dans les Alpes, les Vosges et le Jura, nous analysons les portefeuilles de valeur construits et mobilisés par le collectif et nous mettons en évidence les différentes formes de circularité qui y sont liées. Nous montrons que les labels bois se construisent de plus en plus sur des valeurs de territorialité, à travers l’activation de différentes formes de proximité. Encore très récentes, ces démarches s’instiguent en « contre-normes » et remettent en cause le modèle productif dominant sur la base d’alternatives territorialisées.
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Vantomme, Paul, and Sophia Gazza. "Le défi de la sylviculture en faveur des produits forestiers non ligneux sous les tropiques : de la cueillette à l'agriculture ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 304, no. 304 (June 1, 2010): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.304.a20447.

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Abstract:
Pour passer en revue la sylviculture destinée à favoriser les produits forestiers non ligneux (Pfnl), il faut avant tout bien comprendre et utiliser des définitions et des termes clairs afin d'éviter toute confusion pour les lecteurs et les utilisateurs quant aux " techniques sylvicoles " décrites, à savoir si elles font actuellement partie de la " foresterie " ou du " secteur agricole ". La production sylvicole des Pfnl entre à la fois dans le domaine de la " foresterie " et de l'" agriculture " du fait que la majorité des espèces de Pfnl sont actuellement prises dans un processus dynamique de domestication qui remplace progressivement les pratiques traditionnelles de récolte et de chasse en forêt, pour aller vers des cultures plus intensives d'exploitation agricole. Les interventions sylvicoles qui favorisent le développement des Pfnl au sein des forêts tropicales sont assujetties aux nouvelles perspectives des utilisateurs, qui peuvent aller de la satisfaction des besoins de subsistance jusqu'à la production de produits de base en vue d'une transformation industrielle et d'une commercialisation internationale. Cet article propose une approche descriptive de la complexité des différentes interventions sylvicoles, qui ont pour objectif de gérer les forêts pour produire non seulement des biens et services ligneux mais aussi des Pfnl. La planification des interventions sylvicoles en faveur des Pfnl, en vue de la gestion des forêts, est encore rarement pratiquée. Elle exige une approche intersectorielle pour intégrer les nombreuses demandes, souvent conflictuelles, des utilisateurs sur le plan tant alimentaire que des besoins en bois d'oeuvre, bois énergétique et Pfnl. En outre, s'agissant des activités récréatives et de loisirs, elle implique de multiples acteurs qui ne sont pas uniquement concernés par l'exploitation du bois. Les organisations internationales et non gouvernementales jouent un rôle essentiel pour sensibiliser et renforcer les capacités techniques et institutionnelles des pays et faire en sorte qu'ils intègrent la sylviculture des Pfnl dans la gestion durable des forêts. (Résumé d'auteur)
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Saint-Laurent, Diane, and Louise Filion. "Interprétation paléoécologique des dunes à la limite des arbres, secteur nord-est de la mer d’Hudson, Québec." Géographie physique et Quaternaire 46, no. 2 (November 28, 2007): 209–20. http://dx.doi.org/10.7202/032905ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Dans le secteur nord-est de la mer d'Hudson, soit à la limite de la toundra forestière et de la toundra, les datations au radiocarbone les plus anciennes obtenues dans les paléosols dunaires (3490 ans BP dans le secteur continental et 2660 ans BP dans le secteur côtier) font ressortir un délai de plusieurs millénaires entre la mise en place des dépôts et leur remaniement par le vent. Une comparaison avec les données de Desponts (1990) et de Filion (1984) pour la forêt boréale montre que ce décalage est beaucoup plus considérable à la limite des forêts que dans le Haut-Boréal. Elle fait aussi ressortir une diminution, du sud vers le nord, du nombre de paléosols dans les séquences sédimentaires de dunes. Les chronologies éoliennes établies en toundra forestière indiquent une nette recrudescence après 2000 ans BP. Dans la toundra, cette augmentation ressort moins nettement de la chronologie, laquelle repose sur une majorité d'horizons organiques non carbonisés. La faible proportion d'horizons carbonisés dans les paléosols dunaires de la toundra indique que les feux ne constituent pas une condition nécessaire à la formation des dunes, alors qu'en toundra forestière, les séries continues d'horizons avec charbons de bois témoignent de l'importance du rôle des feux dans les récurrences éoliennes. L'analyse macrofossile des paléosols dunaires n'a pas permis d'identifier de périodes d'expansion de la limite des arbres.
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PETIT-BERGHEM (Yves). "La Forêt et le bois en Basse-Normandie : un secteur qui compte malgré un faible taux de boisement." Revue Forestière Française, no. 6 (2003): 557. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5213.

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Kassoum, Traore. "Le couvert forestier en Côte d’Ivoire : une analyse critique de la situation de gestion des forêts (classées, parcs et réserves)." International Journal of Social Sciences and Humanities Invention 5, no. 2 (February 6, 2018): 4387–97. http://dx.doi.org/10.18535/ijsshi/v5i2.02.

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Abstract:
Preserving the forest is a "vital" action for maintaining the climate balance and promoting eco-tourism. The history mentions that the Ivorian forests played an important role in the dynamics of the development of the country because they sheltered a great diversity floristic and wildlife. Unfortunately, from 16 million hectares at the beginning of the last century (1900), the dense rainforest increased to 9 million hectares in 1965 and 3 million hectares in 1991. Today, it is estimated at about 2.5 million hectares. This situation is attributable to extensive agriculture based on the technique of shifting cultivation, the overexploitation of the forest with timber and wood energy and bush fires. Moreover, the phenomenon of forest infiltration with regard to the occupation or colonization of forest areas, particularly in the south-west of the country by migrants to build houses and / or villages, is an important factor in the disappearance of the forest. Also, successive crises that the country has experienced since 1999 until 2010 (post-election), with periods of tension, have led to mass displacements of populations. This regrouping of the populations in turn caused the clearing of the forest areas for their relocation. Thus, from the analysis of the situation of forest pressure in Côte d'Ivoire, the Ministry in charge of the management of the Ivorian forest cover indicates that the accelerated rate of destruction of Ivorian forests has today reached an estimated average of 450,000 hectares a year. The forest situation is catastrophic, if corrective measures are not taken and put into effect, the forest cover is supposed to disappear around 2040. The present work attempts to contribute to the level of reflection undertaken to improve the management of the sector. Résumé: Préserver la forêt est une action « vitale » pour le maintien de l’équilibre climatique et la promotion de l’éco-tourisme. L’histoire mentionne que les forêts ivoiriennes ont joué un rôle important dans la dynamique du développement du pays car elles abritaient une grande diversité floristique et faunique. Malheureusement, de 16 millions d’hectares au début du siècle dernier (année 1900), la forêt dense humide est passée à 9 millions d’hectares en 1965 et à 3 millions d’hectares en 1991. Aujourd’hui, elle est estimée à environ 2,5 millions d’hectares. Cette situation est imputable à l’agriculture extensive basée sur la technique des cultures itinérantes sur brûlis, la surexploitation de la forêt en bois d’œuvre et bois énergie et les feux de brousse. Par ailleurs, le phénomène de l’infiltration des forêts au regard de l’occupation ou la colonisation des zones forestières notamment du Sud-Ouest du pays par des migrants pour bâtir les habitations et/ou des villages est un facteur important de la disparition du couvert forestier.Egalement, les crises successives qu’a connues le pays depuis 1999 jusqu’en 2010 (post-électorale), populations. Ce regroupement des populations à son tour, a occasionné le défrichement des zones forestières pour leur relocalisation. Ainsi, de l’analyse de la situation des pressions sur les forêts en Côte d’Ivoire, le ministère en charge de la gestion du couvert forestier ivoirien indique que le rythme accéléré de destruction des forêts ivoiriennes a atteint de nos jours une moyenne estimée à 450.000 hectares par an. La situation des forêts est catastrophique, si des mesures correctives ne sont pas entreprises et mises en vigueur, le couvert forestier doit en principe disparaitre vers 2040. Le présent travail tente d’apporter sa contribution au niveau des réflexions engagées pour améliorer la gestion du secteur. Mots clés : forêts classées, parcs et réserves, gestion du couvert forestier, Côte d’Ivoire
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Arsène, EWOSSAKA, KOUBOUANA Felix, AYESSA LECKOUNDZOU, and MAYIKA Ivan Arnold. "Processus Technologique de Fabrication Du Contre-Plaque." Forestry & Agriculture Review 2, no. 1 (February 4, 2021): 37–51. http://dx.doi.org/10.47285/far.v2i1.72.

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Abstract:
It should be remembered that in the Congo Basin, investments in new wood processing plants or in the extension of existing ones are still very limited. In addition, the 3 wood products exported from this region are mainly sawn timber, veneers, and plywood. It should be noted that despite some timid existing opportunities, some companies operating in the Congo Basin are struggling to invest in wood processing and therefore do not effectively contribute to the development of national and sub-regional economies. To better capitalize on these opportunities, it is important to create a business environment conducive to new investments in advanced wood processing. Ultimately, this study made it possible to assimilate the techniques and processes of obtaining veneers and plywood successfully through the technology of the machines developed, with the application of our theoretical knowledge in order to gain experience of professionally enhanced intellectual capacities. The plywood production is fixed at 6,651 m3; 8,452 m3 respectively in 2011 and 2012 showing a gradual increase in the order of 1,801 m3 due to strong demand from the local market. With regard to the annual volume of veneers obtained, the yield of veneers and plywood obtained were the following R1 ≈ 44% and R2 ≈ 30%. Exports of peeled veneers recorded a drop of 8.20% in volume, reaching 25,893.244 m3 in 2019 against 28,206.341 in 2018. However, peeled veneers each ranked 4th, in order reached 25,893.244 m3 or 2.60%. Okoumé, with 391,030,067 m3, or 39.31% of the total volume, was the main forest species among the various exported products, out of more than sixty exported concerned. Rappelons que dans le Bassin du Congo, les investissements dans les nouvelles usines de transformation du bois ou dans l’extension de celles existantes restent encore très limités. En outre, les 3 produits de bois exportés de cette région, sont majoritairement les bois sciés, les placages et les contreplaqués. Soulignons qu´en dépit de quelques timides opportunités existantes, certaines entreprises opérant dans le Bassin du Congo peinent à investir dans la transformation du bois et de ce fait, ne contribuent pas efficacement au développement des économies nationales et sous-régionales. Pour mieux capitaliser ces opportunités, il s´avère important de créer un environnement d´affaires propice aux nouveaux investissements dans la transformation poussée du bois. En effet depuis l’année 2000, le Congo s’était doté de la loi forestière, loi n° 16 - 2000 du 20 novembre 2000 portant code forestier qui consacre la gestion durable des forêts garantissant une exploitation soutenue des bois et une conservation des écosystèmes ; et jusqu’à la promulgation de la nouvelle loi forestière n°33 – 2020 du 8 juillet 2020 portant code forestier qui aborde de nouvelles questions climatiques et environnementales ; le développement et la diversification de la transformation constitue l’une des principales stratégies pour la mise en œuvre de cette politique, avec une utilisation rationnelle des bois, avec une valeur ajoutée plus importante du secteur forêt – bois et la création de plus d’emplois.
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Esparon, Stéphane. "Explorer les conséquences structurales d’une bioéconomie circulaire territoriale : étude de cas dans le secteur forêt-bois à l’échelle d’une communauté de communes." Économie rurale, no. 376 (June 30, 2021): 93–114. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.8953.

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Worah, Josiane Audrey, Christian Mikolo Yobo, Innocent AKPACA, Donald Midoko Iponga, Saturnin Ndotit Maghiengha, and Hervé Charles Ndoume Engone. "Analyse de la Gouvernance et de la Légalité D’attribution des Titres D’exploitation Artisanale du Bois D’œuvre au Gabon : Revue de Littérature." International Journal of Progressive Sciences and Technologies 16, no. 2 (September 13, 2019): 14. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v16.2.1014.

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Abstract:
RésuméLe marché domestique du bois d’œuvre, empreint d’informalité et de pratiques illégales dans les pays du Bassin du Congo en général et au Gabon en particulier, est très largement méconnu et peu documenté. C’est aussi le cas de la gouvernance relative à la gestion de ce secteur. Dans le contexte actuel de légalité préconisée dans les activités forestières, le Gabon s’est engagé à améliorer la pratique de la légalité dans ses activités forestières. Cette étude vise à analyser la législation et la réglementation en vigueur relatives à l’attribution des permis d’exploitation artisanale de bois d’œuvre au Gabon. L’approche de collecte des données est basée sur une revue de littérature suivie de l’analyse des Forces, Faiblesses, Opportunités et Menaces (FFOM) de la législation et de la réglementation en matière de gestion du secteur domestique du bois d’œuvre au Gabon. De cette analyse, il ressort que pour satisfaire les besoins des populations locales vis-à-vis des titres ou autorisations d’exploitation de type artisanal, le permis de gré à gré (PGG), la forêt communautaire (FC), l’autorisation spéciale de coupe (ASC) et l’autorisation de coupe de bois pour le sciage de long (ACBSL) ont été créés, et ceci en remplacement des coupes familiales (CF) et du permis spécial (PS). L’introduction des PGG, FC, ASC et ACBSL donnent ainsi naissance à la notion de gestion participative ou cogestion des ressources forestières, de satisfaction des droits d’usages coutumiers et de conduite des projets d’intérêts communautaires au bénéfice des populations locales. Bien que l’administration forestière demeure toujours l’institution clé dans la gestion et l’attribution des titres d’exploitation artisanale de bois d’œuvre, cependant elle tend à transférer ses pouvoirs aux autres organes de gestion. Par ailleurs, les seuls titres reconnus par le code forestier actuel (2001) au Gabon sont le PGG (bien que suspendu d’attribution depuis 2010), l’ASC, les FC et l’ACBSL. Pourtant, les CF et le PS n’ont été définitivement suspendus qu’en 2005 et 2010 respectivement alors que l’ASL continue à être délivrée, et ceci en dépit du fait que ce titre soit issu de la loi forestière n°1/82, déjà abrogée. De plus, une confusion existe dans la pratique conjuguée de l’ACBSL et l’ASL d’une part, et les concepts de PGG et de FC d’autre part. Une clarification de la pratique de ces titres est donc nécessaire, de même qu’une évaluation des impacts de la multiplicité de leurs attributions sur le terrain (secteur). Ainsi, l’atteinte de ces objectifs est indispensable si le Gabon doit officiellement continuer les négociations APV/FLEGT avec l’UE, en vue d’améliorer la gouvernance forestière et la pratique de la légalité dans ses activités forestières, particulièrement pour le marché domestique du bois d’œuvre.AbstractThe domestic lumber market, marked by informality and illegal practices in the Congo Basin countries in general and Gabon in particular, is largely unknown and poorly documented. This is also the case of governance related to the management of this sector. In the current context of legality advocated in forest activities, Gabon is committed to improving the practice of legality in its forestry activities. This study aims to analyze the legislation and regulations in force concerning the allocation of artisanal logging permits in Gabon. The data collection approach is based on a literature review followed by analysis of the Strengths, Weaknesses, Opportunities and Threats (SWOT) of legislation and regulations for the management of the domestic softwood lumber sector. Gabon. From this analysis, it appears that to satisfy the needs of the local populations vis-à-vis the titles or authorizations of exploitation of artisanal type, the license of mutual-agreement (PGG), the forest community (FC), the authorization Special Cutting (ASC) and Wood Cutting Permission for Long Sawing (ACBSL) were created, and this in lieu of Family Cutting (CF) and Special Permit (PS). The introduction of PGGs, FCs, ASCs and ACBSLs thus gives rise to the notion of participatory management or co-management of forest resources, satisfaction of customary use rights and the conduct of projects of community interest for the benefit of local populations.Although the forest administration is still the key institution in the management and allocation of artisanal logging titles, it tends to transfer its powers to other management bodies. In addition, the only titles recognized by the current Forest Code (2001) in Gabon are the PGG (although suspended since 2010), the CSA, the CF and the ACBSL. However, the CF and the PS were permanently suspended only in 2005 and 2010 respectively while the ASL continues to be issued, and this despite the fact that this title is derived from the forestry law n ° 1/82 , already repealed. Moreover, there is confusion in the combined practice of ACBSL and ASL on the one hand, and the concepts of PGG and FC on the other. A clarification of the practice of these titles is therefore necessary, as well as an evaluation of the impacts of the multiplicity of their attributions on the ground (sector). Thus, achieving these objectives is essential if Gabon is to formally continue the VPA / FLEGT negotiations with the EU, with a view to improving forest governance and the practice of legality in its forestry activities, particularly for the domestic market. timber.Key words: Forest governance, legality, title, artisanal timber harvesting
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Daly-Hassen, Hamed, Mounir Kasraoui, and Chedly Karra. "Le bois industriel en Tunisie : aggravation de la dépendance extérieure malgré les reboisements." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, no. 322 (October 17, 2014): 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31232.

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Abstract:
La Tunisie est toujours dépendante des importations pour satisfaire ses besoins en bois et produits dérivés à hauteur de 90 % malgré l’extension du couvert boisé de 500 000 ha environ au coursdescinq der- nières décennies. L’objectif principal de ce travail est d’apprécier la contribution des forêts à la satisfaction des besoins en bois industriel et son évolution au cours des cinq dernières décennies, et de déterminer la capacité desindustriesdu boisà valoriser le bois local. La consommation de bois industriel a augmenté de 0,19 M m3 en 1961 à 1,30 M m3 en 2012, alors que la production de bois industriel a augmenté de 0,09 M m3 seulement durant cette période. Dans un contexte de libéralisation des marchés, la valorisation du bois indus- triel et la maîtrise des importations ne peu- vent être réalisées que s’il existe une réelle coordination entre les acteurs de la filière bois (administration chargée de la gestion forestière et de la vente du bois, exploitants, industriels) permettant d’aboutir à la com- pétitivité des industries du bois. Une mise sur le marché de 50 000 m3 de bois sup- plémentaireset leur valorisation industrielle entraîneraient une recette additionnelle de 1,5 millions de dinars tunisiens (M DT) (+22 %) pour le budget de l’État, la réduction de la valeur des importations de 12 M DT (3 % des importations de bois et ouvrages en bois), et l’accroissement de la valeur ajoutée du secteur bois de 4 M DT, en plus de la création d’emploi au niveau de l’ex- ploitation et la transformation.
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Office national des forêts, Direction Commerciale Bois et Services. "Les ventes de bois des forêts publiques en 2022." Revue forestière française 74, no. 3 (September 11, 2023): 381–93. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2023.7689.

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Abstract:
Dans un contexte économique très dynamique et complexe, et malgré une moindre mobilisation en volume, le chiffre d’affaires bois des forêts publiques de métropole dépasse 661 millions d’euros en 2022, avec un prix moyen apparent accru de 36 % (59,9 € par m3). Le prix du Chêne progresse fortement, tiré davantage par le merrain que par les autres qualités, comme celui des résineux blancs néanmoins affecté à l’automne par la baisse du marché de la construction. Le secteur merrain valorise la futaie régulière de Chêne dont les savoirs et savoir-faire viennent d’être inventoriés au Patrimoine culturel immatériel (PCI) de la France en juin 2022. Le Hêtre et les Pins bénéficient également de hausse, ainsi que le bois énergie. 40 % des volumes vendus sont fournis en contrats d’approvisionnement, en progression de 5 %. Messages clés :• En 2022, le contexte a été très dynamique bien que complexe.• Le prix moyen du m3 a augmenté de 36 %.• Le secteur merrain et bois énergie ont été particulièrement en hausse.• La vente en contrat d’approvisionnement a augmenté de 5 %.
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Zarin-Nejadan, Milad. "La forêt suisse entre approvisionnement en bois et multifonctionnalité (essai)." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 170, no. 4 (July 1, 2019): 202–6. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2019.0202.

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The Swiss forest between wood supply and multifunctionality (essay) Swiss forestry operations have been in deficit for decades. Timber prices fall while production costs rise. At the same time, demand for non-market forest services continues to increase. The challenge is to ensure a sustainable timber supply from Swiss forests in the future, while taking into account the multifunctionality of the forest. According to the results of a Swiss national science foundation research project on this issue, non-market forest services are highly valued by the population. The study also identified significant potential for improving the performance of forest operations, in particular by achieving economies of scale. In addition, the exploitation and maintenance of the forest has positive externalities, which justifies the payment of targeted public subsidies to the forest sector.
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Gaudreau, Guy. "L’exploitation des forêts publiques au Québec (1874-1905) : transition et nouvel essor." Revue d'histoire de l'Amérique française 42, no. 1 (September 24, 2008): 3–26. http://dx.doi.org/10.7202/304648ar.

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RÉSUMÉ Cet article établit l’évolution des récoltes de matière ligneuse sur les terres publiques québécoises entre 1874 et 1905. Au cours de cette période, deux phases ont été identifiées : une phase de consolidation, au cours de laquelle le volume des récoltes plafonne, et une phase de forte croissance, grâce à l’essor rapide du bois à pâte. Nouvelle manne du secteur forestier, cette dernière catégorie de bois relance les activités affectées par une crise dans l’industrie du sciage. Cette crise frappe certaines régions dès les années 1870 et 1880, soit beaucoup plus tôt qu’on ne l’avait d’abord cru. La variété des performances régionales constitue par ailleurs l’un des thèmes majeurs de cette étude. C’est pourquoi nous en avons cherché les causes.
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Coops, Nicholas C., Alexis Achim, Paul Arp, Christopher W. Bater, John P. Caspersen, Jean-François Côté, Jeffery P. Dech, et al. "Progrès dans l’application de la télédétection pour les besoins en matière d’information sur les forêts au Canada : leçons tirées d’une collaboration nationale d’intervenants universitaires, industriels et gouvernementaux." Forestry Chronicle 97, no. 02 (June 2021): 127–47. http://dx.doi.org/10.5558/tfc2021-015.

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Le secteur forestier canadien a besoin d’information détaillée au sujet de la quantité et des caractéristiques des ressources forestières. Pour répondre à de tels besoins, des systèmes d’inventaire exacts, complets et opportuns qui quantifient spatialement le bois d’œuvre et les autres services écosystémiques liés aux forêts sont nécessaires. Le projet quinquennal AWARE (Assessment of Wood Attributes using Remote sEnsing [évaluation des attributs du bois à l’aide de la télédétection]) était une collaboration entre sept universités canadiennes et sept entreprises forestières soutenue par des organismes forestiers provinciaux et fédéraux et d’autres organismes sans but lucratif-axés sur la foresterie. AWARE a fourni des méthodes et des outils pour améliorer la caractérisation des forêts à une échelle nationale, du paysage et de l’arbre individuel. Vingt-quatre boursiers de recherches postdoctorales et étudiants au doctorat et à la maîtrise se sont associés au projet et ont examiné les rôles que les technologies de télédétection tridimensionnelle (3D) de pointe peuvent jouer dans la conception de systèmes d’inventaire forestier précis partout au Canada. Dans le présent article de revue, nous nous penchons sur le projet de recherche AWARE, les points saillants de la recherche, les résultats clés et les besoins futurs en recherche et présentons une évaluation des réussites et des défis auxquels le projet a été confronté au cours de ses cinq ans.
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Robert, Monga Ilunga Dikoshi, Muchiza Bachinyaga Israël, Mbinga Lokoto Boniface, Mbuyu wa Kakudji Justin, Kabange Masangu Néhémie1, and Numbi Mujike Désiré2. "Application de quelques normes d’exploitation forestière à faible impact environnemental : cas des villages Tondolo et Kakana dans le Sud-Est de la République Démocratique du Congo." Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 7, no. 1 (April 27, 2024): 28–36. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v7i1.4.

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Abstract:
Description du sujet. L’exploitation du bois d’oeuvre constitue une importante source de revenu pour les acteurs impliqués dans cette activité et leurs dépendants. Cependant, elle dégrade les forêts et cause divers impacts sur l’environnement naturel et humain.Objectif. L’étude vise à évaluer le niveau d’application de quelques normes à impact environnemental réduit dans l’exploitation forestière artisanale du bois d’oeuvre aux alentours de la ville de Lubumbashi.Méthodes. Un questionnaire d’enquête à questions fermées et ouvertes a été administré aux exploitants artisanaux de bois d’oeuvre à Lubumbashi. Un échantillonnage de 84 personnes repartis dans deux villages a fait objet de l’enquête.Résultats. L’exploitation artisanale du bois d’oeuvre est majoritairement pratiquée par les jeunes dont l’âge varie entre 20 et 29 ans (67,8 %) et essentiellement célibataires (62 %). Le marquage est la principale technique d’identification des essences à protéger (75 %).Conclusion. De manière générale, les exploitants forestiers artisanaux tendent à respecter les normes à impact environnemental réduit considérées dans cette étude. Description of the subject. Timber exploitation is an important source of income for those involved in this activity and their dependents. However, it degrades forests and causes various impacts on the natural and human environment.Objective. The study aims to assess the level of compliance with selected low impact forest management standards in the artisanal timber sector around the city of Lubumbashi.Methods. A survey questionnaire consisting of both closed and open-ended questions was given to artisanal timber operators in Lubumbashi. A sample of 84 people selected from two villages were interviewed and surveyed.Results. Artisanal wood harvesting is mainly carried out by young people aged between 20 and 29 (67.8 %), who are predominantly single (62 %). Marking is the main technique used to identify the species to be protected (75 %).Conclusion. In general, the environmental standards considered in this study are more likely to be met by small-scale forest operators.
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Behling, Maurel, Marie-Gabrielle Piketty, Thiago Fonseca Morello, Jean-Pierre Bouillet, Francisco Mesquita Neto, and Jean-Paul Laclau. "Plantations d'eucalyptus et sidérurgie en Amazonie : apports du modèle 3-PG." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20464.

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Abstract:
Le secteur sidérurgique de Carajás, en Amazonie Brésilienne, fait l'objet de contestations environnementales du fait de sa forte consommation en charbon de bois. Ce charbon est essentiellement produit à partir de biomasse de forêts naturelles, avec des impacts directs et indirects sur la déforestation et la dégradation de ces écosystèmes. Les plantations d'eucalyptus à vocation énergétique installées sur des pâturages dégradés constituent une alternative intéressante. Peu de ces plantations ont été mises en place jusqu'à présent et faute d'évaluations valables de leur potentiel de production, une étude a été menée pour présenter une estimation consolidée de la croissance et de la productivité des plantations d'eucalyptus du pôle de Carajás. Celles-ci ont été obtenues à partir du modèle 3-PG (Physiological Principles in Predicting Growth). Son paramétrage a été réalisé à partir de données de croissance du massif d'eucalyptus d'une entreprise de la municipalité de Breu Branco dans l'État du Pará au Brésil. La calibration locale du modèle s'est avérée beaucoup plus performante que l'utilisation de paramètres établis pour des plantations d'eucalyptus dans d'autres régions du Brésil, d'Afrique du sud ou d'Australie. Les simulations réalisées indiquent que l'accroissement moyen annuel actuel de l'ordre de 20 m³ à l'hectare, obtenu pour une période de six ans, pourrait augmenter jusqu'à 30 m³ avec des fertilisations adaptées et un contrôle efficace du sous bois. Elles suggèrent aussi que des productions supérieures seraient obtenues sans déficit hydrique. Cela montre la nécessité de sélectionner les zones de plantation où la saison sèche est la moins marquée autour du pôle de Carajás. La calibration du modèle 3-PG a permis d'améliorer cet outil de gestion des plantations industrielles dans les conditions amazoniennes. (Résumé d'auteur)
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Omasombo Wotoko, Valentin, Jean Malekani, Norbert Mbangi, Jean-Philippe Cherel, and Jean-Christophe Bokika. "Evaluation De L’abondance Et La Distribution Du Bonobo (Pan Paniscus) Dans La Concession Forestière Des Communautés Locales De La Rivière Mbali." European Scientific Journal, ESJ 18, no. 17 (May 31, 2022): 178. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n17p178.

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Abstract:
La Concession Forestière des Communautés Locales de la rivière Mbali est une aire de conservation communautaire créée par les communautés locales des villages: Bodzuna, Embirima, Mbee, Mpelu, Makaa et Nkala pour non seulement assurer la conservation du bonobo mais aussi valoriser cette espèce comme un moteur de développement local. Elle s’étend sur une superficie de 500Km² située entre les latitudes -2,46506 et -2,33667 et les longitudes 16,28110 et 16,27334 dans le groupement Mbe-Nkuru ; chefferie-secteur des Batékes nord, territoire de Bolobo, Province de Mai-Ndombe en République Démocratique du Congo. L’objectif principal de cette étude est d’évaluer les populations de bonobos et de documenter les différents types d’habitats utilisés par cette espèce. Ce qui permettra d’aider lces communautés locales à bien aménager et gérer leur concession d’une part et d’autres parts à suivre les populations des bonobos conservées ; un inventaire axé sur le comptage des nids sur base d’un passage unique « Standing Crop Nest Counts » a été effectué pour estimer les densités des populations des bonobos et documenter les différents habitats utilisés par cette espèce. Au total 32 transect de 1 km chacun ont été parcouru du 4 août au 30 septembre 2014. Les résultats de cette étude montrent que la densité des bonobos dans cette zone de conservation est de l’ordre de 1,51 individu/km². Ces bonobos sont distribués dans toute la zone mais utilisent plus les forêts à marantacées, les forêts primaires à sous-bois ouverts et les forêts primaires à sous-bois fermés pour la nidification. Il est fortement recommandé de valoriser les résultats de cette étude par le développement des actions de conservation à mener et la mise en place d’un programme de suivi annuel pour évaluer l'efficacité des mesures de conservation adoptées. The Mbali River Local Community Forest Concession is a community conservation area created by the local communities of Bodzuna, Embirima, Mbee, Mpelu, Makaa and Nkala villages to not only ensure the conservation of the bonobo but also to promote this species as a driver of local development. It covers an area of 500 km² located between latitudes -2.46506 and -2.33667 and longitudes 16.28110 and 16.27334 in the Mbe-Nkuru grouping; Bateke North chiefdom, Bolobo territory, Mai-Ndombe Province in the Democratic Republic of Congo. The main objective of this study is to assess bonobo populations and document the different types of habitats used by this species. This will help the local communities to properly manage their concession on the one hand and to monitor the bonobo populations conserved on the other hand; an inventory based on the counting of nests on the basis of a unique passage "Standing Crop Nest Counts" was carried out to estimate the densities of bonobo populations and to document the different habitats used by this species. A total of 32 transects of 1 km each were surveyed from August 4 to September 30, 2014. The results of this study show that the density of bonobos in this conservation area is about 1.51 individuals/km². These bonobos are distributed throughout the area but use more marantaceous forests, primary forests with open undergrowth and primary forests with closed undergrowth for nesting. It is strongly recommended that the results of this study be used to develop conservation actions to be carried out and to set up an annual monitoring program to evaluate the effectiveness of the conservation measures adopted.
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Arsène, EWOSSAKA, BOUNDZANGA Georges Claver, MIALOUNDAMA BAFOUETIKILA Gilles, NGONGOUYO Yvon, and AKOUANGO Parisse. "Scénarii de Réduction des Emissions liées à la Déforestation et la Dégradation forestière en fonction du Niveau des Emissions de Référence pour les Forêts (NERF)." Forestry & Agriculture Review 2, no. 1 (February 4, 2021): 52–61. http://dx.doi.org/10.47285/far.v2i1.73.

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Abstract:
A country with very high forest cover and very low deforestation (High Forest Cover, Low Deforestation "HFLD"), the Republic of Congo presented its Forest Reference Emissions Level (NERF) in 2016. This NERF, approved by the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC) in June 2017, is set at 35.5 million teCO2/year. It is organized around the estimate of historical emissions from 2000 to 2012 and future emissions from 2015 to 2020, related to Deforestation and Forest Degradation. The article proposes three (03) reduction scenarios, which could be applied by the Republic of Congo, to reduce its emissions related to Deforestation and Forest Degradation, in connection with its NERF. Scenario 1 involves a reduction of 8.3 million teCO2/year. Scenario 2 aims to increase this reduction to 4.2 million teCO2/year and Scenario 3 involves a reduction of 2.8 million teCO2/year. Scenario 2 is perfectly suited to the national circumstances of the Republic of Congo, which has embarked on a sustainable development approach. The national REDD strategy, validated by all stakeholders in July 2016, stipulated that the impact of deforestation and forest degradation be limited on the basis of five (05) strategic axes: (i) strengthening sustainable governance and financing, (ii) sustainable management and development of forest resources, (iii) improvement of agricultural systems, (iv) rationalization of the production and use of wood energy and the promotion of other clean energy sources and (v) the development of a green mining sector. Pays à très forte couverture forestière et à très faible taux de déforestation (High Forest Cover, Low Deforestation « HFLD »), la République du Congo a présenté en 2016, son Niveau des Emissions de Référence pour les Forêts (NERF). Ce NERF, approuvé par la Convention Cadre des Nations-Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) en Juin 2017, est établi à 35,5 millions teCO2/an. Il est organisé autour de l’estimation des émissions historiques de 2000 à 2012 et des émissions futures de 2015 à 2020, liées à la Déforestation et la Dégradation Forestière. L’article propose trois (03) scénarii de réduction, susceptibles d’être appliqués par la République du Congo, pour réduire ses émissions liées à la Déforestation et la Dégradation Forestière, en lien avec son NERF. Le scénario n°1 porte sur une réduction de 8,3 millions teCO2/an. Le scénario n°2 vise à porter cette réduction à 4,2 millions teCO2/an et le scénario n°3 porte sur une réduction de 2,8 millions teCO2/an. Le scénario 2 est parfaitement adapté aux circonstances nationales de la République du Congo qui s’est engagé dans une approche de développement durable. La stratégie nationale REDD+, validée par l’ensemble des parties prenantes en Juillet 2016, à prescrit de limiter l’impact de la déforestation et de la dégradation forestière en se fondant sur cinq (05) axes stratégiques : (i) le renforcement de la gouvernance et des financements durables, (ii) la gestion durable et la valorisation des ressources forestières, (iii) l’amélioration des systèmes agricoles, (iv) la rationalisation de la production et de l’utilisation du bois énergie et la promotion d'autres sources d'énergie propres et (v) le développement d’un secteur minier vert.
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Spittler, Juliette, and Alain Mercuel. "Équipes Mobiles Psychiatrie-Précarité : entre antenne avancée et voiture-balai du Secteur psychiatrique ?" Perspectives Psy 61, no. 4 (October 2022): 346–52. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/2022614346.

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Abstract:
Dès la fin des années 90, certains secteurs psychiatriques ont développé une démarche pro-active envers un public particulier : personnes en grande précarité et exclusion ET présentant une souffrance psychique nécessitant des soins spécialisés en psychiatrie. Cesdispositifs préfiguraient ce que deviendront plus tard les Équipes Mobiles Psychiatrie Précarité (EMPP). Faire accéder ce public aux soins et aider à leur maintien dans les soins devenait le pivot de leur activité. Au fil des décennies ces actions se sont précisées et venues combler les difficultés du Secteur Psychiatrique quant à l’accès aux soins de ce public. Population L’acronyme « SDF » ne suffit plus à caractériser le public vers lequel se tourne les EMPP. En effet, peine supplémentaire, ces personnes doivent être porteuses de trouble psychique. Depuis une petite décennie ce public évolue, auquel viennent maintenant s’adjoindre les personnes migrantes, dont la souffrance psychique est apparue dans leur pays d’origine et/ou lors du parcours d’exil, voire même depuis leur arrivée sur le territoire national. Missions En premier, aller à la rencontre des « SDF », psychotiques ou pas, afin d’accompagner un parcours d’accès aux soins ou un retour aux soins psychiatriques. Parallèlement, auprès des acteurs de première ligne, il s’agit de faciliter les liens avec les structures sociales ou médico-sociales venant appuyer, compléter, soutenir le projet de soin. Toujours auprès de ces acteurs, la mission des EMPP est d’intervenir en appui et en soutien aux structures d’accueil et d’hébergement. Fonctionnement Les EMPP sont des équipes pluridisciplinaires composées de psychiatres, infirmiers, assistants de service social, psychologues… Une fois la personne en souffrance psychique signalée à l’équipe par les acteurs de première ligne, une visite à domicile pour sans domicile s’organise au plus près du patient (en rue, centre d’hébergement, accueil de jour…). Cette démarche d’aller vers permet une première rencontre, puis d’autres, afin d’évaluer la situation médicale, psychiatrique et sociale de la personne concernée et de la faire accéder aux soins les plus adaptés à son état. Les actions des EMPP s’effectuent aussi auprès des acteurs de première ligne visent à sensibiliser, informer et former à la souffrance psychique, à la psychiatrie en précarité. Des analyses de pratique et autres échanges d’appui et de soutien viennent compléter ces actions aidantes. Travail en réseau Le réseau avec lequel travaillent les EMPP est particulièrement étendu dans la mesure où il concerne tous les acteurs de la Cité, des Communes, des Communautés de Communes, du territoire couvert par l’EMPP concernée. De fait, cela implique les Conseils Locaux de Santé Mentale (CLSM), les réseaux solidarité, les membres des veilles sociales, les coordinations de maraudes, d’une façon générale tous les acteurs de première ligne, tous les accueillants des structures, et bien sûr tous les Secteurs de psychiatrie. Dans les petites communes les partenaires se rencontrent assez facilement, mais cela s’avère plus complexe lorsque les territoires sont très étendus ou dans les mégapôles où le nombre de partenaires varie au gré des mouvements des structures d’accueil et d’hébergement. Nombre, durée et lieux d’intervention Les EMPP n’ont pas vocation à augmenter en permanence leur file active mais représentent parfois pour les plus démunis une première rencontre et doivent plutôt assurer une noria, avec un accès aux soins de relais dans les structures de droit commun et, une fois allégées de ces missions, aller à la rencontre d’autres personnes. Chaque équivalent temps plein (ETP) de professionnel accompagne entre 50 et 80 personnes par an. L’activité est donc ETP dépendante. La durée est celle suffisante à l’accompagnement vers ces structures, parfois quelques heures, parfois quelques années… En principe les lieux d’intervention sont représentés par tout lieu de vie ne correspondant pas à un habitat personnel (rues, parcs, jardins, bois et forêts, squats, lieux d’accueils et d’hébergements, etc.). Tout lieu où le secteur de psychiatrie ne se déploie pas. Conclusion Le maillon faible du Secteur psychiatrique est le soin aux plus démunis. Les EMPP tentent de combler ce manque. Les disparités géo-populationnelles entraînent une grande variabilité des acteurs et des actions. La force des EMPP réside dans leur souplesse, adaptabilité et proactivité.
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Halidou Moussa, Arohalassi, Elhadji Gounga Mahamadou, and Issa Ado Rayanatou. "Caractérisation socio-économique et identification des usages de Sclerocarya birrea (A. Rich.) Hochst. au Niger." Journal of Applied Biosciences 174 (June 30, 2022): 18113–23. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.174.7.

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Abstract:
Objectifs : L’arbre de Sclerocarya birrea est une espèce forestière très répandue en Afrique et dans certaines zones sahéliennes et soudaniennes du Niger. L’objectif de cette étude est de diagnostiquer l’exploitation actuelle de l’arbre, d’identifier les différentes utilisations faites par les populations autochtones et d’évaluer son apport dans l’alimentation et le revenu des ménages des régions de Maradi et Zinder. Méthodologie et Résultats : La collecte des données est effectuée, auprès de 410 personnes réparties au niveau de 07 communes rurales, à travers des enquêtes socio-économiques, ethnobotaniques et l’analyse des activités économiques autour de cette espèce. Les données d’enquêtes, ayant concerné les personnes vivant dans les villages à proximité de ce produit forestier non ligneux, les tradi-praticiens/forestiers et les entreprises œuvrant dans la production, la commercialisation et la transformation de Sclerocarya birrea, ont montré que ce dernier est une espèce spontanée très présente dans les forêts et brousses mais aussi dans les champs. Il produit des fruits consommés par les populations autochtones. La plante fructifie une fois par an, entre mai et juin. L’usage alimentaire le plus répandu est la consommation de la pulpe des fruits frais à 97- 99%. Les amandes sont soit consommées crues, soit utilisées en cuisine comme condiments à 99% ainsi que les feuilles après cuisson par 91%. Le bois est utilisé essentiellement comme source d’énergie (95%) et dans l’artisanat (90%). L’usage médicinal de l’écorce (90%) et des feuilles (60%) occupe une place importante dans le traitement de plusieurs maladies dont majoritairement les problèmes gastriques. Conclusions et application des résultats : Très peu d’activités économiques se sont développées autour de cet arbre avec une autoconsommation importante des organes de l’arbre surtout en 18113 Arohalassi et al., J. Appl. Biosci. Vol: 174, 2022 Caractérisation socio-économique et identification des usages de Sclerocarya birrea (A. Rich.) Hochst. au Niger période de soudure. La vente des fruits, des noix/graines et des feuilles permet de générer des revenus variables notamment pour les femmes selon la zone. L’absence d’organisation de filière et de marché important, liée à cette espèce constitue une contrainte majeure. Les difficultés liées au concassage de la noix/graine et aux méthodes de conservation des fruits de cet arbre constituent des facteurs limitants pour sa valorisation. Mots clés : PFNL, Caractérisation, usage, Sclerocarya birrea, identification, valorisation, économie, Niger Socio-economic characterization and identification of uses of Sclerocarya birrea (A. Rich.) Höchst. in Niger ABSTRACT Objectives: The Sclerocarya birrea tree is a widely distributed forest species in Africa and in some Sahelian and Sudanese areas of Niger. The objective of this work was to collect the available data on the current exploitation of the tree, to identify the different uses by the indigenous populations and to determine its contribution in the food and the household income from Maradi and Zinder localities. Methodology and results: Data collection was done with 410 people in 07 rural municipalities through socio-economic surveys, ethnobotany and the analysis of economic activities on the tree. The survey data, which concerned people living in villages near this non-wood forest product, traditional practitioners / foresters and companies working in the production, marketing and processing of Sclerocarya birrea, showed that the tree is a spontaneous species very present in forests, bushes, and fields. It produces fruits consumed by surrounding populations. The plant fructify once a year, between May and June mostly. The most common use is consumption of the pulp of fresh fruits for 97- 99%. Almonds are either eaten raw or used in kitchen as condiments for 99% as well as the leaves after cooking by 91%. The wood is used primarily as a source of energy by 95% and in craftsby 90%. The medicinal use of the bark (90%) and leaves (60%) is important in the treatment of several diseases of which mainly concern gastric illness. Conclusions and application of findings: Very few economic activities has been developed with this tree in significant self-consumption of the tree's organs, especially during the lean season. The sale of fruits, nuts / seeds and leaves generates variable income, especially for women depending on the area. The lack of organization of the sector and a large market, linked to this plant is a major constraint. The difficulties linked to the crushing of the nut / seed and the methods of preserving the fruits constitute factors limiting its valuation. Key words: NTFPs, Characterization, use, Sclerocarya birrea, identification, valuation, economy, Niger.
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Cabala Kaleba, Sylvestre, Yannick Useni Sikuzani, Amisi Mwana Yamba, François Munyemba Kankumbi, and Jan Bogaert. "Activités anthropiques et dynamique des écosystèmes forestiers dans les zones territoriales de l’Arc Cuprifère Katangais (RD Congo)." Tropicultura, 2022. http://dx.doi.org/10.25518/2295-8010.2100.

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Les zones territoriales de l’Arc Cuprifère Katangais sont parmi les principaux réceptacles d’une forte concentration démographique et des sites miniers en RD Congo. Par conséquent, les paysages naturels y subissent des profondes mutations dans leur structure spatiale. Cette étude caractérise les changements de l’occupation du sol avant et après la libéralisation du secteur minier en 2002. Trois mosaïques d’images Landsat (TM 1990, ETM + 2002 et OLI 2015) ont été classifiées en "Forêt" et "Non Forêt ", et validées par les valeurs du coefficient Kappa. Les résultats ont montré une perturbation grandissante du paysage, notamment après la libéralisation du secteur minier. La matrice paysagère, initialement constituée des taches de « Forêt » s’est dégradée et/ou convertie en classe « Non Forêt ». Une suppression et une dissection des taches de forêt en opposition à la création de taches de "Non Forêt" ont été identifiées comme des processus de transformation spatiale. La dynamique régressive des écosystèmes forestiers résultant de plusieurs activités anthropiques dont l’agriculture, la production du bois énergie et activités minières exécutés en synergie, a été plus poussée dans la zone de Kasenga. Les administrateurs territoriaux devront en urgence déclarer des zones protégées et créer des réserves naturelles pour préserver les écosystèmes forestiers.
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Beaulieu, Hanneke, Guy Chiasson, and Edith Leclerc. "Est-ce que l'on est sorti du bois ? L’État québécois face au staple forestier." Canadian Journal of Political Science, June 14, 2021, 1–19. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423921000342.

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Résumé Les industries de staples ont dominé le secteur forestier québécois avec l'appui de l’État qui a concédé à de grandes entreprises exportant une matière ligneuse peu transformée l'exploitation quasi-exclusive des forêts publiques. Une nouvelle loi en 2013 modifie le régime forestier et suggère une transition du secteur vers une économie post-staples. Or, en examinant le rôle de l’État de la période menant à la loi et de celle suivant sa mise en place, une lecture plus nuancée du nouveau régime émerge. En s'appuyant sur deux typologies d’État, ricardien et schumpétérien, cet article dépeint une trajectoire non-linéaire du secteur forestier québécois.
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Gillet, Pauline, Cédric Vermeulen, Laurène Feintrenie, Hélène Dessard, and Claude Garcia. "Quelles sont les causes de la déforestation dans le bassin du Congo ? Synthèse bibliographique et études de cas." BASE, 2016, 183–94. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.13022.

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Abstract:
Description du sujet. Les forêts du Bassin du Congo font partie des zones forestières les mieux préservées de la planète. Néanmoins, les facteurs qui entrainent la déforestation ailleurs dans le monde se manifestent également dans cette sous-région du globe. Cet article propose une revue de la littérature des causes directes et des facteurs sous-jacents de la destruction du couvert forestier des régions tropicales, afin de mettre en exergue les moteurs de la déforestation dans le bassin du Congo, et plus particulièrement au Cameroun et au Gabon. Littérature. Les causes directes de déforestation, définies comme ayant un lien cause-conséquence immédiat avec la destruction du couvert forestier, sont renforcées par des facteurs sous-jacents tels que les facteurs économiques, les avancées technologiques, les mesures politiques ainsi que les pressions démographiques. Toutes ces causes interagissent de façons distinctes dans les différentes régions tropicales de par le monde et expliquent les divergences et similitudes entre les dynamiques de déforestation régionales. En plus de l’expansion de l’infrastructure, du développement du secteur minier et de l’extraction du bois, l’agriculture représente la cause directe de déforestation la plus importante dans le bassin du Congo. Au Cameroun, la déforestation actuelle est principalement liée à l’agriculture. Le plan d’émergence de ce pays prévoit le développement des infrastructures, la modernisation de l’appareil de production national ainsi que l’exploitation minière. Au Gabon, le taux de déforestation plus faible s’explique par la dynamique agricole et l’ouverture des routes. Le plan d’émergence ambitieux y prévoit la modernisation de l’infrastructure ainsi que le développement de l’agriculture agro-industrielle. Conclusions. Une mutation des socio-écosystèmes liée à la déforestation est attendue en différents points du bassin du Congo. Les recherches futures devraient maintenant aborder la description de socio-écosystèmes types représentant les différents stades de la transition forestière ainsi que l’identification des facteurs du changement à différentes échelles.

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