Academic literature on the topic 'Science-fiction – Sacré'

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Journal articles on the topic "Science-fiction – Sacré"

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Sfez, Lucien. "Une nouvelle idée du sacré: le desir de santé parfaite." Revista FAMECOS 12, no. 27 (April 13, 2008): 21. http://dx.doi.org/10.15448/1980-3729.2005.27.3319.

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Abstract:
Ce texte propose une comparaison entre les utopies classiques et c’est que l’auteur pressupose que soit la nouvelle utopie postmoderne. Selon lui, il faut signaler l’évolution contemporaine des utopies technologiques vers la science-fiction et indiquer qu’un genre est né: la sciencefiction utopiste
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Jenvrin, Sébastien. "Catastrophe, sacré et figures du mal dans la science-fiction : une fonction cathartique." Le Portique, no. 22 (April 10, 2009). http://dx.doi.org/10.4000/leportique.2203.

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Plana, Muriel. "Mythes et science-fiction moderniste au théâtre : R.U.R de Čapek (1920) et Adam et Eve de Boulgakov (1930)." Textes et contextes, no. 17-1 (July 15, 2022). http://dx.doi.org/10.58335/textesetcontextes.3612.

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Abstract:
L’anticipation, comme discours sur l’avenir, est une tradition dans la fiction théâtrale européenne. D’Œdipe roi à la Vie est un songe en passant par Iphigénie et Macbeth, elle produit deux grandes tendances esthétiques et politiques qui, le plus souvent, dialoguent ou s’affrontent dans les œuvres dramatiques : le prophétisme tragique et la voyance épique, que ces pièces anciennes associent à la sphère sacrée, quand le pouvoir mantique est un privilège des dieux et des devins, mais aussi profane, à travers une psychologisation de l’anticipation, alors incarnée par des figures humaines compromises. Dans les pièces de science-fiction modernistes R.U.R. de Čapek (1920) et Adam et Ève de Boulgakov (1930), outre qu’elle n’est plus un discours divin ou humain discuté sur scène mais un principe général de composition fictionnelle, où l’œuvre entière est un discours sur l’avenir, l’anticipation privilégie les questions technologiques et scientifiques et s’oriente vers de nouvelles figures, a priori profanes, comme celle du génie visionnaire, notamment scientifique, ingénieur ou même entrepreneur. Faust apparaît, par conséquent, comme le mythe moderne privilégié par une science-fiction moderniste soucieuse de représenter et de penser l’avenir d’un monde marqué par les guerres et les révolutions et de mettre à l’épreuve les idées de progrès scientifique comme politique et d’utopie. On s’interrogera donc sur les modalités esthétiques et les significations politiques de l’articulation originale que chacune de ces deux pièces nous propose du mythe romantique faustien avec le mythe archaïque par excellence qu’est Adam et Ève. Nous montrerons ainsi comment, entre utopie et dystopie, fantasme et critique, philosophie et actualité, les pièces de Boulgakov et de Čapek se détournent des logiques tragico-prophétiques, que les deux mythes (du pacte et de la chute) présupposent, en les actualisant, en les critiquant et en les confrontant entre eux selon des modalités poétiques que nous qualifierons d’épiques : le dédoublement dans Adam et Ève et la confusion dans R.U.R..
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Debaene, Vincent. "Anthropologie et littérature." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.090.

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Abstract:
Evoquer les rapports entre anthropologie et littérature, c'est un peu ouvrir la boîte de Pandore, en raison de la plasticité des deux termes en présence, particulièrement du second, en raison également de la charge affective dont ils sont investis. Le simple rapprochement des deux notions est invariablement porteur d'une réflexion sur la nature même de l'anthropologie et a souvent valeur polémique, ce qui explique en retour les réactions virulentes qu'il peut susciter. Qu'on prétende montrer la porosité de l'ethnologie et de la littérature ou qu'on veuille au contraire prémunir l'anthropologie de toute corruption littéraire, il s'agit toujours pour l'ethnologue de s'interroger sur sa propre pratique et de la définir. Il faut pourtant essayer d'y voir clair, et pour cela partir des études qui traitent effectivement de cette question en essayant d'abord d'y mettre de l'ordre. On peut distinguer trois cas ou trois façons d'articuler littérature et anthropologie: les études anthropologiques qui prennent la littérature orale ou écrite pour objet; les réflexions épistémologiques ou historiques qui envisagent la littérature et l'anthropologie comme des discours et s'interrogent sur les rapports que ces discours peuvent entretenir; les travaux, menés ou non par des anthropologues, qui cherchent un savoir anthropologique dans des œuvres considérées comme littéraires. La première de ces trois formes de mise en rapport n'est pas en tant que telle problématique; elle consiste à examiner dans une perspective anthropologique la littérature en tant qu'activité symbolique et culturelle valorisée par une société donnée. C'est à ce titre que la littérature orale est objet d'ethnologie depuis longtemps. On pourra seulement noter que les travaux qui, selon les mêmes principes, prendraient pour objet la littérature écrite des sociétés modernes sont plus rares. A cela il y a deux raisons évidentes: la production comme la consommation de littérature écrite sont très majoritairement solitaires et privées et se prêtent mal à une observation ethnographique classique. Cela n'a pas empêché certains anthropologues de refuser cette exclusion, par exemple en rétablissant la continuité entre tradition orale et poésie moderne (Casajus 2012) ou en proposant une ethnographie de la création littéraire, qui s'attache à la matérialité des pratiques des écrivains, aux formes de subjectivation par l'écriture ou à la sacralité propre à l'œuvre littéraire dans les sociétés modernes (Fabre 1999, 2014). La troisième ensemble de travaux décèle dans des corpus reconnus comme littéraires une ressource anthropologique. Là encore, il faut distinguer entre, d'une part, les études qui identifient dans les textes les jeux et les conflits entre formes culturelles hétérogènes (orale vs écrite, sacrée vs profane...) (c'est l'objet d'un courant des études littéraires, l'ethnocritique (Privat et Scarpa 2010)) et, d'autre part, les tentatives qui lisent les œuvres de la littérature comme porteuses d'un savoir anthropologique, voire de « leçons » à destination des ethnologues (Bensa et Pouillon 2012). Dans ces deux cas, la littérature est d'abord envisagée comme un corpus, dont la constitution n'est pas questionnée (en cela, ces analyses se distinguent de la sociologie de la littérature) et dont on montre la richesse et la densité telle qu'elles sont révélées par une approche ethnologiquement informée. Dans cette perspective, on a pu en particulier souligner les vertus d'une création fictionnelle qui permet, par variation imaginaire, de mettre en pleine lumière certaines déterminations anthropologiques (Jamin 2011, 2018). Mais la façon la plus fréquente d'articuler anthropologie et littérature, celle qui a donné lieu aux travaux les plus nombreux, consiste à considérer l'une et l'autre comme des discours, analogues ou rivaux, mais comparables dans leur rapport au lecteur et dans leur visée. Le gros de ces études s'est développé à partir des années 1980 et du tournant postmoderne de l'anthropologie. Il s'agissait alors d'attirer l'attention sur tout ce que l'anthropologie et la littérature ont en commun, dans un but plus général de dénonciation de l'objectivisme de la discipline. Contre l'idée que l'ethnographe est un observateur neutre d'une réalité sociale qu'il décrit et analyse, on a commencé par rappeler que son activité première n'est ni l'observation, ni la participation, ni l'interprétation, mais l'écriture (Geertz 1973). Dès lors, on a pu montrer que l'anthropologie relevait d'une poétique au même titre que la littérature des temps anciens (du temps où la poétique était prescriptive, la fabrication des œuvres reposant sur un certain nombre de règles à suivre) ou que la littérature des temps modernes (lorsque la poétique est devenu singulière et implicite, mais pouvait être reconstruite a posteriori par le critique à l'analyse des œuvres). Alors que l'anthropologie sociale s'était établie au 19e siècle par l'ambition de constituer en science le discours sur l'homme en société, tous les éléments considérés habituellement comme des marqueurs de scientificité se sont retrouvés mis en question par ces interrogations poétiques. Le dogme fondateur du refus de la fiction s'est trouvé d'abord fragilisé lorsque Clifford Geertz, réactivant l'étymologie du terme (du latin fingere, fabriquer, construire), a insisté sur la part d'imagination inhérente à l'écriture ethnographique, comparant la reconstruction des interactions sociales dans un univers donné au travail d'imagination de Gustave Flaubert dans Madame Bovary (Geertz 1973, 15-16). Puis ce dogme a été franchement remis en cause lorsque James Clifford, insistant davantage sur l'invention qu'exige un tel travail, a proposé d'envisager les travaux ethnographiques comme des constructions textuelles – true fictions et partial truths – à la fois, donc, partielles et partiales (Clifford 1986). Dans son sillage, on s'est plu à montrer que les anthropologues, comme les écrivains, avaient des « styles » (Geertz 1988) et, plus généralement, rétablir des continuités entre discours littéraire et discours anthropologique, retrouvant chez les anthropologues classiques des tropes, des modes de narration, des conceptions de soi et de l'autre, hérités de la poésie romantique, de la tradition du récit de voyage ou de celle du roman d'aventures. Ainsi a-t-on mis en évidence, par exemple, toute l'influence que l'œuvre de Joseph Conrad avait pu exercer sur celle de Bronislaw Malinowski (Clifford 1988b) ou l'articulation profonde entre projet anthropologique et ambition poétique chez Edward Sapir et Ruth Benedict (Handler 1986). Dès lors, la rupture entre anthropologie et littérature – moins affirmée par les fondateurs de la discipline que simplement postulée, puisqu'il était évident qu'en la consacrant comme science, on sortait l'anthropologie du monde des œuvres et de la belle parole – a pu apparaître non comme une coupure mais comme une dénégation. En niant qu'elle relevait d'une poétique, l'anthropologie niait surtout qu'elle relevait d'une politique (comme le souligne le sous-titre du célèbre recueil Writing Culture (Clifford et Marcus 1986)). Le questionnement poétique – qui interroge la fabrication des textes ethnographiques – s'est ainsi doublé d'un questionnement rhétorique, qui s'attache à la circulation de ces textes, aux déterminations pesant sur leur conception comme sur leur réception. On a souligné, dans les textes classiques de la discipline, le silence entourant les conditions d'obtention de l'information ou les rapports avec l'administration coloniale, l'éclipse des informateurs et des sources, le privilège accordé de facto au point de vue masculin, les déformations introduites par les exigences de l'univers académique de réception, etc. En écho avec d'autres réflexions épistémologiques soucieuses d'élucider les rapports entre projet anthropologique et projet colonial, la question de l'autorité ethnographique est devenue centrale, le discours et le texte anthropologiques apparaissant comme un des lieux majeurs où s'articulent savoir et pouvoir (Clifford 1988a). Dans cette perspective, la littérature « indigène » a pu être parfois promue non plus seulement comme une source mais bien comme la seule ethnographie véritable puisqu'elle échappe (censément) à toute appropriation autoritaire de la parole par une instance extérieure. Ces réflexions ont eu pour conséquence une certaine libération de l'écriture ethnographique, une plus grande réflexivité touchant les procédures de composition des textes, voire la promotion de modes de restitution et d'exposé inventifs et polyphoniques, prenant parfois pour modèle des formes anciennes de textualité ethnographique, antérieures à la stabilisation disciplinaire. Elles ont aussi suscité des critiques pour leur complaisance et parce qu'elles déplaçaient excessivement l'attention vers les pratiques des ethnographes au détriment de leurs objets, conduisant à une sorte de narcissisme de l'écriture (Bourdieu 1992). Dans tous les cas pourtant, malgré la prétention à reconnaître la part « littéraire » de l'ethnologie, il était en fait moins question de littérature que d'écriture de l'ethnographie. C'est en partie une conséquence du cadre anglo-américain dans lequel ces réflexions ont émergé. D'abord parce que, en anglais, les termes literature et literary ont un sens plus technique et instrumental qu'en français où le terme littérature désigne d'abord, dans l’usage courant tout au moins, sinon un canon, en tout cas une logique de consécration : seules les œuvres appartiennent de plein droit à la littérature. Que l'anthropologie exige un travail de l’écriture est une chose, que ce dispositif formel fasse une œuvre en est une autre (Debaene 2005). Ensuite, parce que ce prétendu « réveil littéraire de l'anthropologie » s'inscrit bon gré mal gré dans une conception herméneutique de la discipline et repose sur la conviction que « la philologie est, somme toute, l'ancêtre du 19e siècle commun à l'anthropologie et aux études littéraires » (Daniel et Peck 1996: 8, 11). Or si une telle construction généalogique est pertinente aux Etats-Unis, elle ne l'est pas partout, et les relations des ethnologues à la littérature (envisagée soit comme un corpus, soit comme une technique d'écriture) et aux études littéraires (envisagée soit comme un type d'approche, soit comme une discipline) varient beaucoup selon les lieux et les histoires disciplinaires nationales (Debaene 2010). S'il est vrai que l'anthropologie comme la littérature sont avant tout des réalités locales, alors il importe de comprendre que l'étude de leurs rapports ne relève pas premièrement d'un questionnement épistémologique mais d'abord d'une histoire de la culture.
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Dissertations / Theses on the topic "Science-fiction – Sacré"

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Lottiaux, Mathieu. "Herméneutique des mondes disjonctifs : le sacré et ses conséquences dans la fantasy et la science-fiction (1950-1989)." Electronic Thesis or Diss., Valenciennes, Université Polytechnique Hauts-de-France, 2021. http://www.theses.fr/2021UPHF0051.

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Abstract:
L’objectif de notre travail est de réunir, au sein d’une analyse commune, les récits de science-fiction et de fantasy, d’en comprendre les mécanismes transversaux et d’en proposer à la fois une relecture et une herméneutique. Pour cela, nous posons l’hypothèse, en nous appuyant sur les travaux de Mircea Eliade et Marc Angenot, que les récits de fantasy et de science-fiction sont des « histoires sacrées » soutenues par un deus otiosus au sein de mondes disjonctifs. La diégèse (le monde fictionnel) de ces récits inclut donc un sacré qui se manifeste (hiérophanies) différemment selon les récits, suivant la sensibilité (Roger Caillois) des personnages, malgré l’apparition de motifs récurrents (l’origine, la paternité, l’espace, la prédiction) et de figures fréquentes (l’apocalypse, la cosmogonie, le père, la mère, le paysage, la prophétie…) ce qui implique une organisation sociale du sacré (Hannah Arendt). A partir de là, nous observons les régulations (Gilles Deleuze, Félix Guattari ; Roger Caillois) du sacré dans la diégèse et les constantes et variables qui se dégagent au niveau du temps (Mircea Eliade ; Jean-Marie Grassin ; Jean-Paul Engélibert ; Niccholas Serruys), de l’espace (Anna Bugajska ; Roger Caillois ; Hannah Arendt) et de la justice (Roger Caillois ; Hélène Machinal ; Brian Attebery). L’espace diégétique apparait comme un composé de sacré et de profane qui nous permet l’observation de mécanismes transversaux à tous les récits. Notre dernière partie applique les constantes et les variables, issues de notre deuxième partie, articulées par le personnage et sa quête, à des ouvrages opposés par la critique afin de relire l’opposition de la science-fiction et de la fantasy et d’en proposer une relecture commune, dépassant les frontières génériques et temporelles. Les mondes disjonctifs alors des « histoires sacrées » dont les constantes et les variables, dans leur articulation, deviennent une métaphore sociale du sacré
The aim of our work is to understand, in a same analysis, the stories of science fiction and fantasy, to extract the transversal mechanisms and to propose, in a same time, a rereading and a hermeneutic. 333 We base our analysis on the hypothesis that the stories of science fiction and fantasy are “sacred stories” (Mircea Eliade) maintained, in the diegesis (fictional world), by a deus otiosus which is called by Marc Angenot, the absent paradigm. By mixing the works of Marc Angenot and Mircea Eliade, we propose the assumption that the diegesis contains a sacred that emerges (hierophanies) by many ways, and depends on the sensibility of the characters (Roger Caillois). However, we can observe recurrent frames (the origin, the paternity, the space, the prediction) and repetitive figures (the apocalypse, the cosmogony, the father, the mother, the landscape, the prophecy, etc.) that imply a social organization of the sacred (Hannah Arendt). In our second part, we observe the fluctuations (Gilles Deleuze, Félix Guattari ; Roger Caillois) of the sacred in the diegesis and we extract the constants and the variables about the time (Mircea Eliade ; Jean-Marie Grassin ; Jean-Paul Engélibert ; Niccholas Serruys), the space (Anna Bugajska ; Roger Caillois ; Hannah Arendt) and the justice (Roger Caillois ; Hélène Machinal ; Brian Attebery). So, the diegetic space is made up by sacred and profane which allows us to observe transversal mechanisms in the stories. Our last part, we apply the constants and the variables extracted from the second part and centred around the main character and his quest. We chose productions opposed by the critics to reread the division between the science fiction and the fantasy and to propose a new and common perspective, beyond the generic and temporal borders. So the disjunctive worlds appear like “sacred stories” with variables and constants that are a social metaphor of the sacred
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Périer, Isabelle. "Mythe et épopée en science-fiction : technoscience, sacré et idéologie dans les cycles d'Herbert, Simmons, Banks, Hamilton, Bordage et Ayerdhal." Grenoble, 2010. http://www.theses.fr/2010GRENL015.

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Abstract:
Cette étude a pour but d’explorer les rapports apparemment contradictoires mais en realité essentiels V, qu’entretiennent le mythe et l’épopée avec la science-fiction. Elle s’articule de manière à répondre à trois questions : quoi, comment, pourquoi ? Et elle s’appuie sur un corpus comprenant le "Cycle de Dune " d’Herbert, " Les Cantos d’Hyperion ", Ilium et Olympos de Simmons, " Le Cycle de la Culture " de Banks, " L’Aube de la nuit " d’Hamilton, " Les Guerriers du silence ", Les Derniers hommes et Wang de Bordage ainsi que " Le Daym " d‘Ayerdhal. En premier lieu, elle explore cette contradiction apparente en analysant la dimension réaliste et technoscientifique et la dimension mythico-épique à l’œuvre dans le genre. Cette exploration débouche sur ture relativisation de la contradiction. Ensuite, elle approfondit les relations entre ces deux dimensions par une analyse fonctionnelle du récit science-fictionnel qui montre que la structure mythopoétique du récit met en scène des actants technoscientifiques remplaçant la plupart du temps les acteurs merveilleux traditionnels et qui conclut sur les effets induits par cette substitution, Enfin, elle explore les raisons de cette présence du mythe et de l’épopée en science-fiction au moyen d'une mise en perspective des motifs mythiques récurrents et d'une mythanalyse des discours contemporains sur la technoscience. Elle montre ainsi que ces mythes servent la dimension idéologique et critique de la science-fiction en mettant en intrigue les peurs et les attentes de notre société vis-à-vis de la technoscience et s’ouvre sur l’idée d’une remise en cause contemporaine du positivisme et de la séparation radicale entre science et sacré
The aim of this study is to explore the seemingly contradictory, but actually essential relations between myth and epic, on the one hand. , and science-fiction on the other. Its main purpose is to answer three questions: what, how, why ? The corpus is based on the following works : Herbert’s "Cycle of Dune", Simmons’s "Hyperion", Ilium and Olympos, Banks’s " Cycle of Culture ", Hamilton’s "Nights Down trilogy", Bordage’s "Les Guerriers du silence", Les Derniers Hommes and Wang and Ayerdhal’s " Le Daym ". First what seems to be a contradiction is analyzed through the realist dimension based on technoscience and the mythic-epic dimension. This exploration results in putting that contradiction into perspective, Then, this study will provide the reader with an in-depth account of the relationship between these two dimensions through a functional analysis of the science-fiction narrative. It demonstrates how the mythopoetic structure of the narrative stages technoscientific actors who often replace the traditional ones in folktales or fantasy. Then, a few conclusions about the consequences of this substitution can be drawn. In the last part, the causes of the presence of myth and epic in science fiction are studied with the help of a methodical classification of the recurrent mythical themes and a mythoanalysis of the contemporary views on technoscience, which emails the idea that these myths contribute to the ideological and critical dimension of science fiction, by dramatizing the fears and expectations of our societies with respect to technical and scientific innovations. This ideological and critical dimension opens up the idea that our times call into question the heritage of positivism and the radical separation of science and the sacred
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