Dissertations / Theses on the topic 'Schelling, Friedrich Wilhelm Joseph von (1775-1854) – Appréciation'

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Bernard-Granger, Sarah. "Constructions et usages de la figure de Schelling dans la philosophie française du XIXe siècle (1801-1901)." Electronic Thesis or Diss., Lyon, École normale supérieure, 2024. http://www.theses.fr/2024ENSL0064.

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Abstract:
Cette thèse propose de présenter les réceptions de F.W.J. Schelling en France au XIXe siècle en interrogeant comment cette réception a contribué à l’élaboration d’une philosophie nationale. Il s’agit de lier l’approche consistant à étudier la réception philosophique de Schelling et celle consistant à interroger la constitution de la philosophie française. Ce travail présente ainsi une histoire schellingienne de la philosophie française, qui correspond à l’histoire des constructions et des usages de la figure de Schelling. Il débute en 1801 avec la parution de l’ouvrage de Charles de Villers, La Philosophie de Kant qui constitue le point de départ de l’introduction de la philosophie schellingienne en France en même temps que celui de l’apparition de la problématique consistant à chercher à (re)élaborer une philosophie nationale. Il s’achève en 1901, avec la parution du dernier texte de Félix Ravaisson, le Testament Philosophique, qui constitue le dernier témoignage de l’usage de Schelling dans la philosophie française du XIXe siècle. Cette thèse comporte deux parties qui se chevauchent chronologiquement. La première se concentre sur la diffusion de la philosophie de Schelling, c’est-à-dire sur les différentes modalités de construction de sa figure au sein du paysage philosophique français. La seconde partie s’intéresse à la naturalisation de Schelling, c’est-à-dire aux usages de sa figure dans le cadre précis de l’élaboration et de la revendication d’une philosophie française, principalement par Cousin, Lamennais, Leroux et Ravaisson. De cette étude, ressortent trois résultats principaux : premièrement, elle permet d’envisager des devenirs possibles de la philosophie de Schelling. Deuxièmement, elle propose des histoires alternatives de la philosophie française du XIXe siècle, qui ne se résume ni au positivisme comtien ni au spiritualisme cousinien issu de Biran. Troisièmement, elle permet, plus largement, d’interroger les sens, la pertinence et les enjeux de la notion de « nationalité » en philosophie
This dissertation aims to present the reception of F.W.J. Schelling in France during the 19th century, examining how this reception contributed to the development of a national philosophy. The stake is to connect the study of Schelling's philosophical reception with that of the formation of French philosophy. This work thus presents a Schellingian history of French philosophy, corresponding to the history of the constructions and uses of Schelling’s figure. It begins in 1801, with the publication of Charles de Villers' La Philosophie de Kant, which was the starting point of the introduction of Schellingian philosophy in France, as well as the emergence of the concern to (re)define a national philosophy. It ends in 1901, with the publication of the last text of Félix Ravaisson's, Le Testament Philosophique, which represents the last indication of the use of Schelling in 19th century French philosophy. This dissertation is divided into two parts that overlap chronologically. The first part focuses on the dissemination of Schelling's philosophy, i.e. the various ways in which his figure was constructed within the French philosophical landscape. The second part focuses on Schelling's naturalization, i.e., the ways in which his figure was used in the context of the development and assertion of a French philosophy, mainly by Cousin, Lamennais, Leroux and Ravaisson. Three main results emerge from this study: first, it allows us to envisage possible futures for Schelling's philosophy. Secondly, it offers alternative histories of 19th century French philosophy, which cannot be reduced to Comtien positivism or to the biranian spiritualism of Cousin. Thirdly, it allows us to question the meaning, relevance and stakes of the notion of “nationality” in philosophy
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Sulzer, Caroline. "La philosophie de l'art de F. W. J. Schelling." Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1996PA040161.

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Abstract:
Ce travail consiste tout d'abord en une traduction française annotée de l'intégralité du texte allemand "Die Philisophie der Kunst" de Schelling. D'autre part,cette traduction est suivie d'une étude intitulée "Schelling l'art et l'absolu" et de documents annexes (schémas synoptiques,index,bibliographie). La problématique du texte est comment présenter en idéal le réel contenu dans l'art ? La première partie,générale,distingue trois étapes dans le cheminement de la pensée à savoir la position particulière de l'art comme réel mais issu de l'Absolu et la construction de la matière puis de la forme de l'art. La seconde partie,spéciale,traite de l'art effectif rendu ainsi possible et de ses formes(art plastique et art de la parole). Après une étude du "Système de l'idéalisme transcendantal" de 1800,où l'art occupait déjà une fonction clé et surtout de la dernière partie,proprement esthétique,et une introduction à la philosophie de l'identité telle qu'elle est traitée dans la "Philosophie de l'art",la postface du traducteur sur la logique même du texte de Schelling et s'attache à la construction de l'art,puis à sa matière,la mythologie,pour conclure sur la théorie de l'oeuvre d'art et sur la partie proprement spéciale de "La Philosophie et l'art".
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Zupcic, Rivas Slavko. "El médico y el escritor: Andreas Röschlaub (1768-1835) y Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling (1775-1854)." Doctoral thesis, Universitat Autònoma de Barcelona, 2003. http://hdl.handle.net/10803/5173.

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Abstract:
En medio de la vasta producción científica, filosófica y literaria que caracterizó al romanticismo alemán, la corriente de pensamiento conocida con el nombre de Naturphilosophie nos brinda una oportunidad excepcional para estudiar las relaciones entre medicina y literatura. Ejemplo de ello es la relación entre el médico Andreas Röschlaub (1768-1835) y el escritor y filósofo Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling (1775-1854). El trabajo de Röschlaub hizo posible que Schelling, quien en sus publicaciones de 1797 y 1798 se había mostrado contrario a las ideas de John Brown (1735-1788), se convirtiese en 1799 en un defensor de las mismas. En 1800, ellos se encontraron en Bamberg, en cuya universidad Schelling asistiría durante varios meses a las lecciones de Andreas Röschlaub y Adalbert Marcus (1753-1816) e impartiría las suyas sobre Naturphilosophie. Más tarde, en 1805, Röschlaub y Schelling se distanciarían y este último comenzaría a editar en compañía de Marcus su propia revista. Éste y otros gestos terminarían dividiendo a los seguidores alemanes de la teoría de Brown en dos grupos: los fisiólogos que apoyaban a Schelling y los patólogos que tomaron partido por Röschlaub. A partir de entonces, se inicia entre ambos una lucha sorda que tiene como tribuna las revistas que dirigen. Uno de los episodios fundamentales de esta controversia es la publicación en 1806 de unos "Fragmentos Antropológicos" en los que Roeschlaub se propone construir a través de la "palabra divina" su propia Naturphilosophie. Estos fragmentos demuestran por sí mismos cuán intricadas son las relaciones entre ambos mundos en este período ya que a pesar de que fueron escritos con una intención religiosa en ellos se percibe un espíritu claramente literario. Finalmente, Andreas Roeschlaub, el médico abnegado que propugnaba una enseñanza de la medicina junto al lecho del enfermo, había decidido expresarse con las "palabras divinas" de una literatura cada vez más próxima a la ciencia médica.
There are few historical moments so adapted to study relations between medicine and literature as the German romanticism and in the great philosophical, scientific and literary production that characterized this period the meeting of the physic Andreas Röschlaub (1768-1835) and the philosopher and writer Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling (1775-1854). Through the works of Röschlaub, Schelling who before had been an opponent of the Brown's doctrine became a defender of this. In 1800, they met in Bamberg, where Röschlaub directed his own magazine and worked at the Bamberg's Hospital. There, Schelling listened the lessons of Andreas Röschlaub and Adalbert Marcus (1753-1816) about the Erregbarketstheorie (excitability theory) and he gave his lessons about Naturphilosophie. Later, in 1805, Röschlaub and Schelling separated and the second began to publish his own medical magazine. This and other things divided their followers into two groups, the physiologists who followed Schelling and the pathologists who followed Röschlaub, and among them began a polemical relation that had their magazines as tribune. One of the main moments of this debate was the publication in 1805-1807 of a series of anthropological and physiological fragments by Andreas Röschlaub where he tried to make from "the divine words" his own Naturphilosophie. Besides the religious intention it is possible to see a literary spirit in these words: the man of science had renounced to speak with the words he always used and decided to speak with "the divine words" of a literature each time more near to the medical science.
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Fischbach, Franck. "Le commencement philosophique selon Hegel et Schelling." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010673.

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Abstract:
De Reinhold à Hegel en passant par Fichte et Schelling, les philosophes de l'idéalisme allemand ont été confrontés à l'obligation de donner une réponse à la question suivante : quel doit-être le commencement de la philosophie, étant entendu que la figure vraie de celle-ci est le système du savoir ou de la science ? Cette question est une question de droit et non pas de fait : notre enquête ne porte donc pas sur le commencement historique de la philosophie, sur sa naissance en Grèce ou ailleurs. Il est question ici de la manière dont la philosophie, en tant que système certain s'assignant la prise en vue de la totalité de l'étant, doit commencer de telle sorte que ce commencement soit praticable par et pour un sujet philosophant au départ extérieur au système (c'est la question du commencement subjectif de la philosophie). La question se pose à la marge du système lui-même, au niveau de l'articulation entre d'une part un discours qui se présente comme le savoir même, c'est-à-dire comme l'autoprésentation de l'absolu en personne, et d'autre part un sujet destinataire de ce discours, se pensant extérieur au savoir et se déterminant comme sujet simplement philosophant, c'est-à-dire aspirant seulement au savoir. Nous partons de la solution originale donnée par Hegel à ce problème sous la forme d'une phénoménologie de l'esprit, d'une science de l'élévation de la conscience naturelle à la science. Cette solution hégélienne s'étant délivrée en même temps sous la forme d'une critique de la philosophie schellingienne de l'identité et de son commencement immédiat par pure et simple élimination du sujet philosophant dans l'intuition intellectuelle de l'absolu, nous reprenons le débat Hegel-Schelling là ou eux-mêmes l'on laisse et nous interprétons la suite de l'itinéraire schellingien comme la recherche d'une solution au problème du commencement philosophique : en ce sens, la philosophie négative apparait comme une propédeutique scientifique à la science proprement dite, c'est-à-dire a la philosophie positive
The subject of this research is the subjective beginning of philosophie, and not the objective beginning of philosophie, well known under the name of first principle or fondation of the system. The problem is this of the relationship between the philosopher on one side and the system of science on the other side. This question was the reason for the philosophical divorce between Hegel and schelling in 1807. Schelling had pretented in his first philosophie that the beginning of philosophie supposed the elimination of the subjective and limited philo-sopher in the intellectual intuition of the absolute. Hegel insisted on the contrary on the possibility of a gradual elevation from the limited knowledge of the philosopher to the science or "absolute knowledge" : this plan has been carry out in the phenomenologie of mind as scientifical introduction into the science. The other questions we treat of are the next : did Hegel maintain this solution to the problem of philosophical beginning or did he finally prefer (in his encyclopedie of philosophical sciences) this other solution which consists in a decision or resolution for the pure thinking ? And did not schelling finally, in his last philosophie, arrive to a similar solution in that meaning that his negative philosophie can be interpreted as a scientifical introduction into the science (which is the positive or historical philosophie) ? We end in the conclusion that Hegel and Schelling are more close than usually said, and that they did together achieve the german idealism
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Roux, Alexandra. "Schelling et Malebranche." Poitiers, 2000. http://www.theses.fr/2000POIT5021.

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Bruna, Castro Carolina. "A propósito de la comunidad. ¿Superación del absoluto o ficción del Yo? Schelling temprano en tensión con Hegel." Tesis, Universidad de Chile, 2006. http://www.repositorio.uchile.cl/handle/2250/108886.

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Abstract:
Tesis para optar al grado de Magister en Filosofía mención en Axiología y Filosofía Política.
El problema que intentaré esbozar en las páginas que siguen intenta una reflexión sobre la noción de comunidad, como mundo ético, es decir mundo en el que se dan las relaciones intersubjetivas. Problema presente en las diferentes reflexiones actuales y que conlleva a pensar por el sentido bajo el cual estamos pensando eso común sea como reunión, como esencia común (bien) o como un no lugar entre los hombres que entrega la posibilidad de considerar aquello que ponemos en común (don) comunidad de lo no común (ficción). Con ello me interesa ir por otra vía que aquella que distingue la esfera intersubjetiva como el problema político planteado por las posturas comunitaristas y liberales. El problema que abordo en esta tesis se da desde una perspectiva que podríamos llamar “trascendental”, es decir pensar la comunidad en base a un cierto principio articulador.
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Huang, Kuan-Min. "Schelling et la crise de la métaphysique." Paris 4, 2001. http://www.theses.fr/2001PA040002.

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Abstract:
Menacée de déclin, la métaphysique dort se confronter à un questionnement sur sa propre crise. Aux yeux de Schelling, la crise de la métaphysique est déjà survenue ; la question devient donc de déterminer le sens de cette crise. En renvoyant au sens originel de la crise, Schelling emploie ce terme pour designer l'acte de séparation radicale d'où dérivent les sens comme le jugement et le moment crucial, etc. ; ce qui conduit à une considération sur la signification de la crise dans la systématisation schellingienne. Ce travail analyse d'abord dans la première partie, selon la problématique de la synthèse, le contexte de la confrontation rigoureuse chez Schelling avec les moments de séparation au sein du système jusqu'à sa philosophie de l'identité. Après cette partie préparatoire, il examine les différentes significations de la crise dans les textes principaux de la période de la philosophie de la liberté et de l'histoire et esquisse une métaphysique de la crise autour des termes de décision, mort, temporalité, extase, etc… Ces aspects de la crise, vus comme restructuration des éléments systématiques axés sur le décalage entre la liberté et l'existence, envisage la réflexion sur la constitution ontothéologique de la métaphysique. Comme la dernière phase de la philosophie de Schelling se concentre sur la différenciation de la positivité et de la négativité, opération qui exige aussi une réflexion sur la scission intérieure à la philosophie, la troisième partie analyse cette dernière confrontation de la crise et, en saisissant la condition humaine dans l'entreprise métaphysique, considère l'inversion en philosophie comme la réponse à la double fonction de la crise : la séparation et l'identité restauratrice. Le sens de la crise de la métaphysique est dans le dégagement de la propre vitalité de la philosophie au sein et à partir de sa constitution intrinsèque.
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Challiol-Gillet, Marie-Christine. "Schelling, une philosophie de l'extase : de l'intuition intellectuelle à l'extase de la raison, une tentative de compréhension de l'Absolu par la philosophie." Paris 10, 1993. http://www.theses.fr/1993PA100139.

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Abstract:
L'extase, puissance de sortie de soi et confrontation au tout-autre, est un terme récurrent de la dernière philosophie de Schelling. Elle apparaît en deux emplois principaux: extase de la raison, elle donne à cette dernière, par le renoncement initial qu'elle suppose, la possibilité de comprendre le Dieu créateur qui ne peut jamais être déduit a priori. Extase en Dieu, elle est la manifestation de la toute-puissance et de la liberté divines: Dieu est assez sûr de soi pour poser ce qui le nie. Ces deux emplois sont étroitement liés, l'extase en Dieu est la condition de l'extase de la raison. L'extase est par ailleurs le résultat de la transformation de l'intuition intellectuelle, mode de saisie de l'absolu qui régnait dans la philosophie de l'identité, et le passage de l'un à l'autre concept résume la transformation de l'absolu lui-même dans la philosophie de Schelling. La thèse soutenue est celle de la continuité de l'ensemble de la dernière philosophie. La transformation de la philosophie négative en science rationnelle, première partie du diptyque dont la philosophie positive constitue le second volet, est compatible avec la prééminence toujours conservée à la philosophie positive. L'hypothèse continuiste doit toutefois avouer ses limites face à la dernière oeuvre de Schelling, l'exposé de la philosophie purement rationnelle, malheureusement inachevée. Le sens général de la dernière philosophie semble cependant être celui d'un maintien de la philosophie positive, alors même que l'idéalisme retrouve ses droits
Ecstasy - The power to transcend oneself and confront absolute difference, is a recurrent phrase in Schelling's latter philosophy. It is used mainly in two different ways: as the ecstasy of reason, it endows the latter, through the initial renunciation it implies, with the possibility of comprehending God the Maker, who can never be deduced a priori. As the ecstasy in God, it demonstrates God's almighty power and his liberty: God is self-assured enough to suppose what denies him. Those two different uses are closely linked, the ecstasy in God being the condition for the ecstasy of reason. Besides, ecstasy is the resulty of the transformation of intellectual intuition, a way of comprehending the absolute that used to prevail in the philosophy of the self, and the transition from one to the other therefore summarizes the evolution of the absolute itself in Schelling's philosophy. The argument here is states the continuity of the latter philosophy as a whole. The transformation of negative philosophy into rational science, the first part of the twofold work of which positive philosophy constitutes the second section. Is compatible with the persisting pre-eminence given to positive philosophy. The hypothesis of continuity must however akcnowledge its difficulties to account for Schelling's last work, which was unfortunately never completed
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Schnell, Mechtild. "Incarnation et temporalité dans la philosophie de Schelling (1809-1827)." Toulouse 2, 2007. http://www.theses.fr/2007TOU20027.

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Abstract:
C'est moins le destin, c'est-à-dire l'apparent « échec » de cette œuvre inachevée que les raisons internes au nombreux remaniements et réécritures que j'essaie de saisir dans cette thèse en restant fidèle à ce qui me paraît la structure intime de toute cette période de la pensée schellingienne (1809-1827), à savoir le temps organique tel qu'il est développé en 1811. Immédiatement confrontée à une difficulté majeure que Schelling lui-même souligne déjà, à savoir la résistance de cette temporalité concentrique à la discursivité linéaire du langage, j'ai tâché d'élaborer une méthode intégrant ce temps « organique », méthode qui s'agence autour du devenir (Werden). En ce terme convergent en effet la théogonie des Ages du Monde, et le rapport entre cette temporalité et la matière que le concept d'effectivité (Wirklichkeit) tel que Schelling le pense ici réclame nécessairement. A mon sens, il s'agit, avec les Ages du Monde¸ de l'élaboration des conditions de possibilité d'une liberté humaine que Schelling pense dans son effectivité. Cette liberté individuelle est nécessairement temporelle et incarnée. L'ontochronie qui fonde cette liberté me paraît transcender le siècle qui est celui de Schelling : elle permet à l'homme de fonder sa propre histoire
It is less the fate, that is the apparent « failure » of this unfinished work than the inherent reasons of the manifold reorganizations and rewritings that I try to seize in this thesis by remaining faithful to what appears to me the innermost structure this entire period of Schelling's philosophy (1809-1827), that is the organic time such as it is developed in 1811. At once confronted with a major difficulty which Schelling himself already underlined, namely the resistance of this concentric temporality to its translation into a linear speech, I tried to elaborate a method integrating this « organic » time ; method that organizes itself around the notion of becoming (Werden). In this notion converge indeed the genesis of God and the relationship between time and the material, as the notion of reality (Wirklichkeit) as Schelling understands it requires necessarily. In my opinion, the Ages of the World elaborate the conditions of possibility of human freedom in its reality. This personal freedom is necessarily temporal and incarnated. The ontochrony which founds this freedom appears to me to transcend the Schelling's own century : it makes it possible for every individual to found one's own history
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Arola, Adam 1981. "The Movement of Philosophy: Freedom as Ecstatic Thinking in Schelling and Heidegger." Thesis, University of Oregon, 2008. http://hdl.handle.net/1794/7231.

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Abstract:
xii, 259 p. Print copy also available for check out and consultation in the University of Oregon's library under the call number: B105.L45 A76 2008
The question of freedom has been a present and constant concern since the inception of the occidental philosophical tradition. Yet after a certain point the manner in which this question is to be asked has been canonized and sedimented: do humans (subject) have the capacity (predicate) for free and spontaneous action? The third antinomy of Kant's Critique of Pure Reason, I argue, demonstrates the necessary failure, the perpetual aporia, of continuing to discuss whether humans conceived of as subjects possess the predicate freedom. I argue that if we do not want to fall either into the Third Antinomy, we must steer away from thinking of freedom as a predicate of a subject and reconfigure it as an experience or a comportment. Following suggestions from Jean-Luc Nancy's The Inoperative Community, Being Singular Plural, and The Experience of Freedom, my dissertation argues that re-thinking of freedom as an experience simultaneously requires a re-thinking of identity, in terms of ecstasy, ek-stases, or ex-position, and accordingly a re-thinking of the activity of thinking itself. Nancy cites Schelling and Heidegger as the thinkers who have made an attempt to think about ecstasy seriously as a fundamental ontological fact about the constitution of things. This reconfiguration of the constitution of things as either parts of organic structures (Schelling) or beings in a world (Heidegger), demands that we recognize how our identities are perpetually being constituted in all of our acts of relating with the world. We are constituted and constituting by our engagement with the things that environ us, and this environing is active and alive. If this is accepted as an ontological fact, this requires that we reconsider what it would mean to think, as all of our engagements with the world would be creative-both of ourselves and of what it is that we encounter. This would also mean that the meaningfulness of all things is wildly contingent, in fact necessarily, so. Accordingly, I defend that freedom, as the experience of possibility through our awareness of this contingency due to the lack of an origin, emerges for us in the experience of thinking.
Adviser: Peter Warnek
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Uribe, Riveros Natalia. "Schelling y el sistema de los tiempos: de la totalidad al individuo." Tesis, Universidad de Chile, 2016. http://repositorio.uchile.cl/handle/2250/143778.

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Abstract:
Tesis para optar al grado de Magíster en Filosofía
La presente tesis mostrará las implicaciones ontológicas que la concepción del tiempo formulada en la filosofía de la libertad de Friedrich Schelling trae en relación a la consideración del hombre y su relación con la totalidad. La propuesta se defenderá que la perspectiva expuesta en Las edades del mundo acerca de un sistema temporal funciona como un entramado que se manifiesta en distintos niveles, siendo la linealidad del tiempo solo una forma humana y limitada de comprensión. Para ello, el estudio contemplará dos perspectivas. En un primer momento se estudiará y analizará la obra mencionada para entender a cabalidad sus postulados y determinar la importancia del concepto de tiempo allí expuesta. En una segunda parte se analizarán las consecuencias ontológicas que el entendimiento lineal del tiempo trae al hombre como el único de los seres que vive en la indeterminación y en el deseo de manifestarse como una voluntad propia, ajena al sistema universal.
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Hay, Katia. "Die Notwendigkeit des Scheiterns : eine Analyse des Tragischen als Bestimmung der Darstellung der philosophie bei F. W. J. Schelling." Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040092.

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Abstract:
Cette thèse propose une lecture de la pensée de Schelling à partir des Lettres sur le dogmatisme et le criticisme de 1795 jusqu’aux Leçons d’Erlangen (1825) d'après la notion du tragique. Cela entraîne non seulement une étude des textes de Schelling, mais aussi une définition philosophique du tragique. L'originalité de ma thèse réside en que cette "métaphysique du tragique" va être rigoureusement dégagée de l'interprétation schellingienne de la tragédie dans sa Philosophie de l’art de 1802-1805. Or, le but principal de mon analyse est de montrer, comment le tragique n’est pas seulement un sujet possible de réflexion de la philosophie de Schelling, mais un processus dont la philosophie elle-même devient le sujet. Ainsi l’accomplissement, le zénith de clarté est aussi pour la philosophie, comme pour Œdipe, la connaissance de soi-même et en ceci la reconnaissance de sa finitude et de son échec insurmontable. Mais l'importance de cet échec, ne se réduit pas au fait que le discours philosophique soit essentiellement inachevé ; ce qui est plus important, c'est que la philosophie n'est rien d’autre que la réalisation interminable de cet échec. Un processus qui commence dans les Recherches philosophiques sur l'essence de la liberté humaine de 1809 et qui culmine avec ses Leçons d’Erlangen. La thèse principale de ma dissertation est donc directement liée à l'incapacité d'exprimer l'infini, et à la réalisation de cette incapacité. Pour cela le tragique s'avère non seulement pertinent, mais essentiel pour comprendre tant la philosophie, que la démarche ou la généalogie de sa pensée jusqu'aux 1825. Et pourtant ceci n'est pas la fin de la philosophie, mais plutôt son commencement
The main aim of my dissertation is to show how Schelling's philosophy can be seen as an ongoing reflection upon the problem of expression, i. E. The problem of putting into words what essentially cannot be defined, namely the absolute. However, the significance of this failure is not merely that philosophical discourse is unfinished or unrealizable; the problem we are confronted with has to do with the fact that philosophy is not anything else than the written texts, and hence is itself necessarily unfinished or incomplete. To put it in other more Schellinguian terms, philosophy is an eternal process of becoming itself; a process which should also be considered as a process of liberation or emancipation (Befreiung). On the other hand, the analysis of Schelling's Philosophy of Art, where he claims Greek Tragedy to be the highest and most sublime form of art, enables me to consider this very process as a tragic one. Indeed the tragic is seen as the thread or the underlying structure which shapes Schelling's whole enterprise. For in the same way Oedipus had to kill his father in order to become aware of his true nature, in the same way the realisation of human freedom entails a necessary (original) sin, philosophy can only be achieved through failure. Philosophy needs to fail, so it may become aware of its own fallibility. In the last chapter I show how this very insight is directly developed in the Erlangen Lectures from 1825, which thus become the final confirmation of my thesis. However, I also prove, that this does not mean the Erlangen Lectures are the end of philosophy: they should rather be regarded as the starting point for any attempt to achieve the unattainable
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Lequan, Mai. "La chimie dans les philosophies de Kant, Schelling et Hegel, 1755-1830." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040169.

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Abstract:
La chimie, loin de constituer un thème secondaire ou un sujet marginal dans les philosophies de Kant, Schelling et Hegel, offre un possible axe de lecture transversal de leurs propres systèmes, dans la mesure où ces trois auteurs, chacun selon sa propre manière de procéder, érigent le processus chimique au rang de modèle analogique pour la méthode philosophique, voire au rang de paradigme, c'est-à-dire de structure universelle permettant de rendre compte du monde et de la pensée, de la nature et de l'esprit. Selon le paradigme chimique de ces philosophies, tout serait ultimement réductible à des processus chimiques. Ces trois philosophies de la nature, en tant que philosophies de la chimie et, pour celles de Schelling et Hegel, en tant que "philosophies chimiques", enregistrent les découvertes et progrès considérables effectués récemment par les chimistes contemporains et sont ainsi des témoins privilégies d'une époque. A l'extrême fin du XVIIIème siècle et au début du XIXème siècle, elles sont en Allemagne parmi les premières à réfléchir sur la science chimique, alors naissante, ainsi que sur ses objets (matières, forces et processus). Elles intègrent, chacune à sa façon, la chimie à l'édifice encyclopédique et architectonique du savoir humain et constituent trois tentatives originales pour construire spéculativement un système universel de la nature à partir d'un modèle chimique. Elles contribuent également à instaurer un dialogue fécond entre chimie positive et philosophie, dialogue que poursuivra, après l'idéalisme allemand, la Naturphilosophie romantique au XIXème siècle. Enfin, elles marquent plus généralement un tournant historiquement décisif dans la compréhension des rapports entre philosophie et science.
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Hinsberger, Gisèle. "La quête de la vérité à l'heure du romantisme allemand : une entreprise romantique de séduction de la raison : Schelling et le groupe de Iéna." Lyon 3, 1995. http://www.theses.fr/1995LYO31010.

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Abstract:
Dans la pensee des romantiques, la quete de la verite est recherche de l'absolu. Entreprise philosophique fondee sur l'intuition intellectuelle, la quete du sens sera determinante pour le statut de la raison (schelling, critique de kant). La question metaphysique de l'etre pose celle du savoir philosophique : comment determiner le lieu metaphysique du reel ? d'ou la pensee tient-elle sa validite ? avec schelling se decouvre l'enjeu veritable de la quete ; l'elucidation des rapports de l'homme au divin. L'articulation de la philosophie et de la theosophie a travers un grandiose proces theogonique va se vivre par les romantiques comme une entreprise de seductioin de la raison, annoncant la version tragique de la quete (avec le theme schellingien de la liberte a la formule provocatrice : le bien est le mal) ou la raison desormais se fait memoire du desir. Alors l'ame romantique s'ouvre a l'imaginaire. La philosophie de jung donne le ton aux grands themes du romantisme rassembles de facon analogique dans le marchen (l. Tieck) et formules dans une symbolique de la temporalite. Jung, comme schelling, cherche a dire la verite de la quete - le sans-fondement, "l'eternelle liberte"
In the romantics'minds, the search for truth is the search for the absolute. Philosophical entreprise is based on intellectual intiution, the search for meaning will determine the statute of reason (schelling, one of kant's critics). The metaphysical question of being asks the question of philosophical knowledge : how to determine the metaphysical place of what is real ? where does thought get its validity from ? with schelling the true aspects of the search for truth can be discovered ; the elucidation of man's relationships with the divine. The articulation of philosophy and of theosophy through a grandiose theogonic process will be lived out by the romantics as an entreprise aimed at the seduction of reason, announcing the tragic version of the search (with the schellingian theme of freedom with the provocative formula : good is evil) where reason henceforth becomes the memory of desire. Hense the romantic soul opens itself to the imaginary. Jung's philosophy sets the tone for romantism's major themes brought together in an analogical manner in the marchen (l. Tieck) and formulated in a symbol of temporality. Jung, like schelling, seeks to state the truth of the search - the lack of foundation, the "eternel liberty"
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Benmansour, Maryan. "La place de la mythologie." Paris 8, 2007. http://octaviana.fr/document/122015215#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

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Abstract:
Ce travail décrit la mutation du concept de mythologie depuis le XVIIe siècle jusqu’au XIXe siècle. On montre comment une perception et une conception du mythe sont apparues durant cette période et comment une nouvelle place pour la mythologie s’est constituée en poétique et en philosophie. On décrit tout d’abord la fin du modèle classique du mythe conçu comme fable, impliquant l’allégorie comme mode de figuration et d’interprétation. On dégage ensuite les conditions auxquelles la revendication d’une « nouvelle mythologie » vient à émerger : à partir des termes d’une nouvelle poétique formulés par G. B. Vico et approfondis par le romantisme naissant, la mythologie se voit promue au statut d’un idéal esthétique. On étudie enfin le déplacement que F. W. J. Schelling fait subir à la notion de mythologie ainsi installée, abandonnant peu à peu à l’idéal d’une « nouvelle mythologie » pour élaborer une « philosophie de la mythologie », toujours dépendante de conditions poétiques implicites
This work describes the mutation of the concept of mythology from the XVIII th century to the XIX th century. It shows how a new perception and a new conception of the myth have appeared in this period and how a new place for the mythology has been constituted in poetics and philosophy. First is described the end of the classical model of the myth, model according to which the myth is conceived as a fable and supposes the allegory as a specific way of figuring and interpreting. Then, the conditions on which the claim for a “new mythology” can emerge are set off : in the terms of G. B. Vico’s “new poetic” elaborated by the nascent romanticism, the mythology is promoted to an aesthetic ideal. Finally, one shows how the German philosopher F. W. J. Schelling has produced a further displacement of the mythology by giving up the ideal of a “new mythology” to elaborate a “philosophy of mythology”, which nevertheless still depends upon poetic conditions which are dug out
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Cattin, Emmanuel. "Transformations de la métaphysique." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010553.

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Abstract:
Sous le nom de philosophie transcendantale, le jeune schelling hérite de la détermination kantienne de la métaphysique comme science ou système. A la faveur de la brèche kantienne, ses premiers essais travaillent à fonder le concept et la tache de l'idéalisme transcendantal : il s'agit, parallèlement a la doctrine de la science de Fichte, d'accomplir le programme kantien, reste inachevé, et de "répliquer" a l'éthique de Spinoza, paradigme du dogmatisme conséquent. La philosophie transcendantale se propose de réfléchir l'auto exposition de l'absolu dans sa propre constitution systématique. Elle atteindra son point culminant avec le système de l'idéalisme transcendantal de 1800, ou l'œuvre d'art viendra lui représenter l'exposition parfaite de l'absolu et figurer, du même coup, son propre avenir poétique ou mythologique. L'exposition de mon système de la philosophie de 1801 met fin à l'époque transcendantale de la philosophie de schelling et résout, dans une économie nouvelle pour toute la métaphysique, les tensions et l'instabilité qui marquaient le rapport de la philosophie transcendantale a son autre, la philosophie de la nature
With the transcendental philosophy, Schelling inherits the Kantian determination of metaphysics as a science or a system. His first essays work towards the foundation of transcendental idealism in its distinctive concept and task, completing the Kantian programme and replying to the ethics of Spinoza. The transcendental philosophy endeavours to reflect in tis own systematic exposition the self-exposition of the absolute. It reaches its climax with the system of transcendental idealism (1800) : the work of art represents the perfect exposition of the absolute and, for the philosophical system, its own poetical or mythological future. The exposition of my system of philosophy (1801) puts an end to the transcendental era of schelling's metaphysics and to the tension between the transcendental philosophy and the philosophy of nature
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Cabezas, Cabezas Sebastián. "El concepto de libertad humana y su lugar sistemático en el Escrito de la libertad (1809) de F.W.J. Schelling." Tesis, Universidad de Chile, 2016. http://repositorio.uchile.cl/handle/2250/143608.

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Salvador, Roures Luis. "L’Ur-System: gènesi i desplegament (Schelling com a historiador de l’Absolut)." Doctoral thesis, Universitat de Barcelona, 2017. http://hdl.handle.net/10803/402573.

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Abstract:
Aquesta investigació està centrada en la darrera etapa de Schelling on es fa indispensable la discussió entre filosofia negativa i filosofia positiva, ja que fa emergir la sistemàtica interna que recorre les seves obres. El nostre apropament acadèmic articula les posicions clàssiques de Fuhrmans, Schulz i Tilliette en una nova perspectiva. Defensem, per tant, un caràcter unitari de la filosofia de Schelling, essent la complementarietat entre filosofies útil per vertebrar el desplegament efectuat. En aquesta relació el pensament adopta la potencialitat de la filosofia negativa i reajusta l’efectivitat de la positiva. A la vegada, aquestes filosofies mantenen les respectives especificitats com a prolegòmens d’una filosofia superior, o sigui, la negativa com a filosofia crítica i la positiva impedint que la negativa es pugui presentar com a filosofia absoluta. Considerant aquest posicionaments, resseguim els moments clau identificats en els textos escollits i que presentem en 7 capítols, on es mostra una línia interna de treball que recorre l’itinerari vers la Spätphilosophie. Hem valorat i exposat la vertebració interna, la qual queda inserida en un marc estructural on articular els textos escollits. Presentem, doncs, tres centres neuràlgics que articulen i gestionen tot el desplegament: Philosophie und Religion (1804), inici del desplegament; Les Weltalter i el seu àmbit d’influència, projecció del sistema; etapa de München com a consolidació del sistema. Aquesta etapa és clau per assentar qualsevol proposta d’unicitat filosòfica. La pregunta sobre el sistema originari articula la tesi. Hem aportat tres plans interpretatius conjuntament estructurats que evidencien la regla hermenèutica que podem aplicar a la sistemàtica de Schelling. Aquesta regla està en funció de l’apropament a una filosofia històrica que exerceix de contrapès a la filosofia lògica o estrictament racional. En definitiva, estem davant una historicitat de l’absolut com a desplegament de la vida divina que necessita la filosofia negativa en un ampliat ús de la raó i, a la vegada, una filosofia positiva que sistematitzi el projecte d’una religió filosòfica futura. Com a conclusió destaquem que la possibilitat de pensar un Ursystem que inclogui i desplegui la panoràmica argumental que presentem representa el veritable llegat schellingnià. Més que d’impotència de la raó davant allò impensable, hem parlat d’integració (en la raó) de noves perspectives (el mal, d’allò irracional, o allò inconscient). En definitiva, l’objectiu últim de la tesi rau en mostrar com podem pensar l’absolut des d’una Spätphilosophie que no suposi un trencament radical amb l’etapa de la Identitätlehre, sinó la superació dels seus esquemes formals, encara vinculats a problemàtiques de la controvèrsia fichtiana. El pensar l’absolut equival a la seva exposició, però el sistema ha adoptat el caràcter històric, i per tant, aquesta exposició pot ser presentada com a història de l’absolut, i Schelling, consegüentment com a historiador de l’absolut.
Research focused on Schelling’s Spätphilosophie, showing the relation between negative and positive philosophy. We defend the complementarity between positive philosophy and negative philosophy. In this relationship the positive philosophy prevents the negative philosophy becomes absolute philosophy. In this regard however we find a new use of reason. We have followed a route that starts at Philosophie und Religion (1804) and passes by Freiheitsschrift, Stuttgarter Privatvorlesungen, Weltalter, Erlangen Vorträge, the stage of München, Philosophie der Mithologie and Philosophie der Offenbarung, looking for key moments in the texts studied. Articulating the systematics, the main lines of research are studied, and a personal perspective is provided. We have highlighted the modulations of a philosophy that will be deployed integrating the paradigm of the religion. According to a historical philosophy (a philosophy applied to the absolute), the question on the originating system articulates the thesis, providing three levels of interpretation that show the hermeneutic rule applied to the systematics of Schelling. We have a historicity (Geschichlichkeit) as deployment of the divine life. In this sense we present Schelling as a historian of the absolute.
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Pinzetta, Inácio. "Queda e elevação : Hegel, Schelling e Kierkegaard." reponame:Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UFRGS, 2012. http://hdl.handle.net/10183/60373.

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Abstract:
Esta tese objetiva investigar a questão do mal a partir da visão hegeliana, schellinguiana e kierkegaardiana, tomando como referência principal o tema da queda a qual pressupõe um estado original de felicidade e perfeição do ser humano no paraíso (Gn 3) e que foi perdido em vista da transgressão à norma estabelecida por Deus de não se poder comer do fruto da árvore do bem e do mal. Para Hegel, nunca houve esse estado originário de felicidade, e por isso, tanto o bem quanto o mal devem ser estudados a partir da visão no qual o homem está inserido, a história universal. O homem, segundo Hegel, é espírito e como tal, na sua origem ainda não é o que deve ser, não tem consciência de si, não se sabe como espírito, assim, nesse registro, é mau, e deve fazer o seu percurso na história para efetivar esse seu dever ser, na dualidade bem e mal, e chegar ao estado de reconciliação. Para Hegel, se se quiser ficar no âmbito da metáfora do paraíso, este é uma conquista alcançada pelo próprio homem que se alça de seu estado de animalidade para efetivar-se como espírito. Hegel não tem uma obra especifica sobre o tema do mal e da conciliação, mas ele é tratado em diversas de suas obras, principalmente na “Fenomenologia do espírito”, “Lições sobre a filosofia da história” nos cursos berlinenses de 1821, 1824, 1827 e 1831, compilados na obra “Lições sobre filosofia da religião”. O mal está entrelaçado com o livre arbítrio (Willkür). Schelling investiga a questão do mal em muitas de suas obras, mas esta tese se centraliza em “Filosofia e religião” (1804), “Investigações filosóficas sobre a essência da liberdade humana e os objetos a ela conexos” (1809) e “Preleções privadas de Stuttgart” (1810). Nessas obras, o mal está imbricado com as questões do fundamento, da liberdade e do livre arbítrio. A redenção humana se efetiva na relação amorosa do homem com Deus. O tema do mal, em Kierkegaard, é abordado, principalmente em “O conceito de angústia” a partir da perspectiva do observador psicológico que adentra na alma humana e ali analisa a possibilidade e a efetivação do mal (pecado hereditário) que acessa em cada indivíduo do mesmo modo como ingressara em Adão, isto é, por meio de um salto. O mal, portanto, se pressupõe a si mesmo. Nesse livro e na obra kierkegaardiana, percorre, do início ao fim, o indivíduo, categoria essencial no pensamento do filósofo dinamarquês. O homem, como indivíduo que é, diante de Deus é sempre culpado. É responsável, por tanto, pelo bem e pelo mal que faz. Sua tarefa será a de edificar-se a partir do fundamento do amor. Nesses três autores, o mal é uma transgressão do homem à sua própria humanidade, transgressão à ordem que deveria ser harmoniosa e que será superada, essa transgressão, em Hegel, pela reconciliação, em Schelling e Kierkegaard, pelo amor que é a prática do bem.
This thesis aims to investigate the question of evil from hegelian, schellinguian and kierkegaardian’s vision, with main reference to the theme of the fall which presupposes an original state of happiness and perfection of human being in Paradise (Gen 3) ) and that was lost in view of transgression to the norm established by God not to eat of the fruit of the good and evil tree. To Hegel, there has never been such original state of happiness and, therefore, both good and evil must be studied from the perspective in which man is inserted, the universal history. The man, according to Hegel, is the spirit and as such, in his origin is still not what he should be because he has no self-consciousness, he is not known as a spirit, so in this record, he is bad, and should make his journey in history to make this, his duty to be, in duality good and evil, and reach the State of reconciliation. For Hegel, if want to stay under the metaphor of paradise, this is an achievement attained by man himself who rises from his state of animality to become effective as spirit. Hegel does not have a specific work on the subject of evil and conciliation, but it is treated in several of his works, most notably in "Phenomenology of Spirit," "Lectures on the philosophy of history" in the Berliners courses of 1821, 1824, 1827 e 1831, compiled in the book "Lectures about philosophy of religion." The evil is entwined with the free will (Willkur). Schelling investigates the question of evil in many of his works, but this thesis centers on "Philosophy and Religion" (1804), "Philosophical Investigations about the essence of human freedom and the objects related to it" (1809) and "Stuttgart private Lectures" (1810). In these works, evil is interwoven with the issues of the plea of freedom and free will. The human redemption is realized in the love relationship with God. The theme of evil, in Kierkegaard, is discussed, especially in "The Concept of Dread," from the perspective of psychological observer that enters in the human soul and there analyzes the possibility and realization of evil (inherited sin) that accesses on every individual in the same way as he started in Adam, i.e. through a jump. Evil, therefore, assumed to himself. In this book and in the Kierkegaardian works, it goes, from beginning to the end, the individual, essential category in Danish philosopher's thought. Man as an individual, in the presence of God is always guilty. He is responsible, consequently, for the good and for the evil that he does. His task will be to build from the basis of love. In these three authors, the evil is a transgression of the man to his humanity itself, transgression to the order that should be harmonious and that will be surpassed. This transgression, in Hegel, for the reconciliation, in Schelling and Kierkegaard, for the love that is the practice of the good.
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Di, Maio Francesco. "Saturazione ed eccedenza : il problema dello spazio nell’estetica e nella Naturphilosophie schellinghiane." Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2024. http://www.theses.fr/2024EHES0063.

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Abstract:
La présente thèse vise à analyser le problème de l'espace dans la production du philosophe allemand Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling, en mettant l'accent sur le rôle joué par cet élément dans la relation entre l'esthétique et la Naturphilosophie. L'espace se révèle être une réaction de la réflexion schellingienne à l'impossibilité de fonder une philosophie de l'histoire sur une base transcendantale. Ainsi, les éléments que notre analyse a porté sur la figure de la ruine et du paysage dans la première production du philosophe ; le problème des choses en soi par rapport à l'héritage d'Emmanuel Kant, en relation avec le réalisme, la cosmogénèse et la liberté de Dieu ; l'évolution du concept de χώρα tout au long de la production de Schelling, en relation avec le problème du mal ; la figure du Weltbaumeister, origine métaphorique de la conception de l'architecture comme musique gelée dans la Philosophie de l'art
This thesis aims to analyse the problem of space within the production of the German philosopher Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling, with a particular focus on the role played by this element in the relationship between aesthetics and Naturphilosophie. Space turns out to be a reaction in Schellingian reflection to the impossibility of founding a philosophy of history on a transcendental basis. Thus, the elements we have analysed are the figure of the ruin and the landscape in the philosopher's early production; the problem of things in themselves in relation to Immanuel Kant's legacy, in relation to realism, cosmogenesis and the freedom of God; the evolution of the concept of χώρα throughout Schelling's production, in relation to the problem of evil; the figure of the Weltbaumeister, the metaphorical origin of the conception of architecture as frozen music in the Philosophy of Art
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Namba, Janaina. "Expressão e linguagem: aspectos da teoria freudiana." Universidade Federal de São Carlos, 2010. https://repositorio.ufscar.br/handle/ufscar/4802.

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Abstract:
Made available in DSpace on 2016-06-02T20:12:19Z (GMT). No. of bitstreams: 1 5517.pdf: 2939809 bytes, checksum: 8eaa0095527bc6ab7198d67022872090 (MD5) Previous issue date: 2010-03-09
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The aim of this work is to examine some of the psychic aspects of the process of acquisition of verbal language in the theory of Freud. In a psychoanalytical perspective, this process takes place in the individual itself as well as in culture as a whole. Accordingly we examine it in its different stages, up to the point when the individual has acquired the use of verbal language. Even then, traces can be located of the process that led to language as such in verbal wit, in works of art, and in psychoanalytic therapy as conceived by Freud. Special emphasis is given to the mutual dependence, stated by Freud, between the physiological and psychological processes involved in the formation of language. Given that for Freud language arises in the individual at a moment when consciousness and the unconscious are yet to be completely separated from each other, it is only natural that he conceives the mechanisms that operate in grammatical languages to be absent and the symbols of expression to signify nothing beside themselves. Freudian conception of primeval language can then be said to be symbolic in the strong, philosophical acceptation of the term, as defined by Schelling: in this transitory form of language, words are not signs of conceptions nor do they point to external things, they are rather taken as things in themselves, complete and independent from all external reference. For Freud, their use prepares the individual for the advent of indirect, allegorical use of words that is typical of languages in their plain, grammatical form. But symbolic language does not disappear completely and without trace from the psyche, once verbal language has settled. Verbal wit, works of art, psychoanalytical therapy are instances of the permanence of the symbolic use of words in the realm of culture, and are as such to be taken as means of access to the unconscious.
Este trabalho tem como propósito apresentar alguns aspectos psíquicos do processo de aquisição da linguagem verbal na teoria freudiana. Abordamos esse processo no indivíduo e na cultura, bem como a retomada de aspectos psíquicos envolvidos nessa aquisição, quando a linguagem verbal já se consolidou, por meio do chiste, da obra de arte e da clínica psicanalítica freudiana. Ao tomarmos os processos psíquicos como encadeados e em situação de dependência dos processos fisiológicos, temos que a aquisição da linguagem faz parte de um processo de tradução dos estímulos incidentes no sistema nervoso, até a representação psíquica desses estímulos sob a forma de ligação entre representações-coisa e representações-palavra. Na primeira tópica da teoria freudiana, o aparelho psíquico é composto por diferentes sistemas e o processo de aquisição da linguagem ocorre justamente no período em que consciência e inconsciente ainda não se encontram completamente diferenciados. Indicamos esse período como sendo um período simbólico conforme a concepção schellinguianna de símbolo. Desse modo a linguagem erigida nesse período é chamada por nós de linguagem simbólica. Uma linguagem transitória em que palavras são tomadas como coisas e que abrange as características tanto consciência quanto do inconsciente, até que sobrevenha a ligação entre representações-coisa e representações-palavra e haja uma total separação entre os sistemas. O chiste, a obra de arte e a sessão analítica seriam situações em que esse período é retomado por haver, nessas situações, uma suspensão da barreira da censura e, como que, um mergulho da consciência no inconsciente.
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Cerutti, Patrick. "Spéculation et expérience : Schelling au miroir de Jacobi." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040007.

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Abstract:
" Les meilleurs ennemis du monde " : c'est ainsi que Jacobi, la conscience inquiète et socratique de l'idéalisme allemand, définit le rapport qui l'unit à Schelling. La critique sévère qu'il a adressée à la science de l'Absolu schellingienne et à toute la pensée issue de Kant, agit comme un révélateur d'une des tendances les plus profondes de la philosophie moderne. L'accusation de nihilisme qu'il a portée contre les doctrines de l'Un et du Tout remet en cause l'ambition même du postkantisme : assurer à la philosophie son statut de science. Son oeuvre a pourtant pu passer pour la principale inspiratrice des systèmes qu'il combat et son mot d'ordre, manifester l'existence, est peut-être encore celui qui guide Schelling lorsqu'il édifie sa fameuse philosophie positive. Celui-ci parvient-il finalement à étayer sa critique du rationalisme sur autre chose qu'un recours au non-savoir que lui-même juge seulement négatif et à donner à sa pensée une forme affirmative et dogmatique ?
" Best enemies of the world " : this is how Jacobi – the worried and Socratic consciousness of the German idealism, defines the link that units him to Schelling. The severe criticism he made to the schellingian science of Absolute and to the postkantian philosophy, acts as a developper of one of the deepest trends of modern philosophy. Nihilism accusation he brings against the doctrines of the One and All questions postkantism's ambition, which is to secure philosophy its scientific status. Nevertheless its work could have been the main inspiration of systems he fights against and his motto " to reveal existence " is still maybe the one which leads Schelling when he builds his famous positive philosophy. Did the former finally achieved to support his criticism of rationalism on the ground of something else than a recourse to non-knowledge and give to his thinking an affirmative and dogmatic aspect ?
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Mbele, Charles-Romain. "Mythologie et processus théogonique : examen de la question monothéiste dans la pensée africaine moderne au miroir du dernier Schelling." Paris 1, 2000. http://www.theses.fr/2000PA010704.

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Abstract:
Notre travail se propose d'interroger d'un point de vue philosophique l'idée d'une foi monothéiste originelle introduite par l'ethno-philosophie, un aspect de la théologie missionnaire, dans les débats philosophiques africains modernes. Ce courant de pensée part de cet a priori métaphysique tout en refusant de le problématiser par son adhésion à la vision africaine découverte - du fait de son africanité. Par ses choix méthodologiques et la stérilité de ses catégories (méthode linguistique comme mode d'accès privilégié à la culture et à la pensée africaines, philosophie servante de la théologie, retro-jection dans la tradition de croyances objectivement étrangères, etc. ), l'ethno-philosophie a acculé à de multiples impasses la réflexion philosophique africaine moderne. Aussi, en contrepoint de l'approche de Tempels et de Kagame - coryphees de l'ethno-philosophie - des penseurs africains refusent tout questionnement des mythes et de l'idée de Dieu : c'est le cas de P. Hountondji - par agnosticisme et par scientisme "épistémologiste" - et de F. Eboussi - par apophase. Pour sortir de ces apories, notre approche est archéologique : remonter aux lieux de genese des thèses de l'ethno-philosophie dans la théologie, la métaphysique traditionnelle, la philosophie et l'ethnologie religieuses du siècle dernier et du début de ce siècle, le courant de la négritude que l'ethno-philosophie voulait circonvenir. C'est le dernier schelling qui nous donne cette archéologie. En remontant à la philosophie positive, nous trouvons un axe philosophique pour saisir conceptuellement des questions apparemment disparates, afin de les reformuler. Le philosophe allemand circonscrit dans la théorie de l'émanation de F. Creuzer les difficultés et les incohérences théologiques et philosophiques de la révélation d'une foi monothéiste originelle, essentiellement le caractère négatif de ses concepts (dégénérescence, dégradation, effritement, déchéance, obscurcissement, etc). Il en trouve aussi les fondements dans l'idée du Dieu immuable de la métaphysique traditionnelle, à laquelle il oppose l'idée d'un "Dieu à venir", qui se "révèle". Dès lors l'existence, comme procès progressif, se détache pour se différencier d'un "fond" unilatéral qui est sa réserve et sa ressource permanentes, donnant au sujet individuel ou historique plus de richesse qu'il n'en a explicitement.
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Niemoczynski, Leon Jon. "The Sacred Depths of Nature: An Ontology of the Possible in the Philosophy of Peirce and Heidegger." OpenSIUC, 2009. https://opensiuc.lib.siu.edu/dissertations/298.

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Abstract:
This dissertation carries out a study of the American pragmaticist C.S. Peirce and constructively applies his thought to a religious understanding of nature called "ecstatic naturalism," a philosophy developed by Robert S. Corrington that conjoins American pragmatism and Continental phenomenology. In this project I explore how the modality of possibility functions in the disclosure of a "divine life," that is, the life of a developing cosmos taken to be sacred in its continual processes of evolutionary growth and transformation. Possibility, found in Peirce's category of experience known as "Firstness," provides organisms with the ontological conditions required for any immediately felt qualitative experience--experience that is the site for potential religious experience. "Religious" experience here means the ecstatic contraposition of finite being before "infinite" being. I consider infinite being first as an honorific sheer availability of being (potential or possible being: becoming) and then in terms of how inquiry may reveal nature to be an encompassing infinite that locates and situates finite organisms. It is my thesis that, as it is found in Peirce's category of Firstness, possibility serves as a ground for the disclosure of this infinite, "the divine life," by enabling its presence to come forward as a feeling of the sacred-- a feeling found when inquirers muse over nature and establish beliefs about the universe in which they are situated. To the end of making these claims more concrete, I draw on figures such as the German existential phenomenologist Martin Heidegger, and the German idealist F.W.J. Schelling so as to identify how possibility may serve as a ground (Abgrund) for divine disclosure, and to identify understandings of existence that take nature to be a sacred life of φύσις (phusis), dynamically revealing and concealing before finite and situated organisms.
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Galland-Szymkowiak, Mildred. "Présence de l'absolu : le problème esthétique du symbole et ses enjeux philosophiques dans les systèmes postkantiens (Schelling, Solger, Hegel)." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040041.

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Abstract:
La thèse étudie le paradoxe du symbole dans les métaphysiques de l'art postkantiennes de Schelling, K. W. F. Solger et Hegel. Ce paradoxe consiste dans la nécessité de comprendre, dans l'œuvre d'art, à la fois la manifestation immanente de l'idée et sa transcendance par rapport à la réalité existante. La thèse explore les solutions trouvées par les trois auteurs à ce problème, à partir du fil conducteur constitué par la question du rapport de l'absolu à l'existence temporelle. Elle met en valeur l'originalité de l'idéalisme de Solger, dont le contenu est spéculatif mais le point de départ, existentiel. Après avoir déterminé le rapport entre art et philosophie comme question de l'existence de l'œuvre (I), on s'interroge sur la temporalité propre au symbolisme (II), puis sur la question du rapport de l'absolu au temps dans l'individu artistique (III) et dans l'imagination symbolisante (IV) ; on pose enfin la question d'une forme artistique de la philosophie elle-même, dans le dialogue (V)
This PhD analyses the paradox of symbol in the post-Kantian art metaphysics of Schelling, K. W. F. Solger and Hegel. This paradox lies in the necessity of understanding, in a work of art, both the immanent manifestation of the idea and its transcendence to existing reality. The PhD deals with the answers to such a problem offered by the three philosophers, following the main thread of the link between the absolute and temporal existence. It highlights the originality of Solger's idealism, which has a speculative content, but an existential starting point. After having determined the relationship between art and philosophy as the question of a work of art's existence (I), we will question the temporality of symbolism (II), then the link between absolute and time in artistic individuals (III) and in imagination (IV) ; we will eventually work on the question of an artistic form of philosophy itself, in dialogues (V)
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Williams, Sean 1980. "Silence and phenomenology: The movement between nature and language in Merleau-Ponty, Proust, and Schelling." Thesis, University of Oregon, 2010. http://hdl.handle.net/1794/10917.

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Abstract:
viii, 189 p. A print copy of this thesis is available through the UO Libraries. Search the library catalog for the location and call number.
The question of the present study concerns the relationship between language and nature as it has been taken up in the history of Western philosophy. The goal of this study is to show how language and nature are held together by thinking the transition between them, through the figure of silence. I will show this by drawing primarily on the work of Merleau-Ponty, who, as a phenomenologist expressly concerned with the senses, the body, and language, attempted to describe and understand the passage between language and nature in a manner that could maintain their ontological continuity. Silence was the hinge of this passage, in which language, in its emergence from the silence of nature, turns back to disclose nature as already expression. Merleau-Ponty's late interrogation into how philosophical language might both emerge from and return to silence turned on the example of Proust's literary language. This study will also draw on Proust's meta-novelistic awakening to his literary calling, as it is recounted near the end of Le Temps Retrouvé, which discusses explicitly how Proust's language makes a turn through silence in order to emerge as literature. This provides an example of the emergence which Merleau-Ponty describes. I will then make the case that Merleau-Ponty's late philosophy can be read as the thinking of being as nature, and that it begins to think how language roots human beings in nature as it blossoms out of nature's soil. I will show how Merleau-Ponty repeats a structure of thought traversed by Schelling in his essay on freedom, which will further show how philosophical attention to language discloses nature as a radical excess. Finally, I will discuss how the negotiation between language, nature, and silence, as it is practiced by Merleau-Ponty, Proust, and Schelling, is another turn in a long story of the human place in language and in nature, a story which is at least as old as the mythical thought of ancient Greece.
Committee in charge: Peter Warnek, Chairperson, Philosophy; Naomi Zack, Member, Philosophy; Ted Toadvine, Member, Philosophy; Jeffrey Librett, Outside Member, German and Scandinavian
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Ruta, Marcello. "La deuxième voie du post-kantisme : temporalité et éternité dans la philosophie de Schopenhauer et Schelling." Strasbourg, 2010. https://publication-theses.unistra.fr/public/theses_doctorat/2010/RUTA_Marcello_2010.pdf.

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Abstract:
La thèse est structurée en quatre chapitres : un premier chapitre, dans lequel on essaie de reconstruire une bibliographie sur Schopenhauer et Schelling. Comme on le montrera, ces deux auteurs ont été toujours mis en relation presque instinctivement, à cause d’une certaine affinité terminologique (par exemple l’utilisation de la notion de volonté) et de l’irrationalisme qui, à partir au moins de Windelband, leur a été imputé. Nonobstant tout cela, il n’y a pas une riche bibliographie où la relation entre les deux auteurs est analysée en profondeur. La situation change depuis quelques années seulement, changement qui a trouvé dans le congrès tenu a Fribourg sous la direction de L. Hühn en 2005 son expression accomplie. Un deuxième chapitre où on analyse la relation entre temporalité et éternité dans les pensées de Kant et Hegel : ce chapitre est décisif pour ce qui concerne la thèse historico-philosophique du travail, parce que c’est ici qu’on fonde l’hypothèse d’une deuxième (non hégélienne) voie du post-kantisme. Les deux derniers chapitres analysent la relation entre temporalité et éternité dans les pensées de Schopenhauer et Schelling. Dans ce dernier cas, on a pris en compte la production médiane de Schelling (de 1809 à 1821). Le travail se clôt par une conclusion qui résume le contenu du travail
The thesis is divided into four chapters : a first chapter, which attempts to reconstruct a bibliography on Schopenhauer and Schelling. As it will be shown, these authors have always been linked almost instinctively, because of a common terminology (e. G. . By using the concept of Will) and the irrationalism that labelled their thoughts, at least since Windelband. In spite of all that, there is not a rich bibliography where the relation between the two authors is deeply analysed. The situation changed only in recent years, a change that has found in the congress held in Freiburg under the direction of L. Hühn in 2005 its full expression. A second chapter, which explores the relationship between temporality and eternity in the thoughts of Kant and Hegel : this chapter is decisive in relation to the historical-philosophical thesis of the work, because it is here that the hypothesis of a second (non-hegelian) way of post-kantianism is founded. The last two chapters discuss the relationship between temporality and eternity in the thoughts of Schopenhauer and Schelling. In the latter case, we took into account the median production of Schelling (from 1809-1821). The work ends with a conclusion which summarizes the content of work
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Renault, Emmanuel. "Philosophie de la nature et théorie des sciences chez Hegel : principes généraux et application à la chimie." Dijon, 1997. http://www.theses.fr/1997DIJOL001.

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Abstract:
La première partie de cette thèse tente de déterminer le sens et les modalités du rapport de la philosophie hégélienne aux sciences de la nature. La philosophie hégélienne de la nature est le lieu d'une confrontation de la rationalité philosophique et de celle des sciences positives. Elle permet donc de préciser la manière dont Hegel conçoit la "scientificité" de la philosophie (chapitre 1 et 2) et celle des sciences positives (chapitre 3). De la nature de ces deux formes de scientificité, il résulte notamment que le système doit entretenir avec les sciences un rapport de fondation, et que la fondation des sciences de la nature doit prendre la forme spécifique d'une "philosophie de la nature". La seconde partie procède à la fois à une application et à une confirmation des thèses soutenues dans la première partie, à l'occasion de l'analyse de la fondation d'une science particulière: la chimie. Elle montre que le propos hégélien se réfère préférentiellement à une science dynamiste qui trouve ses principes chez Kant plutôt que chez Schelling, qu'il est indissociable d'une intervention dans les débats des différents courants de la chimie de l'époque, et que la forme "philosophie de la nature" est la forme appropriée à une intervention respectueuse de l'autonomie et de l'organisation du savoir des sciences positives (chapitre 4-8)
Philosophy and sciences are connected together in Hegel’s philosophy of nature. This thesis tries to understand the nature of this connection and to stress its outcomes about the interpretation of the Hegelian system. This connection makes possible to clarify what is the "scientificity" of philosophy (chapters 1 and 2) and the scientificity of sciences of nature (chapter 3). By this mean, one can show that, according to Hegel, philosophy and sciences must be interrelated by a fondation-relation, and that this fondation-relation must take the specific form of a philosophy of nature. That is what one is trying to confirl with the example of the chemistry of the time (chapters 4-8). Philosophy of nature appears as a method appropriate both to the intervention in scientific debates and to the respect of the autonomy and organisation of the scientific knowledge. And it seems that this method had led Hegel to a relevant fondation of the dynamist chemistry of his time
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Grosos, Philippe. "Système et subjectivité : étude sur la genèse et la disparition du concept de système." Paris 10, 1994. http://www.theses.fr/1994PA100169.

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Abstract:
Ce travail consiste en une analyse des raisons de la genèse et de la disparition du concept de système en philosophie. Prenant appui sur le constat, relayé par Heidegger, de l'absence de revendication présente de cette configuration singulière du savoir, il en reformule l'exigence première afin de comprendre ce que métaphysiquement elle a pu engager, et ce qui progressivement aura pu en elle paraitre intenable. La première partie dégage une structure formelle du système commune à l'ensemble des penseurs de l'idéalisme allemand, de 1789 à 1800, et dès les premiers post-kantiens. Or cette systématicité, même à s'appuyer sur la subjectivité, reste trop extérieure à la chose-même, si bien que ces deux concepts n'apparaissent que comme des conditions de possibilités du système, non comme ses conséquences. La seconde partie, s'appuyant sur l'analyse de Heidegger, reprend le questionnement en dégageant le sens ontologique. Ainsi le système est-il une ontologie de la présence à soi absolue, que l’hégélianisme accomplit sans réserve. La troisième partie, en un premier moment, montre qu'au sein de l'idéalisme allemand, les considérations théologiques de Fichte et de Schelling ont progressivement mené a un retrait de l'ontologie de la présence, et donc du système. En un second moment, elle insiste sur la critique proprement phénoménologique qu'en fait Heidegger, et ouvre à une philosophie hors-système
This work is an analysis of the reasons for the genesis and disappearance of the concept of system in philosophy. Starting first from the fact that as Heidegger had noticed - this particular form of knowledge is nowhere claimed today, it reformulates its primary exigencies, in order to understand what it may have involved metaphysically and what may afterwards have appeared progressively untenable. The first part deliveates a formal structure of the system common to all the thinkers who built German, idealism, from 1789 to 1800, and from the first pre-Kantians onwards. Now this systematicity, even when it leans on subjectivity, remains too exterior to the thing by itself, so that these two concepts appear only as conditions that render the system possible, not as its consequences. The second part, relying on Heidegger’s analysis, resumes the search and brings out its ontological meaning. In this light, the system is ontology of the absolute presence to itself, which is accomplished unreservedly by Hegelianism. The third part, in first stage, shows that within German idealism the theological reflections of Fitche and Schelling gradually led to a retreat of the ontology of presence, and therefore of the system. In a second stage, it dwells on Heidegger’s properly phenomenological critique, and paves the way for a philosophy beyond any system
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Laudou, Christophe. "L'esprit des systèmes : les conditions subjectives de développement de l'idéalisme allemand." Dijon, 1995. http://www.theses.fr/1995DIJOL011.

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Abstract:
Comment produit-on un système du savoir absolu? Le présent travail aborde cette question en analysant le rapport du sujet à sa parole, tel qu'il se présente dans l'idéalisme allemand : il s'agit, à partir d'une phénoménologie de la prise de parole, d'éclairer le devenir des systèmes postkantiens. Les quatre premiers chapitres tentent de dégager leurs conditions de production : l'idéalisme allemand trouve dans Spinoza une certaine conception du sujet, celle de la négation de la différence, qui s'oppose à la figure cartésienne du sujet porte-parole, et en fait la clé de voute d'un système entendu comme discours de l'institution, l'espace de parole du savoir absolu supposant de mettre le sujet a la place du mort. Les chapitres cinq à huit tentent de rendre compte du premier état du système de Fichte, Schelling et Hegel, et les chapitres neuf à dix esquissent leur évolution. L'impossibilité d'introduire dans le discours ce qui est soustrait par l'entrée dans la parole semble expliquer l'inachèvement de l'entreprise de Fichte et de Schelling et le hiatus qui subsiste chez Hegel entre le système et sa phénoménologie
How do we build a system of absolute knowledge? The present research tries to answer that question analyzing the subject speech relationship as seen in the systems of German idealism, which means highlighting the evolution of post-Kantian systems thanks to a phenomenology of speaking-up. The first four chapters try to make out the conditions of production of these systems : German idealism find in Spinoza certain conception of subject as negation of the difference, which is opposed to the Cartesian scheme of a word-bearer subject, and become the key-stone of the system seen as the institution-speech, the space of speaking of absolute knowledge impling putting the subject on the dead's place. Chapters five to eight try to give an account of the first state of Fichte, Schelling and Hegel’s system, chapters nine and ten give a hint of their evolution. The impossibility of introducing in the speech what is substracted by the speaking-up seems to explain the incompletion of Fichte and Schelling’s purpose and the discrepancy which still exists between Hegel’s system and its phenomenology
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Steinbrecher, Tal. "L' historicisation de la théodicée." Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2009PA010695.

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Abstract:
Dans ses cours sur la philosophie de l'histoire du monde Hegel affirme que l'objet des cours, la philosophie de l'histoire du monde, n'est autre que la théodicée leibnizienne qu'il convient de rendre concrète. Le point de départ de notre recherche se trouve dans cette récupération étonnante. Nous cherchons a comprendre les liens unissant le projet leibnizien et la philosophie hégélienne, un lien qui excède Ie simple cadre de la philosophie de l'histoire du monde. Notre thèse cherche a montrer que, bien au-dela de la philosophie de l'histoire, l'ensemble du dire hégélien obéit à une logique théodicéenne, c'est à dire une logique qui place en son cœur l'idée d'une réconciliation avec le mal, à travers la justification rationnelle de ce dernier. La théodicée, chez Leibniz comme dans la récupération hégélienne, est alors une logodicée, justification de la raison, malgré le mal présent dans le monde. Nous cherchons, par-delà Hegel, si ce lien entre la pensée de l'histoire et la justifIcation du mal se rencontre dans les grandes philosophies contemporaines de l'histoire. Nous voulons montrer que la pensée marxienne peut également être considérée comme une tentative allant dans un sens théodicéen, puisant ses racines dans le projet leibnizien. En ce qui concerne Schelling, toutefois, notre thèse montre que la radicalisation du projet théodicéen autour d'une philosophie historique menace ce lien, et met ainsi un terme à l'aventure de la théodicée leibnizienne, dans sa rencontre avec la philosophie de I 'histoire.
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Gagnon-Montreuil, Laurence. "Le système de la liberté et la métaphysique du mal dans les Recherches de 1809 comme aboutissement de la réflexion sur le problème de la différence chez F.W.J. Schelling." Master's thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26499.

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Abstract:
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2015-2016
Le présent mémoire a pour objet la métaphysique du mal sous-jacente au système de la liberté élaboré par Schelling en 1809 dans son dernier traité intitulé Recherches philosophiques sur l’essence de la liberté humaine et les sujets qui s’y rattachent. Il sera question, dans un premier temps, pour pouvoir aborder ces Recherches dans leur juste perspective, d’une reconstruction du problème de l’identité de l’identité et de la différence basées sur les principaux textes de la philosophie de l’Identité de Schelling, et ce dans la mesure où ce problème sous-tend les enjeux liés au système de la liberté. Dans un second temps, nous aborderons le système de la liberté en montrant que la différence finie est pensée en 1809 comme liberté humaine pour le bien et pour le mal. Cette détermination de la différence nous acheminera enfin, dans un troisième temps, vers la métaphysique du mal que Schelling conçoit alors comme une théodicée. L’enjeu sera dès lors de rapporter cette différence, la liberté humaine comme pouvoir du bien et du mal, à l’Identité, au système, à Dieu.
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Carneiro, Rogério de Oliveira. "Sobre Lukács a partir de sua interpretação n A Destruição da Razão." Universidade Federal de São Carlos, 2008. https://repositorio.ufscar.br/handle/ufscar/4830.

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Abstract:
Made available in DSpace on 2016-06-02T20:13:07Z (GMT). No. of bitstreams: 1 1716.pdf: 531315 bytes, checksum: 80ad12e3b9add2d71c45a8170d033728 (MD5) Previous issue date: 2008-02-27
In the Destruction of Reason, from 1953, Georg Lukács plays several thinkers as philosophics idealizers of german way to Hitler. This work has as purpose to show such reading as a mistake. Another moment, through a deviation about the Hungarian author s trajectory, shows also that there is a transformation in the writing style after his convertion on the communist party in 1918, wich emphasires mainly after the thirties, in it s soviet period. On the other hand, shows also that during Lukács last years there is an effort to revise mistakes of the past
Em A Destruição da Razão, de 1953, Georg Lukács interpreta diversos pensadores como idealizadores filosóficos do caminho alemão até Hitler. Este trabalho tem por objetivo mostrar tal leitura como um equívoco. Noutro momento, através de uma digressão sobre a trajetória do autor húngaro, mostra também que há uma transformação no estilo da escrita após sua conversão ao partido comunista em 1918, que se acentua principalmente após os anos 30, em seu período soviético. Por outro lado, mostra também que nos últimos anos de vida de Lukács há um esforço para corrigir os erros do passado
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Gomes, Figueiredo Pedro Teresa Alexandra. "Critique et science : étude sur la transformation du criticisme dans les premiers écrits de F. W. J. Schelling." Thesis, Paris 4, 2009. http://www.theses.fr/2009PA040264.

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Abstract:
La présente thèse s'interroge sur le statut de la pensée du jeune Schelling en tant que philosophie postkantienne : s’agit-il d’une philosophie qui revient en-deçà des acquis de la philosophie critique kantienne, comme plusieurs lectures le laissent entendre, ou s'inscrit-elle, comme elle le prétend, dans les possibilités ouvertes par le criticisme? Et si c'est le cas, dans quelle mesure cette philosophie s'inspire-t-elle de la philosophie kantienne? A travers ces questions, ce travail se propose de faire une lecture des premiers écrits de l’auteur (1794-1800) à partir de la réélaboration et de la réappropriation du criticisme qui sous-tend le projet schellingien de philosophie en tant que « science ».Cet axe de lecture nous a permis de montrer, d'une part, que le rapport de la philosophie de Schelling avec la philosophie kantienne a un rôle opératoire dans la maturation du projet philosophique propre à Schelling et, d'autre part, que l'évolution de la pensée schellingienne dans sa première philosophie se comprend à partir d'une réflexion sur sa propre possibilité et que, en ce sens, la philosophie de Schelling est bien une philosophie postkantienne. C'est à partir de la question du rapport entre la philosophie comme « science » et le questionnement critique sur les conditions de possibilité de notre connaissance que nous tentons d’élucider le motif de la révolution philosophique chez le jeune Schelling. Puisqu’il y va de conception que l'on se fait de la tâche philosophique elle-même, le fil directeur de ce travail est la reformulation par Schelling de la question kantienne de la possibilité des jugements synthétiques a priori et la remise en chantier qu'il propose de la conception de l’unité de la raison comme raison théorico-pratique
The thesis examines the status of the young Schelling’s thought as a post-Kantian philosophy: is it a philosophy which falls back behind the gains of Kantian critical philosophy, as some readings suggest, or is it a philosophy which, as Schelling himself claims, takes up possibilities opened by criticism? If the latter, to what extent does this philosophy inspire itself from Kantian thought? Through these questions, this work intends to give a reading of Schelling’s first writings (1794-1800) focusing on the reelaboration and the reappropriation of criticism at the base of his project of philosophy as « science » . It is shown through this line of interpretation, first, that the relation of Schelling’s philosophy to Kant's plays a vital role in the later development of his philosophical project and, second, that the evolution of Schelling's thought in his early philosophy can be understood as a reflection on its own possibility. In this sense, Schelling’s philosophy is indeed a post-Kantian philosophy. The motives for the young Schelling’s philosophical revolution are elucidated by investigating the relation between a philosophy as « science » and the critical inquiry into the conditions of possibility of our knowledge. Since this concerns the task of philosophy itself, the guiding theme of this study is Schelling’s reformulation of the Kantian question about the possibility of synthetic a priori judgments as well as his reworking of the concept of the unity of reason as theoretical and practical reason
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Authier, Raphaël. "Concevoir l’historicité. L’histoire et les différentes formes de temporalité chez Hegel et Schelling." Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL047.

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Abstract:
La « philosophie de l’histoire » de l’idéalisme allemand, si l’on entend par là un ensemble de thèses permettant de découvrir un sens de l’histoire, a fait l’objet de nombreux travaux, en particulier celle de Hegel. Mais la réflexion des penseurs idéalistes sur l’histoire ne s’est pas limitée à l’interprétation des événements historiques passés. Une large part a consisté au contraire à élaborer un concept d’histoire dont l’extension ne se limite pas aux transformations sociales et politiques des groupes humains (mais qui concerne l’ensemble des productions humaines, voire la nature elle-même), et dont la compréhension ne recoupe pas l’usage de cette notion dans la conscience commune. Il nous a semblé que l’originalité de Hegel et de Schelling résidait notamment dans la richesse qu’ils attribuent à ce sens ontologique de l’histoire (conçue comme Geschichte et non comme Historie). Notre travail a consisté à interroger précisément la manière dont Hegel et Schelling ont élaboré un tel concept, qu’il vaudrait mieux qualifier d’événementialité ou d’historicité, pour le distinguer de la connaissance ou du récit de ces événements. Nous avons proposé ainsi de clarifier le sens du concept d’histoire par une comparaison des différentes formes de temporalité (temps naturel, temps de la conscience, histoire, durée, éternité) et de leur rôle respectif dans les systèmes de Hegel et de Schelling, de façon à souligner le caractère central du problème de l’historicité au sein de ce corpus, et à suggérer de quelle façon sa compréhension a déterminé le positionnement ultérieur des philosophes « post-idéalistes » (de Marx et Kierkegaard à l’idéalisme britannique ou à l’École de Francfort)
Many scholars have treated the “philosophy of history” developed by German idealists as a set of arguments designed to find a purpose in history. Yet the idealist thinkers did not limit their investigation to the interpretation of past historical events. On the contrary, a significant part of their work is dedicated to outlining a concept of history that is not limited to social and political transformations affecting human groups, but instead includes the totality of humanity’s creations, and even nature itself. This concept of history differs, sometimes radically, from how the term “history” is, and has been commonly understood. The source of the difference is Hegel and Schelling’s focus on such a rich ontological meaning of the notion of history (taken as Geschichte, as opposed to Historie). This thesis traces how Hegel and Schelling developed this concept, which might be more aptly characterised as historicity, to distinguish it from the knowledge or the chain narration of past events. It thus clarifies the meaning of the concept of history by comparing different forms of time (natural time, psychological time, history, duration, eternity) and their respective roles in Hegel’s and Schelling’s systems. This comparison is intended to underline the centrality of the problem of historicity in German idealism, and to suggest how its understanding has shaped the development of “post-idealist” European philosophy (from Marx and Kierkegaard to British idealism or to the Frankfurt School)
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Lemaitre, Jean-Christophe. "La structure duale de l'identité dans la première philosophie de F.W.J. Schelling : monisme et subjectivité." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040253.

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Abstract:
Ce travail se propose d’analyser la philosophie de Friedrich Wilhelm Joseph Schelling à travers le prisme de la notion d’identité. Il s’agit de mesurer l’originalité de notre auteur, qui consiste, à notre sens, dans la volonté de penser l’identité autrement que comme une simple identité logique ou mathématique, sans pour autant inclure d’emblée la différence dans l’identité, ni dépasser la sphère de l’identité vers un autre domaine de problématicité. Une telle ambition semble commander de prendre en considération les œuvres de Schelling s’échelonnant entre 1801 et 1806 et constituant ce que les commentateurs ont caractérisé comme sa « philosophie de l’Identité ». Or c’est sur la période immédiatement antérieure, celle allant de 1794 à 1800, que nous avons décidé de porter notre attention. En effet, il apparaît que la préoccupation de Schelling pour une pensée de l’unité et de l’identité trouve son origine dans une réflexion portant sur le statut du sujet, tel qu’il se dégage de la pensée critique inaugurée par Kant et poursuivie par Fichte. C’est à la compréhension de cette articulation entre réflexion sur la subjectivité et ambition ontologique de type moniste qu’est consacrée notre thèse. La confrontation précise entre la pensée du jeune Schelling et celle de Kant nous est apparue comme cruciale pour comprendre comment une pensée de l’unité de la totalité pouvait se fonder sur la philosophie critique. En adoptant une méthode génétique, nous avons dégagé deux modèles de l’identité : l’identité-ipséité (première partie) et l’identité-harmonie (deuxième partie). Notre propos s’achève alors sur la possibilité d’une articulation systématique de ces deux modèles, afin de saisir l’originalité du monisme schellingien, et, ce faisant, la possibilité d’une pensée moniste intégrant en son sein la subjectivité
The purpose of this work is to analyse Friedrich Wilhelm Joseph Schelling's philosophy through the prism of the notion of identity. The issue at stake is to gauge the originality of the author. It is our contention that such originality lies in his determination to perceive the notion of identity as something that cannot be reduced merely to logical and mathematical identity, without including the concept of difference right from the start in that of identity, and without going beyond the sphere of identity so as to reach another field of problematicity. With this purpose in mind, it appears clearly that it is compulsory to take into account those of Schelling's works published between 1801 and 1806, which form what commentators have called his « philosophy of Identity ». Now we have deliberately chosen to survey instead the period immediately prior to that one, that is to say the years from 1794 to 1800, for it seems to us that Schelling's focus on how to ponder unity and identity stems from his study of the status of the subject, as this status had already been analysed in Kant's critical theory, first, and afterwards in Fichte's works. Our doctoral dissertation is devoted to the analysis of the connection between subjectivity, on the one hand, and an ontological framework of the monist kind, on the other hand. Confronting young Schelling's thought to Kant's has seemed to us crucial in our quest to understand how a philosophical system based on unity could take Kant's criticist philosophy as its stepping stone. We have adopted a genetic approach so as to uncover two patterns of identity: identity as ipseity (first part of our dissertation) and identity as harmony (second part). As our dissertation comes to its close, it appears possible to see these two patterns as systematically interconnected. This allows us to fully grasp the originality of Schellingian monism and thereby, the possibility of a monist type of thought welcoming the idea of subjectivity
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Höfele, Philipp Manuel. "Vouloir et laisser : différenciation, critique et réception du paradigme de la volonté dans la philosophie de Schelling." Thesis, Strasbourg, 2018. http://www.theses.fr/2018STRAC014.

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Abstract:
Cette thèse étudie le développement du concept de volonté dans l’œuvre de F.W.J.Schelling et la place que ce concept occupe dans son "système" philosophique. Elle aborde également la réception de cette question par Martin Heidegger. Dans cette recherche, nous poursuivons de manière systématique un double objectif. D’une part, nous nous attachons à montrer que le paradigme de la volonté occupe un rôle tout à fait central dans la philosophie de Schelling, dans la mesure où il s’inscrit, de manière décisive, contre la tradition kantienne et fichtéenne, tradition qu’il prolonge en la modifiant. Mais d’autre part, il s’agit également de mettre en évidence le fait que, tout comme Heidegger, Schelling donne aussi à voir l’ambivalence du paradigme de la volonté en valorisant les motifs qui à la fois le fondent et le relativisent – tels que l’amour, le ‘non-vouloir’ ou encore la "Gelassenheit". Alors que ce qui le rapproche systématiquement de Heidegger et de sa critique de la modernité fait ressortir l’actualité de Schelling, nous pouvons cependant aller au-delà de ce parallèle et prendre acte d’une "valeur ajoutée" de la réflexion schellingienne sur la volonté
The dissertation examines the development of the concept of will in the work of F.W.J.Schelling and its systematic significance in his philosophical thinking. In addition, it treats the reception of Schelling’s thinking of will by Martin Heidegger. In this investigation, I pursue two objectives: on the one hand, I strive to show that the paradigm of will plays a central role in Schelling’s philosophy in that he further develops and differentiates it in a decisive way with respect to the tradition of Kant and Fichte. On the other hand, I emphasize that Schelling, much like Heidegger, reflects on the critical potential of the paradigm of will and asserts, as its corrective, motifs that found and relativize it – such as love, "unwillingness" and "Gelassenheit". Thus, while Schelling’s systematic proximity to Heidegger and his critique of modernity makes it possible to emphasize Schelling’s on going relevance, one can also recognize, beyond the similarities with Heidegger, the ‘added value’ of Schelling’s thinking of will
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Gourdain, Sylvaine. "Après le transcendantal : l’ethos de l’im-possible : Être, pouvoir et (im)possibilités chez Heidegger et Schelling." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040164.

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Abstract:
Ce présent travail entend montrer comment Heidegger, à partir de 1927, renonce progressivement à toute pensée transcendantale, afin d’élaborer la conception d’un ethos fondamental. Nous insistons dans cette évolution sur le rôle de sa lecture de Schelling et en particulier des Recherches philosophiques sur l’essence de la liberté humaine en 1936 (mais aussi en 1927/28 et en 1941), lecture elle-même à concevoir dans le prolongement de son interprétation de la Métaphysique Θ 1-3 d’Aristote en 1931. Le premier pan de notre étude décrit et retrace les différentes étapes de l’abandon du transcendantal jusqu’à la fin des années 1930 : du pouvoir-être transcendantal à l’indigence transcendantale (fin des conditions de possibilité), puis de l’être comme possible à l’être comme im-possible (découverte du pouvoir (δύναμις) inhérent à l’être et fin de toute possibilisation). Dans un second pan, nous développons une partie plus systématique qui se conçoit comme un dialogue – et non comme une comparaison – établi entre les pensées médianes et tardives de Heidegger et de Schelling. Nous décelons en cela une convergence entre les deux auteurs dans leur conception d’un ethos, qui désigne une manière de séjourner au monde reposant sur la correspondance (Ent-sprechung) entre l’amour serein de l’homme et l’élément originaire de l’amour (l’être dans un cas, le Seigneur de l’être dans l’autre). Cet ethos est un ethos de l’im-possible, dans la mesure où s’il advient, il ne se laisse ni prévoir, ni programmer et ne répond à aucun horizon d’attente. C’est en cela qu’il permet le laisser-être de tous les étants comme ce qu’ils sont en propre
In this dissertation I would like to show how Heidegger beginning in 1927 gradually distances himself from transcendental thought in order to work out the conception of a fundamental ethos. In this development in Heidegger’s thought I emphasize the role of his Schelling interpretation, specifically his lecture course on the Philosophical Investigations into the Essence of Human Freedom from 1936 (but also from 1927/1928 and 1941). This reading of Schelling can be understood in relation to his 1931 interpretation of Metaphysics Θ 1-3 of Aristotle. The first part of my investigation describes and sketches out the different stages within the abandonment of the transcendental until the end of the 1930s : from the transcendental ability-to-be to the « transcendental neediness » (the end of the conditions of possibility), and from Being as possible to Being as im-possible (the discovery of the capability (δύναμις) that underlies Being ; the end of any enabling). In the second stage of the investigation I develop a more systematic part as a dialogue – as opposed to a comparison – between the middle and late thought of Heidegger and Schelling. Through this dialogue I show a convergence of both philosophers in their conceptions of ethos : ethos is a habitation in the world, which is based on the « correspondence » between the released love of humans and the primordial element of love (which is on the one hand Being and on the other hand the « Lord of Being »). This ethos is an ethos of the Im-possible, because, if it occurs, it cannot be anticipated or planned out and it is not inscribed in any horizon of expectation. It thereby discloses the letting-be of beings as their own
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Dispersyn, Eléonore. "Kant, Fichte, Schelling: essai sur la nature du mal." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2006. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210810.

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Abstract:
Progression d'un concept, le mal radical, dans trois textes :La Religion dans les limites de la simple raison (Kant), Le système de l'Ethique (Fichte), et Le Traité de 1809 (Schelling). Origine ultime du mal :libre arbitre ou détermination ?Responsabilité et liberté du mal. Mal moral et métaphysique du mal/ Advance of a concept: radical evil, in three readings: Religion within the Limits of Mere Reason (Kant), System of Ethics (Fichte), and Treatise of 1809 (Schelling).Ultimate origin of evil: free will or determination? Responsibility and freedom to evil. Moral evil and metaphysics of evil.
Doctorat en Philosophie
info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Remy-Lacheny, Ingrid. "Etude des « Frères de Saint-Sérapion » d'E.T.A. Hoffmann : discours esthétiques et scientifiques." Thesis, Paris 3, 2009. http://www.theses.fr/2009PA030126/document.

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Abstract:
S’appuyant sur les théories esthétiques des frères Schlegel, de Novalis et de Schelling, ce travail s’attache à analyser les discours esthétiques et scientifiques dans Les Frères de Saint-Sérapion d’E.T.A. Hoffmann et à étudier dans quelle mesure et jusqu’à quel point l’écrivain se réapproprie les réflexions de ces premiers romantiques et s’en distancie. Confronté au philistinisme, aux malveillances d’autrui et à ses démons intérieurs, l’artiste sérapiontique poursuit un idéal tant social que psychique. Rêveurs, fous, enfants ou encore sous influence magnétique, les personnages hoffmanniens sont tous en quête de reconnaissance et d’identité. Polyformes, polymorphes et hétérogènes, centrés sur l’interaction artistique, le travail de création et la réception, Les Frères de Saint-Sérapion créent une sorte d’« œuvre d’art totale » avant la lettre où se mêlent aussi bien les sciences que les arts
Using the aesthetic theories of the Schlegel brothers, Novalis and Schelling, this thesis examines aesthetic and scientific discourse as it appears in E.T.A. Hoffmann’s The Serapion Brethren and considers to what extent Hoffmann appropriates early Romantic thought or distances himself from it. Faced with the philistinism and maliciousness of others and with his own interior demons, the Serapiontic artist pursues both a social and psychic ideal. Dreamers, madmen, children or those who are under the influence of magnetidm, Hoffmann’s characters are all seeking recognition and an identity. Polymorphous and heterogeneous, centered on artistic interaction and on the work of creation and reception, The Serapion Brethren is a type of ‘total work of art’ before its time in which the sciences and the arts come together
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Boss, Marc. "Le principe de l'autonomie chez Paul Tillich : ses sources kantiennes et post-kantiennes." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1999. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk1/tape10/PQDD_0004/NQ39337.pdf.

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"The significance of art in Schelling-primordial demand and final destination of reason." Thesis, 2009. http://library.cuhk.edu.hk/record=b6074759.

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Abstract:
Art is the final product of the system and the ground can gain a complete intuition of itself through works of art. Art therefore becomes the final destination of the system. Schelling thinks that only the works of art can completely unify thinking and reality, the infinite and the finite, the universal and the particular, the subjective and the objective, give equal respect to each opposing pole, completely reflect the original identity and fulfill the primordial demand. What Schelling in his philosophy of art reveals is that philosophizing or reflection is not sufficient to solve the ultimate questions asked by itself. Thinking or rationality is not the foundation of world and reality. In fact, thinking and reality are equally the products of the ground. Hence, it is unreasonable and one-sided to make any one product the dominant factor and even the first principle of the unification and the whole system.
Before Schelling, Kant has already placed aesthetics in a system of philosophy, but he is not genuinely concerned about the question of art. Schelling is the first philosopher who places art within a system of philosophy and endows art a paramount role in the system. For Schelling, at least in his early thinking, art is not only a necessary question in philosophy, but is also its very origin and final destination. This position is quite extraordinary to for philosopher. Why does Schelling, as a philosopher, make such claim? How can art become the origin and destination of philosophy and sciences? What is the true essence and significance of art? These are the major questions of this dissertation. Schelling's discourse on art in his System of Transcendental Idealism and Philosophy of Art will be explicated. In order to make Schelling's contention more apparent, the discussions on art in Hegel and the early German romantic such as Friedrich Schlegel, Holderlin and Novalis will be included as well.
From the discourse on art, we see that Schelling, who is known as a German idealist, pays much attention to the question of existence and gives much respect to reality as such. Hence, Schelling's intellectual identity is quite ambivalent and should be re-examined. The second major task of this dissertation is to deliberate whether Schelling is an early German romantic or a German idealist, and whether there is a transition from romanticism to idealism in Schelling's philosophy. In order to answer these questions, the general positions of early German romanticism and German idealism should be first articulated. Then, the consistency of Schelling's thought will be verified. This dissertation argues for consistency of Schelling's system throughout his life and for Schelling's reconciliation of romanticism and idealism. Instead of being a preparation to Hegel's system, this dissertation will show that Schelling's fundamental concern and position are incompatible with that of Hegel. Despite his affinity with the romantic thought, the position of the demand of the ground and the final anticipation of future development are different in Schelling and the romantics.
The ground is for Schelling nothing else but the original One and the primordial demand. In order to explain and attain the unity of everything, the ground is posited as original identity; in order to explain the origin of existence and thinking, the ground is posited as a primordial demand. This demand is the demand for intuiting or knowing itself. Since the first principle is a demand, the system therefore becomes a dynamic and dialectical one. The whole system of Schelling is thus constructed according to two basic activities originated from the primordial demand: separation and unification.
Unlike contemporary aesthetic discussions, Schelling's discourse on art is never detached from the context of philosophy or metaphysics. For Schelling, what philosophy or metaphysics ultimately questions about are the unity and the ground of existence and thinking. Following Kant, Schelling, like his romantic and idealistic contemporaries, recognizes that the problem of unity is the fundamental question of philosophy. But diverging from Kant, Schelling thinks that there is no way to attain and explain the unity unless the ground is first investigated.
Wong, Wing Yuen.
Source: Dissertation Abstracts International, Volume: 71-01, Section: A, page: 0210.
Thesis (Ph.D.)--Chinese University of Hong Kong, 2009.
Includes bibliographical references (leaves 309-322).
Electronic reproduction. Hong Kong : Chinese University of Hong Kong, [2012] System requirements: Adobe Acrobat Reader. Available via World Wide Web.
Electronic reproduction. Ann Arbor, MI : ProQuest Information and Learning Company, [200-] System requirements: Adobe Acrobat Reader. Available via World Wide Web.
Abstracts in English and Chinese.
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Fulvi, Daniele. "The ontology of Evil : Schelling and Pareyson." Thesis, 2020. http://hdl.handle.net/1959.7/uws:55877.

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Abstract:
This dissertation focuses on the question of Evil in the philosophies of Friedrich Wilhelm Joseph Schelling and Luigi Pareyson. Both Schelling and Pareyson shift the discussion of Good and Evil from the more traditional sense in which those notions have been understood as moral matters to regarding them rather as ontological forces that ground human life. One of the primary goals of this dissertation is to think through the meaning and importance of this shift for both Schelling’s and Pareyson’s philosophies.The first chapter analyses Schelling’s understanding of Evil and Freedom by arguing for a strong degree of continuity between Schelling’s Philosophical Investigations into the Essence of Human Freedom and his early Philosophy of Nature. By so doing, the thesis argues that Schelling’s philosophy can be understood more effectively as an ontology of immanence, aimed at grasping the material conditions of the possibility not only of Evil, but also of life. That is, the thesis argues that Schelling’s discourse on Evil is ontological, since it relates Evil itself to the grounding forces of Being, and immanent, since it excludes any form of transcendent or supernatural Being.The second chapter is devoted to Pareyson’s interpretation of the question of Evil by focusing on his reading of Schelling’s philosophy and by highlighting the religious and transcendent nature of Pareyson’s speculative reading of the issue. Drawing on the conclusions of the previous chapter, it is argued that Pareyson’s approach is unviable – or problematic at best – for two main reasons: first, Pareyson’s transcendent account of being is abstract and arbitrary and does not fit with Schelling’s thought; second, maintaining the discourse of Being on the level of immanence leads both to avoiding the abovementioned unviability of a transcendent explanation and to building a more robust understanding of such a question.Building on the results of the two previous chapters, the final chapter further advocates for the fruitfulness of a philosophical perspective that addresses Evil in the context of an ontology of immanence. Such a perspective, it is argued, can also lead to a better comprehension of the grounding conditions of life and experience, and to an understanding of freedom in terms of Widerstand (resistance). In this context, resistance has to be conceived of as a fundamental ontological disposition of human beings, which means the inevitability of being in opposition to something and of resisting its occurrence because of the impossibility of being (and doing) otherwise.
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