Academic literature on the topic 'Savoirs somatiques'

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Journal articles on the topic "Savoirs somatiques":

1

Jalenques, I., C. Lemogne, A. Consoli, and E. Haffen. "SMP – Diagnostic et traitement personnalisés des dépressions : enjeux et perspectives d’avenir." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S81. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.362.

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Abstract:
La dépression unipolaire chez l’adulte est une maladie hétérogène, en raison de la multiplicité des causes et des mécanismes physiopathologiques vraisemblablement impliqués. La résistance thérapeutique est sans doute liée au défaut de mise en évidence de sous-groupes distincts qui nécessiteraient une prise en charge spécifique. Un diagnostic et un programme thérapeutique optimisés pour chaque patient constituent donc un enjeu majeur. La dépression entretient des relations réciproques avec les pathologies somatiques qui peuvent induire des états dépressifs par des mécanismes directs en raison d’une physiopathologie partagée (par exemple inflammatoire) ou indirects, en raison de leur retentissement fonctionnel ou des représentations qui leur sont attachées. Outre les difficultés diagnostiques liées à la comorbidité, une meilleure connaissance de ces mécanismes permet de personnaliser au mieux la prise en charge de la dépression. D’autre part, les états dépressifs sont des marqueurs de risque et de mauvais pronostic de nombreuses affections somatiques, notamment cardiovasculaires : l’élucidation progressive de ces mécanismes est la condition d’une prise en charge efficiente visant à réduire l’impact de la dépression sur le risque ou le pronostic de l’affection somatique. Ces relations réciproques seront illustrées au travers des exemples du cancer et de la maladie coronarienne [1],[2]. La dépression chez l’adolescent peut se présenter différemment de celle de l’adulte, d’autant plus que le sujet est jeune. Les risques évolutifs concernent essentiellement le risque suicidaire, l’abus de substance, une forte morbidité en termes d’adaptation psychosociale et un risque de récurrence. Il est donc primordial de savoir dépister un épisode dépressif caractérisé chez l’adolescent pour bien le prendre en charge, sachant faire la distinction avec des mouvements dépressifs inhérents au processus d’adolescence. Les traitements psychothérapeutiques restent le traitement de première intention chez ces adolescents, même si certains ISRS semblent avoir une action psychotrope efficace [3], [4].
2

Consoli, S. M. "Devenir des troubles somatoformes dans le DSM-5 : disparition ou renouveau ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S41. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.116.

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Abstract:
La catégorie « trouble : symptômes somatiques » du DSM-V répond à une exigence d’intelligibilité et d’acceptabilité du trouble, pour les patients comme pour les professionnels de santé, tout en renvoyant à une réalité éprouvante au quotidien pour les patients qui en souffrent, consommateurs d’examens et de soins médicaux, plus que psychiatriques. Elle recouvre une diversité de configurations, depuis les troubles les plus banals et passagers jusqu’aux manifestations les plus durables et/ou les plus résistantes, voire à celles que l’on peut considérer comme largement redevables aux effets « iatrogènes » d’approches médicales inappropriées ou aux réactions revendicatives de la part de malades ou de leurs associations, à la recherche d’une identité socialement reconnue. Avec le DSM-V, non seulement l’existence d’une pathologie médicale concomitante n’exclue pas le diagnostic, mais la présence de facteurs de stress ou d’anomalies psychologiques n’est plus exigée comme condition nécessaire à la survenue du trouble, ce qui permet de dépasser à la fois l’opposition réductrice entre organique et fonctionnel et la recherche d’une psychogenèse à tout prix. Et pourtant le trouble reste considéré comme un trouble mental, en raison de la place occupée par la rumination anxieuse dans sa définition. Quant aux facteurs psychosociaux, il peut être utile de différencier ceux qui interviennent en tant que facteurs prédisposants, précipitants ou d’entretien, voire de renforcement. Un tel assouplissement dans l’approche du trouble peut permettre d’espérer une facilitation des prises en charges conjointes ou une meilleure efficience des adressages de ces patients auprès d’un spécialiste en santé mentale. Il importe aussi de savoir, contrairement à une idée reçue, que la présence d’une préoccupation somatique n’est pas sans conséquence pour l’avenir somatique, puisqu’elle prédit une mortalité accrue par causes naturelles, raison de plus pour considérer le trouble comme « sérieux » et pour s’engager dans sa prise en charge.
3

Leroy, Fabrice. "La performativité généralisée du diagnostic psychologique en médecine." Revista Latinoamericana de Psicopatologia Fundamental 16, no. 3 (September 2013): 411–24. http://dx.doi.org/10.1590/s1415-47142013000300005.

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Abstract:
Le recours au savoir psychologique dans les services de médecine somatique à l'hôpital relève moins d'une tentative de compréhension du malade que d'une psychologisation de ses conduites. La performativité généralisée du langage psychologique, en ajoutant ainsi un "trouble psychique" à la maladie somatique, permet de se préserver de l'inquiétante étrangeté du malade et de retrouver un pouvoir sur lui. La fonction des psychologues est alors à interroger.
4

Franke, William. "Psychoanalysis as a Hermeneutics of the Subject: Freud, Ricoeur, Lacan." Dialogue 37, no. 1 (1998): 65–82. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300047594.

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Abstract:
RésuméLa connaissance herméneutique est généralement définie comme un savoir engagé, par opposition au savoir détaché que produit la méthode scientifique. La tension entre ces deux modèles dans la théorie psychanalytique de Freud est ici mise en évidence avec l'aide de Ricœur: cette théorie interprète des intentions conscientes, mais explique en même temps la vie psychique d'une façon mécaniste en termes depulsions somatiques. On montre ensuite comment le développement lacanien de la psychanalyse rend l'être habituellement caché de la subjectivité—l'inconscient—accessible comme langage. Structuré comme un langage, l'inconscient est articulé et interprétable; et son interprétation est accès au langage du «réel», par-delà les limites de l'objectivité scientifique.
5

Maillard, Benoît, and Eckhard Frick. "L’alexithymie : historique, recherches et perspectives psychopathologiques." psychologie clinique, no. 48 (2019): 16–28. http://dx.doi.org/10.1051/psyc/20194816.

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Abstract:
La notion clinique d’alexithymie désigne littéralement l’absence de mot pour l’expression de l’humeur (a-lexis-thymie). Elle est composée de quatre traits : 1. l’incapacité à exprimer verbalement les émotions ou les sentiments, 2. la limitation de la vie imaginaire, 3. la tendance à recourir à l’action pour éviter ou résoudre les conflits, 4. la description détaillée des faits, des événements, des symptômes physiques. Il est évident que cette notion recoupe certains processus de la pensée opératoire développée par l’École de Paris dans ces travaux sur les phénomènes psycho-somatiques. Si certaines recherches proposent une étiologie neuropsychologique de l’alexithymie, cet article montre les limites d’une telle approche et propose de confronter les hypothèses psychanalytiques sur le fonctionnement alexithymique comme le résultat d’une carence ou la mise en œuvre d’un type défensif. L’idiosyncrasie affective en jeu dans ces processus ouvre la question de savoir si l’absence d’affects peut être impliquée dans des modalités défensives. Un repérage théorique sur l’inscription du corps dans les lignes du langage et les fondements de la subjectivité sera nécessaire pour éclairer la complexité des potentialités psycho-somatiques. Enfin, nous développerons certaines implications contemporaines de ces travaux, notamment dans la clinique de l’obésité.
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Romey, Adélie, Marianne Vaysse, Clémence Jouault, and Laurent Letrilliart. "Perception des freins et facilitateurs de la continuité des soins délivrés aux migrants précaires en médecine générale." Santé Publique Vol. 35, no. 2 (August 2, 2023): 171–81. http://dx.doi.org/10.3917/spub.232.0171.

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Abstract:
Introduction : La continuité des soins est essentielle pour le diagnostic et le traitement des pathologies somatiques et psychiques des migrants précaires. Cette étude a exploré les freins et les facilitateurs de la continuité des soins délivrés aux migrants précaires en médecine générale. Méthodes : Étude qualitative par entretiens semi-dirigés, conduits auprès de 20 migrants précaires. Le terme « suivi médical » a été utilisé dans la grille d’entretien pour représenter le concept de continuité des soins. Les verbatims ont été analysés selon l’approche par théorisation ancrée, avec une triangulation de l’analyse des données. Résultats : Les migrants précaires décrivaient le suivi médical comme un accès répété chez un même médecin pour tous leurs problèmes de santé. Ce suivi était limité par les difficultés d’accès à la couverture maladie et d’orientation dans le système de santé, et par les barrières linguistique et culturelle. En revanche, le savoir-faire et le savoir-être du médecin, la présence d’un traducteur, le soutien de l’entourage familial et associatif des migrants et certaines organisations de la structure de soins facilitaient leur suivi médical. Conclusions : Les continuités relationnelle, organisationnelle et informationnelle des soins délivrés aux migrants précaires méritent d’être optimisées de façon synergique. Pour cela, il conviendrait d’améliorer la formation des médecins à la communication avec les migrants, le partage des informations médicales et l’éducation des migrants au bon usage du système de santé, afin de favoriser leur autonomisation progressive dans leur parcours de soins.
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Adomnicai, Irina. "Ce savoir qu'on dit charnel ou de la réalité clinique d'une réflexivité négative dans les pathologies dites psycho-somatiques." Revue française de psychosomatique 8, no. 2 (1995): 139. http://dx.doi.org/10.3917/rfps.008.0139.

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8

Lameira, C., and H. Javelot. "Association agomélatonine–étifoxine à propos d’un cas de rash cutané prurigineux, dans un contexte d’intolérance générale." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 104. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.278.

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Abstract:
Mme S. est traitée depuis quatre ans pour un trouble anxiodépressif. La prise en charge médicamenteuse dans notre établissement, débutée il y a presque deux ans, intègre la mirtazapine (15 mg/j) et le prazépam (20 mg/j). La patiente ne présente aucune allergie connue dans ses antécédents. Il y a un an et demi, une première prescription d’agomélatine (25 mg/j) est faite par un médecin généraliste. Mme S. émet régulièrement des plaintes somatiques et psychologiques multiples. Cependant, elle décrit la majoration de douleurs diffuses suite à l’introduction de ce nouvel antidépresseur. La patiente se voit alors de nouveau prescrire son traitement antérieur, à savoir la mirtazapine, toujours associée au prazépam, aux mêmes posologies. Il y a environ six mois, Mme S. présente une recrudescence anxieuse qui amène son médecin traitant à lui prescrire de l’étifoxine (150 mg/j), puis dix jours plus tard de l’agomélatine (25 mg/j) en complément de son traitement antérieur. La patiente décrit a posteriori une insomnie totale suite à la première prise d’agomélatine. Mme S. présente également quatre jours après l’introduction de l’antidépresseur une éruption cutanée hautement prurigineuse, touchant le visage, les bras, les genoux et les pieds. L’étifoxine et l’agomélatine sont alors stoppés immédiatement, tandis que la mirtazapine et le prazépam sont maintenus. La valeur des transaminases (gamma-GT) a été multipliée par 1,5 entre le contrôle à l’introduction de l’agomélatine et après cinq jours de traitement ; cette valeur se normalisant progressivement sur les semaines suivantes. L’apparition de l’effet indésirable décrit peut plaider en faveur soit d’une imputabilité exclusive de l’agomélatine, soit d’une imputabilité conjointe de l’antidépresseur et de l’étifoxine. La première hypothèse pourrait être favorisée par l’intolérance initiale à l’antidépresseur, le décours temporel entre l’introduction du traitement et l’apparition de l’effet indésirable, et la plus haute fréquence d’effets indésirables cutanés et hépatiques sous agomélatine [1,2].
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Vialle, Manon. "L’« horloge biologique » des femmes : un modèle naturaliste en question. Les normes et pratiques françaises face à la croissance de l’infertilité liée à l’âge." Enfances, Familles, Générations, no. 21 (July 22, 2014): 1–23. http://dx.doi.org/10.7202/1025957ar.

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Abstract:
La croissance de l’infertilité liée à l’âge dans les sociétés industrielles avancées suscite un accroissement de demandes en matière d’assistance médicale à la procréation (AMP) et amène ainsi chaque société à s’interroger sur ses normes et pratiques. En France, cette question est un révélateur de la spécificité du modèle bioéthique qui encadre les techniques d’AMP ainsi que de ses tensions et contradictions croissantes. La particularité de ce modèle est de se présenter comme strictement « thérapeutique » et de reposer sur la notion d’« infertilité pathologique ». Or c’est justement la simplicité apparente de cette distinction entre pathologie et convenance que met en question l’infertilité liée à l’âge : elle ouvre vers une approche plus complexe de l’infertilité comme phénomène liant à la fois le somatique et le social. À partir d’une enquête auprès de professionnels qui font face à l’infertilité, nous montrerons la prégnance de ce modèle thérapeutique dans leur pratique. Mais nous verrons également que le contexte sociodémographique contemporain amène à une évolution de la notion même d’infertilité et interroge ce modèle de référence. De plus, l’apparition de nouvelles techniques telles que la congélation ovocytaire renforce la mise en question du modèle bioéthique et amène à penser autrement l’opposition pathologie/convenance sur laquelle il est construit. La question est de savoir si ce modèle saura évoluer vers une vision plus complexe et moins idéologique de l’infertilité, ce qui s’avère être un enjeu important pour la société française dans les années à venir et qui va bien au-delà de l’accès aux techniques favorisant ce dépassement.
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Sudres, J. L., and L. Schmitt. "Leçons du passé pour une art-thérapie institutionnelle actuelle." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S89. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.384.

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Abstract:
L’art-thérapie porte en terre hexagonale, un lourd bagage de fausses notes conceptuelles, d’hégémonies et de clivages cheminant parfois avec une certaine note d’obscurantisme consensuel. Toujours d’actualité, la répétition de cette dynamique souffre d’un manque d’autocritique et d’auto-analyse constructive. Pourtant les dinosaures de l’art-thérapie d’hier empruntent, lorsqu’ils n’ont pas tiré leur révérence, la voie de la sagesse. Ceux d’aujourd’hui s’échinent à tenir des vestiges, voire des temples vides, même lorsqu’ils empruntent la toge de la transmission. Si jusqu’à l’aube des années 1980, l’art-thérapie était encore l’apanage de la psychiatrie et des psychiatres, elle concerne aujourd’hui des praticiens d’origine multiple et s’étend du développement personnel aux champs du somatique, sans pour autant se cristalliser dans une réelle identité professionnelle. À l’instar d’autres spécialités d’antan, elle erre dans une sorte de flou-doux-mou peu et/ou mal étayée sur une recherche clinique à même de fournir des recommandations pour de bonnes pratiques et un corpus de savoir. Pourtant les approches symptomatologiques, psychopathologiques, phénoménologiques, structurales, pictographiques, psychobiographiques et autres, souvent référencées aux arts et/ou à la psychanalyse, produisent légitimement, sous couvert du piège de la séduction esthétique, une jouissance relativement éloignée du terrain. Quant aux organismes, plus ou moins fédératifs, leur prétention en matière « d’accréditation » des professionnels de l’art-thérapie, se révèle là-aussi bien éloignée du réel de la clinique et des expériences d’autres pays européens (Suisse, par exemple). Enfin, les intitulés des formations, initiales comme continues, jouent sur des ambiguïtés de vocabulaires et d’expressions, difficiles à décrypter par les novices. Nous développerons chacun de ces points en proposant quelques médications génériques pour traiter des pathologies endémiques « de la dame art-thérapie ».

Dissertations / Theses on the topic "Savoirs somatiques":

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Salvatierra, Violeta. "L'atelier de danse et d’éducation somatique comme espace d'expérimentations micropolitiques." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2020. http://www.theses.fr/2020PA080047.

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Abstract:
Cette recherche porte sur l'usage de pratiques corporelles du champ de la danse contemporaine et des techniques somatiques dans des contexte de soin et de précarité sociale. À travers trois études de cas, elle s'intéresse à la manière dont de telles pratiques peuvent soutenir des processus de subjectivation aux potentiels émancipateurs. Proches des dispositifs de recherche-action, elles proposent une diversité d'outils méthodologiques et de postures de recherche. Les trois expériences, qui composent les trois parties de la thèse, sont : un projet d'ateliers hebdomadaires de la méthode Feldenkrais dans un service d'Appartements de coordination thérapeutique (A.C.T.) à Kremlin-Bicêtre ; une intervention avec des ateliers d'éducation somatique et de danse dans un club thérapeutique parisien, dans le champ de la psychiatrie ; et l'expérience de partage d'une pièce chorégraphique, Legacy (2015), de Nadia Beugré, avec un groupe de femmes, habitantes d'Aubervilliers, dans le cadre du projet expérimental de médiation artistique, porté par le CND, nommé IMAGINE
This practice-based research focuses on the use of body practices from the field of contemporary dance and somatic techniques in contexts linked to health issues and social precarity. Through three case studies, it considers the way such practices may sustain some processes of subjectivation, with emancipatory potential. Close to certain action research schemes, the three studies have been selected from a larger corpus of interventions as a researcher-practitioner. They showcase an array of methodological tools and stances of investigation, and they constitute the three parts of this memoir : a project of weekly workshops within a department of therapeutic lodgings (A.C.T) in Kremlin-Bicêtre ; an intervention with dance and somatic education workshops in a therapeutic social club in Paris, in the field of psychiatry ; and the experience of sharing a choreographic piece, Legacy (2015), by Nadia Beugré, with a group of women, residents of Aubervilliers, in the framework of the experimental project of artistic mediation, sustained by the National Center of Dance (CND), named IMAGINE

Book chapters on the topic "Savoirs somatiques":

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Ploton, Louis. "Psychogérontologie clinique et pathologique." In Psychogérontologie clinique et pathologique, 35–42. In Press, 2019. http://dx.doi.org/10.3917/pres.menec.2019.02.0036.

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Abstract:
L’hypocondrie concerne des préoccupations exagérées de santé centrées sur des manifestations somatoformes sans étiologies médicales décelées. C’est une forme de demande passant par le corps qui confronte le patient qui a besoin d’être écouté, pris au sérieux, considéré, car il souffre authentiquement : acteur inconscient et victime consciente de ses symptômes. Elle va de pair avec des risques somatiques : soin à contre-emploi, diagnostic ignoré et vagabondage médical. Il y a lieu de savoir qu’une politique visant à supprimer le symptôme est pathognomiquement confrontée à une mise en échec, de nature à démotiver les soignants. La meilleure attitude possible est celle d’“impuissance bienveillante” prenant en compte la souffrance, avec pour objectif central d’éviter le rejet.

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