Academic literature on the topic 'Sanctuaires – Japon'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Sanctuaires – Japon.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Sanctuaires – Japon":

1

Bernier, Bernard. "Divination et contact avec les esprits au Japon." Anthropologie et Sociétés 42, no. 2-3 (October 5, 2018): 291–306. http://dx.doi.org/10.7202/1052647ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
La divination connaît une hausse de sa popularité au Japon. Que ce soit les formes liées aux religions et doctrines plus anciennes, comme le shintô, le bouddhisme ou le daoïsme, comme acheter des papiers sur lesquels on lit son avenir dans les temples et sanctuaires, ou parler aux esprits, ou lire l’avenir dans les lignes de la main ou des bâtonnets de bambou, ou bien dans des formes plus récentes, comme l’astrologie occidentale, et plus ludiques, comme la divination à l’aide d’animaux, que ce soit dans la rue, dans des foires ou dans des centres d’achat, à la télévision ou sur Internet, la divination gagne en popularité. Ce sont surtout des femmes qui pratiquent la divination et les jeunes femmes qui en sont les plus importantes consommatrices.
2

Allard, Aurélien. "La réorganisation des sanctuaires au Japon de l’époque Meiji à l’époque Taishō – ōsugi jinja : dernier sanctuaire de l’ancien village de Takahashi." Cipango, no. 17 (June 30, 2010): 298–300. http://dx.doi.org/10.4000/cipango.1150.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Butel, Jean-Michel. "Réguler la coutume par la coutume. Règles matrimoniales et divinité marieuse du Grand sanctuaire d'Izumo (Japon)." Extrême orient Extrême occident 23, no. 23 (2001): 27–52. http://dx.doi.org/10.3406/oroc.2001.1133.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Salvagnini Zanazzo, Giovanni. "Une espèce de sanctuaire»: Paul Claudel e l’incontro col Giappone ne L’oiseau noir dans le Soleil Levant." ALTRALANG Journal 4, no. 02 (December 30, 2022): 457–70. http://dx.doi.org/10.52919/altralang.v4i02.230.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
«Une espèce de sanctuaire»: Paul Claudel and the meeting with Japan in L’oiseau noir dans Soleil Levant ABSTRACT: This article wants to investigate the relationship between Paul Claudel and Japan as if it is sketched into his collection of prose L’oiseau noir dans le Soleil Levant (1929), product of his six years long experience into the country as diplomatic. It is highlighted the surprising agreement perceived by Claudel between his own Christian thinking and the mistical behavior of Japanese society, reconnecting to the central role of Nature. At the same time it’s underlined the distance that remains beyond any will of intercultural comprehension, and that it is specially evident in La maison d’Antonin Raymond à Tokyo, where it is said that to make a Japanese house comfortable, although it has many merits, it is necessary to remove numerous «inconvénients». RIASSUNTO: L’articolo intende indagare il rapporto di Paul Claudel con il Giappone per come si configura nei testi della sua raccolta di prose L’oiseau noir dans le Soleil Levant (1929), frutto della sua esperienza di sei anni nel paese come diplomatico. Vi si mette in luce la sorprendente consonanza avvertita da Claudel tra il suo pensiero cristiano e l’atteggiamento diffusamente mistico della società giapponese, ricollegandosi alla centralità del rapporto con la natura. Allo stesso tempo si sottolineano le distanze che permangono oltre ogni volontà di comprensione interculturale, evidenti ne La maison d’Antonin Raymond à Tokyo, dove si dice che per rendere abitabile una casa giapponese, nonostante tutti i suoi pregi, è necessario prima estirparne i numerosi «inconvénients».
5

Seizelet, Éric. "Aux racines du problème du sanctuaire Yasukuni dans le Japon d’après-guerre : l’apothéose des esprits des soldats tués durant la guerre du Pacifique." Guerres mondiales et conflits contemporains N° 283, no. 3 (August 2, 2021): 115–33. http://dx.doi.org/10.3917/gmcc.283.0115.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Régnier, Pierre. "Les mandalas du shintô et leur genèse." Déméter, no. 7 | Hiver (December 1, 2021). http://dx.doi.org/10.54563/demeter.456.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Le Japon, l’un des pays du bouddhisme, a développé, à partir des mandalas du bouddhisme ésotérique, des formes particulières de mandalas très éloignées des mandalas tels qu’on se les représente habituellement : les mandalas du shintô. Historiquement, dès l’introduction du bouddhisme au Japon (vers le vie siècle), le shintô, souvent décrit comme une forme d’animisme autochtone, a toujours entretenu des liens très étroits avec le bouddhisme. Assez rapidement, est apparue une tendance syncrétique qui a mené aux théories dites honji suijaku selon lesquelles les divinités du shintô (kami) n’étaient autres que des sortes d’avatars de bouddhas et bodhisattvas, des théories qui ont largement contribué à l’apparition de mandalas liés aux sanctuaires shintô et à leurs kamis. Ces mandalas se sont progressivement émancipés des théories bouddhiques et des traditions graphiques des mandalas de l’ésotérisme bouddhique. En outre, ils différaient des mandalas « orthodoxes » non seulement dans leur forme, mais aussi dans leur destination : bien qu’étant toujours des objets éminemment religieux, ils n’étaient plus des objets de méditation. Notre objectif est d’une part de présenter ces mandalas du shintô peu connus hors du Japon (dont les études en langues occidentales sont particulièrement rares et qui, à notre connaissance, n’ont encore fait l’objet d’aucune publication en français), mais aussi de montrer que, malgré les apparences – et les réticences de certains spécialistes –, ils méritent tout à fait leur appellation de mandala en tant qu’héritiers directs des mandalas les plus traditionnels de l’ésotérisme bouddhique.
7

"Bardy Yannick, Sanctuaires shintô et sociétés locales dans le Japon de l’époque d’Edo : l’exemple de la province d’Izumi." Cipango, no. 21 (December 31, 2014). http://dx.doi.org/10.4000/cipango.2379.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Sanctuaires – Japon":

1

Sahban, Ilham. "Sanctuaires shintō et spatialité : l’omniprésence de l’espace des kami." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2023. http://www.theses.fr/2023PA080003.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Le culte shintō, pourtant fondamental dans la culture japonaise, est paradoxalement mal connu hors des frontières de l’archipel. Le terme jinja, traduit par « sanctuaire shintō », a un sens très large et n’est pas aisé à définir. Ce terme englobe une multiplicité de formes d’espaces dédiés au culte des kami, depuis les montagnes et forêts considérés comme des sites sacrés jusqu’aux formes architecturées les plus élaborées. Autant en milieu urbanisé que rural, les rituels shintō se règlent sur le calendrier agraire, particulièrement les périodes des semailles et des moissons ; à ces dates cruciales, les processions saisonnières participent à renouveler la vitalité du kami, pour assurer abondance et prospérité à la communauté.Ensuite, les divers usages à l’intérieur des limites du sanctuaire, usages cérémoniels mais aussi festifs voire marchands, mettent en évidence l’interpénétration entre espace sacré et profane dans l’enceinte des jinja. Enfin, la configuration architecturale des sanctuaires shintō n’est pas le propos principal de notre développement. En revanche la tradition de la reproduction architecturale à échelle réduite est une particularité qui peut expliquer l’influence de grands sanctuaires dans leur région voire à l’échelle nationale.Ce travail de recherche se place dans le domaine de l’anthropologie spatiale ; dans une approche transdisciplinaire, nous nous basons sur des ouvrages théoriques en langues occidentales et en langue japonaise, ainsi que sur nos observations personnelles directes, ethnographiques de rituels dans des sanctuaires d’échelles graduées, de sanctuaires de quartier aux grands sanctuaires d’Ise jingū et Izumo taisha
The Shinto cult, though fundamental in Japanese culture, is paradoxically poorly known outside the boarders of the archipelago. The term jinja, commonly translated by “Shinto shrine”, has a very broad meaning and is not easy to define. This term encompasses a multiplicity of forms of spaces dedicated to the kami cult, from mountains and forests considered sacred sites to the most elaborate constructed forms. Both in urbanized or rural environment, Shinto rituals are regulated by the agrarian calendar, particularly the periods of sowing and harvesting; on these crucial dates, the seasonal processions contribute to renewing the vitality of the kami, thereby assure abundance and prosperity to the community.Next, the multiple uses within the limits of the Shrine, ceremonial uses but also festive or even commercial uses, highlight the interpenetration between sacred and profane space within the enclosure of the jinja. Finally, the architectural configuration of Shinto shrines is not the main subject of our development, but the tradition of the architectural replication on a reduced scale is a particularity which can explain the influence of main Shrines over their province or even on a national scale.This research belongs to the field of spatial anthropology; in a transdisciplinary approach, we base our work on theoretical works in Western languages and Japanese language, and also on our ethnographic observations of rituals in Shrines of various scales, from neighborhood Shrines to the main national Shrines of Ise jingū and Izumo taisha
2

Bardy, Yannick. "Sanctuaires Shintô et Sociétés Locales dans le Japon de l’Epoque d’Edo : l’exemple de la province d’Izumi." Thesis, Paris, INALCO, 2013. http://www.theses.fr/2013INAL0014/document.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Dans ce travail, nous nous proposons d'étudier des groupes de villages de la provinces d'Izumi durant l'époque d'Edo (1600 - 1868), afin de mettre en avant des types d'organisations sociales sortant des cadres institutionnels connus ainsi que les particularismes des localités étudiées.Ces ensembles de villages étant liés à la présence d'un sanctuaire commun (en plus des sanctuaires propres à chaque village ou hameau), nous partirons des relations établis entre ces établissements religieux et les groupes de villages qui leur sont liés, explorant le mode d’organisation des fidèles, leurs interactions avec les autorités seigneuriales ou shogunales. Nous nous intéresserons également à la structure interne du sanctuaire et les rôles des différents desservants, prêtres shintô et moine bouddhistes, notamment au travers des disputes qui les déchirent. Cela nous amènera également à nous interroger sur le rôle des organisations religieuses et tout particulièrement celui des organisations de prêtres shintô centrées sur les maisons curiales Yoshida ou Shirakawa, qui prennent leur essor durant cette époque.C’est en ce sens que nous nous pencherons sur les sanctuaires Kasuga, Hijiri, Kaminomiya et Shimonomiya, et Ôiseki. Explorant les groupes de villages qui leurs sont liés, nous nous attacherons à mettre en avant les interactions entre quatre groupes : les fidèles, le sanctuaire, les prêtres shintô et les moines bouddhistes. Cette analyse permettra de faire ressortir particularismes locaux, modes d’organisations non-institutionnels et structures internes de ces sanctuaires
This dissertation examines several groups of villages in Izumi Province during the Edo period (1600 - 1868). It seeks to elucidate the non-institutional social organizations and unique characteristics of those villages. Each of the groups of villages examined in this study were closely linked with a particular Shintô shrine. This dissertation begins by analyzing the relationship between shrines and the groups of villages with which they were linked. It will then examine the functions performed by the parishioner organizations of each shrine, as well as the relationship between parishioner organizations, on the one hand, and the local authorities and shogunate, on the other. It will also investigate each shrine’s social structure and the role of Shintô priests and Buddhists monks. This dissertation will also highlight the range of shrine-related conflicts and disputes that occurred in Izumi Province during the Edo period. Furthermore, it will examine the role that religious organizations, such as the Yoshida and Shirakawa priestly orders, played in early modern society. Specifically, this dissertation focuses on five shrines in Izumi Province: Kasuga, Hijiri, Kaminomiya, Shimonomiya, and Ôiseki. Through an examination of those five shrines, this dissertation will study the interaction between four groups: local parishioners, Shintô shrines, Shintô priests, and Buddhist monks. Such an analysis will enable us to elucidate the unique characteristics of the villages surrounding each shrine, the various non-institutional organizations that developed in those villages, and the internal social structure of each shrine
3

Bardy, Yannick. "Sanctuaires Shintô et Sociétés Locales dans le Japon de l'Epoque d'Edo : l'exemple de la province d'Izumi." Phd thesis, Institut National des Langues et Civilisations Orientales- INALCO PARIS - LANGUES O', 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00947622.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Dans ce travail, nous nous proposons d'étudier des groupes de villages de la provinces d'Izumi durant l'époque d'Edo (1600 - 1868), afin de mettre en avant des types d'organisations sociales sortant des cadres institutionnels connus ainsi que les particularismes des localités étudiées.Ces ensembles de villages étant liés à la présence d'un sanctuaire commun (en plus des sanctuaires propres à chaque village ou hameau), nous partirons des relations établis entre ces établissements religieux et les groupes de villages qui leur sont liés, explorant le mode d'organisation des fidèles, leurs interactions avec les autorités seigneuriales ou shogunales. Nous nous intéresserons également à la structure interne du sanctuaire et les rôles des différents desservants, prêtres shintô et moine bouddhistes, notamment au travers des disputes qui les déchirent. Cela nous amènera également à nous interroger sur le rôle des organisations religieuses et tout particulièrement celui des organisations de prêtres shintô centrées sur les maisons curiales Yoshida ou Shirakawa, qui prennent leur essor durant cette époque.C'est en ce sens que nous nous pencherons sur les sanctuaires Kasuga, Hijiri, Kaminomiya et Shimonomiya, et Ôiseki. Explorant les groupes de villages qui leurs sont liés, nous nous attacherons à mettre en avant les interactions entre quatre groupes : les fidèles, le sanctuaire, les prêtres shintô et les moines bouddhistes. Cette analyse permettra de faire ressortir particularismes locaux, modes d'organisations non-institutionnels et structures internes de ces sanctuaires.
4

Brotons, Arnaud. "Lieu saint et société : anthropologie religieuse de Kumano entre le VIIIe et le XIe siècle." Paris, INALCO, 2002. http://www.theses.fr/2002INAL0003.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Kumano, situé dans le sud de la péninsule de Kii, est un lieu sacré du Japon qui apparaît au VIIIe siècle dans les recueils de mythes du Kojiki et Hihnon-shoki. Lors du passage du premier empereur mythique, Jinmu, cette région est décrite comme un lieu sauvage, peuplée de divinités mauvaises, d'où l'on peut rejoindre l'autre monde. En outre, Izanami y aurait été enterrée. A partir de l'époque de Nara, Kumano est connu comme un centre de pratiques ascétiques où se rendent de nombreux moines et religieux proches du shugen. Parallèlement au rapprochement des trois sanctuaires, Hongû, Shingû et Nachi, les divinités célébrées se lient aux bouddhas et un important panthéon de nature syncrétique, résumé par le dieu Kumano-sansho-gongen (ou Kumano-jûnisho-gongen^) voit le jour. A compter de 1090 - jusqu'aux troubles de Jôkyû en 1221 qui marquent la fin du système politique des Empereurs Retirés (insei-ki) - ces trois sanctuaires deviennent le principal lieu de pèlerinages lointains de la cour et surtout des empereurs après avoir abdiqué. Pour comprendre, à travers le temps, la place de Kumano dans la société japonaise, et ses liens avec la maison impériale, une double problématique sert de fil conducteur : 1)l'analyse de la fonction symbolique de cette région dans les mythes confrontée aux données de l'histoire jusqu'au VIIIe siècle, 2) la présentation de l'histoire de Kumano à partir du IXe siècle, notamment la naissance des trois sanctuaires, la formation des différentes routes de pèlerinage qui y mènent, la description des formes pèlerines pratiquées par les moines. Sur la base de des conclusions, le regard se porte sur les représentations du geste pèlerin de ces moines, à travers le témoignage de Zôki dans l'Iwonushi, suivi d'une analyse du Kumano-gongen-gosuijaku-engi (Xe siècle env. ) et du Shozan-engi (début Kamakura) dans lesquels la logique religieuse de ces pratiques et leur place dans la société ancienne ressortent clairement.
5

Bechetoille, Soizik. "Reconstructions et restaurations des monuments en bois. Les techniques traditionnelles du Japon face aux enjeux de la modernisation, de la construction du sanctuaire de Heian à Kyōto (1894) à la reconstruction du pavillon de l'Ultime Suprême de l'ancien palais impérial de Nara (2010)." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEP072/document.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Cette recherche entend aborder la question de l’authenticité à travers les pratiques de restauration liées au patrimoine architectural au Japon avec pour principal objet d’étude, des bâtiments traditionnels en bois en cours de restauration. Une des particularités des techniques relatives à la transmission de l’architecture au Japon est certainement le démontage périodique des édifices. Cette impermanence constructive tire ses origines de conditions climatiques difficiles, de spécificités liées à l’architecture en bois, ou encore de pratiques religieuses ancestrales, comme la reconstruction périodique de certains sanctuaires shintō. Dans la notion de « reconstruction », il y a l’idée de bâtir « à nouveau » ce qui a été détruit, de rétablir, de reproduire, de redonner une forme primitive à une structure ou à un édifice à partir d’éléments fragmentaires (vestiges, sources épigraphiques, etc.). Cela suppose la mise en présence d’un objet nouveau – à la matérialité inédite – avec l’idée de refaire « une fois encore » quelque chose qui a, jadis, eu une existence. Cette définition nous invite à considérer la possible coexistence de différentes pratiques et différents niveaux de reconstruction. La « reconstruction - restitution » est souvent invoquée pour retrouver des savoir-faire manquants. Pour de nombreux spécialistes, la pratique de la restauration par désassemblage (et, par la suite, de la reconstruction) agirait comme une synthèse de techniques et de théories apparentées à l’architecture traditionnelle. L’objectif de cette recherche est d’étudier différents cas de bâtiments reconstruits et les pratiques qui les animent
This research addresses the issue of authenticity through restoration practices on Japanese architectural heritage and focuses mainly on traditional wooden buildings under restoration. One of the particularities of architectural practice in Japan is certainly the periodic dismantling of old buildings. The origins of this traditional practice stems from harsh climatic conditions, specificities related to wooden architecture, or ancient religious practices including the periodic reconstruction of some Shinto shrines. This “non-permanence” of buildings allows the transmission of forms and techniques through ages and time. With the concept of “reconstruction” comes the idea of building “once again” what was destroyed, as well as restoring, reproducing or restoring a primitive form, a structure or a building from fragmentary elements (vestiges, epigraphic sources, etc.). This presupposes the creation of a completely new object – with unprecedented materiality – that is triggered by the idea of making "once again" something that already existed. This definition of “reconstructing” invites us to consider a possible coexistence of different types of practices and standards of reconstruction. The act of “reconstruction - restitution” is often invoked to retrieve a missing “savoir-faire” (technical know-how). For many specialists, the practice of restoration by disassembling (prior to reconstructing) constitutes (or involves) the synthesis of techniques and theories related to traditional architecture. The aim of this research work is thus to study different cases of building reconstruction and type of practices that drive them
6

L'Hérisson, Edouard. "Trajectoires shintô et construction de la Mandchourie japonaise : spatialisation religieuse, expansion de l’empire et structuration du shintō moderne." Thesis, Paris, INALCO, 2020. http://www.theses.fr/2020INAL0018.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Le shintō moderne est souvent réduit à un système rituel unifié, centré sur des sanctuaires perçus soit comme avatars du shintō d’État, soit comme lieux de culte populaires. Cette lecture est davantage encore mise en avant dans le cas de l’expansion japonaise en Asie. L’ambition première de cette thèse est de montrer deux aspects qui sont en fait complémentaires et participent de la dynamique impériale de la première moitié du XXe siècle. Contrairement aux lectures qui nient l’authenticité du shintō moderne, elle vise ainsi à prouver que ce dernier constitue un système religieux généalogiquement cohérent dont l’expression moderne est caractérisée par une dynamique de projection impériale, voire universelle, centrée sur des nouvelles doctrines panthéistes. L’étude s’appuie sur trois parcours de leaders shintō impliqués dans la construction de la Mandchourie japonaise : Matsuyama Teizō 松山珵三 (1878-1947), Deguchi Onisaburō 出口王仁三郎 (1871-1948) et Kakei Katsuhiko 筧克彦 (1872-1961). Ces trois cas permettent de mettre en lumière trois modalités de rencontre avec l’espace mandchou, perçu dans sa dimension diatopique, et autant de processus de spatialisation de cette région. Il est ainsi possible de comprendre en quoi ces prédicateurs shintō sont à la fois mus par, et moteur de, la dynamique impériale dans les territoires s’étirant de la péninsule du Liaodong à la frontière de la Mongolie Extérieure. L’espace fluide qu’est la Mandchourie japonaise apparaît dès lors comme la cible d’appropriations religieuses et coloniales au sein desquelles s’entrelacent les ambitions individuelles et étatiques
Modern Shintō is often seen as a unified ritual system based on shrines which are considered either as places embodying State Shintō, or as popular places of worship. This point of view is even more emphasized in the case of Japanese expansion in Asia. The first purpose of this thesis is to show that these two dimensions are complementary and take part in the imperial movement during the first half of the 20th century. Unlike readings denying the authenticity of modern Shintō, this thesis aims at proving that it is a genealogically coherent religious system which modern form is characterised by an imperial, sometimes universal, dynamics based on new pantheistic doctrines. The study focuses on the cases of three Shintō leaders involved in the building process of Japanese Manchuria: Matsuyama Teizō 松山珵三 (1878-1947), Deguchi Onisaburō 出口王仁三郎 (1871-1948) and Kakei Katsuhiko 筧克彦 (1872-1961). These three cases allow us to shed light on three different ways of encountering Manchurian space, seen in its diatopic dimension, and as many ways of spatialising this region. It thus enables us to understand how these three Shintō leaders are in the meantime driven by, and driving forces behind, the imperial process in these territories stretching from the Liaodong peninsula to the frontier of Outer Mongolia. Japanese Manchuria, as a fluid space, then appears as the target of religious and colonial appropriation dynamics within which individual and state ambitions are intertwined
7

Takagi, Yumiko. "Les hauts dignitaires messagers impériaux à Ise au XIIe siècle." Paris, EPHE, 2012. http://www.theses.fr/2012EPHE4023.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Dans l’Antiquité, la cour du Japon envoie chaque année une mission aux sanctuaires d’Ise. En plus, la cour envoie des missions spéciales lorsque des événements exceptionnels se produisent. Quand ces derniers sont tout à fait remarquables, le principal messager est choisi parmi les hauts dignitaires. Depuis le premier d’entre eux (738) et le dernier (1861), 125 hauts personnages ont été désignés. Or, sur ce total 75 l’ont été autour du XIIe siècle. Le premier but de cette étude est de comprendre pourquoi il y eut une telle concentration de missions de hauts dignitaires pendant un temps si court. C’est par l’examen des conditions politiques et par celui de certains rites ( administratifs et religieux) que l’on peut tenter de répondre. Les 124 années considérées, période finale de Heian, ne forment pas un tout homogène. L’intérêt des empereurs pour les missions varia énormément. Dans ce conditionnement politique des contacts avec Ise, il faut tenir compte de la cour, des lignages aristocratiques qui la composent. Le second but a été de décrire les missions dans leur déroulement. Il s’agit d’un voyage. En plus du problème descriptif, on retrouve ici la dimension sociale des missions. Une traduction de textes écrits en langue sino-japonaise est ajoutée à l’étude historique. Les auteurs étaient les personnalités de la cour ayant joué un rôle important dans les missions envoyées à Ise. Ces documents sont des « notes journalières ». Mais, il ne s’agit pas de journaux « intimes ». Pour une large part, le contenu des notes porte sur les rites. Toutefois, à côté de l’expression de ce ritualisme fondé sur le culte des précédents, où les changements ne se manifestent que très lentement, ces textes font une place au conditionnement politique de l’envoi des missions à Ise. « L’étude des hauts dignitaires messagers impériaux » est l’exemple d’une micro histoire qui pourrait avoir reflété les grands courants de son temps
From ancient to modern times, the court of Japan each year has sent Imperial messengers to the Shrines of Ise. In addition, the court has sent out special Imperial messengers when exceptional events occurred. When the event was quite remarkable, one of the "Kugyo" (high dignitaries) was assigned the task of being a messenger. From the first special Kugyo Imperial messenger in the year 738 to the last in 1865, a total of 125 messengers have been sent. Out of these, 75 special Imperial messengers were sent during the course of the 12th century. The first aim of this study is to understand why there were such a frequent missions by high-ranking Kugyo Imperial messengers to Ise during this relatively short period of time. In brief, it will first examine the political environment of the times, and secondarily, it will examine administrative and religious rites. In fact, the period of 124 years that represents the conclusion of the Heian era was full of social-political disturbances. The relationship between the court and Ise in this political climate must be examined by taking into account the changes in status of primary aristocrats of the court. The second aim of this study is to describe in detail the trips themselves. These Imperial messengers carried out a round trip, which reflected material and social problem. Part of this study consists of translating reference materials written in the Sino-Japanese language. The source materials are in diary format. However, they differ from a personal "diary" and it was assumed that other people would read them. These materials mostly describe rites and ceremonies. However, the form of these special Kugyo Imperial messengers eventually changed, little by little. These changes surfaced during 12th century. This study of high-ranking special Imperial messengers could be regarded as taking a microscopic look at relatively minor, historical incidents that may well reflect larger-scale, more significant historical movements of the time
8

Faure, Éric. "De Kyôto à Dazaifu : sur les traces de Sugawara no Michizane." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2018. http://www.theses.fr/2018USPCF020.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
Abstract:
Sugawara no Michizane était un lettré du 9e siècle qui fut élevé au rang de kami et qui inspira un culte qui demeure encore extrêmement vivace de nos jours. Le personnage historique et sa forme divinisée inspirèrent quantité d’histoires qui furent, entre autres raisons, créées pour justifier l’édification de sanctuaires voués à son culte, expliquer l’origine d’un fait religieux local ou d’un toponyme. Dans ce travail, nous nous proposons d'étudier les récits fictifs qui mettent en scène le personnage historique de Sugawara no Michizane et d’aborder le sujet sous trois angles différents. La première partie de notre étude consistera en l’établissement d’une énumération de ces légendes au moyen d’un large appareil de documents (récits de fondation, monographies, journaux de voyage…) qui nous permettra d’identifier leurs particularités, leur répartition dans l’espace et dans la vie de Sugawara no Michizane. Cette liste permettra de faire ressortir l’existence d’un certain nombre de « valeurs constantes » que l’on retrouve en fait non seulement dans les histoires de Sugawara no Michizane mais aussi dans celles qui mettent en scène d’autres personnages historiques. La seconde approche de ces légendes consistera à étudier précisément ces « valeurs constantes » et à tenter d’en déterminer l’origine. La troisième et dernière approche des légendes aura pour but d’étudier leurs « valeurs variables » et de voir ce qu’elles peuvent, à leur tour, nous apprendre sur leurs auteurs ainsi que les circonstances de leur création
Sugawara no Michizane was a 9th century scholar who was turned into a god and inspired a cult still popular nowadays. His human and divine forms both inspired countless legends which were told, amongst other reasons, in order to justify the building of shrines devoted to his cult, and to explain the origin of local customs and places’ names. This dissertation will focus on the legends built around the historical figure of Sugawara no Michizane and analyze them under three different perspectives. The first perspective consists of an enumeration of legends using a large array of documents such as foundation stories, monographs and travelers’ journals. This is the first time such a list has been compiled. This list enables us to identify particularities and distributions in both space and span of Sugawara no Michizane’s life. This list also allows us to establish the existence of a certain number of “constant patterns” which not only appear in Sugawara no Michizane’s stories but also in stories involving other historical figures. The second perspective of the study examines these “constant patterns” and suggests possibilities for their possible origin. The third and last perspective of our study will deal with the so-called “variable patterns” of the stories and will suggest who created these stories and the reasons for their creation

Books on the topic "Sanctuaires – Japon":

1

Ribault, Nadine. Les sanctuaires de l'abîme: Chronique du désastre de Fukushima. Paris: Éditions Encyclopédie des nuisances, 2012.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Lafcadio, Hearn. Ma première journée en Orient: Suivi de Kizuki, le sanctuaire le plus ancien du Japon. [Paris]: [Gallimard], 2007.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Pérez, Antoine. La voie, le cadastre et le sanctuaire: Étude comparée des paysages antiques du Japon et de l'Occident romain. Montpellier: Presses universitaires de la Méditerranée, 2020.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Takubo, Hisako. Konpira-san, sanctuaire de la mer: Trésors de la peinture japonaise : est présentée au Musée des arts asiatiques Guimet du 15 octobre au 8 décembre 2008 = Konpira-san umi no seiiki ten. Kotohira-cho, Kagawa-ken, Japon: Kotohira-gu, 2008.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Suzuki, Masanobu. Clans and Genealogy in Ancient Japan. Taylor & Francis Group, 2019.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Suzuki, Masanobu. Clans and Genealogy in Ancient Japan: Legends of Ancestor Worship. Taylor & Francis Group, 2017.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Suzuki, Masanobu. Clans and Genealogy in Ancient Japan: Legends of Ancestor Worship. Taylor & Francis Group, 2017.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

To the bibliography